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— P r ix
D ir e c t e u r : P rofesseu r D O N A TO
MAGIE
ASTROLOGIE CARTOMANCIE - CHIROMANCIE - GRAPHOLOGIE - SPIRITISM E MAGNÉTISME
Jules César était alors deven u m aître d e Rom e et d e l'E m pire P en d an t que la S ibylle achevait cette révélation, le m ysté
par la plus audacieuse des fortunes. Ce soldat heureux, à qui rieu x m étéore se sépara en trois étoiles superbes qui s’écar
R om e d écernait en un seul jo u r plus d'honneurs que u'en avait tèren t en form e de trian gle e t disparurent, peu à peu, dans les
récolté^ en des siècles, tout le cortège de ses illustrations, n 'était profondeurs de l’ infini.
p oin t crédule dans les petites choses à la m anière de ses con Saint Jérôme, de m êm e que Origène, affirm e l ’authenticité de
tem porains, il riait des Augures sacrés et se m oquait des p ro cette ém ouvante prédiction .
nostiqueurs, étant bien trop infatué de sou génie pour s’a rrê te r
devant le v o l d’une corneille, le cri d'un hibou, l'ap p étit d'un
poulet, ou les tressaillem ents particuliers des entrailles d ’uD
bœ uf im m olé ! Mais, au-dessus de ces pratiques, — d’un fata Rom e fut, après la Grèce, longtem ps encore, le pays de
lism e p uéril, - * il partageait, dans une certaine m esure, la vé Cocagne des Astrologues et des devins de toutes sortes. Les dis
nération d e Rom e pour le s livres sibyllins. ciples des Mages de l’E gypte et de la P erse s'y voyaien t attirés
D 'anciens auteurs raconten t que le Sénat rom ain, courtisan par les faveurs et la fortune.
de sa g loire, était venu o ffrir à l’Em pereu r le titre de dieu des Chaque fam ille patricienne s'attachait un astrologue.
nations I L'orgueil" d'Auguste n ’avait donc plus rien à désirer La naissance d’un enfant, le m ariage d'une fille , n'avaien t
puisque la servilité humaine voulait lui élever des autels. Mais, poin t lie u sans que l’horoscope fû t consulté.
avant d’accepter c e t hom m age suprêm e, il vou lu t consu lter Ja Cette m ode avait pénétré jusque dans le palais des Empereursr
Sib y lle d e T yb u r à laqu elle il soum ettait tous ses desseins, et L 'Im p ératrice L iv ie , fem m e d'Auguste, s'étail fait prédire la
qu i, jusque-là, n’avait cessé de lu i p rod igu er les plus favorables naissance d’ un fils par l'astrologue Scribonius; à quelque temps
présages. de là, elle don nait le jo u r à T ib ère , de sinistre m ém oire.
Cette propbétesse habitait près de lui, sur le m ont Palatin, Poppée, — l'épouse d e Néron, — fut secrètem ent prévenue
un appartem ent dont le seuil ne s'ouvrait que devant l’ Empe par son astrologue en titre, ('E gyptien P tolém ée, que son mari
reu r. en serait un jo u r réduit à se donner la morl.
I l s 'y rendit à l'heure de m inuit, et lui demanda s'il naîtrait, L'astrologue Théogène avait prom is à Auguste, au nom des
dans la suite des âges, un prince plus grand. génies planétaires, le règne le plus heureux ; mais Tibère, son
La S ibylle exam inait d’ancieDS livres sacrés p ou r y chercher successeur, ordonna de b rû ler publiquem ent tous les livres et
sa réponse, quand tout à coup, apparut, au-dessus de la cam les p récieux palimpsestes traitant de m agie e t d'astrologie, de
pagne rom aine, un m étéore étrange doDt le rayonnem ent inonda crainte que ses ennem is ne pussent épeler, dans les arcanes
d e lu m ière la salle solitaire où se passait cette scène. égyptiens, les châtiments que les d ieu x d evaien t à ses atrocités..
— Regarde, — d it la Sibylle, — vois-tu, dans ce m erveilleu x L'ign ob le Vitellius, qui succédait alo rs à Olhou, cru t assurer
cercle d 'o r em brasé qui scintille au firm am ent, la douce et lum i sa sécurité en signifiant par d écret le bannissem ent général de
neuse im age d'une je u n e fem m e qui tien t dans ses bras un p etit tous les devins d e R om e ; puis, sous les règnes qu i suivirent, les
e n fan t? C’est le sign e de l'a v e n ir qu’un Dieu inconnu te révèle ! m êm es interd iction s furent réitérées, et l'astrologie tomba, de
A cette heure m êm e, un m ond e finit... un autre m onde com par ce fait, pour un temps assez lon g, dans l'oubli.
m ence ; p rostern e-toi e t adore, car cet enfant, dont tu vois le P ou r la v o ir ren aître d e nouveau et red even ir florissante,
reflet dans les Cieux, v ie n t de toucher la terre ! nous som mes obligés de fra n ch ir plusieurs siècles sur les ailes
C’est ie Roi des siècles futurs, c’est le vrai Dieu des nations /, du temps. Nous voici, maintenant, en plein seizièm e siècle, sous
Je lr vois, il n a ît obscurém ent au m ilieu d'un petit peuple le règne de leurs lugubres majestés : Catherine de Médicis, veuve
éloign é, & l'ouest de R om e ; sa d ivin ité se v oile sous l'apparence de Henri II, et Charles IX, son fils.
d'un nouveau-né, mais, un peu plus tard, quand il pren dra la Nous retrouvons là plusieurs astrologues que s'était attachés
parole pour se-faire connaître, quand son Verbe divin répandra, la Reine : un italien , d'abord, nom m é Luc Gauric, et évêque de
parm i ceux qui auron t le bonheur de l'entendre, la roi, l ' espé- Civita-Ducale, R uggiéri, p rêtre florentin , e t le m édecin A u ger
rance et l ’ amour, d 'autres hom m es, ja lo u x de son autorité, le F errier.
persécuteront com m e nn im posteur e t le fero n t m ourir d'une Ce fut R u ggiéri qui p rédit à Catherine que Saint-Germain la
m anière ignom inieuse. I l fera des prodiges de bonté et on l'ac v errait m ourir. « Aussitôt, — d it l'h istorien M ézeray, — on v it la
cusera de pacte av e c les gén ies m alfaisants ; on lui rendra le m échante Royne fu ir tous les lieu x, toutes les églises qui por
m al pour j e b ien , m ais, ju s q u 'à son d e rn ier souffle, il ne cessera taien t ce nom suspect. Elle n'alla plus à Saint-Germ ain-en-Laye,
d e p r ie r pour ses b ourreaux, car c ’est lu i le Sauveur de l ’Uuma- e t m êm e, parce que son palais des T u ile rie s se trouvait sur la
n it é l paroisse de Saint-Germ ain-l'Auxerrnis, elle se retira dans uu
(1) V oir le n* 3. h ôtel qu'elle possédait près de Saint-Euslache. »
Précautions vaines, car il se trouva qu'un prêtre appelé en L'astronomie, tant superbes soient ses révélations, n’est jamais
grande hâte aux derniers moments de la Royne, et qui l'assista que l'utile, profonde et attrayante étude du oiel p h y s iq u e , alors
durant son épouvantable agonie, se nommait justement : S a in t- que l'astrologie est l’étude des lois inéluctables qui régissent ses
G e rm a in ! magnifiques et divines harmonies.
Tout se tient, dans la nature, et il est absolument certain que
les aspects sidéraux qui président à la naissance des plantes
Les astronomes de celte époque : Copernic, Tycho-Brahé, vénéneuses, des animaux venimeux, et des êtres nuisibles qui
Képler, Galilée, etc., étaient aussi de savants astrologues, alors n’ont de l'humanité qu’une apparence mensongère, ne sont
qu'aujourd'hui, nos modernes astronomes, — y compris mon point du tout les mêmes que ceux qui favorisent l'éclosion des
excellent ami Camille Flammarion —, n'osent plus (on ne sait plantes médicinales ; la naissance des animaux utiles à l’homme,
trop pourquoi) donner créance aux présages astrologiques qu’ il et celle, bien autrement importante encore, des hommes qui se
leur serait pourtant si facile de contrôler par des faits ! distinguent de la foule par leur savoir ou par leurs vertus !
Mais, il n'est « pires sourds que ceux qui ne veulent pas en
(A s u iv r e .) D' É l t St a r .
tendre I »
L E S C L E F S D U SUCCÈS
UN T H È M E A ST R A L
P a r S TE LLA T A
Le bonheur est le but de la vie et nous le voulons toutes ces planètes et leurs constellations. Mon tempérament à
n'est-ce pas, mes sœurs? L’atteindre ne peut pas être im réactions vives, triste et gai tour à tour, épris de sport, de
possible puisqu'il existe. Est-ce une affaire de chance? Non, mouvement, comptant sur le hasard, s'explique par les con
c'est une affaire de volonté et je vous apprendrai ici succes tradictions qui se heurtent en moi : Uranus m 'envoie l'uto
sivement le moyen de développer cette v o lo n t é , de la rendre pie rêveuse de ses rayons lointains, la flèche du S a g i t t a i r e
invincible, car, c'est la p lu s g r a n d e f o r c e q u i e x is te a u m o n d e . effleure mon cerveau, y trace le sillon heureux par lequel
Suivez attentivement nos articles et vous aurez au bout de s'écouleront les chances imprévues. Mon signe solaire ré
l'année acquis plus de connaissances, de consolation, de joie, pond à l’élément : le F e u . Mais au dix-neuvièm e degré il
que vous n’auriez jam ais osé l’espérer. Notre journal est votre est bien dangereux et je risque fort les accidents par .incen
plus grand ami, celui qtli porte chez vous l'espérance I die, orage, combat ou guerre. En amour je serai comblé :
Avant de commencer cette étude je vous parlerai aujour Vénus conjointe à la Lune, lors de ma naissance, m 'octroya
d'hui des clefs du succès. sa lueur douce et bleue pour épandre sur moi la sympathie,
Nous avons tous au ciel une belle et radieuse étoile qui régit la tendresse, la beauté... J'en jouirais, si le fatal U r a n u s ne
notre vie ; elle est — parce que rien n'est parfait sur terre m’incitait A beaucoup de changements, ne m ettait en mon
depuis l’aventure du paradis terrestre — bieu souvent ma- âm e troublée sans cesse, agitée de songes irréalisables, le
léficiée par de fâcheux rayons. Ces menaces, ne pourrions- désir du mieux.
nous pas essayer de les connaître et ensuite de les éviter? « O r i o n , l'admirable quadrangle au m ilieu duquel brillent
L ’avenir garde jalousement ferm é le voile qui le cache, les trois rois, me concède sa vertu : « Prospérité dans le
nous essayons en vain de Tenir'ouvrir; pourtant l'histoire, négoce et surtout dans les voyages outre-mer » . Voilà une
l'écriture, le passé, sont rem plis de faits qui furent prévus. chose bonne à retenir et concordant bien avec mes goûts de
Où serait le mal, à notre tour, d'essayer ce principe : « Je sports. J'irai faire fortune à l'étranger. Mais où I J u p i t e r et
suis né à telle date, sous tel signe zodiacal; la Lune — ce le S a g i t t a i r e indiquent l’ Espagne, le Portugal, l'Arabie, la
grand m iroir magnétique qui 9ans cesse tourne autour de H ongrie... Cela se précise, j ’accepte l'Espagne et l'Afrique,
nous, réfléchit et renvoie sur la terre les rayons des astres puisque la navigation m 'est heureuse. Le métal que gou
— se trouvait à telle phase, évoluait dans telle constellation ; verne J u p i t e r est l'étain. Ces pays en offrent des mines, mon
quel magnétisme en résulta pour m oi? Quels sont les gens, influence d 'U r a n u s me donne une intuition occulte des
les animaux, les plantes, les pays, les carrières, les goûts choses cachées ; je marche vers des concordances.
qui, m'étant naturels, cofttribueront à mon bonheur? » « Les animaux régis par la même planète que moi sont :
Prenons au hasard un thème astral comme exemple pou l'éléphant, la biche, le cerf, etc... Les plantes harmoniques
vant servir d'enseignement à celui que chacun voudra faire se trouvent être ; la canne à sucre, le grenadier, les dattes,
soi-même : les arbres à résine odorante, tels ; l'encens, la myrrhe, l'oli-
« Né le 10 décembre 1877, c'était un lundi, jour de Lune; ban. L 'A friqu e et l'Espagne contiennent ces produits, dont
cette planète et Vénus se trouvaient conjointes dans le je ferai le commerce. Mon remède naturel est utile à con
Verseau, la Lune croissait depuis six jours. A l’ heure de naître. Jupiter tout de suite me l'indique : c'est l'électri
ma naissance Orion montait de l'Orient, le Soleil sous l'ho cité. Quant à la question, am itié et amour, je la remettrai
rizon se trouvait nu dix-neuvième degré du signe zodiacal à une prochaine étude pour ne pas fatiguer l'attention par
du Sagittaire, Jupiter étant la planète du Sagittaire, Uranus ces difficiles calculs. »
celle du Verseau, jo me trouve donc influencé surtout par Stellata.
Nouvelle inédite pa r ÉDOUARD GANCHE (')
Aux heures nocturnes, elle se tenait dans la blancheur versent brutalement, compriment, suffoquent, angoissent,
tombante de la lampe et dissertait de la m ort. Les ju ge amènent des sensations de collapsus, d’algidité, exténuent
ments des philosophes la préoccupaient, elle anathématisait et détruisent.
Nietzche pour exalter Schopenhauer, et son culte fervent L ’étisie fusela sa sveltesse, ses chairs s’aplatirent, la peau
adorait Edgar Poë, Baudelaire et Maurice Rollinat. D’ar se fripa aux jointures, se distendit aux éminences osseuses,
dentes curiosités l’excitaient à remuer les insolubles doc jaunit comme les feuilles mourantes. Son regard prit une
trines d e lapaliugéuésie, de la métempsycose et du nirvàna ; fixité singulière au centre des orbites encavées. Les pru
à se tourmenter des putrescences de la tombe et de l ’horreur nelles agrandies noircissaient les yeux brillants et fixes dans
du cadavre. le visage‘|màcié. Elle vivait, assujettie à une morne rêverie,
A l’instar de son âme, elle s'habilla d e n o ir. La ressouve- sans récriminations, résignée.
nance de nos plaisirs antérieurs, de nos promenades apai Un matin, la faiblesse s'opposa à son lever. Bile se sentit-
santes, de nos libres ébats dans la campagne ornée et mon lourde comme un bloc de pierre et inapte à se bouger. Je
affliction .visible la laissèrent indifférente. m’installai à son chevet, pressentant une catastrophe.
Une fo(s, sa préoccupation opprimante l’astreignit à me Sur les conseils du médecin, je devais tâcher de lui prodi
révéler ses appréhensions. L'obsession de l’hallucination guer des analeptiques. J’étais sans espoir de guérison
nocturne ne la quittait plus. L'im aginaire avait remplacé la comme sans certitude de mort. J’attendais l'inconnu.
réalité dans sa continuité tenace. Pour m a stupeur elle Assis dans un fauteuil au pied du lit, j ’essayais de dissiper
expliqua d’une voix dolente : ma peine par l’attrait d une lecture J'observais plus sou
— Je mourrai prochainement. Je te quitterai, Fernand, vent Yolande dont le buste s'accotait aux oreillers. Ses
malgré tout notre amour, malgré notre bonheur passé, en paupières abaissées ne voilaient point le sommeil et le frô
dépit de moi-mème. J’irai bientôt pourrir dans la terre et lement atténué d’un feuillet suffisait à exciter son attention.
tu ne me reverras jamais. Nos tristes regards se heurtaient, se joignaient inter
Saisi, j ’exprim ai mon indignation. Je criai : minablement, comme s’ils eussent voulu conserver une
— Non, non, tu ne sais ce que tu dis ; tais-toi! tais-toi!... image indélébile, parer en soi l'im age de nos êtres, pour en
Et devant l'étonnement de son regard je m 'abîm ais dans garder précieusement un impérissable souvenir; les miens,
un accablement égal au sien et je pleurais. suppliants, désolés; les siens im m obiles et inexpressifs-
Alors Yolande se jeta dansm es bras et répéta dou cem en fr" Quand je Constatais son assoupissement, je reprenais ma
— Fernand, Fernand, résigne-toi, ne pleure p a ^ ne lecture souvent interrompue par mon inquiétude.
souffre pas, tu augmentes ma douleur. Une vieille bonne aidait mes soins et me suppléait pour
— Pourquoi la suscites-tu en m oi ?... Yolande, dompte- les veilles.
toi, fauche ces raisonnéments malsains, anéantissants; La pénétration de l’état de Yolande et sa réflexion me
pense à la vie dont le lumineux horizon s'étend devant toi ; plongèrent en des crises de désespoir. Je me jetais à genoux
ne blasphème pas l’amour et sa force subjuguante ; n'aban contre le lit où gisait le corps épiiisé que j ’avais pressé
donne pas les énergies fructifiantes ; je t’en adjure, réveille débordant de force et de vie, je prenais une de ses mains
ta volonté déclinante et chasse les pensées de mort. froide et amincie, je la baisais, j'entrecroisais ses doigts aux
— Je ne peux, Fernand, c'est la fatalité. Je dois m ourir 1... miens, je la réchauffais de l'ardeur de mon sang et la voix
Ah 1 tu ne sus m ’expliquer l’effroyable vision ; ta science brisée par l’ém oi j'appelais r
la dénomma hallucination, trouble morbide, et tu en souris — Y olan d eI... ma Yolande!... pourquoi? pourquoi ne
dédaigneusement. Jpnel'élucide pas davantage, mais je l ’in veux-tu plus vivre?... A h ! demeure avec moi, ne me laisse
terprète m ieux. Ma mère perçut une nuit de légers heurts pas seul, ne me quitte pas... Nous retournerons ensemble
contre la porte de sa chambre. Elle appela, nul ne répondit vers les fleurs d’or des champs, vers la mer captivante, vers
et six m ois après elle était morte. J’ai compris l’avertisse les brises attiédies et vivifiantes..., vers les spectacles en
ment et je t'en préviens pour que ta douleur avertie soit chanteurs... Je te donnerai de la jo ie ..., des rires..., des
moins brusque et rude... plaisirs .., tout ce que tu vou dras!... Tu ne m e réponds pas,
Les jours disparurent, accroissant son hypocondrie. Une Yolande?... M’entends-tu, mon qm ou r!... C'est moi qui
inappétence l'anémia promptement. Une claustration prépa mourrai si tu le désires... ; dis-m oi, veux-tu?... Oh' je t’en
rative provoqual’extréme faiblesse de son corps. Sa démarche supplie, ne disparais pas... Parle-moi, parle-moi, Yolande!
chancelante l'épuisait par ses efforts. Ses pieds se traînaient, Yolande!...
pesants, ayant perdu la force de se soulever, étant incapables Mes yeux noyés de pleurs n'y voyaient plus, j'étais aflolé,
de gravir un m inim e exhaussement Un appui lui était néces égaré par la douleur ; la m ort supposée de Yolande me
saire et â tout instant elle se reposait, essoufflée, effondrée, déchirait l ’être, me rendait gémissant.
misérable. La débilité progressive amoindrit sa voix Mon oreille
Elle redoutait les vertiges qui transforment en jouet, effleurait sa bouche et entendait à peine ses paroles ; chaque
bousculent, lancent dans le vide, mettent dans la tète de faible effort l'exténuait; sa vie s éteignait lentement comme
vertigineux tournoiements, remplissent de nausées, ren- une flamme au terme de son élément combustible.
(t) Voir le n» 4. ( A s u iv r e . ) Edouard Gancue.
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------------------------ ê à à à ê è è à è à à à ------------------ ;— ~
Le Magnétisme personnel
Le Sommeil
L a Suggestion(1)
Pa r le Professeur DONATO
C in q u iè m e le ç o n : Q U E L Q U E S S U G G E S T IO N S
Dans le domaine d e là suggestion, les expériences sont I expériences les plus compliquées. Si vous vous trouvez
innombrables. Et si j'en cite quelques-unes à mes lecteurs, devant un public qui s'intéresse aux choses de l'hypnose et
c'est pour leur donner un exemple de ce qu’il leur est pos dont vous sentez lu curiosité excitée, n'hésitez pas à re
sible de faire avec de la volonté et de l'autorité sur leurs chercher • la difficulté » . Le fluide de sympathie qui se pro
sujets Je laisse à leur im agination le soin de trouver d’autres duira dans ce public et qui influencera votre sujet lui-même,
suggestions peut-être plus vous conduira au succès; et
amusantes et plus curieuses. votre volonté s'affirmera consi
Le rôle de ceux qui s'inté dérablement
ressent au magnétisrpe et à Une des expériences qui pro
l'hypnotisme est de chercher duit le plus d'effet est celle-ci :
toujours et c o n t in u e lle m e n t . vous placez votre sujet sur
Voyez Durville, le savant se une chaise, vous lui touchez
crétaire général de notre so la tête avec l'index de la main
ciété, il ne se contente pas droi le, et vous lui dites : «V o u s,
d’être un magnétiseur émé êtes fa-ti-gué, tel-le-m eol fa-D->
rite, mais encore il s'occupe gué, qu'il vous est im possible"
aujourd'hui de cette question de vous lever » . yi
si passionnante du dédouble En prononçant ces paroles,
ment astral du corps humain vous pesez sur la tète du sujet
et est sur le point de donner avec votre doigt, comme si
des preuves convaincantes de vous vouliez le clouer sur son
lk réalité de ce phénomène siège.
magnétique ; voyez, d'un autre Ensuite vous continuez, tou
côté, mon collègue Pickman jours d'une voix claire, lente
qui, après vingt ans d'expé et en scandant vos syllabes :
rimentations publiques sur « Vous ne pouvez pas vous
tous les coins du globe, conti lever, tous les efforts que vous
nue victorieusement ses re feriez seraient ioutiles, vous
présentations en présentant au êtes cloué sur votre chaise ! »
public le résultat de ses tra Naturellement, les person
vaux sur le végétarisme. Tous nes présentes se mettent à
ceux qui sont entrés dans le rire, et votre sujet u p peu vexé
domaine si passionnant de voudrait pouvoir vous échap
« l'occulte • cherchent inlas per. Il se lève un peu, car il a
sablement à enrichir la science fait un grand effort, mais il
de nouvelles découvertes, per est sous l’empire de votre sug-'
mettant enfin de découvrir le gestion, et il retombe sur son
mystère de l'être humain. siège, comme épuisé.
Nos jeunes « apprentis » C'est alors que vous conti
peuvent toujours aspirer à la nuez : • Voyez, l'effet de cette
découverte d'une expérience fatigue se produit insensible
nouvelle Leur champ d'inves Impossible de se lever. ment, vous avez pu vous sou
tigations est immense et dans lever très légèrement, mais
ces expériences de suggestion, sans craindre d'être trop am cette fois, vous êtes clou-é défi-ni-ti-vement. Je vous dé
bitieux, ils ont le devoir de « chercher » comme leurs aînés fends ab-so-lu-ment de vous lever. »
et de nous faire part, pour le plus grand bien de tous, du Et votre sujet, vaincu, s'efforce en vain de se lever, retenu
résultat de leurs recherches par une glu invisible au siège qu'il occupe.
Quand vous avez trouvé un sujet qui se prête facilement k J’ai pris la photographie que je reproduis ici sur un sujet
l'attraction en avant et en arrière, &la catalepsie des bras et absolument réfractaire, un homme de 35 ans, dans la force
des jambes, il vous devient facile de lui faire exécuter les de l'âge, un incroyant de l'hypnotisme. Et vous pouvez voir
tt) Voir n** I A Ci. | sur ses traits la colère qui l’agile en présence des efforts
COURRTEH VU P liO F E S S E V Ji DON A T O
m ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------b
L ’IL L U S IO N
P a r CH. SAILE
II
L a d ir e c t io n dans la v ie .
On hésite sou ven t s a r la direction à prendre dans la ca rré s (d eu xièm e d o ig t de la fig u re ) ou p o in tu s (tr o i
v ie . Il su ffit pour ne pas so trom per d’étu d ier la form e sièm e d o ig t de la fig u re). Si on a des doigts spa-
du bout des d oigts. P o u r ce tulés o n est ap te au com
fa ire on applique les doigts m erce et à toutes les en tre
su r une fe u ille de papier prises pratiques ; si on a les
b la n c sans trop appu yer, et d oigts carrés, à la science
on en trace le con tou r avec et & l ’industrie ; et si on a les
un crayon ; on étudie en d oigts p oin tu s, à l ’art, au
su ite p ou r v o ir si les doigts m ysticism e e t à la poésie.
son t a p a fu ié s (p rem ier d o ig t de la figu re ci-con tre), | P apus.
I4 re , d a n s Je p r o c h a in n u m é ro , le r é s u lta t d e n o tr e e n q u ê te s u r le M Y S TE R E D E LA M O R T
SORCIERS DE PARIS*
G R A N D R O M A N IN É D IT
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La Théorie alchimique
P a r René SC H W A E B LÉ
1 . '
La matière est une, elle évolue. — Preuves d e cette unité et de cette évolution. — Création du soufre, du nickel, d e l’azote.
La m atière-est' une, la m atière évolue. Unité de matière, unité d’eau distillée et 4,7 à 0,6 m illigram m es d'acide sulfurique SO*
de vie. / (quantité suffisante pour saturer 20 m illigram m es d 'am m o
Sur un plat de v erre étendre du v erre pulvérisé en une couche niaque jtzO3). Introduire la capsule et son contenu dans le bocal
égale, sem er quelques.gram m es, cin q p ar exem ple, de graines et ferm er herm étiquem ent. Exposer le tout à des insolations
d e cresson et les arroser exclusivem ent d’eau distillée. Inci régu lières pendant une quinzaine de jou rs, dans les m ois où le
n é re r la réco lte obtenue : dans cette cendre végétale on trouve soleil s'élève le plus au-dessus de l’ horizon. R en trer l ’appareil
de la potasse, de l ’huile, du soufre et des oxydes de fe r et de le s o ir : il ne d oit point voir le soleil levant. Les insolations
m anganèse. P ren dre m aintenant cinq gram m es de graines pa subies, retirer la capsule, la mettre sous une cloche dans une
reille s à celles qu'on a semées, les calciner e t les analyser : on y cham bre n oire et dessécher par l ’acide sulfurique. Cela fait, on
trouve beaucoup m oins de fer que dans les résidus produits par trouve autour de ln capsule une couronne de sulfate d’am m o
l'incinération de la récolte. C'est une véritable transmutation. niaque cristallisé AzH*0, SO3, et au fond de la capsule d e petites
Des plantes cultivées dans un sol p rivé de fe r et alim enté boules liquides à l'état sphéroïdal AzO‘ d’ un rouge brun. Ces
d 'a ir soigneusem ent filtré, finissent par con tenir des quantités boules d on neront un poids de 20 m illigram m es e t le sulfate
notables de sels de fer. Le fe r s’est bien form é par la com bi d'am m oniaque de 79 m illigram m es. Total ; 105 m illigram m es.
naison des gaz de l ’a ir et de l'eau avec les m atières du sol. Les 79 m illigram m es de sulfate d’am moniaque con tiennen t
Le b lé, sem é dans un sable stérile, produit deB graines assez 16,7 m illigram m es d'azote, et les 26 m illigram m es d’acide hypo-
abondantes en phosphate, alors que ni l’air ni le soi ne con tien azotique 7,9 m illigram m es d’azote. En tout : 24,6 m illigram m es
nent des traces d ’acid e phosphorique. d’azote. D'où vient cet azote?
Au Mexique, les chercheurs d 'or disen t : « La chose n’est pas La m atière est une, tous les corps sont form és d e la mêm e
m ilrc » , ce qui signifie que le m inerai sur lequel tombe leur substance m atérielle. Tous les composés d’ une masse sont
pioche est en voie de préparation. Les mines d 'argent peuvent simples, ou, si l’on préfère, tous les corps son t com posés —
con ten ir de l'o r à l’é ta l n a tif; elles peuvent en contenir aussi à com posés de mêm es atomes d iversem ent groupés. La m atière
l é ta l naissant : dans ce cas l ’or est encore d am le ventre de sa vit, évolu e; plongez un cristal d'alun incom plet dans un bain
mère. Une m ine d’argen t s’accroît, se transform e en o r ; une approprié, il rép arera par phénomène d ’hérédité ce qui lu i aura
mine d ’or ne s ’accro ît pas, l’o r étant un corps m ort (1), c’est-à- été e n levé et s’accroîtra régulièrem ent. Tous les m atériaux se
d ire m ûr, adulte, le d e rn ier degré de l’ évolution m étallique, un transform ent dans la terre, la gran de cornue, donnant nais
corps qui en se putréfiant redonnera probablem ent du fer. Le sance à des métaux, à de la houille et d’autres corps plus ou
platine, qui a toutes les propriétés chim iques de l'or, n'est que m oins parfaits suivant le tem ps de cuisson ( t ). (Groupements
de l'o r bianc, de l ’o r dont la couleur est rep liée à l ’intérieur. atomistiques). Toutes les m odalités de la m atière provien nent
P ren dre du sulfhydrale d’am m oniaque ; pour p récip iter le des groupem ents m oléculaires.
soufre sans dégagem ent gazeux d hydrogène sulfuré, em p loyer Comme les autres corps, les divers métaux dérivent du m êm e
l ’acide oxalique ordinaire en dissolution, l ’ajouter goutte par atome et s'accroissent selon des lois déterm inées. Ils évoluent.
goutte afin d’ éviter la réaction acide. Le soufre précipité pèse Les propriétés des m étaux et autres m atériaux résulten t de la
toujours 10 à 15 pour 100 de plus que le soufre contenu à l ’état constitution m oléculaire. Beaucoup de com posés, suivant qu ’ils
p rim itif dans le sulfhvdrate d’am m oniaque. D 'où vient ce soufre cristallisent dans un systèm e ou dans un autre, acquièrent des
en excédent? propriétés d ifférentes sans que le u r com position s’altère ou
P lacer un fil de c u ivre d’un diam ètre déterm iné entre deux change. Le soufre possède des pro p riétés très différentes suivant
bornes ; si l'on provoque un cou rt-circu it le fil se volatilise en la température à laquelle on l'exp ose et la form e cristalline
laissant une odeur de soufre. D’où vient ce soufre? qu’ on lui fait prendre. E t le fam eux m ot isomérie n ’exp lique rien.
Nos tram ways, quand ils sont passés sur un plot, laissent On nomm e isomères les corps qu i, ayant une com position iden
égalem ent une odeur de soufre. E t les paysans disent lorsque tiqu e, jouissent de propriétés différentes. Quand l'isom én e se
l’ éclair tombe : » Ça sent le diable ! » c'est-à-dire le soufre. présente dans les corps réputés sim ples, elle devient l 'allotropie.
P ren dre de l ’huile d ’olive fine, pas rance, et du cuivre rouge Toute m olécu le étant form ée par un groupe d’atomes, ceux-ci
porphyrisé (poudre de b ronze); m ettre 10 gram m es de ce cuivre peuvent d iffé re r non seulem ent par la qualité et le nom bre, mais
dans un matras à fond plat, et dessus verser 70 grammes de encore par la m anière dont ils sont disposés dans la m olécule.
cette huile. Ferm er herm étiquem ent le matras, l'exposer au AMOR e t ROMA s’ écriven t avec les mêmes lettres e t n’on t pas le
soleil et l'agiter chaque jou r. Le cuivre se dissout, donnant une m êm e sens. L’acide fulm inique a la même com position (carbone,
liqueur verte, l'oléate de cuivre. Si l'on veut reprendre le cuivre oxygène, azote) que l ’acide cyanique : le prem ier, soum is à la
à l'état métallique, le plus simple sera m on d 'y ajouter de l'am plus faible élévation de température, détone avec v io le n c e ; l'autre
m oniaque, de l ’acide ou autre chose) de fa ire résin ifier l'oléate résiste à la chaleur rouge. Voilà d eux corps isom ères.
de cuivre et de le m ettre en fusion. A l'analyse il donne du Le zinc, cassant à la tem pérature ordinaire, est-il le m êm e
cu ivre et du nickel. D'où vient ce n ickel? m étal que le zinc ductile et m alléable entre 100 et 150°? N'est-il
P ren d re un bocal de verre à large ouverture, muni d’un bou pas plutôt un corps allotropique de celui-ci (2)?
chon égalem ent de v e rr e , et une capsule d’ une capacité de 20 à
(1) Le temps est un des grands secrets de la nature. Or, les chi
25 centim ètres cubes. Mettre dans la capsule 10 centimètres mistes modernes ne veulent point des longues expériences. Tandis
que les alchimistes ne redoutaient point celles qui auraient plusieurs
(1) Ce qui est mort est mûr. Dans ce qui est mûr oh trouve la années. ,
semence, la graine. (2) La densité d'un corps ne varie donc pas plus que son poids ; il
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—
C A R N E T D U N E C H ERCH EUSE
Tous les c orp s sont des m odifications p olym ériques d’un seul ... Les corps sim ples — com m e les com posés — peuvent se
et même élém ent, des m odifications d e durée plus ou m oins ram ener à quatre élém ents atom iques (l'é lém e n t atomique est
longue. chose pondérable, l ’élém en t atomistique, l’ énergie, est im pondé
MendelejelT a rangé sur une spirale les corps sim ples suivant rab le; un atome d’H est constitué par trois form es de dyna
la progression de leurs poids atom iques, les séparant par des m ism e, chaleur, électricité, m agnétisme, il retourne à l'état de
distances proportionnelles à l'écart de ces poids. Plusieurs des m atière interplanétaire, le m ouvem ent) : hydrogène, oxygène,
cases réservées par MendelejelT à des corps inconnus ont été n io te, carbone, lesquels bien entendu peuvent se ram ener & la
rem plies par des éléments récem m ent découverts, com me Nep substance unique m ue par la lumière astrale — qu'il n 'est d'ail
tune s'est rencontré à l'e n d ro it du c ie l où l’attendait Leverrier. leurs nullem ent nécessaire d e sa vo ir m anier puisque la lum ière
En considérant les rayons de cette toile d ’araignée, on v o it que obscure qui compose les atom es peut deven ir elle-m êm e, à
les porps ayant m êm es propriétés, c'est-à-dire constituant même 1 l ’aid e de notre feu m atériel, l ’agent m utatif. Les métaux sont
fam ille chim ique, ont des poids atom iques m ultiples les uns des donc composés dans des proportion s variable d’ H., d'O., de C et
antres. Us sont don c form és de la polym érisation du plus léger d'Az. (atom es m atérialisés), m atériaux qui, ainsi que l'on t fait
d'entre eux. justem ent rem arquer les anciens alchim istes, se trouvent par
Certaines propriétés on t donné le groupe des métaux. tout.
Si, sous une pression considérable e t continue, à une tem pé Ceux-là prétendaient que les métaux (1) son t form és d e Soufre,
rature constante et relativem ent élevée, avec l’action d’une eau de Mercure et de Sel (qu’ il ne faut pas con fon d re avec le soufre,
chargée de sels m étalliques, l'o n carbonisait du bois, on obtien le mercure e t le sel ordinaires ni avec le Soufre le Mercure e t le
drait de la houille. De m êm e, l'on peut fabriquer de l'or. Sel philosophiques, mais qu'on peut rendre philosophiques, c'est-à-
En som m e^ p ou r passer de la th éorie à la pratique, i l s'agit d ire vivants, protéiques), ou, si l'on p réfère, de Soufre ou C.
d’accom plir en peu de tem ps ce que la nature fait dans un in (atom e secondaire) qu i leur donne la densification, qui les rend
tervalle beaucoup plus long. La P ie rr e philosophale est un fixes, de Mercure ou H. (atome p rim itif) qui leur donnent la
agent qui, je té au sein d’un métal, pro d u it une transform ation volatilisation, et de Sel ou O. (atome p rim itif) qui résout le
atomistique semblable à celle que les m atières organiques su Soufre et le M ercure et les ram ène à l'état d e terre inanaly
bissent lorsqu'une levure les fa it ferm enter. Transmuter le sable (au m oins pour nos chim istes officiels), à l'état de « corps
plom b, par exem ple, en or c’est augm enter sa densité et sa cou sim ple » ; l ’Az. n'est qu'un agent, le ferm ent.
le u r par un nouvel arrangem ent atomistique, (A suivre.) R asé S chwaeblé .
faut considérer le zinc ductile comme un corps différent du zinc cas (I ) Le métal, c'est la matière fixée sous une forme cristalline; le
sant, comme un corps de densité différente. métalloïde n’est pas fixe.
Tout let moi», madame Monroc-Vermont, veulent pas étudieriez questions qu'ils ignorent. Son secrétaire était avec lui.
t i connue dam let milieux spirites. recher La boone foi n'est jamais blâmable. Osez Le soir, après dlaer, tandis que les vagues
chera, pour les lecteurs de la \ ie Mystérieuse, donc franchement, vous tous, savants, gens du murmuraient en mourant sor la plage, que U
les faite mystérieux du monde entier Nous pu peuple, gens du inonde, osez avouer ouverte grand silence de la nuit permettait de perce
blions aujourd'hui ton premier article qui ser ment vos travaux sur ces mystères, faites con voir les moindres bruits de la nature, Jean
v ira d'avant-propoe à f intéressante série qu'elle naître ce que vous obtenez ; c'est le meilleur Ricbepin et son secrétaire, au milieu de ce
nous donnera. moyen de faire trompher la Vérité. grand calme, faisaient tourner la table.
Ce n’est pas seulement à Paris qu’ont lien Ils n'obtinrent d’abord que des choses insigni
ces refcherches Dans l’ univers entier on s'oc fiantes, des lettres ne donnant pas de mots,
cupe des questions de l’au-delà, de la survie, des mots ne formant pas de phrases.
JEAN RICHEPIN SPIRITE de tout ce que nous appelons mystères et Pais un beau soir, la table, par coups frap
phénomènes. On veut savoir. pés, leur raconta toute une histoire : le pro
Beaucoup de personnes ignorent qu’ il existe, Eh bien! amis lecteurs, ce sont les résultats priétaire du chalet qu'ils habitaient avait été
à Paris, des milliers d'intérieurs, salons mon de ces recherches que, grâce à votre journal La assassiné par un tel — et la table donnait
dains et simples chambres d’ouvrierfjoù se Vie Mystérieuse, je porterai à votre connais même le nom de l’assassin qui n'avait jamais
réunissent, le ,soir, quelques amis pour inter sance. été découvert.
roger l’ Inconnu, pour chercher si une partie de El je demande à tous ceux qui obtiennent Jean Richepin et sou secrétaire se demandè
notre E ire survit, d'où vient l'bomme, ce qu'il des manifestations, qui fout des remarques rent ce que signifiait cette histoire, et ce qu’il
est, où il va. intéressantes, même aussi insigmli mies qu'el y avait la de vrai.
N'est-ne pas plus intéressant de se connaî les puissent paraître, je demandeaux médiums, Il fut convenu que le lendemain ils iraient
tre soi-mème, que de compter combien il y a aux savauis.aux gens nu peupleet aux mondains aux renseignements. El ceux-ci furent tels,
de microbes dans une goutte d'eau? de me les communiquer, afin que je pu sseen qu'a la suite de cet démarches, ils jugèrent bon
E t il n'est pas nécessaire d’être de grands faire profiter mes lecteurs qui, moins p ivilé- d'en parler au commissaire de la ville voi
savants ponr se livrer à ces études; tous nous giés qu'eux, n’ont pasencore obtenu de résultats sine.
pouvons chercher. Car ne croyez pas qu'il dans leurs travaux ; je leur donnerai ainsi le Celui-ci fit venir le criminel désigné par la
faille faire fl des recherches des simples courage de poursuivre cesétudesquidemandent table. Dis les premières questions il tomba
n’ ayant reçu qu'une Instruction des plus rudi beaucoup de patience et de persévérance. anéanti. — Mais il y avait prescription, on ne
mentaires. Et par celle solidarité utile à tous, les lec donna pas suite à l'affaire.
Dans chacun de ces intérieurs, on trouve, à teurs de La Vie Mystérieuse seront tenus au Je me suis laissé dire qu'à partir de ce iour
côté de naïvetés grandes parfois, bien des courant de faits intéressants se produisant notre grand poète ne fit plus parler la table.
choses à retenir : partout il y a à glaner. dans le monde entier. N’aurait-ll pas eu tort, après un pareil suc
Malheureusement, un grand nombre de ces Avant de terminer cet article, permettex-moi cès? Aussi, croyez-moi, amis lecteurs, cher
désireux de savoir, se cachent pour faire ces de vous citer une expérience très curieuse ob chez toujours sans découragement, et je vous
expériences, ne voulant pas que Ton sache tenue par notre nouvel académicien Jean Ri- le promets, vous obtiendrez des satisfactions.
qu'ils s’occupent de ces questions. chepio, et qui, connue de quelques-uns, ne
M. M oNnoc-VaaiiONT.
Pourquoi?... l’est pas certainementdebeaucoupd’entrevous.
Beaucoup par crainte de la moquerie des Jean Ritgbepin, désireux de calme et de tran
sceptiques, de ceux qui ne croient à rien par quillité, sans doute pour créer encore un Pour Ion fs communication ou demande de
parti-pris, ou par fanfaronnade. chef-d'œuvre, avait loué en Normandie un renseignements, m'écrire à la Vie Mystérieuse,
Qu’importe pourtant leur opinion s'ils ne chalet sousles pommiers, pris de la mer. 10, rue Saint-Joseph, Parie.
— »2 —
CONSULTATIONS de la Y1E MYSTÉRIEUSE : Avis, Conseils, Recettes et Correspondance
AVIS IMPORTANT : Une large plqçeest réservie, dans chaque numéro Toutes demandes de renseignements, tous envois de mandats-poste,
de la Vie mystérieuse, pour répondre à toutes les questions que nos lec de bons de poste ou timbres relatifs à ces rubriques, doivent être uni
trices et lecteurs voudront bien adresser à nos différents collaborateurs. formément adressés à
La direction littéraire et scientifique de la Vie mystérieuse restant LA VIE MYSTÉRIEUSE, 10, ru© Saint-Joseph, à Paris
étrangère à cette partie consacrée aux consultations médicales, consul mais aux noms des collaborateurs dont les noms suivent :
tations graphologiques et astrologiques, les lectrices, lecteurs et abonnés P our les consultations médicales : M. le D’ Mesnard.
devront écrire directement à chacune des personnalités sous CAutorité — astrologiques : Madame de Lû-usaint.
et la responsabilité desquelles sont faites ces différentes rubriques. — graphologiques : M. 1e professeur Dack.'
C O U R R IE R D E L A M A R R A J N E duction dans les bronches des spectateurs et choisir le matin poor faire les promenades, et,
des artistes, a-t-on le moindre souci, le lende aussi, la soirée. Nous en causerons, du reste,
main d’ une représentation, de chasser l'air au moment opportun.
Marraine Louise répond à toutes les ques
tions à cette place. P our les réponses pressées, vicié, et de le remplacer par de l’air frais? Ja La lumière exerce aussi sou action bienfai
par correspondance, envoyer 30 centimes en mais de la vie ! Que deviendrait la routine ? sante sur nos habitations.
timbres. Et puis.il faudrait du « personnel s, pour faire Un appariement mal exposé devient hu
cette besogne. Le principal, ce sont les grosses mide ; il est froid, et l'on y gagne des rhuma
One Lectrice Mancelle. l* Lavez-vous tou recettes 1 tismes.
jours à l'eau tiède o.ù vous mettrez ou peu de Mais, sans aller chercher si loin, les cham Un appartement, au contraire, qui reçoit
teinture de benjoin ; après quoi, à l’ aide d’un bres à coucher, dans lesquelles, sans être ni directement les rayons du soleil levant, est sain
tampon d'ouate hydrophile, lotionnez le vi malades, ni paresseux, nous passons un boa et toujours agréable à habiter.
sage et le cou avec : tiers de notre existence, ne sont-elles pas, le Et ne savez-vous pas, aussi, amis lecteurs,
Eau oxygénée.................20 grammes. plus souvent, calfeutrées, encombrées de mille que pour un malade, c'est un réconfort moral,
Ean de roses................. 40 — bibelots inutiles? Et le lit, — sauf chez les très appréciable, d'y voir bien clair; et de voir,
Glycérine........................10 — hygiénistes raffinés, — ne disparali-il pas, sur nés le matin, les rayons do soleil filtrer à tra
tout l’ hiver, sous des rideaux épais? vers les rideaux ?
Buvez en outre chaque matin à jeun, une El, cependant, notez qne, bien avant que De l’ air ! De la lumière !
tasse de tisane de gruau, 2* Le savon au vienne le jour, l'acide carbonique qne vous D ' E. Meskard .
soufre vous conviendrait parfaitement; O fr. 60 expirez, se mélangeant aux autres exhalaisons
le pain chez les pharmaciens. de vos corps, a rendu l’atmosphère pesante ; ce
II. T ... S7. 1- — Demandez à la librairie qui, souvent, au réveil, vous occasionne des
J. Tallandier. 8, rue Saiul-Josepb, Le Rêveil - maux de tète, dont vous ne devinez pas la Courrier du Docteur.
Mémoire, 1 fr. 75 le volume. — 2» Mettre cause. Leux de nos lecteurs qui désirent recevoir
chaque soir sur les sourcils on peu de vase Que peut-on attendre, alors, d'un sommeil à celle place une consultation médicale du
line résorcioée; le lendemain matin, les net* auquel on s'abandonne dans de telles condi D' Mesnard. sont priés de lui envoyer, au bu
loyer avec de l'alcool à 60 degrés. tions? reau du journul, des détails sur leur élal gé
Violette des bois. — 1* La recette du Lait Mes amis, croyez-en ma vieille expérience : néral. et sur les souffrances qu'ils endurent.
Virginal a paru dans le n® 2 du 25 janvier der il faut laisser péuétrer l'air; et là, surtout, où Joindre un bon deposle de deux francs.
nier. 2* Pour votre poitrine, je ne puis répondre il y a des enfants, car ceux-ci ont uue activité Ceux qu i itésireront une consultation plus
que par lettre particulière. respiratoire plus grande que les adultes. détaillée par lettre particulière devront jo in
P . T... — Certainement, chère mademoi Comme le feu, l'air pur assainit tout dre à leur demande un bon de trois francs.
selle, écrivez-moi. Je vous comprends, et je Dans les lycée- et collèges, dans les écoles
ferai de mon mieux pour vous rendre la *ie publiques, il conviendrait d'être très strict, en Abbé L oum . à Z . — Il faut, pour cela, ne
plus douce, par le réconfort de ma vive sym- ce qui concerne l’aérage. Et, peut-être, pour penser qu'à cette seule chose, concentrer toute
paihie. rait-on convenir de ceci ç c'est que, souvent, votre volonté. Vous réussirez sûrement, mais
Solange J. — Même réponse qu’à H. T... 27. des ' affections attribuées, chez des pension il faut de l’étude, et cela doit être facile pour
naires, à un excès de travail, proviennent, vous. — Le tabac prisé laisse souvent une
/tnaii, o Issoirt. — Ceci n’est pas de mon irritation de l'arrière-gorge, et une baleine
ressort, adressez-vous de ma part à madame plutô1, de la ventilation défectueuse des salles
d’études, l’ hiver surtout. En ce .qui concerne tout aussi mauvaise que le tabac fumé.
de Lieusaint. Lavage de la bouche à l'infusion de feuilles
J. M... 70. — Trempez souvent vos mains la dimension des locaux, elle doit toujours être
calculée d'après le nombre et d'après la durée de sauge.
dans de l'eau très salée et fortement alcoo L ili et Lololte. Versailles. — Des petites
du séjour des enfants ou des jeunes gens, qui
lisée. filles comme vous mériteraient le fouet —
doivent les occuper.
Marie Moniez. — Je ne réponds qu'aux Il faut, plusieurs fois par jour, en profitant Le médecin ne peut pas vous donner des con
lettres accompagnées de 0 fr. 80 en tim des moments de sortie, ouvrir les fenêtres, et seils que vos parents réprouveraient. Si
bres. Portez un talisman de chance, le sca faire des courants d’air, qui, (comme le mis vous n avez jamais de plus gros chagrins, la
rabée par exemple, et vous réussirez dans vos vie vous sera douce — Et c'est ce que je vous
tral des Maiseillais.j balayent les impuretés,
désirs. et renouvellent l'atmosphère. souhaite. — Ayez de la grandeur d inné, c'est
Mahhaine L ouise. Vers la fin de janvier, on s'aperçoit déjà que là toute mon ordonnance.
les «jours allongent », — pour me servir de Madame Victor X, à Laon. — Non. madame,
cette vieille expression comprise de tous les je ne donne pas de consultations pour le»
Français. — Le bon soleil, lorsqu'il se montre, animaux. — Je les aime beaucoup, je les
L a c o n s u lta tio n d u d o c te u r . admire même, parce que, ne parlant pas. ils
a toujours une ternie anémique ; mais on sent,
en lui. le générateur de toute chose. pensent, sans doute, beaucoup, mais je ne
DE l ' a ir ! DE LA LUMIERE ! peux entrer dans cet ordre d'idées, qui nous
Maîtres, mères, parents, exposez chaque
Lorsqu'on se sent malade, que fait-on ? Le jour les eofants a l'action vivifiante du «oleil mènerait trop loin. — Je reprouve, absolu
plus habituellement, on fait appeler un méde et de l'air. Choisissez vos promenades. Faites ment, celte habitude d'un animal couchant
cin. — Celui-ci fait une ordonnance ; il expli de la marche, de la course; que l'on gambade, dans un l i t
que comment devront être pris les médica que l’on s'amuse; et ces chevauchées enfan One abonnée. — Ne coupez pas vos cheveux,
ments qu'il a prescrits, puis, après queluues tines vous économiseront de l'huile de foie de cela ne servirait à rien. Nettoyez les cheveux
conseils généraux, il prend congé du malade morue. et le cuir chevelu avec une légère décoction
que, dans les cas légers, il ne revoit souvent En général, je crois qu'ou n'apprécie pas de bois de pauama. Séchez, frictionnez la racine
pas. assez l'importance du soleil, et, même, de la avec de la vaseline liquide. Cbaque mois, re
Mais, le médecin parti, si, dans la famille, lumière, sur le développement de l’espèce hu commencez deux fois, et brûles l’extrémité
on avait queluues notions d'hygiène, combien maine, et. en particulier, sur le développement des cheveux d'environ un demi-centimètre.
on éviterait de contaminations; et combien, de l'enfant et de la femme. Comme l air, la D’ E. M e s n a i d .
aussi, on abrégerait de convalescences! lumière est surtout indispensable aux sujets
L'air, par exemple, est, saches-le bien, in-, lymphatiques.
dispensante à la vie; et l'on doit tout faire, Sans lumière, ou avec une lumière insuffi C o u r r ie r a s t r o lo g iq u e .
surtout dans les grands centres, poor essayer sante, les globules rouges du San* diminuent
de le respirer aussi pur que possible. — Tout de nombre. L'anémie est là, qui guette. Et Ceux Je nos lecteurs oui voudront connaître
le monde connaît l'action délétère, exercée sur l'anémie, c'est la porte d'entrée la plbs facile leur cie l horoscopique, l'étoile sous laquelle Ut
l'économie, par une grande masse de per pour la tuberculose. N'exagérons rien, cepen sont nés, la planète qui lee régit, les présages
sonnes enfermées dans un local insufllsammeni dant. Nous sommes eu hiver, et nous pouvons de leur signe sodiacal (passé, présent, avenir),
ventilé? Et, cependant, dans beaucoup d'ate braver les rayons du soleil ; mais, an prin devi-onl s'adresser à madame de Lieusaint,
liers, se donne-t-on la peine d’aérer autant temps, et sdnout en été, il y aurait folie à Vastrologue bien connue, chargée de cette ru
qu'il le faudrait? Dans les tbé&tres, où la exposer des enfants, pendant plusieurs heures, brique à la Vie Mystérieuse.
poussière danse un ballet spécial, avec intro aux rayons solaires. I l faut, à ces époques, Consultation abrégée par la voie du jour ■
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•-««W ii**-.». ■ «- W R
C0UJ{J{7EHS
n a l, t fra n c s ; consu ltation d éta illé e p a r le ttre modl; couleur : gris; pierre : saphir; maladio : degré du Capricorne; idées tristes, spleen, déconra-
p a rtic u liè r e , S fr o n c e . Adresser m a n dat ou bon jambes.
Alexandre L., Hyères. — Jupitor dans lo loizième
E ment. Domandoz-moi uno lottro particulière — en
faisant adresser choz une amie — et je vons don
d e poste à madame de Lieu saint, a u x b u rea u x
degré du Lion donne au suiet un caractère bizarre, nerai une formule qui voua délivrera. En mariage,
d u jo u r n a l, en in d iqu a nt la da te de sa nais désaccord de goûta et d'habitudes, parfois trahison.
fait d'inconséquences et d’heureuses initiatives; il
sance (q u an tièm e, mois e t a nnée) e t s i possible donne la générosité trop grande ou l’avarice trop A partir do 1910, votre horizon s’éclaircit. 11 faut
l'h e u re d e la naissance. mesquine. Santé excellente, vie longue, amour des craindre an deuil dans votre famille et vous attendre
Ont élourdic. — C’n l bien TOtro nom, chère lec belles choses et du luxe, sincérité en amour. Beau* à un voyage désagréablo en 1909. No croyez pas aux
trice, car tous area oublié d'éclairer votre lanterne. coup d’argent dans son horoscope, mais assez tar rêves qui no sont nue le reflot de l’ imagination. Jour
Vous posez douze questions auxquelles j e ne répon divement. Jour-favorable : jeudi; couleur : vort; favorable ^samedi ; couleur : vert ; pierre : perle ;
drai pas du roste, il mo faudrait lo tournai tout en pierre : rubis; maladie : cœur. Talisman : Jupiter. métal : argont. Talisman : lune.
tier, mais voua no mo donnez pas do date de nais J. B. B. //. — Vous ôtes néo un samodi, dans le dix-
sance. Demandcz-moi donc plutôt une lettre septièmo degré du Vorseau ; sous la double influence
particulière, je pourrai contenter votre curiosité. degré dos Gémoaux. La famille joi de Mercure et do Saturne. Beaucoup de larmes dans
A plusieurs. — Je suis débordée, excusez n dans votre vie et voua resterez longtemps sous son votre vie mais boaucoup de sourires aussi. Vie
tard ; voui influence, qui peut être bonne. Grande activité cé mouvementée, jamais ennuyeuse, des voyaffes, de
rébrale; jamais de grandes richesses, mais uno heu l’imprévu, uno chance insolente en argont. Vie sen
reuse aisance, apres de grands ennuis de famille. II timentale plutôt tristo n cause d’ une grande sensi
faut craindre les jalousies, les mesquinerios, les bilité. Protection oecnlte dans les moments difficiles.
des nouvelles cet été qui vous feront un sensible dénis de justico. Mariage harmonique avec chagrin à Jour favorablo : samodi ; couleur : ornngo ; métal :
plaisir. Vous devez vous attendre à des caloranion. à cause d’enfants. Jour favorablo; mercredi; couleur: plomb ; pierre : jais ; maladie : os. Talisman : Sa-
des injustices, à des potins, à dos cancans qui tâche* gris; piorre : diamant ; maladie .• douleurs rhuma
font do vous faire du tort dans votre honneur. Ne tismales. Talisman A porter : Morcuro. Vous êtes G. G. — Lo quinzième degré du Bélior vous
née un vendredi. influence sous l’agldo naturelle de Mars. L'an
Désolée, — Vous êtes néo an ioudi, sous lo Sagit née 1909 sera excellente pour vous sous tous les
opale ; maladie : reins. Talisman : Jupiter. taire. Votre signe zodiacal se place sous ls protec rapports moraux ot matériels. Votre ambition natu
A. M., 133, Toulouse. — C’est le Sagittaire qui vous tion de Mercuie, planète de l'argent, doat 11 faut relle trouvera sa réalisation soua pen de mois et un
influence, un lundi : 1* Vous avez grande chanco de
succès on commerce ou en industrie; 1* initiative
porter le talisman. Grandes peines de ecrur, par
suite de désaccord de goûts et d’habitudes avoc une
e roiet qui voua eat cher est sur le point d'aboutir.
étiez-vous de la colère qni est mauvaise conseil
lère et qui vous agite souvent. Soyez aussi plus
C isante, élévation certaine de position ; 9* toutes
chances de Destinée dans la deuxième partie
de la v ie ; t* héritage à la suite d’un grand deuil.
C irsonne qui vous est chère. L’année 1909 doit ponr-
nt vous être favorable sous tous les rapports ; vos
chances d’argent aont magnifiques à partir de 191o.
douce, moins nerveuse. Héritage en 1911. Jour favo
rablo : mardi ; pierre : onyx ; couleur : rougo ; mé
Méfiez-vous des fausses amitiés dont parle lo philo Jour favorable : jeudi; couleur :blou; piorre: rubis*; tal : plomb ; maladie : tète. Talisman : 8aturno.
sophe, elles vous causeront dos ennuis ot des cha maladio : cœur. B. B. V., Liège. — Vous ôtes né, Monsieur, sous le
grins méfiez-vous aussi d’une petite maladio du Soucieuse de l ’avenir. — Vous Atos néo sous la signe des Gémeaux. Vous avez grande chance de
ventre. Jour favorable: jeudi; couleur: blanc; Balanco, signe d’équilibre, un samodi, sous l’ in réussite dans vos projets à cause do l’influoncc de
piorre : agate. Talisman : Jupiter. fluence directe de Vénus, qui va vous protéger au la planèto Morcuro, qui vous donne l’activité, la
Marcel, Paris. — Mauvaise planète que Saturne point de vue mariago, bien quo vous ayez eu bien confiance en vous, l'initiative et rinlelligenco, En
£ i vous signe dans le Capricorne, au vingt-sixième
gré. Beaucoup de lnttes au sujet de situation, avec
une élévation tardive, mais certaine. Ennuis d’ordre
dos peines déjà à ce snjol. Mariago désigné au
printemps 1910 avoc veuf sens eufants. Ennuis de
ouvrant boutique, le succès doit être encore plus
grand. Excellent horoscope, si vous savoz chasser
une paresse d’esprit qui vous domine quelquefois.
famille, brouille avec des parents, difficultés con
sentimental, dangers de trahison ot d’accident de cernant un héritage. Jour favorable : vendredi ; cou- Chance en mariage par femme intelligente, labo
voiture, auto et bicyclette. Voyage on 1909. Jour lour : noir ; pierre : agate ; maladie : reins. Portoz le rieuse et fidèle. Jour favorable : mercredi , couleur :
favorablo : samedi; couleur : noir; pierre ; agato ; talisman do Vénus. g ris ; pierro : béryl; maladie à craindre : douleurs.
maladie à craindre : douleurs aux jambes. Talisman Talisman : Mercure.
à porter : Saturne. Sophie Sepm i l . - Vous Otos signée por Saturne,
dans lo Verseau, un vondrodi. Beaucoup do diffi Petite sauvageonne. — Un samedi, sous le signe
Lillan. — Excellent signe pour l’amour, Made cultés matérielles A vaincre, enfants délicats qui de la Balance, sous l’influence de Vénus, tel est
moiselle, que le Taureau, surtout quand los planètes seront difficiles à élever. Pou de chances avant votre aspect zodiacal, ma charmante sauvageonne.
influençant le sujet sont Vénus et Mercure, dans le l’Ago de 42 ans. Argent par héritage, don ou legs. E t votre avenir s’ouvre sur un sourire. Vous pouvez
dix-septième degré. 1* à l ’âge de 20 ans; 2* position peut-être souffrir un pen da cœur, mais tout s’ar
du funré indépendante, avec grands succès dans sa rangera. Tout s'arrange dans votre vie du reste et
carrière; 3* vous l'ignorez; 4* mariage d'argent et- calme et heureuse, a 0 alternatives de chances et je a ai jamais vu un horoscope aussi pleia de joies.
d’amour; 5* il aura six ans do plus que vous. Jdur Sachez en profiter et ne vous inquiétez pas des pe
favorablo : vendredi : couleur harmonique : vert ; pierre : agate ; maladio : ventre. Talisman : Saturne. tites pierres que vous trouverez sur votre route.
pierre : topaze ; maladie à craindre : gorge. Talisman Une fervente de l'Astrologie. — Vous Otes sous Jamais de grande fortune, mais une paix morale
a porter : Vénus, fje peux vous l’ envoyer pour 5 fr.). l ’influence de* Mercure, dans le vingt-quatrième bien supérieure A l’argent. Jourfavorable : vendredi ;
Marthe, L. G. — C’est Saturne qui vous influence, degré de la Vierge, excellent signe pour l ’argent, — jour de Venus dont il faut porter le talisman ;
mais par la positioa de votre signe dans la X* maison, mais peu favorable pour le cœur. Vous avez dû pierre : diamant; couleur : v e rt, flour : lilas ; mala
8aturne généralement mauvaissliamanisepour vous. beaucoup souffrir de ee côté. L’an 1909 est une die à craindre : cœur.
Quelques désaccords dans le mariage, mais qni peu année de calme pour vous, moral et matériel, et Marg. 46. — Votre horoscope est bon, celui de
vent se calmer par des concessions mu ta elles. Idées 1910. une année de voyage et d’argent. Avenir sou votre mari mauvais : lui eubit l'iufluencw des Pois
tristes, spleen, découragement qu’il faut essaver de riant, an milieu des fleurs et de fa verdure. Sym - sons. voua, celle du Bélier. 11 doit être buveur
vaincre. Héritage certain qui aplanit des difficultés pathies et amies sincères. Jour favorable mer querelleur, hAbleur. car il est sous la domination de
d’argent. Grandes joies en 1909. Jour favorable sa credi; couleur :g ris ; pierre : jaspe; maladie : es Mars ; vous, chère madame, Jupiter entre dans votre
medi; couleur : rose; pierre : onyx; maladie à tomac. Talisman : Mercure. Vous êtes née uo ciel pour vous donner un courage qui s’affaiblit
craindre t estomac. Talisman à porter : Mercure. mardi. quelauefoia ot un désir de voir votre époux s’amen
H . M.. Lille. — C’est Jupiter qui vous influence, Aimant savoir. — Ce monsieur est né sous le der. Ne désespérez pas de l'avenir, ne désespérez
au treizième degré du Sagittaire. Présage de réus signe de là Balance, et sous la protection de Vénus. pas de voa enfanta, ils ne sont pas mauvais. 1910
site et de haute élévation de position, signe de Timidité qui peut entraver la réussite sociale; géné vous promet des joies et un changement de situa
mystère et de protection providentielles dans les rosité et imprévoyance; cœur an peu versatile et tion : votre mari *«• guérira de sa funeste passion,
moments les plus critiques. Méfiez-vous de votre changeant, m is au fond grande bonté et qualités pas eetlo année malheureusement. Jour : mardi; cou-
sensibilité dans les choses do cœur; elle pourrait d’esprit et d’intelligence. Chances de fortune tar leur : noir ; pierre : jaspe ; maladie : tète. Talis
vous faire commettre des fautes graves. Chances de dives. bouleversement de situation ; dangers de man : Mare.
fortune superbes, surtout dan* la deuxième partie l erte d’argent par vol ou mauvaise» spéculations. Confiante en l'aimable astrologue. — Mauvais
de la vis. Jour favorable : jeudi ; couleur : violet: Jour : vendredi ; couleur : vert ; pierre : opale ; ma signe que le votre, mademoiselle, car le Scorpion
S erre : grenat; maladie à craindre : poitrine. Portez
talisman de Jopiter.
Bglantint. — Voire je
ladie : reins. Talisman : Venus
U. /. A. à L . . — Vénus vous protège également
dans la Balance, mais ce n'est pas au mâmo degré.
est dans vôtre ciel horoscopique, sous la double
influence de Mars et de Saturoe. Vie sacrifiée par
dévouement, pleine de trahisons, de méchancetés et
.upiter. EUe aura à so _____ Voyages nombreux et profitables ; ennuis par la la* de jalousies. La Destinée vous réserve eu compen
d'arriver à la réussite finale, luttes morales mille, chagrins d’amour, mariage contrarié. 1909 ne sation uoe vieillesse paisible entourée de grandes
térielles dans le vingt-cinquième degré du Sagit vous est pas favorable, 1910 est incertain, aeul 1911 affections, et la réalisation d'un désir qui vous est
taire. Il loi faudrait acquérir de la volonté, plus t’éclaire de sourires. Craignez l«*s trahisons, los cher. Difficultés d’ordre matériel, danger de procès.
d’ initiative, moins de laisser-aller, de façon à lutter jalonniez. Ica cancaus. Grand succès dans commerce, Jour favorable : mardi ; couleur : noir ; pierre :
contre les mauvaises influences de la Destinée. affaires ou industrie à cause de la présence de Mer améthyste ; maladie : ventre ; Talisman à porter :
Santé plutôt chancelante, nature an peu lymphatique. cure dans votre ciel. Jour : vendredi; couleur : gri» ; Mercure
Le bonheur véritable lai arrivera vers l'Age de 25 ou pierre : diamant ; maladie : ventre. Talisman. Mer- William L. Bordeaux. — Naissance un lundi sous
29 ans. Jour favorable : jeudi; couleur : rouge; le Sagittaire, soue l’influence de Jupiter Grave dan
pierre : améthyste; maladie à craindre : estomac. M. P. B. 46. — C’eut le Cancer qui voua influence, ger de maladie organique, bien eorveiller le moindre
Talisman à porter : Vénus, comme vous, chère ma Madame, sou* 1a signature de 1a Lune. Sijrae plutôt malaise Elévation de position par suite de protec
dame. (Je peux vota l'envoyer contre 5 francs). défavorable au point de vue du cœur, vie agitée. tions influentes. Chances d’argont trèe sérieuses à
Llson. H y ères. — Vous êtes née sous le Verseau, partir de 1910. Votre horoscope indique deux ma
tons l’influence de Saturne et de Mercure ; la se (leine de déceptions, avec de trop raree chancee.
■prit contemplatif, sensitif, qni subit l’ambiance riages, l’ un peu favorable, l’autre harmonique.
conde planète corrigeant la première. Excellents Voyage en 1909, agréable et profitable. Procès en
présages de chances matérielles, mais ennuis cer perspective. Jour : jeudi ; couleur : gris : pierre *
tains au point da vue sentimental. Dangers de tra héritage______ ___ .... _ grenat ; maladie : estomac. Talisman : Jupiter.
hisons, de parole non teaae.de chagrins d’amour; i vendredi matin.) Jour favorable : lundi ; eouleui Paris-Rote. — Jupiter vous protège, ce qui doit
vous serez victime de commérages qui tâcheront de rouge ; métal : cuivre ; pierre : turquoiee. Talisman : vous donner une nature affable, charmante et pro
vous faire du tort dans votre réputation et dans vos Vénas. tectrice. Male vous avez dû souffrir du manque de
intérêts. Portes le talisman de Saturne qui vous Helolse M. il. L. — Voue ne pouvez pas être trèe volonté et de votre sensibilité qui est extrême. Pas
. Héritage vers 1917. Jour ffcvorable : sa* heureuse, éuut née un lundi, dans le dix-huitième de lot à la loterie avant 1912, époque où vous avqn
c o u j w ie h s
uno petite chance, mais malgré tout, argont qui vous A une Marnaise. — Vous subissez l’influence de Amoureuse. — Amoureuse pout-ôtro, mais pra
parvient par une autre source et d’une .façon ines Vénus dans le Taureau. Espéreroz toot do l ’amour tique-surtout. La acriptrice. peut suivre les aspira- -
pérée. Vieillosso calmo, mais attristée par un deuil chère onfant. Votre horoscopo est dans sa plénitude tions de son cœur, mais à la condition que ses in
cruel. Vous faites la paix avoc uno personne avec et ne prédit quo d’oxcollentea choses. Pas de grosse térêts no soient pas lésés. Non, ce n’est pas une
laquelle vous étiazfàchéo dopuis longtemps. Voyage fortune, mais uno bollo aisance, mariage heureux écriture d’avare, mais c’est l’écriture d’ une femme
agréable en 1009. Jour favorablo : jeudi; couleur : en 1910 après quolquos difficultés familiales. Voyages qui tiont à l’argent, soit pour l’économiser, soit
bleu ; pierre : topaze ; mnladio : ostomnç. Talisman : nombroux ot agréablos, vie longuo. Jour favorable : pour lo dilapider. Ordro, grande propreté moralo et
Jupiter. Vous étos néo un dimancho. vendrodi (jour do votro nalssanco du reste), cou physiqun. désir de plairo et d’ôtre admirée. Coquet-
Penjem. — Vous êtes néo un dimancho, Madame, leur : roiigo. pierro : turquoise griffée de cuivre, terio innée. Peut fairo lo bonheur d’un mari qui ne
sous le signe du Sagittaire. Votre horoscope est un fleur ; seringa. Talisman à porter : Vénus. sont pas jaloux.
horoscope d’ inconnu ; .votro vio doit être mouve MADAMK DB LiBUSAINT. François Bel. — Ecrituro do bonté et de sensibi
mentée îusqu’ù votre mort, ploino do chances, mais lité; lo scripteur aura beaucoup de peino à réussir
pleine de revers aussi. La fainillo vous est défavo s’il n’introduit pas un pou d’égoïàmo dans sa vie.
rable, et vous n’en nrofltoroz quo pnr un héritage C ou rrier gra p h o lo giq u e. Parosso d’esprit; intelligence qui s’nffalsao parfois k
certain qui est inscrit on 1911. Dnngors d’accident la suito do certains excès sonsuols. Projots pleins
ar le fer. Vie longue avec crainte do maladie,gravo. d’initiative qui restent à l’état de... projots par
Ï our : jeudi; couleur: blou ; pierro : grenat; maladie
C e u x d e nos lecteurs qui désireront u n e a n a
suite do manque de volonté. En sommo, écriture un
lyse d e leur écriture (caractère, portrait p h y
^craindre : jambon. Talisman : Jupftor. pou mollo qui sent le manquo do courago dans les
Une curieuse bordelaise. — Vous étos née sous le sique et moral, présages) devront s'adresser a u hourts do la vie.
18» degré de la Vierge, influoncé pnr Mars. Mauvais professeur tiack, graphologue, do n t la science Cyrano n» 1. — Ecriture de franchise, de gaîté
signe pour le mariago, chèro mndnmo, avec dangers et la perspicacité sont sans rivales et qui est ot ao sensibilité. La scriptrico ost d’humenr opti
ou de désaccord, ou do séparation ou do veuvage. c h argé de celle rubrique à la Vie Mystérieuse. miste, et tout s ’arrangera au mieux dans sa vio à
Grande activité cérébrnlo, trop d'imagination. Vous Consultation abrégée o a r la voie d u journal, cause do col excellent caractère. Grande initialivo,
ôtes destinée à avoir bonucoup d’argent, par héri i francs; consultation détaillée p a r lettre p a r intelligence développée avec une pointe d’entôte-
tage, don, legs ou lot à une loterio, mais pas mont ; un pou d’égoïsme, mais tempéré par une
ticulière, ï francs. Adresser m a n d a t o u b o n de serviabilité ot un dévouement sar lesquels on peut
avant 1912 ; en rovancho grossos peines de cœur.
Jour favorable : tnercrodi; coulour : orange; pierre : poste à M. le professeur U a c k en envoyant un comptor. Grande sensualité.
onyx; maladie : os ; Talisman à portor : baturne. spécimen tlécriture et,sipossible, u n e signature. ' Cyrano n• 2. — Ecriture de volonté. Le scripteur
103 à B. — Vous ôtos inscrit dans le signe de la U n N o rmand à Paris. — Vous vous calomnioz, connaît lo but qu’il veut atteindre et fera l’impos-
Vierge, au 24' degré, sous l ’égide do Mercure. Monsieur. Votro écrituro ost collo d’un bravo siblo pour trouvor lo succès, on renversant les obs-
Excellent présage d’argent, mais dans la deuxiomo hommo qui rechercha surtout la paix et ln tranquil tacloB s'il on trouve sur son passage. Beaucoup
artio de la vie. Votre mauvais mois ost mars, vos d’égoïsuio envers les étrangers, mais déair d’ôtre
E ons mois avril, septembre et novombro; vos bons
lité. Un pou do nervosité peut-être, mais qui so
calme rapidomont par ln rûfloxion. Esprit caus- agréable k ceux qu’il aime. Je crains pour lui une
maladie de cœur, résultat de sa trop grande vivacité
C nrs les mercredi, vondredi ot samedi. Votre cou-
ur : le gris ; votro pierro, le jaspe ; votre maladie à
tiquo ; douce philosophio, indulgence pour les dé-
fnut» d’autrui. Est capable de aévouoment envers et de son surmenage au travail. On pout compter
craindre : le ventre. Vie mouvomontéo, avec grauds sur sa parole quand il a promis.
revers et grandes chances Ennuis de famille. Fugitive. — impossible d’analyser 1écriture de Cyrano n* J — Ecriture un peu hésitante, un
Gaston E d o u a n B..., à Reims. — Vous ôtes inscrit cotte personne sur uno simple adresse do carte pos peu molle. Boaucoup d’initiative, mais a besoin
dans le 60* degré des Gémeaux, sou* l’influence de tale. üiï faut-il vous retourner vos deux francs ? d’être poussé, guidé, encouragé pour mettre ses
Vénus. Il faut vous déflor do votro cœur, cher Mon Pour voire seronde question, adressez-vous au doc- bonnes idées à exécution. Un grand cœur, dont il
sieur; la passion amourouso pout vous fairo com tour Mcanard charge du service médical de la Vie sera dnpo. une iodulgence extrême pour les dé
mettre de grosses fautes, Réussite dans un com Mj/sterieuse. fauts d'autrui. sociabilité, désir d’ôtre utile.
merce d’art ou de décoration, Mariage en 1911 , U n A-tacien, allemand maigre lui. — 1* Je peux Réussira dans la vie autant par ses qualités qno
heureux et assez fortuné. Dnngors d accidents du vous adresser un- analyse complote, présages, des par ses défauts.
bicyclette ou d’auto. Jour favorablo : vendredi ; cou criptions graphiquos contre mandat île dix francs :
leur : bleu, pierre : agate; métal ; mercure; maladie : 2* non. je ne reçois pas. mon traité avec la Vie P rop* Dack .
gorge. Talisman . Morcuro. Mystérieuse me l ’interdit.
;
>
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