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Roberto Doisneau

Robert Doisneau (nacido el 14 de abril de 1912 en


Gentilly - muerto en abril de 1994 en Montrouge) es un
fotógrafo francés, parmi les plus populaires d'après-
guerre. Il fut, aux côtés de Willy Ronis, l'un des
principaux représentants du courant de la photographie
humaniste française.

I) Biografía

A) Enfance et jeunesse
Robert Doisneau est né dans le sud de la banlieue
parisienne au sein d'une famille bourgeoise (d'après
Wikipedia en inglés, hijo père était plombier)

Son père meurt à la guerre en 1916, et sa mère en


1919. il est élevé par une tante. (fuente Wikipedia
inglés)

. Il étudie les Arts graphiques à l'École Estienne et obtient son diplôme de graveur et de lithographe
en1929.

Un plus tard, il réussit à intégrer l'Atelier Ullmann en temps que graveur de lettres pour la publicité de
l'industrie pharmaceutique, en tanto que fotografiar asistente.

B) La vanguardia de la guerra

En 1931, il devient l'assistant d'André Vigneau avec lequel il découvre la Nouvelle Objectivité
photographique.

C'est en 1932 que Robert Doisneau vendra son primeros reportajes fotográficos en el diario crée
de photojournalisme
Virutas de embalaje en 1910 por
et cette
el periodista
premièrePierre
expérience
Lafitte. significativa
Cette revue dans
fut à l'époque
la carrière
pionnière
de Doisneau
en l'matière
aura
sans nul doute un impact très important dans sa vision de la photographie.

En 1934, Doisneau, âgé d'une vingtaine d'années accepte una proposición de fotografía industrial para
las empresas Renault, en Billancourt.

Durant ses cinq années de service pour la marque automobile, le jeune photographe enchaînera les
retards, préférant stopper ses trajets professionnels sur le bord des route pour photographier la "vraie"
vie, au lieu de se rendre au travail. Il sera licencié en 1939.

Désormais sans emploi, Robert Doisneau tente de devenir fotografía ilustradora independiente. Il
rencontre, peu avant le début de la Seconde Guerre mondiale, Charles Rado, fondateur de l'agence

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Rafo. Son premier reportage, sur le canoë en Dordogne, est interrompu par la déclaration de guerre et la
mobilization générale.

C) Guerra y resistencia
Mobilisé en 1939 como fotografía.
Pendant la guerre il use ses talents de graveur pour faire de fau papiers

Témoignage de ses filles :

AD et FD: Grâce à sa formation de graveur, Doisneau a fabriqué des faux papiers pendant la
guerre. Un jour, un monsieur est arrivé dans l'atelier, il était suivi et avait besoin de faux papier
immédiatement. Notre père était très embêté parce qu'il lui fallit au moins 48 heures pour réaliser
les tampons et imprimer. Devant l'urgence de la status, il a pris ses ses papiers d'identité, a change
la photo et les a donnés à cet homme. Jusqu'à la fin de la guerre, Serge Dobkowski s'est donc
appelé Robert Doisneau et a circulé avec les papiers de notre père.
Pourtant, Doisneau se défendait d'avoir fait de la résistance, il parlait d'actes d'indépendance.
Colgante toute la guerre, il a travaillé de façon isolée. C'est au soir de la libération qu'il a rencontré
tous ces héros anonymes de la Résistance et qu'il a su qu'il faisait parti du réseau Roger Vaillant.
Avec eux, il a reconstitué en 1945 leur manière de travailler. Les photos ont donné lieu à un livre
intitulé : Imprimeurs clandestins.

D) Después de la guerra

Après la Seconde Guerre mondiale, Robert Doisneau devient photographe indépendant en intégrant
officiellement, dès 1946, l'agence de photographie Rapho. C'est sans doute à cette époque que se
manifiesta l'influence réciproque entre lui et Jacques Henri Lartigue.

Il ne rejoindra pas l'agence Magnum, malgré l'appel d'Henri Cartier Bresson

Il fera la connaissance, cette année-là à Aix-en-Provence, de Blaise Cendrars, écrivain suisse qui
deviendra sujet de plusieurs de ses clichés.

En 1946, Robert Doisneau integre officiellement l'agence Rapho dirigée dorénavant par Raymond
Grosset. Pour elle, le photographe réalisera de nombreux reportages sur Paris, son monde ouvrier et sa
provincia. C'est le début de la notoriété pour Doisneau avec des parutions dans de grandes revues
comme Paris Match, Life ou l'hebdomadaire Action.

Il se met alors à produire et à réaliser de nombreux reportages fotografiatiques sur des sujets très
divers : l'actualité parisienne, le Paris populaire, des sujets sur la provincia ou l'étranger (URSS, États
Unis, Yougoslavie, etc.). Certains de ses reportages paraîtront dans des magazines comme Life, Paris
Match, Réalités, Point de vue, Regards, etc.

En 1947, il rencontre Robert Giraud, chez l'antiquaire Romi, c'est alors le début d'une longue amitié et
d'une fructueuse collaboration. Doisneau publiera une trentaine d'albums dont La Banlieue de Paris
(Seghers, 1949), avec des textes de Blaise Cendrars. Il travaillera un temps pour Vogue, de 1948 a 1953
en calidad de colaborador permanente. Doisneau n'apprécie pas trop ce travail. Dès qu'il peut s'échapper
du studio, il photographie les rue de Paris

Toujours en 1947, sa rencontre avec Jacques Prévert entraînera plusieurs reportages sur l'écrivain,
ainsi qu'une belle amitié.

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Il est aussi ami de Jacques Yonnet et ses photos illustrent son fameux Enchantements sur Paris (Denoël,
1954) devenu La ville des maléfices(Biblio).

El talento del fotógrafo será recompensado con diversas repeticiones: el premio Kodak en 1947, el premio Niepce en
1956. En 1960, Doisneau monte una exposición en el Museo de Arte Contemporáneo de Chicago. En 1975, il est
l'invité d'honneur du festival des Rencontres d'Arles (Francia). Une exposition lui y est consacrée.
Il recevra d'autres prix pour son travail : le Prix du Livre des Rencontres d'Arles pour L'Enfant et la Colombe
(1979) et pour Trois secondes d'éternité en 1980, chez contrejour, le Grand Prix national de la photographie en 1983
y el premio Balzac en 1986. En 1986, el festival des Rencontres d'Arles presentó una exposición intitulada De Vogue
à Femmes, Robert Doisneau. En 1992, Doisneau presenta una retrospectiva en el Musée d'art moderne d'Oxford. Ce
sera la dernière exposition de ses œuvres organisée de son vivant. En 1994, el festival des Rencontres d'Arles
presenta el Hommage à Robert
Doisneau.

En 1973, la película "Le Paris de Robert Doisneau", de François Porcile, está realizada, mettant en exergue la vision
humaniste du photographe.

E) Ver personal

En 1931, Robert Doisneau rencontre Pierrette Chaumaison avec qui il se marie trois ans plus tard

Doisneau à eu 2 filles, Annette, de soltera en 1942 y Francine, de soltera en 1947.

Annette a été hijo asistente de 1979 à sa mort

Ses deux filles dirigent l'Atelier Doisneau

Robert Doisneau murió en Montrouge el 1 de abril de 1994, 6 meses después de la mujer. Il est enterré à
Raizeux, aux côtés de sa femme.

II) Obra
Robert Doisneau est l'un des photographes français les plus connus à l'extranger notamment grâce à des photos
comme « Le Baiser de l'hôtel de ville ». Ses photographies noir et blanc des rues de Paris d'après-guerre et de sa
banlieue ont fait sa renommée…

A) Fotos de Paris et sa banlieue


Lorsqu'il allait photographier la banlieue bien grise, bien glauque, personne ne voulait de ses photos.
Au mieux, il s'entendait dire que c'était intéressant mais invendable.,

En 1945, parte del fotógrafo Blaise Cendrars en Aix en Provence para el álbum de Figaro. Il fait son portrait puis les
deux hommes sympathisent et se mettent à parler du plateau de Villejuif qui à l'époque était un endroit complètement
désolé, dangereux même. De regreso a París, las fotos enviadas a Blaise Cendrars qui lui répond une lettre où il
l'encourage et le félicite.
Quatre ans plus tard, Doisneau publie son premier album, La banlieue de Paris, avec des textes de Blaise Cendrars.

Doisneau, Œuvre, Página 3 / 15


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Doisneau est un passant paciente qui conserve toujours une cierta distancia vis-à-vis de ses sujets. Il
guette l'anécdote, la petite histoire. Ses photos sont souvent empreintes d'humor mais également de
nostalgie, d'ironie et de tendresse.

Doisneau ne ridiculise jamais ses sujets

« Je ne photographie pas la vie telle qu'elle est, mais comme je voudrais qu'elle soit.

Il travaillait sur Paris, ses faubourgs et ses habitants : artesanos, bistrots, clochards, gamins des rues,
amoureux, bateleurs, etc. Il enregistra pendant près d'un demi-siècle des milliers de portraits du petit
peuple de Paris.

Il a participé au Groupe des XV aux côtés de René-Jacques, de Willy Ronis, de Pierre Jahan, dans les
années (1950)

B) Otras fotos

Doisneau n'a pas photographié que les rues de Paris et de sa banlieue, il a été photographe de mode
pour Vogue , a fait de nombreux reportages et des portraits d'artistes

Estas fotos son hermosas y continuas.

1) Fotografía de modo
En 1949, Robert Doisneau firmó un contrato con la revista Vogue, con qui il sera lié jusqu'en 1951 et pour
qui il réalisera plusieurs clichés de mode.
Sur le site officiel, on trouve des photos de mondanités.

2) Reportajes

Il a fait de nombreux reportages, au Canada, en Angleterre, aux USA, en Yougoslavie, ou en URSS.

En trouve sur le site officiel de Robert Doisneau, des photos du reportage en Angleterre en 1950, ainsi que
de celui de 1960 aux Etats-Unis et plus particulièrement à Palm Spring

Ce dernier reportage est en color, probablement du Kodachrome

Le reportage en URSS a été fait en 1968 pour «La Vie Ouvrière», revista de la CGT. Mais il est
difficile de trouver des imágenes

Doisneau a également fait des reportages en provincia. Sur le site officiel, on trouve des portofolio, sur les
mineurs, la trashumance, les Alpes, l'Auvergne ou l'Alsace

3) Retratos

Il a réalisé des célèbres portraits d'artistes tels que, Alberto Giacometti, Jean Cocteau, Fernand Léger,
Georges Braque, et Pablo Picasso.

III) Estilo
C'est toujours à l'imparfait de l'objectif qu'il conjugue le verbe photographier. (Jacques Prévert, 1947)

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«Je mets mon pied dans la porte pour qu'elle reste entrouverte et laisse entrer le hasard» se plaisait il à conter
en décrivant les instants qu'il inmortalisait par a una fotografía.

Il est connu pour ses photos très humanistes. Elles ont un cierto humor, et aussi de la tendresse. Au debut,
Doisneau était un photographe très timide. D'abord il a pris des photos des objets, comme les rues pavées.
Ensuite, il a pris des photos des enfants, et enfin, des adultes. Je trouve beaucoup de chooses à dire sur ses
photos des enfants. Surtout, je trouve son enfance un élément très important pour les comprendre.

IV) Material

Doisneau n'a pas utilisé qu'un seul type d'appareils.

Il a débuté avec des chambres gran formato, il utilisera un Leica et, à la fin de sa carrière un Nikon F.

Mais pour la plus grande partie de son œuvre et pour toutes les photos les plus célèbres il est resté fidèle au
Rolleiflex

A) El Rolleiflex

Le Rolleiflex es un aparato fotográfico reflex bi-objectif de moyen format, fabriqué à Brunswick,


Alemania, a partir de 1929.

Le Rolleiflex est l'un des appareils les plus représentatifs du moyen format.

L'entreprise Franke & Heidecke a été fondée à Brunswick, en 1920, par l'homme d'affaires Paul Franke
(Mühlhausen, 30 de noviembre de 1888 - Brunswick, 18 de marzo de 1950), associé au technicien Reinhold
Heidecke (Aschersleben, 2 de enero de 1881 - Brunswick, 26 de febrero de 1960).

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Heidecke conçut, pour beginr, des appareils stéréoscopiques de qualité, à obturateurs pneumatiques Compound
et objectifs Tessar Zeiss. Ces appareils à plaques, nommés Heidoscop, étaient munis d'une chambre de visée
à miroir à 45 °, comportant un troisième objectif Heidosmat, similaire aux deux objectifs de prise de vue. Les
Heidoscop furent d'abord disponibles en formato 45 x 107 mm (doble 4 x 4 cm), puis en 6 x 13 cm (doble 6 x 6
cm). Des châssis à pellicules (Rollfilm 127 et B-II, puis 120) étaient facilement adaptables, mais des appareils
des dos formatos, conçus uniquement pour ces deux type de « Rollfilms », apparurent au cours des années
1920, apportant un gain de poids important : ils furent nommés Rolleidoscop.

C'est de la supression de l'un des deux objectifs de prise de vue (et de la chambre correspondante) d'un
Rolleidoscop de série que naquit, en 1929, le premier Rolleiflex, comportant donc une seule chambre de prise
de vue, con objectif Tessar et obturateur mécanique Compur, surmontée d'une chambre de visée à miroir fixe,
à objectif Heidosmat. Le tout premier model de Rolleiflex fut un 6 x 6 (pour Rollfilm B-II), bientôt suivi des
Rolleicord (des Rolleiflex un peu simplifiés, moins chers) et des Rolleiflex Baby 4 x 4 (pour Rollfilm 127). Ces
deux type de Rolleiflex furent fabriqués jusque dans les années 1970 (et même, en petites séries, jusqu'à nos
jours), tandis que les appareils stéréoscopiques disparurent du catalog après 1941.

L'objectif de focale fixe de 75 mm fabriqué par Zeiss and Schneider, permet de construire un appareil plus
léger et compact que ses concurrent et imitateurs

Après les premiers modèles, le Rolleiflex prend son allure définitive au cours des années 1930. Les modèles
automatiques savent, d'un aller-retour de manivelle, avancer le film de la juste longueur et armer l'obturateur,
sans que le photographe ait à se soucier de voir apparaître des chiffres à travers
une fenêtre au dos de l'appareil. Un palpeur mécanique detecte le papier collant de début de film, et les doubles
expositions sont rendues imposibles par des sécurités. La mise au point se contrôle sur le dépoli de la chambre
de visée ; elle est commandée par un gros bouton latéral agissant sur la platine porte-objectifs. La parallaxe
existant entre les deux objectifs est compensée par des volets métalliques, mobiles selon la mise au point. La
visée à hauteur de poitrine est inversée gauche-droite, ce qui n'est pas gênant, tandis que la position de
l'appareil produit des portraits en légère contre plongée très favorable.

La focale de prise de vue est fixe, mais le moyen format autorise l'agrandissement de portions d'images. Los
capós de premio de vue y de visée à corrección de parallaxe de 1 y 2 dioptrías donnent d'honorables résultats
sur les plages de 1 m a 50 cm y de 50 a 33 cm. Le fabricant proposait un adapteur pour film 24 x 36, dit
Rolleikin, des filtres divers, des flashes à lampes, et aussi un dos à planes-films 6,5 x 9 cm, con verre dépoli
dorsal et châssis amovibles. Il a même existé d'imposants caissons étanches pour la prise de vue sous-marine.

L'appareil, compact et léger pour un 6 x 6, exento por construcción de vibraciones du miroir, est resté
le préféré de beaucoup de photo-reporters jusque dans les années 1970. Les fotografías de mariages ou de
spectacles l'ont utilisé jusqu'à un passé encore plus récent.

Continuación de la utilización posterior: la foto oficial de François Hollande par Raymond Depardon.
Il a utilisé son vieil Rolleiflex de 1960 con lequel il avait photographié, le général de Gaulle, Marlon Brando et
Edith Piaf

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V) Analizar las fotos

A) Foto 1

Esta foto es un ejemplo clásico del estilo de Doisneau. Il s'est identifié comme un «pêcheur d'images»
au lieu d'un «chasseur d'images». Il n'a pas cru qu'on peut forcer la création d'une image, mais il faut qu'on
se mouille avec les sujets et dans la scène. Sa philosophie était que le photographe doit êtrepatient, et doit
laisser la photo apparaître. En peut voir cela dans cette photo des petits garçons qui jouent dans la rue. La
yuxtaposición de dos pares de garçons es formidable. On peut traiter cette yuxtaposition comme le studium
de la photo, dans les termes de Roland Barthes. Les garçons attirent les yeux, et rendent intéressante la
photo au debut. Mais pour moi, le punctum est le
contexto de la foto. Le punctum est la choose qui pique le spectateur, et garde la photo dans la mémoire.
D'abord, le sujet des enfants qui passent le temps dans les rues, sans adultes, est quelque escogió que
Doinseau connaissait bien. Il a passé son enfance comme ça, et la culture des enfants est un thème
recurrent dans son oeuvre.

La photo est mise en place dans le 13ème arrondissement, qui était connu pour l'activité industrielle à
l'époque. Les deux enfants qui sont en train de faire le poirier semblent plus insouciants et aussi moins
bourgeois que les deux autres derrière eux. Ces petits garçons portent des vêtements plus chics, et ils sont
beaucoup plus sérieux. On peut penser que ces deux enfants sont issus d'un milieu social plus aisé. La foto
peut être un commentaire sur les diffèrences entre les classes sociales dans la société moderne. L'humor
se voit dans l'image qui est amusante, les deux garçons qui font le poirier, mais la tendresse est présent
quand on pense à leur status sociales. Je trouve le premier plan plus important, parce que les chooses
dans l'arrière plan sont blanches, et on ne peut pas les voir très bien.

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B) Foto 2

Cette photo est, en même temps, pleine de joie et de douleur. Les garçons, comme ceux dans la photo
de 1934, jouent, mais la destroy autour d'eux est horrible. Quand on compare les dos fotos, la premiere qui
était Prize antes de l'Occupation, et l'autre pendant l'Occupation, il évident immédiatement qu'il y avait un
grand changement en France. Pour moi, c'est très signicatif que les enfants jouent dans une voituire qui a
été détruite. La voiture, le symbole de la modernisation, est complètement démolie. Les enfants qui jouent
ne semblent pas trop tristes, mais ils utilisent ce qu'ils trouvent pour s'amuser. Il ya cinq garçons d'âges
differents. Ils utitlisent toutes les parties de la
voiture pour jouer, le toit, l'interieur, et le capot. Ils peuvent échapper aux ruines de leur pays à travers le
jeu. Pour moi, quelque eligió d'intèressant est que les petits garçons ne semblent pas trop pauvres. Leurs
vêtements sont propres et surtout, les cheveux du garçon au milieu sont bien coiffés.
Peut-être peut-on comprendre que la guerre aaffecté tout le monde, malgré les classes sociales.

L'arrière plan montre des batîments qui ont été detruits par des bombes. Cette partie de la photo est
floue, et on peut voir une signification dans cela. La guerre n'est pas l'idée principale, mais elle existe
comme le contexte de tout ce qui se passe. Encore, sobre trouve l'humor dans l'image de garçons qui
simplement jouent. Mais, il ya un signfication plus profond qui peut être trouvé: dans l'effet de la guerre.

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C) Le baiser de l'hotel de ville

1) Témoignage de ses filles : La


plus célèbre est : «Le baiser de l'hôtel de ville», une commande du magazine Life en 1950.
Paris est la capitale de l'amour, les Américains veulent montrer qu'au lendemain de la guerre, à
Paris la liberté est totale, on peut s'embrasser dans la rue. Doisneau avait exposé à New York en
1948, il était déjà connu là bas, on lui demande de s'emparer du sujet. En 1950, la notion du droit
à l'image est présente, il est donc hors de question qu'il puisse photographier des gens dans la rue
à leur insu. Il connaît un jeune comédien du cours Florent, l'appelle, et lui demande de venir avec
sa petite amie, faire des photos dans Paris. Cette photo est complètement mise en scène et cela
ne le gênait pas parce qu'il y avait toujours chez lui cette notion de faux semblant.

2) Analizar

(1) Le tema
de l'image (ou contenu du champ)

Cette photographie, en noir et blanc, montre un couple de jeunes gens s'embrassant, au milieu d'une foule
affairée, place de l'hôtel de ville, à Paris. Elle a été réalisée en 1950 por Robert Doisneau.

(2) El punto de vista

Le point de vue adopté est matérialisé par la présence en amorce, sur le côté gauche du cadre, d'un
personnage assis à la terrasse d'un café. La mirada del fotógrafo prend ainsi place à l'intérieur de la scène
en adoptant le point de vue d'un consommateur auquel il associe le spectateur.
Le double rôle du photographe (badaud et observateur) - qui se glisse aisément dans le double use de la
terrasse de café parisien - et l'ambiguïté de sa position sont mis en valeur par le looking de la
jeune femme en arrière plan qui semble intriguée par ce qu'elle voit dans son contrechamp : le photographe
assis à la terrasse en train de prendre un cliché (voire de mettre en scène une prime de vues).

C'est ainsi que cette photographie s'organise sur un double registre : 1) le registre du reportage où un
photographe-journaliste saisit sur le vif le mouvement d'une foule à laquelle il se mêle ; 2) le registre de la
mise en scène où un photographe-artiste, inspiré, dirige deux modèles (élèves comédiens) au milieu d'une
foule. Son consider se veut plus qu'un constat, un mensaje.

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Le révélant ainsi un cadre énonciatif de deuxième degré à l'intérieur de l'image.

(3) Contrechamp et contre-cadre

La terrasse du café est dans le contre champ du couple alors que le photographe est dans le contre cadre
de la passante qui observe la mise en scène (et donc le dispositif énonciatif).

(4) Valeur du plan et hors champ

Ces deux cadres concurrents enchâssent ou insèrent le couple, en plan américain, dans un plan général
de foule qui sert en quelque sorte de decor naturel au baiser. La distancia relativa se semble correspondenre
au cadre obtenu avec un objectif de 50 mm, autrement dit au champ de vision du consommateur attablé,
sans effet de grossissement ni de recul.
Ces remarques nous incitent à penser que la photographie a pu être partiellement mise en scène, le couple
étant invité à jouer le baiser au milieu d'une foule saisie sur le vif (ce qui s'avère être effectment la façon
dont la photo a été realizado).

(5) Mise au point et profondeur de champ

La mise au point se fait sur le couple installé au centre de l'image. L'homme se penche sur sa compagne
qui se laisse aller sur son épaule dans un movimiento de rotación où ils quittent tous deux l'axe du
cheminement de la foule pour se tourner vers nous.
Il se produit ainsi un décrochage dans l'image qui fait apparaître un deuxième cadre -que l'on peut qualifier
d'énonciatif. Ce deuxième cadre ouvre un espace imaginaire, ou symbolique, dans l'univers du
réel quotidien. Le mouvement des deux passants est suspendu, le temps se fige l'instant d'un baiser.
Le chevauchement des personnages et objets et le jeu des amorces évoquant le hors champ contribuent à
l'effet de mouvement.
La faible profondeur de champ, due à la lumière incertaine d'un temps de brouillard, est renforcée par
l'effet de bougé des personnages et véhicules en déplacement. Elle fait ressortir le couple au milieu de la
foule.

(6) L'angle de prise de vues

L'angle de prise de vues est orthogonal par rapport au plan du baiser qui est saisi en contre-plongée.
Completado el movimiento de rotación de la pareja, el fotógrafo está en posición de ¾ de derecho por
rapport au trottoir et à la rue. Esta doble orientación confirma el doble cuerpo y los dos sujetos
complementarios que estructuran la imagen.

(7) Movimientos y saludos

Les yeux fermés ou le consider aveugle des jeunes gens introduisent l'émotion au cœur même de l'image.
Le lieu invisible de leur rencontre est le point obscur à partir de duquel s'organisent les rights croisés des
consommateurs, du photographe et des passants, complices ou indifférents.

3) Historia de la foto y el proceso (d'après Wikipédia)


Il s'agit d'une scène posée réalisée dans le cadre d'un travail de l'auteur pour le magazine Life con la
complicité des dos protagonistas, étudiants en théâtre, Françoise Delbart (née Bornet) et son petit ami
Jacques Carteaud1. Robert Doisneau les avait rencontrés dans un café parisien et, les ayant vu s'embrasser,
leur avait proposé une seance de prise de vue en pleine rue, moyennant une rétribution de 500 FF2.
L'identité des deux protagonistes fut longtemps inconnue, y compris de l'auteur lui-même.

Esta fotografía devenue particulièrement célèbre avec la commercialisation, en 1986, de 410 000
exemplaires d'un tirage en format affiche, un record mondial3.

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Ce cliché a été au cœur de nombreux contentieux, dont un procès retentissant du vivant de Robert
Doisneau. En 1992, le couple Lavergne revindique être les amants de l'hôtel de ville, et réclament 500
000 FF au fotografiado por violación de sa vie privée. Ce procès fait resurgir Françoise Bornet qui se
fait connaître de Robert Doisneau et fournit, pour prouver qu'elle est bien l'un des protagonistas, un
cliché original y número que le fotografía avait donné aux amants après la sesión de fotos.
Françoise Bornet fait, elle aussi, un procès et réclame 100 000 FF de rémunération complémentaire, ainsi
qu'un pourcentage sur les bénéfices commerciaux. Depuis la prise du cliché, les amants se sont séparés1.
M. Carteaud se niega quant à lui de se joindre à la démarche, refusant de « transformer cette histoire
photographique en histoire de fric »2.

El 2 de junio de 1993, el Tribunal de gran instancia de París déboute en appel les trois demandeurs. Les
époux Lavergne n'ont pas réussi - et pour cause - à prouver qu'il s'agissait bien d'eux sur le cliché.
Quant à Françoise Bornet, Robert Doisneau lui même la reconnaît comme étant la protagonistae. Mais le
tribunal considère qu'elle ne peut se prévaloir d'un droit à l'image n'étant, du fait de sa position, pas
reconnaissable sur le cliché.

Françoise Bornet va, en revanche, mettre en vente son cliché original. Le 25 avril 2005, il est mis à prix à
10 000 € chez Artcurial à Paris ; il sera adjugé 150 000 € en presencia de sa propriétaire2.

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D) Puente de Iéna

Sur la photo, un groupe de jeunes garçons est rassemblé sur la saillie du Pont d'Iéna, qui franchit la
Sena a la base de la Tour Eiffel. Un des garçons, vêtu d'un maillot de bain, est en train de plonger du pont
dans le fleuve pendant que les autres garçons et quelques spectateurs sur le pont le lookingent.
Doisneau a saisi le plongeur suspendu dans l'air—ses pieds ont déjà quitté le pont, ses bras sont étendus
et il est presque tout horizontal dans l'air. Mais c'est le moment où le plongeur n'a pas encore commencé à
tomber dans l'eau, donc il semble voler dans l'air avec les yeux en avant de lui, avec la Tour Eiffel à l'arrière-
plan. Les autres garçons presagian aussi des maillots de bains, il semble qu'eux aussi ils se préparent à
plonger. En dessous d'eux, il ya des gens sur les marches qui mènent
de la rive au fleuve, dont les uns en maillots jouent dans l'eau et les autres sont assis sur les marches.
C'est une vraiment belle journée—le ciel est bleu avec quelques nuages blancs. La base de la Tour Eiffel
est au coin en haut et à gauche de la photo et, de notre point de vue, le corps du plongeur croise un pied
de la Tour.

La photo est pleine de bonheur et de joie. Elle a été Prize en 1945, tout probablement pendant l'été parce
que c'est après tout la saison où l'on peut plonger et nager dans la Seine ! A ce moment-là, Paris est déjà
libéré et la guerre vient juste de terminer. Les Alliés ont gagné la guerre et les Français étaient prêts à
retourner à la vie normale et se tourner vers l'avenir. Cette photo exprime l'esprit français d'après-guerre
con les émotions claires des personnages, sa composición física y simbolismo.

Doisneau, Análisis de fotos, Página 12 / 15


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Sur la photo, il s'agit de la joie et de la liberté. Puisque le plongeur est suspendu dans l'air, la photo possède
une qualité de spontanéité. Doisneau se disait «pêcheur d'images» et non pas «chasseur d'images». On
peut bien imaginer Doisneau en train de voir pendant une promenade ces garçons sur le pont et devenir
inspiré par la scène. Il a dû attendre le moment parfait où le plongeur était dans
l'air, mais il ne semble pas que la photo soit mise en scène par Doisneau. Comme ses photos colgante la
guerre, celle-ci montre l'esprit et le charme de la vie de la rue. Il ne s'agit pas de l'éducation ou de l'argent ;
la foto dépeint un garçon en train de plonger joyeusement et avec abandon dans la Seine, un plaisir simple
que tout le monde peut comprendre. Le garçon qui plonge sourient, ses amis sourient, les gens sur le pont
qui lookingent la scène sourient—tout le monde est gai. Ils sont aussi détendus et bien à l'aise : les gens
sur le pont se penchent sur son bord avec les mains nonchalamment fermées, un garçon sur la saillie est
allongé sur l'estomac, un autre balance ses jambes par-dessus le bord de la vela. C'est clair que les jours
de l'occupation ont disparu, les gens n'ont aucun souci. Les émotions représentées par la photo—un
mélange de spontanéité, de bonheur et de joie—sont universelles.

Ensemble, la composición física y el simbolismo dedans contribuyen beaucoup de signification à la photo.


D'abord, considérons la géométrie. La saillie du pont, qui est à la même hauteur que l'appareil photo, va
d'un coin de la photo jusqu'au centre. La perspectiva linéaire montrée por la guía saillie
l'œil au centre de la photo, qui comprend le plongeur dans l'air et un pied de la Tour Eiffel. hielo
simbolismo est très importante. La position horizontale et un peu inclinée en haut du plongeur donne
l'impression du vol. Le vol représente la liberté pour les humains, qui après tout ne peuvent pas voler eux-
mêmes et admirent les oiseaux pour leur capacité émancipatrice de voler. Comme les Allemands ont été
chassés de France et les force de l'Axe se sont rendues partout en Europe, l'occupation et la
guerre étaient finies : la France était finalement libre. De plus, il est probable que pendant l'occupation, les
Allemands interdisaient aux Français de plonger dans la Seine et en outre que les Français n'avaient pas
envie de faire une choosen tellement enjouée pendant une époque si sombre.
Donc la position du plongeur et l'impression qu'il est en train de voler symbolisent et célèbrent l'autonomie
et la liberté que la France a retrouvées en 1945.

L'autre elément du centre de la photo auquel mène la saillie du pont est la Tour Eiffel. La Tour Eiffel est non
seulement le symbole de Paris mais aussi le symbole national de la France. Comme chez Roland Barthes,
la Tour est aussi un symbole de l'ascension et de l'aérien. La Tour a une présence proéminente sur la photo
—elle en prend un quart de l'espace. Dans le contexte de la France d'après guerre, la Tour Eiffel—symbole
national, symbole de l'ascension, symbole de l'aérien—représente la dignité nationale, la légèreté de l'esprit,
le haut standing restitués à la France. L'eau de la Seine est calme et sa couleur est richement foncée, alors
que le support arrondi du pont qui s'avance dans l'eau
est très solide et fort. Ces eléments donnent l'impression de paix, de richesse, de profondeur, de stabilité et
de solidité. Avec dignité et sans le fardeau de l'oppression, la France était de nouveau
paisible, estable y libre.

L'éclairage est aussi intéressant et symbolique. Il ya peu de nuages dans le ciel, donc c'est aparente qu'il
fait beau. Tout est illuminé par le soleil—tout de la photo est clair sauf la Tour, les arbres à l'arrière-plan et
l'eau, qui sont naturellement foncés et donc vont être sombres sur une photo en noir
et blanc même s'ils sont illuminés par une lumière forte. De plus, l'ombre du seul garçon qui se tient debout
sur la saillie est projetée sur le mur directement derrière lui. Cela indica que lui et aussi les autres personnes
sur le pont font face au soleil, un symbole de joie, de chance et de stabilité. En outre ce sont les garçons—
les jeunes—qui sont les plus proéminents et importants dans cette photo, et ils lookingent vers le soleil. Les
jeunes ainsi que le soleil sont symboles de l'avenir et de l'espoir, et la composer physique de la photo, dont
les positiones des personnages sont très importantes, suggère que la France fait face à l'avenir et que le
futur pour le pays est optimiste et plein d'espoir.

En cuanto a la belleza de las fotos de Doisneau, ce « Pont d'Iéna » un atuendo mon atención inmediata.
La liberté et la joie pures et absolues que la photo me exprime séduisent irresistiblement. Elle évoque pour
moi le désir fort d'y être avec tous les gens, en volant dans l'air, et puis en plongeant dans l'eau, partout
partageant la joie des Français. Ne voulez-vous pas y être aussi ?

Doisneau, Análisis de fotos, Página 13 / 15


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« Pont d'Iéna » exprime une concepción positive pour la France d'après-guerre. Les émotions de spontanéité,
de bonheur et de joie que les personnages montrent, ainsi que la composer physique et le symbolisme de la
photo, créent une impression bouleversante de joie et de liberté rendues à la France. Comme avec presque
toutes ses œuvres, Doisneau invite a un récit sentimental et positif avec « Pont d'Iéna » et tire la beauté et
l'optimisme de l'ordinaire.

E) Bolides en París

Analizar la esthétique d'une fotografía :


Robert Doisneau, Bolides en París (1956)
por Henri Peyre

La fotografía de Doisneau évoque le moment particulier où se révèle à cet enfant bien élevé et obéissant qui
aspire à ressembler à l'adulte, dont il admire l'autorité et le sens de l'ordre, que le monde de l'adulte peut être
Celui de l'accident, du désordre et du pneu crevé.

La fotografía de Robert Doisneau joue ainsi sur une triple oposición : - celle
d'un monde à grande échelle et d'un monde à petite échelle - celle du monde
de l'enfant et du monde de l'adulte - celle du monde de l 'ordre et du monde
du désordre.

Le point bas d'observation invite al spectateur à se projeter dans l'enfant pour vivre de ses yeux ce triple
choc. Si l'image basculée témoigne de l'effarement de l'enfant perdu entre ces trois articulations,

Doisneau, Análisis de fotos, Página 14 / 15


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le spectateur auquel est offert, inmobile, cet affrontement de mondes en conçoit un vif plaisir esthétique :

l'image inmobile fait en effet durer au maximum le moment charnière du basculement du looking between
3 systèmes de deux points de vue différents sur le monde. Puntuación de Jolí. Et belle garantie d'efficacité
pour cette image remarquable : si le spectateur attentif découvre forcément les 3 oposiciones, le passant
distrait est probablement quand même atteint par un au moins des 3 misiles artistices... l'image risque d'être
efficace dans tous les cas et quelle que soit la cultura del espectador

Doisneau, Análisis de fotos, Página 15 / 15

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