T
les
C,D&E
Corrigé
Auteurs
Collectif
1 Cinématique du point
Exercice
1 vecteur
- vitesse ×
constante.
a) Vecteur -
Exercice
2 accélération
constant et ×
non nul.
b)
Accé-
3
Exercice lération
tangentielle ×
nulle.
Abscisse initiale x0 (m) 3
Accé-
Exercice
5 4 uniforme, le vecteur-accélération
normale est constant.
×
La dérivée seconde du vecteur-po-
Mouvement
rectiligne et
uniforme
Mouvement
rectiligne et
uniformément
Mouvement
circulaire et
uniforme
5
sition d’un mobile qui a un mou-
vement rectiligne et uniforme est ×
nulle.
varié
Un mobile qui recule sur une tra-
Vecteur
- vitesse × 6 jectoire rectiligne a un mouvement
nécessairement retardé.
×
constant.
4 8
uniforme
1, 5 3
8
vx = −3 × + 4 ; vx= −4 m.s−1.
3
uniformément
Mouvement
rectiligne et
retardé
10
Exercice
accéléré
On a : )
2
x (t) = 2t - t + 1
×
2
;
y (t) = -2t + t + 3
donc x + y − 4 = 0 ou y = −x + 4.
Mouvement
rectiligne et
uniforme
.
3.1) vecteur-vitesse : v *
v x = x = 4t - 1
;
a = an n
a .v 2 0
a .v 1 0
a .v = 0
.
v y = y = -4t + 1
..
3.2) vecteur-accélération : a *
a x = x = 4 m.s -2
..
a y = y = -4 m.s -2
varié.
123456789
-1 aN
11
Exercice
-2
B a
-3
aT
1) Détermination, à la date t : -4
v
2 -2
; aT = = 0, 9 m.s
5
1.2) les composantes tangentielles et nor-
males de l’accélération :
12
2 2 -2
Exercice
On a : a = a x + a y ; a = 1m.s
2 2 2 -1 1) Les différentes phases du mouvement du mobile.
et v = v x + vy = t + 1 (m.s )
Pour t ∈ [0s ; 20s] ; la vitesse du mobile augmente.
Accélération tangentielle : Donc le mouvement est rectiligne et accéléré.
dv t -2 Pour t ∈ [20s ; 40s] ; la vitesse du mobile est
aT = = (m.s )
dt 2
t +1 constante. Donc le mouvement est rectiligne et
uniforme.
Accélération normale :
Pour t ∈ [40s ; 50s] ; la vitesse du mobile décroît.
2
2 2 t Donc le mouvement est rectiligne et retardé.
a =
N a - aT = 1- 2
t +1 2) Détermination, pour chaque phase identifiée de :
1 1 -2 2.1) la valeur de l’accélération a
= 2 = 2
(m.s )
t +1 t +1 Dv 50 - 0
t ∈ [0s ; 20s] : a 1 = ; AN : a 1 =
2) Équation de la trajectoire du mobile : Dt 20 - 0
a1 = 2,5 m.s−2.
1 2
On a : t = −y . Donc : x = y . Dv
2 Pour t ∈ [20s ; 40s] : a 2 = .
# ^ -2 h = 2.
1 2 Dt
3) Pour y = −2 ; x = 50 - 50
2 AN ; a 2 =
40 - 20
Donc le mobile passe par le point B (2 ; – 2). a2 = 0 m.s−2.
4) Date de passage du mobile au point B. Dv
Pour t ∈ [40s ; 50s] : a 3 = . AN ;
On a : t = −y ; t = 2 s. Dt
0 - 50
5) Représentation de la trajectoire du mobile a3 =
^ O, h
50 - 40
dans le repère i, j a3 = −5 m.s−2.
x2 ^ t h = v ^ t - 20 h + x
2) Valeurs de v et de a .
; 2 2
02 02
v= v x + vy ;
avec ; v= ^ 10 cos 5t h2 + ^ 10 sin 5t h2 ;
= 1, 25 # ^ 20 h
2
x02 = 500 m . v= 100 ; .
x 2 ^ t h = 50 ^ t - 20 h + 500
2 2
a= a x + ay ;
v 3 ^ t h = a3 ^ t - 40 h + v 0 3 ;
3) Équation cartésienne de la trajectoire du
point mobile.
x + y = ^ 2 sin 5t h + ^ 2 cos 5t h
2 2 2 2
avec ; et v 0 3 = 50 m.s -1 .
2
6^ sin 5t h2 + ^ cos 5t h2@ ; 2
x + y = 4.
2
x 3 ^ t h = 2 a 3 ^ t - 40 h + v 03 ^ t - 40 h + x 0 3
1 2 =2
4) La nature de cette trajectoire : La trajectoire
avec a 3 = -5 m.s -2 ; v03 = 50 m.s -1 est un cercle.
5) La nature du mouvement du point mobile :
.
La norme du vecteur - vitesse v du point mo-
; bile est constante et sa trajectoire est un cercle,
le mouvement est donc circulaire et uniforme.
1 14
Exercice
x3(t) = × (−5)(t−40)2 + 50(t−40) + 1500 ;
2
x3(t) = −2,5 t2 + 250 t − 4500. 1) Calcul de la vitesse du mobile sur la
première et la deuxième phase :
3) La distance totale parcourue par le mobile : Dx
D = −2,5 × 502 + 250 × 50 − 4500 ; D = 1750 m. Phase 1 : t ∈ [0s ; 4s] ; v1 = ;
Dt
8-0 8 -1
v1 = = ; v 1 = 2m.s .
4) La vitesse moyenne du mobile : 4-0 4
Dx 0-8
D 1750 Phase 2 : t ∈ [6s ; 8s] ; v2 = =
vm = ; AN : v m = ; vm = 35 m.s−1. Dt 8-6
Dt 50 ;
a1 = −0,5 m.s−2. DE = ;
2a 4
10 - 10 0 - 15
2
a2 = ; a2 = 0 m.s−2.
2 # ^ -1 h
60 DE = ; DE = 112,5 m.
21
Exercice
1) Relations permettant de calculer la vitesse vi et l’accélération ai du mobile M.
xi+1 - xi-1 vi+1 - vi-1
vi = et a i =
ti+1 - ti-1 ti+1 - ti-1
2) Calcul des valeurs de la vitesse vi et de l’accélération ai aux positions M2 ; M3 et M4
du mobile M :
Mi M0 M1 M2 M3 M4 M5 M6
ti (ms) 0 50 100 150 200 250 300
xi (cm) 0 8,125 17,500 28,125 40,000 53,125 67,500
vi (m.s−1) 1,75 2 2,25 2,5 2,75
ai (m.s−2) 5 5 5
Leçon
IV. Exercices
1
Exercice
1) Un référentiel galiléen est un référentiel dans lequel le principe de l’inertie est vérifié.
2) Dans un référentiel galiléen, la variation de l’énergie cinétique d’un système entre deux instants
est égale à la somme algébrique des travaux des forces extérieures appliquées à ce système entre
ces deux instants.
3) Dans un référentiel galiléen, la somme vectorielle des forces extérieures appliquées à un
système est égale au produit de sa masse par le vecteur-accélération de son centre d’inertie.
2
Exercice
c)
• m.a G
• 9
Exercice
• DE C
•
1)
/ • • m.v G
1.1) La vitesse vA de la bille au point A :
Exercice
6 1.2) la vitesse vO avec laquelle la bille touche
le sol :
Un solide de masse m, tombe en chute libre. En 1
appliquant le théorème du centre d’inertie 2
mv 2O − 0 = m.g.h2 ; vO = 2g.h 2 ; avec
dans le référentiel terrestre, on montre que son
vecteur - accélération a = g . h2 = 10 m .
Après une chute d’une hauteur h, on établit
A.N : vO = 2 # 10 # 10 ; vA = 14,14 m.s−1.
en appliquant le théorème de l’énergie ciné-
tique, que sa vitesse v est telle que v2 = 2.g.h. 2) Détermination de l’expression du vecteur -
Ces deux théorèmes qui ne s’appliquent que
accélération a de la bille :
dans des référentiels galiléens, sont très uti-
lisés en mécanique. La bille est soumise à l’action de son poids P
uniquement. Donc P = m a ; m g = m a ;
7
Exercice a = g
1) Le vecteur - accélération du centre
3) Représentation de a :
d’inertie d’un solide est colinéaire à la somme
vectorielle des forces extérieures qui sont
appliquées à ce solide. z
2) Si l’énergie cinétique d’un solide est constante,
alors la somme vectorielle des forces extérieures B 10 m
qui lui sont appliquées est nulle.
3) D’après le théorème du centre d’inertie, un Bille
solide soumis à l’action d’une seule force ne a
peut avoir un vecteur - accélération nul.
4) Si la somme des travaux des forces A 1,5 m
extérieures qui s’exercent sur un solide est
positive alors l’énergie cinétique de ce solide O Sol
augmente.
10
1) Représentation des forces appliquées aux 1) Les forces extérieures qui s’exercent sur le
solides (S1) et (S2). skieur :
Le solide (S1) est soumis à son poids P1 , à la Le skieur est soumis à son poids P , à la
réaction normale R N du plan horizontal et à la réaction normale du sol et à la force de
tension T 1 du fil horizontal. frottement .
Le solide (S2) est soumis à son poids P2 et à la 2) Représentation de ces forces :
tension T2 du fil vertical.
y
RN
T1
(S1) RN x'
A
x' x
P1 y
T2 f
B α
(S2) x P y'
y' P2 3)
2) Système : le skieur
2.1) Relation entre l’accélération a1 du Référentiel galiléen : référentiel terrestre.
solide (S1) et la valeur T1 de la tension du fil
horizontal : 3.1) Détermination de la valeur de la force f .
11
P + R N = m. a .
Projection sur l’axe (x’x) : mgsinα + 0 = ma ; Exercice
13
a = gsinα.
1.2) Calcul de la valeur de a : 1) Représentation des forces extérieures
appliquées au solide :
A.N : a = 10×sin30° ; a = 5 m.s . −2
12
∆EC = / W AB ^ F ext h ;
/ F ext = m. a ; P + R N = m. a .
Projection suivant
E C B - E C A =WAB( P )+WAB( R N )+WAB( f ) (M , n ) : −mgsinθ + RN = man ;
2
vM
= −mgL sinα + 0 − f L ; − mgsinθ + RN = m = 2gm sinθ ;
r
RM = RN = mg sinθ + 2gm sinθ ; RM = 3mg sinθ
13
A O C
r r 2.2) au point C du parcours BD.
hAD 2 r RN
3
D 3) Détermination des travaux de ces forces
B f P
0 − 0 = 0 + mghAD − f.r × ` j.
WAB( P ) = WAB( R N ) = 0 J car les supports de
r r
+
2 3
P et R N sont perpendiculaires au déplacement.
r
Avec hAD = rcos . 3.2) sur le parcours BC :
3
− f r ×` + j.
r r r
0 = + mgrcos WBC( R N ) = 0 J, car le support de R N est
3 2 3
perpendiculaire au déplacement.
r 5r
0 = + mgrcos −fr× .
3 6 WBC( P ) = −mgh ; avec h = BCsinα ;
r
6mgcos WBC( P ) = −mgBCsinα ;
3
f= .
5r A.N : WBC( P ) = −0,5 × 10 × 2 × sin30°.
r
6 # 0, 2 # 10 # cos WBC( P ) = −5 J.
3
A.N : f = ; f = 0,38 N.
5r 4)
4.1) La vitesse du solide au point B :
15
Exercice Appliquons le théorème de l’énergie cinétique
1) Les forces extérieures appliquées au solide : entre A et B :
1 2 1 2
- le poids P du mobile ; mv B - mv A = WAB( P )+WAB( R N ) = 0.
2 2
- la réaction normale R N du plan. vB = vA = 5 m.s−1.
2) Représentation de ces forces : 4.2) La vitesse du solide au point C :
Appliquons le théorème de l’énergie cinétique
2.1) en un point du parcours AB :
entre B et C :
14
1.2) entre B et C : 4)
Le mobile est soumis à son poids P ; à la réac- 4.1) Valeur de la vitesse vB du mobile au
tion normale R N de la gouttière et à la force point B :
de frottement f . 2
En B, θ = 0 rad . Donc vB = v A + 2gr .
2) Représentation de ces forces au point M et
2
en un point du tronçon BC. A.N : vB = 5 + 2 # 10 # 0, 8 .
O I A
vB = 6,4 m.s−1.
hAM
θ RN
RN 4.2) Valeur de f.
M
# 0, 15 # ^ 41 - 25 h
x C f B 1
P 2
A.N : f = ; f = 0,6 N.
P 2
3)
17
3.1) Expression littérale de la vitesse vM du Exercice
mobile au point M en fonction de vA, g , r et θ : 1)
Dans le référentiel terrestre supposé galiléen,
appliquons le théorème de l’énergie cinétique 1.1) Énoncé du théorème de l’énergie
entre A et M. cinétique :
15
16
17
18
Leçon
3 Intéraction gravitationnelle
20
21
h = −RT + .
Or g0 = . Donc v = .
A.N :
3 9, 8 (86164) 2 # (6370000) 2
h = −6370000+ ;
4r 2 D’où v = .
h = 35 760 km.
6) 9, 8
A.N : v = 6 370 000 × ;
6.1) Un satellite géostationnaire se déplace 25000000
dans le plan équatorial et son sens de rotation v = 4 000 m.s−1.
est identique à celui de la Terre.
3 3) La période T du mouvement du satellite :
r 2
6.2) La valeur du rapport 2 pour ce 2r r 1
T T2 = .
v
r 3 (R T + h)
3
g 0 R 2T A.N : T =
2r # 25000000
, T = 39 269 s.
satellite : 2 = = . 4000
4r 2
2
T T
3 2 4) Détermination du rayon r1’ de l’orbite du
r 9, 8 # (6370000)
A.N : 2 = 2 ; satellite pour qu’il soit géostationnaire.
3 T 4r Le satellite est géostationnaire si sa période et
r sa vitesse sont égales à celles de la Terre.
2 = 10 072 683 864 575 m .s =10 m .s
3 −2 13 3 −2
T
(r1l) 3 GM T 3 GM T T
2
Exercice
12 2 = 2 ; r1’ = 2 .
T 4r 4r
1) Système : le satellite ; 3 GM T R 2T T 2
r1’ = # ;
Référentiel galiléen : référentiel géocentrique ; R 2T 4r 2
Bilan des forces extérieures : la force
MT m r1’ = ;
gravitationnelle : F T/S = G 2 n .
r1
Appliquons le théorème du centre d’inertie 2
3 (6370000 # 86164)
dans le référentiel géocentrique. A.N : r1’ = 9, 8 # 2
MT m 4r
F Terre/satellite = G 2 n =ma ; r1’ = 42 430 728 m ; r1’ = 42 431 km.
r1
22
c m #c m
sont la force d’attraction de la Terre et la force MS rT
3
TL
2
d’attraction de la Lune. =
MT rL TT
2) Lorsque la fusée s’éloigne de la Terre,
= c 3, 84.10 m # c 365, 25 m ;
l’attraction de la Terre diminue alors que celle MS 1, 496.10 3 27, 32 2
A.N :
de la Lune augmente. MT
MS
3) Détermination de la position du point =33.104.
MT
d’équilibre H :
2) Expression de la masse MT de la Terre :
Au point d’équilibre : FT/F = FL/F ; 2
MT m PR T
MT m ML m On a : P = mg0 = G 2 . Donc MT =
G 2 = G 2 ; RT Gm
dT-F dL-F
3) Détermination de la masse MS du Soleil :
dT−L = dT−F + dL−F ; dL−F = dT−L − dT−F ; 2
PR T
^ d T - F h2
MS = 33.104 MT ; MS = 33.104 × .
Gm
MT MT
^ d L - F h2
= ; dT−F = dL−F × 2
ML ML 9, 83 # (6 370 000)
A.N : MS = 33.104 × -11 ;
MT 6, 67.10 #1
= (dT−L − dT−F) × MS = 1,97.1030 kg.
ML
23
6 5 Donc T2 = 2
2r # (6, 38.10 + 8, 2.10 ) v
A.N : T = .
7500 2 2
4r (R T + h) (R T + h)
T = 6032 s = 1 h 40 min 32 s. = .
GM T
2
17 4r 3
Exercice T2 = (R + h)
GM T T
1) Énoncé de la 3ème loi de Kepler : (R T + h)
3
Pour toutes les planètes, le rapport entre le cube T = 2π
GM T
24
GM J 2)
^ R J + z h2
Donc gz= . 2.1) Expression de la valeur du vecteur
25
` j
R 2 2) 2.1) Expression de la vitesse v du satellite
Donc g = g0 . en fonction de R, M et G (la constante de
R+h
gravitation universelle) :
4) 2
v M
4.1) Détermination de la vitesse v de cette On a : a = aN = =G 2 .
R R
navette et sa période de révolution T : M M
2
v
2
M Donc v = G ; v= G
R R
^ R + h h2
On a : a = aN = =G .
R+h 2.2) Expression de la période de révolution
M M R R
2 2 T du satellite :
v2 = G = G 2 = g0 ; 2rR 2rR
R+h R R+h R+h
On a : T = ; T=
v M
g0 G
v=R R
R+h 3
R R
2r (R + h) T = 2rR ; T = 2r
On a : T = ; GM GM
v 2
T
2r (R + h) 2r (R + h) R + h 2.3) Expression du rapport 3 en fonction
T= = R
g0 R g0 de G et M :
R R
3
R+h On a : T = 4r
2 2
;
3 3 GM
2r (R + h) 2r (R + h) 2 2
= ; T= T 4r
R g0 R g0 donc 3 = .
R GM
26
4) La masse de Jupiter :
2 2 2 2 2
T T 4r 4r 4r
On a : 3 = 3,1.10−16. Or 3 = . Donc = 3,1.10−16. M = -16 ;
R R GM GM 3, 1.10 G
2
4r
M=
3, 1.10 -16 # 6, 6710 -11
M = 1,9.1027 kg.
Leçon
4 Mouvements dans
les champs ( g et E )uniformes
IV. Exercices
1
Exercice
4)
2
Exercice
v 20 sin 2 a
2g
Portée horizontale
v 20 sin 2 2a
2g
Flèche
v 20 sin 2a
g
v 20 sin 2 a
g
27
7
6 Exercice
Exercice
1) Un champ est uniforme si, en tout point de
Dans l’espace situé entre deux plaques
ce champ, le vecteur-champ a même direction,
métalliques parallèles, soumises à une dif-
même sens et même valeur.
férence de potentiel U, règne un champ élec-
2) La déflexion électrique subit par un faisceau
trostatique. Ce champ est uniforme car en
homocinétique d’électrons à la sortie d’un con-
chacun de ses points, le vecteur-champ E est
densateur est proportionnelle à la valeur de la
constant. Une particule de charge q négative
tension appliquée aux plaques déflectrices de
qui entre dans ce champ avec un vecteur-vitesse
ce condensateur.
v 0 , voit sa trajectoire déviée si v 0 et E n’ont
28
9 10
Exercice Exercice
P mg 9, 1.10 # 9, 8
Donc le mouvement du mobile se déroule dans
le plan (xOy). F 13
P = 1, 8.10
2) Équation cartésienne de sa trajectoire :
Donc le poids de la particule est négligeable
x
On a : x(t) = v0tcosα. Donc t = v 0 cos a ; devant la force électrostatique.
2) Représentation de la force électrostatique
y = - 2 g a v 0 cos a k + v 0 a v 0 cos a k sin a
1 x 2
x 2
29
v x = a x t + v 0 x = v 0 cos a
v*
à la date t = 0 s
qE
v y = a y t + v 0 y = m t + v 0 sin a
]Z] Z] v = 0 Z] x = 0
1
]] x (t) = 2 a x t 2 + v 0 x t + x 0 = v 0 t cos a ]] 0 x ]] 0
OM ][
]] y (t) = 1 a t 2 + v t + y = qE t 2 + v sin a v0 [ ]] v 0 y = v 0 et OM 0 [ ]] y 0 = 0
]
\
2 y 0y 0
m 0
] v0z = 0 ] z0 = 0
\ \
4) Équation de la trajectoire : vx = axt + v0xt = 0
x
On a : t = ; donc vy = ayt + v0yt = 0
v 0 cos a
a x k + v 0 a x k sina
1 qE 2 vz = azt + v0zt = -gt
y=
Z]
]] x ^ t h =
2 m v 0 cos a v 0 cos a 1 2
qE a t + v 0x t + x 0 = 0
D’où : y =
2
x + x tan a ]] 2 x
]] y ^ t h =
2
2mv 0 cos a
2
] 1
OM [
2
a t + v 0y t + y 0 = v 0 t
5) La vitesse vs de la particule à sa sortie du 2 y
]]
condensateur. ]] z ^ t h = 1 2 1 2
a t + v 0z t + z 0 = - gt
À la sortie du condensateur au point S ; xS = ℓ 2 z 2
\
xS ,
donc tS = = .
v 0 cos a v 0 cos a
2 2
vS = v S X + v SY .
30
À la date t = 0 s ; OM 0 (
x0 = 0
5.2) de la valeur v1 de ce vecteur : ;
z0 = 0
2 2
v1 = 2 + (-5) ; v1 = 5,4 m.s−1.
v(
projectile : v x = a x t + v0 x = v0sina
v z = a z t + v0 z = - gt + v0cosa
31
zmax = 8,4 m
]Z] 1
]] x (t) = 2 aaxxt2t 2++v0xv 0t x+t +x0x=0 =v0tv 0 t
3.2) la portée horizontale de tir : OM ] [
]] y (t) = 1 a t 2 + v t + y = - qE t 2
v 20 sin 2a 15 2 # sin 60° ] 2 y2 0y 0
2m
xmax = . A.N : xmax = ; \ ayt + v0yt + y0 =
g 10
xmax = 19,5 m 3.2) Équation de la trajectoire de la bille :
On a : t = v 0 ; donc y = - 2m a v 0 k
x qE x 2
13
Exercice
Système : la bille ; mv 0
2
< ;
Référentiel galiléen : référentiel terrestre ; qE
Bilan des forces extérieures : F = q E qE
v limite =,
(force électrostatique ; le poids de la bille est
0
md
négligeable).
A.N :
Appliquons le théorème du centre d’inertie :
v0 limite = 4,9.103 m.s−1.
qE
F =m a ;qE =m a ; a = m .
14
1 2 Exercice
v = ta + v 0 et OM = t a + tv 0 + OM 0 .
2
1) Bilan des forces extérieures : le poids de la
On a : sphère P = m g ; la force électrostatique
F =qE .
Z] 2) Expression du vecteur-accélération de la
]] a x = qE x
=0
] m sphère en fonction de m, q, g et E :
Donc a[ ]] qE y qE Appliquons le théorème du centre d’inertie
]] a y = =-
m m dans le référentiel terrestre supposé galiléen :
\
32
Or g ) . E)
gx = 0 Ex = E 6) Calcule la date d’arrivée de la sphère dans le
g y = -g Ey = 0 plan horizontal passant par O.
Dans le plan passant par O, y = 0 m.
Donc a *
q
ax = E g 2 2, 2,
m . Donc - t + , = 0 ; t2 = ;t= .
ay = - g 2 g g
2 # 0, 5
A.N : t = ; t = 0,32 s.
y 10
7) Détermination de la valeur de UAB :
(B)
(A)
g La trajectoire de la sphère passe par le point P
de coordonnées (d,0) si pour x = d on a y = 0 m.
E ℓ
qEl d qU AB l d
On a donc : + = d; + =d
mg 2 mgd 2
O x
qU AB l d d
d =- + d = .
mgd 2 2
2 2
mgd gd
3.2) Détermination des coordonnées du U AB = - =
2ql q
vecteur-vitesse v et celles du vecteur- 2 l
m
position OM :
2
10 # (0, 04)
On a : v = ta + v 0 = ta et A.N : UAB = -6 ; UAB = 16 000 V.
2 # 10 # 0, 5
1 2 1 2 15
OM = t a + tv 0 + OM 0 = t a + OM 0 Exercice
2 2
À la date t = 0 s ; 1) Expression de l’accélération a du mobile
après son passage au point O :
OM 0 * v*
d q
x0 = vx = ax t = Et Système : le mobile ;
2 ; m
y0 = , v y = a y t = - gt Référentiel galiléen : référentiel terrestre ;
33
À la date t = 0 s ; OM 0 (
x0 = 0
= WOB( P ) ; WOB( P ) = 0 J.
y0 = 0
Donc vB = vO = 4 m.s−1.
v0(
v0 x = v0cosa
;
v0 y = v0sina
16
Exercice
1)
Système : la balle ;
Référentiel galiléen : référentiel terrestre ;
Bilan des forces extérieures : le poids P de
la balle.
2.2) Équation cartésienne de sa trajectoire : z
x g
On a : t = .
v 0 cos a
v0
Donc y = - 2 g a v cos a k + v 0 a v cos a k sin a .
1 x 2 x Filet H
0 0
z0 α
P h
k i
O x
d1 d2 D
34
P =m a ; m g =ma . a =g .
z=
et
z = − 7,056 + 10,692 ; z = 3,6 m.
On a : g ( a(
gx = 0 ax = gx = 0
. Donc . 4) Le lob est réussi si x < d1 + D pour z = 0
gz = - g az = gz = - g
et z > H pour x = d1 + d2 = 6 m.
À la date t = 0 s ; g 2
- 2 2 x + x tan a + z 0 = 0 ;
2v 0 cos a
;
−0,196 x2 + 1,73x + 0,3 = 0 ; x = 9 m (la balle
retombe à 9 m du point O).
et Pour x = d1 + d2 = 6 m , z = 3,6 m > H et pour
z = 0 , x = 9 m < d1+ D =14 m. Donc le lob est
réussi.
17
Exercice
(
z= x0 = 0
OG 0 ;
z = − 0,784 + 3,764 ; z = 3 m. y0 = 0
35
2.2) Équation cartésienne de sa trajectoire : 1.2) au-delà du point B, le solide est soumis
"
à l’action de son poids P uniquement.
x
On a : t = .
v 0 cos a
RN
Donc (S) y
A g
y = - gb l + v0 b l sin a
2
1 x x
2 v 0 cos a v 0 cos a P
α
y= B
α
h vB
3) x
O
3.1) Le temps mis par le ballon pour parve- 2) Détermination de la vitesse vB du solide en B :
nir aux poteaux : Dans le référentiel terrestre supposé galiléen,
D 50 appliquons le théorème de l’énergie cinétique
On a : t = ;t= ; t = 2,7 s. entre A et B :
v 0 cos a 24 cos 40°
3.2) La vitesse du ballon à son passage au ∆EC = WAB( P )+WAB( R N ) .
niveau des poteaux :
1 2
mv B - 0 = M.g.AB.sinα+ 0 ;
2 2 2
v= vx + vy .
WAB( R N ) = 0 J car la droite d’action de R N
A.N : est perpendiculaire à (AB).
v= 2
(24 # cos40°) + (-9, 8 # 2, 7 + 24 # sin40°)
2
vB = 2g.AB.sina .
36
\
3.2) Équation cartésienne de la trajectoire du UAB > 0 donc VA > VB ; E est orienté de (A)
solide : vers (B).
x
On a : t = . Donc
v B cos a
y (E)
gb l - vB b l sin a + h ;
2
y= 1 x x P
-
2 v B cos a v B cos a (A)
y= . M
F
j α yM x
d O
i E v0
4) (B)
4.1) Détermination des coordonnées du point ℓ
d’impact I du solide sur le plan horizontal : D
Sur le plan horizontal, y = 0 . Donc yI = 0 m et Appliquons le théorème du centre d’inertie :
xI = vB Δt cosα = 5×0,5×cos30° ; xI = 2,2 m.
e
F = ma ; - eE = ma = - m E .
4.2) Détermination de la vitesse vI du solide
1
à son arrivée sur le plan horizontal. v = ta + v 0 et OM = 2 t 2 a + tv 0 + OM 0
On a : E )
vI =
2
(v Ix) + (v Iy)
2
; Ex = 0
.
E y = -E
2 2
vI = (v B cosa) + (-gDt - v B sina) ;
Z]
]] a x = - e E x = 0
A.N : ] m
Donc a [] .
]] a = - e E = e E
] y m y m
vI = 2
(5 cos 30°) + (-10 # 0, 5 - 5 sin 30°)
2 \
À la date t = 0 s ; OM 0 ( ; v0(
x0 = 0 v0x = v0
vI = 8,66 m.s−1.
y0 = 0 v0y = 0
37
]] x (t) = 1 2
9, 1 # 10 # 0, 02 # 1, 3.10
] ax t + v0x t + x0 = v0 t
vP = 1,34.107 m.s−1.
OM [
2
]] 1 eE
]] y (t) = 2
2
ay t + v0y t + y0 =
2m
Et
2
20
\ Exercice
Ea k
2
x 1 e x 1)
On a : t = . Donc y = ;
v 0 2 m v0 1.1) Pour que les électrons soient accélérés
eE 2 eUAB 2
y= 2 x = 2 x . entre (A) et (B), il faut que la force électrosta-
2mv 0 2mdv 0 tique qui s’exerce sur eux soit orientée de (A)
3) vers (B). Donc le champ électrostatique entre
3.1) Détermination du déplacement vertical ces plaques doit être orienté de (B) vers (A)
yM de l’électron à la sortie du condensateur. puisqu’il est opposé à cette force.
eU AB D’où U1 = VB − VA > 0.
2
Pour y = yM ; x= ℓ ; yM = 2 , . 1.2) Pour que le faisceau d’électrons entre
2mdv 0
(P) et (Q) soit dévié vers le haut, il faut que
A.N :
la force électrostatique qui s’exerce sur les
-19
1, 6.10 # 100 2 électrons soit orientée de (Q) vers (P). Donc
yM = -31 7 2 (0, 05) ;
2 # 9, 1.10 # 0, 02 # (1, 3.10 ) le champ électrostatique entre ces plaques
yM = 6,5 mm. doit être orienté de (P) vers (Q).
D’où U2 = VQ − VP < 0.
Détermination de l’angle α de déviation de la 2) Détermination de la vitesse v0 d’un électron
trajectoire de l’électron à la sortie du conden- quand celui-ci sort des plaques (A) et (B) :
sateur : Système : l’électron de charge
yM 2y M 2 # 6, 5 𝑞 = − 𝑒 et de masse 𝑚 ;
tanα = = . tanα = ;
, , 50 Référentiel galiléen : référentiel terrestre ;
2 Bilan des forces : la force électrostatique :
tanα = 0,26 ; α = 15°. F = −e E .
Appliquons le théorème de l’énergie cinétique :
3.2) Les coordonnées du point d’impact P de
l’électron sur l’écran fluorescent (E) : 1 2
mv 0 - 0 = W( F0 ) = −e(VA − VB) = eU1
`D - j tanα.
2
, 2eU 1
Au point P, x = D et yP = v0 = .
2
` 20 - j tan15°. yP = 4,7 cm
m
5
A.N : yP = 2 # 1, 6.10
-19
# 1000
2
A.N : v0 = -31 ;
et xP = 20 cm. 9, 1.10
v0 = 1,875.107 m.s–1.
3.3) La vitesse vP de l’électron à son arrivée
sur l’écran (E) : 3)
Entre le condensateur et l’écran, le mouvement 3.1) Équations horaires x(t), y(t) et z(t) du
de l’électron est rectiligne et uniforme. mouvement de l’électron entre les plaques
(P) et (Q) :
Donc vP = vM.
38
\ 9, 1 # 10
-31
# 2.10
-2
Z] x = 0
]] 0 vS =1,9.107 m.s–1.
À la date t = 0 s, et OM 0 [] y 0 = 0
]] 4.3) La nature de la trajectoire ultérieure de
z0 = 0 l’électron au-delà des plaques (P) et (Q) :
Z] v = a t + v = v \
]] x x 0 x 0 À la sortie des plaques (P) et (Q), l’électron
]vy = ay t + v y = 0 n’est soumis à aucune force. Donc son mouve-
v] [ 0
39
IV. Exercices
1
Exercice
1) c) 2) b)
2
Exercice
Amplitude
Durée d'une oscillation complète
Pulsation propre
Élongation maximale
Période propre
Nombre de périodes par seconde
Fréquence propre
3
Exercice
40
41
42
43
45
Thème 2 : Électromagnétisme
Leçon
1 Champ magnétique
IV. Exercices
1
Exercice
"
1) L’espace champ magnétique est un espace où règne un champ magnétique.
2) Les caractéristiques du vecteur champ magnétique B :
Point d’application : le point où l’on veut déterminer le champ
Direction : l’ axe d’ une aiguille aimantée placée au point considéré
Sens: du pôle sud vers le pôle nord de l’aiguille aimantée
Valeur : mesurée avec un teslamètre et exprimée en tesla.
46
47
8 B1
Exercice
48
L = d×π×N = d×π×n×ℓ.
A.N : L= 4.10−2 × π × 1250×0,5 ; L = 78,5 m.
4) Le nom des faces de la bobine (voir schéma).
2) L’intensité I du courant nécessaire pour créer 5) La valeur du champ magnétique à l’intérieur
un champ d’intensité B = 5 mT : de la bobine :
-3 N
B 5.10 B = n0 I.
I= . A.N : I = -7 ; ,
n0 n 4r.10 # 1250 1000
-7
A.N : B = 4r.10 # # 0, 1 ;
I = 3,2 A. 0, 4
B = 3,14.10 T
−4
13
Exercice 15
Exercice
1) Expression de B en fonction de μ0 ; I ; ℓ 1) Courbe B = f(I) :
et N :
N B(mT)
B = n0 I.
, 10
2) Calcul du nombre N de spires du solénoïde : 9
B#, 8
N= .
n0 I 7
-3 6
5.10 # 0, 4
A.N : N = -7 ; 5
4r.10 # 1, 5 ∆B
4
N = 1 061 spires. 3
2
3) Le nombre de couches de spires disposé sur ∆I
1
le solénoïde :
0
Soient N1 le nombre de spires sur une couche 0,5 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4 4,5 5 I(A)
49
I(A)
16 0 0,2 0,4 0,6 0,8 1,0 1,2
Exercice
B 3,0
tan a = B 0 ; B 0 = B h tan a .
h
2,5
Leçon
IV. Exercices
1
Exercice
B v
f v q>0 B
B
q>0 v f
B f
f q<0 q>0
f = 0 f
B
v B q<0 v B
q>0
f=0
qv
2
Exercice
4)
51
4 5
Exercice Exercice
3) 3)
6
Exercice
Une particule de charge q qui entre dans un champ magnétique uniforme B animée d’une vitesse v
subit une force f d’origine magnétique. Cette force appelée force de Lorentz ou force magnétique
a pour expression f = q v KB . Sa direction est perpendiculaire au plan défini par v et B . Son
sens est tel que le trièdre (q v , B , f ) soit direct. L’expression f = |q|.v.B.|sin( v , B )| permet de
déterminer sa valeur. La trajectoire décrite par la particule dans le champ B dépend de l’angle
r
formé par v et B . Son mouvement est circulaire si cet angle vaut 2 .
52
8 f = 2 e v0 B |sinθ | = f = 2 e v0 B |sin120°|
Exercice
A.N : f = 2×1,6.10−19×2.104×0,5×|sin120°| ;
1) Une force magnétique s’exerce sur toute f = 2,77.10−15 N.
particule chargée en mouvement dans un
champ magnétique. 10
Exercice
2) Une particule qui entre avec une vitesse
v dans un champ magnétique uniforme B , 1)
effectue un mouvement circulaire et uniforme 1.1) Le proton est soumis à la force de Lorentz :
si v est orthogonal à B . Fm = e v 0 ∧ B .
3) Dans un cyclotron formé de deux « Dees », La puissance de Fm est :
la vitesse d’une particule augmente lorsqu’elle
passe de l’un des deux « Dees » à l’autre. P = Fm . v 0 = (e v 0 ∧ B ). v 0 = 0 W.
4) Dans un cyclotron, l’énergie cinétique d’une Donc l’énergie cinétique du proton est constante.
particule reste constante entre son entrée et sa D’où sa vitesse est constante.
sortie d’un même « Dee ». e
5) Le rayon de la trajectoire circulaire d’une 1.2) Fm = e v 0 ∧ B = m a . a = v0 ∧ B ;
m
particule dans un champ magnétique est e
proportionnel à sa masse et à sa vitesse. a . k =( v 0 ∧ B ). k = 0
m
car B est colinéaire à k .
9 ..
Exercice
Donc az = z = 0 ; vz = azt + v0z = 0 ; z = z0 =
La valeur de la force de Lorentz appliquée à constante.
l’ion He2+ est donnée par l’expression : Donc la trajectoire du proton est plane.
f = |q|v0B|sin( v 0 , B )| = 2 ev0 B|sin( v 0 , B )| 1.3) Appliquons le théorème du centre d’inertie
dans le référentiel terrestre supposé galiléen :
e
Cas 1 : Lorsque v 0 et B sont colinéaires, l’angle Fm = e v 0 ∧ B = m a . a = v0 ∧ B .
m
entre v 0 et B est nul ou plat. a est orthogonal à v 0 et à B .
Donc sin( v 0 , B ) = 0. D’où f = 0 N.
Donc a = a n et a x = 0 .
2
v0 e mv 0
Cas 2 : Lorsque v 0 ⊥ B , l’angle entre v 0 et B D’où a = an = = v B ; t = =
t m 0 eB
est égal à 90°. Donc sin( v 0 , B ) = 1 ; constante. Donc la trajectoire est circulaire.
f = 2 e v0 B. 2) Détermination du rayon R de la trajectoire du
proton :
A.N : f = 2×1,6.10−19×2.104×0,5 ; f = 3,2.10−15 N. mv 0 1, 67.10
-27
# 2.10
5
R = ; A.N : R = -19 -2 :
eB 1, 6.10 # 2.10
Cas 3 : Lorsque v 0 et B font un angle θ = 120°, R = 0,10 m ou R = 10 cm.
53
0, 2 # 10
1, 67.10 -27 # (3.10 7) 2 v0 = 5.104 m.s−1.
A.N : E c finale = 2 ;
6) Ce dispositif est un filtre de vitesse.
Ec finale = 7, 6.10 -13 J.
13
3) À chaque passage (2 par tour) dans le champ Exercice
électrostatique, les protons reçoivent une
énergie qU. 1) La force responsable de la déviation des ions
Le nombre de passages s’obtient par l’expression : vers le détecteur D est la force de Lorentz.
E c finale E c finale 2) Le champ magnétique B n’a aucun effet sur
n= = . les ions, si leur vitesse initiale en O est nulle.
qU e.U
-13 3) Le champ magnétique B doit être sortant
7, 6.10
A.N : n = -19 5 ; n = 32 tours. pour que les ions soient déviés vers le détecteur D.
1, 6.10 # 1, 5.10
4) Dans le champ magnétique B , chaque ion
est soumis à la force de Lorentz :
12
Exercice Fm = e v ∧ B .
54
22 +
1 2mU et 10 Ne en O1 :
R= # .
B e Appliquons le théorème de l’énergie cinétique
1 2m 1 U entre O et O1 :
Donc R 1 = # .
B e EC(O1) − 0 = 2e (V A 1 - V C 1) = −2e U1.
1 2m 2 U
et R 2 = # . Donc EC(O1) = −2e U1 pour un ion quelconque
B e 20 + 22 +
A1 arrivant en O1. Les ions 10 Ne + et 10 Ne ont
4.2) Expression du rapport en fonction des
rayons R1 et R2 :
A2 la même énergie cinétique en O1 ;
R1 m1 A1 u A1 3.3) dans la chambre (3), le mouvement
= = = . 20 + 22 +
des ions 10 Ne et 10 Ne est circulaire et
R2 m2 A2 u A2
uniforme.
a R1 k
2
A1
Donc = . 4)
A2 R2
4.1) Détermination de la vitesse v1 de
l’isotope
16
Exercice 20 +
10 Ne en O1 :
1) -2eU 1
1 2
1.1) La tension U 1 = V A 1 - V C 1 est négative m v = −2e U1 ; v1 = .
2 1 1 m1
car V C 1 doit être supérieur à V A 1 pour que les -19 3
ions soient accélérés entre O et O1. -2 # 1, 6.10 # (-2.10 )
A.N : v1 = -26 ;
1.2) Dans la chambre (2), les ions sont soumis 3, 34.10
à la force électrostatique dirigée vers le bas et
à la force de Lorentz qui doit être dirigée vers v1 = 1,38.105 m.s−1
4.2) Détermination de la tension
le haut pour permettre leur sortie en O2. Donc
B 2 est rentrant. U 2 = V A2 - V C2 :
20 +
Dans la chambre (3), les ions sont soumis à la Fe = Fm pour les ions 10 Ne . eE2 = e v1B2 ;
force de Lorentz qui dévie leur trajectoire vers U2
E2 = v1B2 ; = v1B2 ; U2 = v1B2d.
le haut. d
A.N : U2 =1,38.105×0,02×0,1 ; U2 = 276 V.
Donc le vecteur - champ magnétique B 3 est
rentrant. 4.3) Détermination de la valeur de B 3 :
m1 v1 m1 v1
2) R1 = ; B3 = .
eB 3 eR 1
2.1) Représentation du vecteur champ
3, 34.10 -26 # 1, 38.10 5
électrostatique E 1 (voir schéma). A.N : B 3 = ; B3 = 0,58 T.
1, 6.10 -19 # 5.10 -2
56
a 84 + k
3) eBd 2
57
E C 1 − 0 = q U. E C 1 = q U. Rn = R1 n.
A.N : E C 1 = 3,2.10−19×105 ; E C 1 =3,2..10−14 4)
J.
4.1) Détermination du nombre de tours décrit
1 2 2E C 1 par les ions à la sortie :
mv 1 = E C 1 ; v1 = .
2 m La valeur maximale du rayon est R = 50 cm.
-14 2
2 # 3, 2.10 R
A.N : v1 = -27 ; v1 = 4,4.106 À la sortie, R1 n = R. n = 2 .
A.N : n = a k
m.s .
−1 3 , 3 . 10 2 R1
50
;
4, 54
3.2) Détermination du rayon R1 de leur
trajectoire : n = 122 tours.
mv 1 4.2) Détermination de l’énergie cinétique
R1 = .
q B finale :
-27 6
3, 3.10 # 4, 4.10
A.N : R1 = -19 ; EC (finale) = nqU ;
3, 2.10 # 1 A.N : EC (finale) = 122 ×3,2.10−14 J .
R1 = 0,0454 m ; R1 = 4,54 cm
EC (finale) =3,9.10−12 J
3.3) Détermination de l’énergie cinétique et
de la vitesse v2 des ions lorsqu’ils ressortent 19
Exercice
de D2 et qu’ils entrent dans D1.
Appliquons le théorème de l’énergie cinétique 1)
entre D2 et D1 : 1.1) Le vecteur-champ électrostatique de
E C 2 - E C 1 = qU. E C 2 = qU + E C 1 = 2qU. E est orienté de (P2) vers (P1) : sens des
A.N : E C 2 = 2×3,2.10−19×105 ; E C 2 = 6,4.10−14 J. potentiels décroissants et sens contraire de la
force électrostatique.
1 2
1.2) Le vecteur-champ magnétique B est
mv 2 = E C 2 ;
2 rentrant car la force de Lorentz doit être
-14
2E C 2 2 # 6, 4.10 dirigée de O2 vers le bas.
v2 = . A.N : v2 = ;
m 3, 3.10
-27
2) Énergie cinétique des ions en O2 :
v2 = 6,23.106 m.s−1.
Appliquons le théorème de l’énergie cinétique :
3.4) Expression du rayon R2 de leur trajectoire EC − 0 = q (V P1 - V P2) . EC = −q U0 = eU0
dans D1 en fonction de R1 : Tous les ions ont la même énergie cinétique au
mv 2 mv 1 point O2.
R2 = et R1 = ;
q B q B 3) Nature du mouvement d’un ion dans chacune
des chambres (2) et (3) :
58
^ m2 - m1 h
4) Détermination de la distance qui sépare les 2 2eU 0
I1I2 =
deux points d’impact I1 et I2 : eB
^ 37 - 35 h
On a : I1I2 = O2I2 − O2I1 =2R2 − 2R1 = 2(R2 − R1). 8euU 0
I1I2 =
m1 v1 m2 v2 eB
Or R1 = et R2 = . A.N :
eB eB
^ 35 h
-19 -27
I1I2 = 2 ` j . v1 =
8 # 1, 6.10 # 1, 66.10 # 500
m2 v2 m1 v1 2eU 0 I1I2 = -19 -2 37 -
- 1, 6.10 # 5.10
eB eB m1
I1I2 = 0,0215 m soit I1I2 = 2,15 cm
Leçon
3 Loi de Laplace
59
4
Exercice
B F c)
B
F 8
Exercice
I I B I
r
F F = I , B sin =I,B
2
F
6 B=
Exercice I ,
AN : B = 0,33 T
B 45° B
I B I
30° B 9
i F F
Exercice
F 60°
(a) (b) F (c) I (d)
b)
10
Exercice
1) Représentation des forces de Laplace Fi :
60
F I (M 1 N 1 ) / B I (M 2 N 2 ) / B I (M 3 N 3 ) / B I (M 5 N 5 ) / B I (M 6 N 6 ) / B
Fi IdB IdB.cos30° IdB 2IdB IdB.cos60°
Valeur 0,040 N 0,034 N 0,040 N 0,080 N 0,02 N
2) Composantes des vecteurs forces La tige KM est soumise à son poids P aux
électromagnétiques.
réactions R 1 et R 2 des rails et la force de
FAC ( FCD (
F = IaB FCDX = 0
Laplace F = I , ∧ B
ACX
F =0 AC FCDY = -IbB
On pose R = R 1 + R 2
Y
F DE (
FDE = -IcB sin a
X
62
18
Exercice
1)
1.1)
Point A Point C Point D
Force de Laplace F = IL / B F' = IL / B F'' = 0
Direction Perpendiculaire au plan ( L, B ) Perpendiculaire au plan ( L, B ) ×
Sens Dirigé vers le haut Dirigé vers le bas ×
19
3) Représentation des forces de Laplace Exercice
B F = IH / B
P
I'
Q' B' 2) Représentation
I
Q F' I
O
4) Si on inverse le sens du courant dans la B F
spire, la spire tourne en sens contraire. M H I
63
+
0,5 +
P
F1 +
64
M
F
membrane
Leçon
4 Induction électromagnétique
10
Exercice
66
11
Exercice
a e b e b e S N
N S
N S
déplacement de
l'aimant déplacement de déplacement de
l'aimant l'aimant
AB AB AB
dU dU
dU B augmente, U = BS augmente 2 0 B diminue, U = BS diminue 10
B augmente, U = BS augmente 2 0 dt dt
dt dU dU
dU e=- 1 0 donc U ind = e 2 0 e = - 2 0 donc U AB = e 2 0
e=- 1 0 donc I ind 1 0 dt dt
dt VB− VA > 0, VB> VA VA− VB > 0, VA> VB
VB− VA < 0, VB< VA
D'où A borne + et B borne − D'où A borne − et B borne + D'où A borne + et B borne -
12
Exercice
a
Représentation n n
du vecteur n n
n
a
B B B B n
Flux de B U t = NU 2
U t = -ra NB cosa
2
U t = ra NB Ut = 0 2
2 U t = ra NB cosa
dans N spires U t = -ra NB
13
Exercice
67
15
Exercice
68
α = aB , S k .
Ri 200 # 25.10 %
B = ,v = ; B = 0,1 T. Φ = B . S = B.S.cosα.
0, 05 # 1
Φ s’exprime en weber (symbole Wb).
Exercice
18 2)
2.1) Expression de la f.é.m. induite :
1) Loi de Faraday-Lenz : dz dS
Φ = B . S = − B.S ⇒ e = - =+B
La force électromotrice d’induction est égale à dt dt
S surface du circuit OPQ
l’opposé de la dérivée par rapport au temps du
S = (OM × PQ)/2
69
a
= OA – AC = a –
2 2 2
2
2 U2 n2 n2
a a 2
= ⇒ OC = U1
=
n1
& U2 =
n1
.U 1
2 2
t = 0,87 s 40
A.N. U2 = # 220 = 7,33 V.
1200
• t ∈ ]−∞ ; 0], e = 0 V 2.2) Intensité I2 du courant dans le secondaire :
• t ∈ [0 ; 0,87 s] , e = + 0,101 t On a :
• t ∈ [0,87 s , + ∞ [ , e = 0 V I2 n1 n1
= & I2 = .I 1
3.2) i = g(t) I1 n2 n2
• t < 0 i=0 A 1200
⇒ # 50 = 1500 ⇒ I2 = 1,5 A
• 0 < t < 0,087 s , i = 2,6.10–2 A 40
3)
• t < 0,87 s , i=0A
3.1) Type de transformateur :
U2 < U1 : tension appliquée au primaire ⇒ le
i(A) e(V) g transformateur est abaisseur de tension.
3.2) Bobine possédant le fil de grosse section :
2,6.10-2 0,101 La bobine qui possède le fil de plus grosse
section est celle qui est traversée par un
t(s) courant important c’est donc la bobine du
0,87 t(s) 0,87 circuit secondaire.
3.3)
• Causes principales des pertes :
4) Intensité et sens du courant induit.
- Fuites magnétiques.
70
Leçon
5 Auto-induction
71
4
Exercice
1
L’inductance L d’une portion de circuit dépend du temps et de ×
l’intensité du courant.
2
Toute variation du flux propre à travers un circuit engendre une f.é.m. ×
auto-induite
3
La f.é.m. d’auto-induction est proportionnelle à la dérivée de l’intensi- ×
té du courant par rapport au temps.
Aux bornes (A, B) d’une bobine d’inductance L et de résistance r, ×
4 orientée de A vers B et traversée par un courant d’intensité i, la tension
di
est : u = ri + L .
dt
5
L’énergie magnétique emmagasinée par une bobine d’inductance L est ×
proportionnelle au carré de l’intensité du courant qui la traverse
5 8
Exercice Exercice
U
2
i
f.é.m. e d’auto-induction di
6 ri + L
Exercice dt
Inductance L
1 2
Li
1 Énergie magnétique 2
emmagasinée E
7 L
Exercice
Tension u aux bornes d’une r
bobine
di
1) Faux ; 2) Faux ; 3) Vrai -L
dt
72
ΦP = L i 1) Intensité I du courant :
AN : ΦP = 0,1 Wb 1 2 2E m
Em = Li d’où i2 =
2 L
2E m
10
i=
Exercice L
AN : i = 2,3 A
Inductance L de la bobine : 2) Si l'intensité du courant est doublée
1 2
ΦP = L i et ΦP = NBS Em1 = Li 2 (1)
2
D’une part B = µ0ni et S = π.r2 1 2
Em2 = Li 2 avec i2 = 2 i1 (2)
2
D’autre part N = n.l
On obtient Em2 = 4 Em1
On obtient L = µ0 π r2 n2l
AN : L = 0,5 H 13
Exercice
11
Exercice 1) Retard à l’allumage : Lampe L1 à cause de la
présence d’une bobine dans la branche.
1) Inductance L de la bobine :
2) Explication :
ΦP = L i et ΦP = NBS
La bobine placée en série avec L1 est
D’une part B = µ0ni responsable du retard à l’allumage. En effet,
D’autre part la longueur du tore vaut : , = 2πR, lors de l’établissement du courant, cette
N bobine crée une force électromotrice induite
donc n = qui engendre un courant induit. Ce courant, par
2rR
2
N S ces effets, s’oppose à la cause qui lui donne
D’où L = µ0 naissance conformément à la loi de Lenz.
2rR 2 -4
1000 # 10 # 10
AN : L = 4π.10−7 × -2 3) En régime permanent, les deux lampes ont le
2r # 8, 33.10 même éclat car le phénomène d’induction (qui
L = 2,4 mH provoque le retard à l’allumage) ne s’observe
2) Valeur moyenne de la f.é.m. d’auto- qu’en régime variable.
induction :
Di 14
6 Exercice
emoy = L = 2,4.10−3 ×
Dt 1 0, 005
emoy = 2,88 V 1) Tensions visualisées :
3) Énergie magnétique Em emmagasinée : • Sur la voie A, on visualise la tension uAM ;
1 1 tension aux bornes du conducteur ohmique.
Em = Li2 = × 2,4.10−3 × 62
2 2
Or uAM = Ri ==> i = uAM/R. On visualise
Em = 43,2 mJ
ainsi, par la même occasion les variations de
l’intensité i du courant.
4) Puissance moyenne Pm restituée : • Sur la voie B, On visualise la tension
Em 0, 0432 uBM = uG, tension aux bornes du générateur G.
Pm = = -6
Dt 2 432.10 2) Correspondance des courbes :
Pm = 100 W Le générateur G fournit une tension uBM = uG
73
16 - f.é.m. auto-induite:
Exercice
Di
• t ∈ [0 ms ; 5 ms], = +100 A/s;
Dt
1) Définition du flux propre ϕp : di Di
⇒ e = −L dt = −L = –1,63.10−3 ×| 100| = –
Dt
En l’absence de toute matière ferromagnétique, 0,163V .
17
Exercice e
i A B
r
1) Expression de la f.é.m. e d’auto-induction
di
en fonction de L et i : e = −L UAB
dt
di
2) Sens de variation de |e| = e = L 2) Valeurs maximales URmax et ULmax :
dt
di
représente la pente de la tangente à la uAB = RImsinωt + L ωImcosωt
dt
courbe. La tension aux bornes de la bobine est la
di somme de deux termes :
• 0 < i < 2 A, i croît, > 0, la pente décroît
dt uR = RImsinωt
d’où |e| décroît.
di uL = LωImcosωt
• I ⩾ 2 A, i = cste, = 0 d’où |e| = 0
dt
URmax = RIm = 100 × 1 ; URmax = 100 V.
3)
3.1) Valeur |e| à la fermeture ( t = 0 s) ω = 2πN alors ULmax = LωIm = 0,1 × 2π × 50 × 1
75
Thème 3 : Électricité
Leçon
2) La caractéristique de sortie :
Vsat−
L’impédance de sortie de l’AOP est nulle : la
tension us est indépendante du courant extrait is. 0 Ud
76
7
Exercice
2) Schéma de base d’un montage dérivateur
i R 1) uE = 4 sin 500 πt
C du E
i Montage dérivateur ⇒ uS = −RC
dt
− du E
Or = 4 × 500 × π × cos 500πt
+ dt
Ve Vs On obtient uS = − 0,3 × π × cos 500πt
Complétons le tableau :
4
Exercice
t(ms) 0 0,2 0,3 0,4
1) 2) uE(V) 0 1,23 1,8 2,35
b a uS(V) −0,94 −0,90 − 0,83 − 0,76
77
3
• t ! [2 ms ; 3 ms], u1 = constante & u2 = 0 V
2
1
us(t) • t ! [3 ms ; 5 ms], u1 = a’t +b’.
t(m)
0
-1
1 2 3 4 Par raison de symétrie, le coefficient directeur
de FG est l’opposée de celui de DE, donc
-2
-3
du 1
u1 = −12.103t + b’ et = −12.103.
dt
Par suite u2 = −RC × (−12.103)
8
Exercice u2 = 6 V
Ensuite uS se reproduit identique toutes les
1) Montage intégrateur.
5 ms, d’où la représentation ci-dessous :
dU S 1
=- Ue E F
dt RC 12V
v1
6V
0 5 ms t
U S= -
1
RC
# U dt
e Ue = 2V et Us = − 12V
v2
T
sur t = (Voir exercice précédent). D T G
2
10
6 U e t @0 = −
T T
Ue T
uS= -
1
RC 0
2
#
U e dt = -
1
RC
2
.
RC 2
Ue Ue , 10
Exercice
=−
2RCN
& U s = - 2RCN N = 500 Hz
Ue 1) Représentation de uS(t) :
C=− ; C = 33,3 nF. du e
2Ru s N Montage dérivateur & uS= −RC
dt
2) Valeur de la capacité pour que l’A.O. sature : du e −4 Du e
uS = – 2.10 −4
soit uS = – 2.10
dt Dt
L’AO sature lorsque |us| = + Vsat = 13 V 2U e max
-Ue -Ve • t ! [0 ms ; 2 ms], = = 10 uemax
3
d’où C = = 0, 002
2RV sat .N 2RV sat .N
d’où uS = – 2.10 × 10 uemax
−4 3
= 3,1.10–8 = 31 nF.
us = – 0,2 uemax
9 t ! [2 ms ; 3 ms], = −2.103 uemax
Exercice
d’où uS = 0,4 uemax
L’AO est parfait : i+ = i– = 0 ue est périodique de période T = 3 ms.
L’AO fonctionne en régime linéaire ε = uBA = 0 Il en est de même pour us, d’où la représentation
q ci-dessous :
• u1 =
C
& Cu1 = q
dq ue ue
du 1
• u2 = – Ri or i = d’où u2=−RC us us
dt dt t(ms)
• t ! [0 ms ; 2 ms], u1 = at + b 0
Les points D (0 s ; −12 V) et E (2.10−3 s ; 12 V)
vérifient l’équation. 2 ms 1ms
78
du 1
1
#
& us = − - RC u e dt ou dts = - RC u e
4) Représentation du signal observé aux bornes 4) Représentation de us(t)
du GBF. du e Du e
• us = – 0,001 soit us = – 0,001
du s du dt Dt
ue= – RC
dt
& ue = – 0,001 dts Du e
• t ! [0 ; 1 ms], = 2000 V/s (us = –2 V)
Dt
u(t)(V)
du s
soit ue = – 0,001 .
dt
dus
• t ! [0 ; 1 ms], dt = −60 V/s & ue = + 60 mV.
dus
• t ! [1 ms ; 2 ms], dt = + 60 V/s & ue = – 60 mV.
us est périodique de période T = 2 ms.
Il en est de même pour ue, d’où la représentation
ci-dessus.
79
4) u2 = −2.10−3 × 2.103
4.1) Si u2 = −ud : la dérivée est positive et u2 = −4 V
constante donc u1 est linéaire et croissant
4.2) Si u2 = + ud : la dérivée est négative et
constante donc u1 est linéaire et décroissant. 4) Représentation des tensions u1 et u2.
u1u2(v)
Exercice
14 u1
6
5 u2(t) u2
1) Schéma de base d’un montage dérivateur. u(t) 4
u1(t) u
3
i R 2
1 t(ms)
C
i −10−3 0 +10
−3
-1
− -2
Ve + -3
Vs -4
-5
-6
80
3
IV. Exercices Exercice
Exercice
1 1) L’énergie électrique d’un circuit oscillant
non amorti est constante.
2) L’énergie joule dépensée dans un circuit
1) Définition d’un oscillateur électrique :
oscillant amorti est égale à la diminution de
Un oscillateur électrique est un système
l’énergie totale du circuit.
dont l’évolution est décrite par la variation
périodique (ou pseudo-périodique) d’une
grandeur électrique. 4
Exercice
2) Les caractéristiques des oscillations d’un
oscillateur électrique LC : 1 a
- la pulsation propre ;
- la période propre ; 2 b
- la fréquence propre ;
- l’amplitude ; 3 c
- la phase à l’origine des dates.
5
2 Exercice
Exercice
81
1) Équation différentielle
1.1) un oscillateur mécanique non amorti : Schéma a
mxp + kx = 0 . dq
1 1) Relation entre i et
1.2) un circuit LC : L qp + q=0 dt
C
C
2) Analogies formelles entre les différentes A a B
grandeurs mécaniques et électriques. uAB
dq i
i= L
dt
Grandeurs Grandeurs uMN
M N
électriques mécaniques
2) Tension uAB et uMN
q x q
uAB= ;
C
2
di d q
i v uMN = + e = −L = −L 2 .
dt dt
3) Équation différentielle
L m 2
q d q
uAB= uMN & - = −L 2
C dt
1
k 2
d q q
2
d q 1
C & +L 2 + C =0 & 2 + LC q = 0
dt dt
U F 4) Pulsation ω0
1
ω0=
LC
7
Exercice
c) Schéma b
8 dq
Exercice 1) Relation entre i et
dq dt
i = dt
1) ; 4)
2) Tension uAB et uMN
9 q
Exercice uAB= - ; (convention récepteur)
C 2
di d q
1) uMN= −e = L =L 2
dt dt
1.1) Charge maximale Qm du condensateur :
Qm = C UAB = 10−6 × 20 = 2.10−5 C 3.a) Équation différentielle
2
q d q
1.2) Fréquence propre N0 : uAB= uMN & - = +L 2
C dt
1 1 1 1 2
d q q
2
d q 1
N0 = 2r LC = 2r & L 2 + C =0 & 2 + LC q = 0
40.10 -3 .10 -6 dt dt
= 795,8 Hz.
b) Pulsation ω0
2) Intensité maximale Im : Im = Qm. ~ 0 = 2πN0Qm 1
ω0=
Im = 2π × 795,8 × 2.10−5 = 0,1 A. LC
82
1) Justification du signe + 1)
dq 1.1) Schéma du montage :
i=+ ; i est algébrique et son signe dépend K
dt A
de celui de dq.
q
si dq > 0, i > 0 ; si dq < 0, i < 0 C uC
L
i
2) Équation différentielle : B
83
C1 dt dt LC 1 1
on a : EL= C1Um2sin2(ω0t + φ).
2
1.2) Expression littérale de la tension u (t). 3.3) Énergie totale emmagasinée dans le circuit :
La solution de l’équation différentielle (1) est 1
ET= EC+EL = C1Um2(cos2(ω0t+φ) + sin2(ω0t + φ)
1 2
q = Qmcos(ω0t + φ) avec ω0 = 1
LC ET = EC+ EL = C U 2 ; ET = 9,6.10–4 J.
q Qm 2 1 m
Or u = d’où u(t) = C cos (ω0t + φ) ou 4) On a ET = E1⇒ L’énergie totale se conserve.
C1 1
Qm
u(t) = Umcos(ω0t + φ) avec Um= C . Exercice
15
1
2)
1) Phénomène mis en évidence :
2.1) Charge Q1 : Charge et décharge du condensateur.
1 2)
Q1 = CU1 = 1,2.10–6 × 40 = 4,8.10-5 C
2 2.1) • Expression de la charge q(t) du
2.2) Énergie E1 emmagasinée : condensateur :
1 q(t) = Qmcos(ω0t + φ) ; on a : Qm = CUm, or
E1= CU12 = 9,6.10–4 J
2 Um = 3 × 1 = 3 V.
Voie 1 donc Qm= 0,1.10−6 × 3 = 3.10−7 C
2r 2r
R ω0 = T = ; ω0= 1250π rad.s−1
0 8 # 0, 2 # 10 -3
G à t = 0, q0 = Qmcosφ = Qm ⇒ cosφ = 1 donc φ = 0
L d’où l’expression : q(t) = 3.10−7cos(1250πt).
Voie 2
C • Expression de l’intensité i(t) du courant :
dq
i(t) = ; i(t) = −3.10−7 × 1250πtsin(1250πt).
dt
2.3) Valeurs de la tension maximale et de la i(t) ≈ −1,2.10−3sin(1250πt)
pulsation : 2.2) Expression des énergies emmagasinée
Um ↔ 2 div d’où Um = 2 × 20 = 40 V par la bobine et le condensateur :
T0 ↔ 4 div d’où T0 = 2.10–3s d’où ω0 = 1000π • Condensateur :
84
f 0 Se
-4
3.10
C1 = = 8,84.10−12× -3 ;
1
• Bobine :
0, 4.10
1 2 C1 = 66,3.10−13 F
Em= Li
2 -4
Em=
1
L[ −1,2.10−6 sin( 1250r t)]2
C2 = f 0 Se2 = 8,84.10−12 × 30.10
0, 4.10
-3 ;
2 C2 = 663. 10−13 F
2
T0
Or T0 = 2π LC ⇒ L = 2 66,3.10−13 F < C < 663. 10−13 F
4r C
AN : L = 0,65 H 3.2) Domaine de fréquences des ondes
On obtient alors l’expression : pouvant être captées :
Em= 4,5.10−7sin2 ( 1250r t) • Si L = 1,5 mH :
1 1
3) Représentation de EC(t) et Em(t). N1 = 2r =
LC
1 1
-13 ≈1,6 MHz
Ec, Em(J) 2r -3
1, 5.10 # 66, 3.10
fL fc
4,5.10−7 1 1
N2 = 2r =
t(s) LC
0 1 1
TO 2TO 3TO 4TO 5TO -13 ≈ 0,5 MHz
To 3To 5To 7To 9To
2 2 2 2 2 2r -3
1, 5.10 # 663.10
−4,5.10−7
85
91 - R 1 + R 2 C
Cette égalité montre que le dipôle se comporte
comme une résistance négative de valeur −R. ⇒
R1
3) Équation différentielle régissant l’évolution uAM = R2i ⇒ uAM = −R1i
de i(t) dans le cas de la figure 2 : R2
86
Leçon
Exercice
2 L’impédance d’un ×
2 dipôle RLC se mesure à
l’aide d’un ohmmètre.
1) b) ; 2) b) ; 3) a) Pour un dipôle donné et ×
pour une pulsation don-
3
Exercice née, lorsque la tension
3 d’alimentation varie,
l’intensité du courant
Dans un circuit RLC série en régime alternatif
qui traverse le dipôle
sinusoïdal de pulsation ω, la phase φ de la
varie.
tension aux bornes du circuit par rapport à
87
I = 9,6.10−3 A ou 9,6 mA
1.2) Tensions efficaces UR, UB et UC :
• UR = RI
88
R +a
11 1 k
2
Exercice 2 1
Z= tanφ = –
C~ RC~
À l’aide des formules suivantes, on obtient le
tableau ci-dessous. • Association série d’un conducteur ohmique
Tensions maximales U1m= KV1 × dV1 ; (R) et d’une bobine (L) :
U2m= KV2 x dV2 R L
Période : T = KH x dH
KV1, KV2 : Sensibilité verticale ; KH : Sensibilité 2 2 L~
Z= R + (L~) tan φ =
R
horizontale
dV1, dV2 : déviation verticale (maximale) ; • Association série d’un condensateur (C) et
dH : étalage d’une période. d’une bobine (L) :
Valeurs efficaces des tensions :
89
1
Z = Lω − tanφ = + ∞ ou tanφ = – ∞ I
C~ cw
• Association série d’un conducteur ohmique
LωIO
(R), d’un condensateur (C) et d’une bobine (L) :
U
{ r
2
R L C
RI Phase de i
1
L~ - C~
R 2 + a L~ - C~ k ; tanφ =
1 2
Z= R
2) Diagramme de Fresnel :
LωIO
(RC série)
RI Phase de i r
RI 2
r
{ - 2
{ Phase de i
U I
U 1
cw
C~
13
Exercice
(RL série)
1) Nature des dipôles :
a) A est une bobine d’inductance L et de
U LωI résistance r.
Car IA(continu) ≠ IA(alternatif) et IA ≠ 0
{ +
r
En courant continu
2
UA 10
RI Phase de i r= = r = 1, 25X r = 1,25 Ω
IA 8
= r + ^ L~ h
(LC série) UA 2 2
En courant alternatif Z =
1 IA
Lω> 2
C~ Z-r
1 LωI &L= 2
~
C~
a U A k - r2 ` 10 j - ^ 1, 25 h2
r 2 2
+
2
U I A 5
Phase de i L= 2 2 = 2 2
4r f 4r .50
1 L = 4,97.10–3 H ≈ 5 mH
Lω<
C~
b) B est un conducteur ohmique car
LωI
1 IB (continu) = IB(alternatif)
C~ UB 15
R= = R = 2,1 Ω
U r IB 7
- Phase de i
2 c) C’est un condensateur car en régime continu
IC = 0A.
U 1 IC IC
ZC = I C = C~ & C = ~U = 2rf.U
C C C
90
91
C~ L = 8,9.10-3 H ou 8,9 mH
A.N : L = 0,56 H ou L= 0,45 H 18
Exercice
17 1)
Exercice
1.1) Expression de la phase φu/i entre la
1) Complétons le tableau ci-dessus en justifiant tension u et l’intensité i :
l’identification de chaque dipôle. 1
- C~ 1
tg φu/i = R = - RC~
Dipôles I1(A) I2(A) U1 U2
(Ω) (Ω)
I1 I2
1.2) Expression de l’impédance Z du dipôle RC :
D1 3,2 2,4 3,75 2,5
R +a
D2 2,5 1,25 4,8 4,8 2 1 k2
Z=
C~
D3 5.10-3 0 2,4.103
2)
Justifications : 2.1) Valeur de la période T et la fréquence f
• En courant continu, D3 n’est traversé par de la tension d’alimentation :
aucun courant (I2 = 0 A) donc D3 est à la 4ème • Période : T = 10 × 1 = 10 ms ou10−2 s
ligne du tableau. 1 1
• Fréquence : f = = f = 100 Hz.
U1 U2 T 10
-2
• Pour D2, on a = = cste = 4,8 -AV . 2.2) Valeur de la phase φu/i entre la tension
I1 I2
Donc D2 est à la 3ème ligne du tableau. u et l’intensité i du courant passant dans le
• On déduit que D1 est à la 2ème ligne. circuit :
2) • La voie 1 permet de visualiser la tension uR
2.1) Valeur de la résistance R du conducteur aux bornes du conducteur ohmique et donc
ohmique : l’intensité du courant dans le circuit.
• La voie 2 permet de visualiser la tension u
U1 U2 aux bornes du circuit.
R= = ; R = 4,8 Ω
I1 I2 En observant les courbes, on constate que le
2.2) Valeur de la capacité C du condensateur : courant i est en avance de phase par rapport
1 U1 I I à la tension u.
ZC = = & C = ~U1 1 = 2rN1 U 1 2r # x
C~ I1 Donc φu/i < 0 ; φu/i = -
-3
T
5.10 2r # 2
AN : C = AN : φu/i = -
2r # 50 # 12 10
2r
C = 1,32.10-6 F ou 1,32 µF φu/i =− rad = −0,628 rad
10
2.3) Valeurs maximales de u et uR.
92
93
5
IV. Exercices Exercice
b Exercice
6
3 Largeur de la 1
Exercice
bande à 2r LC
1) Si l’on applique une tension alternative « 3dB »
sinusoïdale de valeur efficace constante et 2r LC
de pulsation ~ variable à un circuit RLC Facteur de 1
série, l’intensité efficace traversant le circuit qualité RC~ 0
est maximale pour la pulsation ~ égale à la
Fréquence R
pulsation propre ~ 0 pour laquelle l’impédance
propre 2rL
du dipôle vaut la résistance totale du circuit :
c’est la résonance d’intensité.
2) La résonance d’intensité d’un circuit RLC 7
série est obtenue lorsque la tension aux bornes Exercice
du dipôle RLC et l’intensité du courant dans 1
N0= .
le circuit sont en phase. 2r LC
1
3) La bande passante est l’intervalle des A.N : -6
; N0= 50 Hz.
2r 1 # 10.10
pulsations pour lesquelles l’intensité efficace
I0
I est supérieure ou égale à .
2 8
Exercice
4 1 1
Exercice ω0= ; C= 2 .
LC L~ 0
Dans un circuit RLC série à la résonance 1
A.N : 2 ;
d’intensité, il y a surtension aux bornes de la 50.10 - 3 # (100r)
bobine et du condensateur C = 2,03.10-4 F ; C = 203 μF.
94
= -7 ; UC= 12,3 V.
2r # 600 # 5, 410
10 • UL= L ~ I0 = 2πLN0.I0
Exercice
= 2π×0,13×600×0,025 ; UL= 12,2 V.
1) La valeur de la capacité C du condensateur
qu’il faut utiliser :
1 1 12
N = N 0= ;C= Exercice
2 2 .
2r LC 4r LN 0
1 1) La courbe représentée sur le graphique est la
A.N : C = 2 ; C= 10 F ; C = 10 μF.
−5
2
4r # 1 # 50 courbe de résonance d’intensité.
2) Le coefficient de surtension de ce circuit : 2)
2rN 0 L 2r # 1 # 50 2.1) La fréquence de résonance N0 a pour
Q= ; A.N : Q = ;
r 100 valeur N0= 550 Hz.
Q = 3,14 2.2) L’intensité I0 du courant à la résonance
a pour valeur I0 = 14,8 mA.
3) La tension aux bornes du condensateur 2.3) La bande passante à 3 dB d’un circuit
UC= QU ; A.N : UC= 3,14×220 ; UC= 691 V . RLC série est l’intervalle des fréquences
95
14
Condensateur
Exercice
I0
2)
2.1) Valeur de la résistance interne r de la
100
−
√2
90
U0 U0
bobine : R+ r = ;r= −R.
80
70 I0 I0
1
60
A.N : r = ; r = 8 Ω.
50 0, 05
40
2.2) Valeur de la capacité C du condensateur :
-6
1 2E 2 # 5.10
30
2
3)
20
E = CU 0 . C = 2 ; C = ;
10
N1 N0 N2
2 U0 1
C = 10-5 F ; C =10 μF.
0
2000 2100 2200 2300 2400 2500 2600 2700 2800
N (Hz)
96
Z2 = r2 + ` L~ - j
1 2
2)
C~
a L~ - 1 k = Z2 − r2.
2
2.1) La période du signal obtenu est :
C~ 4div # 1ms
A.N : a L~ -
1 k2 T=
1 div
; T = 4 ms = 4.10−3 s.
= 102−82 ;
C~
2.2) La pulsation ω de la tension variable
a L~ - 1 k = 36
2
97
Leçon
98
99
^ 20.10 h # ^ 0, 7 h2
I= . A.N : I = ; I = 2 A. 5.1) =100× ;
R+r 10 + 2 P 3 2
P
2 aux bornes de la bobine et φu /i la phase de
PJ = r I ou PJ= 2
2
2
C
100
13 14
Exercice Exercice
101
3
IV. Exercices Exercice
1 Calcul de l’interfrange i
Exercice
mD
i= AN : i = 2,24.10-3 m
Lorsque la lumière rencontre des obstacles a
ou des ouvertures de petites dimensions, 4
Exercice
il se produit un étalement de directions de
propagation de la lumière. Il y a apparition de Une onde électromagnétique est une catégorie
franges successivement brillantes et sombres. d’ondes qui peut se déplacer dans un milieu de
On a une interférence lumineuse lorsque la propagation comme le vide ou l’air avec une
superposition de deux ondes ou plus conduit vitesse avoisinant celle de la lumière.
à une intensité lumineuse qui est différente de
la somme des intensités de chacune des ondes Exercice
5
prises séparément.
Trois ondes électromagnétiques : rayons
Exercice
2 gamma, rayons X, ultraviolet.
6
Exercice
Expression de l’interfrange i :
mD mD
i = xk+1−xk= (k+1) −k Ondes hertziennes 10-13 m ≤ 𝛌≤ 10-10 m
a a
mD mD Rayons X 𝛌≥ 10-3 m
= i=
a a Rayons γ 10-6 m ≤ 𝛌≤10-3 m
Infrarouge 10-10 m ≤ 𝛌≤ 10-8 m
102
Leçon
E2 = = − 0,545.10−18 J
En(eV) 2
2
-18
-2, 18.10
0 n=∞ E3 = 2 = − 0,242.10−18 J
3
1.2) Fréquences des radiations émises :
−1,51 n=3 E3 - E1
V3,1 = ; AN : V3,1 = 0,292.1016 Hz
h
E2 - E1
−3,4 n=2 V2,1 = ; AN : V3,1 = 0,247.1016 Hz
h
1.3) Longueur d’onde correspondante :
c
𝛌3,1 = AN : 𝛌3,1= 103 nm
V 3, 1
−13,6 n=1 c
𝛌2,1 = AN : 𝛌2,1= 121 nm
V 2, 1
3) Énergie minimale à fournir : 2) Calcul de A
-18
2, 18.10
E2 – E1 = −3,4 + 13,6 = 10,2 eV A= -19 = 13,6 eV
1, 6.10
8
Exercice
12
Exercice
1) a 2) b
1) n = 1 est la valeur pour laquelle l’énergie de
9 l’atome est minimale : c’est l’état fondamental
Exercice
2) les valeurs correspondantes de n pour
1) Phénomène d’absorption : b chaque longueur d’onde :
2) Phénomène d’émission : a hc
De la relation En – E2 = ,
m
10
Exercice
-18
1) L’énergie du photon émis : 2, 18.10
on tire n=
-13, 6 -18 hc
0, 545.10 -
On a : En = 2 Pour m a = 656 nm, n = 3 m
n
-13, 6 13, 6
∆E = E3 – E2 = 2 + 2 Pour m b = 486 nm, n = 4
3 2
∆E = 1,89 eV ; Soit ∆E = 3,02.10-19J Pour m c = 434 nm, n = 5.
105
16
Exercice
On constate que R2 reste constante ; donc
les inverses des longueurs d’onde sont 1) L’énergie d’ionisation est l’énergie à fournir
compatibles avec la relation précédente. à un atome pour le faire passer de l’état
4.2) R2 = 4,39.107m-1 est la valeur de la fondamental (n = 1) à l’état ionisé (n = ∞).
constante de Rydberg de l’ion He+. 1243
2) Montrons que E =
4.3) Vérifions que R2 = 4R1. m
hc
7 On a E = avec hc = 19,89.10-26 J.m
R2 4, 39.10 m
On a : = 7 = 4 Soit hc = 1243.10-9 eV.m = 1243 e V.nm
R1 1, 094.10
1243
Donc R2 = 4R1 Comme 𝛌 est en nm alors : E = .
m
106
hc hc λ4 = 4,098.10-12 m
• E4 – E2 = E4 = E2 + -34 8
m2 m2 hc 6, 63.10 .3.10
• λ5 = AN : λ5 =
-34
6, 63.10 .3.10
8 E3 - E2 (613 - 256) .10
-16
AN : E4= 160.103.1,6.10-19 +
4, 504.10
-12
λ5 = 5,571.10-12 m
-34 8
E4 = 698.10-16 J = 436,25 eV. hc 6, 63.10 .3.10
• λ6 = AN : λ6=
E2 - E1 (256 - 127) .10
-16
hc hc
• E4 – E3 = = E3 = E4 − λ6 = 15,503.10-12 m
m3 m3 -34 8
hc 6, 63.10 .3.10
6, 63.10 .3.10
-34 8
λ8 = AN : λ8 =
AN : E3 = 698.10-16− -11
E1 - E0 -16
127, 7.10 - 0
2, 34.10 λ8 = 15,576.10-12 m.
E3 = 613.10 J = 383,12 eV
-16
2
IV. Exercices Exercice
107
1) F ; 2) V ; 3) V ; 4) F ; 5) F 1) Équation bilan
210 0 210
83 Bi -1 e + 84 Po
4
Exercice 2) Lois de conservation utilisées :
- Loi de conservation des charges ;
Radioactivité α A
Z X " Z +A1 Y + -01 e - Loi de conservation du nombre total de
Radioactivité γ A nucléons.
Z X " Z +A1 Y + +01 e
Radioactivité β− A
X " AZ -- 42 Y + 42 He 9
Z
Exercice
Radioactivité β+
1) Équation bilan
238 4 234
5 92 U 2 He + 90 Th
Exercice
2) Le nombre de désintégrations α et β−
238 4 0 206
1) Noyaux pères émetteurs α U
92 x 2 He + y -1 e + 82 Pb
222 4 218 En appliquant les lois de conservation, on a :
86 Rn 2 He + 84 Po
209 4 205 238 = 4x + 206 et 92 = 2x – y + 82
83 Bi 2 He + 81 Ti
Donc : x = 8 et y = 6
2) Noyaux pères émetteurs β− Il y a 8 désintégrations α et 6 désintégrations β−
234 0 234
90 Th -1 e + 91 Pa
234
Pa
0 234 10
91 -1 e + 92 U Exercice
3) Noyaux pères émetteurs β+
80 0 80 1) Loi de décroissance radioactive :
35 Br +1 e + 34 Se
N(t) = Noe-𝛌t
13 0 13
7 N +1 e + 6C No : nombre de noyaux à t = 0 ;
N(t) : nombre de noyaux à t > o
6 𝛌 : constante radioactive
Exercice
2) La période radioactive est le temps au bout
c
duquel la moitié des noyaux radioactifs à l’état
de départ s’est désintégrée.
7
Exercice 3) Calcul de la période radioactive :
ln2 ln2
23
1) 11 Na comporte 11 protons et 12 neutrons T= AN : T =
m 5, 8.10 -8
dans son noyau T = 11 950 813 s ; soit T = 138 jours.
2.1) Équation de la réaction
23 23 0 11
11 Na 10 Ne + +1 e Exercice
2.2) Lois utilisées :
1) Composition du noyau de chaque nucléide :
- Loi de conservation des charges ;
Nucléides 12
C
12
N 235
U
14
N 238
U
- Loi de conservation du nombre total de 6 7 92 7 92
nucléons. Protons 6 7 92 7 92
2.3) Le nucléide obtenu est le néon. Neutrons 6 5 143 7 146
108
109
110
111
112
Leçon
3
IV. Exercices Exercice
113
1
AN : Eℓ = 38,1 MeV. Il s’agit d’un neutron n . 0
114
115