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STAGE
S’INITIER AU METIER DANS LE DOMAINE DE
L’HYDRAULIQUE RURALE
Remerciements
Je tiens à exprimer mes sincères remerciements et mes sentiments les plus
respectueux à :
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ITSAZ RAPPORT DE STAGE BET EL ADDAD
SOMMAIRE :
INTRODUCTION ....................................................................................................................................... 5
CHAPITRE I : PRESENTATION DU LIEU DE STAGE..................................................................................... 6
a) Identification du BET ................................................................................................................... 6
b) L’Organigramme du BET EL ADDAD............................................................................................. 6
CHAPITRE II : Notions sur La VOIRIE ........................................................................................................ 6
a) Définition ................................................................................................................................. 6
b) Les Bases de la voirie ............................................................................................................... 7
c) Le profil en long ....................................................................................................................... 7
c) Profil en travers ........................................................................................................................... 8
d) Profil en travers type ................................................................................................................... 9
e) Terminologie.............................................................................................................................. 10
f) Dessiner le profil type................................................................................................................ 11
CHAPITRE III : ASSAINISSEMENT ............................................................................................................ 12
a) Définition ............................................................................................................................... 12
b) Contrainte du réseau d’assainissement ................................................................................ 12
c) Les systèmes d’assainissement ............................................................................................. 13
d) Comment choisir d’un système d’assainissement ................................................................ 15
e) Les différents ouvrages annexes ........................................................................................... 16
f) Règles techniques à respecter ............................................................................................... 18
g) Calcul des débits des eaux pluviales ...................................................................................... 18
h) Caractéristique d’un bassin versant ...................................................................................... 19
i) Dimensionnement des collecteurs ........................................................................................ 20
PARAMETRAGE ...................................................................................................................................... 22
CHAPIRTE IV : Dimensionnement de réseau d’assainissement............................................................. 24
a) Le plan de la voirie ................................................................................................................. 24
b) Le calcul de M.N.T ................................................................................................................. 24
c) Les profils en long voirie ........................................................................................................ 25
d) Le profil en travers type ........................................................................................................ 25
a) Le plan d’assainissement ....................................................................................................... 25
b) Les profils en long assainissement ........................................................................................ 25
c) Traçage du fil d’eau ............................................................................................................... 25
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d) Délimitations des bassins versants ........................................................................................ 26
Conclusion ............................................................................................................................................. 27
LES ANNEXES ......................................................................................................................................... 28
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INTRODUCTION :
Le but de l’assainissement est d’évacuer les déchets sans porter préjudice au milieu récepteur. Il s’agit
de protéger l’environnement ou les écosystèmes contre toute dégradation. En effet, les effluents
urbains rejetés sont pollués et si des mesures techniques ne sont pas prises, les cours d’eau, les nappes
d’eau souterraines, l’air peuvent subir de conséquences négatives.
Les effluents rejetés doivent avoir un niveau de qualité qui soit adapté à l’usage qui en est envisagé à
l’aval. Ceci conduit à choisir le point de rejet en conséquence : l’exutoire. Celui-ci est le point
d’arrivée des collecteurs où émissaires.
Dans le cadre de notre formation nous avons effectué un stage dont le but d'enrichir nos
connaissances sur les méthodologies d’étude d’assainissement liquide et de mieux comprendre
certains nombres de connaissances acquises pendant la formation et aussi se lancer dans la vie active
et appliquer les méthodes déjà étudiées à l'institut.
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➢ Le profil en long.
➢ Le profil en travers.
➢ Le tracé en plan.
c) Le profil en long :
i. Définition :
Le profil en long d’un réseau de voirie est une coupe longitudinale du terrain naturel sur un plan
vertical portant les altitudes des points se trouvant sur l’axe du futur réseau projeté et celles du T.N
correspondant.
ii. Terminologie :
Les courbes de niveau : sont destinées à donner sur une carte un aperçu du relief réel. Une courbe
de niveau est l’intersection du relief réel avec un plan horizontal d’altitude donnée en cote ronde
(généralement un nombre entier).
la construction de la ligne rouge doit être conforme aux recommandations exposées plus loin. Prévoir
la ligne rouge à niveau très proche aux accès des bâtiments pour éviter l’intervention des ouvrages
spéciaux (mur de soutènement, escaliers) qui nécessitent des dépenses excessives.
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Assurer une pente minimum de 0,5 % dans les terrains de morphologie jugée plate pour permettre
l’écoulement des eaux de ruissellement. Les pentes des alignements peuvent aller jusqu’à 7 % dans les
terrains très accidenté
c) Profil en travers :
i. Définition :
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Le profil en travers d’une voie est la coupe transversale de celle-ci suivant un plan vertical à l’axe de
la voie.
Les profils en travers (sections transversales perpendiculaires à l’axe du projet) permettent de calculer
les paramètres suivants :
Le long du tracé en plan d’un réseau de voirie en général, on rencontre des parkings, parfois des
élargissements de la chaussée, ainsi que des rétrécissements …etc.
Ceci fait, que le travers de la voirie change chaque fois qu’un pareil cas se présente.
Pour établir tous les profils en travers du réseau de voirie, il est recommandé et plus pratique de tracer
un profil en travers projet pour chaque changement du travers de voirie appelé profil en travers
TYPE, et le reste de PT doivent nécessairement appartenir à l’une des familles des profils en travers
type.
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e) Terminologie :
La chaussée : est la partie de la voirie réservée à la circulation de tous les types de véhicules, elle doit
faire l’objet du confort lors du déplacement des automobilistes.
Bordure : La séparation physique entre la, chaussée et le trottoir est matérialisée par des bordures qui
constituent un obstacle pour l’envahissement du trottoir par les véhicules pendant les manœuvres de
stationnement, la hauteur de bordure est fixée selon l’endroit de son implantation.
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Trottoir : Les accotements dans une voie urbaine sans remplaces par les trottoirs dont la fonction n’a
est pas seulement d’assurer une certaine fluidité rapide des piétons mais aussi, les promenades des
gens ou admirer les expositions dans les vitrines.
Talus : est l’inclination qu‘on doit donner au terrain de part et d’autre de la plateforme pour éviter
l’éboulement (glissement) du terrain sur la chaussée en période hivernale. Il est selon la configuration
du T.N, soit déblai, soit remblai
Assiette : est la partie du terrain réservée au domaine public et qu’on doit acquérir pour la réalisation
du projet de voirie, celle-ci renferme en plus de l’assiette, une autre partie qui pourra servir le cas
échéant à l ”élargissement de la route ou à son exploitation emprise.
L’emprise : est la partie du terrain réservée au domaine public et qu’on doit acquérir pour la réalisation
du projet de voirie, celle-ci renferme en plus de l’assiette, une autre partie qui pourra servir le cas
échéant (à l’élargissement de la route ou à son exploitation emprise.
a) Dessiner la(les) profil(s) type(s) (chaussé et ses couches, bordure, trottoir et ses couches et talus s’il
est besoin sans oublier les parkings) :
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c) Calculer le projet.
• Remblais et déblais,
• Volume des couches utilisées dans la chaussé et le trottoir,
• Longueur en (ml) de bordure.
À cet effet, des réseaux d’assainissement ont été mis en place répondant à plusieurs exigences.
Ces réseaux sont, en général, de type gravitaires, l’effluent s’écoulant par gravité.
Les conduites sont calculées pour fonctionner en écoulement libre, elles ne sont pas conçues pour être
soumises à une circulation sous pression.
Le tracé des réseaux est étudié de manière à permettre l’écoulement et le rejet de l’effluent le plus
rapidement possible, sans occasionner de nuisances au voisinage (mauvaises odeurs …).
Le calcul des débits des collecteurs des eaux pluviales se fait selon la méthode de Caquot pour une
période de retour de 10 ans. Et les eaux usées se fait selon la consommation en eau potable.
Le calcul des débits est suivi par la détermination des diamètres des canalisations et la vérification des
conditions d’auto-curage.
Les réseaux d’assainissement collectif sont en général gravitaires, l’écoulement se fait donc
naturellement.
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Contrainte de niveau des réseaux par rapport aux habitations pour pouvoir collecter toutes les
habitations.
Ainsi que :
- La vitesse d’écoulement est 0.6m/s ≤ V ≤ 4m/s pour éviter le dépôt de matières fermentescibles ;
- L’enterrement des collecteurs à une profondeur min de 1.6 m pour EU et 1.4 pour EP.
Construire un réseau d’assainissement collectif et l’épuration des eaux usées avant le rejet coûte cher.
Les caractéristiques géologiques et topographiques des zones à urbaniser peuvent poser des problèmes
techniques difficiles à résoudre ou coûteux en investissement.
En cas de raccordement d’une zone d’urbanisation nouvelle avec des ouvrages existants, il faut vérifier
que les caractéristiques de ces ouvrages permettent de recevoir et de traiter le nouveau flux d’eaux
usées.
i. Définition :
Ce type de système permet d’évacuer simultanément les eaux pluviales et les eaux usées. Ils sont
pratiques, mais présentent quelques inconvénients dont un haut risque de débordement, voire
d’inondation en cas de pluies importantes ou persistantes.
Ces réseaux sont généralement équipés de déversoirs d’orage permettant en cas de pluie intense, le
rejet d’une partie des effluents dans le milieu naturel, soit directement, soit après un traitement
spécifique dans une station d’épuration, qui est conçue à la base d’un débit égal à deux jusqu’à trois le
débit d’eaux usées domestiques.
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1. Les avantages :
Les avantages du système unitaire résident dans trois facteurs :
Facteur économique : Un seul réseau au lieu de deux, ceci doit pourtant être nuancé par le fait que les
réseaux unitaires peuvent avoir des linéaires importants avec des tailles de tuyaux importantes.
2. Les inconvénients :
Les inconvénients du système unitaire sont liés à :
La nécessité de séparer à un endroit du réseau les débits des eaux usées et des eaux pluviales, afin de
limiter le débit en aval du réseau et à la STEP en temps d’orage, ce qui entraîne des problèmes de
pollution par le rejet d’une partie des eaux usées dans la nature
Le système séparatif consiste l’évacuation des eaux usées domestiques (eaux vannes et eaux
ménagères) et des eaux pluviales par deux réseaux différents.
Ce qui implique automatiquement que ce système est plus coûteux que le précèdent malgré l’avantage
de permettre un traitement efficace dans la station d’épuration en évitant d’introduire la charge
chimique entraînée par les eaux pluviales.
1. Les avantages :
Le système séparatif présente les avantages suivants :
• Il évite en principe tout rejet direct d’eau usée dans le milieu naturel.
• Réalise des économies sur les coûts de pompage.
• Réalise des économies considérables si la topographie permet le raccordement rapide des
collecteurs des eaux pluviales sur la nature.
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2. Les inconvénients :
Les inconvénients du système séparatif sont :
• Rejet dans le réseau des eaux pluviales d’une partie des eaux usées provenant des
opérations ménagères et des branchements illégaux des eaux usées sur le collecteur des
eaux pluviales ce qui entraîne une pollution du milieu naturel,
• Rejet dans le réseau des eaux usées d’une partie des eaux pluviales provenant des
branchements non conformes de descentes de gouttières dans le réseau des eaux usées et
des infiltrations d’eau parasite dans le réseau des eaux usées engendrant une surcharge
hydraulique de la station de pompage et d’épuration,
• Manque d’auto-curage,
• Occupe une place plus importante dans le profil transversal des rues.
1. Définition :
Dans ce système, une part des eaux pluviales provenant de la voirie est rejetée directement dans le
milieu naturel au moyen de caniveaux et de fossés. L’autre part, provenant des toitures et des cours
intérieures, est raccordée au réseau des eaux usées.
Un réseau unitaire collecte toutes les eaux quelle que soit sa provenance alors qu’un réseau pseudo
séparatif collecte seulement les eaux usées domestiques et une fraction des eaux pluviales issues des
terrasses et des cours des maisons.
C’est un réseau constitue selon les zones d’habitation, en partie système unitaire et en partie système
séparatif.
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Regard chute : ce sont des regards analogues aux regards de visite, seulement la chute est plus
importante, ce type de regard est prévu lorsque les canalisations sont disposées en forte pente, ce qui
entraîne des vitesses très importantes, la chute des effluents dans ces regards permet de briser la
vitesse d’écoulement.
Bouche d’égout : destinées à recueillir les eaux usées de la chausse, elles doivent être sélectives pour
permettre la retenue du maximum de déchets, elles sont généralement disposées sous le trottoir.
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Regard avaloir : ils sont généralement placés aux points bas des caniveaux destines à la collecte des
eaux de ruissellement depuis le caniveau jusqu’à l’égout.
Regards à grille : ce sont des regards de petites dimensions, couvert par une grille en fonte, il sert à
évacuer les eaux de ruissellement des parcs, allées piétonnes et des pelouses.
Regards de façade : ils sont utilisés pour les branchements particuliers, disposes plus près de la
façade de la propriété à raccorder.
Déversoirs d’orage : c’est un ouvrage en béton arme de section rectangulaire, sa fonction est
d’évacuer les pointes exceptionnelles de débit d’orage vers un milieu récepteur, en d’autres termes, il
est prévu pour soulager le réseau sanitaire en période d’orage.
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Les regards de visite doivent être implantés dans les singularités suivantes :
En alignement droit, la distance maximale entre les regards visites est d’environ 50m, Les regards de
visite à avaloir ou à grille doivent être implantés à tous les point bas et carrefours,
Dans le cas où les hauteurs de chute dépassent 0.80m, il faut prévoir des regards de visite doubles.
• Les voies d’emprise inférieure ou égale à 10m, les collecteurs des eaux usées et des eaux
pluviales doivent être implantés dans les axes des voies,
• Les voies d’emprise de 12 ou 15m, les collecteurs des eaux usées et des eaux pluviales doivent
être implantés dans le côté Nord et Est de ces voies (sous trottoir pour les collecteurs des eaux
pluviales et sous chaussée pour les collecteurs des eaux usées),
• Les voies d’emprise supérieure ou égale à 20m, les collecteurs des eaux usées et des eaux
pluviales doivent être implantés sous trottoir dans les deux côtés des voies.
• Les collecteurs de diamètres supérieurs ou égaux à 1000 mm doivent être implantés dans les
axes des voies.
Ce modèle de ruissellement est celui proposé par Albert CAQUOT en 1949. Dans sa forme originale,
ce modèle repose sur une expression mathématique globale qui le rend relativement plus facile pour
une application manuelle.
Les ouvrages d’assainissement pluviaux sont conçus généralement pour prévenir les inondations
provoquées par la pluie. Toutefois, le phénomène d’averses à un caractère plus ou moins exceptionnel
exprimé par sa fréquence de dépassement « F » ou sa période de retour
Tr = 1/F.
Q = K1/u. C1/u. I
v/u. Aw/u
Avec :
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Les paramètres a et b qui interviennent dans les relations ci-dessus appelés coefficients du Montana
sont en corrélation directe avec l’intensité maximale de la pluie dans une région. Ainsi, il est
préférable d’utiliser des paramètres locaux afin de mieux exprimer la réalité sur le terrain.
On définit l’allongement M comme étant le rapport entre le plus long cheminement hydraulique Lh est
la racine carrée de la surface équivalente du bassin.
𝐿
𝑀= ≥ 0,8
√𝐴
Avec :
La formule de Caquot a été établie pour M=2, si le coefficient M est différent de cette valeur la
formule doit être corrigée par un coefficient m appelé coefficient de correction.
Le débit ainsi calculé, est à corriger par un coefficient d'influence "m" dont la formule est la suivante :
𝟎,𝟖𝟒𝒃
𝑴
𝒎 = ( )𝟏+𝟎,𝟐𝟖𝟕𝒃 𝑸𝒄 = 𝒎. 𝑸𝒑
𝟐
La formule superficielle développée ci-avant est valable pour un bassin de caractéristiques physiques
homogènes. L'application du modèle à un groupement de sous-bassins hétérogènes avec des
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Paramètres individuels Aj, Cj, Ij, Lj (longueur du drain principal), Qpj (débit de pointe du bassin
considéré seul), nécessite l'emploi de formule d'équivalence pour les paramètres "A,C, I et M" du
groupement. Ces formules sont en "série" ou en "parallèle" sont exprimées ci-après :
Le logement équivalent dans le cas d’un groupement en parallèle prend en compte, pour la longueur
hydraulique de plus long parcours celle du bassin qui a le plus fort débit de point individuelle.
Le dimensionnement du collecteur consiste à trouver les diamètres des collecteurs, qui constituent le
réseau. Le calcul des débits d’assemblage des bassins versantes élémentaires et sur le calcul de la
vitesse et la vérification d’auro-curage. Pour cela on utilise le modèle de Manning Strickler.
𝑸 = 𝑲. 𝑹𝑎. 𝑰 𝟏/𝟐. 𝑺
Avec :
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𝑸 𝟒
𝑫=( ) 𝟏𝟏
𝑲 × √𝑰 × 𝟎, 𝟐𝟕𝟕𝟔𝟖
Avec :
• D : Diamètre en (m)
• Q : débit en (m3/s)
• K : coefficient de rugosité (k=100)
𝐶𝑎𝑚−𝐶𝑎𝑣
• I : la pente Hydraulique de l’ouvrage tel que : 𝐼 =
𝐿
La formule devient :
𝑸 𝟒
𝑫=( )𝟏𝟏
√𝑰 × 𝟐𝟕, 𝟕𝟔𝟖
iii. Vérification D’auto-curage :
Nous cherchons toujours à éviter le dépôt des matières solides transportées ou à faciliter leur reprise
dans les conduites. Cela se traduit par des limitations inferieures en vitesse moyenne d’écoulement
appelées ≪ conditions d’auto curage ≫. Pour assurer des conditions d’auto-curage dans les réseaux
d’assainissement, la vitesse d’écoulement pour l’un dixième du débit à pleine section doit être
supérieure ou égal à 0,6m/s. (V (1/10 Qps)>0.6m/s), Toutefois la vitesse doit rester inférieure à 4
m/s pour éviter les dégradations des joints et l’abrasion des conduites. Le calcul de vitesse effective
(vitesse d’auto-curage) dans les écoulements à surface libre ou dans les conduites partiellement
remplies se fait par les méthodes Suivante :
𝑽 = 𝑲 × 𝑹𝒉∞ × √𝑰
Avec :
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PARAMETRAGE :
1. Coefficients de ruissellement :
Les matériaux utilisés pour les conduites sont normalisés par LYDEC :
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AC (Amiante Ciment), séries 9000 (A3) et 12000 (A4), PVC (Poly Chlorure de Vinyle non plastifié), série A1
o BVA (Béton vibré armé) série 90A et 135A • les matériaux ci-dessous ne sont pas utilisés pour les conduites
:
• Béton comprimé
• Béton vibré non armé ;
• Béton coulé en place ;
• Ovoïde.
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a) Le plan de la voirie :
Au niveau d’un lotissement, le terme de la voirie désigne l’ensemble des voies de communication
comprises à l’intérieur du lotissement. Elle est représentée sur un plan qui expose les éléments
suivants :
b) Le calcul de M.N.T :
Un modèle numérique de terrain (MNT) est une représentation de la topographie d’une zone terrestre
sous une forme adaptée à son utilisation par un calcul numérique (ordinateur).
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Trace en plan des ouvrages : C’est l’établissement de la vue en plan du réseau, c’est-à-dire le
traçage en plan des collecteurs des éléments suivants :
• De la pente qui doit être limitée entre une valeur supérieure à 2/1000 et inférieure à 5/1000.
• Il faut aussi vérifier que les cotes canalisations des antennes sont plus hautes que les cotes des
canalisations principales.
• L’utilité des profils en long réside dans le renseignement qui donne, notamment les
profondeurs. Des regards, les cotes de projet et la pente qui est un élément important dans le
dimensionnement de réseau d’assainissement.
• Il faut toujours respecter une profondeur de recouvrement de 0.8m à 1m au minimum
• Voir l’annexe N5
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Voir l’annexe N9
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Conclusion :
Suite aux développements présentés tout au long de mon travail, L’élaboration d’un projet de voirie et
d’assainissement n’est pas une chose aisée, comme s’apparu dès la première vue, il se fait en plusieurs
étapes et demande beaucoup de temps et d’expérience. Le stage que j’ai effectué a été une occasion
pour étudier chaque étape et bien mieux parfaire mes connaissances au niveau des logiciels
d’application comme AUTOCAD, COVADIS, …. Le secteur des infrastructures en général et la voirie
et réseaux divers en particulier sont en évolution constante et en raison de leur importance dans notre
société nous devons en tant que techniciens être plus curieux et plus analytiques en vue de garantir une
étude cohérente et participer à la promotion de ce secteur très promoteur. Il est certain que ce stage a
été une bonne occasion d’apprendre. De concrétiser les acquis théoriques et de confronter les
problèmes réels et d’avoir un important échange d’informations et d’opinons avec le personnel.
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LES ANNEXES
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Annexe N1 :
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Annexe 2 :
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Annexe 3 :
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