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Rapport du TP
Élaboré par :
Mariam MAATOUG
Ilyes JAOUADI
5 Conclusion 11
1
Table des figures
1 Poutre en flexion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
2 les fonction d’Hermite et leurs dérivées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
3 la fonction kele . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
4 la fonction fele . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
5 Teste de création de matrice de rigidité avec kele . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
6 Teste de création de vecteur élémentaire avec fele . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
7 la fonction k : Assemblage de la matrice de rigidité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
8 la fonction f : Assemblage du vecteur force . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
9 la fonction ’el’ qui prépare les vecteurs U et Q . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
10 Teste d’assemblage de la matrice de rigidité k . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
11 Teste d’assemblage du vecteur Force avec f . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
12 La fonction Résoudre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
13 Comparaison avec la théorie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
14 Déformation de la poutre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
15 La fonction des variables secondaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
16 Code des efforts et des moments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
17 les courbes des efforts et des moments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2
1 But du TP
Le but de ce TP est de construire un script qui permet de calculer la matrice de rigidité élémentaire
d’une poutre en exion en utilisant des élément d’Hermite à deux n÷uds. Avec E = 200 GPa, IGz=29106
m4, h = 150 mm, L = 1 m, F0=100 N, q0 = 2 :4 kN/m Dans le repère global l’élément e est de longueur
he et il est localisé par les positions xe 1 pour le noeud 1 et xe 2 pour le noeud 2.
on utilise les fonctions de forme d’Hermite P3 calculées dans le TP1 sous la forme suivante
3x̄2 2x̄3
ψ1e (x̄) = 1 − + 3
h2e he
2x̄ 2 x̄3
ψ2e (x̄) = x̄ − + 2
he he
3x̄ 2 2x̄ 3
ψ3e (x̄) = 2 − 3
he he
x̄2 x̄3
ψ4e (x̄) = − + 2
he he
3
Figure 2 – les fonction d’Hermite et leurs dérivées
Après implémenter les fonctions de forme et leurs dérivées, nous allons écrire le script permettant de
déterminer la matrice de rigidité. Dans le repère local où x varie entre 0 et he , les éléments du matrice
K sont définit par :
Z he
′′ ′′
Kij = E(x̄)IGZ (x̄)Ψei (x̄)Ψej (x̄)dx̄
0
Le script permettant d’implémenter cette matrice est au-dessous :
4
Figure 4 – la fonction fele
5
L
· · · = hnh = nh . Les nœuds sont donc situés aux positions :
L
xi = (i − 1) , i = 1, . . . , nh + 1 (1)
nh
- Un maillage variable à éléments d’Hermite P3 avec nh éléments dont les nœuds sont situés aux
positions :
L i−1
xi = 1 − cos π , i = 1, . . . , nh + 1 (2)
2 nh
Pour les efforts, la poutre est soumise à une force F0 à son extrémité mais elle n’est pas soumise à
un moment donc Ty (L) = F0 et Mf z (L) = 0
En plus on a l’équilibre des efforts et des moments dans les nœuds intérieurs : Qe3 + Qe+1 1 = Efforts
extérieurs suivant y au noeud e + 1 = 0 Qe4 + Qe+1 2 = Moments extérieurs autour de z au noeud
1 1
T
e + 1 = 0 finalement {Q} = Q1′ , Q2′ 0, 0, . . . , 0, 0, F0′ 0
6
Figure 8 – la fonction f : Assemblage du vecteur force
7
Figure 11 – Teste d’assemblage du vecteur Force avec f
Comme nous avons fait l’assemblage de la matrice de rigidité et du vecteur force globaux en utilisant
deux maillages possibles pour la poutre en question, alors le calcul du vecteur déplacement s’effectue
en deux maillages. Le code suivant permet de résoudre le probléme ci-dessus :
4.2 Post-traitement
Afin de comparer les résultats obtenus avec la méthode d’éléments finis et celle théorique donnés
par :
F0 x2 q0 L4 x2 x3 x5
v(x) = (3L − x) + 20 2 − 10 3 + 5 (6)
6EI 120EI L L L
on a implémenté le code suivant
8
Figure 13 – Comparaison avec la théorie
Comme vous voyez, les deux courbes sont presque confondues ce qui montre que le résultat pratique
trouvé pour le champ de vecteur de déplacement est vrai ce qui prouve que la méthode employée pour
effectuer ce calcul est très précise. De plus, la courbe est orientée vers le haut et cela est dû à la
répartition de la densité linéique de charge. En effet la densité linéique augmente, en partant de 0 en
x = 0 pour atteindre q0 en x = L, et par la suite, la déformation maximale sera dans le nœud ayant
la densité maximale de charge qui est en x = L.
Grâce au champ vecteur déplacement, nous pouvons calculer les variables secondaires, c’est-à-dire
les Qi , et cela s’effectue par la relation suivante :
{Q} = [K].{U } − {F }
Le code permettant de calculer les variables secondaires est le suivant :
9
Figure 15 – La fonction des variables secondaires
Les valeurs d’indice impaire sont les efforts et les paires sont les moments. On commence à regrouper
les Ty et Mf z avec Ty (0) = −Q1 et Mf z (0) = −Q2 Ty (he ) = Q3 et Mf z (he ) = Q4 . Les équations des
efforts et des moments obtenus théoriquement s′ écrivent :
x2 q0 L2 3x x3
q0 L
Ty (x) = F0 + 1 − 2 ; Mf z (x) = F0 (L − x) + 2− + 3
2 L 6 L L
10
Figure 17 – les courbes des efforts et des moments
5 Conclusion
D’après toutes les courbes tracées, nous pouvons confirmer que la méthode numérique pour la
résolution des problèmes d’élément fini est précise ce qui nous aide les ingénieurs dans les simulations
graphiques afin de déterminer certaine caractéristique sur le système étudié pour bien le réaliser. De
plus, la méthode d’élément fini possède plusieurs avantages, parmi lesquels nous pouvons citer :
• Nous pouvons représenter un grand nombre de formes de structures à l’aide du modèle analy-
tique général commun.
• La faculté de définir des maillages très irréguliers et depuis l’origine est l’un des grands avantages
de la méthode des éléments finis.
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