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1 .Notation de ConsurTaskTrees
Concur Task Trees (dénommée CTT) est une notation pour la spécification de
modelés de taches utiles pour prendre en charge la conception d’applications
interactives spécialement conçues pour la conception basée sur un modèle
d’interface utilisateur.
Mise à jour de 2004 : le manuel d’analyse des taches pour l’interaction homme-
ordinateur .
1.3 Les différents type de tache
Dans le modèle de tâches décrit avec CTT on trouve plusieurs catégories de
**************la figure*************
**************la figure*************
c) Les tâches d’interaction, représentées par la Figure ****, sont les actions
accomplies par l’utilisateur sur le système.
**************la figure*************
d) Les tâches abstraites, représentées par la Figure ****, sont des séquences
d’actions plus complexes que les tâches précédentes.
**************la figure*************
• les objets observables qui peuvent être aussi bien des objets de sortie qui présentent une
information (fenêtres, tables, …), que des moyens pour l’utilisateur d’interagir avec le système
(menu, bouton, …). Ces objets peuvent appartenir aux tâches système ou aux tâches d’interaction.
• les objets internes sont des entités qui appartiennent à l’application et qui ont besoin
d’être couplées à des objets observables pour être présentées à l’utilisateur.
• un type parmi les quatre types possibles (abstraite, utilisateur, application et interaction) ;
• un ensemble d’objets sur lequel s’applique la tâche et qui peut être partagé avec d’autres
tâches ;
b) désavantage
Diffinition
CTT Environment ou CTTE [Mori et al. 2002][Paterno 2002] un éditeur qui permet de dessiner le
modèle de tâches et de vérifier sa cohérence
****
Il est utile de disposer d’un simulateur pour dérouler les tâches sur un scénario donné. Cependant, le
simulateur de CTTE ne tient pas compte de l’état de la tâche à l’exécution. En effet, les simulateurs
calculent un ensemble de tâches pouvant être réalisées à la prochaine étape (appelé Ensable Task
Set dans CTT). Une fois que l’utilisateur sélectionne une tâche donnée pour indiquer qu’elle est en
train d’être exécutée, celle-ci est automatiquement réalisée du début à la fin. Les tâches
élémentaires sont considérées comme étant atomiques à l’exécution. Il est donc impossible pour
deux tâches feuilles d’être actives en même temps, ce qui contredit la spécification de la simultanéité
définie dans le modèle.
L’utilisation
L’éditeur de CTT (CTTE) est utilisé pour saisir l’arbre de tâches. Pour chaque tâche, un
ensemble d’informations est saisi (son identifiant, sa fréquence, ses durées maximum et
minimum de réalisation,etc.). Par ailleurs, nous aurons besoin de définir pour chaque tâche
un ensemble de propriétés qui ne sont pas prises en compte dans le modèle CTT (les services
référencés, le temps maximum d’attente d’activation et l’ensemble de ses pré et post-
conditions). Pour ajouter ces informations, le concepteur doit utiliser le champ de texte «
description » dans CTTE. Les pré et post-conditions respectent une syntaxe que nous avons
définie et qui est basée sur l’utilisation de la logique propositionnelle (chaque pré-condition
représentant une proposition pouvant prendre les valeurs VRAI ou FAUX). Notre simulateur
intègre un analyseur syntaxique qui effectue une analyse du fichier en entrée généré par
CTTE. Pour chaque niveau de l’arbre de tâches, cet analyseur conserve les opérateurs
temporels et restructure l’arbre de tâches en se référant aux priorités de ces opérateurs de
manière à produire un arbre binaire sans liens horizontaux . Pour chaque tâche concrète, il
stocke une copie des informations extraites à partir de l’arbre de tâches en entrée.
// L’arbre de tache : c’est un outil pour développer une vue d’ensemble sur les déférent tache à
exécuter dans la réalisation
// l’exemple par 15
\usepackage[french]{babel}
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\usepackage[a4paper,left=2 cm,right=2 cm ,top=2 cm,bottom= 2 cm]{geometry}
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\newcommand{\HRuler}{\ruler{\linewidth}{0.5 mm}}
\begin{document}
\begin{titlepage}
\newgeometry{top=0.5 cm , right=0.5 cm , left=0.225 cm , bottom=0.5 cm}
\begin{minipage}[b][3.26\baselineskip][t]{20cm}
\centering
\large{\textbf{République Algérienne Démocratique et Populaire\\}}
\textbf{Ministère de l'Enseignement Supérieure et de la Recherche
Scientifique \\ Université Abderrahmane Mira-Béjaia \\ Faculté des Science
Exactes \\ Département d'informatique }\\[1.5 cm]
\includegraphics[scale=1]{Logo_Univ_Bejaia.png}~\\[1.5 cm]
\end{minipage}
\vspace{8 cm}
\begin{center}
\LARGE{\textbf{ Module : Interface Homme-Machine \\}}
\end{center}
\vspace{0.5cm}
\begin{center}
\large{\textbf{Licence 3}}
\end{center}
\vspace{1cm}
\hrule
\begin{center}
\LARGE{\textbf{Réalisation d'un Projet sur \\}}
\vspace{0.5cm}
\Huge{\textbf{\textit{ modele de tache CTT et son outile CTTE}}}
\end{center}
\hrule
\vspace{ 2cm }
\begin{center}
\large{\textbf{\underline{Année universitaire:}}}
\large{\textbf{2022/2023}}
\end{center}
\end{titlepage}
\pagenumbering{roman}
\listoffigures
\tableofcontents
\addcontentsline{toc}{chapter}{Table des matières}
\addcontentsline{toc}{chapter}{Table des figures}
\chapter*{Introduction générale}
\addcontentsline{toc}{chapter}{Introduction générale}
L’Interaction Homme-Machine (IHM) peut être vue comme l’étude des
moyens qui existent pour permettre la communication entre un opérateur
humain, appelé utilisateur, et un ensemble de machines sur lesquelles
l’utilisateur agit, appelé système interactif. Afin d’assurer le critère
d’utilisabilité de ce dernier (c’est-à-dire être en adéquation avec les
besoins et les capacités de l’utilisateur, afin de permettre à cet
utilisateur d’atteindre ses objectifs à travers des trajectoires
d’interaction intuitives et sûres), des méthodes issues du génie logiciel
ont été utilisées et adaptées au domaine de l’IHM. Après l’apparition des
modèles enrichis sous l’angle IHMs on trouvent le modèle en V dont chaque
phase de développement de la partie descendante est associé à certains
modèles qui représentent des informations bien spécifier, par exemple la
phase analyse de besoin est associé au modèle de l’utilisation et de tâches
\begin{center}
\includegraphics[scale=0.75]{photo/interaction-complex-like-puzzle-
pictured-as-word-interaction-puzzle-pieces-to-show-interaction-can-be-
difficult-164220669.jpg}
\end{center}
\pagenumbering{arabic}
\setcounter{page}{1}
\section{Avantages}
\\• C’est une notation graphique et relativement intuitive, et un moyen
simple d’utilisation pour l’analyste et le concepteur de modèles de
tâche.\\
\section{Inconvénients}
\\• C’est une notation informelle, ce qui interdit toute preuve
Mathématique sur les modèles qu’elle permet de décrire.\\
\\• L’absence de description de la sémantique des objets associés aux
modèles.\\
\\ •Applicabilité limitée en dehors des spécifications des solutions
d’interfaces utilisateur.\\
\section{Les relations temporelles }
Il existe différents types de relations temporelles entre les taches
visualisées par une ligne avec un symbole entre les deux
\\ Hiérarchie : Les tâches au même niveau représentent différentes options
ou différentes tâches au même niveau d'abstraction qui doivent être
exécutées. Lire les niveaux comme "Pour faire T1, je dois faire T2 et T3",
ou "Pour faire T1, je dois faire T2 ou T3"\\
\begin{center}
\begin{figure}[hbtp]
\centering
\caption{Types d'interfaces}
\end{figure}
\end{center}
\\Activation : Spécifie que la deuxième tâche ne peut pas commencer tant
que la première tâche n'a pas été effectuée. Exemple : Je ne peux pas
m'inscrire à l'université avant d'avoir choisi les cours à suivre.\\
\begin{center}
\begin{figure}[hbtp]
\centering
\includegraphics[scale=0.75]{photo/Interop-7interfaces.png}
\caption{Types d'interfaces}
\end{figure}
\end{center}
\\Choix : Spécifie deux tâches activées, puis une fois que l'une a démarré,
l'autre n'est plus activée. Exemple : Lors de l'accès à un site web, il est
possible soit de le parcourir, soit d'accéder à des informations
détaillées.\\
\begin{center}
\begin{figure}[hbtp]
\centering
\includegraphics[scale=0.75]{photo/Interop-7interfaces.png}
\caption{Types d'interfaces}
\end{figure}
\end{center}
\\Activation avec transmission d'informations : Spécifie que la deuxième
tâche ne peut pas être effectuée tant que la première tâche n'est pas
effectuée et que les informations produites dans la première tâche sont
utilisées comme entrée pour la seconde. Exemple : Le système génère des
résultats uniquement après que l'utilisateur a spécifié une requête et les
résultats dépendront de la requête spécifiée.\\
\begin{center}
\begin{figure}[hbtp]
\centering
\includegraphics[scale=0.75]{photo/Interop-7interfaces.png}
\caption{Types d'interfaces}
\end{figure}
\end{center}
\\ Tâches simultanées : Les tâches peuvent être exécutées dans n'importe
quel ordre, ou en même temps, y compris la possibilité de démarrer une
tâche avant que l'autre ne soit terminée. Exemple : Afin de vérifier la
charge d'un ensemble de cours, je dois tenir compte des termes auxquels ils
appartiennent et de la quantité de travail que chaque cours représente.\\
\begin{center}
\begin{figure}[hbtp]
\centering
\includegraphics[scale=0.75]{photo/Interop-7interfaces.png}
\caption{Types d'interfaces}
\end{figure}
\end{center}
\\Tâches communicantes simultanées : Tâches qui peuvent échanger des
informations tout en étant exécutées simultanément. Exemple : Une
application où le système affiche un calendrier où sont mises en évidence
les données entrées entre-temps par l'utilisateur.\\
\begin{center}
\begin{figure}[hbtp]
\centering
\includegraphics[scale=0.75]{photo/Interop-7interfaces.png}
\caption{Types d'interfaces}
\end{figure}
\end{center}
\\Indépendance des tâches : Les tâches peuvent être effectuées dans
n'importe quel ordre, mais quand l'une commence, elle doit se terminer
avant que l'autre puisse commencer. Exemple : Lorsque des personnes
installent un nouveau logiciel, elles peuvent commencer par enregistrer ou
mettre en œuvre l'installation, mais si elles commencent une tâche, elles
doivent la terminer avant de passer à l'autre.\\
\\ Désactivation : La première tâche (généralement une tâche itérative) est
complètement interrompue par la deuxième tâche. Exemple : Un utilisateur
peut saisir des données de manière itérative dans un formulaire jusqu'à ce
que le formulaire soit envoyé.\\
\begin{center}
\begin{figure}[hbtp]
\centering
\includegraphics[scale=0.75]{photo/Interop-7interfaces.png}
\caption{Types d'interfaces}
\end{figure}
\end{center}
\\ Suspension-Reprise : La première tâche peut être interrompue par la
seconde. Lorsque le second se termine, le premier peut être réactivé à
partir de l'état atteint auparavant. Exemple : Modifier certaines données
puis permettre la possibilité de les imprimer dans un environnement où
lorsque l'impression est effectuée, il n'est pas possible de les
modifier.\\
\begin{center}
\begin{figure}[hbtp]
\centering
\includegraphics[scale=0.75]{photo/Interop-7interfaces.png}
\caption{Types d'interfaces}
\end{figure}
\end{center}
\chapter{L'outile de CTTE :}
CTTE (ConcurTaskTrees Environment) est un outil d’édition et de validation
de modèle de tâche basé sur la sémantique de CTT. La représentation de la
hiérarchie des tâches se fait graphiquement sous forme d’un arbre. Il
possède un certain nombre de fonctionnalités pour l’édition des modèles de
tâche. Cet environnement peut vérifier automatiquement la syntaxe de la
description du modèle, donner des informations statistiques, comparer des
modèles de tâche, simuler leur comportement et donner des exemples de
scénarios d’utilisation. Cet environnement peut être téléchargé
gratuitement à l’adresse http://giove.cnuce.cnr.it/ctte.html
\begin{center}
\includegraphics[scale=0.75]{photo/interaction-complex-like-puzzle-
pictured-as-word-interaction-puzzle-pieces-to-show-interaction-can-be-
difficult-164220669.jpg}
\end{center}
L’exploitation de la nature graphique et hiérarchique (représentation sous
forme d’arbres) de la notation devient très intuitive avec cet outil, car
il fournit toutes les opérations nécessaires (copier-coller, insérer, …),
qui sont généralement possibles sur ce type de structure. L’apparence
utilisée pour les modèles édités permet de transporter plus d’informations.
En effet, l’agencement des objets, représentant les tâches et les
opérateurs, donne de l’information sur leurs priorités (triés de bas en
haut, du plus prioritaire au moins prioritaire). Des tooltip sont associés
à chaque opérateurs pour en rappeler le sens, ce qui se révèle très utile
pour les nouveaux utilisateurs de la notation (qui ont souvent du mal à
s’en souvenir). Enfin, la possibilité de structurer le modèle à l’aide d’un
certain nombre de tâches, pouvant être référencées à la fois dans la partie
monoutilisateur et dans la partie coopérative est bien supportée par
l’environnement, puisque CTTE permet de naviguer facilement entre les
différentes vues. Ces exemples simples à propos de CTTE soulignent combien
l’utilisation d’outils convenables permet d’assister le concepteur durant
la construction de modèles.
\section{Fonctionnement }
La Figure 2.1 présente une capture de l’écran de CTTE lors de l’utilisation
du simulateur. Lorsque cet outil est activé, la partie gauche de la fenêtre
surligne toutes les tâches possibles, c’est à-dire celles qui peuvent être
accomplies à un instant donné, en fonction de celles déjà accomplies.
L’exécution d’une tâche peut être ordonnée aussi bien sur la partie
graphique (en double-cliquant sur l’icône associée) ou en sélectionnant la
tâche par son nom dans la liste contenue par le panneau « Enabled tasks »
de la partie droite de la fenêtre, et en appuyant sur le bouton « Next task
to be performed ». Il est possible d’avoir la liste des tâches déjà
accomplies dans la liste « Scenario to be performed » ; cette séquence de
tâches peut être sauvée pour être réutilisée plus tard, afin de rejouer la
même simulation.
\begin{center}
\begin{figure}[hbtp]
\centering
\includegraphics[scale=0.75]{photo/Interop-7interfaces.png}
\caption{Types d'interfaces}
\end{figure}
\end{center}
\section{L’environnement CTT }
Les productions de l’environnement CTTE et leur traitement sont montrés sur
la Figur par les parties 1 et 2 (sur la gauche de la figure). Comme nous
l’avons vu précédemment, l’environnement CTTE fournit un ensemble d’outils
pour confectionner un modèle de tâche et un outil de simulation des
modèles, qui permet la construction de scénarios à partir des modèles de
tâche. Ainsi, les deux principales productions de cet environnement sont un
ensemble de modèles de tâche et un ensemble de scénarios. Ces deux
ensembles sont utilisés de la façon suivante :
\\• un ensemble de tâches d’interaction est extrait du modèle de tâche. Cet
ensemble représente un ensemble de manipulations qui peuvent être
accomplies sur le système (partie 1 de la Figure 5.13) ;\\
\\ • l’ensemble des scénarios est utilisé tel quel (partie 2 de la Figure
5.13).\\
\begin{center}
\begin{figure}[hbtp]
\centering
\includegraphics[scale=0.75]{photo/Interop-7interfaces.png}
\caption{Types d'interfaces}
\end{figure}
\end{center}
Enfin, il est important de noter que notre méthode a l’avantage de donner
au concepteur de l’application interactive la possibilité d’alterner la
phase de conception et celle de test sans perdre le contexte d’exécution.
\chapter{conclusion}
\documentclass[12pt,a4paper]{report}
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\usepackage[T1]{fontenc}
\usepackage{float}
\usepackage{graphicx}
\newcommand{\HRuler}{\ruler{\linewidth}{0.5 mm}}
\begin{document}
\begin{titlepage}
\begin{minipage}[b][3.26\baselineskip][t]{20cm}
\centering
\includegraphics[scale=1]{Logo_Univ_Bejaia.png}~\\[1.5 cm]
\end{minipage}
\vspace{8 cm}
\begin{center}
\end{center}
\vspace{0.5cm}
\begin{center}
\large{\textbf{Licence 3}}
\end{center}
\vspace{1cm}
\hrule
\begin{center}
\vspace{0.5cm}
\end{center}
\hrule