La poésie

d’Alphonse de
Lamartine
Cobet Elena, Markovszky Clara, Popescu Andreea

• Le Lac
• L’Isolement
• L’Occident
Dates biographiques
Alphonse de Lamartine, de son nom complet
Alphonse Marie Louis de Prat de Lamartine, né le 21
octobre 1790 à Mâcon et mort le 28 février 1869 à
Paris, est un poète, romancier, dramaturge français,
historien, ainsi qu'une personnalité politique qui
participa à la révolution de 1848 et proclama la
Deuxième République. Il est l'une des grandes
figures du romantisme en France.
L'Occident
est un poème écrit par de Lamartine et publié dans son recueil de poésie "Les Méditations Poétiques"
en 1820 (son premier recueil de poésie). Ce poème est souvent considéré comme l'un de ses travaux les
plus célèbres et emblématiques. Il reflète les thèmes romantiques de la nature, de la nostalgie et de la
méditation.
"L'Occident" évoque le coucher du soleil, et Lamartine décrit la beauté de ce moment de la journée en
utilisant des images poétiques. Il évoque également des souvenirs du passé et la mélancolie qui peut
accompagner la contemplation de la nature.
L’isolement
"L'isolement" dans Méditations poétiques, 1820.

Les objectifs sont de définir le concept de « Mal du siècle » et de

comprendre les manifestations poétiques de ce concept.
Les quatrains composent ce poème long. L'alexandrin est utilisé pour
rechercher la solennité et la gravité.
Le titre du poème est l'isolement, qui peut être utilisé pour décrire à la fois la
mise à l'écart du poète par les autres et sa volonté de se retirer
volontairement du monde des humains. Le terme isolement fait référence à
la fois à la solitude et au recueillement.
Il est immédiatement évident que le poète est dans un registre élégiaque,
c'est-à-dire un registre dominé par la tristesse et la mélancolie.
La tristesse est un champ lexical qui comprend : « tristement », v « comme
une ombre errante » « un seul être vous manque et tout est dépeuplé ».

– Il ne s'intéresse pas au spectacle de la nature qui l'entoure. Mon âme

indifférente.
Certains termes négatifs sont répétés plusieurs fois, comme l'adjectif "vain" ,
le pronom "rien" ou encore l'adjectif "indifférente". Les mots forment un
leitmotiv qui rappelle une douleur intense. Ils représentent également une
condition persistante.
 Le Lac
« Assez de malheureux ici-bas vous implorent ;
Coulez, coulez pour eux ;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
Oubliez les heureux.
« Mais je demande en vain quelques moments
encore,
Le temps m'échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : " Sois plus lente " ; et l'aurore
Va dissiper la nuit.
« Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive
; nombreux verbes au passé à quelques exceptions près
Il coule, et nous passons ! »
Pour les figures de style de ce poème, nous
avons une grande comparaison entre deux
figures tout comme le registre du temps et de
la nature.
la métaphore : « heure fugitive » et la
personnification : « temp jaloux ».
Dans ce poème, nous rencontrons les deux registres
principaux du temps et de la nature.
Du temps: nuit, jour, soir, éternité, aurores, heures, temps.
De la nature: rivages, océan, pierre, flots, roches, terre etc.
Dans le premier vers, on peut déduire que le temps est
imparable comme le disait le poète : poussés vers de
nouveaux rivages.
La nature l'aide à panser la blessure que le temps lui laisse,
il trouve du réconfort dans la nature.
Nous remarquons à quel point le temps est impuissant face
à la nature, l'aide à faire face à ses sentiments lorsqu'il est
dans la nature.
« que le temps épargne et qu'il peut rajeunir »
Pour désigner le thème du poème, nous voyons de
comme le subjectif pendant les prières. Avec ces verbes au
passé, nous voyons à quel point il veut retrouver ses
souvenirs mais les revivre.
Mon interprétation

Ce poème parle des étapes du deuil. Au début, il supplie, puis il négocie pour récupérer
ce souvenir. Il veut que le temps ne bouge plus jamais. En traversant toutes les étapes du
deuil, il ressent comment les émotions se développent comme le courant des rivières.
Il raconte comment la nature a le pouvoir de rajeunir malgré l'incapacité du temps à
s'arrêter et malgré cela, il se sent mort intérieurement comme s'il ne pouvait pas être
ramené par la nature. Alors qu'il est assis au bord du lac dans ces moments de bonheur,
il veut que le temps ralentit pour pouvoir au moins en profiter. Avec ces sentiments qu'il
éprouve, je me sens connecté à lui, comme qui ne veut pas que le temps ralentisse ou
s'arrête dans ces moments heureux et y vive pour toujours ?.
 bibliographie
https://espacelettres.wordpress.com/2015/04/2
3/analyse-rapide-de-lisolement-de-lamartine-d
oc-complementaire/

https://hayfasfrenchthoughts.wordpress.com/20
18/03/28/lamartine-poetic-analysis-of-le-lac/

Et notre cours pour les poésies.

Merci de votre
attention.