Cours Algèbre PDF

ALGÈBRE 1
Cours de Mathématiques
Première année
Dr. Oudouar Fadoua
Pr. Oudouar 1
Chapitre 1: Logique et raisonnements
• Quelques motivations
•
• Les mathématiques tentent de distinguer le vrai du faux.

•
• Par exemple « Est-ce qu’une augmentation de 20%, puis de 30% est plus intéressante qu’une
augmentation de 50%? ». Vous pouvez penser « oui » ou « non », mais pour en être sûr il faut
suivre une démarche logique qui mène à la conclusion.
•
• Cette démarche doit être convaincante pour vous mais aussi pour les autres.
• On parle de raisonnement. Les mathématiques sont un langage pour s’exprimer
rigoureusement, adapté aux phénomènes complexes, qui rend les calculs exacts et
vérifiables.
Pr. Oudouar 2
1. Logique
1.1. Assertions
o Une assertion est une phrase soit vraie, soit fausse, pas les deux en même temps.
o Si P est une assertion et Q est une autre assertion, nous allons définir de nouvelles assertions
construites à partir de P et de Q.
Pr. Oudouar 3
• L’opérateur logique « et »
o L’assertion « P et Q » est vraie si P est vraie et Q est vraie. L’assertion « P et Q » est fausse
sinon.
o On résume ceci en une table de vérité :
o Par exemple si P est l’assertion « Cette carte est un as » et Q l’assertion « Cette carte est coeur
» alors l’assertion « P et Q » est vraie si la carte est l’as de coeur et est fausse pour toute autre
carte.
Pr. Oudouar 4
• L’opérateur logique « ou »
o L’assertion « P ou Q » est vraie si l’une (au moins) des deux assertions P ou Q est vraie.
o L’assertion « P ou Q » est fausse si les deux assertions P et Q sont fausses.
o On reprend ceci dans la table de vérité :
o Si P est l’assertion « Cette carte est un as » et Q l’assertion « Cette carte est coeur » alors l’assertion
« P ou Q » est vraie si la carte est un as ou bien un coeur (en particulier elle est vraie pour l’as de
coeur).
• Remarque: Pour définir les opérateurs « ou », « et » on fait appel à une phrase en français utilisant les
mots ou, et ! Les ables de vérités permettent d’éviter ce problème.
Pr. Oudouar 5
• La négation « non »
o L’assertion « non P » est vraie si P est fausse, et fausse si P est vraie.
• L’implication ⇒
o La définition mathématique est la suivante :
o Sa table de vérité est donc la suivante :
Pr. Oudouar 6
o L’assertion « P⇒Q » se lit en français « P implique Q ».

o Elle se lit souvent aussi « si P est vraie alors Q est vraie » ou « si P alors Q ».
Pr. Oudouar 7
• L’équivalence ⟺
o L’équivalence est définie par :
o On dira « P est équivalent à Q » ou « P équivaut à Q » ou « P si et seulement si Q ».

o Cette assertion est vraie lorsque P et Q sont vraies ou lorsque P et Q sont fausses.
o La table de vérité est :
Pr. Oudouar 8
• L’équivalence ⟺
Pr. Oudouar 9
• Proposition 1.
Soient 𝑃, 𝑄, 𝑅 trois assertions. Nous avons les équivalences (vraies) suivantes :
Pr. Oudouar 10
• Démonstration. Voici des exemples de démonstrations :
4. Il suffit de comparer les deux assertions « non(P et Q) » et « (non P) ou (non Q) » pour toutes les valeurs
possibles de P et Q. Par exemple si P est vrai et Q est vrai alors « P et Q » est vrai donc « non(P et Q) »
est faux ; d’autre part (non P) est faux, (non Q) est faux donc « (non P) ou (non Q) » est faux. Ainsi dans
ce premier cas les assertions sont toutes les deux fausses. On dresse ainsi les deux tables de vérités et
comme elles sont égales les deux assertions sont équivalentes.
Pr. Oudouar 11
• Démonstration. Voici des exemples de démonstrations :
6. On fait la même chose mais il y a trois variables : 𝑃, 𝑄, 𝑅. On compare donc les tables de vérité d’abord
dans le cas où P est vrai (à gauche), puis dans le cas où P est faux (à droite). Dans les deux cas les deux
assertions «𝑷 𝒆𝒕 (𝑸 𝒐𝒖 𝑹)» et « (P et Q) ou (P et R) » ont la même table de vérité donc les assertions
sont équivalentes.
8. Par définition, l’implication « P ⟹Q » est l’assertion « (non P) ou Q ». Donc l’implication « non(Q ⟹ non(P) »
est équivalente à « non(non(Q)) ou non(P) » qui équivaut encore à « Q ou non(P) » et donc est équivalente à
« P ⟹ Q ». On aurait aussi pu encore une fois dresser les deux tables de vérité et voir qu’elles sont égales.
Pr. Oudouar 12
1.2. Quantificateurs
• Le quantificateur ∀ : « pour tout »
Pr. Oudouar 13
• Le quantificateur ∃ : « il existe »
Pr. Oudouar 14
• La négation des quantificateurs
Pr. Oudouar 15
• Remarques
o L’ordre des quantificateurs est très important. Par exemple les deux phrases logiques sont différentes.
La première est vraie, la seconde est fausse.

o En effet une phrase logique se lit de gauche à droite, ainsi la première phrase affirme
« Pour tout réel x, il existe un réel y (qui peut donc dépendre de x) tel que 𝑥 + 𝑦 > 0. » (par
exemple on peut prendre 𝑦 = 𝑥 + 1). C’est donc une phrase vraie.
o Par contre la deuxième se lit : « Il existe un réel y, tel que pour tout réel x, x + y > 0. » Cette phrase
est fausse, cela ne peut pas être le même y qui convient pour tous les x
Pr. Oudouar 16
• Exemple d’appliquation:
o Quand on écrit « ∃𝑥 ∈ ℝ ( 𝑓 (𝑥) = 0) » cela signifie juste qu’il existe un réel pour lequel f s’annule
o Afin de préciser que f s’annule en une unique valeur, on rajoute un point d’exclamation :
o Pour la négation d’une phrase logique, il n’est pas nécessaire de savoir si la phrase est fausse ou
vraie. Le procédé est algorithmique : on change le « pour tout » en « il existe » et inversement, puis
on prend la négation de l’assertion P.
o Pour la négation d’une proposition, il faut être précis : la négation de l’inégalité stricte « < » est
l’inégalité large « ≥ », et inversement.
o Les quantificateurs ne sont pas des abréviations. Soit vous écrivez une phrase en français : « 𝑃𝑜𝑢𝑟
𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑟é𝑒𝑙 𝑥, 𝑠𝑖 𝑓 (𝑥) = 1 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑥 > 0. » , soit vous écrivez la phrase logique :
Pr. Oudouar 17
2. Raisonnements
Voici des méthodes classiques de raisonnements.
2.1. Raisonnement direct
On veut montrer que l’assertion « P ⟹ Q » est vraie. On suppose que P est vraie et on montre qu’alors Q
est vraie.
Pr. Oudouar 18
Pr. Oudouar 19
2.2. Cas par cas
• Si l’on souhaite vérifier une assertion 𝑷(𝒙) pour tous les x dans un ensemble E, on montre
l’assertion pour les x dans une partie A de E, puis pour les x n’appartenant pas à A.
• C’est la méthode de disjonction ou du cas par cas.
Pr. Oudouar 20
2.2. Cas par cas
Pr. Oudouar 21
2.3. Contraposée
• Le raisonnement par contraposition est basé sur l’équivalence suivante (voir la proposition 1) :
• Donc si l’on souhaite montrer l’assertion « P ⟹ Q », on montre en fait que si non(Q) est vraie alors
non(P) est vraie.
Pr. Oudouar 22
2.3. Contraposée
Pr. Oudouar 23
2.4. Absurde
• Le raisonnement par l’absurde pour montrer « P ⟹ Q » repose sur le principe suivant : on suppose à la
fois que P est vraie et que Q est fausse et on cherche une contradiction. Ainsi si P est vraie alors Q doit
être vraie et donc « P ⟹ Q » est vraie.
Pr. Oudouar 24
2.4. Absurde
Pr. Oudouar 25
2.5. Contre-exemple
• Si l’on veut montrer qu’une assertion du type «∀𝒙 ∈ 𝑬 𝑷(𝒙) » est vraie alors pour chaque x de E il faut
montrer que 𝑷(𝒙) est vraie.
• Par contre pour montrer que cette assertion est fausse alors il suffit de trouver 𝒙 ∈ 𝑬 tel que 𝑷(𝒙) soit
fausse. (Rappelez-vous la négation de «∀𝒙 ∈ 𝑬 𝑷(𝒙) » est «∃𝒙 ∈ 𝑬 non 𝑷(𝒙) »).
• Trouver un tel x c’est trouver un contre-exemple à l’assertion «∀𝒙 ∈ 𝑬 𝑷(𝒙) ».
Pr. Oudouar 26
2.5. Contre-exemple
Pr. Oudouar 27
2.6. Récurrence
• Le principe de récurrence permet de montrer qu’une assertion P(n), dépendant de n, est vraie pour tout
𝑛 ∈ ℕ.
• La démonstration par récurrence se déroule en trois étapes : lors de l’initialisation on prouve P(0).
• Pour l’étape d’hérédité, on suppose 𝑛 ≥ 0 donné avec P(n) vraie, et on démontre alors que l’assertion
P(n + 1) au rang suivant est vraie.
• Enfin dans la conclusion, on rappelle que par le principe de récurrence P(n) est vraie pour tout 𝑛 ∈ ℕ.
Pr. Oudouar 28
2.6. Récurrence
Pr. Oudouar 29
TD 1: Logique et raisonnements
Exercice 1:
Exercice 2 :
Pr. Oudouar 30
Correction de l’exercice 1:
Rappel sur les nombres complexe z = a + ib :
Pr. Oudouar 31
Correction de l’exercice 2 :
Pr. Oudouar 32
Exercice 3:
Nier la proposition : "tous les habitants de la rue du Havre qui ont les yeux bleus gagneront au loto et
prendront leur retraite avant 50 ans ".
Exercice 4:
• Nier les assertions suivantes :
1. tout triangle rectangle possède un angle droit ;
2. dans toutes les écuries, tous les chevaux sont noirs ;
3. pour tout entier x, il existe un entier y tel que, pour tout entier z, la relation z < x implique
la relation z < x+1;
Pr. Oudouar 33
• “Il existe un habitant de la rue du Havre qui a les yeux bleus, qui ne gagnera pas au loto ou qui prendra
sa retraite après 50 ans.”
Pr. Oudouar 34
Pr. Oudouar 35
Exercice 5:
Pr. Oudouar 36
Pr. Oudouar 37
Exercice 6:
Pr. Oudouar 38
Pr. Oudouar 39
Chapitre 2: Ensembles et applications
1. Ensembles
1.1. Définir des ensembles
• Un ensemble est une collection d’éléments.
• Exemples :
{0, 1}, {rouge, noir}, {0, 1, 2, 3, . . .} = N.
• Un ensemble particulier est l’ensemble vide, noté ∅ qui est l’ensemble ne contenant aucun élément.
• On note
si x est un élément de E, et 𝑥 ∉ 𝐸 dans le cas contraire.

• Voici une autre façon de définir des ensembles : une collection d’éléments qui vérifient une propriété.
• Exemples :
Pr. Oudouar 40
1. Ensembles
1.2. Inclusion, union, intersection, complémentaire
Pr. Oudouar 41
1. Ensembles
1.2. Inclusion, union, intersection, complémentaire
Pr. Oudouar 42
1. Ensembles
1.3. Règles de calculs
Pr. Oudouar 43
1. Ensembles
Pr. Oudouar 44
1. Ensembles
Pr. Oudouar 45
1. Ensembles
1.4. Produit cartésien
Pr. Oudouar 46
1. Ensembles
1.4. Produit cartésien
Pr. Oudouar 47
2. Applications
2.1. Définitions
Pr. Oudouar 48
2. Applications
2.1. Définitions
Pr. Oudouar 49
2. Applications
2.1. Définitions
Pr. Oudouar 50
2. Applications
2.1. Définitions
Pr. Oudouar 51
2. Applications
2.2. Image directe, image réciproque
Pr. Oudouar 52
2. Applications
2.2. Image directe, image réciproque
Pr. Oudouar 53
3. Injection, surjection, bijection
3.1. Injection, surjection
Pr. Oudouar 54
Pr. Oudouar 55
Pr. Oudouar 56
Pr. Oudouar 57
Pr. Oudouar 58
Pr. Oudouar 59
3.2. Bijection
Pr. Oudouar 60
3.2. Bijection
Pr. Oudouar 61
3.2. Bijection
Pr. Oudouar 62
4. Ensembles fini
4.1. Cardinal
Pr. Oudouar 63
4. Ensembles fini
4.1. Cardinal
Pr. Oudouar 64
4. Ensembles fini
4.1. Cardinal
Pr. Oudouar 65
4. Ensembles fini
4.1. Cardinal
Pr. Oudouar 66
4. Ensembles fini
4.2. Injection, surjection, bijection et ensembles fini
Pr. Oudouar 67
4. Ensembles fini
4.3. Nombres d’applications
Pr. Oudouar 68
4. Ensembles fini
Pr. Oudouar 69
4. Ensembles fini
4.4. Nombres de sous-ensembles
Pr. Oudouar 70
4. Ensembles fini
4.4. Nombres de sous ensembles
Pr. Oudouar 71
TD 2: Ensembles et applications
Exercice 1:
Exercice 2:
Exercice 3:
Pr. Oudouar 72
Pr. Oudouar 73
Pr. Oudouar 74
Pr. Oudouar 75
Exercice 4:
Pr. Oudouar 76
Pr. Oudouar 77
4. Ensembles fini
4.5. Coefficients du binôme de Newton
Pr. Oudouar 78
4. Ensembles fini
4.5. Coefficients du binôme de Newton
Pr. Oudouar 79
4. Ensembles fini
4.5. Formule du binôme de Newton
Pr. Oudouar 80
5. Relation d’équivalence
5.1. Définition
Pr. Oudouar 81
5.1. Définition
Pr. Oudouar 82
5.2. Exemples
Pr. Oudouar 83
5.3. Classes d’équivalence
Pr. Oudouar 84
5.3. Classes d’équivalence
Pr. Oudouar 85
5.4. L’ensemble Z/nZ
Pr. Oudouar 86
Chapitre 3: Nombres complexes
1. Les nombres complexes
1.1. Définition
Pr. Oudouar 87
1.2. Opérations
Pr. Oudouar 88
1.3. Partie réelle et imaginaire
Pr. Oudouar 89
1.4. Calculs
Pr. Oudouar 90
1.4. Calculs
Pr. Oudouar 91
1.4. Calculs
Pr. Oudouar 92
1.5. Conjugué, module
Pr. Oudouar 93
Pr. Oudouar 94
Pr. Oudouar 95
2. Racines carrées, équation du second degré
2.1. Racines carrées d’un nombre complexe
Pr. Oudouar 96
Pr. Oudouar 97
Pr. Oudouar 98
Exercices d’applications
Exercice 1:
Exercice 2:
Exercice 3:
Pr. Oudouar 99
Pr. Oudouar 100

Pr. Oudouar 101

Pr. Oudouar 102

2.2. Équation du second degré
Pr. Oudouar 103

2.2. Équation du second degré
2.3. Théorème fondamental de l’algèbre
Pr. Oudouar 104

3. Argument et trigonométrie
3.1. Argument
Pr. Oudouar 105

3.1. Argument
Pr. Oudouar 106

3.2. Formule de Moivre, notation exponentielle
Pr. Oudouar 107

3.2. Formule de Moivre, notation exponentielle
Pr. Oudouar 108

3.3. Racines n-ième
Pr. Oudouar 109

3.3. Racines n-ième
Pr. Oudouar 110

3.4. Applications à la trigonométrie
Pr. Oudouar 111

3.4. Applications à la trigonométrie
Pr. Oudouar 112

4. Nombres complexes et géométrie
4.1. Équation complexe d’une droite
Pr. Oudouar 113

4.1. Équation complexe d’une droite
Pr. Oudouar 114

4.2. Équation complexe d’un cercle
Pr. Oudouar 115

𝒛−𝒂
4.3. Équation =𝒌
𝒛−𝒃
Prenons A le point d’affixe +1,B le point d’affixe -1.

Voici les figures pour plusieurs valeurs de k.
Par exemple pour k = 2 le point M dessiné vérifie bien MA= 2MB.
Pr. Oudouar 116

Exercice 1:
Exercice 2:
Exercice 3:
Pr. Oudouar 117

Pr. Oudouar 118

Pr. Oudouar 119

et donc:
Pr. Oudouar 120

Pr. Oudouar 121

Exercice 4:
Exercice 5:
Pr. Oudouar 122

Pr. Oudouar 123

Pr. Oudouar 124

Chapitre 4: Arithmétique
1. Division euclidienne et pgcd
1.1. Divisibilité et division euclidienne
Pr. Oudouar 125

1.1. Divisibilité et division euclidienne
Pr. Oudouar 126

1.2. pgcd de deux entiers
1.3. Algorithme d’Euclide
Pr. Oudouar 127

1.3. Algorithme d’Euclide
Pr. Oudouar 128

1.4. Nombres premiers entre eux
2. Théorème de Bézout
2.1. Théorème de Bézout
Pr. Oudouar 129

2.2. Corollaires du théorème de Bézout
Pr. Oudouar 130

2.3. Équations ax + b y = c
Pr. Oudouar 131

Pr. Oudouar 132

Pr. Oudouar 133

Pr. Oudouar 134

2.4. ppcm
Pr. Oudouar 135

3. Nombres premiers
• Les nombres premiers sont en quelque sorte les briques élémentaires des entiers : tout entier s’écrit comme
produit de nombres premiers
3.1. Une infinité de nombres premiers
Pr. Oudouar 136

3. Nombres premiers
3.1. Une infinité de nombres premiers
3.2. Décomposition en facteurs premiers
Pr. Oudouar 137

3. Nombres premiers
3.2. Décomposition en facteurs premiers
Pr. Oudouar 138

4. Congruences
4.1. Définition
Pr. Oudouar 139

4. Congruences
4.1. Définition
Pr. Oudouar 140

4. Congruences
4.2. Équation de congruence 𝒂𝒙 ≡ 𝒃 (𝒎𝒐𝒅 𝒏)
Pr. Oudouar 141

4. Congruences
4.3. Petit théorème de Fermat
Pr. Oudouar 142

4. Congruences
4.3. Petit théorème de Fermat
Pr. Oudouar 143

exercices d’applications
Exercice 1:
1.
2.
3.
Exercice 2:
Pr. Oudouar 144

1.
2.
3.
Pr. Oudouar 145

1.
2.
3.
Pr. Oudouar 146

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ALGÈBRE 1

• Les mathématiques tentent de distinguer le vrai du faux.

o Sa table de vérité est donc la suivante :

o L’assertion « P⇒Q » se lit en français « P implique Q ».

o On dira « P est équivalent à Q » ou « P équivaut à Q » ou « P si et seulement si Q ».

La première est vraie, la seconde est fausse.

Rappel sur les nombres complexe z = a + ib :

si x est un élément de E, et 𝑥 ∉ 𝐸 dans le cas contraire.

4.4. Nombres de sous-ensembles

Pr. Oudouar 100

Pr. Oudouar 101

Pr. Oudouar 102

Pr. Oudouar 103

2.3. Théorème fondamental de l’algèbre

Pr. Oudouar 104

Pr. Oudouar 105

Pr. Oudouar 106

Pr. Oudouar 107

Pr. Oudouar 108

Pr. Oudouar 109

Pr. Oudouar 110

Pr. Oudouar 111

Pr. Oudouar 112

4.1. Équation complexe d’une droite

Pr. Oudouar 113

4.1. Équation complexe d’une droite

Pr. Oudouar 114

Pr. Oudouar 115

Prenons A le point d’affixe +1,B le point d’affixe -1.

Pr. Oudouar 116

Pr. Oudouar 117

Pr. Oudouar 118

Pr. Oudouar 119

Pr. Oudouar 120

Pr. Oudouar 121

Pr. Oudouar 122

Pr. Oudouar 123

Pr. Oudouar 124

Pr. Oudouar 125

Pr. Oudouar 126

1.3. Algorithme d’Euclide

Pr. Oudouar 127

Pr. Oudouar 128

Pr. Oudouar 129

Pr. Oudouar 130

Pr. Oudouar 131

Pr. Oudouar 132

Pr. Oudouar 133

Pr. Oudouar 134

Pr. Oudouar 135

Pr. Oudouar 136

3.2. Décomposition en facteurs premiers

Pr. Oudouar 137

Pr. Oudouar 138

Pr. Oudouar 139

Pr. Oudouar 140

Pr. Oudouar 141

Pr. Oudouar 142

Pr. Oudouar 143

Pr. Oudouar 144

Pr. Oudouar 145

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