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MOTIFS CLASSIQUES DE REJET DES DEMANDES DE VISAS ET ASTUCES POUR LES ÉVITER.

1- FAUX OU FALSIFICATION DU DOCUMENT DE VOYAGE OU D’UN ÉLÉMENT DU DOSSIER PRÉSENTÉ.

Produire un faux document dans son dossier constitue une infraction pénale (faux et usage de faux). Outre le risque de
se voir refuser le visa, l’auteur risque une interdiction sur le territoire et d’autres condamnations.

2- INSUFFISANCE DE CAPACITÉ FINANCIÈRE.

C’est l’un des motifs les plus invoqués. Il ne suffit pas simplement de justifier que le candidat dispose de l’argent suffisant
pour couvrir ses études sur un an, à travers le jeu d’écritures dans un compte bancaire. Il faut encore démontrer la
stabilité de la provenance des ressources financières tout au long de ses études durant les années à venir. L’argent
contenu (parfois provisoirement) dans le compte bancaire ne suffit pas toujours. Il faut d’autres sources de revenus.

Par ailleurs, il est important que le garant soit la meilleure personne, qui démontre le lien de filiation avec le candidat. Il
peut s’agir des parents directs, des grands-parents, des frères et sœurs. Pour ce qui est des oncles, tantes, cousin.e.s
ou d’autres personnes sans lien de filiation directe, d’autres preuves supplémentaires sont nécessaires, pour justifier
par exemple pourquoi ceux-là laisseraient leurs propres enfants directs, le cas échéant, pour donner priorité à un autre.

La preuve de la capacité financière ne doit pas couvrir uniquement les frais de scolarité, mais également d’autres
charges comme les frais de subsistance, de paillasse, d’achat du billet d’avion, le loyer mensuel, etc… Pour la France,
il est généralement demandé de constituer une Attestation de Virement Irrévocable (caution) auprès d’une banque de
615 euros minimum par mois sur une année d’études. Pour les autres pays, les modalités de preuve sont un peu
différentes.

Go Global Agency conseille dans le montage économique, financier et juridique du dossier, pour augmenter les chances
du candidat d’obtenir son visa, en évitant ce motif.

3- ABSENCE D’ADMISSION DANS UNE UNIVERSITÉ OU UN ORGANISME DE FORMATION


PROFESSIONNELLE.

La lettre d’acceptation ou d’admission est la pièce maîtresse qui déclenche la procédure et sans laquelle, elle n’a pas
lieu d’exister.

4- DOUTE SUR LE RETOUR DU CANDIDAT DANS SON PAYS D’ORIGINE/ DOUTE SUR LE MOTIF RÉEL DU
VOYAGE.

Ce motif est souvent vague, subjectif et difficilement vérifiable. Le visa d’études est un visa temporaire. L’agent
d’immigration ne doit rien déceler dans la demande qui fait penser au projet d’installation définitive du candidat dans le
pays d’accueil à la fin de ses études. Un futur étudiant de 18 ans nouvellement bachelier ou de 20 ans nouvellement
titulaire d’une licence a des chances élevées, qu’un travailleur ou un chômeur de 40 ans, d’obtenir le visa. Pour ce
dernier, il va falloir justifier la fiabilité du projet d’études avec de preuves supplémentaires.

A Go Global Agency, pour tout dossier, y compris même celui du très jeune nouvellement titulaire du Bac ou de la
licence, nous incluons toujours d’autres pièces complémentaires qui renforceront la religion de l’agent d’immigration sur
la véracité du projet d’études.

5- INSUFFISANCE OU MANQUE DE FIABLITÉ DES INFORMATIONS SUR LES CONDITIONS DE SÉJOUR.

Il peut s’agir d’un dossier ne faisant pas apparaître clairement les capacités financières du garant ou du candidat, du
doute sur la réalité de ses revenus, de la non-production de certaines pièces justificatives ou des mauvaises conditions
d’hébergement du candidat.

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6- MESURE ANTÉRIEURE D’INTERDICTION DE RETOUR DANS LE PAYS DE DEMANDE DE VISA.

Il peut concerner des personnes ayant déjà vécu dans le pays d’accueil et qui font l’objet d’une décision administrative
d’interdiction de retour sur le territoire.

7- MENACES À L’ORDRE PUBLIC, LA SÉCURITÉ PUBLIQUE OU LA SANTÉ PUBLIQUE.

Il peut s’agir d’un candidat qui a déjà fait l’objet de condamnations pénales ou qui est atteint d’une maladie inscrite au
tableau de l’OMS, avec risque de contamination élevé.

8- INCOHÉRENCE DANS LE CURSUS ACADEMIQUE.

 Cas d’un candidat qui a une licence en biochimie au Cameroun et postule pour un niveau Master en journalisme.
Les études antérieures doivent être en adéquation avec le cursus à suivre. La filière à choisir peut ne pas être
nécessairement avoir le même contenu que celle suivie antérieurement, mais elles doivent avoir des liens de connexité.
La seconde peut être une branche de la première. En cas d’absence de ce lien, il faut un solide projet académique et
professionnel, pour justifier ce revirement et surtout son utilité dans la future vie professionnelle du candidat.

 Cas d’un candidat qui a un niveau doctoral, master ou équivalent au Cameroun et postule pour un cycle inférieur,
par exemple au niveau collégial ou en cycle de licence. Cette approche dévalorise le niveau d’études déjà acquis par
le candidat. Par contre, en fonction de sa filière précédente, il peut bien postuler pour un autre diplôme équivalent, par
exemple un MBA, un autre master en gestion des projets, etc… en démontrant que le second sera au service du premier
dans ses activités professionnelles.

9- EMPLOI LIMITÉ DANS LE PAYS D’ORIGINE DU CANDIDAT.

Les études ont pour objectif de conduire à un métier. En plus, le visa étudiant est temporaire. La filière choisie doit par
conséquent ouvrir des perspectives d’emploi dans le pays d’origine du candidat. Dans le cas contraire, il est ostensible
que le candidat qui aura acquis de compétences techniques ne pourra pas rentrer dans son pays pour rester en
chômage. Par conséquent, il va rester dans le pays d’accueil pour chercher à s’installer définitivement, détournant ainsi
la nature du type de visa sollicité à la base.

Go Global Agency conseille dans le choix des filières adéquates et donne des astuces sûres, pour éviter ce motif de
rejet de la demande, tout en tenant compte par ailleurs du rêve et des aspirations du candidat en termes de filière et de
projet professionnel.

QUE FAIRE EN CAS DE REJET DE LA DEMANDE DU VISA ?

Si le candidat estime que l’agent d’immigration a commis une erreur d’appréciation de sa situation ou que sa décision
de rejet est infondée, il peut la contester au moyen de plusieurs voies de recours :

 Introduire un recours grâcieux d’accès à l’information ou, le cas échéant, un recours en régularisation avec justificatifs
et complément de dossier, auprès de l’agent d’immigration ou des autorités diplomatiques ou consulaires ;
 Introduire un recours devant la commission de refus de visa d’entrée en France ou un recours contentieux devant le
tribunal administratif de Nantes pour le cas de la France ;
 Déposer une demander de révision de la décision auprès de la Cour fédérale du Canada.

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