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QUELQUES SUBORDONNEES RELATIVES DANS LE

FILS DE-LA-FEMME-MALE DE MAURICE BANDAMAN

I. SUBORDONNEE RELATIVE DETERMINATIVE

1. « Ce sont des animaux qui seront tes maîtres ? » P79


2. « Je n’aurai pas besoin d’échelle pour cueillir le soleil et éclairer vos jours qui sont
des nuits abyssales, boueuses, merdeuses. » P70
3. « Puis j’ai rencontré des vrais maîtres, ceux qui n’enseigne ni mensonge ni
orthodoxie de la vie mais des idéaux luminescents. » P75
4. « Le désir fou de grandir et de faire grandir ses contemporains dont la vie
quotidienne, nourrie de desseins étroits, nains et égoïstes avait fini par les
transformer en serpent et en rampant, mordant et boitant. » P71
« Même si personne ne m’aime à cause de ma parole qui est feu ! » P102
5. « L’œil qui aime est le plus souvent aveugle. » P 110
6. « Il y eut tant de rêves que la nuit fut courte. »
7. « Le savoir n’a de prix que lorsqu’il est transcris. »
8. « Il ne faut jamais t’engager dans une voie dont tu ne sais point l’issue, dit le sage. »
P 95

9. <<Les hommes aiment les gens qui leur renvoient leur propre image ou l’idée qu’ils se
font de leur personne. » P95

10. « Je t’ai vu te déplacer et j’ai noté la délicatesse avec laquelle tu le faisais, et j’ai jugé. »
P107

II. SUBORDONNEE RELATIVE APPOSITIVE OU EXPLICATIVE

1.« Je me rappelle la bataille qui, une fois, t’a opposé à une panthère. » P17

2.« Ses lèvre, que parcouraient de petits sillons, frétillaient » P16

3.« On envoya N’juaba à l’hôpital où, après plusieurs examens infructueux, le médecin,
intrigué et troublé conclure qu’il s’agissait d’une grossesse nerveuse » P 32
4. « Elle ne sait encore pas le bonheur qui, un jour, viendra tisser son nid sur sa têt » P109

5. « lui, Awlimba qui croyait avoir dit adieu à ce monde putréfié, le voilà bien obligée de
vivre encore avec cette indésirée et indésirable : la terre des vivants. » P50

6. « le cœur d’Awlinba battait au rythme des paroles de son maître qui, fiévreux et inspiré,
tremblait et vibrait de tout son corps. » P103

7.« Lorsque la nuit tomba, le sinistre Afonsou qui, une fois revenu de la cabane d’Adjonou,
avait réussi à s’emparer d’un tissu appartenant à N’juaba. » P39

8. « Malgré les coups de fusil qui, chaque nuit, s’élevaient pour signifier la mort de nos
concitoyens, la célébrité du fils de Bla YOUSSOUA s’étendit comme un océan. » P163
SUJET

JEU ET ENJEU DE LA SUBORDONNEE


RELATIVE DANS LE FILS DE-LA-
FEMME-MALE DE MAURICE
BANDAMAN

Présenté par :

KOUASSI KOFFI CEDRIC

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