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Thèmes romantiques
• Sentiments
• Amour ( « Nouvelle Eloise » amour souvent tormontèe il y a des obstacles sur le chemin de
l’amour et il y a deux possibilités pour surmonté les problèmes: le suicide ou le voyage
• L’importance de l’histoire (par exemple le Moyen Âge)
• La nature qui est le fondamental place privilégié de la nature. La nature reflète les sentiments de
la poésie, c’est le miroir de l’aime du romantique.
• Critique de la société moderne
La nouvelle société industrielle bourgeoise et dominée par la logique du marché et des valeurs du
profit et de la productivité
Artiste intellectuel bien qu'ils viennent aussi de la bourgeoisie, ils sont perçus comme des figures
improductives et inutiles au sein de la société industrielle et cela génère un conflit, qui s'exprime par
le rejet des valeurs de ce monde, l'anticonformisme, les attitudes de révolte, et l'évasion de
l'imagination ou le repli intérieur.
Le conflit est aggravé par le fait que les œuvres d'art littéraires sont également soumises aux lois du
marché et considérées comme des marchandises, ce qui signifie que l'artiste doit satisfaire les
goûts du public pour vendre son œuvre.
La révolte
L’intellectuel romantique éprouve une sensation d’insatisfaction à l'égard du monde qui l'entoure. Il
cherche consolation dans l’imagination, le rêve, la passion et la folie.
L’exaltation du moi
L’écrivain souligne aussi l‘importance du “je” qui se réflect dans la nature entourant.
Le déchirement de la consience
La réaction des intellectuels au mal de vivre sont différentes: quelqu’un d’eux se repli sur soi,
quelqu’un d’autre essaie de transformer le monde avec des idéaux progressistes.
Le rôle du poète
Le rôle de l’écrivain est fondamental parce qu’il guide la société.
L’esthétique de la liberté
La liberté est un valeurs très importante pour l’homme romantique qui fait confiance dans la
possibilité de trouver la paix grâce à ça.
FRANÇOIS-RENÉ DE CHATEAUBRIAND
-vie
François-René de Chateaubriand est né en 1768 et il vit sa jeunesse au château de Cobourg. À la
fin des études, il s'enrôle dans la marine et part pour l’Amérique du Nord. Il retourne en 1792 et il
s’engage dans l’armée des émigrés, puis il s’exile en Angleterre où il vit dans une condition de
misère. Au début du XIXe siècle il compose deux romans, Atala et René qui font partie de la
première édition du Génie du christianisme. Les œuvres ont un succès éclatant.
5 années plus tard, il écrit Les Martyrs et Itinéraire de Paris à Jérusalem après son périple en Orient.
Il entreprend une carrière politique en devenant pair de France, ambassadeur et ministre.
En 1830 il se retire de la vie publique. Jusqu'avant sa mort en 1848 il publie Mémoires d’outre-
tombe.
Après avoir quitté la France, le jeune René s'est exilé dans les forêts de Louisiane, parmi la tribu des
Natchez, où il vit enfermé dans la solitude et accablé d'une inexplicable tristesse. Quand le père
Souël, un missionnaire français, et le vieil indien Chac-tas le persuadent de leur livrer son secret, le
jeune homme relate son enfance solitaire et rêveuse, ses voyages incapables de combler ses
désirs, l'exaltation inquiétante et la tentation du suicide qu'il a éprouvée à son retour. Sa sœur
Amélie parvient à l'en détourner mais quand, alarmée par la tendresse trop vive qu'elle éprouve
pour son frère, elle se retire dans un couvent, René quitte l'Europe et s'embarque pour l'Amérique.
La nouvelle de la mort d'Amélie le rejoint chez les Natchez et transforme en désespoir sa tristesse
ordinaire. Chactas pleure avec le jeune homme, tandis que le père Souel lui reproche sévèrement
son comportement et le pousse à s'engager au service de la communauté humaine. René obéira
sans trouver le bonheur et sera massacré peu après avec toute la tribu des Natchez.
LE HÉROS ROMANTIQUES
Toute une génération se reconnaît dans René, le héros tourmenté et malheureux du roman
éponyme* de Chateaubriand. Dé-chiré entre un désir d'absolu toujours frustré et la quête d'un
bonheur inaccessible, il souffre du « vague des passions » et erre dans une solitude désespérée.
Indifférent à tout, il éprouve un sentiment d'inutilité et se voit condamné à une perpétuelle mé-
lancolie. Son ennui prend la forme d'un véritable tourment moral et c'est de là que résulte son « mal
de vivre ».Ce mal de vivre relève tout autant d'un état psychique dépressif que d'un contexte
historique particulier qui voit vaciller un monde ancien alors qu'un nouveau tarde à venir. Si vivre
devient ennuyeux, voire désespérant, il faut trouver refuge dans un ailleurs comme la rêverie, les
paradis artificiels, l'art et parfois la mort.
Tel est le diagnostic que Chateaubriand pose dès l'aube du siècle ; il servira de modèle à tous les
esprits romantiques, qui admireront aussi son style somptueux et émouvant.
À bien des égards, le personnage de René présente des similitudes avec l'écrivain : ils portent le
même prénom et sont tous deux des êtres exaltés et mélancoliques, le château de René ressemble
à celui de Combourg et Amélie à sa sœur Lucile. Ce mélange de fiction et de confession est la
marque de tous les écrits de Chateaubriand.
ALPHONSE DE LAMARTINE
-vie
Alphonse de Lamartine est né en 1790 en Bourgogne. Il est éduqué par les jésuites, mais sa
formation est intégrée par beaucoup de voyages. En 1811 il visite l’Italie en découvrant la culture
classique. Il tombe amoureux d’une femme, Julie, pour laquelle il écrit Le Lac et peu plus tard
Méditations poétiques (1820), qui lui rendent célébre.
Il continue à écrire et entreprend la carrière politique en participant à la révolution en 1830; puis il
est élu député.
Il devient chef du gouvernement provisoire et il proclame la naissance de la Seconde République en
1833.
Il s'éloigne de la politique quand Napoléon III proclame le Second Empire.
À la fin de sa vie, il rédige des récits autobiographiques, des romans et des compilations
historiques.
LE LAC (LEMARTIN)
La poésie fait partie de l’ouvrage Méditation poétiques, publié en 1820.
Il se déroule sur les rives du lac Bourget, un an après la première rencontre entre le poète et Julie
Charles, à qui on donne le surnom d'Elvire.
1. vers 1-20: quel effet produit l’ouverture de la poésie par “Ainsi”? A quoi pense le poète? A qui
s’adresse-t-il?
2. vers 21-36: Qui parle? Que demande-t-on au temps? Quel est son pouvoir? A quel moment
retrouvez-vous une invitation au “carpe diem”?
3. vers 37-48: Pourquoi le temps ne s’arrete -t il pas? Motivez l’emploi dominant des interrogations
dans ce passage.
4. vers 49-64: que demande le poète à la nature? Quel pouvoir lui reconnnait-il?
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1. “Ainsi” est un mot qui introduit une conséquence et qui indique dans cette poésie que le temps
passe et que petit à petit il pousse l'homme à la mort (il ne s'arrête pas). Après avoir fait une
réflexion sur la fuite du temps, le poète s'adresse au lac et il lui fait part d’un beau souvenir
d’une promenade avec Elvire sur le lac l'année passée.
2. Elvire prend la parole pour demander au temps de s’arrêter pour ceux qui sont heureux et de
passer pour les malheureux. Mais, malheureusement, elle se rend compte que ce n’est pas
possible; alors elle invite l’homme au “Carpe diem”, c’est-a-dire/ autrement dit que l’homme
doit jouir/profiter du présent le plus possible. On trouve l’invitation au “Carpe diem” au vers 34.
3. Le poète s'adresse au temps et l’accuse d'être jaloux de voler les moments de bonheur. La
souffrance du poète se manifeste très bien à travers l'emploi de nombreuses questions
rhétoriques et d'exclamations. Il utilise beaucoup de ponctuation, point d'exclamations,
d’interrogation, virgules pour souligner le puissance de l’homme qui temp qui passe et le
désespoir- l’état d'âme du poète
4. Il demande à la nature de garder le souvenir de son amour avec Julie/Elvire. La nature est
perçue à travers tous les sens du poète: la vue, l’odorat, l’ouïe. La poésie se termine ainsi par
l’union entre le romantique et la nature.
VICTOR HUGO
-vie
Victor Hugo est né en 1802 et il vit à Paris pendant son enfance. Il montre beaucoup d'intérêt dans
les œuvres de Chateaubriand. En 1822 il publie son premier recueil de poèmes et il s’épouse (il aura
quatre enfants).
Il rencontre Lamartine dans le salon de Charles Nodier.
Avec son drame “Cromwell” il devient le chef du mouvement romantique; en effet il est bien connu
pour avoir créé le drame romantique.
Il s’organise avec ses amis pour se réunir en formant le Cénacle.
Il écrit des pièces de théâtre et des œuvres qui le rendent populaire.
Il s’engage dans la résolutions des problèmes sociaux tel celui de la pauvreté et de l’injustice; il
travaille donc pour le bien être de la collectivité.
Sa fervente production s'arrête à la mort de son gendre et de sa fille Léopoldine qui noie par
accident dans la Seine. Pour l'occasion, il écrit sa dernière poésie dans laquelle il touche tous les
thèmes chers aux romantiques (la nature, le temps, les sentiments, l’amour paternel). Pendant les
dix années suivantes il se concentre sur la politique: d’abord il est nommé pair de France, puis élu
député.
Il fait partie de la résistance au gouvernement de Louis-Napoléon Bonaparte, et donc il est obligé à
fuir tout d’abord en Belgique et après en Angleterre, où il écrit le roman “Les Misérables”.
Il revient à Paris quand la IIIe République s'établisse et il devient sénateur (1870), mais il meurt
quinze années plus tard.
VH s’engage dans la politique pour atteindre ses objectifs de justice sociale, égalité et
communauté.
Il croit que le système social est corrompu, et il y a plusieurs des exemples qui le démontre:
l’exploitation des enfants, le crime, les terribles conditions de travail…
Selon lui, on a besoin des réformes importantes promues par l'État.
Enfin, il souligne que le problème de la misère ne concerne pas seulement le niveau plus bas de la
société, mais au contraire il faut que toutes les classes s’engagent pour le résoudre.
Il est un grand roman social, ècrit par Victor Hugo en 1862, qui a eu un rétentissement considerable
sur toutes les couches de la population. Il a aussi inspiré de nombreux cinéastes.
Jean Valjean a été longtemps en prison parce que quand il était jeune il avait volé du pain parce que
sa famille était peuvre. Sorti de la prison, il fait une recontre avec l’évêque de Digne, un homme très
géneréux qui lui donne des objets d’argent. Ensuite il devient ouvrier dans une usine des perles,
puis il devient propriétaire de l’usine et aussi maire de la ville. A’ l’hôpital, il fait la connaisance de
Fantine, un fille-mère, ouvrière qui une fois renvoyée devient prostituée et elle tombe malade.
Madleine
Avant de mourir, elle voudrait revoir sa fille Cosette, qui a été confiée à la famille de Thénardier, qui
ont un cabaret e qui sont des personnes très méchants parce qu’ils gardent l’argent envoyé par
Fantine. Jean Valjean va la chercher et il donne aux Thénardier une somme d’argent pour emmener
Cosette. Malheureusement Fantine meurt avant de la revoir. Jean Valjean, poursuivi par l’inspecteur
de police Javert, doit aller vivre à Paris avec Cosette. Elle étudie dans un collège jusqu’à 18 ans.
Jean Valjean et Cosette se promenent dans le jardins de Louxembourg et elle vois pour la première
fois Marius et il tombent amoreux.Il est un jeune homme, baron, qui s’occupe de politique qui
prende aussi partie aux bagarres sur les barricades. Il est blessé mais il est sauvé par Jean Valjean.
Heureusement Marius et Cosette se marient mais quand Marius vient à connaissance que Jean a
été un prisonier, il ne veut plus avoir des relations avec lui. Après quelques années, quand Jean
Valjean est desormais malade, Marius apprend la verité sur lui, ils vont lui voir et s’embrassent.
Donc Jean Valjean meurt. Autour de l’intrigue se greffent des descriptions du Paris du XIX siècle, de
ses quartiers populaires, des pages d’histoire, des journées tragiques et des études de moeurs.
Les thèmes
• Les thèmes principaux de l’oeuvre sont:
• la rédemption (Jean Valjean passe de la côte du mal à celle du bien); la justice
• les mauvaise conditions de vie du peuple;
• la possibilité de recevoir une autre chance / le pardon;
• la misère n’est coïncide pas toujours avec l'illégalité (les misérables sont victimes du
déterminisme sociaux, mais en réalité il ne volent pas pour méchanceté);
• l’histoire (par exemple: la bataille de Waterloo);
• l’amour (par exemple Jean vers sa fille).
Il s'adresse à la personne qui l'attend avec le pronom « tu » e cela nous fait comprendre qu'il parle
avec quelqu'un de proche, puis on a la répétition du verbe « j'irai », qui nous donne l'image d'un
voyage long et dangereux et nous suggère qu'il va parcourir des grands distances.
Il décide d'entreprendre ce voyage parce qu'il ne supporte plus la distance de cette personne. Il va
marcher en solitude, concentré sur ses pensées, vers un lieu où personne le connait.
Le voyageur est triste, pour lui la vie n'a pas de sens et est le même que la mort.
Il ne va pas faire attention à l'arrive du coucher du soleil, que, comme dans « l'isolement »,
représente la mort, ou à l'arrive des bateaux à Harfleur, une ville face à la mer.
A la fin, il dit que quand il arrivera, il mettra des fleurs sur la tombe de la personne pour laquelle lui a
écrit le poème.
Au début, il semble être une poésie adressée à la femme aimée parce qu'il la tutoie, mais en réalité
il l'a écrit pour commémorer la mort de sa fille Léopoldine et cette information nous est donnée par
la date d'écriture du poème au fond, c'est-à-dire 3 septembre 1847(veille de l'anniversaire de la
mort de sa fille)
Compréhension
1.