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net/publication/284757033
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148 1,628
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Lemonnier Pierre
French National Centre for Scientific Research
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All content following this page was uploaded by Lemonnier Pierre on 10 February 2016.
1 ()pt.
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1
1
1
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...
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t
!
Pierre LEMONNIER
le système technique (1), voire sur le système social tout entier (2).
niveau d'abstraction qui caractérise le diséours est alors tel que les
L ~ ! 0 rn i:l :! •
i-i;l ~,~ - i ~:
1
au [ a p o n .
1\ 4. A. G. Haudricourt, "La technologie, science humaine", La Pens,{e,
1
1
1 cette tenta tive - appré hende r une"h iérarc hie des ens~m bles
techn iques "
~ aband onner
- le .c o n d u Lt
et des socié tés auxqu elles ils corre spond ent
I!
1 ./
Nous repren drons cette hypot hèse ~ notre comp te,
'j
--
qui existe nt entre les systèm es techn iques
d'exp lorer systé matiq ueme nt les liens
pas à sens uniqu e 1 e s pra t i que ste c h ni que s s on t l' 0 b jet d ' un
c on t rO 1e
direc te-
mais certai nes d'entr e elles reten tissen t
1 socia l comp lexe,
le du trava il
par exem ple déter mine pour partie l'orga nisati on socia
1 théor ique.
1
1
1
1 103
extrêmement puissante. mais q:1Ï n'en demeure p'1S moins une hypo-
thèse fragile, tant que certains points n'auront pas été éclaircis:
présent) ?
nous aucun écho. Quelles que soient les réponses qui leur seront
---------'
des tâches les plus urgentes du e.c.h n.c k c g ue-'~::'~ d.e. s s o u d r e les pro-
1
t . ë
1 connaissances techniques.
1
t J. \' t 0 t
1 6.
7.
Après R. CresS'."ell,
1
1
1
-1
104
1
é
1
ë
1972, 23 ).
_ .. ..
"
1 le discours . : acteurs,
2.C'::~i
et le savoir ir::!plicite
d Lr e c t e m e n t , Elles sont
I~
généralement i g no r é e s d a n s les é;:uées r e c h n c l c g i q u e s (S) (sans
1
qu'elles forment un préalable nécessaire à toute p r a t i q u e
1
é ë
1 a s s i rn i La rl o n impliquent un c o n t r
d i a t e m e n r p r o du c e Lv e s , Il e s z certain
au rn ë rn e
1
1
1
1
1
1 105
1
1
1 l'e~placement d'une plante donnée ou de décider "qu'il est temps"
uniquement technique j
Le discours technique n'est pas
des i g n 0 r a n ces e t des i ne e r t i tu des qui P ë.s e n t sur 1a pro blé mat i que
1·
9. Pour l'ébauche d'une étude du discours é:nis à propos de phénomène 5
)
1 106
1
1
1 absten u jusqu 'à prése nt d'app orter à notre vocab ulaire
une précis ion
de ce trava il.
" Nous postul ons que l'ense mble des phéno mène
s strict e-
1
0. _- ...
1 généi té. Ceci se rappr oche on le voit, de ce que A. Leroi -Gour han
1 à l'obte ntion du résult at techn ique visé. Ces éléme nts ont une
une fin,
possè de un début et
1
1
1
1
1 107
1
1 que représ ente une chain e opéra toire. Une
activ ité techn ique peut
e.
étroit emen t liée au sujet même de cet articl
1 r e indiss ociab le
On a souve nt insist é sur le c a r a c t è
j
j 1955
comp orter, à
reven ir. L'étud e d'une pratiq ue techn ique doit donc
1 côté de la descr iption des moyen s de trava
il et des conna issanc es
de leurs agenc emen ts relati fs. etc. On const ate cepen dant que les
a fortio ri,
préci ser.
ne va pas sans présu pposé s qu'il impor te de
1
techn iques .
En porta nt notre intérê t sur les proce ssus
1 nous affirm ons impli citem ent qu'il est pertin
ent d'ana lyser un
1
1
1 f:
1,
,
1
1 l'
1
li
1 108
s y S t ème te c h ni que en soi. C' est di r e qu'il ex i ste d e.s car a ct é ris t i que s
gr 0 u p e, e t que 1 e sac t i vit é ste c h ni que s peu ven t ê t r ecu 1tu r elle m-e n t
coopérants sont des alliés ou que leur action est contrôlée par un
(1934) que les plus "élémentaires" de nos gestes portent une marque
transformation que l'on désire lui faire subir, existent des faits
1 -,:
techniques qui apparaissent de plus en plus individualisés (culturelle-
1
îC9
que l'arbre ait été abattu, dépouillé de ses branches, écorcé, etc.
1 Il n'en demeure pas moins qu'il existe des processus techniques
1 s'il est par exemple nécessaire de poser des briques les 'unes- sur
1 ;\ leu r c 0 m b i n ais 0 n , ;\ 1 e urs u b s t i tut ion, q'u ' i', s soient ou non
1
Cette perspective de recherche peut aussi bien être
1 (système technique).
/
f
1
1
1
1 l,
1'10
1,
1
, Dans un premier temps de notre approche, nous nous
1 que dans certains cas la dépense d'énergie (ou de temps) est démesurée
don t l' e ff i cac i t é est li é e . à l' a c h è v e men tes t s Y sté mat i que rn-e-n t men é
1
1
11 '\
p a rt i e t:~ <;,ot a r i i c l e .
Problèmes méthodologique s.
compte, mais c'est leur fond technique qui nous intéresse ici.
regard. Nous voudrions ici insister sur le fait qu'il n'y a pas a
par un q 1.J e 1con que "b 0 n sen s". Il fa ut par con t r e r e con na rt r e que
notre champ d'analyse est limité par des facteur matériels. Nous"ne
112
. Cela ne signif ie en aucun e façon - jusqu 'à preuv e du contr aire - que
se situe nt pas à ce
des éléme nts à signif icatio n cultu relle ne
voire à un nivea u
nivea u (mouv emen t des doigts par exem ple),
quelc onque
Si nous pouvo ns postu ler l'exis tence d'une
l'';;,
, aucun éléme nt objec tif ..
logiqu e intern e aux phéno mènes techn iques
able à traver s des
ne nous indiq ue par contre qu'ell e sera repér
ou des opéra tions, ou
phéno mènes d'ordo nnanc emen t des activ ités
ne e s g est ue 11 es , ou
(/ et) à t r a ver s un e s y n t a g ma t i que des s é que
ailleu rs.
opéra toire.
1
1 1. Les méthodes de description
1 1
des m o u v e rn e n t s réalisés lors de pratiques sportives) c o m p l
fa i .i a ;~ t
i
1 1
intervenir le détail des mécanismes musculaires.
1
1
1
1
1
1
1
1
!
comportements. Des o p é r a t i o n s s t a n d a r d s peu:ent être explicitement
1 cl é fin i es: c' est 1e c s s des the r b 1i g sut i li s é sen a na 1ys e dut r a va i 1.
I i n i t i o n ; "begins w h e n h a n d
é re r
1 opératoires) :
1
1
1
115
chaud, les jaunes d'oeuf, sel poivre, puis les blancs en neige ferme.
existe .c.h e z les militaires une bonne et des mauvaises manières de pro-
1 technique).
1
1
1
1
•
116
,
:
j Koech lin (1972 . 162-1 66), selon
~. C'est le cas de B.
pes de mouv emen ts
qui on devra it pouvo ir déterm iner des "grou
I~
peuve nt [ . . . ] prése nter
que "des systèm es de dynam ique corpo relle
xte perm ettra de dire qu'il
z
• des cas d'hom omorp hisme où seul le conte
i o n est
Or nous ne savon s pas si ce type de q'u e s t
nterr oger sur le "sens "
pertin ent. Autre ment dit, y-a.t 'illie u de·s'i
ique? Ajout ons que
d'une s"éq-u euce gestu elle à effica cité techn
l a t o i r e symb oliqu e.
ou là ; et - d'une rn a n i re
comp lexes - susce ptible s d'app arattr e ici
è
1
1
1
1
117
1\,
~ lés repérer, ne serait-ce que pour réduire le nombre des informations
retenues dans la description.
d:-m! d':utres travaux". Ils constituent les éléments les plus détaillés
du découpage des t â c he s :
Pha se
~<-Pha<'
~'ation
~nt de travail
en pratique.
1
1 118
,
1
li
i
li
t~
par la formule "prendre axe et goupille".
méthodologiques
1eurs man i f est a t ion s -i m m é dia tes - c e qui peu t ê t r e une d é m arc h e r end u e
n ~ c e s.s air e par 1 e seo n dit ion s m mes dan sie s que Ile s _ l' e n q u ~ t e se dér 0 u 1e ,
1
ê
en particulier par les moyens matériels dont on dispose (voir paint e)-
l'heure actuelle, de c r i t è re
1
1
1
1
1 l 'j
li
Il
Il
1 i les t pré f é r a b 1 e de d é fi n i r des un i tas s.a -=lu
e n t i e Il e sad a pt é e s l cha que
t, i a d Lg e n e s ou n t res}
catég ories prédé finies (quel les qu'el les soien
ô
1/
e, Le conte nu de ces séque nces homo gènes est
~ probl émati que. On ne peut que const ater après d'aut res, que la
descr iption et l'ana. lyse des séque nces gestu elles relèv e de reche rches
c ise , c o m p t e t e n u de la métho de
de p r s e n t e r une d e s c r i p z i o n plus p r
i-
ê
é
li
utilis ée.
e s que les m t h o d e s de d e s c r i p t o a ,
logiq ueme nt - encor e m o i n s dé·... e l o p p
ï
é
é
1
1 se, en l'occu .ence le
1 en vérité q,u'un e prem ière étape d'u!le analy
stent en des
J! recou rs l des repré senta tions graph iques . Elles consi
des s r i e s d'opé ration s en
tablea ux dans lesqu els on fait c p p a r a c r e î ë
1
1
1
1
120
1
1
li
1
1 d'analyse de processus technique, sur l'exemple 'de nos propres
1
1
1
121
qu' e 11 e par cou r t des bas sin sou sur f ace sap pr 0 prié es
rencontrés (c r i s t a llisoirs).
productivité, etc . . .
1
A Guérande les premiers réservoirs parcourus par
1
1
1
1
-------------
,
1 r a m i f I c a t i o n s successives (ce sont des étiers, puis des b o n d r e s .
sous une f a Lb l e
'1 i s e r '; e n t é ~ a-
1
La ré co 1 t e a li eu l' é ré. de j u i n à se? t e rn b ra.
1 d'eau,
douce,
au hasard des p r
etc ..
é c l p i t a t io n s ,
m a i s le
vase . . . ) qui doivent être remises e n état chaque année. Les répara-
1 tions interviennent 'au printemps; leur déroulement est é t ro i t e m e n t
" 1
1
1
lié 'aux circonstances atmosphériques qui déterminent en particulier
1
\
1
Il
\
Î.24
TABLEAU 1
<r e c o n s t r u c r Lc n t o z a l e :::es c r Ls r a l l Ls o i r s et de s
-curer v a s i ères
tous les 2 à 5 ans
-p~cher v a si è res
(:nars ~ remise en état des -éliminer eau douce et vase accumulées pendant
bassins;
Nota: v o i r d é t a i I au tableau 3
.. -! t é ri
récolte du sel M:1tin -transporter récolte de la v a i Ll e sur les
(J ',,: i no à t a lcs ;
-rassembler au centre des crisL.11lisvirs
les c r i s ta u x formés j
125
1
hisser au sec la production du jour
<--
1 - a li men ter en eau 1 e s cris ta lli soi r~'"
1 ~ production ou
1
~
1
1
1
1
:
1
1
i
1"
1
1
.. :.- a.- :.II ~_._.=-._._~_ .. .
~
.~---!_---~_ . - : .: .: : .- - - - - - - - -
TABLEAU 2
Temps
~~iYèaU\ ~ •
muID"
\ 1 J 1
3 boucher " (voir TABLEAU 4)
~_ ....
d'eau
;;
prendre
1
[séquence gestuelle
l,
[\
permettant de saIsir la <,
palette] •
.
l''~
v,
--"",---,-""-~ - . -.,...
.--~., ~-- =.-
1 128
1
j
j Il est clair q u e chacune des séries d'opérations ou de
'"'exhanstive" de ce type.
1 l a vas e et les dép ô t s v é g é tau x qui en 0 nt été r et i rés n' 0 n t pas t 0 t ale men t
1 en plusieurs fois,
d Lg u e t t
la vase s'égouttant peu ~ peu.
1
1
1
1
1 129
1
1
le cas présent - qui est un cas particulier - les phénomènes physiques ~.~,
1 et chimiques responsables des contraintes qui pèsent sur la démarche
des acteurs sont effectivement ceux auxquels ils font référence dans
Il 1
- - - - - - - - -------._---_0.-.-.....'-,---------_--1-
- ~
TA BL EA U 3 : dé t a Il dei a p r ~ p Il rat 10 n cl u mil r Il 1 S \" h Il b 1lia g e " 1 ni vell u 2)
Te mps~
1. ~ ! ·.l rc de l'opé- e c o n s t ru l r e remplissage vider la saline r e con st ru 1 r e ca n a 1 f évacuer majeure évacuer vase
.. ' i o n vannage vasière jusqu 1 li fai re par lequel s'écou- partie formée dans les fares
1
principal a ppara î t r e les lera reliquat 1 de l'eau des pen d Iln t l' h ive r
diguettes die au
1
i
:
!
~~rJJ1~ vc rna » "faire la "lever la '~" "faire le tour" i "~ les fares" "repousser ses
,
.: tl 1:; i r l' cuvc ll
trappe" : (ou) IImettre les farcs"
i farcs li aller" 1 )
illdig~nc
i
i l'eau d e s ~'. 1
: 1
,'Qlltraintes marée basse marée haute "morte d'eau" "tour" utilisable \ niveau d'eau.des
(mortes caux) de vives eaux afin que l'eau + 1 issss assez f a I >
défavorable lable
i
i
,;sibilil~s néant né a nt né a nt néant i oui mals travail
1
" d P a. s sem en t
é
,i plus pénible
c la contrainte
.--.--------i-------t---------t---------j--------T--------+---------
-ss l bi I i t é de néant néant néant néant oui mals 11. moyen t erm
( 11 Ces opérations se succèdent ainsi "repousser ll fares N° 1 ~ IIrepousserll fares N° 2 4 II r epousser ll fares D
--;> IIrepousserll terre des _ ) Il r e pou S$ e r Il Car es nO 1
-+ repousser Cares n fares n "
-------r-- - -------.--,----
f ' --- --- _.....,... - - - - --------.r
faire circuler
!
r
transporter la reconstituer reconstituer reconstituer les "
! dé gagl 1 ère
vase évacuée l'eau sur les levées de canal amenant di gu e tt e s dé li m i- maj eure parti e l . totalité récolte
1
des~ jusqu' v a s e délimitant l'eau aux c r Ls t a l v] tent les cristal- de la vase formé e
,
au talus fares
--- les fares l l s o Lr s
1
1
1
l Ls o l r s : - daDs les oei 11 e ts p e n da n t
'-.
1
t l'hiver
- 1
i
1
1 1
...
1
"fair e 1 e s "faire le i "Caire les IItorcher les "décharger 111 ère prl se"
"r~pousscr sa "mettrl; l' eau
i
(e rre " à tourner"
ponts" dllvrc" (fi s. 1) l pon ts d'oeillet" marais" les m a r a l s "
i
1
1
1
1
;
1
1
1
,
i 1
1
1
"paquets" de vasière niveau d' eau dol t être effec- dIivre doit lI p o n ts ll d'oeillet s%. telle marais
',' a s e assez remplie adéquat dans tu é avant que 1, être sec ( : 11 doivent être que le sel d~chargés
é gou t t é s pour les fares salinité [ S %0] constitue secs cristallise S%O' ad e q l
pouvoir ~tre de l' eau ne salt l'extérieur du ie c on dl t :
1
1
déplacés ; trop é l é v e
ë
4ème cOté de. atmosphér
1 1
i ; oeillets) ..
! i favorables
1 1
!
néant oui mals 1
oui mais les né a nt n anté oui mals né a 1
i
i
i les oeillets peuvent
1 , efficacité du i dlguettes ne
i :
1
se "r s a l l r " si
ë
1
t ravai l sèchent plus la première
1 1 1
1
. 1 i
,
1 récolte tar
né an t existe latitude
l
né a nt néant oui mali opé- néant
i
j
mal s déterlore
. ,. r a t l o n suivante
.
1
, ............. & .. .
s a l l n e'!'r et menace'
, .\ '.1. 1
-_. ~-
_---_ .. - .,---
. .. - -_... - ~ .. --~._ ..
' -
plu. p n t b l e
.....
ë
. . ..
---_._-
1
1
1
J
1 da.ns la saison.
de jours,
î production pendant une dizaine
1
1
1
1 133
1
1
1
1
1 les producteurs peuvent-ils y échapper?
1 (cf. tableau 3)
La l a t i t u d e dont dispose les acteurs est (aible
Cette pratique
1 en quelques années,
lation de l'eau.
les conséquences que l'on imagine sur la. circu-
1
1
1
TABLEAU 4
éventuellement j
-nettoyer la levée
-laisser sécher;
TABLEAU 5
TABLEAU 6
-prendre palette
-reposer palette
135
".
:
/
Ce niveau de description permet de repérer
l
-lIretirer le rivet" est une suite de mouvements
qui i n ter vie n t par ai 11 e urs. au m 0 men t de, r e con s t r u ire 1 e s d i gu e t tes
vase ainsi ,prélevée il. leur pied néce~site également une suite de
que l'on puisse les définir sans ambiguité - qui sont à la fois les
1 136
1
1 1
1
1 plus caractéristiques
mesure,
d'une a c t Lv i
è
e rm ln é e, dans une certaine
1 une même o p r a t Lo n , é à un rn m e ra o
ê tn ent "di::linuer l'épaisseur
1
est mélangée sont "jetées" à la volée par dessus la d i g u e t t e ; un
1 la. d i g u e
la vase p e u t
tt e peut
ë t re
ë t r e protégée par une b::.::he -d e rn a
1
1
1
=
1 137
1
1
/
1 demande généralement la coopération de deux paludiers.
1 ~
la vase et l'eau d'un côté à l'autre de la d i g u e t t e ,
1 Les m é th 0 des b etc r e pré sen t e n t des é car t spa rra p p 0 r t .à 1 3. m'ë th 0 d e
l'
1
1
1
qui doivent nécessairement accompagner la description d'un processus
de la réalité.
pa r tic i pan t s qui, cl a :l sie S'tH ème t r :l. dit ion :l el. n' i n ter ven aie nt ? a s
devient nécessaire.
· .
.... ' .
D'autres variantes repérables au sein des processus
C'est ainsi que jadis un pal u die r pou v ait for t b i e n a p pre n d r e c e j 0 ur
pré f é rai t p 0 i s son e r une vas i ère - d e man i ère ~ n e pas p e r dl' e so n
1
1
! 1 Talus
1 Mal déposé au
: Brouette 1
i
1
Le jour Paludier
seul
Pas abaI as s ,
ê
de transport du sel.
de la récolte.
'S l i un pré f ère, sus cep t i b 1e de dé ter min e r pou r par t i e plu sie urs
qui sont les plus directement concernés par leurs effets, exploitants
de plusieurs récoltes).
c'est ce type de rapprochement entre phénomènes
i 1+6
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1
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