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Carnet de lectures :

Présentation des poèmes étudiés :

Poème 1 : Le dormeur du val :

Ce poème a été écrit par Arthur Rimbaud poète du XIXe siècle, né le


20 octobre 1854 à Charleville et mort le 10 novembre 1891 à
Marseille. Il publie ce sonnet en 1870 à l’âge de ses 16 ans. Arthur
Rimbaud est reconnu comme l'un des pionniers du symbolisme,
mouvement littéraire et artistique de la fin du 19ème siècle.
Ce sonnet est écrit en alexandrins et en rimes croisées.
Arthur Rimbaub écrit ce sonnet qui fait découvrir au lecteur le
spectacle de la mort d'un jeune soldat et vise à nous faire partager
son indignation et sa colère.
Sa thématique principale : c’est un soldat au milieu d’une nature
omniprésente c’est une chute le soldat est venu mourir dans un lieu
idyllique se tenant la poitrine .
Poème 2 : Je vis, je meurs :

Ce poème est un sonnet écrit en décasyllabes et en rimes


embrassées, il a été écrit par louise Labé qui est une poétesse du
XVIe siècle, née en 1524 à Lyon et morte le 25 avril 1566 à Parcieux-
en-Dombes. Je vis, je meurs est le poème le plus beau et célèbre de
Louise Labé. Il s'agit d'un de ses 24 sonnets. Ce poème sera publié en
1555 dans son recueil Sonnets.
La thématiques principale de se poème est la folie et la maladie
d'amour, les sentiments sont partagés, la poétesse ne sait elle-même
plus si elle vit ou si elle meurt.

Poème 3 : Je n’ai plus que les os, un squelette je semble :


Ce poème est un sonnet écrit en alexandrin et en rimes embrassées.
Il a été écrit par Pierre de Ronsard qui est un poète né le 11
septembre 1524 près de Vendôme, au château de la Possonnière et
mort le 27 décembre 1585 au prieuré de Saint-Cosme en Touraine. Il
est un des poètes français les plus important du XVIe siècle et chef de
la pléiade.
Ce poème est caractéristique de mouvement baroque par sa
thématique qui est la mort et qui rejoins donc les thèmes de
prédilections de ce mouvement. Ce poème a un lien étroit avec la
renaissance de fait par la thématique du corps et l’omniprésence du
corps face à la mort.

Poème 4 : Je disais l’autre jour :

Ce poème est un sonnet écrit en alexandrins et en rimes embrassées.


Il fut écrit par Pierre de Marbeuf. Il (1596-1645) est un poète baroque
francais du XVIIe siècle. Né à Sahurs, il fait ses études au collège de La
Flèche et vit à Paris de 1619 à 1623. Il étudie le droit en compagnie
de Descartes. Auteur de sonnet baroque et du Recueil de vers (publié
à Rouen en 1628), il met en œuvre les thèmes de la nature, de la
fragilité de la vie et de l’amour. Maître des eaux et forêts, ce qui peut
expliquer la présence récurrente de la nature dans son, il est apprécié
non seulement pour ses qualités de poète, mais aussi pour ses
talents satiriques. Son sonnet le plus connu à ce jour A Philis associe
avec virtuosité le thème de la mer et celui de l’amour.
Ce poème parlent principalement de l’histoire de Sylvandre et de sa
maîtresse qui sont assis en bord de ruisseaux et qu’ils parlent de leur
amour. Sylvandre inquiet de ne pas être assez aimé demande à sa
maîtresse de lui promettre un amour éternel. Celle-ci lui souligne son
engagement en mettant sa main au-dessus de l’eau et donne donc à
sa promesse un caractère éphémère.
La thématique de ce poème est la naïveté d’une personne qui aime
une autre, l’amour lui fait tout croire (« l’amour rend aveugle »)

Poème 5 : Sur la mort de Marie :

Ce poème est un sonnet écrit en alexandrins et en rimes embrassés.


Il a été écrit par Pierre de Ronsard (Pléiades) en 1578.
Dans ce sonnet aux accents élégiaques, Ronsard rend hommage à la
jeune et belle défunte Marie à travers notamment l'image de la rose,
symbole de vie et de mort, mais aussi de vanité, qui apparaît souvent
dans l'œuvre du poète. En mettant en scène sa propre mort, il nous
offre une vision à la fois concrète et baroque de la condition humaine
qui est caractéristique de son temps.
La thématique de ce sonnet est la mort de sa femme considérée
comme une personne divine associé à une rose qui représente
l’amour de Ronsard pour Marie.

Bel Ami :
Guy de Maupassant :
Guy de Maupassant est un
écrivain et journaliste français
né le 5 août 1850 en
Normandie et mort le 6 juillet
1893 à Paris. Auteur du roman
Une vie, il est surtout connu
pour être le plus grand auteur
français de nouvelles. Inspiré
par Flaubert, on lui doit des
œuvres comme Boule de suif,
Le Horla (1887), ou encore
Bel-Ami (1885).

Bel-Ami : Ce livre retrace l'itinéraire de Georges Duroy, un


jeune soldat revenu de la guerre de la conquête de l'Algérie qui
se retrouve sans le sou à son retour à Paris. Aidé par son ami
Forestier, il rencontre un patron de presse qui l'emploie après
lui avoir commandé un premier article sur l'Algérie. Bel-Ami est
rongé par l’idée de tromperie et conquiert plusieurs femmes qui
parfois était celle de ces amis. Ce livre nous fait suivre
l’évolution de Bel-Ami au sein d’une population très bourgeoise,
« les hommes du monde », il arrive en tant qu’employés du
bureau de chemins de fer. Georges Duroy un homme malin et
conquérant, prêt à tout pour réussir. Son esprit rusé et subtil lui
permet de monter rapidement les échelons au journal La Vie
Française. Il devient reporter, puis chef des échos, et enfin chef
de la rédaction politique.
Principaux thèmes : la séduction, la manipulation, la société
française sous la IIIe République, les rapports des classes
sociales, le milieu du journalisme et les rapports
hommes/femmes.
Bel-Ami est considéré comme un anti-héros mais son parcourt
professionnel peut cependant être un exemple pour certaines
personnes .

Les 3 Nouvelles de Yourcenar :


Comment wang-fô fut sauvé :
Cette nouvelle fut écrite par Marguerite Yourcenar publié en 1936 :
"Comment Wang-Fô fut sauvé" est une nouvelle écrite par
Marguerite Yourcenar en 1952. Elle raconte l'histoire d'un peintre
chinois nommé Wang-Fô, qui est capturé par l'empereur et
condamné à mort pour avoir peint un portrait de la fille de
l'empereur. Cependant, avant son exécution, Wang-Fô est sauvé par
un mandarin, qui lui donne une leçon sur la nature de la réalité.

Le mandarin emmène Wang-Fô dans un voyage spirituel où il lui


montre que la beauté de l'art ne réside pas dans la représentation
exacte de la réalité, mais plutôt dans la capacité de l'artiste à
capturer l'essence de la vie. Wang-Fô apprend alors que son art est
plus qu'une simple représentation visuelle, mais plutôt une
expression de la vie elle-même.

La veuve Aphrodissia :

La Veuve Aphrodissia est la


septième nouvelle du recueil Nouvelles
orientales de Marguerite Yourcenar, paru en 1938.
Kostis le Rouge, tel est le nom du bandit qui effraie les
habitants d'un village grec. Un peu voleur, un peu assassin, il
aime sa liberté. Cependant, les paysans, unis pour une chasse
à l'homme, l'ont poursuivi et l'ont égorgé comme une bête. Ses
compagnons ont connu le même sort.
Remerciant les vengeurs de son mari assassiné par le rebelle,
Aphrodissia ravale ses larmes : elle est veuve deux fois, en
apparence du vieux prêtre ivrogne, mais en réalité du scélérat
qu'on vient de tuer et qu'elle a tendrement aimé. Leur passion
adultère est ancienne et l'époux, cocu conscient, fut longtemps
le paravent social de leurs ébats nocturnes ou champêtres. Et
même enceinte des œuvres de Kostis, la veuve a bravé par
amour les regards soupçonneux des villageoises avant de faire
disparaître le nouveau-né. Après l'humiliante immolation de son
amant décapité, la veuve est inquiète, car il porte sur le bras le
nom de sa maîtresse. Pour éviter la lapidation, elle décide de
cacher le corps. Quelle meilleure place peut-elle trouver pour
celui qui a été son véritable amour que le cercueil d'un mari
devenu poussière ? Quant à la tête aimée, plantée au bout
d'une pique sur la place du village, il faut la voler pendant
l'heure chaude où chacun est chez soi.
Cependant, une femme avec la seule tête de son amant est
bien peu de chose. Et Aphrodissia laisse enfin les sanglots
jaillir, assise dans un champ privé, son larcin caché dans ses
jupons. C'est alors que Basil, le propriétaire, paraît, persuadé
d'avoir été volé d'une pastèque. La fuite est la seule issue pour
cette femme désespérée, qui court sur un chemin de falaise.
Une pierre roule sous un pied, et la veuve amoureuse suit le
chemin de la pierre et tombe dans l'abîme.

L’homme qui a aimé les néréides :


L'Homme qui a aimé les Néréides est une nouvelle du recueil
Nouvelles orientales de Marguerite Yourcenar écrite en 1938.
Principales thematiques :
Dans une île grecque, le fils d'un des paysans les plus riches de l'île,
Panégyotis, en cherchant un vétérinaire pour ses moutons, rencontre
les Néréides. Ces fées, belles, nues, rafraîchissantes, sont également
dangereuses. Quiconque les voit perd la parole et la faculté de
penser. Panégyotis, séduit par les Néréides, s'accouple avec elles et
perd définitivement la raison, la vue et la parole. Il finira sa vie,
mendiant de quoi survivre, mais avec pour maîtresses les fées. Les
nymphes et les Néréides sont des divinités, des esprits de la nature,
elles sont féminines, peuplent la campagne, les bois et les eaux,
symbolisent la grâce et la divinité. Marguerite Yourcenar ravive les
récits anciens.
Le destin de Panégyotis semble tracé, mais sa route est détournée
par sa rencontre avec les nymphes

Phèdre :

Phèdre est une pièce de théâtre tragique écrite par Jean Racine en
1677.
Thématiques :Elle raconte l'histoire de Phèdre, la femme du roi
Thésée, qui tombe amoureuse de son beau-fils Hippolyte. Ce dernier,
quant à lui, est amoureux d'Aricie, une princesse ennemie de la
famille royale. La pièce explore les thèmes de l'amour interdit, de la
passion, de la culpabilité et de la fatalité. Phèdre est considérée
comme l'une des plus grandes œuvres du théâtre français et est
souvent étudiée dans les écoles et les universités.

Le mariage de figaro :

Le Mariage de Figaro, est une comédie écrite par Beaumarchais en


1778.
Thématiques : Elle raconte l'histoire de Figaro, le valet du comte
Almaviva, qui prépare son mariage avec Suzanne, la femme de
chambre de la comtesse. Cependant, le comte Almaviva tente de
séduire Suzanne et de contrecarrer le mariage. La pièce explore les
thèmes de l'amour, de la classe sociale, de la justice et de la liberté.
Le Mariage de Figaro est considéré comme l'une des plus grandes
comédies du théâtre français et a été adapté dans de nombreuses
langues et dans différents médias, y compris l'opéra et le cinéma

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