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Jorge Edgar Zambrana Jiménez

Le SILALA n'a jamais été une rivière transfrontalier.


L'Ingénieur soutient qu'il n'y a jamais eu quelque rivière naturelle dans
cette zone désertique ; les eaux jaillissent, inondent en flaques et
s'évaporent.;
ils ne coulent pas vers le Chili ni au-dessus ni sous terre.
Dans la région de Quetena, il n'y a pas d'eau pour former une rivière.
23/avril/2022  

Le bassin de Silala est un système hydrographique stagné, situé dans les hautes
terres de la Bolivie, presque à la frontière avec le Chili.
Le Silala a été et y est une colline, il n'a jamais été une rivière
transfrontalier. C'est une colline au pied de laquelle se trouvent
les réservoirs stagnés d'eau Quetena canalisés artificiellement et
clandestinement par les ingénieurs de la compagnie chilienne
'Bolivian Railway' pour soustraire puis revendre la ressource en
eau à tout le nord du Chili, à sa compagnie minière de cuivre
(Chuquicamata) et à la population de consommateurs, à un prix
commercial au profit d'hommes d'affaires chiliens corrompus, qui
sont soutenus par l'intervention du gouvernement chilien,
explique l'ingénieur Jorge Edgar Zambrana Jiménez.

En 1908, la préfecture de Potosí a accordé la concession pour


l'utilisation de l'eau du bofedal de Silala à The Antofagasta and
Bolivia Railway Company Limited, dans le but d'assurer son
approvisionnement pour l'exploitation du chemin de fer dans le
tronçon entre Antofagasta et Oruro ; pour cela ils ont commencé
à construire des canaux de terre artificiels pour capter les dépôts
aquifères. Ensuite, l'appétit de l'entreprise a été aiguisé et elle a
commencé à commercialiser l'eau sans l'autorisation de la Bolivie.

Au milieu du XXe siècle, les locomotives à vapeur ont cessé de


fonctionner et ont cédé la place aux locomotives diesel qui
n'utilisaient pas d'eau, mais l'utilisation clandestine de l'eau du
bofedal ne s'est pas arrêtée.

Après avoir remplacé les locomotives, l'entreprise anglo-chilienne


a continué et s'est développée avec la construction, cette fois
arrogante, de canaux de chaux et de pierre, de tuyaux et de
canals, augmentant la vente d'eau aux consommateurs chiliens
dans les villes voisines.

Évidemment, cela n'était pas prévu dans la concession d'origine,


et par conséquent le contrat de concession de 1908 en faveur de
cette société était nul et non avenu ; mais une fois de plus
l'intelligence de la géopolitique chilienne s'est déplacée pour
anticiper les faits et, comptant sur le silence complice des
autorités boliviennes, a augmenté la soustraction aveugle des
eaux.
Le problème n'est pas seulement juridique mais de bon sens.
En fait, si la « rivière Silala » inventée est internationale, comme
le soutient mensongèrement le ministère chilien des affaires
étrangères, pourquoi on a demandé à la Bolivie la concession de
ses eaux, au lieu de les utiliser directement après qu'elles aient
soi-disant traversé la frontière ?

IL N'Y A PAS DE RIVIÈRE NATURELLE


Il n'y a jamais eu de rivière naturelle dans cette zone désertique,
les eaux jaillissent, inondent en flaques et s'évaporent. Ils ne
coulent pas vers le Chili ni au-dessus ni au-dessous du sol. Il ne
pleut jamais sur le site ; par conséquent, il n'y a aucune
possibilité de formation d'aquifères souterrains pour recharger la
zone. Il n'y a pas d'infiltration ou d'écoulement de la surface du
sol pour provoquer un mouvement descendant de l'eau. Par
conséquent, dans la région de Quetena, il n'y a pas d'eau pour
former une rivière ; seules des eaux immobilisées existent depuis
dix mille ans au sein des sommets.
Cette eau émerge à 4 300 mètres à la surface du bofedal (pré
d'eau avec végétation), dans un terrain de 11 hectares
exclusivement sur le sol bolivien, eau qui ne peut être utilisée
qu'une seule fois car elle n'a pas d'eau de recharge. Tôt ou tard,
ils vont s'épuiser complètement.
Les zones humides de la Quetena, situées à différentes hauteurs
et à divers endroits de la région, montrent que l'eau n'est pas
suffisante pour couler naturellement à la surface, et met plus de
temps à affleurer qu'à s'évaporer.

Or, les Chiliens mentent que les eaux atteignent la côte chilienne
par la surface. Et cela les a amenés à voler, à travers des canaux
et des tuyaux artificiels clandestins, notre eau pure et propre de
la Quetena, envahissant la région en toute impunité et faisant
croire à tout le monde, y compris nos délégués à La Haye, qu'il y
a une "frontière fluviale" appelé par eux "rivière silala".

Pour plus d'explications sur l'inexistence d'une rivière naturelle


inventée appelée Silala par les Chiliens, vous pouvez consulter le
rapport complet de l'ingénieur bolivien Antonio Bazoberry : "Le
mythe de Silala", dans lequel il est scientifiquement prouvé
qu'une telle rivière n’a jamais existé. De plus, le livre « El Silala
n'est pas un fleuve » de l'Union nationale des défenseurs des
ressources naturelles de Bolivie a amplement démontré que le
Silala est une zone humide, et un tel fleuve inventé par le Chili
n'a jamais existé.
D'autre part, l'illustre chercheur chilien Dr Cástulo Martínez a écrit
son livre "Las Aguas del Silala", dans lequel il raconte l'histoire de
la façon dont deux entreprises chiliennes, l'une publique et l'autre
privée, menacent la souveraineté de la Bolivie en asséchant les
eaux du bofedal Quetena, mal appelé Silala, sans que les
militaires boliviens paraissent remplir leur mission de protection.

Les eaux du bofedal Quetena sont canalisées de la manière


suivante : 94 sources d'eau qui sont captées par des gouttières
clandestines construites en chaux et en pierre qui vident l'eau
dans un canal central, qui, faisant un parcours de 2 500 mètres ,
rencontre un autre canal similaire qui transporte l'eau d'autres
sources proches de la frontière, sur le territoire bolivien.
Les deux canaux provenant des deux zones des pentes se
rejoignent dans un canal central formant un flux considérable qui
se connecte à une boîte à eau appelée la première prise ou
dessableur, qui est située en Bolivie, dans le ravin de la colline de
Silala, à 600 mètres de la frontière. . Le dit canal qui alimente
cette boîte à eau a une profondeur de 1,30 mètre et une largeur
de 1,20 mètre.
De cette première prise vient un tuyau central de 12 pouces qui
traverse la frontière et parcourt 10 kilomètres sur le territoire
chilien jusqu'à une deuxième prise où l'eau est stockée et est
ensuite acheminée par des tuyaux de distribution pour fournir le
précieux élément aux villes et villages du Chili, Calama,
Antofagasta, Mejillones et Tocopilla, et principalement à la mine
de Chuquicamata pour que le Chili puisse continuer à exploiter le
cuivre qu'il a usurpé à la Bolivie.
On n'a jamais vu au monde qu'il y ait une rivière
dans des canalisations et tuyauterie, et ils veulent
faire croire cela à la Cour de La Haye.
Cour Internationale de Justice
Palais de la Paix
Carnegieplein 2
2517 KJ La Haye
Pays-Bas

Différend concernant le statut et l'utilisation des eaux


canalizées artificielment ‘Silala’

Chers Messieurs, 
ON VOUS ENVOI LA LETTRE EN RECLAME POR QUE VOUS POUVEZ
INTERVENIR DANS CETTE AFFAIRE. IL FAUT DÉNONCER CE QUI SE
PASSE AVEC LE GOUVERNEMENT CHILIEN CORROMPU, AGRESSIF
ET BANDIQUE, QUI VEUT QUE LE MONDE ENTIER CROIT QUE
L'EAU QU'ILS ONT DÉRIVÉE ET VOLENT, PAR DES TUYAUX ET DES
CANAUX ARTIFICIELS DANS LE TERRITOIRE BOLIVIEN DU
BOFEDAL SILALA, DIT C'EST UNE RIVIÈRE NATURELLE.

RECEVEZ MES SALUTATIONS EMPRESSÉES.

VOTRE TOUT DEVOUÉ,


ING. JORGE E. ZAMBRANA
INGENIEUR CIVIL DE LA BOLIVIE

LES EAUX ‘SILALA’


‘SILALA’ A ÉTÉ TOUJOURS UNE COLLINE. IL N'A JAMAIS ÉTÉ UNE
RIVIÈRE TRANSFRONTALIÈRE. C’EST UNE COLLINE AU PIED DE
LAQUELLE SONT LES DÉPÔTS ‘QUETENA’ D'EAU CANALISÉS
ARTIFICIELMENT PAR LES INGÉNIEURS DE LA SOCIÉTÉ DES
CHEMINS DE FER CHILIENS POUR VOLER ET DONNER LA
RESSOURCE EN EAU À TOUT LE NORD DU CHILI, À SES
ENTREPRISES MINIÈRES CHUQUICAMATA, POUR UN PRIX
COMMERCIAL AU PROFIT DES ENTREPRISES CHILIENNES.

Jamais une rivière naturelle a existé dans cette zone


désertique. Les eaux germent, se regroupent et
s'evaporent. Elles ne découlent au chili ni au-dessus ni par
sous-sol. Il ne pleut pas, jamais, sur le site.
Par conséquent, il n'y a aucune possibilité de formation de
recharge aquifère souterraine dans la région.
Il n'y a pas de filtration de l'eau à partir de la surface du
sol qui génère le mouvement vers le bas, de l'eau.
Par conséquent, dans la région de Quetena, il n'y a pas
d'eau pour former des eaux souterraines rechargeables;
Il n'y a que des eaux profondes immobilisées qui ne
peuvent être utilisées qu'une seule fois car elles n'ont pas
d'eau de recharge. Elles vont s’épuiser complètement plus
tôt que tard.

Debout sur ce qu'on appelle le nord du Bofedal Quetena,


je pouvais clairement comprendre que les eaux ‘Silala’
sont des BOFEDALES (prairies d'eau végétalisées,
retenues d'eau naturelles) dans le sol bolivien et drainées
artificiellement par le Chili. Ils correspondent exactement à
94 "yeux d'eau" qui jaillissent du profondeurs de la terre.
Après que les Chiliens ont envahi le site pour voler cette
eau, vous pouvez voir in situ les tranchées tracés par les
sociétés minières d'Atacama, qui dirigent chaque petit
BOFEDAL vers un canal de ciment artificiel qui est ensuite
dirigé jusqu'à ce qu'il soit perdu dans le sol chilien.

ON VOIT LE SOLDAT CHILIEN ENVAHISSEUR SUR LE CANAL DE CIMENT


ARTIFICIEL
CANALISATION TOUTE-PUISSANTE FAITE PAR LES CHILIENS POUR
VOLER LES EAUX

J'ai continué à traverser la frontière, et quelle ne serait pas


ma surprise de trouver des tuyaux conçus pour acheminer
clandestinement de l'eau du côté bolivien au Chili.

Certaines de ces canalisations sont nées dans le lit


complètement sec de lagunes mortes il y a des dizaines
d'années, sans que les Boliviens eux-mêmes, leurs
gouvernements ou les militaires n'aient la moindre idée
que les chiliens avaient jamais volé cette eau.
Ce tuyau construit de faςon clandestine par Chili, est une des
preuves de la canalisation artificielle des eaux ‘Silala’ pour un
usage illégal et tout-puissant pour voler et donner la ressource
en eau à tout le nord du Chili, à ses entreprises minières
Chuquicamata, pour un prix commercial au profit des
entreprises chiliennes.
Des entreprises chiliennes, depuis 1879, ont envahi la
région et envoyé des travailleurs, à la fois pour
l'installation des tuyaux et pour leur entretien, ainsi que de
construire les canaux qui sont nettoyés périodiquement
pour éviter que la végétation qui y pousse puisse réduire
le débit du flux de l’eau volé.

ON PEUT VOIR LE DRAPEAU CHILIEN PEINT DE FAÇON CLANDESTINE


SUR LE TERRAIN BOLIVIEN DU SILALA

La Cour Internationale de Justice, viendrez-vous ici en


Bolivie et ferez-vous des études scientifiques pour faire
voire au monde quelle est la vérité ? ; ou on émettra un
décret prévaricateur contre la Bolivie, comme vous l’avez
déjà fait dans le cas du droit de la mer ?
Recevez mes salutations empressées. Je vous en supplie
votre réponse. Merci beaucoup.

Jorge Edgar Zambrana Jiménez


Ingénieur Civil

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