FICHE DE LECTURE

&
RÉSUMÉ

Afnane Arrich
 Fiche de lecture :
Titre : Imposture des mots

Auteur : Yasmina Khadra

Edition : Pocket

Biographie : Yasmina Khadra est le pseudonyme de l'écrivain Mohamed

Moulessho. Il est né le 10 janvier 1955 à Kenadsa dans le sahara algérienne.
À l'age de 9 ans son père le confie à une école militaire dont il se tourna
vers l'écriture comme un moyen pour ressortir ses réprimées .

Sa trilogie : les hirondelles de kaboul, l'Attentat, les sirènes de Baghdad et

Cousine K.

Thème : Récit autobiographique

Personnages : Mohamed (l'utilisation du pronom "je" désigne qu'il y'a une

identité du narrateur comme étant personnage principal)
tout au long de son récit, il s'est contenté de citer des personnages réels qui
existe comme : Sa femme (Jasmine Verte), ses enfants (Ghizlene,
Mohammed, Hasnia), ses amis ( Christian Salmon, Xhevet Bajraj, Monica
Mansoor, Florence Aubenas, Boualam Sansal, Madame Hélas, Enrique
Seran, Bernard Barrault, Jean Luc,..), des écrivains poètes et philosophe (
Nazim Hikmat, Kateb Yacine, Madame Hélas,..)
Certains éléments de la pure fiction de l'auteur qui sont des personnages
fictifs de l'auteur ecrits des personnages fantomes : Zane ( un nain qui
occupe le role de détective), Hadj Maurice ( le canapé Ecalrate), Salah
Indochine, Brahim Liob (célèbre commissaire de la trilogie policière)
Résumé : Dans L'imposture des mots, Yasmina Khadra fait parler ses
personnages. Ils leur redonnent vie hors de leurs romans, ils entament des
discussions enflammées avec leur "créateur". Certains lui reprochent
amèrement le destin qu'il leur a tracé de sa plume tranchante et grinçante.
D'autres le remercient pour ses choix. Tant de tergivergence dans l'esprit
d'un écrivain torturé, un plumitif qui doute, m'étonne toujours. Je bois ses
mots et savoure ses phrases et je puise ma force de ses convictions et de
ses rêves.
Dans ce roman, il se regarde dans les yeux des "autres", ceux qui le
détestent, le condamnent et lui crachent leur haine à la figure sans
vergogne et ceux qui croient en lui, sur qui ses mots tombent comme une
bénédiction, pluie de fraîcheur et de vie. Dans ce roman, les mots sont des
fantômes qui hantent l'écrivain.