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tape 2

Vous avez maintenant 15 minutes pour écrire une histoire qui comportera ces 6 mots. Comme
vous faites du stand-up, l’histoire doit contenir des blagues, des effets comiques…

Etape 3
Si vous le pouvez, jouez cette petite histoire devant quelqu’un, regardez si les blagues
fonctionnent, si l’histoire tient la route, si tout est clair…La personne qui écoute n’en a rien à
faire que vous ayez mis 15 minutes à l’écrire ou 3 heures, elle veut juste une bonne histoire
drôle !

Conseils et pièges à éviter


• Même si l’envie de “caser” les mots est grande, cela ne doit pas guider votre
démarche. Inutile de vouloir à tout prix inclure les mots au début de votre histoire. Au
contraire, prenez le temps de poser quelque chose de solide dans lequel les mots
s’insèreront plus naturellement.
• De la même façon, ne forcez pas l’utilisation d’un mot. Si il faut renoncer à la logique
pour placer un mot, vous faites fausse route
• Etudiez les mots, leur définition et voyez les multiples façons dont vous pouvez les
employer : sens premier, second, figuré, familier, détourné, phonétiquement…
(Exemple : Citerne se prononce comme “Si terne”)
• Vous pouvez partir des blagues au lieu de l’histoire. Si en voyant un mot, d’un coup
vous avez une blague qui surgit à votre esprit alors foncez. C’est plus simple de
connecter des blagues que de forcer l’ajout de blagues à une histoire…
• Fuyez l’évidence ! Quand je soumets cet exercice à plusieurs élèves, aussi bizarre que
ce soit, certains se débrouillent pour raconter exactement la même histoire…

Cet exercice est une variante de celui-ci : créer des liens

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