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Avortement et les droits de l'hommes.

la durée de la vidéo: 8 mins 34 secondes.

transcription française

Loué soit Jésus-Christ, qui S'est fait petit enfant dans le sein de la Vierge
Marie, pour apporter aux membres le plus petit, le plus faible de l'espèce humaine,
la grâce d'être enfant de Dieu, Sa paix soit avec vous ! Le droit à la vie est le
premier de tous les droits puisque sans la vie rien évidemment ne peut être
possible. Si ce droit à la vie n'est pas respecté depuis l'origine, depuis la
conception, alors il ne faut pas s'étonner que tous les autres droits et libertés
puissent aussi ne pas être respectés, puisque tous ces droits et libertés reposent
sur ce droit fondamental de vivre. Ce droit de vivre avant 1975, avant la loi veil,
était reconnu
à tout être humain dès sa conception parce qu'il était vivant. Parce qu'il était
vivant, il avait le droit de vivre. Aujourd'hui, ce n'est plus comme cela. Ce droit
de vivre n'est plus reconnu. Ce droit de vivre est conditionné par des critères qui
évoluent en fonction des décisions que nous prenons. Par exemple, ce droit de vivre
est soumis aujourd'hui à des modèles conforme ou non
à l'idée que nous nous faisons de ce que doit être un être humain: s'il est malade
ou handicapé ou en surnombre ou non désiré, alors il ne peut pas naître, alors il
n'est pas un être humain. Mais c'est bien l'espèce humaine qui est menacée elle-
même dans son droit de vivre, lorsqu'un être humain est tué dans le sein de sa
mère, au motif qu'il ne serait pas humain, l'espèce humaine elle-même. Et en effet,
si une certaine catégorie d'êtres humains, se voit niée ce droit de vivre; qu'est-
ce qui empêche que d'autres catégories elles-mêmes ne se voient pas renier,
refuser, ce droit de vivre ? On voit cela par exemple, en France, Martine Aubry en
2001, a fait passer le délai légal d'avorter de 10 à 12 semaines. Une catégorie
d'êtres humains, jusqu'en 2001, n'avait pas ce droit de vivre: ceux qui avaient
moins de dix semaines. Ceux qui avaient entre dix et douze semaines étaient
considérés comme des êtres humains. En 2001, ils ne sont plus considérés comme des
êtres humains, au nom de quoi? Qu'est-ce qui s'est passé en 2001 pour que ceux qui
étaient des êtres humains ne le soient plus? En Italie, c'est jusqu'à 13 semaines
qu'on n'est pas un être humain, en Suède 18 semaines, en Grande-Bretagne 24
semaines, en Chine, au Japon, aux États-Unis, neuf mois. Et même aux États-Unis,
dans certains états, jusque pendant l'accouchement; tant que le cordon ombilical
n'est pas coupé, on peut encore tuer le petit enfant. Au nom de quoi; qui a ce
pouvoir de déterminer que en Suède on n'est pas un être humain jusqu'à dix huit
semaines alors qu'on l'est en France? Est-ce que c'est pas toujours des êtres
humains, qu'ils soient suédois ou français ou chinois ou japonais? Qui ne voit la
monstruosité de cette abomination...? Et que l'on ne dise pas que l'enfant qui
n'est pas né n'est pas un être humain. Une femme qui porte un enfant et qui veut
avorter, en disant que ce n'est pas un enfant qu'elle porte, se contredit elle-
même. Car si elle veut avorter, c'est bien précisément parce qu'elle ne veut pas
avoir d'enfant. Il y a toujours eu pour cacher cela aux yeux des bourreaux, cette
idée de dénier à leurs victimes, le fait qu'ils soient des êtres humains: Comme le
régime nazi qui avait décrété qu'une certaine catégorie de la population n'avait
pas le droit de vivre parce qu'ils n'étaient pas des êtres humains. Aujourd'hui,
l'état tirant, dispose du droit de vie et de mort sur certains membres de la
population. Il n'est pas surprenant que ceux qui sont pour l'avortement, sans
aucune preuve affirment que les enfants non encore nés ne sont pas des êtres
humains, sans aucune preuve. Car dans l'histoire: que ce soit les hautes castes,
les esclavagistes, les explorateurs, les nazis, toujours; les intouchables, les
esclaves, les sauvages, ont été considérés aux yeux de leurs bourreaux, comme étant
des sous-humains, n'ayant donc aucun droit et donc pas celui non plus de vivre. Pas
étonnant que dans notre société, beaucoup de personnes soient incapables de
reconnaître que l'avortement est un meurtre.

Que Jésus, qui est venu dans ce monde assumer notre condition humaine: depuis la
conception jusqu'à la mort naturelle, nous donne la grâce de nous aimer les uns les
autres, de donner notre vie les uns pour les autres au lieu de nous entre tuer. Les
plus puissants, qui détruisent les plus faibles; comment ne pas avoir honte de tuer
un être innocent et inoffensif ?:
incapable de se défendre...

Que Jésus est encore pitié de nous, et qu'enfin nous puissions demander pardon à
Dieu pour ce crime. Car si nous, nous tuons, notre société va devenir un enfer.. On
peut tuer un enfant jusqu'à 12 semaines, ailleurs jusqu'à 18 semaines, 24 semaines,
9 mois;

pourquoi ne pas faire comme les romains, qui tuaient leurs enfants jusqu'à l'âge de
la majorité? Pourquoi ne pas déterminer que les handicapés ne doivent pas vivre ou
d'autres personnes?

Qui a droit de vie et de mort sur l'espèce humaine... ?

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