Questions 1/ Quel est le nombre de décès annuels par asthme aigu grave en France ? A - moins de 100 B - environ 500 C - environ 2 000 D - environ 5 000 E - plus de 10 000 2/ Vous recevez un patient pour asthme aigu aux urgences. Quels sont les facteurs de risque d'asthme aigu grave que vous recherchez ? A - asthme dans un contexte allergique B - hospitalisation pour asthme dans l'année précédente C - intolérance à l'aspirine et aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) D - asthme diagnostiqué dans la petite enfance E - consultation pour asthme aigu le mois précédent 3/ Vous examinez un patient en crise d'asthme aux urgences. Quels signes cliniques de gravité devez-vous rechercher ? A - sueurs profuses B - fréquence respiratoire > 30/min C - orthopnée D - pouls paradoxal > 20 mmHg E - difficultés à parler 4/ Un asthmatique de 30 ans, de taille 1, 85 m, est examiné aux urgences pour une exacerbation évoluant depuis 3 jours. Il ne présente pas d'orthopnée et est capable de faire des phrases courtes. Sa valeur de débit expiratoire de pointe (DEP) est de 200 l/min, manoeuvre correctement effectuée. À votre avis, s'agit-il ? A - d'une crise d'asthme simple B - d'une exacerbation sévère C - d'un asthme aigu grave D - d'une exacerbation légère E - d'une crise simple prolongée 5/ Les β2 agonistes, administrés par voie inhalée, ont une action bronchodilatatrice nette après : A - 3 à 5 minutes B - 15 à 20 minutes C - 30 à 40 minutes D - 60 à 90 minutes E - 4 à 6 heures 6/ Les corticoïdes administrés par voie intraveineuse ont un effet sur l'obstruction bronchique net après : A - 3 à 5 minutes B - 15 à 20 minutes C - 30 à 40 minutes D - 60 à 90 minutes E - 4 à 6 heures
Réponses 1/ Quel est le nombre de décès annuels par asthme aigu grave en France ? La réponse est : C. La mortalité par asthme aigu grave est stable, autour de 2 000 par an depuis plusieurs années. 2/ Vous recevez un patient pour asthme aigu aux urgences. Quels sont les facteurs de risque d'asthme aigu grave que vous recherchez ? Les réponses sont : B, C, E. Les crises d'asthme d'origine médicamenteuse sont souvent explosives et graves. 3/ Vous examinez un patient en crise d'asthme aux urgences. Quels signes cliniques de gravité devez-vous rechercher ? Les réponses sont : A, B, C, E. La présence de sueurs profuses témoigne, a priori, d'une hypercapnie habituellement associée à un volume expiratoire maximal/seconde (VEMS) < à 25 % de la théorique. La polypnée témoigne de l'impossibilité de réaliser des expirations prolongées, par contraction des muscles abdominaux, et annonce l'épuisement respiratoire. La mesure du pouls paradoxal, difficile à réaliser, ne fait pas partie des recommandations. 4/ Un asthmatique de 30 ans, de taille 1, 85 m, est examiné aux urgences pour une exacerbation évoluant depuis 3 jours. Il ne présente pas d'orthopnée et est capable de faire des phrases courtes. Sa valeur de débit expiratoire de pointe (DEP) est de 200 l/min, manoeuvre correctement effectuée. À votre avis, s'agit-il ? La réponse est : C. La valeur mesurée du DEP doit être rapportée à la valeur prédite, dépendante du sexe, de l'âge et de la taille du sujet. Dans le cas présent (homme jeune et grand), la valeur prédite se situe autour de 630 l/min. Il s'agit donc probablement d'un asthme aigu grave quelle que soit la durée d'évolution de la crise. 5/ Les β2 agonistes, administrés par voie inhalée, ont une action bronchodilatatrice nette après : La réponse est : A. Les β2 agonistes sont les bronchodilatateurs les plus puissants et les plus rapides. 6/ Les corticoïdes administrés par voie intraveineuse ont un effet sur l'obstruction bronchique net après : La réponse est : E. L'action des corticoïdes est différée de 4 à 6 heures, aussi bien avec la voie intraveineuse qu'avec la voie orale. La voie intraveineuse n'est pas obligatoire et souvent inutile.
Définitions et classifications des bronchopneumopathies chroniques obstructives Questions 1/ Parmi les éléments suivants concernant la bronchite chronique, l'un est inexact : A - elle résulte de l'hypersécrétion chronique ou récidivante de mucus B - elle est à l'origine d'une expectoration au moins 3 mois par an pendant au moins 2 années consécutives C - elle ne peut être la conséquence d'une affection cardiaque D - elle ne peut être la conséquence de bronchiectasies E - elle est une des manifestations de la BPCO 2/ Parmi les propositions suivantes, laquelle n'autorise pas le diagnostic de BPCO ? A - la diminution du VEMS B - la diminution du rapport VEMS/CV C - la diminution du rapport VEMS/CVL D - la diminution du rapport VEMS/CVF E - l'inhalation préalable de bronchodilatateur avant le test 3/ Parmi les caractéristiques concernant le syndrome ventilatoire obstructif, quelle est la réponse inexacte ? A - il ne peut être diagnostiqué que par la spirométrie B - il résulte d'une maladie des petites voies aériennes C - il résulte d'une destruction parenchymateuse D - il est défini par un rapport VEMS/CV < 70 % E - il est toujours dû au tabagisme. 4/ Parmi les propositions suivantes concernant l'emphysème, indiquez celle qui est erronée : A - c'est une augmentation au-delà de la normale de la taille des espaces aériens distaux aux bronchioles terminales avec une destruction de leurs parois B - il existe deux types d'emphysème dans la BPCO C - l'emphysème panlobulaire est le plus fréquent D - l'emphysème panlobulaire atteint toutes les structures de l'acinus E - l'emphysème panlobulaire est à l'origine d'une hypoxémie précoce lors des exercices 5/ Parmi les étiologies possibles des BPCO, l'une n'est pas fondée : A - le tabagisme B - la pollution par des fumées de matières végétales C - la pollution par des fumées de fuels D - la pollution atmosphérique urbaine E - le déficit en alpha-1-antitrypsine 6/ Parmi les propositions suivantes, laquelle correspond à une BPCO grave ? A - VEMS/CVF < 70 % ; VEMS > 80 % de la valeur théorique B - VEMS/CVF < 70 % ; 50 % ≤ VEMS < 80 % de la valeur théorique C - VEMS/CVF < 70 % ; 30 % ≤ VEMS < 50 % de la valeur théorique D - VEMS/CVF < 70 % VEMS < 30 % de la valeur théorique E - VEMS < 50 % de la valeur théorique et insuffisance respiratoire chronique 7/ Parmi les éléments suivants, quel est celui qui n'intervient pas dans le calcul de l'index de Bode ? A - VEMS (%) B - distance parcourue en 6 minutes (m) C - dyspnée (échelle MRC) D - IMC (kg/m2) E - l'âge (ans)
Réponses 1/ Parmi les éléments suivants concernant la bronchite chronique, l'un est inexact : La réponse est : E 2/ Parmi les propositions suivantes, laquelle n'autorise pas le diagnostic de BPCO ? La réponse est : A 3/ Parmi les caractéristiques concernant le syndrome ventilatoire obstructif, quelle est la réponse inexacte ? La réponse est : E 4/ Parmi les propositions suivantes concernant l'emphysème, indiquez celle qui est erronée : La réponse est : C 5/ Parmi les étiologies possibles des BPCO, l'une n'est pas fondée : La réponse est : D 6/ Parmi les propositions suivantes, laquelle correspond à une BPCO grave ? La réponse est : C 7/ Parmi les éléments suivants, quel est celui qui n'intervient pas dans le calcul de l'index de Bode ? La réponse est : E
Facteurs étiologiques et épidémiologie des bronchopneumopathies chroniques obstructives (BPCO) Questions 1/ Parmi les facteurs suivants, citez ceux retrouvés comme prédictifs de la mortalité chez les patients BPCO : A - la sévérité de l'obstruction B - l'état nutritionnel (IMC) C - la capacité à l'exercice par le test de marche de 6 minutes D - la sévérité de la dyspnée (index BODE) E - les comorbidités associées 2/ Que retrouve-t-on parmi les principaux facteurs de risque de la BPCO ? A - le tabagisme actif B - les facteurs influant sur la fonction respiratoire au cours de l'enfance C - les expositions professionnelles D - les infections E - l'état nutritionnel 3/ Parmi les traitements prescrits dans la BPCO, quels sont ceux ayant démontré un effet sur la survie ? A - l'arrêt du tabac B - l'oxygénothérapie C - les bronchodilatateurs D - la corticothérapie E - la kinésithérapie respiratoire
Réponses 1/ Parmi les facteurs suivants, citez ceux retrouvés comme prédictifs de la mortalité chez les patients BPCO : Les réponses sont : A, B, C, D 2/ Que retrouve-t-on parmi les principaux facteurs de risque de la BPCO ? Les réponses sont : A, B, C, D 3/ Parmi les traitements prescrits dans la BPCO, quels sont ceux ayant démontré un effet sur la survie ? Les réponses sont : A, B
Sarcoïdose Questions 1/ La sarcoïdose est : A - consécutive à l'inhalation de béryllium B - une maladie héréditaire à transmission autosomique dominante C - une affection systémique d'étiologie indéterminée caractérisée par la formation de granulomes immunitaires dans les organes atteints 2/ Quelles sont les particularités concernant les granulomes de la sarcoïdose ? A - présence au niveau de plusieurs organes B - mise en évidence par biopsies perendoscopiques bronchiques dans plus de 60 % des cas C - présence possible de nécrose fibrinoïde D - présence possible de nécrose caséeuse E - présentation sphérique avec délimitation nette 3/ Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont exactes à propos de la sarcoïdose ? A - la radiographie de thorax est anormale dans plus de 85 % des cas B - l'élévation du dosage sérique de l'enzyme de conversion de l'angiotensine I est spécifique de la sarcoïdose C - il est établi que la cause de la sarcoïdose est Propionibacterium acnes D - son incidence est augmentée chez les membres de la famille des cas index touchés par la sarcoïdose E - elle est ubiquitaire 4/ Les propositions suivantes concernant le traitement de la sarcoïdose sont-elles exactes ? A - la corticothérapie générale lorsqu'elle est indiquée doit être prescrite pour une durée minimale de douze mois B - le thalidomide est proposé en cas de localisation pulmonaire sévère devant un échec des corticoïdes généraux C - le méthotrexate est contre-indiqué en cas d'alcoolisme chronique non contrôlé D - le méthotrexate est proposé en cas d'échec ou de mauvaise tolérance des corticoïdes E - en cas de bloc auriculoventriculaire complet, il faut proposer un entraînement électrosystolique et une corticothérapie générale
Réponses 1/ La sarcoïdose est : La réponse est : C 2/ Quelles sont les particularités concernant les granulomes de la sarcoïdose ? Les réponses sont : A, B, C, E 3/ Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont exactes à propos de la sarcoïdose ? Les réponses sont : A, D, E 4/ Les propositions suivantes concernant le traitement de la sarcoïdose sont-elles exactes ? Les réponses sont : A, C, D, E
Pneumopathies interstitielles diffuses idiopathiques Questions 1/ La fibrose pulmonaire idiopathique : A - est la plus fréquente des pneumopathies interstitielles idiopathiques B - peut comporter un aspect histopathologique de pneumopathie interstitielle commune ou de pneumopathie interstitielle non spécifique C - nécessite toujours une biopsie vidéochirurgicale pour établir le diagnostic D - débute habituellement entre 50 et 70 ans E - évolue vers l'insuffisance respiratoire chronique avec une médiane de survie de 3,5 ans 2/ Une efficacité sur la survie a été démontrée au cours de la fibrose pulmonaire idiopathique pour les traitements suivants : A - pirfénidone B - ciclophosphamide C - azathioprine D - N-acétyl-cystéine E - aucun des traitements ci-dessus 3/ Les éléments suivants appartiennent aux critères du diagnostic tomodensitométrique de la fibrose pulmonaire idiopathique : A - opacités réticulaires à prédominance sous-pleurale B - prédominance aux bases C - plages de condensation alvéolaire D - images microkystiques sous-pleurales en « rayon de miel » E - Opacités en verre dépoli 4/ Un aspect histopathologique de pneumopathie interstitielle non spécifique peut se rencontrer au cours des contextes étiologiques suivants : A - sclérodermie systémique B - myopathie idiopathique inflammatoire C - syndrome de Gougerot-Sjögren D - prise médicamenteuse E - exposition à l'amiante 5/ Parmi les affections suivantes, quelles sont celles qui sont considérées comme liées au tabagisme : A - pneumopathie interstitielle non spécifique B - pneumopathie interstitielle desquamative C - pneumopathie organisée cryptogénique D - bronchiolite respiratoire avec pneumopathie interstitielle E - pneumopathie interstitielle aiguë
Réponses 1/ La fibrose pulmonaire idiopathique : Les réponses sont : A, D et E 2/ Une efficacité sur la survie a été démontrée au cours de la fibrose pulmonaire idiopathique pour les traitements suivants : La réponse est : E 3/ Les éléments suivants appartiennent aux critères du diagnostic tomodensitométrique de la fibrose pulmonaire idiopathique : Les réponses sont : A, B et D 4/ Un aspect histopathologique de pneumopathie interstitielle non spécifique peut se rencontrer au cours des contextes étiologiques suivants : Les réponses sont : A, B, C et D 5/ Parmi les affections suivantes, quelles sont celles qui sont considérées comme liées au tabagisme : Les réponses sont : B et D
Tuberculose résistante Questions 1/ Définition de la tuberculose ultrarésistante (OMS révisé en octobre 2006) : A - résistance à l'isoniazide + rifampicine B - résistance à au moins cinq antituberculeux C - MDR + résistance à un injectable et aux fluoroquinolones D - résistance à l'isoniazide + rifampicine + trois médicaments de deuxième ligne 2/ L'incidence mondiale de la tuberculose multirésistante est évaluée à : A - 200 000 B - 400 000 C - 700 000 D - 1 000 0000 3/ Les résultats des méthodes de cultures du BK en milieu liquide : A - sont obtenus en 4 à 6 semaines B - sont obtenus en 8 à 10 jours C - permettent de déterminer la sensibilité aux substances de deuxième ligne D - il existe plus de faux sensibles et de faux résistants pour l'éthambutol et la streptomycine par rapport à la méthode de référence E - ces méthodes sont peu coûteuses et de réalisation aisée dans les pays aux ressources limitées 4/ Un diagnostic moléculaire rapide et fiable est possible par la détection de gènes associés aux principales résistances : A - pour la rifampicine et l'isoniazide directement sur un prélèvement positif au direct B - par hybridation sur bandelettes pour la rifampicine avec l'innolipa RifTB C - la mutation sur l'inhA est responsable d'une résistance de bas niveau à l'isoniazide croisée avec une résistance à l'éthionamide D - la mutation du gène pncA est responsable de la résistance à l'éthambutol E - les mutations des gènes GyrA et GyrB sont responsables de la résistance aux fluoroquinolones 5/ Quel protocole doit être utilisé en attendant les résultats du deuxième antibiogramme ? A - pyrazinamide B - éthambutol C - amikacine D - fluoroquinolone E - PAS F - éthionamide G - cyclosérine H - linézolide I - capréomycine 6/ Quelle est la durée habituelle de traitement d'une tuberculose multirésistante ? A : 12 mois B : 18 mois dont 1 mois d'aminoside ou apparenté C : 18 mois dont au moins 12 mois après la négativation des cultures D : 24 mois dont 6 mois d'aminoside ou apparenté 7/ Concernant les aminosides apparentés : A - la streptomycine est à utiliser en première intention compte tenu du peu de résistance de Mycobacterium tuberculosis à cet antibiotique B - la résistance bacillaire n'est pas croisée entre la streptomycine et les autres aminosides C - la résistance à la kanamycine n'est habituellement pas croisée à celle de l'amikacine D - leur toxicité cochléovestibulaire est en relation avec l'accumulation de la substance dans les liquides labyrinthiques E - l'insuffisance rénale avec lésions des cellules tubulaires proximales est irréversible sous aminosides 8/ Concernant les fluoroquinolones : A - l'effet bactéricide des fluoroquinolones est dû à leur liaison à l'ADN gyrase B - la résistance de classe n'est pas complète avec l'ensemble des fluoroquinolones C - les fluoroquinolones ont une activité bactéricide précoce vis-à-vis de Mycobacterium tuberculosis, mais inférieure à celle de l'isoniazide D - la résistance aux fluoroquinolones se développe lentement E - les principaux effets secondaires sont les troubles neuropsychiatriques, des atteintes tendineuses, des troubles cardiaques et la photosensibilisation cutanée 9/ Concernant l'éthionamide : A - l'éthionamide comme l'isoniazide est un dérivé de l'acide nicotinique inhibant la synthèse de l'acide mycolique B - l'éthionamide à haute concentration tissulaire est bactéricide vis-à-vis de Mycobacterium tuberculosis C - il diffuse bien dans tous les organes y compris le LCR D - il diminue la neurotoxicité de la cyclosérine E - associé au PAS, il majore les risques de dysthyroïdie et d'hépatotoxicité 10/ Citez les médicaments nécessitant des précautions d'emploi en cas d'insuffisance rénale : A - isoniazide B - pyrazinamide C - éthambutol D - cyclosérine E - éthionamide 11/ Citez les médicaments à utiliser avec précaution en cas de troubles psychiatriques : A - isoniazide B - pyrazinamide C - cyclosérine D - fluoroquinolones E - PAS
Réponses 1/ Définition de la tuberculose ultrarésistante (OMS révisé en octobre 2006) : La réponse est : C 2/ L'incidence mondiale de la tuberculose multirésistante est évaluée à : La réponse est : B 3/ Les résultats des méthodes de cultures du BK en milieu liquide : Les réponses sont : B, C, D 4/ Un diagnostic moléculaire rapide et fiable est possible par la détection de gènes associés aux principales résistances : Les réponses sont : A, B, C, E 5/ Quel protocole doit être utilisé en attendant les résultats du deuxième antibiogramme ? Les réponses sont : D, E, F, G, I ou A, D, E, F, G, I 6/ Quelle est la durée habituelle de traitement d'une tuberculose multirésistante ? Réponse : C 7/ Concernant les aminosides apparentés : Les réponses sont : B, D 8/ Concernant les fluoroquinolones : Les réponses sont : A, C, E 9/ Concernant l'éthionamide : Les réponses sont : A, B, E 10/ Citez les médicaments nécessitant des précautions d'emploi en cas d'insuffisance rénale : Les réponses sont : toutes les réponses sont justes. 11/ Citez les medicaments à utiliser avec précaution en cas de troubles psychiatriques : Les réponses sont : A, C, D