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L’architecture du palais

La palais d’Erlanger ou comme on il est nommé aujourd’hui «  Enejma ezzahra » est le


promontoire de Cap Carthage, en forte pente, domine la baie de Tunis mais la maison en
prend possession avec discrétion avec une dimensions de 5 hectar. S’adossant à une colline,
situé au cœur de Sidi bousaid. Depuis le village, on ne voit que le  jardin et les terrasses
blanches, mais vue de la mer la façade haute, longue et blanche, impose sa rigueur et sa
masse, rythmée de balcons fermés à moucharabiehs bleus , surmontée de tuiles vernissées de
couleur verte.
C’est un trait caractéristique des maisons traditionnelles tunisiennes et maghrébines que de ne
pas se découvrir au passant.

Ce palais est un chef d’œuvre de l’architecture. En 1909 un œil stylistique d’un peintre
orientaliste, mélomane et expert en traditions musicales arabes et orientales, combiné avec des
doits d’un architecte magicien ont su définir les espaces et répartir les différents
compartiments du palais ce qui nous fait tombé sous le charme d’une architecture mêlé arabo-
islamique et arabo-andalous inspiré du palais « Alhambra ».
Il faut entrer par la haute porte aux lourds battants en bois, peints en jaune et cloutés de noir, à
la manière andalouse, suivre ensuite une allée bordée de fleurs, enlaçant doucement la colline,
pour arriver enfin devant le palais. Néamoins, Redolph d’Erlanger a bien voulu s’integrer au
village mais il a quand même gardé l’esprit d’un orientaliste europeen avec une recherche de
symetrie au niveau de la façade du palais construit en largeur ce qui n’est pas très courante
pour les habitations traditionnelles à l’époque.
Par ailleurs, le Baron est à l’origine de la couleur bleu et blanc actuelle dans les constructions
de sidi bousaid. En effet le choix de ces couleurs de l’exterieur est fait par le baron et ça a
indirectement influancé tous les habitants du village de sidi bousaid tout en gardant la couleur
jaune du portail.
Comme rodolphe été entrain d’ecrire un livre sur la musique arabe ça a nécésité un lieu calme
appaisant et qui dégage sérénité. Et donc il a fait le choix de couvrir le patiaux avec une
couleur tamisé soit la couleur rouge ce qui contraste l’exterieur lumineux et ensoleiller
symbole de la joie et c’est bien travaillé d’où la présence des jardins.
Quant aux travaux de sa construction, ils ont débuté en 1911 et ont été achevé en 1922,
regroupeant les meilleurs artisants du monde à l’époque venant de tunis du maroc et même de
l’egype pour le travail du marbre, le bois ainsi que le stuc .
Dès l’entrée de ce palais on comance à respirer Art et noblesse. On trouve au début un petit
patio couvert qui méne vers l’accueil où on trouve le salon fumoir et la salle à manger.
La décoration n’est qu’à couper le soufle avec une telle noblesse et délicatesse un véritable
palais de milles et une nuit. On contemple un mélange artistiques entre le marbre blanc d'Italie
de carrera, le marbre rose de champteau qu’on trouve également au niveau des murs et du sol
ainsi que le vert du Portugal un marbe très connu pour la fontaine murale synonyme du la
noblesse. Puis on trouve le bois sculté doré qui décor l’espace, gravé ou peint. Et enfin on
trouve le stuc cislé « naqsh hdida » qui appaise le blanc du marbe.
«  c’est toute une histoire tout art c’est vraiment un océan de deux motifs arabesques
géometriques essentiellement floraux, végétaux ou calligraphiques à ne pas en finir une
infinité d’imagination on peut vraiment s’oublier en contemplant cette stucture. » Déclara
Mme Fatma
En outre, pour les commodités techniques - électricité, plomberie, chauffage Rodolphe
d'Erlanger a eu recours à des spécialistes d’Europe.
En effet, un travail a été fait à l’interieur qu’a l’exterieur il y a une richesse du monde arabe
non seuleument dans l’architecture mais aussi au niveaux des jardins.
Le palais est mené de 3 niveaux de jardins  Le jardin persan, jardin andalou et allée des
bigaradiers.
la végétation dominante dans les trois terrasses est essentiellement de cyprès, de bigaradiers,
d’oliviers, de sophoras, de sequindifloras et de citharexylon quadrangulare.
Pour les arbustes on trouve du bougainvillier, du nerium oleander, de l’acacia dealbata, de
l’hibiscus rosinensis et du pittisporum tobira.
Le Jardin Persan
C’est un jardin inspirer du paradis, planté de rosiers, d’hibiscus, de bougainvilliers et des
bigaradiers qui s’encastre entre la masse blanche des murs du palais et une haie d’arbres
cyprès séparant le jardin de l’escalier qui permet de relier le niveau intermédiaire au niveau
sur lequel le palais a été construit. Centré d’une fontaine en marbre blanc avec un kiosqueau
fond lambrissé de faïences inspiré d’ottomane, constitué d’un auvent en tuiles vernissées en
vert est flanqué de deux petits espaces clos. S’inspirant du jardin persan, le Baron en a retenu
la division de l’espace en quatre parties équivalentes, non par des canaux en croix symbolisant
les quatre fleuves du paradis terrestre comme le veut la tradition persane mais par des dallages
en marbre encadrant quatre petits parterres occupés chacun par un bigaradier.
Le Jardin Andalou
Il se situe dans la partie haute, en face du bâtiment du Belvédère. Le jardain a une grande
ressemblance au fameux jardin du palais d'été des princes nasrides à Grenadeou
dite Generalife.
Le jardin andalou est aménagé autour d’un bassin d’eau peu profond, de forme allongée
(2,5mx 45 m), bordé de part et d’autre de trois rangées de cyprès.
Mais les directeur du palais et les conservateurs ont mené des travaux de réhabilitation et de
réaménagement, effectués en 2017 et ceci par rapport à l’ajout de jets d’eau, la restauration et
la mise en fonction de la fontaine située dans l’axe du bassin, l’aménagement d’une placette
autour de la fontaine et le local technique requis.
A la limite ouest du Jardin Andalou, adossé au mur de l’enceinte extérieure du palais, on
trouve un petit mausolée ou tourba blanchie à la chaux, et qui représente le dernier repos au
baron Rodolphe d’Erlanger, décédé le 27 octobre 1932 mais la familles d’Erlanger décide de
transferer son corps en Suisse en quittant définitivement Sidi Bousaid.
L’Allée des Bigaradiers
C’est un petit jardin de forme réctangulaire aménagé en contrebas du palais, il entoure une
allée centrale dallée de grès, flanquée de part et d’autre par un alignement de bigaradiers,
renforcé par des lauriers au premier plan.
A l’extrémité nord de ce jardin on trouve un banc en U et d’une table en marbre blanc pour se
reposer . Quant à extrémité sud, on remarque un grand vasque. circulaire en marbre. La haie
de pittosporum, qui délimite ce jardin du côté du rivage est percée d’un escalier de 160
marches, qui menait à l’époque jusqu’à la mer. De plus, l’allée centrale qui relie le porche
d’entrée au palais est percée d’un escalier qui mène à une piscine construite vers les années
soixante puis vers le terrain de criquet.

Conservation :
Pour la conservation la conservatrice Mme Fatma ainsi qu’une équipe essayent de les restauré
et le conservé. Ils se servent aussi des humidificateurs pour conservers les tissus et les livres
plus des produits à injecter contre l’usurption.
Quant au stuc ils font appelle à des experts pointus de l’institut national du patrimoine pour la
conservation et pour la peinture ils font des entretiens tous les ans.

Passant au chambres entourant le grand patiau on trouve la chambre blanche, la chambre


d’amis et la bibliothèque.
Par ailleurs, tous les meubles ont été gardé comme la famille d’Erlanger l’a laissé en 1989.
Montant à l’étage, on trouve des petites chambres équipées de salle de bain avec un déco
sculté intacte, l’atelier de dessins, le hammem et les espaces de services qui ont été
transformer pour devenir un musée pour les instruments de musiques.
Il y a toujours la prèsence de la couleur bleu au niveau du patiau les fênetres et tous ce qui est
en relation avec l’exterieur
On trouve également des niches pour faire la symétrie. En effet à cette epoque il avait une
obsessiant des symétries.
Conservation :
Pour la conservation la conservatrice Mme Fatma ainsi qu’une équipe essayent de les restauré
et le conservé. Ils se servent aussi des humidificateurs pour conservers les tissus et les livres
plus des produits à injecter contre l’usurption.
Quant au stuc ils font appelle à des experts pointus de l’institut national du patrimoine pour la
conservation et pour la peinture ils font des entretiens tous les ans.
Alors, la conservation est un point très important pour le patrimoine et son rôle est primordial
pour le partage et la garde l’information quant aux génération futur et la touche de notre bel
héritage si charmant et si stupifiant qu’avec ses petites caligraphies ou encore l’odeur de
l’anticité, dériere chaque mots et chaque odeur un âme toujours vivant qui nous envahie dés
l’entrèe de ce palais ou même d’un autre pour nous emener à un voyage au passé, à l’époque
de ce dernier. Derriere tout celà des mois et même des années de travail acharné et d’une
culture qui a batti pour developper l’humanité et arriver là ou nous somme comme on le dit en
Tunisie «  c’est l’odeur de nos ancétre ». Ces monuments, c’est notre résponsabilité à nous de
les veillir et de les faire connaitre. Il faut vraiment maximiser le partage et la valorisation de
ce genre de monuments ce n’est pas un simple palais avec une belle architecture mais il y a
toute un art dériere toute une histoire notre art et notre culture à nous les tunisiens. C’est le
rôle aussi des investisseurs et également de l’Etat qui devrait absolument prendre en charge au
moins la conservation du patrimoine de son pays et préserver une partie de son budget pour
ces travaux. Entre autre, on a tant d’influenceurs et d’influenceuses Tunisienne suivi par un
nombre énormes d’internautes mondiaux qui peuvent faire du contenu pour le palais du baron
et inciter les gens à le visiter.
D’ailleurs il faut mentionner que le palais est aujourd’hui un centre de musiques arabes et
médeteraniennes et que des evenements sont souvent organisés dans le grand patio et il est
donc fondamentales d’encourager l’activité culturelle dans tous ses volets.

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