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Bel-Ami

Présentation de l’auteur :
Guy de Maupassant est un écrivain et journaliste littéraire français née le 5aout 1850 au
château de Miromesnil et mort le 6 juillet 1893 à Paris.
Lié à Gustave Flaubert et a Emile Zola, Maupassant a marqué la littérature par ses six
romans. Cet œuvre retienne l’attention par leur force réaliste, la présence importante du
fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent, mais aussi par la
maitrise stylistique. La carrière littéraire de Guy de Maupassant se limite à une décennie.
De 1880 à 1890.

Résumé de l’œuvre :

L'histoire de Bel Ami parle de l'ascension sociale de Georges Duroy de Cante. Ce dernier,
ambitieux et séducteur va passer de simple employé des chemins de fer du Nord au
sommet de la pyramide sociale. Il doit sa fabuleuse ascension à ses principaux atouts, à
ses maîtresses (les femmes conseillant dans l'ombre leurs maris) et à la collusion entre la
finance, la politique et la presse.

Quelques mots du roman :

« Article » : Ce mots-là m’évoque les débuts de Georges Duroy avec son article sur
l’Algérie.

« Amour » : J’ai choisi ce mot car il n’a pas vraiment sa place dans ce roman. Georges
Duroy n’enchaine les femmes, pour lui elles ne sont que des conquêtes en plus. Il ferait
même tout pour nous faire penser qu’il ignorerait presque la signification de ce mot.

« Satirique » : Ce roman appartient au registre satirique ainsi que celui du comique, car il
est destiné à faire rire mais aussi à dénoncer une cause

« Mme de marelles » : Clotilde de Marelles va se faire envouter par Georges Duroy, celui-
ci va la tromper à de nombreuses reprises, mais elle restera tout de même fidèle. Les
retours de flammes arrivèrent car a la fin de l’œuvre Georges Duroy se rappellera d’elle
qui n’a jamais cessé de l’aimer

Choix d’un passage du roman :

« Soudain il aperçût madame de Marelles, et le souvenir de tous les baisers qu’il lui avait
donné, qu’elles lui avaient rendus, le souvenir de toutes leur caresse, de ses gentillesses,
du son de sa voix, du goût de ses lèvres, lui fit passer dans le sang le désir brusque de la
reprendre. Elle était jolie, élégante, avec son air gamin et ses yeux vifs. Georges pensait «
Quelle charmante maitresse, tout de même » ».
Pour moi ce passage exprime le seul moment du livre ou Georges va ressentir de l’amour
sincère. Du fait je ne retiens qu’un seul point. C’est que Georges Duroy n’en a pas fini
avec ses maitresses, l’histoire n’est donc pas finie

Avis :
Le roman écrit par Maupassant mélange la réalité d’autre fois à la réalité d’aujourd’hui.
L’histoires est une succession de répétitions avec les noms et les lieux qui diffères. J’ai
trouvé ce livre très différent de ceux que j’ai pu lire. Je n’ai pas plus de commentaire à
faire sur ce livre.
Salina

Présentation de l’auteur
Né en 1972, Laurent Gaudé a fait des études de Lettres Modernes et d’Etudes Théâtrales
à Paris. En 1997, il publie sa première pièce, Onysos le furieux, à Théâtre Ouvert. Ce
premier texte sera monté en 2000 au Théâtre National de Strasbourg dans une mise en
scène de Yannis Kokkos. Suivront alors des années consacrées à l’écriture théâtrale, avec
notamment Pluie de cendres, jouée au Studio de la Comédie Française, Combat de
Possédés, traduite et jouée en Allemagne, Médée Kali, jouée au Théâtre du Rond-Point,
Les Sacrifiées, créée au Théâtre des Amandiers à Nanterre, Caillasses, créée au Théâtre
du peuple à Bussang, ou Danse, Morob, créée à Dublin. Son premier roman, Cris, est
publié en 2001. Avec La Mort du roi Tsongor, il obtient, en 2002, le prix Goncourt des
Lycéens et le prix des Libraires. En 2004, il est lauréat du prix Goncourt pour Le Soleil des
Scorta, roman traduit dans 34 pays.
Plan général de l’œuvre :
Salina, l'enfant de sel, petite étrangère venue d'on ne sait où, a été adoptée par le clan
Djimba. Elle aime Kano, mais est contrainte d'épouser Saro. Brutalisée et humiliée, Salina
refuse de se soumettre. Lorsque son mari meurt, Salina croit qu'elle va enfin connaître le
bonheur... Mais ses espoirs se brisent rapidement. Elle ne se laisse alors plus mener que
par la haine et l'esprit de vengeance, jusqu'à ce qu'une jeune femme lui apporte
l'apaisement final.

Quelques que mots du roman :


« Dunes » : Pour Salina les dunes sont une partie intégrante de son quotidien, elle vivait
sur les dunes du sable du désert elle y a même enterré son fils Koura Kumba.
« Pourtant il le faudrait » : Cette expression est utilisée par Malaka sur le chemin vers l’ile
cimetière quand il dit qu’il ne peut raconter le quotidien de la vie de Salina. Il utilise cette
phrase quand il veut raconter les moments difficile et douloureux de sa vie.
« Koura Koumba » Le fils de Salina, son deuxième fils, celui de sa colère envers les
djimba. Il va accomplir des miracles pour Salina, il va la venger des djimbas. Il devra se
battre fasse a son demi-frère, son frère de cœur avec lequel il va échanger des journées
de combat, avec une parfaite égalité. Mumuyé mourra faute au vent, ce n’était pas une
question d’infériorité. Koura Kumba aura eu le temps de prendre de l’affection pour lui, du
respect suite à ce combat il se fera tué par sa mère.

Sachant que je n’ai pas vraiment apprécier ce livre, j’ai eu de l’inspiration seulement pour
mots.
Passage d’un roman :
_ « Pour laisser son esprit reposer, Malaka demande au passeur combien de corps il a
déjà accompagné jusqu’au cimetière.
_ Tu es le premier ; répondit le vieil homme »
Cela surprend beaucoup Malaka. Il pensait que le passeur avait toujours fait cela.
Darzagar explique alors que chaque passeur ne prend qu’un seul corps. Il en a toujours
été ainsi. Il faut s’installer sur la grande place et attendre. Il arrive parfois que le corps se
présente après que quelques heures, parfois après des mois, des années ».

Avis :
Je pense que ce livre raconte plus qu’une histoire, il y a un message de paix, une morale.
La vengeance n’a pas sa place avec Malaka. Il raconte une vie qui nous es inconnue. Il
n’y a rien de ce livre qui reflète de la réalité.

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