Vous êtes sur la page 1sur 7

Trouble de la rêverie compulsive

Langue
Télécharger le PDF
Suivre
Modifier
Le trouble de la rêverie compulsive est un trouble du comportement associé à de
nombreux troubles et maladies mentales, comme notamment les troubles obsessionnels
compulsifs (TOC) et les troubles du déficit de l'attention, qui se caractérise par
des séances de rêverie éveillée intense. Les séances de rêverie peuvent durer
plusieurs heures et surviennent plusieurs fois par jour. On peut également observer
des mouvements et/ou des émotions en lien avec l'activité imaginaire (expressions
faciales, mouvements des lèvres, gestes répétitifs, rires, pleurs, etc.).

Ce trouble n'est pas reconnu par la communauté psychiatrique. Cette condition a été
décrite pour la première fois en 2002 par le psychologue israélien Eli Somer (en),
sous l'appellation « maladaptive daydreaming » (en anglais). Elle reste cependant
peu connue et peu étudiée. En 2016, une échelle a été mise au point par Somer et
son équipe, afin de tenter de mesurer ce trouble et de mieux le comprendre.

Sommaire
Histoire
Modifier
Selon Eli Somer, ces patients ont une intense activité de rêverie éveillée ou
activité imaginaire, dont ils sont conscients mais qui occupe la majeure partie de
leur temps d'éveil[1],[2],[3]. Il ajoute que le problème ne vient ni de la
fréquence, ni de l'intensité de leur activité. Il estime que « La plupart des gens
font des rêves éveillés. Ce phénomène est tout à fait normal. Mais il peut
facilement basculer du normal à l'anormal. »[4]. Ses patients ne montrent aucun
signe de psychose ou de schizophrénie ; tous savent pertinemment que leurs rêves
éveillés ne sont pas une réalité[4],[5]. Eli Somer a commencé à s'inquiéter lorsque
ses patients lui ont confié être incapables de s'arrêter de rêver[4]. Cela affecte
alors leurs relations, leur carrière et leurs activités secondaires[4].

Le trouble de la rêverie compulsive a commencé à faire l'objet de recherches


systématiques dans les universités de Lausanne (Suisse), Haïfa (Israël) et Fordham
(États-Unis) vers 2016[5],[6]. Ils ont constaté que les personnes atteintes de ce
trouble passent en moyenne 60 % de leur temps de veille dans un monde imaginaire
qu'ils ont eux-mêmes créé, en sachant pertinemment que c'est un fantasme et sans
perdre le contact avec le monde réel[1],[6]. La rêverie commence habituellement
comme un petit fantasme qui leur procure un sentiment de plénitude, mais avec le
temps, le processus devient addictif et que le retour à la réalité est mal vécu[6].
À ce stade, ce phénomène s'accompagne d'un sentiment de honte et
d'inaccomplissement[6]. Eli Somer explique que « lorsque les gens passent environ
60 % de leur temps d'éveil à rêver[1],[5],[6], il n'est pas étonnant qu'ils se
sentent frustrés de ne pas atteindre leurs objectifs dans la vie »[6]. Jayne
Bigelsen a déclaré qu'une patiente consacrait parfois ses journées entières à rêver
et qu'elle luttait souvent contre le sommeil afin de pouvoir prolonger ses
rêveries. Elle a ajouté que presque tous les sujets ont développé une relation
ambivalente avec leur monde imaginaire, entre attachement et répulsion, et 97 % ont
signalé différents niveaux de détresse en conséquence[6]. Les personnes atteintes
de ce trouble s'immergent profondément dans leurs rêveries, à un tel point que
leurs rêveries peuvent les faire rire ou pleurer[6]. Cette capacité à se sentir
pleinement présent dans un scénario imaginal autodirigé exerce une puissante
attraction et rend très difficile la cessation des rêveries, créant ainsi une
dépendance mentale[6].

Les personnes souffrant de rêverie compulsive se tournent souvent vers des


spécialistes, dont des psychologues, mais très peu d'entre elles trouvent des
réponses à leurs problèmes, notamment en raison de la faible connaissance et de la
faible popularité de ce trouble[6],[7]. On leur explique souvent qu'il est tout à
fait normal de rêvasser et que c'est même une preuve de créativité[7].

Traitement
Modifier
La dépression étant presque toujours associée au trouble, les antidépresseurs
escitalopram et amitriptyline sont parfois utilisés en tant que traitement[8]. La
Thérapie Cognitivo-Comportementale également.

Origine
Modifier
En 2002, alors qu'Eli Somer traite des adultes[4],[6], il identifie six patients
qui ont pour habitude de se réfugier dans un monde imaginaire, dans lequel ils
fantasment, de façon compensatoire, des expériences de vie gratifiantes qui
manquent dans leur vie réelle[6]. Somer a qualifié ce phénomène de « rêverie
inadaptée » mais n'a pas poursuivi l'étude du sujet à l'époque[6]. Cette découverte
est suivie en 2011 par une étude de Jayne Bigelsen et Cynthia Schupak sur 90
personnes qui se plaignaient d'une tendance excessive à la rêverie[6],[7]. Leur
étude montre que la rêverie compulsive se produit également chez des personnes qui
n'ont pas souffert d'une enfance défavorable[6]. À la suite de ces deux études,
Somer et Bigelsen ont reçu de très nombreux témoignages provenant du monde entier,
dans lesquels des personnes expliquaient qu'elles expérimentaient le même phénomène
et demandaient de l'aide et des conseils[4],[6],[7].

Psychométrie
Modifier
En 2016, Eli Somer et ses collaborateurs mettent au point une échelle pour détecter
et évaluer l'intensité du trouble de rêverie compulsive chez des patients[9].

L'échantillon de cet instrument comprenait 447 personnes anglophones, âgées de 13 à


78 ans, provenant de 45 pays, qui ont répondu aux annonces en ligne[5],[9],[10].
Les participants ont répondu à des questions quantitatives et qualitatives sur
leurs habitudes de rêve et ont rempli sept questionnaires évaluant les symptômes de
ce trouble mental. Les résultats ont démontré que la rêverie compulsive diffère
considérablement de la rêverie ordinaire en termes de quantité, de contenu,
d'expérience, de contrôle, de détresse et d'interférence avec le fonctionnement de
la vie[10]. Les résultats ont également démontré que les rêveurs compulsifs ont
approuvé des taux significativement plus élevés de déficit de l'attention, des
symptômes obsessionnels compulsifs et de dissociation que les autres personnes
interrogées[9],[10]. Par ailleurs, les données ont montré que les personnes
touchées par ce trouble consacrent environ 60 % de leur temps d'éveil à la rêverie,
et plus de la moitié ont déclaré que le trouble perturbe parfois leur sommeil et
l'envie de rêver est souvent la première chose à laquelle elles pensent au
réveil[1],[6]. Les répondants ont déclaré avoir un monde imaginaire riche dans
lequel prennent place des histoires complexes et leurs rêveries ont tendance à
s'inspirer davantage autour de contes et de personnages de fiction, tandis que le
contenu des rêveries de l'autre groupe était généralement plus ancré dans la
réalité (désir de gagner plus d'argent, de trouver un partenaire attrayant, etc.)
[6]. En somme, les résultats suggèrent que la rêverie compulsive représente un
phénomène clinique sous-reconnu qui cause une détresse significative, entrave le
fonctionnement quotidien et nécessiterait donc plus d'attention scientifique et
clinique[10].

Compte tenu des niveaux élevés de sensibilité et de spécificité de l'instrument, il


semble être un moyen efficace pour une recherche future sur les rêveries
compulsives, qui éclairera les mécanismes impliqués dans cet état mental, ainsi que
sur le développement d'un traitement médical[9]. Somer a d'ailleurs déclaré que la
prochaine étape de leur recherche devrait se concentrer sur le développement d'un
traitement efficace pour les personnes atteintes[6].

Critiques
Modifier
La rêverie diurne, ou rêverie éveillée, est un phénomène connu des psychiatres,
psychologues et chercheurs en neurosciences. Jerome L. Singer, chercheur en
neurosciences, a étudié l'imaginaire et la rêverie diurne en utilisant des
techniques d'imagerie cérébrale. Il a décrit, dans un ouvrage publié en 1975, deux
types de rêveries éveillées, celles qui sont positives et constructives, et
d'autres qu'il qualifie de dysphoriques[11].

Le fait qu'une rêverie excessive puisse faire l'objet d'un diagnostic est cependant
critiqué par certains chercheurs[5].

Qu’est-ce que le shifting ?


LAISSEZ UN COMMENTAIRE 12 DÉCEMBRE 2021
shifting
Qu’est-ce que le shifting ?
Une nouvelle tendance virale sur Tik Tok gagne de plus en plus d’adeptes chez les
jeunes. Vous pensiez que les ados passaient de longues heures à ne rien faire dans
leur chambre ? Détrompez-vous, il passe désormais leur temps non pas devant
Netflix, mais plutôt à faire du shifting. Quel en est le principe exactement ? Pour
shifter, il faut programmer son subconscient afin de s’évader mentalement à travers
une réalité alternative.

Il est lointain le temps où les ados s’évadaient devant un film ou en lisant un


bouquin. En effet, désormais, ils s’évadent depuis leur lit dans un rêve conscient
ou une réalité alternative. Il n’est pas question de rituels chamaniques ni de
drogues pour y parvenir.

Une technique populaire sur les réseaux sociaux


De nombreuses vidéos cumulent plusieurs millions de vues sur YouTube, Instagram,
Tik Tok et même sur Twitter. Ces dernières expliquent clairement les clés pour
mettre en pratique cette technique. Elle s’apparente entre autres à de
l’autohypnose ou encore à la méditation guidée.

Si cette technique n’a pas encore séduit les adultes, elle a en tout cas, la cote
auprès des ados. En effet, ils ne passent pas forcément leur temps, collés à leurs
écrans… Ils essayent tout simplement de shifter en s’évadant dans des univers
propres à eux.

Est-ce que c’est une pratique en réponse au confinement ? Bien que la réponse ne
soit pas établie, les ados ont besoin de se ressourcer et cette technique leur
permet d’avoir un instant de répit et un moment dans un paradis.

shifting

Comment mettre en pratique le shifting ?


Lorsque vous vous aventurez sur les réseaux sociaux dans le hashtag #Shifting, vous
plongez dans un univers à part. En effet, cette technique est régie par un langage
bien spécifique. L’appellation CR signifie réalité actuelle et DR, réalité désirée.
Maintenant, qu’englobe exactement le shifting ?

Il s’agit d’une technique qui nécessite de l’entraînement et beaucoup de pratiques.


Ne shift pas qui peut ! Il faut visionner plusieurs vidéos afin de bien comprendre
les bonnes pratiques. De même, il faut de l’entraînement pour apprendre à se
projeter dans l’univers désiré. Lors des vidéos présentes sur les réseaux sociaux,
on observe qu’il existe différentes techniques. Ces dernières sont généralement
similaires à de la méditation guidée ou à de l’autohypnose.

Certaines personnes parviennent à se projeter en écoutant un son lancinant comme


par exemple un battement de cœur en boucle. Tandis que d’autres personnes suivent
par préférence la méthode Raven. Elle consiste à se mettre en position d’étoile de
mer sur un lit. Ensuite, il convient de répéter à intervalles réguliers plusieurs
affirmations positives. Dans certaines vidéos, les personnes répétaient par exemple
des phrases comme je vide mon esprit ou je vais y arriver.

Bien évidemment, quelles que soient les méthodes, la concentration est une chose
essentielle pour passer de la réalité actuelle à une réalité désirée.

C’est entre autres une pratique qui développe les capacités créatives des ados, car
ils laissent libre cours à leur imaginaire. Ils doivent créer l’univers dans lequel
ils évoluent au cours de la pratique.

Qu’est-ce que le shifting ?


LAISSEZ UN COMMENTAIRE 12 DÉCEMBRE 2021
shifting
Qu’est-ce que le shifting ?
Une nouvelle tendance virale sur Tik Tok gagne de plus en plus d’adeptes chez les
jeunes. Vous pensiez que les ados passaient de longues heures à ne rien faire dans
leur chambre ? Détrompez-vous, il passe désormais leur temps non pas devant
Netflix, mais plutôt à faire du shifting. Quel en est le principe exactement ? Pour
shifter, il faut programmer son subconscient afin de s’évader mentalement à travers
une réalité alternative.

Il est lointain le temps où les ados s’évadaient devant un film ou en lisant un


bouquin. En effet, désormais, ils s’évadent depuis leur lit dans un rêve conscient
ou une réalité alternative. Il n’est pas question de rituels chamaniques ni de
drogues pour y parvenir.

Une technique populaire sur les réseaux sociaux


De nombreuses vidéos cumulent plusieurs millions de vues sur YouTube, Instagram,
Tik Tok et même sur Twitter. Ces dernières expliquent clairement les clés pour
mettre en pratique cette technique. Elle s’apparente entre autres à de
l’autohypnose ou encore à la méditation guidée.

Si cette technique n’a pas encore séduit les adultes, elle a en tout cas, la cote
auprès des ados. En effet, ils ne passent pas forcément leur temps, collés à leurs
écrans… Ils essayent tout simplement de shifter en s’évadant dans des univers
propres à eux.

Est-ce que c’est une pratique en réponse au confinement ? Bien que la réponse ne
soit pas établie, les ados ont besoin de se ressourcer et cette technique leur
permet d’avoir un instant de répit et un moment dans un paradis.

shifting

Comment mettre en pratique le shifting ?


Lorsque vous vous aventurez sur les réseaux sociaux dans le hashtag #Shifting, vous
plongez dans un univers à part. En effet, cette technique est régie par un langage
bien spécifique. L’appellation CR signifie réalité actuelle et DR, réalité désirée.
Maintenant, qu’englobe exactement le shifting ?

Il s’agit d’une technique qui nécessite de l’entraînement et beaucoup de pratiques.


Ne shift pas qui peut ! Il faut visionner plusieurs vidéos afin de bien comprendre
les bonnes pratiques. De même, il faut de l’entraînement pour apprendre à se
projeter dans l’univers désiré. Lors des vidéos présentes sur les réseaux sociaux,
on observe qu’il existe différentes techniques. Ces dernières sont généralement
similaires à de la méditation guidée ou à de l’autohypnose.

Certaines personnes parviennent à se projeter en écoutant un son lancinant comme


par exemple un battement de cœur en boucle. Tandis que d’autres personnes suivent
par préférence la méthode Raven. Elle consiste à se mettre en position d’étoile de
mer sur un lit. Ensuite, il convient de répéter à intervalles réguliers plusieurs
affirmations positives. Dans certaines vidéos, les personnes répétaient par exemple
des phrases comme je vide mon esprit ou je vais y arriver.

Bien évidemment, quelles que soient les méthodes, la concentration est une chose
essentielle pour passer de la réalité actuelle à une réalité désirée.

C’est entre autres une pratique qui développe les capacités créatives des ados, car
ils laissent libre cours à leur imaginaire. Ils doivent créer l’univers dans lequel
ils évoluent au cours de la pratique.

Allongez vous sur le dos, mettez quelque chose sur vos yeux comme un t-shirt ou un
masque pour le sommeil pour ne pas laisser la lumière ou N’IMPORTE QUOI d’autre
vous distraire. (aussi il faut être dans un endroit silencieux/ calme)

Mettez TRÈS fort des subliminaux mais pas de la musique comme du rock ou quelque
chose qui ne va pas vous laisser vous relaxer.

Ensuite mettez vos bras de chaque côtés et ne les laisser pas toucher votre corps,
pareil pour vos jambes.

Mettez une couverture sur vous pour vous sentir plus confortable (la température
n’est pas censée être ni trop chaude ni trop froide)

NE PORTEZ PAS DE CHAUSSETTES!

Gardez votre tête droite et relaxer tout votre corps et aussi votre mâchoire. Tu
auras le temps d’un song ou d’un subliminal pour te relaxer et après ça vous
devriez être relaxer, ça veut dire que vous ne devez pas bouger.

Après compter juste de 1 à 100 plutôt lentement. (ne vous endormez pas pendant que
vous comptez dans votre tête)

Après vous allez probablement ressentir des petits picotements dans vos doigts ou
pieds, si ce n’est pas le cas comptez encore jusqu’à 100 et ça marchera à 100%
9

Votre corps devrai être dans un état de méditation (après 5/10 mins)

10

Après imaginez juste une scène dans votre rd/wr

C’est tout, vous n’avez pas besoin de visualiser. Juste ressentez le !

RAVEN METHOD-[c]𝐓𝐇𝐄 𝐑𝐀𝐕𝐄𝐍 𝐌𝐄𝐓𝐇𝐎𝐃 ♡


[IMG=S7A]
[ci] heyyy ! :heartpulse: ce post est une traduction de [la méthode
raven|http://aminoapps.
il y a aussi un post plus raccourci de la méthode raven et un peu différente faite
par une autre personne! :heartpulse:

Allongez vous comme une étoile de mer et soyez sûr qu’aucun de vos membres ne se
touchent, comptez jusqu’à 100, après laissez vous, vous endormir une fois que vous
croyez que vous avez atteint votre réalité ou une fois que vous avez comptez
jusqu’à 100. Vous pouvez affirmer avant de compter, entre les nombres ou après
avoir fini de compter. Avec cette méthode vous pourriez vous sentir étourdi/
vertigineux.

METHODE DU CORBEAU

Assurez vous d'avoir un script avant tout chose.


et pour etre en securité, assurez vous d'avoir indiqué
comment revenir à votre réalité actuelle.
installez vous dans un endroit sans distraction
méditez.
assurez vous d etre calme et d'avoir une énergie positive.
assurez vous d'etre fatiguée et à moitié endormi
écoutez des "subliminaux (youtube)

Allongez vous sur le dos en position étoile de mer,


comptez de un à cent, et entre chaque chiffre dite "j'ai décalé"
essayez de visualiser votre réalité désirée en comptant
ce n'est pas grave si vous avez des pensées errantes, recentrez vous
Arrivée à 100, sans bouger, sans ouvrir les yeux,
essayez de vous endormir en vous répétant "je suis dans ma réalité désirée"

Là, deux solutions :


ou vous allez vous endormir et il vous faudra faire un reve lucide
(c'est à dire Un rêve lucide est un rêve durant lequel le rêveur a conscience
d'être en train de rêver.)
le premier vous enmène dans votre imagination
ou un voyage astral
(c'est à dire Le voyage astral désigne l'impression que l'esprit se dissocie du
corps physique pour vivre une existence autonome et explorer librement l'espace
environnant. SHC -sortie hors du corps-)
le second est la projection dans une autre réalité.
Donc la première est une réalité imaginaire, la seconde est réelle mais ce n'est
pas la votre.
Attention, les autres réalités si elles le sont pour vous, elles sont la réalité
des etres qui y vivent.... Alors ne faites pas et ne dites pas n'importe quoi, a
n'importe qui.

Vous aimerez peut-être aussi