Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
ADRAIT
J . - p . BATTAIL
C. MI CHAUD
D. ZAMBON
D. SOMMIER
Guide du
Constructeur
en bâtiment
. !-:". ~~\
'\
''- .'
Préface
Ouvrage de référence depuis 30 ans, le " Guide du Constructeur en Bâtiment " a pour objectif
de mettre à disposition des élèves de Lycées, aux classes.de BTS et DUT, aux étudiants ingénieurs
et architectes et d'une façon générale à toutes les personnes concernées par l'acte de construire,
un ensemble d'informations sans cesse réactualisées permettant les apprentissages du dessin
et de la technologie en vue de la réalisation de projets de bâtiment et de génie-civil.
En s'appuyant sur les normes et DTU en vigueur, l'ouvrage s'articule autour de 5-grands thèmes
qui sont:
Les conventions de dessins de tous les corps d'états.
Les données technologiques, très largement illustrées, des principaux ouvrages du bâtiment.
Les éléments de calcul des ouvrages (charges, neige, vent, thermique, acoustique).
Les caractéristiques des principaux matériaux de construction (liants, isolants, bois, métal ... ).
L'aide mémoire concernant les tracés, les formules et les unités en usage dans le bâtiment.
Cette nouvelle édition comporte un nouveau chapitre sur le développement durable. Elle a été
refondue sur les thémes suivants : la sécurité incendie, les réglements européens " neige et vent ''
et les sites Web de la construction.
Les points forts de cet ouvrage sont, outre la richesse de son contenu :
Sa facilité d'accès aux débutants grâce au nombre et à la qualité des illustrations.
Le fait qu'il représente un support de référence évolutif pour le maître et les élèves.
C'est pourquoi, ce livre est un " guide du constructeur "• c'est-à-dire une présentation pédagogique
des renseignements essentiels, sélectionnés et nécessaires à la construction d'un ouvrage.
NOTA : L'importance d'une telle mise à jour a entraîné des modifications de pagination, de la numérotation des chapitres
et des paragraphes.
© HACHEITE LIVRE 1979, 2009, 43, quai de Grenelle - 75905 Paris Cedex 15
www. hachette-education.com
I.S.B.N. 978-2-01-180831-8
Tous droits de traduction, de reproduction et d'adaptation réservés pour tous pays.
Le Code de la propriété intellectuelle n'autorisant, aux termes des articles L122-4 et L.l22-5, d'une part, que
les <<-copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation
collective >> , et, d'autre part, que<< les analyses et les courtes citations » dans un but d'exemple et d'illustra-
tion,« toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l' auteur ou de
ses ayants droit ou ayants cause, est illicite ».
Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, sans autorisation de l'éditeur ou du Centre
français de l'exploitation du droit de copie (20, rue des Grands-Augustins 75006 Paris), constituerait donc une
contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal.
Dessins techniques Éléments de calcul
1 Dessins d'architecture . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 29 Dimensions des logements . .. . .. .. . .. . .. .. .. .. 184
2 Cotation des dessins d'architecture . . . . . . . . . . . . . 12 30 Charges d'exploitation et charges propres . . . . . . . 186
3 Dossiers de construction .. .. .. . .. . . .. .. .. .. .. 17 31 Réglementation thermique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 193
32 Isolation acoustique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 206
Conventions de dessin technique 33 Charges dues à la neige . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 209
34 Effets du vent .. .. .. .. .. .. .. .. . .. .. .. . .. .. . .. 212
4 Présentation des dessins .. .. .. .. . .. . .. .. .. .. . 25
5 Écritures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
6 Représentation orthogonale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
Classement des matériaux
7 Coupes ................ .. . ...... . . ..... .. . . 31
8 Sections .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. . 33 35 Classement AEV .. .. .. .. .. .. .. .. . .. .. .. .. .. . 217
9 Hachures .. .. .. . .. .. . .. .. .. .. .. .. . .. .. .. .. . 34 36 Sécurité incendie .. . .. . .. .. . .. . . .. .. .. . .. .. .. 218
10 Perspectives .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. 35 37 Classement des isolants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220
11 Exécution graphique de la cotation . . . . . . . . . . . . . 40 38 Classement UPEC .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. . 221
39 Liants .. .. . .. .. .. . .. .. .. .. . .. .. . .. .. .. .. . .. 222
Éléments de construction 40 Bétons prêts à l'emploi. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 225
41 La démarche HQE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 226
12 Escaliers ........ ............. .. ......... ... 47
13 Baies . .. .. .. . ... .. ................ ......... 53
14 Portes planes .. .. .. . .. .. .. .. .. .. .. . .. .. .. .. . 58 Constructions graphiques
15 Conduits et gaines .. . .. .. .. .. .. .. .. . .. . .. .. .. 60
16 Assainissement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66 42 Constructions géométriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 228
î7 Chaînages .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. . .. .. .. .. 71 43 Tangentes et raccordements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 231
18 Humidité et gel .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. . 72 44 Courbes usuelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 233
19 Cloisons .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. . . . .. .. .. 74
Chutes d'eaux pluviales. . . 125 et 126 Dimensions des fenêtres . . . . . . . . 55 Larmier .. . ................. . 53
Chutes d'eaux usées ......... .. 154 Dossier de construction . . . . . . . . . î7 Liants . ...... ... . ... .. ...... 222
Ciments .. . ..... . ...... . . . .. 222 Drainage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 Ligne de foulée .. . . .. .. .. . . . . . 47
Classement des fenêtres .. . .. . .. 217 Échantignole . . . . . . . . . . . 101 et 129 Ligne d'horizon . . . . . • . . . • . • . . . 37
Classement ISOLE .... . ... . ... . 220 Échappée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47 Linteau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
1
Lits d'épandage. : . . . . . . . . . . . . . 68 Portées des poutres en bois ...... 113 Surface des pièces ........ . ... 184
Loi de dégression des charges. . . . 187 Portée des poutres lamellé-collé. . . 114 Surfaces usuelles . ....... . ..... 236
Longueurs développées des aciers Portique métallique ........ . ... 134 Symboles d'électricité .. .... . ... 180
pour B.A. . ......... , . . . . . . . . 90 Poteau B.A. (représentation). . . . . . 86 Symboles d'ouverture
Poutres B.A. représentation) . 80 et 89 des fenêtres . . . . . . . . . . . . . . . . . 56
Poutrelles HEA ........... . ... 139 Symboles d'usinages menuiserie . . 143
Maître d'ouvrage . . . . . . . . . . . . . . 17 Poutrelles HEB ......... ... ... 140 Symboles des profilés métal. . . . . . 132
Maître d'œuvre . . . . . . . . . . . . . . . 17 Poutrelles IPE ......... ..... .. 138 Symboles pour chauffage . .. . ... . 173
Masse des matériaux ... ........ 189 Poutrelles IPN.......... .. . ... 137 Symboles pour robinetterie ..... . 160
Micro-station à boues activées. . . . 67 Poutrelles UPNet UAP........ . . 141 Symboles pour soudures ...... .. 133
Mise à la terre .... . ... .. ..... . 178 Prédimensionnement B.A. . . . . . . . 94 Symboles pour tuyauteries ....... 159
Mode opératoire .... . . . ....... 100 Présentation des dessins . . . . . . . . 25
Moments quadratiques . ...... .. 237 Pression du vent .... . ........ . 212
Tangentes (tracés) ....... ...... 231
Projet de villa................. 19
Tolérances. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
Puits d'infiltration . . . . . . . . . . . . . . 69
Ombres à 45° . . . . . . . • . . . . . . . . 9 Traits. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
Ovale ..................... . 234 Tranchée d'épandage . . . . . . . . . . 67
Paliers d'escaliers . . . . . . . . . . . . . 47 Raccordements............... 232 Treillis soudés . . . . . . . . . . . . . . . . . 93
Paillasse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47 Rangements . . . . . . . . . . . . . . . . . 185 Trémie (représentation). . . . . . . . . . 80
Pannes en bois ............... 101 Regards . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69 Triangle 3-4-5 ..... . ..... .... . 228
Pannes métalliques . . . . . . 128 et 129 Rejingot . . . . .. . . . . . . . . . . . .. . 53 Tuiles canal .. ... .......... . . . 116
Panneau de façade . ........... 149 , Représentation des baies. . . . . . . . 57 Tuiles à emboîtement. ....... .. . 117
Parabole .... . . ... ... . ..... .. 234 Représentation de boulons . . . . . . 133 Tuiles plates .............. . .. 117
Parallèles ....... . ... . ...... . 229 Représentation des conduits . . . . . 62 Tuyaux en acier .. ...... .... . .. 164
Parcage des voitures . . . . . . . . . . . 185 Représentation des escaliers . . . . . 50 Tuyaux en béton . ..... ..... .. . 167
Permis de construire ...... ... .. 18 Représentation des portes. . . . . . . 59 Tuyaux en cuivre ............ . . 166
Perpendiculaires ........ . ..... 228 Représentation des soudures ..... 133 Tuyaux en fibres-ciment ...... . .. 168
Perspective axonométrique . . . . . . 36 Représentation orthogonale . . . . . . 28 Tuyaux en fonte.. ... . .. ... ... . 165
Perspective cavalière . . . . . . . . . . . 35 Représentations stylisées . . . . . . . . 11 Tuyaux en PVC ... . ........ . . . 167
Perspective conique . . . . . . . . . . . 37 Réseaux d'égout. . . . . . . . . 66 et 70 Tuyaux en zinc, en P.E.R ......... 168
Perspective isométrique. . . . . . . . . 36 Réservations (trémies) . . . . . . . . . . 80
Plan de chauffage ........• . ... 174 Résistance des bardages. . . . . . . . 131
Résistance des matériaux ....... 237 Unités S.l. ... . . . . .. .. . ... . ... 239
Plan de coffrage . . . . . . . . . . . . . . 78
Plan d'étage . . .. . . . .. . . . .. . .. 6 Résistances thermiques. . . 196 et 198
Plan d'étaiement de dalle . ... . ... 99 Ventilation des chutes d'eaux ..... 155
Plan de fondations. . . . . . . . . . . . . 81 Sections (représentation) . . . . . . . . 33 Ventilation des logements. . . . . . . . 63
Plan d'installation de chantier. . . . . 96 Section des aciers B.A. . . . . . . . . . 92 Ventilation mécanique . . . . . . . . . . 65
Plan de masse. . . .. . . . .. . . . . . . 19 Section des conduits de fumée . . . 60 Ventilation des toitures . . . . ..... . 122
Plan de situation . .. . . . .. . . .. .. 19 Section des conducteurs Vidange des appareils sanitaires .. . 154
Plancher à poutrelles . . . . . . . . . . . 83 électriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . 177 Voiles B.A.(représentation) . . . . . . . 79
Plancher à prédalles . . . . . . . . . . . 84 Schémas de chauffage ... . ..... 175 Volée d'escalier . . . . . . . . . . . . . . . 47
Plancher métallique ............ 136 Schémas d'électricité . ..... . ... . 182 Volumes usuels .. . ........ . ... 236
Planning des travaux . . . . . . . . . . . 24 Schémas de plomberie ... . . . ... 161 Vues (disposition des) . . . . . . . . . . 28
Plaques de plâtre. . . . . . . . . . . . . . 75 Sécurité incendie .... . ... . ..... 218 Vues particulières . . . . . . . . . . . . . 29
Platine métallique . . . . . . . . . . . . . 129 Semelles de fondations . . . . . 80 et 81 Vues partielles. . . . . . . . . . . . . . . . 29
Poinçon ........ . .... .... ... 102 Séparateur à graisse . . . . . . . . . . . 69
Polygones ...... . .. . ... ... ... 230 Souches (hauteurs) . . . . . . . • . . . . 61
Ponts thermiques . . . . . . . 200 à 202 Surface des logements . . . . . . . . . 184
1
1 Dessins •
•
Baies : chapitre 13.
Portes : chapitre 14.
d'architecture • Conduits : chapitre 15.
T~l
IJ \
'c::=J•
-
Rez-de-chaussée
1
Plans situés sous combles
C'est une coupe horizontale exécutée 1,30 mètre au-dessus
du sol fini de l'étage.
• Les contours cachés de la toiture se dessinent en trait
interrompu.
• On suppose le plan de coupe vertical au droit de la
charpente afin de ne pas avoir à dessiner les chevrons.
1
:
1
Ch 1 ,
Ch2
- ~
.liiL
Ch3 Lingerie
1 1
;
;
1 1
Combles
REMARQUES:
• Toute droite de bout se projette inclinée à 45° sur un
plan frontal.
• Si une droite est parallèle à un plan, son ombre sur ce
plan lui sera parallèle.
• La largeur de toute ombre frontale est égale à la dimen-
sion de la saillie la provoquant.
Profil Élévation
1.12 Applications
• Ombres sur les vitrages
Les ombres provoquées par les tableaux et les linteaux des
baies s'exécutent à l'encre de Chine sur le vitrage. Ne pas
noircir les bois de la fenêtre.
• Ombre des souches
Le tracé exact de cette ombre nécessite une élévation et une
vue de profil. Il consiste à rechercher l'intersection de chacune
des arêtes de la souche avec le plan de la toiture.
• Ombres des corniches et balcons
Dans l'exemple donné, le tracé aété effectué à l'aide de trois
vues en correspondance ; ceci afin de bien rappeler le prin-
cipe du tracé. Pratiquement, le tracé peut se faire en reportant
simplement les dimensions puisque la largeur de l'ombre est
égale à la largeur de la saillie la provoquant.
Profil Élévation
1
1.8 Représentations stvllsées
SIGNES DU NORD
REPÈRES DE COUPES
FLÈCHES SILHOUETTES
1
NOTA:
Cependant, traditionnellement dans la profession, les cotes
s'expriment :
• en centimètres en dessous de 1 mètre ;
• en mètres avec deux décimales au dessus de 1 mètre.
~ ~
Si l'unité de base est le millimètre, on écrit :
10500-200-50-1,200 m.
1
Cotation des nus 2.42 Représentation
Elle est identique à celle des niveaux (cercle sur les façades,
2.41 Principe
flèches sur les autres vues ou coupes), mais les symboles sont
C'est une cotation qui permet de mettre en évi- de plus petite taille.
dence les différents reliefs existants sur une fa-
çade ou le parement d'un ouvrage. Les cotes de
nus sont cumulées comme les cotes de niveaux. 2.43 Unités
L'origine est choisie sur le nu principal de la façade ou de Les cotes sont exprimées dans l'unité choisie pour le dessin.
l'ouvrage, elle se repère par la valeur O. Dans l'exemple ci-dessous, c'est le millimètre qui est utilisé.
Cette cotation est très utile pour indiquer les petits reliefs
difficiles à coter avec la cotation traditionnelle.
@
1
(;\
~
PILE DE PONT
1
WJ1W Cotation des coupes toitures, etc.).
• Une ligne indiquant les hauteurs sous plafonds et les • Les hauteurs des ouvertures à ménager dans les murs de
épaisseurs des différents planchers. refend.
• Une ligne indiquant les dimensions et positions de toutes • Les cotes de niveaux.
les baies visibles sur la coupe.
• Des cotes partielles indiquant les dimensions des petits REMARQUE:
éléments (balcons, fondations, dépassées, pentes des On n'inscrit pas le nom des pièces sur les coupes.
t-1,250
-3,000
1-J'
0
(')
8.65 6.75
-1 -1
l -+ l
1
0
"' -
~
0 30
~ (3 3.03 7 3.05 30
"' 1
~bains ~
~ cellier65 6 .1.1 ,1,1, 0 l IL±_ . . _ {(J PP73
...: 65
f1 ~
1 1 1 1 _:
1
L- [)D §l RI
~
7 0
entree R
1'-
~ 1 1 lo 1'-
ch 1
.,; tri tri
- ~al
0
30 tf
~-~
~ ~cuisine
'<i! li 3.05
20
2.50 1
30
1 ~ 2.80 1
"'"'ai
8
-
1
0
séjour "'
0 0
1
30
• 8.10 30
~1
-
0
0
C>i
0 1'-
"' "'"'C>i
"!
~ -
J
1--
"'C>i
-
~-~ -1·-
"'"'
"'..,.
1--
1.45
'"1
• - i
i
~d
1 i
1
--- i
-t
---·
1.45
-
-
'!J
2.35 2.35
-
3.35 8.70 3.35
O. Cotation d'implantation IMPLANTATION AUX NUS
11' 50
2.71 Principe
1 1
C'est une cotation cumulée qui permet d'implanter avec un
minimum d'erreur les murs et poteaux d'un bâtiment. Théori-
- 8,00
1 4 00
quement, les cotes d'implantation doivent figurer sur tous les
plans ; pratiquement, elles ne sont guère utilisées que pour
les plans de fondations (fig. 3). C'est en effet à ce niveau - (
L~ '--
que les risques d'erreurs dans les implantations sont les 0
lt)
-
0
lt)
0
q
N cD ~
bâtiment et sur deux façades. L'origine peut être prise : 2 IMPLANTATION AUX AXES
• sur le nu fini du mur extérieur,
11 50
• à l'axe ou à l'intérieur s'il s'agit d'un mur mitoyen.
1 800
ID
2.72 bécutlon do la cotation
Attachement des cotes
Il 4,00
1
• Soit sur le nu fini des différents murs et toujours du
même côté que l'origine (fig. 1)
- -é--
• Soit à l'axe des différents murs et poteaux (fig. 2). Cette ~ ~ ~
N
N
- cD ~
i
solution est préférable car elle limite les risques d'erreur. ~ ~
8,80
4,20
0
0
,...:
4,30
Fond de fouille
'~ 2,80
~1-- .. '
~1
1: 15,30
.
lll ;
,.. 6,10
1
:
Dossiers • Générales : elles sont titulaires d'un marché unique pour la
réalisation de la totalité des travaux.
1
EiliW les dossiers PEIIIS lE CllmiiiE
Un projet de construction comprend plusieurs étapes, chacune Contenu M E 8
d'elles nécessitant l'élaboration de dossiers particuliers dont la
rn
Plans de masse et de situation •
chronologie et les fonctions sont précisées ci-dessous : c Façades (1/100 ou 1/50) •
<n
0
.,
rn
Plans et coupes verticales (1/100 ou 1/50) •
3.31 l'avant-proJet sommaire lAPSJ Document d'insertion dans l'environnement •
Il présente, sans les détailler, les choix retenus dans les do-
.,rn Formulaire de demande de permis *
maines architectural, fonctionnel, technique et financier, en ac- ..,<> Notice descriptive sommaire des travaux •
cord avec les besoins et les moyens du maître d'ouvrage.
i5: Notice d'impact visuel du projet •
~
IPD
3.32 la demande de permis de construire ~
PIIJO
)
.-
3.34 le proJet Plans d'architecture
M =Maître d'œuvre,
'E
-~
CCTP tous corps d'états •
.,<>rn Devis quantitatifs tous corps d'états *
E = Économiste de la construction, .., Estimation détaillée (OCE prévisionnels) *
i5:
B = Bureau d'études techniques. Calendrier général des travaux •
-
IPI DCE
~
rn
Contenu M E 8 c Dessins d'architecture •
.,.,
ë;;
Plans d'exécution des ouvrages (PEO) •
rn
Plans de masse et de snuation • 0
c
<n Façades (1/100 ou 1/200) •
.,
rn Plans d'étages (1/100) • Règlement Particulier d'Appel d'Offres (RPAO) *
0
Surfaces déterminantes • .,., Modèle d'acte d'engagement *
r- ..,'E.,<> CCAP *
•
Notice descriptive sommaire des travaux ., Spécifications Techniques Détaillées (STD)
.,rn (ex: murs en béton avec isolation intérieure ... ) • ..,<> Plan Particulier de Sécurité
.al i5:
i5: Estimation globale sommaire • • et de Protection de la Santé (PPSPS) *
Calendrier général • Plan d'Action Qualité (PAQ) *
1
Commune de St JEAN sur ORON
PLAN DE SITUATION
1'
PLAN DE MASSE
1
Façade nord-est
Façade sud-ouest
1
DESCRIPTIF SOMMAIRE
TERRASSEMENTS COUVERTURE ZINGERIE
Fouilles en pleine masse dans talus pour bâtiment et parking caravane. Couverture en tuiles « Romane LD • brunies, fixées sur liteaux
Fouilles en rigoles de 0,60 x0,40 sous les murs au niveau- 0,750. Tou- 30 x 30 avec écran sous toiture en polyéthylène micro-perforé posé
tes tranchées pour assainissement, canalisations d'eau et d'électricité, et tendu. Gouttières, tuyaux de descente et abergement des souches en
amenée de gaz depuis la limite de propriété. Rebouchage des cuivre, dauphins en fonte.
tranchées et évacuation des terres excédentaires en décharge. MENUISERIE
Remblaiement contre murs de soutènement. • Menuiseries extérieures : Fenêtre et portes fenêtre avec
MAÇONNERIE ET BÉTON ARMÉ soubassement en PVC avec vitrage isolant 6-14-4 ; porte d'entrée en
• Fondations : Rigoles en gros béton dosé à 250 kg de PVC, avec oculus et partie vitrée isolante latérale. Volets avec cadre ép.
CPJ-CEMIVB 32,5. 27 mm et . lames persiennes. Portes des garages
• Murs extérieurs et de refend : Blocs creux en béton de métalliques peintes à basculement.
gravillons de 0,20 d'épaisseur. • Menuiseries intérieures : Blocs portes en bois avec cadre et pan-
• Plancher bas du rez-de-ch. : Corps de dallage en béton de 0,10 sur neaux post-formés pour les portes de communication et
forme en empierrement en tout-venant de 0,20. Coupure sous dallage coulissantes pour les placards. Toutes plinthes et couvre-joints.
par film en polyane de 200 microns. Chape lissée et bouchardée dans PLÂTRERIE PEINTURE
garage, chaufferie et cave ; finition lissée pour • Doublage des murs extérieurs par complexe isolant
recevoir un carrelage collé dans partie habitable. polystyrène expansé, 100 + 10 mm collés par plots sur murs de
• Plancher haut du rez-de-ch. : Plancher 16 + 4 à poutrelles façades.
précontraintes et corps creux de 0,16 en béton de gravillons. Dalle de • Cloisons de répartition en plaques de plâtre sur réseau
répartition de 0,04. alvéolaire épaisseur 50 mm.
• Béton armé: Longrines de 0,20 x0,20 à la base de tous les murs du • Plafonnage de l'étage et de la partie rampante du
rez-de-chaussée, tous linteaux, chaînages horizontaux et verticaux. Pou- séjour par plaques de plâtre BA 13 fixées sur ossature
tres incorporées et retroussées dans le plancher haut du rez-de-chaus- métallique sous charpente.
sée. Escaliers intérieurs droits et extérieurs sur limon central, y compris • Isolation thermique des combles par 300 mm de laine de verre souf-
paliers ; murs de soutènement de 0,22 pour parking caravane. flée ; du rampant du séjour par 2fois 100 mm de laine de verre posés en
• Conduits : Boisseaux de 0,25 x0,25 pour chaufferie et cheminée du bandes croisées.
séjour, sorties de souches avec couvertine. • Enduit plâtre sur les plafonds du rez de chaussée et sur murs
• Assainissement: Drainage périphérique en tuyaux P.V.C. perforés de intérieurs non doublés. Toutes peintures intérieures et extérieures.
120 mm. Regards préfabriqués en béton de 0,40 x 0,40 et CHAUFFAGE
de 0,50 x 0,50. Réseaux enterrés EU-EV en canalisations P.V.C. de 150 • Installation à eau chaude fonctionnant au gaz avec réseau basse tem-
avec raccordement séparatif à l'égout, ycompris traversée du soubasse- pérature comprenant : chaudière murale, plancher chauffant avec tuyau
ment. en PER inclus dans chape béton d'ép. 80 mm sur isolant pour les pièces
• Enduits extérieurs : Dans les parties enterrées et murs de du rez de chaussée, radiateurs à l'étage. Production de l'eau chaude
soutènement: Enduit hydrofuge de 2 cm d'épaisseur + protection par sanitaire par la chaudière.
écran • De~a MS • ou similaire. Dans les parties extérieures en élévation :
PLOMBERIE
Enduit monocouche ocre sur dégrossissage.
• Appareils en céramique de couleur blanche. Alimentations en tube
• Appuis de fenêtre : appuis en béton, débordant en façade avec
cuivre. Vidanges, chutes et ventilations en P.V.C.
goutte pendante et rejingot sous menuiseries, dessus en finition lissée
• Raccordement au compteur par tube P.E.R. de 27 mm.
avec pente.
ÉLECTRICITÉ
CHARPENTE
• Installation conforme aux normes • Promotelec • exécutée
• Sur étage et garage : Fermettes industrialisées en sapin traité,
suivant les dessins du dossier électricité.
posées tous les 0,65 met fixées par équerres sur lisses placées par le
• VMC simple flux, compris centrale d'aspiration, conduits inox, bouches
maçon dans les chaînages.
hygro-réglables et ventilations en toiture.
• Sur séjour : bastaings de 50 x 150 mm posés tous les 0,60 mformant
pannes-chevrons. SOLS
• Sur auvent de l'entrée : Poteau 200 x 200 mm scellé sur platine • Carreaux 30 x 30 cm collés sur ragréage dans toutes les pièces et
métallique, panne lamellée de 65 x 240 mm, lisse 60 x 80 contre mur et escaliers, sauf moquette dans les chambres.
chevrons 60 x80 mm tous les 0,50 m. SERRURERIE
• Planches de rives et bandeaux en planches de 27 mm • Grilles de défense pour châssis de la chaufferie et du W.C. Garde-
rabotées, habillage des avant-toits en frisette. corps pour escalier extérieur et parking.
1
• Août
Planning des travaux
Villa de M. Bert à Saint-Jean d'Oron
Septembre Octobre Novembre Décembre Janvier Février Mars Avril Mai Juin
1. Maçonnerie
Gros-œuvre
Intérieur
Canalisations
Enduits
••
Branchements
••
2. Charpente
3. Couverture - Zinguerie
4. Menuiserie
•••• •
Menuiseries extérieures
•••
Portes
Volets
Menuiseries Intérieures
.
5. Plâtrerie - Peinture
Plâtrerie
Peinture
6. Plomberie
•••••
7. Chauffage
• •
-
8. Électricité
•• 1 1
9. Sols
1O. Senurerie
• ••
- '--- - -~- - - - -- L-- -
Présentation
des dessins A1
le cartouche
On appelle cartouche l'emplacement réservé dans un angle
du dessin ·dans lequel figurent tous les renseignements
relatifs à l'affaire. ~c©cOc [Q)(]JJ@J (]JJ ~~©11,0 [N]
• Désignation et adresse de la construction. 235 rue de Bonne! 69003 LYON
• Nom et adresse du propriétaire (maître d'ouvrage).
• Fonction des dessins (APD, DCE, PEO).
• Désignation des dessins (façades, plans, coupes ...).
• Nom et adresse de l'architecte (maître d'œuvre) et des RÉSIDENCE
principaux intervenants (bureau de contrôle, BET...). LES HAUTINÈRES
• Date du dessin.
• La ou les échelles. P.E.O
• Emplacement pour les modifications.
• Numéro de classement.
PLAN DE MASSE
REMARQUES:
• Lorsque le dessin nécessite l'établissement d'une nomen-
[§]
Modifications Dates Maitre d'œuvre Bureau de contrôle
1 1
Ill
~ les traits NF p o2-001
Traits 1
Désignation Utilisations
1
-----
rabattues, contours vus pour l'architecture
----, 1
Mixte fin avec
éléments forts
Traces de plans de coupes
L----
Parties situées en avant du plan de coupe,
Mixte fin contours des éléments voisins, positions
---------- à deux tirets intermédiaires et extrêmes des éléments
mobiles, demi-rabattement
~ Conseils pratiques
Mauvais Bon
• Un trait mixte se commence et se termine par un
élément long.
• Dans un trait interrompu, l'intervalle est environ la moitié
du tiret.
- ---
• Les traits interrompus doivent toujours se toucher dans
les angles .
1
Les formes et les dimensions des caractères utilisés pour les Pour les dessins d'architecture où l'aspect artistique est im-
dessins techniques sont normalisées. Le but de cette normali- portant, on fait une très large utilisation de caractères stylisés.
sation est d'assurer la lisibilité, l'homogénéité et la reproductibi- Les logiciels de DAO autorisent un large choix de polices de
lité des caractères. On utilise pour écrire des plumes tubulaires. caractères. Ces produits sont utilisés par les architectes et les
Dans la plupart des dessins d'exécution, l'écriture est effectuée bureaux d'études.
à main levée ; pour les dossiers de présentation, on utilise le
trace-lettres.
ABCDEFGHI JKLMNOPQR
1 ' •• A A
STUVWXYZ EAII(UŒ
a be defghijklmnopqrs t
1 '••A A
uvwxyz ea11çuœ
0123456189 [(!? fO/o&)]
5.22 Consens d'exécution
Espacement des mots
Entre deux mots consécutifs, on doit pouvoir tracer au SALLEODEOBAI
minimum un cercle de diamètre h.
\ diamètre minimal - h
Accents
• Le 1et le J majuscules ne prennent pas de point.
• S'il n'y a pas de risque d'ambiguïté, les accents peuvent
Chaus~
ne pas être mis sur les majuscules.
REMARQUES: Rez de
• Bien espacer les mots et serrer régulièrement les lettres.
• Utiliser des hauteurs de caractères compatibles avec
l'échelle du dessin. MENUISERIE MtTALLI= = t
• La hauteur des minuscules ne doit pas être inférieure à
2,5mm.
L'objE
D
F
vues.
et cor
On re
n technique, toute pièce ou ouvrage est représenté Rem a
vues permettant d'en définir avec fidélité les formes c On vE
nensions. entre
t Principe d'obtention des sir
rues L'er
eprésenter par ses différentes vues l'objet de la pori
B
Cet objet possède six faces; nous pouvons donc
·six vues.
E RespE
1° Mi
1 Qu'est-ce qu'une vue ;a 2 p Dis po
.1 réguli•
au plan P
•pelle vue une projection orthogonale de l'objet 2° Es
1 plan parallèle à ses faces (fig. 2). Dessi
sur c<
8 ~
•nt la vue de dessus. On procède de la même manière
3 autres vues et l'on obtient la disposition conven- •
quelc·
L
l (fig. 3) telle qu'elle doit être respectée dans tous les
B c F
•
l'obje
L
D •
se fa
L
; arêtes vues se dessinent en trait continu fort.
; arêtes cachées se dessinent en trait interrompu à l'ai
instru
~boix des vues 4
ltre défini complètement avec le minimum de
3Sinera donc les vues les plus représentatives _,.,.- ~
1t le moins d'arêtes cachées.
dans notre exemple les vues A, Cet D.
~
léthode d'exécution
ms l'exécution des dessins l'ordre suivant :
>age
vues en ménageant entre elles des intervalles Ligne de rappel 1
5
:rait fin et à la mine dure (2 Hsur papier et 5 H
lS différentes lignes du dessin.
tet
; différents traits en leur donnant l'épaisseur
t. On commence en général par les horizon- Il Il
s verticales et enfin les obliques. Exécuter en Il . 1T
' Symbole de la symétrie
Jches de cotes et les écritures.
6
3illeure lisibilité du dessin, il est conseillé de ,-----
·aits interrompus plus fins que les traits continus.
Il lT
rues particulières Il u
3 une vue seules certaines parties sont utiles à
je l'ouvrage, on peut limiter la représentation
:Jrties intéressantes. On obtient alors : ou
li-vue si celle-ci est limitée à l'axe de symétrie
7
partielle si celle-ci est interrompue à un endroit
fig, 6).
-
interrompue si on enlève la partie centrale de lf _ -n-
JL.._ _ _
.u...,ll
1
----$- -- -- $-
1 1
\. 1
l 1
1 1
1 1
! Jl
i 1i
1 1
1 1
SOUTÈNEMENT PRÉFABRIQUÉ
1
m aut Partie conservée
m Définition
Une coupe représente les parties d1objet situées
dans et en arrière du plan sécant.
D Principe
• Supposer la pièce coupée par un plan parallèle à l'une
de ses faces (fig. 1).
• Enlever par la pensée la partie se trouvant située en
avant du plan de coupe.
• Dessiner la partie se trouvant en arrière du plan de
Partie enlevée
coupe.
• Hachurer les parties coupées suivant les indications du
chapitre 9. 2
a Représentation
AA
1.42 Repérage
• Repérer le plan de coupe par un trait mixte fin renforcé
aux deux extrémités (fig. 2).
• Indiquer le sens d'observation par deux flèches s'ap-
puyant au milieu des traits forts.
• Désigner le plan de coupe par la même lettre majuscule
inscrite à côté des flèches.
• Inscrire le nom de la coupe sur le dessin.
REMARQUE:
Trait renforcé Trait fin
Dessiner les coupes en correspondance avec les
vues où elles sont repérées.
1
. . _ Coupes particulières
1.51 Coupes brisées
à plans parallèles
Cette coupe est très utilisée dans les dessins d'architecture
et de gros œuvre ; elle permet de montrer sur un seul des-
sin des détails qui nécessiteraient plusieurs coupes simples
(fig. 1).
REMARQUES:
• La trace du plan de coupe est renforcée à chaque
changement de direction (fig. 2).
• Repérer, sur la coupe, la brisure du plan sécant par un
trait mixte fin.
2
1.52 Coupes brisées AA
à plans sécants 1
/_ù~ 1 /
sanitaires et thermiques.
- -- ' --
REMARQUES: r" 1
'
h
L____________ j- J
les conventions du dessin mécanique ; c'est-à-dire que tou- A 1 ~
1 L ----~-
tes les arêtes vues dans la coupe sont dessinées en trait fort A
(fig. 3).
~ Remarques communes
à toutes les coupes
• Le trait mixte fin figurant le plan de coupe peut être
supprimé s'il nuit à la clarté du dessin.
• Ne pas dessiner les arêtes cachées si elles n'apportent
rien à la compréhension de l'ouvrage.
1
8 Sections
[:Ill Définition -
On appelle section une coupe dont la représentation
est limitée aux seuls détails situés dans le plan
sécant. - -- -- -
On distingue les • sections sorties • dessinées à l'extérieur
des vues et les « sections rabattues • dessinées en super-
position des vues.
L
l :fW Utilisation
Les sections permettent de montrer certaines formes ou
parties d'ouvrage de façon plus rapide et plus claire qu'au
moyen d'une coupe. Les sections sont bien adaptées à la
représentation des profilés et sont, de ce fait, très utilisées AA
dans les dessins de menuiserie et de charpente métallique.
Sections rabattues
• Repérer le plan sécant comme pour une coupe.
• N'indiquer le sens d'observation par des flèches que
v
s'il peut y avoir confusion (fig. 3 : main courante)).
• Ne pas mettre de lettres.
• Faire pivoter de 90° le plan coupant la pièce pour
l'amener dans le plan du dessin (fig. 2).
• Dessiner le contour de la section en trait fin.
3
-+---Œ---t-
• Hachurer la section (voir chapitre 9).
REMARQUE:
Ne pas abuser de l'utilisalion des sections rabattues ; leur
préférer, lorsque cela est possible, les sections sorties qui
laissent un dessin plus net. 41
9 Hachures
llœ But
Les hachures sont utilisées pour mettre en évidence les par-
ties coupées dans une coupe ou une section.
Hachures
Mauvais
conventionnelles* NF p o2-001
Bois en coupe
Béton
1 1 longitudinale
Cil •.
J
L&·.,.,..0 c. c;.. . Béton de masse
ou de propreté ~))J
Bois en coupe
transversale
~ ~
Maçonneries creuses, Plastique dur
métaux, alliages légers et garnitures
..
tmnffifn Complexe de doublage
----------
Enduit ciment
Enduit plâtre
• On pourra utiliser si nécessaire d'autres hachures, mais le dessin devra obligatoirement comporter une légende.
Étanchéité multicouche
1
10 Perspectives
Les perspectives permettent de donner une représentation
plus concrète (aspect 3D) des objets dessinés. C'est un
complément visuel intéressant aux vues traditionnelles.
Il existe trois familles de perspectives : a b c
• Les perspectives cavalières (fig. 1a).
Fuyantes
• Les perspectives axonométriques (fig. 1b).
2
• Les perspectives coniques (fig. 1c).
10.11 Principe
• Choisir une face frontale de l'objet et la dessiner en
vraie grandeur. 3
• Toutes les arêtes non frontales se dessinent suivant
des fuyantes inclinées d'un même angle ex (fig. 2) et leurs
dimensions sont réduites dans un même rapport appelé
« coefficient de réduction •.
Les valeurs généralement utilisées sont les suivantes :
Angle des fuyantes : ex = 45•
Coefficient de réduction : R = 0,5
4
10.12 Consens pratiques
• Choisir comme face frontale le côté de l'objet le plus
représentatif.
• Choisir judicieusement l'orientation des fuyantes, car on
peut avec une même face frontale obtenir quatre images de
l'objet (fig. 3).
• Éviter de placer des formes cylindriques sur les faces
latérales afin d'éviter le tracé d'ellipses. Dans la figure 4, la
solution de gauche est préférable à celle de droite.
La figure 5 montre comment tracer une ellipse à partir d'un
parallèlogramme :
1• Diviser OA en parties égales (4 au minimum).
2• Diviser AC en un même nombre de parties égales.
a• Joindre les divisions de OA au point Bet les divisions de
AC au point B'.
4• L'intersection des segments issus deBet de B' sont des
points de l'ellipse.
Procéder de même'pour les autres quarts.
1
10.34 Consens pratiques
La position de la ligne d'horizon a une grande influence sur
l'aspect de la perspective. La figure 1 montre les différentes
images que l'on peut obtenir d'un même objet en faisant
varier la hauteur de l'œil.
Pour les perspectives de bâtiments, on place habituelle-
ment la ligne d'horizon à 1,50 m au-dessus du sol, cela
correspond à la hauteur des yeux d'une personne debout
(voir exemple page suivante). Il faut savoir que déplacer
exagérément la ligne d'horizon vers le haut donnera un effet
d'écrasement et qu'inversement, la situer trop près du sol
accentuera l'élancement du bâtiment. On peut évidemment
utiliser ces artifices si l'on recherche un effet particulier.
• Ne pas trop excentrer l'œil par rapport à l'objet: cela
risque de privilégier une face par rapport aux autres. Dans la
figure 2, la plus petite face de l'objet apparaît comme étant
la plus grande sur la perspective.
• Afin d'éviter des déformations importantes, éloigner
l'œil d'au-moins deux à trois fois la plus grande dimension
de l'objet.
• Pour tracer les hauteurs sur les faces, toujours passer
par la droite en vraie grandeur (fig. 3) puis joindre les points
de fuite. Œil
F'
Œil
1
u.
1
11 Exécution Li ne d'attache
graphique
de la cotation
La cotation des bâtiments est un problème complexe qui
sera abordé dans la partie relative aux dessins spécialisés.
Le présent chapitre a pour but de présenter les différents
éléments graphiques utilisés pour la cotation d'un dessin et
la manière de s'en servir. <0
.....
Mi 5e Les éléments
de la cotation 24
1
11.14 ChiUres da cotas
5
Ils s'inscrivent en trait fort et toujours au milieu de la ligne
de cote. Leur hauteur doit être harmonisée avec l'échelle
du dessin. Deux méthodes peuvent être utilisées pour leur
écriture:
0
Méthode 1 (fig. 5) ....
C\1
Méthode 2 (fig. 6)
• Horizontalement, au-dessus des lignes de cotes hori-
zontales.
• Horizontalement, dans une lumière pour les lignes 200
verticales ou obliques.
Cas où l'on manque de place 450
Lorsque l'intervalle entre deux lignes d'attache ne permet
pas l'inscription du chiffre de cote ou la rend confuse, on 7 8
peut:
• inscrire le chiffre de cote à l'extérieur des lignes
d'attache (fig. 7),
• placer alternativement les chiffres au-dessus et
au-dessous de la ligne de cote (fig. 8).
4 10 10
Les chiffres de cotes ne doivent pas être coupés
par une ligne du dessin ou par un trait d'axe.
9
Cotations particulières
11.21 Cotation des angles
• Les angles et secteurs sont cotés en degrés ou en
grades.
• La valeur de la cote est inscrite sur un arc de circon-
....0
férence formant ligne de cote, dont le centre est situé au
sommet de l'angle (fig. 11).
• La figure 10 montre, en fonction de la position de l'arc 11
de circonférence, la position que doit occuper le chiffre de
cote.
• Coter les détails sur les vues où ils sont les plus Bon
représentatifs. Éviter de coter sur une arête cachée.
[[]
• Inscrire au plus près du dessin les cotes partielles et au
plus loin les cotes totales. Deux lignes d'attache peuvent se
couper mais pas deux lignes de cotes. Exception faite pour 1
:
• Sortir les cotes du dessin chaque fois que cela est
possible.
• Les lignes de renvois se terminant à l'intérieur du des- Profilé P. V.C. Profilé P.V.C.
sin ont un point. Mettre une flèche pour celles se terminant
contre le dessin.
1
Indication des tolérances 2
NF P 02-023 Tolérance de dimensions
Une tolérance ne doit être indiquée sur un dessin que
lorsqu'il existe un besoin fonctionnel de contrôler :
• la dimension ou la position,
• l'orientation ou la forme.
NOTA:
Les valeurs des écarts de tolérances doivent être réalis- Écart inférieur
tes compte tenu de l'ouvrage et du procédé de fabrication
utilisé. Le tableau en bas de page donne les valeurs 3 4
proposées par la norme NFP04-002.
11.41 Unités de cotation
Les tolérances doivent être inscrites dans la même unité
que la dimension nominale (habituellement le millimètre).
Dans le cas contraire, la valeur de la tolérance doit être
5 Tolérance de position 6
suivie de l'unité correspondante (voir page î 2 les unités de
1050 + 10
cotation). 0
50 mm
Tolérances possibles
-
Position relative des ouvrages Longueur (entre murs) 20 mm ou 30 mm
Dimensions des ouvrages ou parties d'ouvrages Épaisseur (mur, plancher, cloison) 6 mm ou 10mm ou 30 mm
1
11.43 Tolérances de forme Symbole de la tolérance
et de position
Elles s'inscrivent dans un cadre en trait fin, divisé en
Renvoi fléché
plusieurs cases et relié au dessin par un renvoi (fig. 1).
11.431 Cadre de tolérance ma.l J
• La case gauche indique la nature de la tolérance par
un symbole dessiné en trait fort (voir tableau ci-dessous).
• La case droite indique la valeur de la tolérance.
• Le cadre comporte une 3• case si la tolérance est Indication de l'élément
2
attachée à un élément de référence. Cet élément doit de référence
être repéré sur les dessins par une lettre majuscule (fig. 2).
11.432llalson avec l'élément
L'élément de référence est indiqué par un triangle noirci.
L'élément tolérancé est indiqué par une flèche. On peut
lier le cadre de tolérance avec l'élément à tolérancer de
quatre façons : Élément de référence
• Le triangle ou la flèche sont placés sur l'élément ou
son prolongement ; ils concernent alors l'élément (fig. 3 a). 3a Élément de référence Élément tolérancé
• Le triangle ou la flèche sont appliqués dans le pro-
longement d'une ligne de cote; ils concernent alors l'axe ou
le plan médian de l'élément coté (fig. 3 b).
• Triangle ou flèche sont placés sur un axe ou un plan
médian ; ils concernent alors l'axe ou le plan (fig. 3 c).
• Triangle ou point sont placés à l'intérieur de l'élé-
ment ; ils concernent la surface définie par son contour
(fig. 3d).
Si une tolérance ne concerne qu'une partie limitée de
l'élément, repérer cette partie par un trait mixte fort, dont la
position sera cotée (fig. 4). 3c
SYMBOLES DES TOLÉRANCES
'JYpe
Forme
- Signification
Horizontalité
Verticalité
Parallélisme
-
Symbole
-
1/
Il 3d
Orthogonalité
Angularité
Rectitude
_L
L
-
D----::_4~b____. m-EtJ
Gauchissement 1S1 4
CDI±1ol
Posüion
PlanéHé
Circularüé
Cylindricité
Ligne quelconque
D
_Q
,Q'
(\
r-·1200-=J
Surface quelconque 0
1
Palier d'étage
Elle est résumée par les figures 1, 2 et 3.
12.23 Paliers
Leur largeur doit avoir 1,2 fois l'emmarchement (fig.3).
12.24 ~chappée Jour
C'est la hauteur libre au-dessus des nez de marches, elle
doit être "'à 1,90 m(fig. 4). 4
Il ;1
~ DiHérents tvpes d'escaliers
12.31 les escaliers droits mu.11
Ils sont les plus répandus, car offrant le plus grand confort
d'utilisation. Ils diffèrent par la forme et le nombre de volées.
La figure 1 présente les formes les plus courantes d'esca-
liers à volées droites.
~~Becquet
Palier
~~
Calcul des escaliers Dans notre exemple, la dernière marche droite sera la marche 7
et la première balancée la marche 8.
12. 51 Calcul des hauteurs • Reporter sur l'axe vertical de la herse les divisions de la
ligne de foulée entre Aet A'.
Soit une hauteur de 2,80 mà franchir entre deux étages d'un
immeuble collectif avec un palier intermédiaire (voir dessin en • Reporter sur l'axe horizontal la longueur de la ligne de jour
. fin de chapitre). Pour ce type d'escalier la hauteur moyenne entre B et B' .
d'une marche étant de 17 cm, il faudra: • Joindre toutes les divisions de l'axe vertical au point B'.
280 : 17 = 16,4 hauteurs de marches. • De B pour centre, tracer le 1/4 de cercle de rayon BB' qui
On peut donc prendre 16 ou 17 hauteurs. L'escalier étant à coupe le dernier segment de la herse en B".
deux volées, on a intérêt à avoir des volées symétriques, on • Joindre B-B", on obtient les segments A-8', 8'-9', ... 12'-B".
prendra donc un nombre pair de hauteurs, soit 16. La hauteur • Reporter les segments A-8', 8'-9', ... 12'-B" sur la ligne
d'une marche sera alors de : des collets et tracer les nez de marches 8-8', 9-9', ... 12-12'.
• Procéder de même pour la partie droite.
1 H =280: 16 =17,5 cm 1
Règle:
12.52 Calcul des girons Les marches de départ et d'arrivée doivent être
droites.
Chaque volée comportera 7 marches (il y a toujours un giron de
moins que de hauteurs) dont le giron respectera la formule de
Blondel, c'est-à-dire:
Gt(2x17,5)=64cm
donc
1 G =64 - 35 =29 cm 1
Escaliers balancés
Le balancement d'un escalier demande le tracé d'une épure.
Il existe de nombreuses méthodes de balancement, toutes
empiriques et issues du compagnonnage. En voici une assez
simple.
Méthode de la herse
A'
• Déterminer le nombre, la hauteur et le giron des marches
comme indiqué ci-dessus.
• Tracer la ligne de foulée, y reporter les différents girons, et 1
51
les numéroter.
• Tracer le segment MO qui est le milieu du quartier tournant,
1
le balancement se fera en deux étapes par rapport àcet axe. 3
Règle: Herse
Le balancement commence trois marches au moins
avant le point (0').
1
~ Représentation sur • Le sens de montée est indiqué par une ligne fléchée placée
sur la ligne de foulée.
les dessins • Les marches sont numérotées d'étage à étage, ces numé-
La norme NF P02-001 fixe les règles de représentation des
ros s'inscrivent verticalement quel que soit l'inclinaison de la
escaliers sur les plans.
ligne de foulée.
• D'une façon générale, les plans de coupe se faisant à 1
• Les marches ne sont pas numérotées sur les coupes
mètre au-dessus du niveau du sol, l'escalier est coupé à la
verticales.
septième contremarche ; celle-ci est alors dessinée par un trait
• La représentation des garde-corps est facultative.
continu renforcé.
L'escalier appartenant à deux plans, sa représentation s'en trouve
compliquée. Les figures ci-dessous montrent comment repérer la IPJ:J Cotation des escaliers
trace du plan de coupe sur les différents plans d'étages. Les dessins de la page suivante montrent la façon de coter un
escalier droit. On notera :
REMARQUE: • que les cotes indiquées sont toujours les cotes finies,
Il est possible de remplacer le trait renforcé par deux traits mix- • que les marches sont cotées selon le principe des éléments
tes fins inclinés. identiques.
C-C
-
1
18 ~7 16 15 14 13 12 11 0
@
-1 2 3 4 5 6 7 8 9
~~
=
'-
- -
BB -
18 1716 15 14 13 12 1 10
@ ({~
-- 1 2 3 4 5 6 7 8 9
,_
- r -
AA ,.--
j_j
:
1 i
:::::
1 1 1 1 1
@~!!!! ! !! !G
~
- ~ - ~ - ~ - -l_J_.L . L - ~
-:-~ 1
-1 2 3 4 5 6 1 1
-
! 1
,_ - L
1
~
1.
. i
~ Rampes et garde-corps 1 E
NF P 01-012
Hauteur de protection (H)
La hauteur normale de protection d'un garde-corps (cote H
sur les dessins) est fonction de son épaisseur E.
Voir dans tableau ci-dessous.
Épaisseur
E(m) "" 0,25 0,30 0,35 0,40 0,45 0,50 0,55 0,60
0,20 "'
Hauteurs 1,00 0,975 0,95 0,925 0,90 0,85 0,80 0,75 0,70
H(m)
4 5 6
REMARQUE:
l
{
En aucun cas H ne peut être inférieur à 0,80 m pour les
bâtiments d'habitation.
Hauteur réduite de protection (H')
:I:
S'il existe un élément sensiblement horizontal, de largeur
comprise entre 0,13 et 0,30 met situé à moins de 0,45 mau-
1
dessus de la zone de stationnement normal, le garde-corps
doit le dépasser d'une hauteur H';;.0,90 m(fig. 4, 5, 6).
Garde-corps en saillie
La figure 7 montre les valeurs à respecter pour les saillies.
7
Garde-corps ajourés
• Le vide entre les éléments verticaux (barreaux et
panneaux) doit être au plus égal à 0,11 m(fig. 10).
• Le vide entre les éléments horizontaux (lisses, pan-
.;;0,05
neaux, etc.) doit être au plus égal à :
.;;Q,11
• 0,11 ms'il est situé à une hauteur inférieure à 0,45 m
par rapport à la zone de stationnement normal (fig. 10, 11)
• 0,18 m s'il est situé à plus de 0,45 m de cette zone
(fig. 11).
• On évitera, sur une hauteur de 0,45 m, les éléments per-
mettant un appui du pied. Si ce n'est pas le cas, on devra
respecter la règle de la hauteur réduite de protection.
Rampes d'escaliers
• La hauteur de protection doit être au moins égale ,...
à 0,90 mdans la partie rampante (fig. 12, 13). ,...
ô
• L'espacement des éléments ajourés est identique V/l--l::::!:=::::!:!::::::!:!:;.c=:~~
à celui des garde-corps horizontaux.
• Si l'escalier ne possède pas de limon, le vide entre le
nez des marches et la lisse basse ne doit pas dépasser
0,05 m (fig. 12, 13). S'il existe un limon le vide doit être
~ 0,18 m.
• La hauteur des rampes sur palier est de 1,00 m ;
cependant, si la largeur du jour est ~ 0,60 m, la hauteur
peut être ramenée à 0,90 m.
Cas des fenêtres
La hauteur minimale de l'allège, mesurée au-dessus du
dormant est de 0,90 m (fig. 8). Si ce n'est pas le cas,
prévoir une barre d'appui à 1,00 m(fig. 9).
1
•s•• Définition
On appelle baie une ouverture pratiquée dans un mur ex-
térieur et destinée à recevoir une menuiserie qui peut -être :
une fenêtre, une porte ou une porte-fenêtre.
11-t---------{ 3
18ta Terminologie
Voir figure 1 et le tableau ci-dessous.
1 Linteau en béton armé
3 Tableau ou jambage
4 Rejingot
5 Appui de fenêtre
1 81!1 le linteau
C'est une poutre en béton armé supportant les charges au
dessus de la baie (fig. 2).
• Les linteaux peuvent être coffrés à l'aide de coffrages
bois ou métalliques ; dans les maisons individuelles, le
coffrage peut-être remplacé par des éléments en U(fig.-3).
Ces blocs existent en béton de gravillon, béton cellulaire ou
en terre cuite en fonction de la nature des murs.
• Tous les linteaux d'un même niveau sont en principe 3
Béton coulé en place
alignés.
l'appui Bloc en U
Armature
1811• l'allège
• Les hauteurs d'allèges sont imposées par un souci de
4
sécurité ou de protection des regards. Les hauteurs usuelles
sont indiquées dans le tableau ci-dessous.
Nature des pièces Hauteurs d'allèges
90 cm minimum
Pièces habitables
(si moins, prévoir une barre d'appui à 1 m)
1,20 m si le plan de travail est sous la fenêtre,
Cuisines
90 cm autrement
• Les hauteurs d'allèges se mesurent du sol fini au des- Appui avec oreilles Appui arasé
sus du rejingot. Consulter également le chapitre 12.
1
MBitl Fixation des menuiseries
Linteau
13.61 Murs sans doublage Pattes de scellement
Les menuiseries peuvent se loger dans des feuillures pré- (5 sur le pourtour)
3 4 5
Patte de fixation
Fourrure
Précadre métallique
ou bois
Embrasure
Plaque de plâtre
Enduit micro-poreux
Isolation thermique
DIMENSIONS DES FENÊTRES ET PORTES-FENÊTRES
Largeurs nominales en mm
400 600 600 1 000 1 200 1 300 1 400 1500 1800 2100 2400
460 0 D D rn c:o CD
750
0 D D DJ
950
DD D rn rn rn
1050
0 D D rn rn rn rn rn
1150
D D rn rn rn rn rn DJJ [ill
1250
D D rn rn rn rn rn ITD [DJ
E
1350
DDrn rn rn rn rn [ill DIJ [ill
DD rn rn rn rn
E
"'
Cl>
-.;; 1460
c::
·e
D DJ
:::>
~ 1550
"'
::c
1650'
D rn rn rn rn rn [[] [ill []]
1750
rn [] rn rn [IIJ []] DIIJ
2150
SYMBOLES D'OUVERTURE
v
...._v
FENÊTRE À SOUFFLET PORTE-FENÊTRE
_ lC1-fE:3~
G
FENÊTRE OSCILLO-BATTANTE
4::::dl à 1 vantail àE:3
2 vantaux
FENÊTRE BASCULANTE
[ ] M lLLL1
· ._,
r\1 [7\[i\1
à 1 vantail à 2 vantaux
[[ID lil ffi]
FENÊTRE PIVOTANTE FENÊTRE COULISSANTE
1
181:1 Représentation sur les dessins
Dans les dessins aux échelles 0,02 (1/50) et 0,05 (1/20) on Pour les dessins à l'échelle 0,01 (1/100) la représentation peut
représentera les baies conformément au tableau ci-dessous. être simplifiée.
Lar!;J. nominale
w
a:
ii3
~w
a:
::»
a:
a:
~
1
14 Portes planes 1
Hauteur(H) 2040-2240
Largeur(L) 630'. 730 - 830 . 930" L'
Épaisseur 40
Ea Différents montages
• Dormant sans feuillure pour portes va-et-vient et coulis-
santes (fig. 2 a). b
. 0 Composition c
ill ill
330-730 330-830 330-930 630-830 630-930 730-930
ID ill []_ffi .
• Réservé pour les portes de W.C. "Conseillé pour les logements d'handicapés
1
l~tl Huisseries L
LŒ1 Représentations 1 1
symboliques '
1
D 1
11
1
- l
~
1 1
c:: {Q9P
1
15 Conduits t
1 bj 1 Conduits de fumées
Ils ont pour rôle d'évacuer, à l'extérieur des logements, Trappe de
les fumées et les gaz brûlés. ramonage
~
;a>
1
E
c:
Cl>
..... 1
·s
"0
c:
8
Cl>
"0
.....
::J
2::J
<0
I
Fioul 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 60 'fi] 1
Charbon 1 2 3 4 56 78910 20 30 40 50 60 7080 y !
Exem·ple : pour un chauffage au fioul, une hauteur de conduit de 9 m et une puissance de 80 kWatts la section est de : 5,6 dm 2
1
i.13 Réglementation
.131 Nombre de conduits par logement
réglementation en vigueur n'impose aucun conduit de
1ée sauf évidemment celui des chaufferies. Il est toutefois
ommandé au projeteur d'en prévoir un dans la cuisine et
autre dans une quelconque des pièces principales .
1s de 8 m(fig. 2). 3
ARQUE:
3 le cas où le conduit est équipé d'un dispositif anti-
Jieur et s'il n'existe pas d'obstacle à moins de 8 m,
eut arrêter la souche à la hauteur du faîtage. 0
4 Conduit
14 Sécurité Incendie
•aroi intérieure de tout conduit doit être éloignée
moins:
16 cm des pièces de charpente en bois.
1 cm des pièces de charpente métallique.
• cm des pièces de menuiserie.
RQUE:
dernière condition implique que l'épaisseur des bois- l'
: soit d'au moins 7 cm. Si ce n'est pas le cas, ceux-ci /! '
nt être doublés. 1.
1
5 Dévoiements
e maximum est de 20° par rapport à la verticale.
1
15.16 Consens pour l'lmplanlallon Mauvais Bon
ella réalisation
15.161 Implantation des conduits
• Regrouper les conduits en un minimum de souches.
• Éviter de placer des conduits contre les murs
extérieurs.
• S'efforcer de faire sortir les souches le plus près possi-
ble du faîtage (fig. 1) afin de limiter leur hauteur visible.
• Dissimuler les conduits (pièces sanitaires, placards
et angles des pièces).
• Disposer les grandes souches perpendiculairement 2
au faîtage afin de ne pas gêner l'écoulement de l'eau
(fig. 2).
• Veiller à ce que les conduits ne rencontrent pas des
pièces importantes de la charpente (fig. 3).
1
(l1fa Ventilation des logements
15.21 Principe
La réglementation actuellement en vigueur (arrêté du 24 mars
1982) fait obligation d'une ventilation permanente des loge-
ments, même en hiver avec les fenêtres fermées. Pour cela,
l'air doit pouvoir entrer librement par les pièces principales
(séjour, chambres) et être extrait dans les pièces de service
(cuisine, salle de bains, W.-C.). L'extraction peut être natu-
relle ou mécanique (fig. 1).
1
15.24 Débits à extraire DÉBITS RÉDUITS en m'th
Nombre de pièces principales 1 2 3 4 5 6 7
DÉBITS NORMAUX en m'th
Débit total minimum J 35 1 60 1 75 1 90 1105 1120 1 135
Nombre de pièces principales 1 2 3 4 Set plus
Débit en cuisine 1 20 1 30 1 45 1 45 1 45 1 45 1 45
Cuisine 75 90 105 120 135 3
Les entrées d'air ont un débit de 30m /h pour les pièces
Salle de bains avec ou sans WC 15 15 30 30 30 ,;;; 18m 2, de 60 m3/h pour les pièces> 18m 2
Autre salle d'eau• 15 15 15 15 15
15.241 Conduits Individuels
W.-C. unique 15 15 15 30 30
• Ils ne peuvent desservir qu'une seule pièce.
W.-C. multiple" 15 15 15 15 15 • Ils ne peuvent comporter plus de deux dévoiements dont
• On désigne par • autre salle d'eau •la deuxième salle de bains d'un logement. l'angle, par rapport à la verticale, ne devra pas dépasser 20°.
" Un W.-C. est considéré comme multiple s'il en existe au moins deux dans un logement.
vv "/ v /
700
!::!
'<3
:a
8 0
] 600
500 / ""/ , v
0
c
:g
CD
en
1;l
450 / / /
400 / / /"'
,v/ y
350
v
300
250
0
v 0 0 0 0
v
0 0 0 0
0
0 0 0 0 0 0
,l
N CXl
"' 0
li) li) li) 0 li) 0 li)
1\j 0
~ ~ N N (') v <0 N li)
"' "' 0
~ (')
~ ~ ~ ~
1 .........
[Ft 1 Ventilation mécanique
Trois techniques de ventilation mécanique (VMC) peuvent
être utilisées. Extracteur Entrée d'air
autoréglable
15.31 Ventilation simple flux mu.11
• Des bouches d'entrée d'air (autoréglables par la pression
du vent) sont placées en partie haute des pièces principa-
les, généralement dans les menuiseries.
• Des bouches d'extraction également autoréglables sont
placées en partie haute des pièces de service.
Ces bouches sont raccordées :
- soit par des gaines horizontales souples placées
en combles pour les maisons individuelles,
- soit à des colonnes montantes pour les collectifs.
Bouche d'extraction
• Un extracteur placé en combles (ou en terrasse) collecte
les différentes gaines d'extraction et rejette l'air vicié à
l'extérieur.
2
Extracteur Échangeur
15.32 Ventilation double flux mu. 21
Cette technique consiste à récupérer les calories de l'air
vicié, et de s'en servir pour réchauffer l'air neuf avant de
l'insuffler dans le logement. L'organe principal de ce dispo-
sitif est un groupe moto-ventilateur qui assure à la fois l'as-
piration de l'air neuf, l'extraction de l'air vicié et l'échange
thermique.
1
16 Assainissement EP 1
ED les réseaux urbains _l
::J
2- 1
• L'évacuation des effluents épurés (épandage sou-
terrain et exceptionnellement puits d'infiltration ou milieu
::J
~1
hydraulique superficiel). --·--- -1
La figure 3 présente une filière constituée : 1
d'une fosse toutes eaux pour ie prétraitement,
- d'un filtre à sable vertical drainé pour l'épuration,
- d'un raccordement à l'égout pluvial.
La figure 4 présente une autre filière constituée : 4
- d'une micro-station pour le prétraitement, EP EP
- d'un épandage souterrain qui assure l'épuration et
l'évacuation.
16.21 les svmboles utilisés
Symb. 1 Désignation Symb. 1 Désignation
EP Eaux pluviales FTE Fosse toutes eaux
EU Eaux usées ES Épandage souterrain
EV Eaux vannes FSV Fmre à sable vertical
SG Séparateur à graisses FSVD Filtre à sable drainé
MS Micro-station Pl Puits d'infiltration
1
16.22 Fosse toutes eaux mg. 11
Une fosse toutes eaux est destinée à la collecte et à la li-
quéfaction partielle des matières polluantes contenues dans
les EU et des EV.
• Sa profondeur utile doit être supérieure à 1 m.
• Elle doit être ventilée en partie haute.
• Un regard doit en permettre l'accès pour l'entretien.
• Les capacités sont données dans le tableau ci-dessous.
CAPACITÉ DES FOSSES TOUTES EAUX
Nbre de pièces 1 Capacité Nbre de pièces Capacité
principales ' (litres) principales (litres)
1à5 l 3000 1 7 5 000
6 l 4000 1 8 5500 Moteur
2
16.23 Micro·statlon à boues activées
(fig, 21
Cet appareil fonctionne suivant le principe des stations d'épu-
ration urbaines. Il est composé de deux compartiments :
• La cellule d'activation dans laquelle un apport d'oxy-
gène et une agitation mécanique intermittente favorisent le
traitement bactérien de l'effluent.
• La cellule de clarification qui organise la décantation
des boues et leur recyclage.
Le volume total d'une micro-station est ;:, à 2 500 litres
pour les habitations de 1 à 6 pièces. Au-delà le volume de
l'appareil doit faire l'objet d'une étude particulière.
REMARQUE:
Cellule d'activation Cellule de clarification
Les micro-stations comme les fosses toutes eaux doivent
être l'objet d'une maintenance régulière.
3 Regard de répartition Té de bouclage
16.24 Tranchées d'épand ge ma. 31 ~ ou regard
Les tranchées d'épandage constituent le meilleur moyen
pour assurer à la fois l'épuration et l'évacuation des
effluents dans le sol.
Les tranchées sont constituées de drains posés horizontale-
ment dans des tranchées de faible profondeur.
• Section des tranchées: 0,5 x 0,6 m.
• Espacement des tranchées : 1,5 m.
1. ,;;; 30m
.1
• Longueur des drains : 15 à 30 mpar pièce principale. Terre végétale 0
C\J
• Section des drains: 0 100 ou 125 mm. Al E
Géotextile
REMARQUES:
Drains 0
'"'
0
CD
Les drains doivent être distants d'au moins 3 mde la limite '<t
c5
de propriété et des gros Légende des canalisations Graviers 10/40
arbres et d'au moinS 35 m Tuyaux pleins 1-- J. ~ 50
.1
d'un puits d'eau potable. Tuyaux percés (drains) 1- - - -
1
16.25 lits d'épandage mu.n
On les utilise dans les sols à dominante sableuse où il est Regard de répartition Té ou regard
Sable ~ Al
Nbre de pièces Largeur Nbre de pièces Largeur
b ~
principales (rn) principales (rn) --
1à4 1 6 1 6 1 9
5 J 8 1 7 1 10
j
4 5,5m 3 Regard de répartition t..--_A Regard de
~ contrôle
-~~~~~-~-~~~-~-~~~~~j--
J!
1
1
3m
~~ A
1.
------------- -
---------------
------------- --
----------------
A
;;. 4m ~.1
A
E
li}
A
Terre 1 0
C\1
~·~ =
0
C\1 E
0
N_
Sable ,.._
0 ~
j Al
Graviers i
10/40 ~ = 0
~.._
1
16. 29 Puits d'Infiltration mu. n
Il assure l'évacuation des eaux traitées dans le sol et se
place soit après un filtre à sable vertical drainé, soit après
un filtre à sable horizontal. Sa surface en contact avec
le terrain (surface latérale et fond), doit être au moins égale al!) Ti==~~~~~--~
à 2 m2 par pièce principale. ô
N Sable 15 cm
Un puits d'infiltration doit être distant d'au moins 35 mètres
de tout puisage d'eau.
les regards
Les regards assurent dans un réseau d'assainissement
de multiples fonctions, du simple accès pour entretien
au rôle de siphon. Ils doivent toujours rester accessibles.
1~=-==jt ~
• tous les 15 à 20 mètres dans les sections droites.
+-
DIMENSIONS DES REGARDS (CM)
1
Canalisations 16.43 Diamètres
Ils se déterminent en fonction du débit à assurer et de la pent1
16.41 Nature minimale compatible avec le projet.
• Calcul des débits : voir chapitre plomberie, page 158.
Les canalisations raccordant les différents regards d'un réseau
• Détermination des diamètres : voir tableau page 159.
sont réalisées en PVC, fibres-ciment, ciment.
16.44 les plans de V.R.
16.42 Pentes minimales Indiquer pour chaque canalisation :
• la pente de la canalisation.
Deux cas sont à considérer :
• le diamètre du tuyau, son matériau
• Canalisations ne collectant que des eaux pluviales (E.P.),
Indiquer pour chaque regard :
pente ;:; 1 cm/m.
• ses dimensions
• Canalisations collectant des eaux usées (E.U.) et ou des • sa cote "tamon' (si regard dans enrobés)
eaux vannes (E.V.) : pente ;:; 2 cm/m. • sa cote "radier"
Tampon
~e "'2234,36
~sso(j"---.,.. _ F, -
'
N'
Simple
Type Di mens.
30 x 30
Radier
- 0,400
-
'
~~
Siphoïde 30 x 30 - 0,500
Simple -0,400
Siphoïde - - + - - - f - - - --0,500
' -- - j
(Sl,
Simple - 0,550
Simple 40 x 40 - 0,600
7 [ Sip_ho_ïd_e _ ___._ _
so_x -~---'
50 - 0,650
1 Fe :- 0,600
....--.,____ - -0.100- - - - 2
Fe :- 0,450
Fe :- 0,550
Fe :- 0,450
~~
1
1
Fe :- 0,350 Fe :- 0,350
1
•
11 Chainaues
Ce sont des éléments de renfort en béton armé placés dans
les murs. Il existe des chaînages horizontaux et des chaîna-
ges verticaux. La figure 1 montre l'emplacement des chaî-
nages qui doivent obligatoirement être réalisés, tant pour les
murs en maçonnerie que pour les murs en B.A. (DTU 20-1
murs en maçonnerie, DTU 23-1 murs en béton armé).
Chainages horizontaux
Rôle
Empêcher le gonflement des murs sous l'effet des charges
verticales(" Effet tonneau »). Chaînage horizontal Chaînage vertical
(CH) (CV)
Emplacement
• À chaque étage, à l'intersection de chaque mur et du
2
plancher (fig. 2).
• Au couronnement des murs du dernier étage.
• En contour des pignons.
Constitution
• Ils sont en général constitués d'aciers longitudinaux et
de cadres. La figure 2 montre deux dispositions possibles.
• La continuité des armatures doit être assurée à toutes Aciers longitudinaux
les jonctions de murs (fig. 3). (Acm2)
Sections d'aciers
SECTION DES ACIERS FEE 500 A(CM2J
CH cv CH-T
l--
Murs en maçonnerie 1 1,5 1 1,5 1 3,08
r- ~----~-----+----~
Murs en B.A. 1
1
1,2 1 1,2 1 1,2
1
18 Humidité, gel
. 0 Protection contre l'humidité
Trois dispositions peuvent être prises (indépendamment
ou conjuguées), pour protéger les bâtiments de l'humidité
du sol.
6 5
Étanchéité monocouche
1
Protection contre le gel
18.21 Détermination de la profondeur
• Elle ne fait pas l'objet d'une norme, bien que les D.T.U.
préconisent 0,50 men région tempérée et 1 mau moins en
montagne. On peut, d'après les travaux de M. Cadiergues,
utiliser la carte ci-dessous.
• Ces valeurs sont à majorer en fonction de l'altitude de
5cm par tranche de 200 m, au dessus de 150 md'altitude.
Légende
0,90m
1
Les cloisons sont des éléments verticaux non porteurs dont
la fonction principale est de cloisonner les locaux.
La figure î montre les différentes utilisations des cloisons,
qui assurent, selon les cas, des fonctions :
• d'isolation thermique (doublage),
• d'isolation acoustique (séparative et doublage),
• de coupe feu (dans tous les cas).
Les cloisons peuvent être réalisées à 1'aide de petits élé-
ments (briques plâtrières, carreaux de plâtre) ou de grands
éléments (plaques de plâtre).
1
En plaques de Plâtre
Le tableau ci-dessous donne les caractéristiques
des plaques standard utilisées pour les cloisons.
CARACTÉRISTIQUES DES PLAQUES STANDARD
Désignation Épais. Largeur Longueur Masse Clas.
mm m m kg/m ' feu
f- BA10 9,5 1,20 2,00 à 2,60 8 M1 C,__l
-
BA13 12,5 1,20 2,00 à 3,00 10 M1
BA15 15 1,20 2,50 à 3,00 12,5 M1
BA18 18 1,20 2,50 à 3,00 15,5 M1
I- BA23 23 1,20 2,50 18 M1
Montant métallique
19.42 Aossature métallique 1oJu 25-411 2
1
~ les complexes
de doublage laru25-421
Plot de colle
19.51 les produits
Les complexes isolants de doublage sont constitués d'une
plaque de plâtre BA 10 à laquelle est associé un isolant qui
peut-être:
• Du polystyrène expansé de différentes catégories.
• Du polystyrène extrudé.
• De la mousse de polyuréthanne.
• De la laine de roche.
Plaque de plâtre BA 10
19.52 la mise en œuvre
• Les complexes sont collés contre le mur à l'aide de Bourrage en isolant thermique
plots de colle spécifique (fig. 1).
• Les plaques étant coupées un peu plus courtes
pour des commodités de mise en place, il doit être prévu
un bourrage d'isolant en pied des panneaux (laine de roche
ou mousse injectée).
• Dans les pièces humides, le pied des panneaux doit
être protégé par un film polyane dépassant d'au moins
2 cm la hauteur du sol fini.
19.53 Perméance
Selon l'isolant utilisé et son épaisseur, les complexes pos-
sèdent un indice de perméance (P1, P2, P3), qui définit
leur aptitude à empêcher la migration de la vapeur d'eau et
les condensations dans l'isolant.
• La carte ci-contre (fig. 2) indique les départements
et les altitudes pour lesquels il est requis un complexe
c=J Pas d'exigence
de perméance P3.
c=J P3 > à 400 m c=J P3 > à 800
• Les complexes à base de mousse de polyuréthanne
c=J P3 > à 600 m c=J P3 > à 2 200 m
sont classés P3, pour les autres, il sera nécessaire d'utiliser
des complexes possédant un pare vapeur.
1
20.11 Plan de coffrage des dalles
Il doit être fait un plan pour chaque plancher. Celui-ci peut être
désigné soit par le nom de l'étage, soit par la cote du niveau
fini auquel il se trouve.
EXEMPLES:
Plancher sur 1'' étage
Ce sont des dessins réalisés par les bureaux d'études spécia-
Plancher au niveau + 6.400
lisés du gros-œuvre. Ils comprennent :
On représente sur ces plans :
• les dessins de coffrage (planchers, voiles, fondations), • les murs et poteaux supportant le plancher,
• les plans de pose (planchers à poutrelles et entrevous, • les baies et linteaux s'y rapportant,
prédalles, éléments préfabriqués), • les poutres et consoles,
• les dessins d'armatures des différents éléments de • l'emprise des différentes dalles et balcons,
la structure de l'ouvrage. • les trémies et réservations existant dans les murs et les dalles.
NOTA :
Dessins de coffrage Il est également utile de figurer les éléments prenant appui sur
C'est l'ensemble des vues (plans, coupes verticales, éléva- le plancher, notamment si ceux-ci nécessitent la mise en place
tions, détails) qui définissent les formes brutes des différentes d'armatures en attente.
parties d'ouvrages, le béton étant supposé non coulé. Chaque Les dessins ci-dessous et page ci-contre présentent un plancher
élément est généralement repéré par une lettre suivie d'un in- sur premier étage (niveau + 5.730) respectant les conventions
dice. Ces conventions sont détaillées élément par élément dans définies par la norme NF P02-001 et les usages en cours dans
les tableaux des pages 80 et 81. la profession.
120
-t-t- B-B _),
r-
0
0
0
.- 0
0 0
.-
+ 5.730
r- t - - -- ~-E
co
.-
1---
-P
C1
'--- &
C-C
20
D-D
------
0
0
N ~ lt 0
l{)
N
180
1
A-A
+ 5.730
;r ~g _]{_ _] r-
[Il
o;
---
0
---
0
(')
Il
N
0
0
1.0 0
~ 0
1.0
IlIl
N
0 + 2.800
0
"' ~
4 700 6 000 20
1 650 "1'1400,1, 1650:1: 1 700 2 600 • • 1 700 : 11
1: 0 0 'l' 1
~
co
~
f
L1
ali= 900
~a
co
(fe
:3
0
0
(l)
0
0 IlIl
~
Il N
180
'" 180 5 820
1
180
0
0
0
.....
N
.........
0
ô
"'"'x
Il
0
,...."'
s
0
co
N
....
b
Il
0
0
0
(')
C')
_l
0
0
(l)
Il
D_l_ l_D 180
IlIl
PLAN
ro
_B_N~ \2_8~ x_41!_0)___
4120
2 (180 x 380)
Il
0
0
.....
=i ---------- 0
co
~
IlIl
N
0
0
0
Il
0
(')
Il
(t.
0 0
C'J (l) <0
.....
_l
Il
ro
.... @ 180 1 520
IlIl
ali = 300 ali = 300 ali = 300
0
co L3 L3 L3 Il
1--
1 200 1 1 200 1 800 1 1 200 1 800 1 1 200 1 4300
10 700 :1
1
Ouvrages Vues en plan Coupes et élévations
A-A
Mur au dessus ~
~
~
~ du plancher
MURS
NM"''" '~"' ~
ET Mur au dessus
VOILES du plancher du plancher
AT ~ TA
~ ~
~---+---+--
1
.Y////////, '////////////.t :
1 0
@- 0
"'
AT i TA
~ID
j
POTEAUX
(P1,P2...)
®- r----
--T - 1
JQL
P1
0
.,.,
0
®- f--
1
---r - 1 P1
"'
L 1
1
=
~ ~
-V////////, '/':- //////////_,+-
Poteau 81 / Repérage par 0
0
lettre et indice
"'
Largeur x Hauteur totale 200
~
A 1
J
B
~trm• 1•
2 (200 x400) ~
~
Poutre avec
t,,, H
POUTRES B-B
(1, 2, 3) retombée
2 500
·1·
~
c
~ ~:~ ~ ~~,~~,!~~ ij~ ~~ 1 C-C
~
co
Bande
noyée
D Hauteur d'allège
H=f
~ 1
~ lall =900 1
(\\\\~
LINTEAUX
(L1, L2 ...) ///ffi D-D
~
L1
1 400
• 1• • 1•
1
Ouvrages Vues en plan Coupes et élévations
Largeur x hauteur mini à maxi
A-A ~
CONSOLES
(C1,C2...)
~ ------------------~ ~1
200
1 300
At TA
Repère de la dalle
A-A
0 Réserve pour
<X>
le revêtement de sol
+ 2.700
DALLES ---~
(A, B...) At TA
0
0
"'
"'
180 4 700
2 700
Trou 400 x 300
1
/ niv. bas à +2.000
~r r
0
0
'<!"
TRÉMIES
AT; 0
0
<0
tA
Trou dans mur /
cv CH 1 cv A-A
CHAÎNAGES
Chaînage
(CH1, CH2...) C\1 C\1
vertical I
I
0
AT 0 TA
Semelle
isolée
[~~fi!l 1 1 300
SEMELLES 1 200 1
Fgp;tW@ij~
1'
(S1, S2 ...)
Semelle
filante
~ A-A
S1 ~
1
0
0
co
S2
Fond de fouille - 1.350 .-
0 N 0
0 0
0 (/) Redan 0
C')
Fond de fouille -3.100 C')
\
0
0
C\J
S2
0
0
J Tc
~
0
~
0 0
0 0
co 0 N
co
N co
0 (/) (/)
0
200 7 600 C') 200 3 200 200 4 500 200
0
0
600 600 co
600
Ac 4!ss 0
~
S1 ~ o f-
0
0 0 "<tl-;;
~I ~= J" Te
0 0
co
.... N
(/)
"<!"
.... 41 Redan
3 400 1 1 300
~
0
\
0
co -
C')
S2 0 0
0 \ Fond de fouille - 1.350 0 0
0
co co 0
C\J
Fond de fouille - 3.100
l........
S2 0
8 000
0
C\J
.1. 8100
1: 16100 :1
Semelle S1
± 0.000 0 ± 0.000
-------~ "' -~--
Géotextile
C-C
PLAN DE FONDATIONS
1
lllfi!m Plan des fondations lpaue a11 • des coupes partielles montrant les composants utilisé
C'est une coupe horizontale exécutée immédiatement au-dessus (type de poutrelles, type d'entrevous) ainsi que les point
des semelles de fondation. singuliers ;
• Les murs sont dessinés en traits renforcés et grisés ou • le repérage sur le plan des différents aciers à mettr
hachurés. en place (chapeaux, chaînages, chevêtres .. .) ;
• Les semelles sont dessinées en traits continus forts. • les nomenclatures récapitulatives des poutrelles, chapeau'
• Les réservations pour le passage des canalisations enter- chevêtres.
rées doivent être figurées.
• Des coupes partielles à plus grande échelle précisent 20.22 Plancher à prédalles mu. 21
les sections de chaque semelle, les niveaux de fond de fouille Les prédalles sont des plaques minces (50 à 80 mm) réalisée
et de TN, les détails particuliers tels que : drainages, coupure en béton armé ou précontraint ; elles peuvent être préfabri
étanche, réservations .. . quées en usine ou sur le chantier.
NOTA: La définition d'un plancher à prédalles comporte en génér<
On ajoute parfois le réseau d'assainissement sur le plan les éléments suivants (page 85) :
de fondations (regards et canalisations). • le plan de pose qui montre le découpage des différent
éléments, avec leur désignation et leur cotation ;
~~ les plans de pose • des coupes partielles qui précisent les appuis et les jonc
Ce sont des documents définissant la mise en œuvre des lions des prédalles ;
composants préfabriqués utilisés dans une construction. Ces • une nomenclature de toutes les prédalles entrant dan:
documents sont réalisés par des bureaux d'études spécialisés, le plancher ;
voire par les fabricants eux-mêmes, ils résultent d'une note • un calepin qui définit chaque prédalle individuellemen
de calculs. par : vue en plan, coupes, aciers utilisés, poids, accessoires d1
levage. Ce calepin est en général effectué sur format A:
20.21 Plancher à poutrelles mu. 11 (le calepin n'est pas présenté dans l'ouvrage).
Les dessins de ce type de plancher doivent comporter REMARQUE:
les informations suivantes (page 84) : Les conventions de représentation des murs, poutres, ouver·
• l'orientation et le sens de pose des poutrelles ; tures, ainsi que la façon d'indiquer l'épaisseur et le niveau dL
• la position des files d'étais (une file pour les portées< 4 m, plancher sont analogues à celles définies pour les plans de
deux files pour les portées supérieures) ; coffrage des dalles.
Treillis soudé
Poutrelles en Prédalle
File d 'étais
1
g
N
cv cv CH1
PLANCHER SUR SOUS-SOL
0
0
N
cv 0
""'
"Il
-' 0 0
0 0
0
0
~ "';'!: "ro ro
ro
<D Ql
:::; c.
"' i'!'
~
0
0 0
AT Il§ @ Il §
ro 0
.... N
0
0
<D :::;
"' cv CH1
0
0
N
cv
CH1
0
0
N
"1 :~00
7 600
200·:1:
3 200 • Il ~oo 4 500
• ~ 1· 200
8 000 8100
A-A
NOMENCLATURE DES POUTRELLES
Rep. Nb. Longueur Type
A 22 3 640 113
B 13 3 240 113
c 13 4 540 145
1 350
3 26 HA10 x 1 350
C-C 4 13 HAB x 650 100~
CHEVËTRE
Nb. Dimensions Façonnage
2 HA10 x 2 000 ~
1500
2 HAB x 1 500
120
5 HA6 x 600 1200
1
B les dessins d'armatures
Z0.31 Définition Maçonnerie
ls ont pour objet de définir la nature, la forme, la position et
es dimensions de chaque armature.
• Chaque ouvrage fait l'objet d'un dessin séparé
poteau, poutre, dalle ... ), comportant une élévation et une ou
Jlusieurs coupes (voir pages 87 et 89).
• Les éléments liés à l'ouvrage sont représentés en trait fin.
Béton armé
:xemple : les murs pour une dalle, les appuis pour
me poutre ...
2
zo. 32 Conventions de représentation Élévation
!0.321 Traits utilisés Plan
• Les contours du béton se dessinent en trait fin.
• Les aciers se dessinent en trait fort, mais on s'efforcera 3 ( \
Élévation
Je nuancer les épaisseurs de traits en fonction du 0.
• Les parties de béton coupées sont pochées. Plan
1
20.324 Aciers de longueur variable
CONSOLE
Lorsque les aciers d'une même série ont des longueurs
variables, on doit indiquer :
• sur le renvoi fléché, la longueur développée de l'acier
le plus court et celle de l'acier le plus long (fig. 1 et 2).
• sur le croquis de façonnage la plus petite et la plus
grande dimension.
3 POTEAU P2
9 HA 8 x 500 à 1800
e = 200
POTEAU P4
4 0
0
4 HA 12 x 3100 C\1 180
'"""" ~o
15 cad. HA 6 x 1 000
e = 170
0
0 1'--
~
0
1!)
C\1
x
"""
~
§0
250
~ 15 cad. 0 6 X 1 OOOt;::\ 1-- .~
~ 0
1!)
1
fZ111) Représentation des dalles
20.51 Dalles avec treillis soudés
Représentation des panneaux
• On réalise un dessin pour les panneaux inférieurs et
un dessin pour les panneaux supérieurs (voir p. 88).
• La figure 1 montre les deux façons de représenter
les panneaux. Celle de gauche est la plus utilisée ; le trait
fort coupant la diagonale indique le sens porteur.
• Il est conseillé de décaler les panneaux pour améliorer
a = désignation du panneau
la lisibilité du dessin (voir p. 88).
Désignation des panneaux
2
• Par leur identification normalisée donnée page 93.
Exemple : ST 45.
•! ;!;"• > 40 a
1 1
a
• La fig. 3 indique comment se repèrent les lits d'aciers. 2" lit inférieur
• Utiliser un type de trait différent pour chaque lit.
1 1
4 1 r-
22 HA 1 0 x 1 200 e = 150 1
5 1er r1t su p. 1
22 HA 10 x 3 000 e = 150
1
1er lit inf.
14 HA 8 x 3 600 e = 200
2
2e lit inf.
22 HA 1 0 x 1 000 e = 150 L
4 1er r1t sup.
150'
800 ---- - ----~---- ---- - -
i'
r Nota : Tous les aciers nécessaires
3 HA 8 filants x 40 m e = 200 à la dalle n'ont pas été représentés
3 e , ,,
2 lit sup. afin de faciliter la lecture du dess1n
1
PANNEAUX SUPÉRIEURS
1 v
t .1 ~ ~ .
1 1 1 ~
= v v 1
._
1
l. 1 1 v
-~
1
i7
1
~~
1
~~
/
.....__
® ~ @ @
--=-- ®
Recouvremen s
PANNEAUX INFÉRIEURS
.-
../ ~ ~
~~
------
lir ~
1 ,1
@
NOTA : Tous les panneaux doivent être répertoriés dans un tableau avec l'indication de leur nombre et de leurs caractéristiques.
.
1
20.53 Représentation des poutres
• Exécuter pour chaque poutre une élévation et autant
2 HA10 x 2400
de coupes qu'il est nécessaire à une bonne définition des 1
armatures.
• Ne pas dessiner les cadres et étriers sur les élévations.
• L'espacement des cadres et étriers s'indique sur une
2 HA 12 x 2 BOO
ligne de cote placée sous l'élévation (fig. 1). Cette ligne peut 2
éventuellement être placée dans le dessin. 6 x 200
• Si la répartition des cadres est symétrique, elle ne sera 2100
indiquée que sur la demi-portée (fig. 3).
• Coter les dimensions des cadres sur les coupes et
celles des barres longitudinales sur les élévations.
• Il est conseillé d'affecter à chaque armature un numéro
ou une lettre minuscule qui sera répété sur les différents
dessins.
2 HA12 2
20.54 Calcul des longueurs 150 l____j___ _- - {
développées de barres
Les tableaux page 90 et page 91 donnent la longueur ill à 2
ajouter au périmètre des cadres, ou à la longueur hors tout
des barres, afin d'en déterminer la longueur développée.
250 .[
• Pour un cadre HAB de 250 x 120 (fig. 2)
longueur développée = 2 (250 + 120) + 160 = 900.
• Pour une barre HA 16 (acier FeE 500, béton 25 MPa)
0~-------'\...J
longueur développée = 3 200 1 (270 x 2) = 3 740. 1. 3 200 1
Arrondir les longueurs aux 50 mm supérieurs.
{90
1 300
2
t 1
~ 3 HA16 x 4 200
3
~ \)
3 HA16 x 6 900
4
.fe::: 6340 ~
~~
5
32 étriers HAB x 1 200
6
32 cadres HAB x 1 500
~o 3 HA16
4
3 HA16
4
160 A-A 8-8
1
LONGUEUR DÉVELOPPÉE DES ACIERS TRANSVERSAUX
-r-
Cadres Étriers Épingles
~ rf.
&
L()
&
L()
l'f.
&
rl'\L()
~
""/?
E
(mm) ~1
'·- 'L
""' J
0 .il .il .il .il .il
l'-
6 120 110 90 110 200
8 160 160 120 160 260
10 200 200 160 200 320
12 240 240 190 240 390
14 280 310 240 310 460
16 340 410 310 410 530
LONGUEUR DÉVELOPPÉE DES ACIERS LONGITUDINAUX
~
,. 440 çp
~L f
30
(mm)
Î -
...J ~
r-
1
LONGUEUR DÉVELOPPÉE DES ACIERS LONGITUDINAUX
(mm)
q 0:
~ ~L L
0
0 dl l1 dl l1 dl l1 dl l1
6 170 170 60 50 70 90 90 60
8 220 220 80 70 90 120 120 70
10 280 280 100 80 110 140 150 90
12 340 340 120 110 140 170 180 110
14 390 390 140 120 150 200 210 130
16 450 450 160 140 180 230 240 150
20 560 560 200 170 220 280 300 180
25 700 700 250 210 280 360 380 230
32 900 900 320 270 360 460 480 290
40 1120 1120 400 330 450 570 600 360
FeE500 Fc28 =20 MPa
(mm)
q /
~
'))
r--
L
::i
L
0
·-'--
0 dl L1 dl l1 dl L1 dl L1
6 310 310 120 100 140 160 110 60
8 410 410 160 150 200 220 140 90
10
--
510 510 190 180 240 270 170 110
12 610 610 230 220 300 330 200 140
14 720 720 270 250 330 380 240 150
16 820 820 310 290 390 430 270 180
20 1020 1020 390 350 480 540 340 220
25 1280 1280 480 440 600 680 430 270
32 1640 1640 620 570 770 870 550 350
40 2040 2040 770 710 960 1080 690 430
1
CARACTÉRISTIQUES DIMENSIONNEUES DES ACIERS
-
0 Poids Périmètre Sections pour n barres en cm 2
--- ~- ~
5 0,154 1,571 0,196 0,393 0,589 0,785 0,982 1,178 1,374 1,571 1,767 1,96
1
6 0,222 1,885 0,282 0,565 0,848 1,131 1,414 1,696 1,979 2,262 2,545 2,82
1
8 0,394 2,513 0,502 1,004 1,508 2,01 2,51 3,02 3,52 4,02 4,52 5,02
1
10 0,616 3,142 0,785 1,57 2,36 3,14 3,93 4,71 5,50 6,28 7,07 7,85
12 0,887 3,770 1,13 2,26 3,39 4,52 5,65 6,79 7,92 9,05 10,18 11,31
14 1,208 4,398 1,54 3,08 4,62 6,16 7,70 9,24 10,78 12,32 13,85 15,40
1
16 1,578 5,027 2,01 4,02 6,03 8,04 10,05 12,06 14,07 16,08 18,10 20,11
20 2,466 6,283 3,14 6,28 9,42 12,57 15,71 18,85 21,99 25,13 28,27 31,42
i
25 3,853 7,854 4,91 9,82 14,73 19,63 24,54 29,45 34,36 39,27 44,18 49,09
32 6,313 10,053 8,04 16,08 24,13 32,17 40,21 48,25 56,30 64,34 72,38 80,42
40 9,864 12,566 12,57 25,13 37,70 50,27 62,83 75,40 87,96 100,53 113,10 125,66
TREILLIS SOUDÉS
+
Caractéristiques mécaniques
Limite d'élasticité 500 MPa tous 0
\
Résistance à la traction 550 MPa 1
Allongement à la rupture 8%
Allongement sous charge 2% - w
1J =1,3si 0 < 6
Adhérence 1J =1,6si 0;. 6 1
Ancrages
.J!S = 1,5
3 soudures sens porteur ~ AR ~
L
AVI
2 soudures sens répartition 1 1
1 = largeur unique = 2 400 mm
RAFR
0,80
0,53
200
300
4,5
4,5
100100
100 100
12
167
50,00
2,40
. 1,043 120,00 125,10
PAF R
0,80
0,53
200
300
4,5
4,5
150 150
100100
12
12
3,60
2,40
. 1,042 8,64 9,00
c RAFC
0,80
0,80
200
200
4,5
4,5
100100
100100
12
200
40,00
2,40
. 1,250 96,00 120,00
t PAFC
0,80
0,80
200
200
4,5
4,5
100100
100100
12
18
3,60
2,40
. 1,250 8,64 10,80
i"'
~
ï
PAFV
0,80
0,99
1,19
200
160
200
4,5
4,5
5,5
135 25
100 100
100100
12
16
12
3,20
2,40
4,80
.
1. ~
3200 _ _
3 9,60
ST20
1,88
1,28
150
300
7
7
150150
75 75
16
20
6,00
2,40
. 2,49 14,40 35,81
ST25
2,57
1,28
150
300
7
7
150150
75 75
16
20
6,00
2,40
. 3,02 14,40 43,49
ST 30
2,83
1,28
100
300
6
7
150150
50 50
24
20
6,00
2,40
. 3,33 14,40 47,89
~
1!!
ST35
3,85
1,28
100
300
7
7
150150
50 50
24
20
6,00
2,40
. 4,03 14,40 57,97
~
ST60
6,36
2,51
100
200
9
8
100 100
5050
24
24
6,00
2,40
. 6,97 14,40 100,30
ST25C
2,57
2,57
150
150
7
7
75 75
75 75
16
40
6,00
2,40
. 4,03 14,40 57,97
ST40C
3,85
3,85
100
100
7
7
50 50
50 50
24
60
6,00
2,40
. 6,04 14,40 86,98
ST50C
5,03
5,03
100
100
8
8
50 50
50 50
24
60
6,00
2,40
. 7,90 14,40 113,76
ST65C
6,36
6,36
100
100
9
9
50 50
50 50
24
60
6,00
2,40
. 9,98 14,40 143,71
1
PRÉDIMENSIONNEMENT DES OUVRAGES EN B.A.
1 Valeurs de H
Ouvrages Élévations ou plans Sections Continuité
Faible Forte
~.. {~
1
l l
Linteau ;.- ;.-
L 10 15
:
1
Poutre
avec retombée
li L
Il IA + ;.-
l
10
,_l
15
Bande noyée
1 L
(,;;; 3 500)
1 I~~ Ir [ J JI t ;.-
l
16
;.-
l
16
Dalle pleine
sur 2 appuis
1
L ;;. 2,5 e
:H Il~· . . . .f ;.-
f
20
f
;.-
30
Il~•
Dalle pleine € f
L < 2,5 e "' . . . ;.- ;.-
+
sur4 appuis 30 4ll
Ilbtt±ïf4
1
Plancher ,_l l
1 1
;.-
à poutrelles L 25 30
TI
Balcon
~ L 1
Ill • • •
·t ;.-
l
10
1 1 1 1
Poteau
Il
1 1
Il Il
1 1
m[[[] a ;. - H
15
•
2l · les dessins
de chantier
21.13 les Informations écrites
Elles précisent les caractéristiques du matériel de levage et de
bétonnage mis en place sur le chantier, les puissances électri-
ques nécessaires aux branchements.
C'est l'ensemble des documents graphiques et écrits réalisés Une légende explicite les différents symboles utilisés.
par le bureau des méthodes de l'entreprise.
Ils précisent les moyens matériels à mettre en œuvre, les 14 fi Plan de cvclage de banches
méthodes et techniques de réalisation des ouvrages, les consi- lpage 971
gnes de sécurité ainsi que les moyens de protection. C'est un document, qui compte tenu du planning et des
Les pages qui suivent présentent ces principaux documents. moyens à disposition, présente l'ordre chronologique journalier
(cycle) d'exécution des ouvrages verticaux.
Plan d'installation Il comporte en général :
de chantier lpage 961 • le « plan de cyclage ,, qui montre l'ordre de réalisation
Son rôle est de présenter l'implantation rationnelle des maté- de chacun des voiles de l'étage,
riels et matériaux sur le terrain du chantier. • le « cahier journalier ,, qui définit pour chaque jour :
11 permet également de solliciter les autorisations administrati- - la position des coffrages à utiliser,
ves auprès des services préfectoraux, de la Caisse Régionale - l'ensemble des matériels nécessaires (banches, manne-
d'Assurance Maladie (GRAM) et de l'Office Professionnel de quins, accessoires ... ),
Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics (OPPBTP). - le linéaire de voiles et la quantité de béton à couler.
Un plan d'installation de chantier comporte d'une manière gé-
nérale les éléments suivants. fi !il Plan de boisage lpage 981
Exécuté chaque fois que l'on doit réaliser un coffrage complexe,
21.11 la vue en plan le plan de boisage donne toutes les indications nécessaires
Elle fait apparaître : à l'exécution du moule à savoir :
• les clôtures et les accès du chantier, • le principe du coffrage et de son réglage,
• les bâtiments existants et à construire en précisant le nom- • la nature et la section des bois et panneaux utilisés,
bre d'étages (R + 4, R+ 8... ),
• les accessoires de serrage et de maintien.
• les terrassements généraux avec les emprises des talus,
• les grues avec les voies, les positions extrêmes du fût,
les aires balayées par les flèches, les ordres de priorité ainsi
fit 1 Plan d'étaiementlpage 991
Il indique, pour le coffrage d'un plancher :
que les limitations de survol éventuelles, • la position, la hauteur et le type des étais,
• les voies de circulation des personnes et des engins, • le type, l'entre-axes et la portée des poutrelles et filières,
• les aires de fabrication (armatures, coffrage, préfabrication), • l'épaisseur et la disposition des panneaux coffrant,
• les aires de stockages (matériel, matériaux, terres ... ), • éventuellement, les quantités de matériel nécessaires.
• les divers réseaux et branchements (électricité, eau, assai-
nissement, télécommunications),
• le poste de bétonnage éventuel (centrale, silo à ciment,
f411J Mode opératoire lpage 1001
Il décrit, pour un ouvrage ou partie d'ouvrage, les phases
stockage des granulats), d'exécution en explicitant :
• les cantonnements (bureaux, local pour les réunions • les opérations à effectuer,
de chantier, loge du gardien, réfectoire, vestiaires, sanitaires). • le matériel à utiliser,
21.12 l'élévation • les risques prévisibles lors de l'opération,
Elle donne tous les renseignements verticaux utiles : • les mesures de sécurité à prendre.
• niveau des rails des grues, Sa forme graphique en fait un document facilement compréhen-
• hauteur sous crochet des grues en tenant compte de la sible. Le Plan Particulier de Sécurité et Protection de la Santé
hauteur de sécurité de deux mètres, (PPSPS) impose la rédaction de modes opératoires pour toutes
• le niveau haut des bâtiments existants. les phases importantes de la construction.
1 1
E.U . Eaux usés ACCÈS
CHANTIER
Rue J.B. AU DISERT PTI
Q)
c
!2'
rn
a.
uu
Q)
'0 '
Q)
:J 1' \
a:
Stockage
des Centrale à bét~
préfa. 1 type : ORU 1040'-,
Aire Stockage
de des
préfa. aciers
Stockage
des
remblais
0
(J)
Il
rn Décanteur Eaux usées
I
= Compteur d'eau --- -- - Eau potable
• Robinet de puisage
---------- Clôture
1
Plan de cyclage
7 640 6 230
-
m1 m1 m1 m1
~
•Q) 2 900
à:
m1
0
co 0 0
0') co
0')
co
0')
~
CD CD
'E
0
0
1() .q- .q- Q)
0 E E 0
co en
'E 3 260 ~
C\1
"'
.c
Il.
~ œ
C\1
0
co
0
0 CD
0
0') 0
co co 0')
1() 1() E
m5 m5
14530 2 900
C\1 C\1
Jour 1 E m6 E m6
~
D Jour 2
4 300 4480
D Jour3
D Jour4
Jour3
AB 83 C1
VoilesJour3 Accessoires
-Longueur: .............. 22,74 m -Abouts : ................................ 3 - Mannequins de fenêtre : m1 = 2, m6 =1
-Volume béton : ..... 11,145 m3 - Règles de correction : ... 4 - Mannequins de porte : m4 = 1
CYCLAGE DE BANCHES
1
- Opérations
=
lh l
Croquis
l~
Risques
~1
------,
.1 IL
r--
Mise en place des poutrelles principales ~[o ~f > 50cm lL - Débord insuffisant de la poutrelle. - Contrôle visuel (L >50 cm).
~1
- Basculement des filières. - Blocage des poutrelles dans les fourches
(filières)
------, I IL
r--
à l'aide d'une cale en bois.
~H
=====n
-Appui insuffisant - Contrôle visuel (L > 50 cm).
Pose des poutrelles secondaires
8
~1 I IL - Espacement trop important - Respect du plan d'étaiement. m
0
------, r--
f
=lr"'l'""IIT:
0
:ii
m
- Risque de basculement des poutrelles. - Entretoisement provisoire des poutrelles ;;
Pose de la peau coffrante - Risque de chute. avec une planche clouée servant ~
~1
~
------,
IL 1 r--
de circulation.
~1
------, 1 IL r--
- Blessures en manipulant les armatures. - Port des gants.
~1
------, I IL
r--
ne pas l'ouvrir trop haut
Charpente traditionnelle
On appelle charpente traditionnelle les charpentes réalisées
à partir de bois massifs (généralement des résineux) assem-
blés par des assemblages traditionnels (tenon-mortaise,
embrèvement...).
Dans les cas où il existe des murs de refend, une charpente 2 Planche de rive
1
~ les chevrons
Caractéristiques
• Sections : 60 3 80, 80 3 80, 70 3 90.
Ces sections sont augmentées sous climat de montagne.
• Espacement : en principe de 0,50 m.
• Portée : de 1,20 à 1,80 m.
• Fixation : les chevrons sont toujours disposés suivant
la plus grande pente de la toiture. Ils sont cloués sur les
pannes.
Dans le cas de combles aménagés, pour concilier espace
et isolation, on utilise des complexes isolants qui compor-
tent des raidisseurs remplaçant les chevrons.
Ces complexes assurent l'isolation thermique, forment Isolant
la sous face du comble et ménagent un espace permettant (mousse de polyuréthane)
la ventilation de la toiture (fig. 1). Leur largeur est générale-
ment de 0,60 met leur longueur atteint 6,30 m.
Panneau CTBH
Les tableaux ci-dessous donnent les caractéristiques
du complexe dont le détail est donné figure 1.
ENTRE-AXES MAXl DES PANNES (M)
--
Charges Épaisseur de l'isolant (mm)
(kN/m') 50 70 80 100 120
1,00 2,00 2,00 2,45 2,95 3,60
1,25 1,75 1,75 2,20 2,60 3,20
1,50 1,60 1,60 2,00 2,40 2,90
2,00 1,40 1,40 1,75 2,10 2,50
3
les fermes traditionnelles
• Les fermes sont des systèmes triangulés que l'on met
en place pour supporter les pannes quand il n'existe pas
de murs de refends.
• La figure 2 montre la constitution d'une ferme tradition-
nelle à 5 pannes.
1 Arbalétrier Entrait simple
-
-
2 Poinçon
3 Lien de faîtage
4 Entrait
5 Contrefiche
1
L'espacement des fermes dans un comble peut varier
de 3,50 mà 5,00 m.
Les fermes se désignent en fonction de leur forme
et du nombre de pannes qu'elles supportent. Le tableau
ci-dessous donne le nombre de pannes nécessaires en
fonction de la largeur du bâtiment.
Largeur du bâtiment Nombre de pannes
5 à 8 mètres 5 pannes
9 à 12 mètres 7 pannes •
12 à 15 mètres 9 pannes
15 à 18 mètres 11 pannes
1
~ Les assemblages afin d'augmenter les surfaces de contact et donc de réduirE
les contraintes sur les bois.
traditionnels • Le moisement : est surtout utilisé pour les pièces moisée~
La charpente traditionnelle utilise essentiellement trois types et les assemblages qui transmettent des efforts de traction.
d'assemblages.
• Le tenon et la mortaise : pour tous les assemblages Les assemblages par tenon et mortaise sont
qui transmettent des efforts de compression. consolidés par des chevilles.
• L'embrèvement : qui est souvent associé au tenon Les assemblages moisés sont boulonnés.
Panne faîtière
Coupe en sifflet
Cuvette
Tenon et mortaise
plus embrèvement
ASSEMBLAGES ENTRAIT-POINÇON
Arbalétrier
1
Lien de faîtage
/
.; ~ ~
1
!JI
Chevron d'arêtier ,_
~ 1 ~
~~-~
~
1
~ t
1
~(/ 1
/ . 1 ~
~v
J
' 1
'
1/2 ferme de croupe
1
\
~:
Panne faîtière
\ - - , - - 1
~
, , ~ !::::1::: ~
.,,
t = t:-=
Chevrons
~
1r
Empannons
1
~ Fermettes 2
22.11 Principe
• Ce sont des fermes réalisées à partir de planches dont
l'épaisseur est d'au moins 35 mm (47 mm pour les portées
Ferme en W Ferme en M
supérieures à 15 m). Les largeurs varient de 90 mm pour les
membrures intérieures à 180 pour le membrures extérieures.
• Les planches sont assemblées aux nœuds par des 3 4
~~
collectifs d'habitation.
Connecteurs
9 en acier galvanisé
1
22.74 Dépassées de toiture ettlxation
des termenes sur les murs ENTRAIT LONG
Antiflambement
2 --- Contreventement
3 ------- Entretoisement
1
~ Charpentes Fonnes Portée L (m) h H
en lamellé-collé
22.81 le matériau
• Ce sont des pièces constituées de lamelles de bois
'i. - L :r ~J 8-50 L/17
t
résineux de faible épaisseur (de 33 à 45 mm), collées entre- r ::I:
..ci 10-50 L/30 L/15
elles à l'aide de colle résorcine.
• Cette technique permet de réaliser des pièces de char-
t L t •
tt= ]J
pentes plus résistantes et moins déformables qu'en bois 1
îf'
Le matériau lamellé-collé pouvant se cintrer, permet la
réalisation de pièces complexes et variées. Le tableau
I 10-40 L/45 L/20
ci-contre présente les formes les plus courantes de poutres et
de portiques en précisant : - :f- L ~ ~
_r l~~
nisé. C'est en effet nécessaire pour assurer la liaison de
pièces devant reprendre des efforts importants. 20-50 L/40 L/20
• La figure 3 montre l'appui d'une panne sur une poutre - '--- L --' '-- L - '--
de portique à l'aide d'un sabot métallique.
2 3
Articulation Boulon
métallique +coquille Poteau moisé
1
les dessins de charpente
22.91 Dessins de détail
• Ils sont surtout utilisés pour représenter les nœuds
d'assemblages et les organes de liaisons. Vue A
• On utilise largement les vues obliques et les sections (moise seule)
1
l~'E =A
~l'v= A
(")
C\1
C\1
oa'v =A Cl) u,
0 co
c: ô
...
0
C\Î
-...
~
•Cl)
•Cl)
Cl)
"tl
Il
Cl)
•Cl)
t:
0
:::1 a.
tU
Cl) .....
C\1
z>
sc's =lA.
0
0
0
t l
0
C\1
06'S =A
C\1
1
CARACTÉRISTIQUES MÉCANIQUES DES BOIS Tableau 1
Pente du fil en % ~ 7 ~ 15 ~ 15 ~ 7 ~ 12
Flache/longueur ~ 1/3 ~ 1/3 ~ 1/3 ~ 1/3 ~ 1/3
CONTRAINTES MAXIMALES SUR LES BOIS EN MPa
-
Résineux Chêne
Sollicitations Croquis
C30 C22 C18 Classe 1 Classe 2
Masse volumique
460 à 610 340à400 320 à400 BOO 750
(kg/m')
Module d'élasticité
12000 11 000 10000 12000 11200
(MPa)
Compression
11 10 8 13,6 10,9
longitudinale
Flexion
statique
~ ~ 13,2 10 8 14,7 12,5
-
Cisaillement
longitudinal
~ 1,3 1 0,8 2,2 1,6
.ft
Traction
0,15 0,15 0,15 0,6 0,6
transversale
- --
Compression
""
..s.
2,5 2,2 2 4,9 3,9
transversale
- ~
Portée maximum
FLEXIBILITÉ DES POUTRES
Flèche admissible
12H * 1/500
12 à 14 H 1/500 à 1/300
24à30 H 1/300
1
1
J
- Sections
mm
Appellations
traditionnelles
1
Madriers
Nombre
de m au m'
l
DIMENSIONS DES BOIS DU NORD
Nombre
de m• au m_
' - ·
Sections
mm
38 x 150
Appellations
traditionnelles
40 x 155
Nombre
de m au m'
175,44
1 Tableau 2
Nombre
de m• au m'
26,32
~
1 75 x 225 80 x 230 59,26 13,33 1 38 x 125 40 x 130 210,53 26,32
75 x 150
- 80 x 155
Bastings
66,89 13,33
~ """'
1 32 x 225
-
32 x 200
32 x 230
32 x 205
138,89
156,25
31,25
31,25
r-- ~ = - -
1
63 x 175 65 x 180 90,70 15,87 32 x 175 32 x 180 178,57 31,25
';::::
44 x 150 45x 155 151,51 22,72 1 2s x 115 27 x 115 347,83 40,00
Planches et planchettes
227,27 22,72
---- 22 x 100
19 x 115
24 x 105
20 x 115
454,55
457,67
45,45
52,83
.,.._, _ - · -r;-- -
38 x 225 40 x 230 116,96 26,32 19 x 100 20 x 105 526,32 52,63
38 x 200 40 x 205 131,56 26,32 i 16 x 115 16 x 115 543,48 62,50
1 38 x 175 1
Longueurs 1,50 1 1,ÎIO 1 2,10 1 2,40 1 2,70 1 3,00 1 3,30 1 3,60 1 3,90 r 4,20 1 4,50 1 4,80 ~j _5·1_0~_L:40 _l5,70 ~j_6~ j_6,30 _l~.~--
PORTÉES MAXIMALES DES POUTRES EN BOIS (rn) Tableau 3
1
BOIS DE 2" CATÉGORIE· HYGROMÉTRIE 15 % • f ~~·if =9MPa
-- - - -
Charges en kNim' • Écartement 0,30 rn
0,83 1,66 2,5 3,33 4,16 5,0 5,83 6,66 7,5 8,33 9,16 10,0 10,83 11,66 12,5 13,33
U)
Charges en kN!m'- Écartement 0,40 rn
c
0
+> 1
Section 1 0,62 1,25 1,87 2,5 3,12 3,75 4,37 5,0 5,62 6,25 6,87 7,5 8,12 8,75 9,37 10,0
·e"'0
c v
..,c Charges en kN/m' - Écartement 0,50 rn
~50 1
0
cm' cm' cm' 1
1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 3,5 4,0 4,5 5,0 5,5 6,0 6,5 7,0 7,5 8,0
~ -~
0,25 0,50 0,75 1,00 1,25 1,50 1,75 2,00 2,25 2,50 2,75 3,00 3,25 3,50 3,75 4,00
10,5 x 22,5 9966 886 10,06 7,99 6,98 6,34 5,88 5,54 5,26 5,03 4,84 4,67 4,52 4,39 4,28 4,17 4,08 3,99
.,
~
·r::
"C 7,5 x 22,5 7119 632 9,00 7,14 6,24 5,66 5,26 4,95 4,70 4,50 4,32 4,17 4,04 3,89 3,74 3,60 3,48 3,37
~"'
7,5 x 20,5 5384 525 8,20 6,50 5,88 5,16 4,79 4,51 4,28 4,10 3,94 3,80 3,66 3,55 3,41 3,28 3,17 3,07
6,5x 18,5 3429 370 7,05 5,59 4,89 4,44 4,12 3,88 3,88 3,52 3,39 3,26 3,11 2,98 2,86 2,76 2,66 2,58
U)
1
"'
c
..
U) 6,5x 16,5 2433 294 6,29 4,99 4,36 3,96 3,67 3,48 3,28 3,14 3,02 2,91 2,77 2,66 2,55 2,46 2,37 2,30
"'
a:l
5,5 x 15,5 1706 220 5,59 4,43 3,87 3,52 3,26 3,07 2,92 2,79 2,65 2,51 2,40 2,29 2,20 2,12 2,05 1,99
1 7,5 x 10,5 723 137 4,20 3,33 2,91 2,64 2,45 2,31 2,19 2,10 2,01 1,94 1,88 1,81 1,74 1,88 1,62 1,57
1
' U)
7,5x 7,5 263 70 3,00 2,38 2,08 1,88 1,75 1,65 1,58 1,50 1,44 1,39 1,34 1,29 1,24 1,20 1,16 1,12
c
~
.r:
6,5x 7,5 228 60 2,86 2,27 1,98 1,80 1,67 1,57 1,49 1,43 1,37 1,32 1,26 1,20 1,16 1,11 1,08 1,04
0
5,5 x 7,5 193 51 2,70 2,14 1,87 1,70 1,58 1,48 1,41 1,35 1,28 1,21 1,16 1,11 1,06 1,02 0,99 0,96
5,5 x6,5 125 38 2,34 1,86 1,62 1,47 1,37 1,29 1,22 1,17 1,11 1,05 1,00 0,96 0,92 0,89 0,86 0,83
Exemple 1:
soit à rechercher la pièce pouvant supporter une charge de 2,50 kN/m pour une portée de 3,80. On lit sur le tableau 7,5 x 20,5.
- Exemple 2:
Soit à rechercher la portée que peuvent passer des solives de 6,5 x 18,5 supportant une charge de 6,25 kN/m 2 et espacées de 0,40 m, on lit sur le tableau 3,26 m.
-- - - --- -- - - - ---- - - - ---- - - -- -- - -- -- -
- 1 Charges
(kN/m)
1
90 x 265
6,20
90 x 310
7,50
90 x 355
8,60
PORTÉES MAXIMALES DES POUTRES STANDARD EN LAMELLÉ-COLLÉ (m)
90 x 400
9,25
105 x 310
7,75
Sections (mm)
105 x 400
9,80
115 x 265
6,80
115 x 355
9,00
115 x 445
11,20
115 x 535
13,30
140 x 535
14,00
140 x 760 1
1,5 5,50 6,60 7,60 8,25 6,85 8,75 6,00 8,00 10,90 11,80 12,55 17,50
2 5,00 6,00 6,90 7,60 6,30 8,05 5,54 7,40 9,10 10,80 11,55 16,20
2,5 4,70 5,60 6,40 7,10 5,90 7,55 5,10 6,90 8,50 10,20 10,85 15,20
3 4,35 5,20 6,05 6,70 5,55 7,05 4,75 6,50 8,10 9,60 10,30 14,35
3,5 4,20 4,90 5,70 6,40 5,20 6,70 4,55 6,15 7,65 9,20 9,85 13,70
4 4,00 4,70 5,40 6,10 4,90 6,40 4,30 5,80 7,40 8,80 9,45 13,20
4,5 3,80 4,50 5,15 5,80 4,75 6,20 4,20 5,60 7,05 8,50 9,10 12,70
5 3,70 4,35 4,90 5,60 4,55 5,90 4,05 5,45 6,75 8,20 8,80 12,25
6 3,50 4,05 4,65 5,25 4,25 5,55 3,80 5,05 6,35 7,60 8,25 11,55
1
7 ,l 3,30 3,80 4,40 4,95 4,05 5,20 3,60 4,75 6,00 7,20 7,75 10,90
8 3,15 3,65 4,25 4,70 3,80 5,00 3,45 4,55 5,70 6,85 7,40 10,40
9 3,00 3,50 4,05 4,50 3,70 4,80 3,30 4,30 5,45 6,55 7,10 10,00
10 2,80 3,40 3,90 4,30 3,60 4,60 3,20 4,20 5,25 6,30 6,80 9,60
1
11 2,70 3,30 3,75 4,15 3,50 4,45 3,10 4,05 5,05 6,10 6,60 9,30
1
12 2,60 3,15 ( 3,60 4,00 3,40 4,30 3,00 3,90 3,85 5,90 6,40 9,00
1
13 2,50 3,05 3,50 3,85 3,30 4,20 2,90 3,75 3,70 5,70 6,20 8,70
14 2,45 3,00 3,40 3,75 3,25 4,10 2,80 3,70 3,60 5,60 6,05 8,50
15 2,40 2,80 3,30 3,70 3,20 4,00 2,70 3,60 3,50 5,40 5,90 8,25
ASSEMBLAGES BOULONNÉS Tableau 5
-1\r a en mm a = 20 a = 27
0 du boulon 8 10 12 14 16 8 10 12 14 16
r- - 1-
Charges en kN 0,9 1,05 1,2 1,4
!:!.... 1,05 1,3 1,6 1,85 2,1 ....
.., a en mm a = 35 a= 50
- 0 du boulon 8 10 12
1
14 16 10
1
12 14 16
1--
18
aetbenmm b = 20 a ;. 13 b = 27 a ;. 18
b,
---.
i\ 0du boulon 8 10 12 Il 14 16 8 10 12 14 16
l
1 ~
Charges en kN 2,3 2,6 3,0 il 3,5 4,0,_ 2,6 3,0 4,0 4,6
~
- - 1 1 1
b = 35 a ;. 27 b = 50 a ;. 33
-
aetbenmm
,--, -
-
0 du boulon
-
8 10 12 Il 14
-
16 10 12 14 16
- 18
1 j
aetbenmm b = 65 a ;. 42 b ==75 a ;. 50
t--
0 du boulon
Charges en kN
10
5,1 6,0
12
1
14
7,2
. 16
8,5
18
9,5
12
6,6
14
7,5 8,0
16 18
10,0
20
11,0
1
f-
aetbenmm b = 90 a ;. 60 b = 105 a ;. 65
- ~ - ~ L
22
-
0 du boulon 14 16 18 20 22 16 18 20 24
"'i a f. .. ; a t• ''
Charges en kN 8,4 Il 9,6 ll 10,8 12,0 _RI_ 13,2 10,4 11,6 13,0 14,3 16,2
1
23 Couverture • Fixation : scellement partiel au mortier de ciment en po
traditionnelle, ou collage avec mastic au silicone. Cert<
nes tuiles possèdent des ergots, elles sont alors accroché
Toute étude de couverture doit s'effectuer en considérant à des liteaux.
les paramètres suivants :
• Travaux de raccords : les figures 2 et 3 montrent l1
• La région et le site de la construction (voir carte p. 127).
dispositions relatives aux rives de toitures. La figure 4 mo
• La pente de la toiture.
tre comment se traitent les égouts dans la pose traditionnel!
• La longueur du versant de toiture.
Cette disposition appelée « génoise • peut être remplacée p
• Le support de couverture.
• Le mode de fixation des éléments. une gouttière classique plus économique. Voir p. 118 po
• Les travaux de raccords (rive, faîtage, arêtier, noue, les sorties de souches.
souche ... ).
• La ventilation de la couverture.
3
• Pentes : de 25 à 50 %, le tableau ci-dessous indique
les pentes minimales à respecter.
1
23.12 Tulles à emboitement IDTI40-21et40-241
Ce sont les tuiles les plus utilisées. Il existe une grande variété
de modèles et de dimensions (voir fig.1). La plupart des modè-
les existent en terre cuite et en béton. Le tableau ci-dessous
donne les principales caractéristiques de ce type de tuiles.
Masse unit. Pureau Nb Masse Romane LD Modèle standard Modèle à côte
Modèle
kg mm au m' au m'
1---
Romane LD 3,2 350 13,5 43,2 2 Tuile faîtière
'-Standard 2,8 340 15 42
Àcôte pt. moule 2,2 250 22 48,4
Àcôte gd. moule 3 340 13 39
1
Couvertures en ardoises
Les ardoises de couverture existent en pierre naturelle et en
fibres-ciment. Les modes de pose sont représentés figure 1.
Le pureau à claire voie n'est utilisé que pour les bardages.
Le tableau ci-dessous donne les principales caractéristiques Pose classique Pose losangée
des ardoises. (pureau entier) (modèles carrés)
1
• Calcul du pureau : on appelle pureau la partie visible
de l'ardoise qui correspond à l'écartement de deux liteaux L
successifs (fig. 1).
Le pureau se détermine par la relation suivante :
,---- \----
1--
H-R
P=-- cet
2 I
1
-
20 - - - - - -
22,5 - - - - - -
25 153 153 - - - -
27,5 145 147 - - - -
30 134 142 - - - -
32,5 124 136 153 153 - -
35 116 131 146 146 - -
37,5 110 127 137 137 - -
1re approche
40 106 123 129 129 153 153
45 97 115 115 115 135 143 Arêtière
50 90 109 106 106 122 134
Arêtier
55 86 103 99 99 112 127
60 82 99 93 93 104 121 Noquet de noue
3
70 76 92 86 86 95 110
80 72 86 81 81 89 103
90 69 81 77 77 84 98
100 67 78 74 74 81 93
120 64 73 70 70 76 87
140 62 70 68 68 74 83
170 60 67 66 66 71 80
200 59 65 64 64 69 77
250 57 63 63 63 68 75
300 57 62 62 62 68 74
375 55 61 62 62 67 73
>375 55 61 61 65
1
~ Couvertures en bardeaux
lDTU40·141 1000
20à25
26à30
120
120
-
120
-
120 120
- 1
31 à35 80 100 100 120
36à40 50 70 70 70
Doubli
>40 50 50 50 50
1
Couvertures en plaques
nervurées 1oru 40-351 Vis autotaraudeuse
Ce sont des éléments en acier de grande longueur essen- avec rondelle d'étanchéité
tiellement utilisés pour les bâtiments industriels et commer-
ciaux. Ils peuvent être prélaqués dans différentes couleurs
et existent en trois grands types de produits :
0
23.41 Bacs classiques de couverture CXl
·<Il
(fig. 1J 0
<')
Ch~èm§?j
• En été, pour lutter contre l'effet de four en évacuant
à l'extérieur l'air chaud accumulé par la couverture.
• En hiver, pour permettre l'évacuation de la vapeur d'eau Tuile chatière
migrant au travers du plancher ou de la toiture. (S = 80 cm2) (S = 85 cm2)
• Sous climat de montagne, pour éviter les barrages
de glace en équilibrant les températures sur toute la surface 2
de la toiture.
Il
ltanchéité multicouches 23. 621 Taltures en maçonnerie
PENTES<5% DTU43·1
23.61 les produits
Système INDÉPENDANT
On utilise essentiellement deux types de produits. t-
Support maçonnerie Support isolant
23. 611 Les bitumes armés Écran VV Écran VV
36 S VV-HR 36 SVV-HR
• Trois types en fonction de la masse d'un rouleau : Terrasse
EAC EAC
type 30, type 40, type 50. non
40TV 40TV
accessible
• Trois sortes d'armatures : EAC EAC
toile de jute (TJ), tissu de verre (TV), voile de verre 0JV). 36S VV-HR 36S PY-VV
Masse: 10 kg/m' Masse: 10 kg/m'
23.612 Les feutres bitumés Écran VV Écran VV
• Quatre types en fonction de la masse d'un rouleau : EAC EAC
type 18S, type 27S, type 36S, type 45S. 40TV 40TV
• Trois sortes d'armatures : Terrasse EAC EAC
carton feutre (CF), voile de verre 0JV), polyester (PY). accessible 40TV 40TV
EAC EAC
NOTA: 36S PY-VV 36S PY-VV
HR indique un produit de haute résistance, Masse : 13,5 kg/m 2 Masse: 13,5 kg/m'
Th indique une autoprotection par feuille métallique, Système ADHÉRENT
Gm indique une autoprotection par granulés minéraux. -
Support maçonnerie 1 Support isolant
EXEMPLES: EAC EAC
• 36 SVV-HR : désigne un feutre bitumé 36S armé par voile 40TV 40TV
Terrasse
de verre et de haute résistance. non
EAC EAC
• 40 TV-Th: désigne un bitume armé de type 40, armé par accessible 40TV 40TV
1
23.622 Toitures on bois
Relief avec protection en dur
PENTES :;; S%
Système INDÉPENDANT (protection lourde)
~·
Support bois Panneaux isolants
Entre 2 sans-fil Écran VV
Terrasse 36SVV-HR 36S VV-HR
non EAC EAC
accessible 40TV 40TV
EAC EAC
36 SVV-HR 36S PY-VV
Système ADHÉRENT
~-
EAC EAC
40TV 40TV
Terrasse
EAC EAC
non
40TV 40TV
accessible
EAC EAC
36S PY-VV 36 S PY-VV
PENTES > 5%
Système SEMI·INDÉPENDANT
Support bois ou panneaux
40 TV ou TV-VV cloué
Terrasse EAC
non 40TV
accessible EAC
40 TV- VV Gm ou 40 TV Th
Système ADHÉRENT
t-
Support bois ou panneaux
Terrasse EAC
non 40TV
accessible EAC
40 TV-VV Gm ou 40 TV Th
1
ft li ~vacuation des eaux
plUViales lE.P.J Gouttière 1/2 ronde
L'évacuation des E.P. est assurée au moyen de deux dispo-
sitifs (voir fig. 1) :
• Les gouttières et les chéneaux qui collectent les eaux Moignon cylindrique
en bas de pente. (ou naissance)
Désignation
Épaisseur Développement Surface
(mm) (mm) (cm')
'-
16 0,65 160 20
25 0,65 e10,80 250 57 Dauphin en fonte ou PVC
33 0,65 et 0,80 330 113
40 0,80 4{)0 174
/
• Gouttières nantaises {fig. 3), il n'en existe pas en
Regard E.P.
PVC, letableau ci-dessous en précise les caractéristiques.
Épaisseur Développement
·-
Surface
Désignation
(mm) (mm) (cm')
f--
33 l 0,65 et 0,80 1 330 1
- 45
40 1 0,80 1 400 1 - 70
4 3
Bande d'égout
1
SECTIONS DES GOUTTIÈRES EN cm' DTU 60-11
Surface Pentes en mm/m Remarque:
1 ' 1
m' 1 2 3 1 5 7 10 15 20 Il convient de majorer les valeurs du tableau '
40 105 80 70 60 55 50 40 35 fonctkln de la forme de la gouttière.
50 120 95 85 70 65 55 50 45
60 140 110 95 80 70 60 55 50
70 155 120 105 90 80 70 60 55
60 170 135 115 95 85 75 85 60
90 185 145 125 100 95 85 70 65
100 200 155 135 115 100 90 80 70 0% 10%
110
120
1311
140
215
230
240
255
170
180
190
200
145
155
165
170
120
130
135
145
110
115
120
130
95
100
105
115
85
90
95
100
75
80
85
90
u LJ
150 285 210 180 150 135 120 105 95
160
170
180
280
290
305
220
230
240
190
200
205
160
165
170
140
145
150
125
130
135
110
115
120
100
100
105
0 ':::)
200 330 255 220 185 165 145 125 115
DIAMÈTRES DES CHUTES D'EAUX PLUVIALES DTU 60-11
160 ,.,~
,
150 l/ v
140 1---
d ;;;. 60mm
v
v ~
v
<ol. / v
130
120 ~
v ./
v
~v /
lY
110
Ë
..
.§.
.s 100
v ~
~
v MOIGNON CONIQUE 1--
....
:::0
..c
v ~
v
~
~ ~ l/
vv
90 1--
!E
...
ië ]/
v
80 1--
!?' 17
~
v vv D ;;;. 2d H =1,5 d
70
v
v v vv
60 /
1 1 TT T 1 î f TT 1 1 1 1 1
25 30 40 50 60 70 80 90 100 150 200 250 30(
Surface en plan de la toitura (m2) ~
1-- - • -.--- ·- '
Courbe Moignon Type de toiture
Cylindrique Sans étanchéité (tuiles, ardoises, bardeaux, plaques métalliques).
A ou conique Avec étanchéité, inaccessible, sur support maçonnerie.
Conique Avec étanchéité, accessible, sur support maçonnerie.
B Cylindrique Avec étanchéité, sur support bois ou métal- Balcons, loggias.
1
CARTE DES ZONES DE COUVERTURES
CJ Zonel
CJ Zonell
D Zonelll
Lignes à 20 et 40 km
de la mer
Lignes approximatives
niveaux 200 et 500 rn
Bastia
1
les assemblages
3
24.21 Assemblages soudés IP. 1341
Ils sont réalisés en atelier et destinés aux liaisons perma-
nentes. Sont systématiquement soudés :
• Les organes de liaisons (goussets, platines).
• Les profils reconstitués, les aboutages de profilés. Poteau
Croix de St-André
Boulons 0 24 crossés
Platine en
plat de 15 Barre d'ancrage 0 32
Équerre de fixation
2 6
1
RÉSISTANCE DU BARDAGE VERTICAL 1-060 X 25 (kN/m~
2,00
Pression 0,95 1,06 1,25 1,42 1,22 - - -
Dépression 0,95 1,09 1,28 1,45 1,06 - - -
2,25
Pression 0,66 0,76 0,89 1,01 0,97 1,67 - -
Dépression 0,70 0,81 0,95 1,08 0,81 1,06 - -
Pression 0,48 0,57 0,67 0,76 0,78 1,21 1,42 1,62
2,50
Dépression 0,53 0,63 0,73 0,84 0,69 0,91 1,06 1,21
Pression - 0,43 0,50 0,57 0,64 0,88 1,03 1,17
2,75
Dépression - 0,47 0,55 0,63 0,59 0,74 0,87 0,99
3,00
Pression - - - 0,44 0,54 0,66 0,77 0,87
Dépression - - - 0,54 0,51 0,62 0,73 0,83
3,25
Pression - - - - 0,48 0,49 0,57 0,65
Dépression - - - - - 0,52 0,62 0,70
RÉSISTANCE DU PLATEAU 450 X 72 (kN/m~
5,50
Pression - 0,51 0,57 0,72 0,80 0,94 1,06 1,33
Dépression - 0,39 0,44 0,55 0,60 0,70 0,80 0,99
6,00
Pression - - - 0,57 0,65 0,76 0,87 1,08
Dépression - - - 0,45 0,49 0,58 0,66 0,83
RÉSISTANCE DES PANNEAUX SANDWICH (kN/m~
2,50
Pression 1,08 1,13 1,17 - - 1,20 - - - -
Dépression 0,90 1,11 1,32 - - - 1,06 1,18 - -
3,00
Pression 0,77 0,83 0,89 - - 0,89 1,03 1,16 - -
Dépression 0,69 0,80 0,92 - - 0,83 0,84 0,92 - -
3,50
Pression 0,60 0,67 0,74 1,10 - 0,88 0,79 0,90 - -
Dépression 0,56 0,64 0,72 1,04 - 0,64 0,67 0,72 - -
4,00
Pression 0,40 0,50 0,60 0,87 1,15 0,53 0,63 0,74 1,14 -
Dépression 0,36 0,46 0,55 0,81 1,08 0,50 0,56 0,62 1,11 -
Pression - - 0,45 0,71 0,98 0,43 0,55 0,63 0,92 1,22
4,50
Dépression - - 0,41 0,65 0,90 0,40 0,47 0,54 0,87 1,20
5,00
Pression - - - 0,61 0,90 - 0,41 0,55 0,78 1,02
Dépression - - - 0,53 0,76 - - 0,46 0,74 1,02
D'après documentation ARVAL.
1
24.4 tes dessins
24.41 Dessins d'ensemble
• Ils définissent les vues en plan des planchers et des
toitures, l'élévation des files de portiques et les longs pans.
• Seules les cotes principales d'ensemble telles que
les portées des portiques, l'espacement des files de po-
teaux, les hauteurs et les pentes des toitures, les niveaux
principaux ainsi que les désignations des profilés sont
indiqués.
• Les échelles utilisées sont: 1/50, 1/100.
0 Rond LJ En U
~ Carré T En T
= Plat 1---l En H
L Cornière 1 En 1
1
24.46 Représentation des soudures 1
(NF EN 22553-ISO 2553) Symbole de la soudure Longueur du cordon
1r 1t
2
le symbole est placé au-dessus de la ligne ; il est placé
au-dessous dans le cas contraire (fig. 2).
• Le tableau ci-dessous indique les représentations
des principaux types de soudures utilisés en construction
métallique.
Représentation simplifiée Symbolisation Représentation simplifiée Symbolisation
en
..,""e
E:J r Ql ~ k
en
'E
0
((((((((((((((((
""
..o:c Q>
"5>
c:::
"'
'b
r-
..,
w
f-
>
c ((((((((((((((((
E:J r i' Q ~t ~ ~·
1 E:J r 1 [j r
>-
..,> c:::
Q>
~
~ (((((((((((((((( :::>
"C
(((((((((((((((
c :::>
w 0
en
~~~~ :
(H = Hexagonale) Diamètre
• La figure ci-contre montre la représentation symbolique
et la désignation simplifiée des boulons.
• Le tableau ci-dessous donne les principales caracté-
ristiques des boulons ordinaires (boulons HR, voir p. 142). Côté Face
Boulon H M 12-80
lF
1
0 Longueurs L K 5 Section Épaisseur max. des tôles
::.:: l ! l (mm) (mm) (mm) (mm) (mm ') et profilés à assembler
- -r--
..J
-- ~
8
10
12
40-45-50-55-60-65-70-80
45-50-55-60-65-70-80-90-100
55-60-65-70-80-90-100-110-120
5,3
6,4
7,5
13
16
18
36,6
58
84,3
2
3
4
r--
14 60-65-70-80-90-100-110-120-130-140 8,8 21 115 5
16 65-70-80-90-100-110-120-130-140-150-160 10 24 157 6
18 80-90-100-110-120-130-140-150-160-180 11,5 27 192 7
·E$- 20
24
30
80-90-100-110-120-130-140-150-160-180-200
100-110-120-130-140-150-160-180-200-220-240
120-130-140-150-160-180-200-220-240-260-280
12,5
15
18,7
30
36
46
245
353
561
8
> 14
> 14
1
- 0
C\1
~
I
0 UAP 130
0
'<t 1
L{)
0
0
C\1
C\1 ~l'
~ ,
1
,,
' 15640
flrQ"l]
40
Détail du chéneau Joint des arbalétriers
Tôle de 1 mm
T35 x 35 x 3,5
T 35 X 35 X 3,5
35 x 35 x 3,5
35 x 35 x 3,5
IPE 160
Boulons 0 12
• FERME EN TREILLIS
Joint des entraits
5.1?5 3.175 2.100 ):IEA.20ll
~ I IPF ??0. IPE 400
. r- · t- ·
i '-
1'\ 1-lFR ?00
/T
1
1 i
1; "'"':::E 0
0 "'"':::E 1 i
IPF d50 / C\i
' Cl.. 9; [l._
1 1 :J ~ -'
L :J 1 1
lt i--C1 7?n
-- .
HEB 400 s nnn
-- 1-- · ·- - -
1.300
-4
~; ? 100
1
1
2"n
1 1 1
~
0
i' 1
i
1
0
co
«i
l 1 al
1
0
1 co
~
0
0
,.._ §i ,.._ .
:::E
[l._ ...t ~ ,
~1
1 :J -
[l._ ,
1
1 1
1 1
f- ·- 4
~
- - -- -- -·- __
HEB.SOO
)__ , _ ,_ 1--- - --
i j.A
--· ir+- ---- - -- '--- - ~
0
0
0
~
1 ~ 1--A t» 1
(]) 1 1
w
J:
1 1
l
'
1 ~
0
,.._
0 ~\
w
'C'
...t
1
(/)
ü ~
::J
9: 1
Cl 0
i ~
ID a. 0
1 li; 0 0
~ . :;:E
.s:::
() "'
cQ)
'<t
w
1
0
co
"' 1
I Cl..
I :J
c
os
ii
.!!!. 9: -
1
«i
1
1 1 i 1:-::~
IPF 400
. - ~
1 i 1
1
'
ro
0
1 0 1
r
1
1
1 ~1 1
~ 1 HEA2QQ 1 l
r:J 1
.
HEB 500
- .
'\_ '
-- _ __._ _ --
li
- --
IPE450 /'
.
+ 6.850
HEB 200
A-A 8 -8 C-C
1
b 1
Poutrelles 1PN f 1
IPN80à500 ~~~
1
Y.r.
- - -1i -- u Y
1 tw
: 1
.-~ i ~
NF A 45-209 b i
Les notations entre parenthèses correspondent aux anciennes désignations. 4
-
i IPN 400 400 155 14,4 21,6 14,4 322,9 94,4 117,7 1,330 14,39 29 210 1 460,0 15,70 1714,0 61,69 1160,00 149,00 3,13 253,0 -
1 IPN 450 1 450 170 16,2 24,3 16,2 363,6 115,3 146,9 1,460 12,87 45850 2040,0 17,70 2400,0 77,79 1730,00 203,00 3,43 345,0 -
_ IPN500 ~ 500 185 18,0 27,0 18,0 404,3 140,8 179,4 1,630 11,56 68740 2750,0 19,60 3240,0 95,60 2460,00 268,00 3,72 456,0 -
- Poutrelles
IPN 80 à 600
1PE
l 7
~~ ! ~
b
1
y .J::
t--- - - ~-~ __ __Y
1 tw
1! ..::-
r--li
NFA45-205 1
z
Les notations entre parenthèses correspondent aux anciennes désignations.
Poutrelles HEA 1 1
<../ 1
HEA 100 à 600
1
1
..c
y ___y_ ""0
1
tw
....
NF A45-201 1
A~
Dimensions Masse Aire de Surface Caractéristiques de calcul
par mètre la section de 1 w w,., w w,,,
h
(hl
mm
b
(b)
mm
t.
(a)
mm
t,
(e)
mm
r
(r)
mm
d
(h ,)
mm
p
kg/m
A
cm '
peinture
m' lm m' ft
.
(l ' )
cm•
(1/~:)
cm'
i
cm
.
(i')
cm'
A,.
cm '
1,
(1)
cm•
(1/v)
cm•
i
(i:)
cm cm' cm '
1
1
HEA 100 96 100 5,0 8,0 12 56 16,7 21 ,2 0,561 33,68 349,2 72,8 4,06 83,0 7,6 133,8 26,8 2,51 41,1 16,9
HEA120 114 120 5,0 8,0 12 74 19,9 25,3 0,677 34,06 606,2 106,3 4,89 119,5 8,5 230,9 38,5 3,02 58,9 20,1
HEA140 133 140 5,5 8,5 12 92 24,7 31,4 0,794 32,21 1033,1 155,4 5,73 173,5 10,1 389,3 55,6 3,52 84,8 24,8
HEA160 152 160 6,0 9 15 104 33,4 38,8 0,906 29,78 1 673,0 220,1 6,57 245,1 13,2 615,5 76,9 3,98 117,6 30,1
HEA160 171 180 6,0 9,5 15 122 35,5 45,3 1,024 28,83 2510,3 293,6 7,45 324,9 14,5 924,6 102,7 4,52 156,5 35,5
HEA200 190 200 6,5 10 18 134 42,3 53,8 1,136 26,89 3 692,2 368,6 8,28 429,5 18,1 1335,6 133,6 4,98 203,8 41 ,6
HEA220 210 220 7,0 11 18 152 50,5 64,5 1,255 24,85 5 409,7 515,2 9,17 568,5 20,7 1954,5 177,7 5,51 270,6 50,2
HEA240 230 240 7,5 12 21 164 60,3 76,8 1,369 22,70 7 783,2 675,1 10,05 744,6 25,2 2 768,9 230,7 6,00 351,7 59,7
HEA260 250 260 7,5 12,5 24 177 68,2 86,8 1,484 21 ,77 10455 836,4 10,97 919,8 28,8 3 868,2 282,6 6,50 430,2 67,4
HEA280 270 280 8,0 13 24 196 76,4 97,3 1,603 20,99 13673 1012,8 11,86 1112,2 31,7 4 783,0 340,2 7,00 518,1 75,4
HEA300 290 300 8,5 14 27 208 88,3 112,5 1,717 19,43 18 263 1 259,6 12,74 1383,3 37,3 6310,5 420,7 7,49 641 ,2 87,0
HEA320 310 300 9,0 15,5 27 225 96,6 124,4 1,756 17,98 22 928 1 479,3 13,58 1 628,1 41 ,1 6 985,8 485,7 7,49 709,7 96,2
' HEA340 330 300 9,5 16,5 27 243 104,8 133,5 1,795 17,13 27 693 1 678,4 14,40 1 850,5 45,0 7 436,3 495,8 7,46 755,9 102,5
HEA360 350 300 10,0 17,5 27 261 112,1 142,8 1,834 16,36 33090 1 890,8 15,22 2 088,5 49,0 7 886,8 525,8 7,43 802,3 108,7
• HEA400 , 390 300 11,0 19 27 298 124,8 159,0 1,912 15,32 45069 2 311 ,3 16,84 2561 ,8 57,3 8563,1 570,9 7,34 872,9 118,2
HEA450 1 440 300 11 ,5 21 27 344 139,8 178,0 2,011 14,39 63 722 2 896,4 18,92 3215,9 65,8 9 484,2 630,9 7,29 965,1 130,4
HEA 500 ' 490 300 12,0 23 27 390 155,1 197,5 2,110 13,60 86 975 3 550,0 20,98 3 948,9 74,7 10 365,6 691 ,0 7,24 1058,5 142,7
• HEA 550 1 540 300 12,5 24 27 438 166,2 211 ,8 2,209 13,29 111932 4145,6 22,99 4621,8 83,7 10 817,2 721 ,1 7,15 1106,9 148,6
-
HEA600 1
590 300 13,0 25 27 486 177,8 226,5 2,308 12,98 141208 4 786,7 24,97 5 350,4 93,2 11269,1 751 ,3 7,05 1155,7 155,2
- Poutrelles
HEA 100 à 600
HEB l
<.../ 1
b _l
JJ
1
1
y
.c --- - _'!._ "'0
1 tw
~
1
j_
NF A45-201
z
Les notations entre parenthèses correspondent aux anciennes désignations.
UPN 80 à 300 ~
1
UPN 80 à 300 'Y 1
1 UAP 80 80 45 5,0 8,0 8,0 48 8,38 10,67 0,323 38,56 107,13 26,78 3,17 31 ,87 4,51 21 ,33 7,38 1,41 13,70 7,20
UAP 100' 100 50 5,5 8,5 8,5 66 10,50 13,38 0,382 36,35 209,5 41,90 3,96 49,59 6,07 32,83 9,95 1,57 18,54 8,50
UAP 130 130 55 6,0 9,5 9,5 92 13,74 17,50 0,460 33,48 459,56 70,70 5,12 83,51 8,52 51,34 13,78 1,71 25,64 10,45
UAP 150 150 85 7,0 10,3 10,3 109 17,93 22,85 0,537 29,96 796,06 106,14 5,90 125,27 11,28 93,25 20,97 2,02 38,91 13,33
UAP 175 175 70 7,5 10,8 10,8 132 21,24 27,06 0,606 28,52 1 270,0 145,14 6,85 171,47 13,97 126,36 25,92 2,16 47,62 15,05
200 75 8,0 11,5 11,5 154 25,10 31,98 0,674 26,86 1 945,9 194,59 7,80 230,12 16,97 169,69 32,13 2,30 58,49 17,25
1 UAP 200
UAP220 220 80 8,0 12,5 12,5 170 28,47 36,27 0,733 25,75 2 709,9 246,36 8,64 269,90 18,83 222,31 39,68 2,48 72,78 20,0
UAP250 250 85 9,0 13,5 13,5 196 34,38 43,80 0,810 23,57 4136,4 330,91 9,72 391,76 23,89 295,44 48,87 2,60 87,94 22,95
- U~300 300 100 9,5 16,0 16,0 236 45,97 58,58 0,967 21,04 8170,2 544,68 11,81 639,31 30,64 582,07 79,68 3,10 146,23 32,00
- r--
k e
b
BOULONSHR
Détail A
Diamètre Longueur Longueur de la partie filetée Tète de la vis Embase Section Effort de
Classe de la vis du noyau précontrainte
de d e b ' b Hauteur Surplat Diamètre int. de Surangle
qualité de 10 en 10 e"' 120mm 1
e;. 120mm k s la lace d'appui d. 8 min A, Pv = 0,8.u,b.A,
mm mm 1 mm mm mm mm mm' kN
'
12 50 à 120 30 - 8 19 15,2 20,88 84,3 43,162
14 50 à 200 34 40 9 22 17,2 23,91 115 58,880
16 60 à 200 38 44 10 24 20 26,17 157 80,834
18 60 à 200 42 48 12 27 22 29,56 192 98,304
8.8 20 70 à 200 46 52 13 30 26 32,95 245 125,440
22 70 à 200 50 56 14 32 28 35,03 303 155,136
24 80 à 200 54 60 15 38 30 39,55 353 180,736
27 80 à 200 60 66 17 41 33 45,20 459 235,008
30 90 à 200 66 72 19 48 36 50,85 561 287,232
'
27 80 à 200 60 66 17 46 33 50,85 459 330,480
\ 30 90 à 200 66 E_ .... . . . . ..
19 ..
50 36 55,37 561
-- - -
403,920
Symboles Usinages Caractéristiques ~
2,6 à 5 Grossier
rab
oy- Rabotage
(pas d'usinage)
2,5 à 0,9 Courant
25.11 Dessins de définition 0,3 à 0,8 Soigné
Ils sont constitués par des vues, des coupes et des sections
qui doivent permettre de définir : 1,----pon Ponçage
(taille des grains)
240 à 380
145 à 240
90à 110
Gros
Moyen
Fin
• Les formes générales de l'ouvrage.
• Les différents assemblages et liaisons.
• Les dimensions d'ensemble ainsi que les sections de bois
(voir table de chevet page 145).
Traits forts Traits fins
25.14 Hachures
Outre les hachures normalisées définies au chapitre 6, on uti-
lise fréquemment les représentations figurant dans le tableau 1
ci-contre.
\j Traits fins
25.15 svmboles d'ouverture
Des fenêtres voir p. 56, des portes voir p. 59. HACHURES NON NORMAUSÉES
Les ouvrages 1 1 1 1 1 1 1
Panneaux lattés
• Assemblages: p. 144.
• Dimensions des fenêtres : p. 55. Panneaux contreplaqués
1 1
• Fenêtres en bois: p. 147 et 148.
• Fenêtre PVC : p. 150. Panneaux des particules
1 1 1 1 1 1 1
• Panneau de façade en bois: p. 149.
ASSEMBLAGE DES
ICJ
Tourillons Entaille à mi-bois Faux tenon
ASSEMBLAGE D'ÉLARGISSEMENT
LIAISONS D'ANGLES
1
Vue de Face Vue de Gauche
Il Il
=
:
Il Il
..__ ..__ ~ .....
Vue de Dessus
~~· .. Il
0
lO
(")
Af
~
•• 500
Ill
TABLE DE CHEVET
1
306 Façade tiroir Pin 376 72 14
Q)
:0 305 Arrière tiroir Pin 376 72 14
E
Q)
(/)
c 304 Fond tiroir C.P. 360 322 4
Q)
1
(/)
:::J 303 2 Côtés tiroir Pin 340 72 14
0
en
302 2 Glissière PVC 290 10 7
rab
0,5
r- -- -----1 r--------1
1 1 1 1
1 1 1 1
ô "'tl
ô
tl
1'- 0
30 ± 0,1 C\J 30 ± 0,1
TABLE DE CHEVET
1
B-B
w
....1
~
z
:lË
0
4 z
a:
::)
w
1-
::)
~
:x:
5
NOMENCLATURE
1 Traverse dormante 7 Montant dormant
2 Tapée pour persiennes 8 Montant de rive
3 Traverse haute 9 Mouton
4 Petit bois 10 Côte
5 Jet d'eau 11 Embrevé
6 Pièce d'appui
A-A
LARGEUR NOMINALE
CROISÉE À RECOUVREMENT
1 2
Montant dormant
Battement
NOMENCLATURE
1 Pareclose
2 Chambre de décompression
3 Joint d 'étanchéité
4 Mastic préformé
5 Feuillure drainante
6 Évacuation des eaux
Coupe verticale
1
~
---·- , ----
!
1
Bl
-
l-"
- -·---l ·,,
- -
r'. 1
1
' ' -
1
'
1 '
'
-
-! --
L__ lB
'
A..
10 Tapée pour volet roulant
9 Ossature en bois du Nord traité
8 Joint d'étanchéité
7 Isolation par mousse de polyuréthane
6 Parement ext. en tôle d'alu. émaillée
5 Parement intérieur en " Glasal " gris
4 Châssis basculant en sipo
3 Bandeau en " Glasal " gris
2 Isolation par polystyrène expansé
A-A
1 Habil. du coffre en c. plaqués CTB X 10 mm
NOMENCLATURE
B-B
0
O.
8
0 0 -_ .. 0 .
0 0 ()
Q 0
0 .o
PANNEAU DE FAÇADE
1
Montant dormant
Battement
Coupe verticale
FENÊTRE EN PVC
1
,26 Plomberie
Trois grandes parties dans une installation sanitaire :
• l'alimentation en eau froide.
• la production et la distribution d'eau chaude.
• l'évacuation des eaux usées.
l'alimentation en eau
trolde
26.11 Alimentation des bâtiments
L'eau doit être servie entre 0,2 et 3 bars. Au-dessous de
0,2-bar, on devra prévoir des pompes ou des surpresseurs.
Au-dessus de 3 bars, on installera des réducteurs de pres-
sion afin d'éviter les bruits et l'usure prématurée de l'ins-
tallation.
Afin de limiter les bruits, la vitesse de l'eau dans les canali-
sations doit être comprise entre 1 et 2 m/s.
La figure 1 montre les principaux éléments de l'alimentation
en eau d'un bâtiment d'habitation.
• La ceinture d'alimentation : c'est un tuyau d'al-
lure horizontale généralement situé en sous-sol sur lequel
sont branchées les prises des différents services (colon-
1 Réseau urbain 7 Ceinture d'alimentation
nes montantes vers les étages, alimentation de production
2 Vanne d'isolement (sur le domaine public} 8 Robinet d'arrêt partiel
d'eau chaude sanitaire (ECS), l'alimentation de l'installation
de chauffage ... ).
3 Compteur général 9 Colonne montante
4 Robinet d'arrêt général 10 Robinet d'arrêt partiel
Nature : acier galvanisé. 5 Robinet de vidange 11 Compteur divisionnaire
• Les colonnes montantes : elles vont desservir les 6 Réducteur de pression 12 Anti-bélier
différents niveaux. Elles sont implantées dans des gaines
techniques pour les bâtiments collectifs et souvent dans les 2
Robinet d'arrêt Colonne montante
placards pour les maisons individuelles.
Nature : acier galvanisé ou cuivre.
• La ceinture d'étage : elle alimente les différents appa-
reils de l'étage. La canalisation peut être encastrée dans le
plancher, ou, passer en apparent en plinthe ou en plafond.
Nature : acier, cuivre, PER (polyéthylène réticulé).
• Les accessoires : ce sont tous les éléments qui vont
assurer le bon fonctionnement et la bonne conservation
de l'installation, tels que compteurs, robinet d'arrêt ou de 3 Nourrice
vidange, réducteurs de pression, surpresseurs, dispositifs
anti-bélier ...
26.12 Alimentation des appareils
Deux méthodes sont utilisées pour alimenter les appareils :
• L'alimentation en série (fig. 2), économique en tuyau.
• L'alimentation en parallèle (fig. 3), qui nécessite plus
de canalisations, mais offre un isolement centralisé.
1
-.ID Débit de base des appareils on so-11
Désignation O..,decalcur
Diamètres
de l'appareil intérieurs min
Eau froide Eau des
ou eau chaude canalisations
mélangée (Vs) d'alimentation**
(Vs) (mm)
1
W.-C. avec robinet de chasse 1,50 Au moins le diamètre du robinet
Lave-mains 0,10 10
• Lorsque la production d'eau chaude est individuelle, ces débits servent de base au calcul des diamètres des canalisations d'eau froide à usage collectif et des canalisations
intérieures jusqu'au piquage alimentant l'appareil de production d'eau chaude.
" Ces diamètres tiennent compte des conditions d'utilisation des divers appareils sanitaires.
1
flt!l Diamètre minimal 26.32 Installations collectives
d'alimentation des appareils Tous les appareils n'étant pas ouverts en même temps on cal·
cule le diamètre des canalisations en tenant compte du débit
26.31 Installations Individuelles probable qui ne représente qu'une fraction du débit cumulé. On
Un coefficient est affecté à chaque appareil, ce qui permet de convient que les robinets de chasse ayant une faible durée de
lire sur le diagramme le diamètre minimal d'alimentation. fonctionnement sont comptés pour :
Appareils Coefficients Robinets installés
W.·C. avec réservoir de chasse, lave-mains, Robinets comptés
urinoirs, siphon de sol 0,5
Bidet, W.·C. à usage collectif, machine à laver le
linge ou la vaisselle 1 EXEMPLES:
Lavabo 1,5 Soit à déterminer le débit probable d'une installation de
Douche, poste d'eau 2
40 appareils débitant î 2 1/s. On lit sur le diagramme le
Évier, timbre d'office 2,5
Baignoire < =150 1 3 coefficient de simultanéité : o. î 3.
> 1501 3+0,1 par Le débit probable est de : î 2 x 0, î 3 = î ,56 1/s.
tranche de 10 1
Pour obtenir le diamètre d'alimentation, on peut utiliser l'abaque de
EXEMPLES:
Dari ès.
Soit à déterminer le diamètre minimal d'alimentation en eau
d'une villa comportant les appareils ci-après : Coef. de simultanéité (puisage et vidange)
..__ Appareils Nb Coef.
W.·C. 2 1 15v
Lavabo 2 3
Baignoire s 150 1 1 3
14u
Bidet 1 1
13u
Lave-linge 1 1
Lave-vaisselle 1 1 120
Poste d'eau 2 4
TOTAL 10 14 110
On lit sur l'abaque ci-dessous que le diamètre doit être ~ à 100
20mm.
.!!!.
90
0 int. minimal en fonction du nb d'appareils -~
"'c.
c. 80
"'
=o
20 ~ 70
......
,.,... ..,.
..0
...... ~ E
18
i\
0
:z 60
v~
E
E
c:
16
v "'
50
\
...::>
Q)
Q)
14
v 40 \
~ 12
.!:
lSl 10
v 30 \.
20 ~
8
10
2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15
0
Somme des coefficients 0,1 0,2 0,3 0,4
NOTA : Si la somme des coefficients dépasse î 5, on considère
l'installation comme collective. i Coefficient de simultanéité
1
26.4 lvacuation des eaux
26.41 Collecteurs d'appareils
0 min des vidanges (pente ;. 0,01) 0 min des collecteurs (pente ;. 0,01)
L
Évier, poste d'eau,
30
T \7 -
30
'l:'- T-
1 1
r
33 30
\[
Baignoire + lavabo ou bidet
33 Si L.;; 1 m 1 ou lave-linge
~
1
T ~-
2 vidanges
séparées
38 Si L> 1 m
T~
1
~
supérieur
à celui de
25 Si L < 1 m \-j l'appareille
plus important
1°1 -
33
T'v \ _,J 2 vidanges
séparées
A~y~;pho:;= ! 60 sur1 m
l_
1m
Chasse directe
L 71 Si L > 1 m B 33
NOTA:
Ventilation
Chute
Vidange
Collecteur rincipal
Collecteur
Égout
2 3
1
26.43 Collecteurs principaux 26.432 Débit probable
Ils reçoivent les eaux recueillies par !es descentes Le calcul du débit des collecteurs principaux tient compte
et les renvoient au réseau d'égouts. la probabilité des simultanéités de vidange déjà vues au pa1
graphe 26.32.
EXEMPLE:
26.431 Débit de base des vidanges En reprenant l'exemple précédent, on lit sur le diagramn
Chaque appareil a un débit de base établi par le tableau pour 29 appareils, un coefficient de 0, 15.
ci-dessous. Le débit probable est donc de : 27,4 x 0,15 = 4,11 1/s.
Débits en Ils
Diamètre
intérieur Pentes
mm
- 69
0,01
0,96
0,02
1,36
0,03
1,67
l 0,04
1,93
0,05
2,15
-
- . -
-
77
84
1,31
1,66
1,85
2,35
2,26
2,88
J 2,61
3,32
2,92
3,71
-
94 2,26 3,20 3,92 4,53 5,06
-
104 2,99 4,23 5,18 5,98 6,69
- -
119 4,33 6,12 7,50 8,66 9,68
~ 1
DÉBITS DES TUYAUX PLEINS AUX 7/10 RÉSEAU UNITAIRE DTU 60-1 1
Débits en 1/s
Diamètre
intérieur Pentes
mm --
0,01 0,02 0,03 0,04 0,05
94 3,85 5,44
- 6,66 7,69 8,60
1
Symboles utilisés pour les dessins
CANALISATIONS
En avant
du plan de coupe
En avant du
----- Par soudure
t
r
plan de coupe -++-++- Par emboîture
'-
et en comble
~
Croisement
sans mélange
Par manchon E3
Croisement
avec mélange
Raccord union EE
1
Support à
libre dilatation /" Bouchon mâle [-i
~ ~
Support
Bouchon femelle
à point fixe
Canalisation
d'alimentation
.... Réduction ~
1
Canalisation
de retour
..... Coude
t
____. 1 1
Sens pente Té
+
~
1
Symboles pour robinetterie
1
Désignation A soupape Avanne A tournant droit A papillon
1
Symbole généraux
~ -{:H::}- -o- -0-
Commande à main
--t*:J--- -W- -6- --0-,
Commande à distance ---[>(:}- --®--- -0- ---0---
Commande électrique
par moteur
--&- -cm- -0- --0-
Commande par fluide
~ ---ufb-- --6-- ---0-
--&1- -0-- -0--
Commande par vérin
Désignation
*
~ ~ ~ ~
Symbole Désignation Symbole
1
Robinet d'équerre
4---- Robinet d'équilibrage
droit --txJ- '
~
Robinet à tournant Robinet de puisage
d'équerre fixe f c
Robinet à tournant
trois voies (deux lumières)
-<p- Robinet de puisage
orientable ~
fc
EP ~
Robinet à tournant
Robinet mélangeur
trois voies (trois lumières)
1
Dessins de plomberie
SCHÉMA PERSPECTIF D'INSTALLATION
Chauffe-eau 1
Lavabo
Collets battus + écrous
prisonniers de 15
Thermotuoe
encastré
Collier double
Baignoire
Collets battu$
+ écrous prisonniers de 15
.....
1
""" .....
1
"""
Robinet d'arrêt ge 15
Té 16-14-16
Té 16-12-16
16-1
Robinet d'arrêt de 12
1
- PLAN D'INSTALLATION D'UNE CELLULE
A A A A
J>
r--- 1----
vers compteur
,____ 1
1
,--- 1
1 .,
1 1 Chauffe-bain
1
1 1 8,7kW
1 1 ~
c- 1
1
1
1 r. :-1
1
1
1
l
1
c'~ 2-1
1 loo--'- 1
-t 1
14-1 ~- 14-1
. 1 1
14-1 1
~-=fi-~
t; -
42-1
,-----
~1
Culotte 0 100
à 67° 30'
1
-
r='- Il 1~ CoioH• 0 100
à 67° 30'
~;;.,_,!,...L-......!--l..l---==
-A
v
JI 1 lJ LU
Fonte 0 100
~- · -- - -
36-1
Chute 0 100
42-1
•
TUYAUX EN ACIER
1 Masse
1
0 Section . 1 0 ' · . 1 Section 1 Masse
Série Ancienne extérieur 1 · .
Epaisseur 1
intérieure métrique Série 1 Ancaen~ extérieur 1 EpaiSSeUr intérieure métrique
appellation mm , mm 1 cm' kglm appellation
1 mm mm 1 cm' kglm
r----
8-13 13,5 2 0,709 0,567 8-13 13,5 2,3 0,62 0,65
~
...
C>
26-34 33,7 2,9 6,11 2,20 ...
.;,
<
26-34 33,7 3,2 5,85 2,44
.....
...<
.;, 33-42 42,4 2,9 10,52 2,82 z
~
33-42 42,4 3,2 10,18 3,14
40-49 48,3 2,9 14,19 3,25 :::> 40-49 48,3 3,2 13,79 3,61
..... "C
z :::>
0
50-60 60,3 3,2 22,82 4,51 50-60 60,3 3,6 22,14 5,10
....~ "'"'c
...,
C>
"'"'
..... 66-76 76,1 3,2 38,15 5,75 66-76 76,1 3,6 37,28 6,51
Q)
c
80-90 88,9 3,2 53,46 6,76 c 80-90 88,9 4,0 51,40 8,47
Q)
>-
0
102-114 114,3 3,6 89,95 9,63 ::E 102-114 114,3 4,5 87,10 12,10
127-140 139,7 4,5 134,57 15,00 127-140 139,7 4,5 133,80 15,00
-...
~
~
Q)
C>
33,7
42,4
4,0
4,0
5,19
9,29
2,93
3,75
cQ)
>-
0
::E
355,6
406,4
8,0
8,8
907,92
1188,47
68,30
85,90
...
.;,
< 48,3 4,0 12,76 4,37
..... ..!
z.,
60,3 4,5 20,67 6,19
t::
0
..... 76,1 4,5 35,36 7,95
1 -
TUYAUX EN FONTE
0 Masse Longueur 0 Masse Longueur
Série nominal Épaisseur métrique de Série Épaisseur
nominal métrique de
mm mm kglm vente en m mm kglm vente en m
mm
60 6,8 10,7 3,00 60 6,8 11,7 4,00 et6,00
..... "'
0
0 100 7,5 18,6 3,00 "'
....cO
100 7,5 25,0 5et6,00
"'
....cO 125 7,9 24,2 4,00 < 125
..... 7,9 26,0 6,00
< z
.....
z 150 8,3 30,1 4,00
-G>
150 8,3 31,0 6,00
.,"' E
"".,
::1
250 10,0 59,3 2,00 ë ., 250 10,0 63,0 6,00
CT .,E
~ 300 10,8 76,5 5,00 et 6,00 ~
300 10,8 81,0 6,00
·=;;. 0
.
..c
u .,
E
...,
><
'l'
350
400
11,7
12,5
96,3
116,9
5,00 et 6,00
6,00
.
><
350
400
11,7
12,5
102,0
125,0
6,00
6,00
'l'
500 14,2 165,2 6,00 500 14,2 176,0 6,00
«>
0
co
100 6,1 15,9 6,00
........
1.0
150 8,3 32,0 6,00
cO
~ 125 6,2 19,8 6,00 .... 175 8,8 39,3 6,00
< <
..... .....
z 150 6,3 24,0 6,00 z 200 9,2 46,8 6,00
-G> -G>
E :;
200 6,4 32,4 6,00 250 10,0 63,2 6,00
-
0
-~ <>
E c
-0
<>
c::
250 6,8 42,5 6,00 :§.
ë.,
300 10,8 81 ,5 6,00
-.,.,
:§.
c::
E
300
350
7,2
7,7
54,0
67,0
6,00
6,00
~
E
.c
CD
0
350
400
11 ,7
12,5
102,5
124,7
6,00
6,00
...,.,
~ E
0
.c
.,
E
400 8,1 80,0 6,00
. 500 14,2 176,2 6,00
.
...,
.;,
500 9,0 112,0 6,00
6
a:
<
Q
600 15,8 234,7 6,00
CJ
600 9,9 146,0 6,00 et 7,00 z 700 17,5 302,7 6,00
>< ~
'l' 700 10,8 186,0 6,00 et 7,00 '? BOO 19,2 379,6 6,00et7,00
BOO 11,7 230,0 6,00 et 7,00 900 20,8 462,2 6,00 et 7,00
900 12,6 280,0 6,00 et 7,00 1-000 22,5 555,3 6,00 et 7,00
' 1
TUYAUX EN CUIVRE NF A 68-204
0 Épaisseurs en mm
extérieur
mm 0,8 1,0 1,2 1,6 2,0 2,5 3,0 4,0
0,321 0,126
8
0,161 0,196 0,286 0,336
14 :Ë
<:
0,363 0,555 0,671 0,803 0,923 0
13
1,62 1,45 0,950 0,785 "'
en
16
0,419 0,644 0,782 0,944 1,090
:::0:
90 3,2 89,50 1,239 "'~
Q..
40 4,5 39,29 0,713
UJ
o; 100 3,2 99,50 1,382 50 5,6 49,12 1,109
~ 110 3,2 109,50 1,525 63 7,1 61,89 1,771
63 2 62,69 0,544
:!
c: 140 10,3 138,38 5,960
0
·;;;
75 2 74,69 0,651 "'
~
Q..
160 11,8 158,15 7,a02
0::
ui 80 2 79,69 0,696 200 13 197,96 10,846
TUYAUX EN BÉTON
L.. 1
TUYAUX EN ZINC
0 Épaisseur
Masse 0 Section Épaisseur
Masse
intérieur Section métrique intérieur métrique
mm cm2 mm kg/m mm cm 2 mm kg/m
40 12,56 0,60 0,625 120 113,09 0,80 2,025
60 28,27 0,60 0,875 140 153,93 0,80 2,600
75 44,17 0,65 1,180 160 201,06 0,80 3,005
80 50,26 0,65 1,255 180 154,46 0,80 3,350
100 78,53 0,70 1,570 200 314,15 0,80 3,725
TUYAUX EN FIBRES-CIMENT
0 Masse 0 Masse
Série Section Épaisseur métrique
1
intérieur Section Épaisseur métriqu
intérieur Série
cm2 mm kg/m mm cm 2 mm kg/m
mm
125 122,71 10 10 40 12,56 6 1,8
150 176,71 12 14,4 50 19,63 7 2,7
200 314,15 14 22,8 60 28,27 7 3,2
c:: 250 490,87 15 30,0 80 50,26 7 4,1
0
(;;
"'~ 300 706 17 40,0 100 78,53 7,5 5,4
11.
400 1256 23 70,0 125 122,71 8 7,1 -
1963 29 105,0 :a> 150 176,71
500 1: 8 8,4
2827 34 150,0 ~
., 175 240,52 8 9,8
600
c::
0
700 3848 40 196,0 .E.. 200 314,15 9 12,6
ë.,
125 122,71 8 7 E 250 490,87 11 19,1
150 176,71 8 8,5
....""
a:l 300 706 11,5 24,1
200 314,15 9 12,5 350 962 12 28,0
ë., 250 490,87 11 19 400 1256 13 34,8
.,
E
300 706 13 27,5 450 1590 14 43,1
"'"'
'ë
·;;; 400 1256 16 44,5 500 1963 15 50,2 -
<"'
"' 500 1963 20 69,5 600 2827 16 64,2
600 2827 24 99,5 700 3848 18 74,3
700 3848 28 135,5 800 5026 20 107,2
800 5026 32 177,5
1 -
1
21 Chauffage
ce chapitre traite des installations de chauffage à eau
chaude avec émission par radiateurs et planchers
chauffants.
2
7 12
15 14 13
1
~ La production de chaleur
27.21 les chaudières murales
• Utilisées pour les installations individuelles elles sont
généralement placées dans le logement.
• Elles sont alimentées au gaz de ville ou au propane. Départ
chauffage
• Elles incorporent le circulateur et le vase d'expansion
et assurent la production d'eau sanitaire (ECS).
• Les puissances varient de 10 à 40 kW. Sortie des
fumées
27.22 les chaudières de sollfiu.11
• Pour les installations individuelles et collectives.
Retour
• Elles sont placées en chaufferie et peuvent être alimen- chauffage
tées au bois, au charbon, au fioul et au gaz.
• Elles peuvent ou non assurer la production ECS.
• Les puissances varient de 16 à 2500 kW.
~ La distribution
Les caractéristiques du réseau sont les suivantes-:
• Temp. de l'eau en sortie de chaudière : 50 à 90 oc.
• Pression dans le réseau : 0,2 à 0,4 MPa (2 à 4 bars).
• Chute de temp. entre l'aller et le retour: 10 à 20 oc.
• Débit dans le réseau : 0,15 à 2 litres par seconde. 2
Ces caractéristiques sont assurées par-:
Le circulateur
Placé sur le circuit "aller", il assure le débit nécessaire dans Avant remplissage )
les canalisations.
La purge d'air
C'est un dispositif automatique qui permet d'évacuer l'air Enveloppe métallique
lors du remplissage de l'installation.
Le vase d'expansion (fig. 2)
C'est un récipient comportant une membrane maintenue
sous pression par de l'azote. Il est placé sur le circuit 1 En service )
"retour" et assure 2 fonctions :
• Contenir l'augmentation du volume d'eau lors de son
Membrane
élévation de température.
• Maintenir dans le réseau la pression nécessaire à une
bonne irrigation de tous les radiateurs.
Les canalisations 3
• Le tube acier (p.164) pour les grosses installations.
• Le tube cuivre (p.166) installations individuelles. lflU nnn1 Robinet thermostatique Purge
• Le P.E.R. (Polyéthylène Réticulé) pour tous types d'ins- llllUUU . - .... • '---- ~
~~~~~~~~~~ ~-~
tallations (p .168).
1
la régulation La figure 1 montre l'organisation d'un système de régulation
sur une installation de chauffage.
L'objectif de la régulation est de procurer un confort maximum
pour un coût minimum en énergie. Pour ce faire, une régulation Les figures 2 et 3 ci-dessous et figure 1 page suivante illustrent
doit pouvoir : différentes options de régulation allant du plus simple au plus
• mesurer les températures (sondes extérieure, intérieure, sophistiqué (plus de points de mesures, plus d'organes à piloter).
réseau ... ) ; • Les robinets thermostatiques ne sont pas pilotés par
• traiter ces informations (tableau de régulation) ; larégulation, mais par l'utilisateur.
• piloter les organes de l'installation (chaudière, vannes • Ne pas installer de robinet thermostatique dans la pièce
mélangeuses, circulateurs). où se trouve le thermostat d'ambiance.
T = Sonde de température
TH = Thermostat
2 3
Mesures :Températures extérieure, chaudière et ECS. Mesures : Températures extérieure, intérieure, chaudière et ECS.
Pilotage : Brûleur. Pilotage : Vanne mélangeuse.
NOTA : La température chaudière est variable. NOTA : La température chaudière est constante.
1
Mesures : Températures extérieure, intérieure, chaudière, ECS, réseaux radiateurs et plancher chauffant.
Pilotage : Brûleur, vannes mélangeuses et circulateurs.
NOTA : La températurechaudière est variable.
1
svmboles pour dessins utilisés par la profession et l'Éducation Nationale.
Les symboles ci-dessous sont donc un choix (voire un com-
et schémas promis) en attendant qu'une nouvelle norme réglemente le
Bien qu'il existe une norme pour les symboles hydrauliques secteur.
(NF E 04-202, 203 ... ), une grande diversité de modèles sont Pour canalisations et robinetterie voir p. 159 et 160.
Chaudière
symbole général [1_ Echangeur
de chauffage
€J Radiateur
CJ
Chaudière combustible
solide ou gazeux
m Préparateur d'ECS
(ballon)
e Convecteur
Cl
Ventile-convecteur
~ Préparateur d'ECS
électrique CD Ventile-convecteur
CJ
ACCESSOIRES POUR FLUIDES
- T 1
- Appareils 1
Symboles Appareils
- Symboles Appareils Symboles
~
---G}-
Pompe
(ou ci rculateu~
--@---
Purgeur d'air Filtre
-<>-
Vase d'expansion
ouvert
B Bouteille de purge
Q Entonnoir
d'évacuation y
Vase d'expansion
à membrane
8 Anti-bélier
(Anti coup de liquide)
-8- Crépine
A
Vanne 3 voies
T Soupape de sûreté
1 Évent
r
Vanne 4 voies
Clapet anti-retour
+
-kJ--
Surpresseur
Réducteur de pressio~
-[><J-
----
---t><J-
Point de mesure
Action de réglage
cp
qJ
---- (détendeur)
----
1
-
~
,.
il
~llelln·il
C\111
ISHI
Chaudière
murale
GLM 218
au gaz
4JHI!'Œj4~
~
c;:; ~
.sùnmur
LÉGENDE
Canalisation en plinthe
------ Canalisation en vide sanitaire
- Nb.
0 42,4
t ',:.- ..
~... 28 Installations 1
2
Appareils
Circuits électriques
électriques 3
4
-
Mise à la terre
Tableau de répartition
Ce chapitre traite uniquement des installations électriques 5 Disjoncteur de branchement
des bâtiments d'habitation. Il s'appuie sur la norme 6 Compteur + relais de télécommande (horloge)
NF C15-1 00 de décembre 2002 et sur les recommandations 7 Coffret coupe-circuit (logette) + relais de téléreport
PROMOTELEC. 8 Réseau public
2
Disjoncteur de branchement
différentiel 500 mA (type S)
c:
0
""~ Dispositif Dispositif
c. différentiel 30 mA • différentiel 30 mA •
~
<Il
'0
al
<Il
:ë 20A
~ Disjoncteurs
divisionnaires
1,5
~
c<Il "'
<Il
'<il
Ol .!!2
~
'(ii
"'~
<Il ll
ü
~ ·ê -(1)
1
1
1 lquipement minimal On notera que les circuits sont spécialisés par fonction.
La figure 2 page 178 donne un exemple de cette séparation
Pièces Foyers 1 Prises 1 Circuits spécialisés
ou lumineux 16 A des fonctions pour un logement compris entre 35 et 100m2.
Prises 1 Prises
fonction fiXes simples 16A 32A
Séjour 1' 5" 28.33 Protection contre les surintensités
Chambres 1' 3
Cuisine 1' 6 1
Chaque circuit est protégé des surintensités (surcharges et
Salle d'eau 1' 1 courts-circuits) par un dispositif bipolaire (phase + neutre) qui
Entrée, dégagement 1 1 peut être :
wc 1
• un disjoncteur divisionnaire (généralement de type C).
Cellier, cave 1 1
Lave linge, lave • un coupe-circuit à cartouche fusible.
vaisselle, sèche linge, 3"'
tour, congélateur Le calibrage .maximal des dispositifs de protection est donné
·Doit être placé en plafond avec boUe et dispositif d'accrochage de luminaire. dans le tableau du paragraphe 28-32.
"Au minimumun socle par tranche de 4 m'.
"' En prévoir une à proximité de l'arrivée d'eau du lave-vaisselle. NOTA:
L'emploi d'un disjoncteur divisionnaire est préférable à celui
les circuits d'une cartouche fusible car il permet un repérage aisé en cas
28.31 Définition d'incident.
• Un circuit électrique est composé d'un ou plusieurs appa-
reils reliés par des conducteurs. Il est protégé des surintensités
par le même disjoncteur ou le même fusible.
fi:li 1 Protection des personnes
La protection des personnes vis-à-vis d'une installation
• Un circuit monophasé comporte 2 co-nducteurs actifs : électrique repose sur deux principes :
• un conducteur de phase (Ph) de couleur noir ou bleu, • l'impossibilité de toucher des parties sous tension par
• un conducteur neutre (N) de couleur bleu clair, l'utilisation et la mise en oeuvre de matériels adaptés .
• un conducteur de protection (Terre) bicolore vert et jaune. • la coupure automatique de l'alimentation en cas de défaut
• Tous les conducteurs d'un même circuit doivent avoir la d'isolement d'un matériel.
même section. Ces deux principes sont mis en œuvre dans les installations
• Un conducteur neutre ne peut être commun à plusieurs à l'aide de deux types de dispositifs :
circuits. • l'un passif : la mise à la terre.
28.32 Nombre et sections • l'autre actif: la protection différentielle.
Le tableau ci-dessous indique le nombre et les caractéristiques
utiles des circuits à prévoir dans un logement. 28.41 Protection diHérentielle
r Nb. Maxi 1 Section mini Calibrage du dispositif La norme NF C 15-1 00 de décembre 2002 fait obligation de
. . de points 1 des 1 de protection (A) protéger par des dispositifs différentiels à haute sensibilité
Nature du Circuit d'utirlsation 1conducteurs 1
1
par circuit · (mm') 1 Fusible Disjoncteur (DRHS) de 30 mA l'ensemble de l'installation électrique.
Eclairage• et prises
8 1,5 10 16 • Le tableau ci-dessous indique le nombre et la nature des
commandées
Volets roulants Selon nombre 1,5 10 16 dispositifs différentiels à installer en fonction de la surface du
Y.M.C. 1 1,5 2 logement.
Asservissement
twifaire, fils pilotes, 1circun 1,5 2 NB DE DISPOSfTIFS DIFFÉRENTIELS PAR LOGEMENT
gestionnaire d'énergie par fonction 1
etc .... Surface habitable Nb, type et calibrage des dispositifs
Prises de courant 16A 5 1,5 16 S,;; 35m' 1 type AC (ou A) de 25A 1type A de 40A'
8 2,5 16 20
35m 2 <S"' 100m2 2 type AC (ou A) de 40A 1 type Ade 40A'
Prises spécialisées
16A (lave-linge, lave- 1circun S > 100m2 3 type AC (ou A) de 40A" 1 type Ade 40A'
2,5 16 20
vaisselle, sèche-linge, par appareil
four, co~gélateur .. .Ï • Les disjoncteurs de type Asont réservés aux circuits cuisson et lave-linge
Chauffe eau électrique " Un des dispositifs doit être remplacé par un 63A s'il existe un chauffage électrique de
àaccumulation 1 2,5 16 20
puissance supérieure à 8 kVA.
Cuisinière,
plaque de cuisson 1 6 32 32 • La figure 2 page 176 donne un exemple de regroupement
,,
Dans les logements ,;; 35 m'. le nombre de corcuots ne do1t pas etre 1nfeneur a 2. des circuits sur chacun des dispositifs différentiels.
1
28.42 Mise à la terre
1 La mise à la terre permet l'évacuation vers le sol des cou-
rants provenant de défauts dans l'isolation des appareils,
évitant ainsi les accidents.
La figure 1 et le tableau ci-dessous définissent le principe
d'une mise à la terre.
Canalisation d'ea1
1 Conducteurs de protection des circuits
2 Tableau de répartition
3 Répartiteur de terre
Conducteur principal de protection
1 4 Section égale à la section du branchement,
sans dépasser 16 mm 2 (pour du cuivre).
Borne principale de terre
Permet un serrage indépendant des différents
5 conducteurs. La barrette verticale permet
la mesure de la résistance. 7 )--t-+---+
Liaison équipotentielle principale
Elle limite les DDP pouvant apparaître en cas
de défaut entre les différents éléments
~ /'
6
conducteurs du bâtiment. Elle relie la borne
principale de terre à toutes les canalisations
métalliques du bâtiment. Section =La moitié de
! ~ cb
la section du conducteur principal de protection,
(avec S compris entre 6 et 25 mm2).
2
Conducteur de terre
7 Section =16 mm2 pour du cuivre isolé
et de 25 mm2 pour du cuivre non isolé. Conducteur unique
1
les matériels · le deuxième chiffre indique le degré de protection contre la
pénétration de l'eau (de 0 à 8).
28.71 Classas d'Isolation IIIF c2o-oao1 · la lettre (de Aà D) indique la protection des personnes.
• IK caractérise la protection des matériels aux chocs mécani-
Classe logo Caractéristiques
f-- Matériel ne • qu'une isolation ques (de 00 à 10).
ClasseO principale. Ce type de matériel est
interdit par la norme NF C 15-100. Locaux Symbole de protection
Matériel avec une isolation principale ou Indice IP contre l'eau CodeiK
Classe 1 _j_ 1 1
-- et un dispositif de raccordement à la terre. emplacements 1
1
1 Appareil Luminaire
Matériel avec une double isolation ~
la pénétration des corps solides et l'accès aux parties Salle d'eau Voir ci-dessous 02
dangereuses (de 0 à 6). (') protection & & si susceptible d'être arrosé au jet
'" "'C\Î
c
Classe 1+ 30mA 1
Appareils de chauffage
Classe Il + 30mA
r-
'-- 1 0 ( 0.60m 2.40m
1r
1
Classe 1+ 30mA Volu me
Éclairage r--
®
1
Classe Il + 30mA
Chauffe-eau (tous types) Classe 1+ 30mA J 1 '/
Interrupteur 30mA
r--
Prises2P+T
Prise rasoir (20 à SOYA)
30mA
Transfo. de séparation r r--
0
'
Volume3 21 ou x1B
Volume2 23oux3B
Volume 1 24oux4B
NOTA : ces dispositions s'appliquent uniquement aux salles-d'eau comportant
Volume 0 27 ou x7B une baignoire ou un bac à douche.
1
SYMBOLES POUR SCHÉMAS ARCHITECTURAUX NF C 03-211
Appareils 1 Symboles 1
Appareils 1 Symboles
Interdépendance
entre deux appareils -------- Interrupteur
Symbole général cf
'
Socle de prise Interrupteur à
de courant bipolaire
-( lampe témoin
Lampe, symbole
général (voir aussi p. 183)
® Bouton poussoir @
Projecteur
Symbole général @9 Bouton poussoir
lumineux ®
l
Luminaire fluorescent
Symbole général 1 1 Boite de dérivation
0 1
Télérupteur
1--.rl Compteur
Symbole général
D
Minuterie
ŒJ Chauffe-eau
QIID
~
Appareil de chauffage
Gâche électrique 1 1 1 1 1
Symbole général
Interphone portier
G Cuisinière électrique
u•
Sirène
4t Climatiseur
~
Sonnerie
l? Réfrigérateur
0
Horloge
e) Appareil électroménager
non défini
8
-
SYMBOLES POUR SCHÉMAS UNIFILAIRES
Deux conducteurs
Il
Il Borne connexion
de conducteurs • ou 0
Canalisation triphasée
1
T conducteurs avec
connexion électrique t
avec neutre et
conducteur de protection
11/-l;z:. Dérivation
T ouT
Conducteur en
faisceau flexible _1\J\- Contact glissant
•
Terre
Masse
_L
--
-
~ ou ..L
Lampe d'éclairage
Symbole général
IN =
FL =
0
Incandescence
Fluorescence
(deux variantes) Indications complémentaires Ne = Néon
pour les lampes, à porter Hg = Mercure
Na = Vapeur de sodium
Interrupteur à côté du symbole 1 = Iode
Symbole général -~ ARC= Arc
IR = Infrarouge
Ballast ou autres
Contacteur
~ auxiliaires de lampe
à décharge ~
Discontacteur
~
Appareil d'éclairage
de sécurité sur
circuit spécial x
~
Bloc autonome
Disjoncteur ~~ d'éclairage de
sécurité
Coupe circuit
Sectionneur
~ à fusible
Résistance lorsque l'on ne
-~
Bouton poussoir
Ll.J
désire pas préciser qu'elle
est ni inductive ni capacitive --cJ-
Fiche de prise de
courant (mâle)
ou ~
Potentiomètre
--c;=r-
Socle de prise de
courant (femelle)
--(ou <
Relais de mesure
ou dispositif apparenté
(symbole général) 0-
Appareil indicateur
Fiche et prise
associées ~ symbole général
(ici voltmètre)
Appareil enregistreur
8
Connecteur
mâle-mâle ---(-}-- symbole général
(ici ampèremètre) []
Connecteur
mâle-femelle ---<-<-- Transformateur
de tension --(])--
1
le schéma d'implantation
lou architecturall
28.91 Définition
C'est une représentation, faite sur un plan, des différents
appareils à installer dans une construction. Le schéma
d'implantation sert à indiquer l'emplacement approximatif
des différents appareils et de leurs organes de commande.
Ce type de shéma est en principe exécuté par l'architecte
suivant les indications du clients.
28.92 Représentation
• Les fils sont représentés par un trait interrompu dont
le tracé sur le dessin ne correspond pas nécessairement
à la position réelle des conducteurs.
• Les appareils sont représentés suivant les indications
des pages précédentes.
• Les sorties d'appareils sont repérées par une croix et les
puissances à installer peuvent être indiquées sur le dessin.
• Les prises sont également repérées.
Séjour
x--' -- ----x
\
''
y
~ ~X Déb.
Garage ~
x Cuisine
1
1
1 :r
:r
x 1
:r
x :r
y :r
\
fi :r
x
\ 1
\
\
\
Cellier
'cf
1
Le schéma unifilaire
28.101 Définition
C'est une représentation simplifiée où un trait unique
représente l'ensemble des conducteurs d'une même
canalisation.
28.102 Représentation
La représentation se fait toujours en vue de dessus.
Les canalisations horizontales sont représentées le long des
murs et peuvent être dégagées pour permettre une meilleure
compréhension du dessin.
Les canalisations verticales sont rabattues à 90° vers
l'intérieur de la pièce.
Les conducteurs sont repérés par une barre à 45° coupant
la canalisation.
Le neutre est repéré par une barre à 45° terminée par un
point qui coupe la canalisation.
1
29 Dimensions
des logements
~ Surface des logements
Dans les cas où l'État apporte une aide financière à la construc-
tion, il est imposé des surfaces minimales en fonction du
nombre de pièces. 60 "' 100
29.22 Cuisinas
• Elles doivent comporter un évier et un emplacement pour
les appareils de cuisson (fig. 1).
• Le volume minimal sera de 8 m3 s'il est prévu des Al
appareil à gaz.
• La cuisine ne peut communiquer directement avec un WC.
29.24 w.c.
• La surface minimale imposée par les H.L.M. est de 1 m2.
• Le W.C. doit être indépendant pour les logements à partir
du type Ill.
• La figure 3 indique les dimensions minimales souhaitables 3
en fonction des sens d'ouverture des portes.
1
,..,no..'.- Surfaces de rangement
• Elles font partie de la surface habitable et ne sont
obligatoires que pour les H.L.M.
• La surface minimale doit correspondre à 4 %de celle
du logement si celui-ci est collectif et à 3 %s'il s'agit d'une 8 ~ 280
tD
maison individuelle. Al
• La hauteur des volumes de rangement doit être supé-
rieure à 1,80 m.
Séchoir
11 doit être prévu pour les H.L.M. un local ventilé à usage de
Caves
Les H.L.M. imposent une surface> 4m 2. Cette surface peut
être ramenée à 3 m2 si l'immeuble comprend des locaux
communs pour voitures d'enfants, vélos, etc.
0 ~ Circulation
0
Celliers ..: 1
Garages
Pour les maisons individuelles, les H.L.M. demandent un
garage et une remise permettant de loger les véhicules
à deux roues et les instruments de jardinage. La figure 1
donne les dimensions minimales souhaitables pour les 4 0
U')
1,5
~
'
1
1,4
~
1,3
~
\.
\.
.,
0
1,2
"'
't:
:::1 \
.,
(/)
1' 1
\.
-.,
'0
' -........
c::
0
.,
iE 1,0
0 ...........
-
0
0,9
~ "'-
..............
........ ~
0,8
1 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55 60
Surface de l'élément en m2
1
1
30.14 loi de dégression des charges
Elle s'applique au calcul des descentes de charges
des bâtiments d'habitation et d'hébergement. L'abaque
ci-dessous permet de déterminer le coefficient que l'on peut n 00 r
appliquer aux charges de chaque plancher.
01
Cette réduction n'est pas cumulable avec la réduc-
tion de surface définie au§ 30.13. 02
REMARQUES: Q6
• Si des locaux industriels ou commerciaux occupent - ~
- -
certains niveaux, ces derniers ne sont pas comptés dans ~
- - - -
1,0
1\
0 ,9 1\
1\
~
<::
...,~
0,8 \
"C
<::
0
1\
a.
-"'"'
"C
<:: 0,7
r\ ......_
~~
0
lE
0
"'
0
........
~""-- ....... .......
0,6
0,5
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22
Nombre d'étages
1
30.15 Valeurs des charges d'exploitation IIF-r o&-oo1
1
BÂTIMENTS ÀUSAGE D'HABITATION
Charges Charges
Nature des locaux R-M Nature des locaux 1 R-M
kN/m' kN/m2 1
.
1
Valeurs des charges propres
Couvertures en kN/m' Bétons pour forme de pente
par cm d'épaisseur
Zinc y compris voligeage et tasseaux 0,25
• Béton de gravillons maigres 0,18
Aluminium 8/10 (plaques ondulées) 0,03
• Béton de pouzzolane 0,12
Aluminium 8/10 y compris voligeage • Béton vermiculite 0,08
et tasseaux 0,17
• Béton cellulaire 0,07
Acier Inox y compris voligeage
et tasseaux 0,25
- Charpentes en kN!m' horizontaux
1
Planchers en BA (suite) • Asphalte 0,22
• Bitume 0,12
Planchers à poutrelles avec
• lsorel mou 0,08
entrevous en polystyrène expansé
• Uège 0,04
• 12+5 1,7
• 16+5 2,0 Chape en mortier de ciment
• 20+5 2,1 par cm d'épaisseur 0,22
• 25+5 2,8
Dalles thermoplastiques 0,06
Planchers préfabriqués à éléments
Moquette 0,05
jointifs de dalles alvéolées
Unoléum par mm d'épaisseur 0,013
• 12 2,5
• 16 2,9 Revêtement des murs en pierre
. 20 3,3 • Autoportant épaisseur 8 cm 2,2
• 24 3,7
• Attaché épaisseur 3 cm 0,8
• Scellé y compris mortier 0,4
Plancher métal6que en kN/m2 i
Plaquettes en terre cuite épaisseur 4 cm 0,8
Plancher métallique 0,6
Murs en kN!nr
2
Revêtements en kN/m Béton banché par cm d'épaisseur 0,22
Plafond en plâtre y compris Béton armé par cm 0,25
lattis en bois 0,42
Béton cellulaire par cm
Enduit en plâtre par cm (densité 0,8) 0,08
d'épaisseur 0,1
Briques pleines
Plafond en briques y compris
• Épaisseur 11 cm 2,35
enduit plâtre 0,3
• Épaisseur 22 cm 4,5
Parquet sapin de 24 mm 0,18 • Épaisseur 34 cm 6,51
Parquet chêne de 24 mm 0,22 • Épaisseur 45 cm 8,5
Parquet sapin sur lambourdes 0,26 Pierres de taille enduites une face
Parquet chêne sur lambourdes 0,3 • Épaisseur 25 cm 6,7
1
CARACTÉRISTIQUES DES BLOCS POUR MURS
1 Dimension Épaisseur Catégorie Charge • Ru•
Nature cm de Masse admissible sans enduits
de
E H L fabrication kg/m' kN/m m2.K/W
résistance
7,5 20 40 5à 5,2 173 40 57,1 0,045
10 20 40 7,5 à 7,7 230 40 85,7 0,06
Blocs pleins 15 20 40 12,5 à 12,7 345 40 0,09
142,8
en
20 20 40 17,5 à 17,7 460 40 200,0 0,12
béton de gravillon
25 · 20 50 22,5 à 22,7 575 40 257,0 0,15
30 20 50 27,5 à 27,7 690 40 314,0 0,18
7,5 20 40 5à5,2 97,5 20 25,0 0,067
10 20 40 7,5 à 7,7 130 20 37,5 0,101
Blocs pleins 15 20 40 12,5 à 12,7 195 20 62,5 0,169
en
20 20 40 17,5 à 17,7 260 20 87,5 0,237
béton de machefer
25 20 40 22,5 à 22,7 325 20 112,5 0,306
30 20 50 27,5 à 27,7 390 20 137,5 0,374
7,5 20 40 5 à 5,2 75 25 32,1 0,087
Blocs pleins 10 20 40 7,5 à 7,7 100 25 48,2 0,131
en 15 20 40 12,5 à 12,7 150 25 80,3 0,218
béton de pouzzolane
20 20 40 17,5 à 17,7 200 25 112,5 0,306
ou de
laitier expansé 25 20 50 22,5 à 22,7 250 25 144,6 0,396
30 20 50 27,5 à 27,7 300 25 176,7 0,484
·~
Blocs pleins
10 30 50 10 45 - - 0,50
en 15 30 50 15 65 - - 0,75
béton cellulaire 20 20 50 20 65 - - 1,01
(masse volumique 400 kg/m') 25 20 50 25 107 - - 1,26
assemblés par collage
30 20 50 30 130 - - 1,51
NOTA:
• !:épaisseur Eest celle du mur enduit sur deux faces .
• • Ru • : résistance thermique utile du mur d'après les règles • RT 2000 •.
~ 1
CARACTÉRISTIQUES DES BRIQUES
11 6 22 - 11 200 110,0 1
Briques
pleines
11 11
11
11
6
6
22
22
22
-
-
-
22
34
45
410
610
810
165,0
255,0
337,0
1
5 20 40 2 7,5 55 - 1
7,5 20 40 2 10 105 - 1
10 20 40 2 12,5 115 - (
15 20 40 3 17,5 140 - (
Briques
20 20 40 4 22,5 220 62,5 (
creuses
22,5 20 40 4 25 240 70,3 (
27 , 15 40 5 30 290 65,9 (
~
Briques 22,5 20 40 - 25 250 70,3 0
à rupture
de joint 25 20 40 - 27,5 260 78,1 0
27 20 40 - 30 290 85,9 0
32,5
20
20
30
25
15
17
32,5
35
330
370
140,0
143,0
0,
0,
1
cette nouvelle réglementation a trois objectifs : RT2000
1 1
• Limiter les consommations d'énergie.
• Procurer un confort d'été.
• Assurer des performances thermiques minimales
aux constructions (garde-fous).
Elle s'applique à toutes les constructions neuves rési- r
dentielles ou non, à l'exception des bâtiments dont ÉTÉ
HIVER GMDE-FOUS
la température intérieure est inférieure à 12 oc, les bâtiments
climatisés ou chauffés en raison d'un processus industriel,
les piscines, patinoires, bâtiments d'élevage.
r
les modes d'application Limitation Éviter
Confort
La réglementation propose trois méthodes : des
d'été
les
• Méthode 1 : calcul complet à l'aide d'un logiciel + le consommations points faibles
NOTA: les pages suivantes présentent la méthode 2, limitée plus cette dernière est performante du point de vue de l'isolation
au calcul de Ubât et la méthode 3. thermique.
• Il s'exprime en W/m 2 Ket se calcule selon la formule :
Calcul de Ubât
est le coefficient moyen de déperdition par transmis- ~
~
Ubât
sion à .travers les parois et les baies du bâtiment (il re-
présente le flux thermique par m2 de paroi de l'enveloppe ~ est la surface intérieure totale (en m2) des parois qui séparent
du bâtiment pour 1 oK de différence de température entre l'espace chauffé de l'extérieur, du sol et des locaux non chauffés.
lelocal chauffé et l'extérieur). Hr (en W/K) est le coefficient de déperdition par transmission à
• Le coefficient Ubât caractérise la performance éner- travers les parois opaques et vitrées. Il représente le flux thermique
gétique globale de l'enveloppe du bâtiment : plus le pour 1 oK de différence de température entre le local chauffé et
flux moyen à travers les parois de l'enveloppe est faible 1'extérieur.
31.31 c lcul de T
Hr est déterminé par la formule suivante :
1 HT = H0 + (H 5 + H55 ) +Hu
H0 représente les déperditions à travers les parois (opaques ou
vitrées) donnant directement vers l'extérieur.
H5 représente les déperditions à travers les parois en contact
direct avec le sol (dallage).
H55 représente les déperditions à travers les parois donnant sur
un vide sanitaire ou un sous-sol non chauffé.
Hu représente les déperditions à travers les parois donnant sur NC = Non Chauffé
des locaux non chauffés et des combles.
31.32 Calcul d 0
H55 = [l(A 55 x U) + l(f x 1)1)] x b
1 H0 = l(A 0 x U) + l(f x ljl) 1
A5 (m 2)
est l'àire intérieure de la paroi en contact avec lE
A0 (m 2) est l'aire de l'ensemble des parois donnant sur extérieur (dallage sur terre-plein).
l'extérieur. ~est l'aire intérieure de la paroi en contact avec un sous-~
U (Wfm2.K) est le coefficient surfacique de transmission thermi- U, eet 1)1 sont des valeurs définies au § 31.32.
que de la paroi. Il représente le flux de chaleur traversant b est un coefficient de réduction de la température qui dé~
une paroi de 1 mètre d'épaisseur et de 1 m2 de surface, pour des dispositions de la paroi (voir tableau au-dessous).
une différence de température de 1 oK entre ses deux faces
(voir page 196). 31.34 Calcul de H
e(m) est le linéaire du pont thermique de la liaison.
1)1 (W/m.K) est le coefficient de transmission linéique de 1 Hu= [l(Au x U.) + (f x 1)1)] x b 1
la liaison (voir pages 200 à 202). Au (m 2) est l'aire intérieure de la paroi du local cha
en contact avec un local non chauffé (comble, garage).
31.33 Calcul de H5 el H55 u. (Wfm2.K) est le coefficient surfacique équivalent de trans1
sion thermique de la paroi (voir tableau ci-dessous).
H5 = l{A 5 x U) + l(f x 1)1)
eet 1)1 sont définis au§ 31.32, b est défini dans le calcul de 1
u,
r+ ~
Locaux non chauffés
Position du
mur isolé 1 1+~ 1
Maisons individuelles
Garage, cellier, véranda
Comble
3
1
U, (W/m 2.K) U,(W/m2.K) - Fortement ventilé 9
Ae/Ai
0,0 0,3 3 9 0,0 0,3 3 9 - Faiblement ventilé 3
< 0,25 0,95 0,95 1,00 1,00 0,80 0,90 0,95 1,00 - Très faiblement ventilé 0,3
--1.-
0,25 à 0,50 0,95 0,95 0,95 1,00 0,65 0,80 0,95 1,00 Logements collectifs
0,51 à 0,75 0,90 0,95 0,95 1,00 0,55 0,70 0,90 0,95 Hall d'entrée 3
0,76 à 1,00 0,85 0,90 0,95 0,95 0,50 0,65 0,90 0,95 Circulations communes
1,01 à 1,25 0,85 0,90 0,90 0,95 0,45 0,60 0,90 0,95 - Sans ouverture directe sur l'extérieur 0,0
1,26â 2,00 0,80 0,80 0,90 0,95 0,35 0,45 0,80 0,95 - Avec ouverture directe sur l'extérieur 0,3
2,01 à2,50 0,75 0,80 0,85 0,90 0,30 0,40 0,80 0,90 - Avec gaine ouverte en permanence 3
2,51 à 3,00 0,70 0,75 0,85 0,90 0,25 0,35 0,75 0,90 Combles
3,01 à 3,50 0,65 0,75 0,80 0,90 0,20 0,35 0,70 0,90 - Fortement ventilé 9
3,51 à 4,00 0,65 0,70 0,80 0,90 0,20 0,30 0,70 0,85 - Faiblement ventilé 3
401 à600 055 060 0,70 085 015 0 25 060 0,80 - Très faiblement ventilé 0,3
1
Calcul de Ubât-rer
Les exigences d'isolation de la RT2000 se traduisent par
un plafonnement de Ubâ, à une valeur de référence appelée ~~
, " A
Ubât·••' qui définit la performance minimale que doit assurer
un bâtiment de mêmes caractéristiques volumétriques que ~ - -§] ~ ~
~ ~ \ U7
le bâtiment étudié. u bâl·rel représente un droit global à déper-
dre maximal ; il est exprimé de la même manière et avec
les mêmes surfaces et linéaires que Ubâ,. ~ ~~ ~ ~ IIJ
@-
_ l(Ai x Ure1) +l(L x \jl re1) 1
Ubat-ret- lA -§] ~
~
1
Garde-fous
Ils définissent les valeurs de U et de ~ qui ne peuvent en NOTA : les planchers bas sur terre-plein doivent être isolés par un
aucun cas être dépassées pour un projet. Ces valeurs sont isolant de résistance thermique minimale de 1,4 m2.K/W, disposé
indiquées dans la dernièrecolonne du tableau ci-dessous. soit sur toute la surface, soit sur 1,50 men périphérie.
Parois A1 H1 et H2 H3 Garde-fou H1 H2 H3
Ut Murs extérieurs ou murs de local non chauffé
0,40 0,47 0,47
Parties verticales des combles aménagés
~
1
Résistance thermique R•. et Rse : résistances superficielles des parements intérie1
et extérieurs de la paroi.
d'une paroi À : conductivité thermique des matériaux homogèn,
U, qui caractérise le flux à travers une paroi de 1 m2, est égal à Il représente le flux de chaleur traversant un matériau
l'inverse de la résistance thermique de cette paroi. 1 mètre d'épaisseur et de 1 m2 de surface pour 1 oKde di1
~
renee de température entre ses 2 faces.
1 u= 1 Unité : W/m.K
Les valeurs des conductivités des principaux matériaux
• La résistance thermique d'une paroi caractérise sa capa- isolants utilisés en construction sont indiqués page 199.
cité à ralentir la dissipation de l'énergie calorifique.
Cette grandeur caractéristique Rs'exprime en m2.KNJ.
T: résistance thermique de chacune des couches homof
nes d'épaisseur • e • (m) et de conductivité thermique • À •.
• La résistance thermique d'une paroi composée de plusieurs Ru : résistance thermique utile des couches constituÉ
couches est égale à la somme des résistances thermiques de de matériaux non homogènes :
chacune de ses couches. • Parpaings, voir pages 191 et 198.
• Briques de terre cuite, voir page 192.
• Planchers, voir page 198.
• Lames d'air, voir tableau ci-dessous.
y•
Ascendant 0,10 0,04 0,14 0,10 0,10 0,20
y•
Ascendant 0,11 0,13 0,15 0,16 0,16 0,16 0,16
1
COEFFICIENT Ug DES VITRAGES VERTICAUX (W/m'.K)
Ug Sans soubassement Avec soubassement Avec ou sans soubassement Avec soubassement Sans soubassement
vllrage U1 de la menuiserie U1 de la menuiserie U1 de la menuiserie À du bois À du bois
1,5 1,8 2,5 1,5 1,8 2,5 3,0 4,0 5,0 0,13 0,18 0,13 0,18
'--
1,4 1,7 1,9 2,1 1,8 1,9 2,2 2,3 2,7 3,0 1,9 2,1 2,0 2,1
~ ~
1,5 1,8 1,9 2,2 1,8 1,9 2,2 2,4 2,7 3,1 2,0 2,1 2,0 2,2
2,5 3,1 2,0 2,2 2,1 2,2
~ 1,9 2,0 2,3 1,9 2,0 2,3 2,8
2,0 2,0 2,3 1,9 2,1 2,4 2,5 2,9 3,2 2,1 2,2 2,1 2,3
- 1,7-
-·
~ .9
1,8 2,0
2,1
2,1
2,2
2,4
2,4
2,0
2,1
2,1
2,2
2,4
2,5
2,6
2,7
2,9
3,0
3,3
3,3
2,2
2,2
2,3
2,4
2,2
2,3
2,4
2,4
2,0 2,1 2,2 2,5 2,1 2,2 2,5 2,7 3,0 3,4 2,3 2,4 2,3 2,4
- 3,4 2,3 2,4 2,3 2,4
2,1 2,2 2,5 2,1 2,2 2,5 2,7 3,0
- 2,1 2,4 2,5 2,3 2,5
2,2 2,2 2,3 2,5 2,2 2,3 2,5 2,8 3,1 3,4
~.
c--3.3 2,3 2,4 2,6 2,2 2,3 2,6 2,8 3,2 3,5 2,4 2,5 2,4 2,6
2,4 2,3 2,4 2,6 2,3 2,4 2,7 2,9 3,2 3,6 2,5 2,6 2,5 2,6
r---
2,5 2,4 2,5 2,7 2,4 2,5 2,7 3,0 3,3 3,6 2,6 2,7 2,5 2,7
r---
2,6 2,5 2,6 2,8 2,4 2,5 2,8 3,0 3,4 3,7 2,6 2,8 2,6 2,7
r---'-
2,7 2,6 2,6 2,9 2,5 2,6 2,8 3,1 3,4 3,8 2,7 2,8 2,7 2,8
r-'-
2,8 2,6 2,7 2,9 2,6 2,7 2,9 3,1 3,5 3,8 2,8 2,9 2,7 2,9
1--'- -
2,9 2,7 2,8 3,0 2,6 2,7 3,0 3,2 3,6 3,9 2,8 3,0 2,8 2,9
1
1 BLOCS CREUX EN BÉTON Ru (m'.KIW)
Profil Ép.(cm) Ru (m'.K/W) Profil Ép.(cm) Ru(m '. K
0,07 20 0,29
10 0,12 25 0,32
15 0,18 0,03
~ 20 0,23 ~ 0,04
~--------~----~----~--~~
PLANCHERS AVEC ENTREVOUS EN BÉTON ET TERRE CUITE Ru (m'.KIW)
--------.
Profil
Entraxe des poutrelles
(mm) 80
----r-0,11--~----~~----~-------F~
120
--=
Hauteur des entrevous (mm)
160 200 250 J
500 à 600 0,13 0,15 0,17 0,20 0,22
Ji 1 1 n 500 à 600
601 à 700
0,22
0,23
0,26
0,27
0,3(
0,31
1
[l( 1 1 )Il, ' 500 à 600
601 à 700
0,28
0,30
0,31
0,33
0,35
0,37
50
2,15
2,40
2,29
2,55
2,37
2,62
2,41
2,7<
Entrevous à languette
40 2,1 9 2,34 2,43 2,5l
>630
50 2,44 2,60 2,69 2,8(
CONDUCTIVITÉ THERMIQUE DES MATÉRIAUX
------------------- J
Masse >. Masse >.
Matériaux volumique W/m .K Matériaux volumique W/m .K
kN/m ' kN/m '
r Béton de granulats lourds 24,00 1,75 Calcaire tendre 18,40 0,95
Bétons caverneux de granulats lourds 2Q,OO 1,40 Calcaire ferme 23,40 1,70
Béton caverneux lourd de laitier
., Marbre 26,00 2,90
18,00 0,70
~
Cl>
Béton de pouzzolane ou laitier 16,00 0,52 ;;:: Grès, meulière 23,40 1,70
"' 1 Béton de ponce naturelle 11,50 0,46 Terre comprimée 19,00 1,05
I,S Béton d'argile expansée 18,00 1,05 Granit, basalte, gneiss 30,00 3,50
i! Béton de perlite ou de vermiculite 8,00 0,31 Feuillus mi-lourds (chêne, fruitiers, hêtre) 7,50 0,18
Béton de perlite ou de verrniculite 6,00 0,24 Résineux mi-lourds (pin) 6,00 0,15
"'
ë5
Ul
Béton cellulaire autoclavé 8,00 0,33 Feuillus légers (peuplier) 4,50 0,18
Béton cellulaire autoclavé 6,00 0,22 Résineux légers (sapin) 4,50 0,13
Panneaux de libres de bois 10,00 0,20
-
Béton de libres de bois 6,50 0,16
Mortier pour enduits et joints 21,00 1,15 Panneaux isolants (isorel mou) 2,50 0,058
!li:"'
Plâtre sans granulats serrés 13,00 0,50 Panneaux asphaltés dans la masse 3,00 0,065
Plâtre courant pour enduit et plaques 10,00 0,35 Il ~c: Panneaux de particules pressés à plat 7,50 0,17
Fibres-ciment en plaques 20,00 0,95 c: Panneaux de libres de lin 6,00 0,12
~
1! Asphalte pur 21,00 0,70 1 Contre-plaqué et latté pin 5,50 0,15
:! Asphalte sablé 21,00 0,70 Contre-plaqué et latté en okoumé ou peuplier 4,50 0,12
()
c 1
JI Feutres et cartons bitumés 11,00 0,23 Panneau de paille comprimée 3,50 0,12
- r---
Laine de roche Mousse rigide de PVC 0,25 à 0,3 0,031
RAI 0,18à0,2 0,047 0,35 à 0,4 - 0,034
RA2 0,25 à 0,3 0,041 Mousse de polyuréthane 0,15à0,3 0,040
RA3 0,35 à 0,8 0,038 référence AD et BD 0,30 à 0,4 0,030
~
RB3 0,60 à 1,0 0,039 référence CD et DD 0,40 à 0,6 0,035
RB4 1,00 à 1,8 0,041 référence ED 0,60 à 0,7 0,040
Polystyrène expansé Laine de verre
Découpé dans des blocs moulés Classe VA VAl 0,07 à 0,0 0,047
en discontinu VA3 0,12 à 0,1 0,039
référence BM 0,10 0,047 ~
., VA5 0,25 à 0,6 0,034
il référence DM 0,15 0,041 ë5
.!!!. Classe VB VBI 0,07 à 0,0 0,051
j référence FM 0,24 0,037 VB3 0,12 à 0,1 0,041
Plaques moules VB5 0,25 à 0,6 0,035
en continu Classe VC VCI 0,07 à 0,0 0,056
référence BC 0,10 0,047 VC3 0,12à0,1 0,044
référence CC 0,13 0,043 VC5 0,25 à 1,3 0,036
référence OC 0,15 0,041 Classe VD VDI 0,07 à 0,0 0,054
référence EC 0,2Q 0,039 VD2 0,09 à 0,1 0,048
référence FC 0,25 0,037 VD3 0,12à0,2 0,043
Polystyrène moulé extrudé 0,28 à 0,4 0,042 Classe VE VEI 0,55 à 0,8 0,037
Liège comprimé 5,00 0,10 Acier 78,00 50,00
l'
Liège expansé aggloméré 1,50 0,043 Aluminium 27,00 230,00
Caoutchouc synthétique 15,00 0,40 .,
)(
::1
' 1:
Cuivre 89,00 380,00
Nylon, rilsan, polyester 14,00 0,2Q .,
:2! Laiton 84,00 120,00
:::E
Altuglass et plexiglass 14,00 0,2Q Zinc 72,00 110,00
Verre 25,00 1,00 Plomb 11,30 35,00
~
1
LIAISON PLANCHER BAS-MUR
Dalle pleine en béton
~1
Plancher à entrevous
~~
(dalle flottante R > 1)
a.
Q)
em
Mur et soubassement béton Mur et soubassement béton Mur et soubassement béton Mur et soubassement bé~
e;;::::::::::::ep 15 20 25 e~ep 15 20 25 e~ep 15 20 25
15 à 30 0,61 0,70 0,79 15 à 30 0,54 0,61 0,67 15 à 30 0,32 0,33 0,33 15 à 30 0,20 0,23
Mur et soubass. maçonnerie Mur et soubass. maçonnerie Mur et soubass. maçonnerie Mur et soubass. maçonnêl
em-------!P 15 20 25 em-------!P 15 20 25 em-------.!.P 15 20 25
L-..:
20::.:à:..:3;;:.0_~o,::::
52:;,!_;;,!
0,:,:
60:....J._o;!;,68
;;:,_._.:2::..
0 3:;0~.1....:0:!..:
: ,4.:..
a' : . . 5 ....~...~o,!51:_!.....:;!.
::. 0,5::.;7-~.........::2;;.
0 .:..
à ;.:
30 0,29 0,30 0,30 20à30 0,18 0,20
Mur maçonnerie soubass. béton Mur maçonnerie soubass, béton Mur maçonnerie soubass. béton Mur maçonnerie soubass. ~
e~ep 15 20 25 e~ep 1 15 20 25 em-------_ep 15 20 25
20 à 30 0,57 0,65 0,73 20 à 30 0,50 0,56 0,62 20 à 30 0,29 0,30 0,31 20à30 0,19 0,22
Dalle pleine en béton Plancher à entrevous Plancher à entrevous PSE Plancher à entrevous
(béton ou terre cu ite) (dalle flottante R > 1)
a.
Q)
~ ~
Mur et soubassement béton Mur et soubassement béton Mur et soubassement béton Mur et soubassement bét(j
d=:::::.::::!P 15 20 25 d=:::::.::::!P 15 20 25 d~ 15 20 25 d -----......:p 15 20
0 à 30 0,71 0,79 0,87 0 à 30 0,68 0,76 0,84 0 à 30 0,66 0,74 0,82 0 à 30 0,51
0,58
Mur et soubass. maçonnerie Mur et soubass. maçonnerie Mur et soubass. maçonnerie Mur et soubass. maçonn!_~
d ~p 15 20 25 d ------...:P 15 20 25 d~p 15 20 25 d--------.._ep 15 20
0 à 30 0,49 0,53 0,57 0 à 30 0,47 0,51 0,55 0 à 30 0,47 0,51 0,55 0 à 30 0,31 0,34
Mur maçonnerie soubass, béton Mur maçonnerie soubass. béton Mur maçonnerie soubass. béton Mur maçonnerie soubass. ~
d=:::::::::::::ep 15 20 25 d=:::::::::::::ep 1 15 20 25 d~ 15 20 25
0 à 30 0,70 0,75 0,80 Oà 30 0,66 0,71 0,75 0 à 30 0,61 0,66 0,70 Oà 30 0,40 0,44
Tous murs, soubassement béton Tous murs, soubassement béton Tous murs, tous soubassements Tous murs, soubassement b
~~ ~ ~ V Rc0,5à1 ~
p ç .- ~~---+- .-- ~;j-,.L-1_
Rc0,5i
~H ~ ~~
a.
Q)
l N N
-"---~ ~
Isolation complète Isolation complète Isolation complète Isolation complète ·1
z~P 15 20 25 z~ d <0 0 à 20 20 à 40 zlèiiir------eP 15 20 25 Oà20 2(
-21à-40 0,61 0,70 0,79 -21à-40 1,05 0,56 0,46 - 21 à - 40 0,21 0,25 0,29 -21à-40 0,80 0,46 1
+ 20à-20 0,54 0,62 0,69 + 20à-20 0,98 0,49 0,38 + 20 à - 20 0,20 0,24 0,28 +20à-20 0,72 0,38 1
+ 21à+40 0,46 0,53 0,59 +21 à+40 0,73 0,45 0,38 + 21 à+ 40 0,18 0,22 0,25 + 21 à + 40 0,60 0,33 1
Isolation Périphérique Isolation périphérique Isolation périphérique 1
Z(èiiir-----ep 15 20 25 z !èiiir----.!1 <0 0 à 20 20 à 40 ziCiiir----d <0 Oà 20 ~
-21à-40 0,61 0,70 0,79 -21à-40 1,10 0,46 0,35 - 21 à - 40 0,21 0,25 0,29 -21à-40 0,87 0,39 (
+ 20à-20 0,57 0,66 0,73 +20à-20 0,94 0,39 0,31 + 20 a · 20 0,20 0,24 0,28 + 20à-20 0,73 0,30 (
+21à t 40 0,46 053 0,69 + 21 à+ 40 0,65 0,34 0,25 + 21 à+ 40 0,18 0,22 0,25 +21à+40 0,55 0,26 (
1
LIAISON PLANCHER INTERMÉDIAIRE-MUR
Dalle pleine en béton Plancher à entrevous Planelle en bout de dalle Plancher léger
(béton ou terre cuite)
~1 ~~ ~1 ~
~
~ ~
c.
Q)
1
ra~ 1 ~
~ ~ ~~ ~
~
em
Mur en béton P.lein Mur en béton plein Mur en béton plein Mur en béton plein
e~P 15 20 25 e~P 15 20 25 e~ 15 20 25 em~ 15 20 25
15 à 20 0,83 0,99 1,14 15 à 20 0,74 0,88 0,99 15à 20 - - - 15à 20 0,10 0,14 0,18
21 à 25 0,80 0,97 1,09 21 à 25 0,72 0,85 0,96 21 à 25 - - - 21 à 25 0,10 0,14 0,18
26 à 30 0,78 0,92 1,05 26 à 30 0,70 0,82 0,93 26à30 - - - 26à 30 0,10 0,14 0,18
Mur en maçonnerie courante Mur en maçonnerie courante Mur en maçonnerie courante Mur en maçonnerie courante
em~P 15 20 25 em~P 15 20 25 em~P 15 20 25 e~P 15 20 25
15 à 20 - - - 15 à 20 - - - 15à 20 - - - 15 à 20 - - -
21 à 25 0,67 0,82 0,96 21 à 25 0,62 0,74 0,88 21 à 25 0,61 0,72 0,83 21 à25 0,10 0,13 0,16
26 à 30 0,83 0,77 0,90 26 à 30 0,59 0,70 0,81 26à30 0,58 0,71 0,80 26à30 0,10 0,13 0,16
Mur en maçonnerie isolante Mur en maçonnerie isolante Mur en maçonnerie isolante Mur en maçonnerie isolante
e~ 15 20 25 em~ 15 20 25 em~ 15 20 25 em~ 15 20 25
15 à 20 - - - 15 à 20 - - - 15à 20 - - - 15 à 20 - - -
21 à 25 0,63 0,79 0,95 21 à 25 0,59 0,73 0,87 21 à 25 0,50 0,61 0,72 21 à 25 - - -
26 à 30 0,57 0,72 0,87 26 à 30 0,54 0,67 0,80 26à30 0,47 0,58 0,68 26 à 30 0,08 0,10 0,12
Mur en béton cellulaire Mur en béton cellulaire Mur en béton cellulaire Mur en béton cellulaire
e~P 15 20 25 e~P 15 20 25 e~ 15 20 25 em~ 15 20 25
25 à 40 0,28 0,35 0,41 25 à 40 0,27 0,34 0,40 25à40 0,27 0,34 0,40 25 à 40 0,09 0,11 013
ISOLATION PAR L'EXTÉRIEUR LIAISON AVEC UN REFEND
Plancher lourd Plancher léger Plancher à entrevous Dalle pleine en béton
(dalle pleine ou entrevous) (béton ou terre cuite)
~ ~
NC
~1 NC
~~
~~
~
c.
~ ~1
Q)
NC
~
'/
Ri
~~
em
Mur en béton plein Mur en béton plein
e~ 15 20 25 e~P 15 20 25
15 à 20 0,73 0,87 1,00 15à 20 0,83 0,99 1,14
21 à 25 0,70 0,85 0,96 21 à 25 0,80 0,97 1,09
Tous ~s de murs Tous ~s de murs 26à30 0,68 0,81 0,92 26 à 30 0,78 0,92 1,05
ep ep Mur en maçonnerie courante Mur en maçonnerie courante
Ri Ri
15 20 25 15 20 25 e~ 15 20 25 em~ 15 20 25
2 0,09 0,11 0,13 2 0,09 0,11 0,13 15 à 20 - - - 15à 20 - - -
2,5 0,07 0,09 0,11 2,5 0,07 0,09 0,11 21 à 25 0,59 0,72 0,84 21 à 25 0,67 0,82 0,96
3 006 0 07 009 3 0,06 0,07 0,09 26à 30 055 068 079 26 à 30 083 077 090
1
LIAISON PLANCHER HAUT-MUR
/1
1
c. c.
Q)
Q)
Mur en béton plein Mur en béton plein Mur en béton plein Mur en béton pie~
em~ 15 20 25 em~ 15 20 25 em~P 15 20 25
15 à 20 0,72 0,84 0,95 15 à 20 0,08 0,08 0,08 15 à 20 0,75 0,74 0,73 15 à 20 - 0,58 0,5!
21 à 25 o.71 0,82 0,93 21 à 25 0,08 0,08 0,08 21 à 25 0,86 0,85 0,83 21 à 25 - 0,66 0,6:
"'"" 26 à 30 0,69 0,80 0 ..._l_-_..~......_-..._l_-_J........:.26;;.:à:...:3;,;.,
0,90 .L-...:.26;;.;à:...:3;:. 0 .- _Jl,95 0,93 0,91 26 à 30 - 0,73 0,6!
Mur en maçonnerie courante Mur en maçonnerie courante Mur en maçonnerie courante Mur en maçonnerie courante
em-------.!P 15 20 25 em~ 15 20 25 em~ 15 20 25 em~ 15 20 25
1 15 à 20 - - - 15 à 20 - - - 15 à 20 - - - 15 à 20 - - -
21 à 25 21 à 25 0,77 0,77 0,77 21 à 25 0,31 0,2!
26 à 30 26 à 30 0,83 0,83 0,83 26 à 30 0,33 0,3·
Mur à isolation répartie (terre cuite) Liaison avec un refend
r=
R > 2,5 R > 3,2 R>4
ffi} •
c.
Q) ~
---b
em~
~
1
Plancher lourd
15 20 25 em~P
Plancher léger
15 20 25 er ~
T Dans tous les cas
15 20 25
'-=
r lefend en béton
p
er ~
15
15 à 40
20
0,71 0,87
Refend en maçonnerie
15 20
J
25
25
1
1
25 à 40 0,43 0,50 0,52 25à40 0,11 0,11 0,11 15à40 0,02 0,02 0,02 15 à 40 0,34 0,42 -
1
LIAISONS DE FAÇADES
Angle rentrant Angle sortant
ou sortant
er
CARTE DES ZONES D'HIVER
(===:J H1
(===:J H2
H3
[===:J Ea
(===:J Eb
[===:J Ec
(===:J Ed
1
11111Ia Solution maisons 2-Les ponts thermiques
Un pont thermique est un endroit où l'isolation est interromr
1
individuelles et par lequel la chaleur s'échappe vers l'extérieur.
La RT 2000 a prévu une solution • sans calcul • pour les mai-
sons individuelles non climatisées dont :
• La surface habitable est inférieure à 220 m2•
• La surface des ouvertures extérieures est inférieure à
25 % de la surface habitable.
Deux vérifications sont à faire pour satisfaire la réglementation : l
une pour l'hiver, l'autre pour l'été.
Plan Coupe
31.11 Thermique d'hiver
Planchers hauts (repère 1)
Pour chacun des 6 éléments décrits ci-dessous, un nombre
de points est affecté en fonction de la qualité thermique des Plancher léger Mur à isolation répartie Autres cas
F. ~ ;r=
composants retenus.
La maison respecte la réglementation si elle satisfait aux condi-
tions suivantes :
• Le total des points obtenus égale ou dépasse 18.
0
IF= ~ ~
• Les fenêtres et portes-fenêtres .
• La ventilation.
• Le système de production de chauffage et d'eau chaude
sanitaire (ECS). 0
;. 2 ;. 3
4 pts 2 pts .~
Murs " 2,3 " 2,7
Sol, plancher bas ;. 2 " 2,3 " 2,7 ;. 3
Murs de refend (repères 4, 5, 6, 7)
Plafonds rampants " 4,5 " 4,5 "5 "5
Toitures " 4,5 ;. 5 " 5,5 ;. 6 Pour chaque refend interrompant l'isolation
Nb. de points 2 pts 3 pts 4 pts 5 pts 1 point est retiré
1
3-Menuiseries 6-Lieu de construction
Le nombre de points dépend de la classe de performance Des points supplémentaires sont accordés pour les maisons
• Th , accordé par ACOTHERM. Voir tableau ci-dessous. construites à moins de 800 md'altitude dans les départements
bordant la Méditerrannée :
Type de chauffage Eau chaude Électrique
• S'ils ne font pas partie du bloc baie, les coffres de volets Nb. de points 3pts 4pts
roulants doivent être isolés par au moins 1 cm d'isolant. 31.2 Thermique d'été
4-La ventilation (voir p. 65) Les obligations de la thermique d'été prennent en compte deux
Deux systèmes au choix peuvent être installés : critères : le climat et la zone de construction.
• Une VMC simple flux comportant : • Le climat : il est considéré comme chaud en zone Ed (voir
- des modules entrées d'air de 30 m3/h dans les chambres carte p. 203) et normal ailleurs.
et 60 m3/h dans le séjour. • La zone de construction : elle peut être considérée
- un groupe de puissance 35 Wpour cuisine, salle de bains comme • calme , ou • non calme •• en fonction de la proximité
et WC et de puissance 50 Wsi la maison comporte plus de des voies de circulation. Le tableau ci-dessous donne les critè-
trois-pièces de service. res d'une zone calme.
• Une VMC hydroréglable Catégorie de la voie
Letableau ci-dessous indique les points attribués par la VMC. Distance mini (m)
VMC simple flux VMC hydroréglable
1 En fonction de ces critères, des exigences de protection solaire
Quelconque 1 Àgroupe régulé 1 Classe E 1 Classe D l Classe C des fenêtres et d'inertie thermique des parois sont demandées.
1pt 2pts 2pts 3pts 4pts 1-lnertie thermique
Une inertie est considérée comme moyenne si les planchers et
5-Le chauffage et l'eau sanitaire
les parois de la construction sont lourds. Le tableau ci-dessous
Chauffage à eau chaude
indique les parois considérées comme lourdes.
• Le chauffage et la production d'ECS sont assurés par une
Dalle en béton plein de 15 cm mini.
chaudière au gaz ou au fioul marquée CE. Planchers Plancher à poutrelles avec dalle béton de 4 cm.
Dallage béton plein 5 cm mini.
• Les émetteurs peuvent être des radiateurs ou un plancher
Cloisons en parpaings creux de 11 cm,
chauffant de moins de 150m2. briques creuses de 15 cm, pleines de 10 cm.
Parois
Doublage des murs et cloisons avec briques plâtrières de 5 cm,
• Les tuyauteries situées hors du volume chauffé doivent être verticales ou carreaux de plâtre de 7 cm.
isolées (épaisseur de l'isolant 5 moitié du 0 du tuyau). Murs à isolation répartie de 30 cm et cloisons de 5 cm.
• La régulation comporte un thermostat d'ambiance avec 2-Protection solaire
sonde et horloge, des robinets thermostatiques. Elle peut être assurée par des volets roulants ou non, des sto-
Le tableau ci-dessous donne les points en fonction du type de res à lamelles ou en toile claire. Ceux-ci doivent posséder un
chaudière. facteur solaire de 0,1 pour être de " Type A " et de 0,15 pour
Condensation 1 t Ba.sset 1 De référence 1 Standard être de • Type B"·
empera ure
6pts 3pts 2pts 1pt 3-Exigences réglementaires
Elles sont données dans le tableau ci-dessous compte tenu des
Chauffage électrique critères définis ci-avant.
• les convecteurs et le ballon d'ECS sont marqués NF. Hors climat chaud En climat chaud
Zone calme Zone non calme Zone calme Zone non calme
• Les tuyauteries d'ECS situées hors du volume chauffé doi-
Type A
vent être isolées. Baies
Type B Type B Type B et inertie
verticales
• Tous les appareils de chauffage possèdent un programma- moyenne
-
Baies Type A
teur d'intermittence. horizontales ou B
Type A
et inertie
[ convecteurs ou plancher chauffant r 1 pt]
ou inclinées
(a< 60')
et inertie
moyenne
moyenne
1
Transmission directe
1
PRINCIPES D'ISOLATION ACOUSTIQUE
Efficacité Efficacité
Dispositions c:(] ~ ~ Commentaires Dispositions c:(] ~ ~ Commentaires
ff1l
0
o o
0
On gagne 3 dB(A) chaque fois que l'on double
la distance par rapport à la source du bruit.
~ 0
! la masse est le premier facteur d'affaiblissement aux
bruits aériens. On gagne 5 dB(A) chaque fois que
;) ~ 9 ~
Éloignement-masques
++
0 0
les écrans doivent être assez hauts et ne pas être
composés uniquement de végétaux. Paroi lourde
o
0
tt
0 0
! l'on double la masse d'une paroi. Prévoir 16 à 20 cm de
béton pour les parois séparatives. Voir abaque page 210.
'è d
P 1 ces e
~
·o• ~ Un doublage constitué de 70 mm de laine minérale
•
Placer du côté des sources de bruit les circulations ~o o tt 0 t plus plaque de plâtre BA 13 place sur un voile de 18 cm
t + 0 0 communes, les coursives, les pièces de service. ' o procure un affaiblissement de 7 dB(A).
0 +++ + +
N'utiliser que des polystyrènes de type dB.
m
des performances élevées pour une masse faible
l 'interposition de placards continus entre 2 pièces Paroi composée (R > 60 dB(A) ). Voir tableau page 208.
principales procure un affaiblissement appréciable. ]
++ 0 + . .. . . .. les revêtements doivent être souples et absorbants
Cette d1sposit1on, comme la precedente, a le mente o (. . . )
de ne rien coûter. o o t 0 0 a1gU1IIete, moquette, mousse ... .
o Cette disposition est surtout efficace en correction
•
Placards Revêtement acoustique.
~ ~:o;
.
UL
la masse des 2 parois doit être différente
En éloignant les fenêtres le plus possibles les une o0 et chacune supérieure à 150 kg/m'.
++ 0 0 des autres, on réduit gratuitement de façon efficace, ++t ++ ++ Utiliser des isolants en laine minérale
LJ les transmissions indirectes des bruits aériens. Paroi double d'épaisseur > 50 mm. Disposition coûteuse.
Éloignement des baies
.. . _ -~ - ""'"" , le gain apporté aux bruits d'impacts par un revêtement
1 Ë:o o
~
0 ° o ="'~
0
la qualité des menuiseries contribue de façon o est de l'ordre de: 10 à 25 dB(A) pour les moquettes
0 0
.1mpori an 1e a
. l''ISO 1at1on
• des faça des. + + et tapis, de 7 à 19 dB(A) pour les sols plastiques, faible,
++ 0 0 limiter les surfaces vitrées, utiliser des vitrages doubles Revêtement de sol voire nul pour les carrelages et parquets scellés.
et épais, des ouvrants avec bonne étanchéité.
Cette disposition penne! de gagner jusqu'à 30 dB(A) aux
Menuiseries-vitrages Voir p. 208 le classement acoustique des menuiseries. 1 lo
-
o
0
°o
0
o •!'
0
=
0 1 t t ++ +t
bruits d'impacts. la couche résiliente peut être constituée
d'un feutre sol ou d'une laine minérale comprimée
Un traitement efficace contre les bruits d'équipements Dalle flottante ' (ép. > 20 mm), elle doit être relevée sur le pourtour.
- 1
!QJDésolidarisation
1
1
o o ++ +
consiste à désolidariser par des appuis et des joints
souples tous les matériels, gaines et canalisations.
. . . . .
Un capotage double de la1ne minerale est une solut1on
pour certains équipements (gaines de climatisation, VMC).
Jo-
1o
0
a
=
Faux plafond
o • -J
1o
0
=
1 ++ + +
Cette disposition améliore l'affaiblissement acoustique
de la paroi, mais elle est surtout efficace pour
la correction acoustique du local dans lequel
elle est placée.
AHaiblissement acoustique INDICE D'AFFAIBLISSEMENT ACOUSTIQUE R
L'affaiblissement aux bruits aériens d'une paroi est défini par un Éléments
Ép. Affaiblissement
cm dB(A)
indice Rexprimé en dB(A). Plus Rest élevé et plus la paroi est
Blocs pleins en béton 15 55
isolante. Pour les parois homogènes, on peut obtenir Rà partir
enduit 2 faces 20 59
de l'abaque loi de masse ci-dessous. 1
Fréquences en Hz 7 35
Matériaux de revêtement Carreaux de plâtre
10 38
500 1000 2000 "'c:0
Plâtre peint 0,02 0,03 0,04 "'
ï5 Plaques BA 13 avec 5 31
Enduit au mortier 0,03 0,04 0,05 ü âme alvéolée 7 33
Glace ou vitrage 0,03 0,03 0,02
Plaques BA 13 sur ossature métal 7 39
Contreplaqués posé à 5 cm du mur 0,35 0,12 0,10
2 plaques BA 13 sur ossature métal
Plafond acoustique 0,78 0,85 0,91
Porte pleine en bois 0,1 0 0,09 0,08 "'Cl>> avec 70 mm de laine minérale 14 60
Porte isoplane en contreplaqué 0,17 0,09 0,10 ""~ avec 85 mm de laine minérale 20 65
Parquet sur lambourdes 0,10 0,07 0,08 "'
~
Q.
3 plaques BA 13 sur ossature métal
Parquet collé sur chape 0,06 0,06 0,06
avec 100 mm de laine minérale 26 68
Carrelage 0,02 0,03 0,04
Fenêtre classe AC 1 30
Moquette posée sur chape 0,21 0,26 0,27 1:"'
<Cl> Fenêtre classe AC 2 36
Dalles thermoplastique collées
Linoléum posé sur feutre
0,04
0,09
0,04
0,10
0,03
0,12 ...
c:
Cl>
Fenêtre classe AC 3 42
./
60 60
./ ./
55 55
~
CD
"0 7 .,î
Cl> ./
1)
::::1
a- ./
50 50
'!il
::::1
Bruit rose ./ ./ Bruit routier
8 ./
ë"'
Cl> 45
y
45
E
3l ./
.!!1
:c
ëij
:li
40
- ./
40
1
-
./
35
30
40
.L"
- 60 80 100 150 200 300 400 600 800
35
30
1
3.12 c ne des réalons
33 Charges dues
à la neige
En France deux règlements définissent l'action de la neige
sur les constructions : les règles «N84» modifiées 1995 et
I'EuroCode 1 (ECHNV 1991).
L'EC1 est développé ci-dessous.
L'action de la neige est une charge verticale uniformément
Zones de neige
répartie sur la couverture rapportée à sa projection sur l'ho- c::::J A1
rizontale, elle s'exprime en kN/m2 de projection horizontale.
- 82
A2
• la région de la construction,
• de l'altitude du lieu,
• de la géométrie de la toiture,
• du vent et de la présence de dispositifs d'arrêt de neige.
33.11 la c ara de n 1 e s
Elle est déterminée par la relation charge normale 33.13 Ch rue e 1 e a sol s.
1 S =Il;. c.. Ct. (Sk + Sm•i) 1 Tableau 1
Dans cette expression : Valeurs de Sk200 (EC1 Application Nationale mai 2007) en kN/m 2
Sk (kN/m2) est la charge de neige au sol au droit de la construc- -_
•
.
où Sk200 est la charge de neige pour les lieux d'altitude inférieure 65, M,1 ti5k2
ou égale à 200 met llSk la correction pour altitude quand celle-
ci est supérieure à 200 m.
Tableau 2
s... majoration pour faible pente (voir chapitre 33.36)
j
Valeurs de llSken kN/m2 (corrections pour altitude) : tableau 3
C, est un coefficient d'exposition :
Altitude A (m) jS,1 jS,2
C, =0,8 site balayé par les vents (zone plate, sans obstacle
protégeant la construction du vent) ; inférieure à 200 m 0 0
C, =1 site normal (zone où il n'y a pas balayage de la neige
par le vent) ; de 200 à 500 m A
1000 -0,20 ~-030
1
1000
C, =1,2 site protégé des vents (zone où la construction est
plus basse que le terrain, il peut y avoir accumulation de neige). de 500 à 1000 m 1,5.A _ 045
1 ~-130
1
1000 1000
Ct est un coefficient thermique égal1 pour les toitures opaques,
et inférieur à 1 pour les toitures vitrées.
de 1000 à 2000 m ~-245
1
__1!___ 480
1000 1000 '
~;est un coefficient de forme, dont la valeur dépend de la forme Au delà de 2000 m d'altitude, S, dépend des conditions
géométrique de la toiture, du vent, qui peut distribuer la neige supérieure
locales (majoration maxi de 50 %) et doit être précisée
à2000m
sur les versants, provoquant des surcharges, et de la présence dans les Documents Particuliers du Marché
éventuelle de dispositifs d'arrêt de neige.
1
1~ CoeHiciants de lorme p,
33.21 Tollures à un eul versant
Coefficent de forme 11; en fonction
de la pente a de la toiture
et toitures plates
Tableau 1 (voir aussi figure 1)
a (') O' .; a ::; 30' 30' < a < 60' a <!: 60'
~
a : angle
de neige de la toiture
Ces dispositifs empêchent la neige de glisser de la toiture. avec l'horizontal•
Il convient de prendre 111 égal à 0,8 quel que soit l'angle de
latoiture. Ces dispositifs sont soit des crochets à neige, soit 1
des barres à neige.
8
·-!--~--+--+-· -~_j-
ii
·-· · -1··-+-+-+- -
1 1 1 1
-i. -t'tL
1'
1. . . ·- ··- - - - - - --1
!-t··'
i ·7·-·~+t---H·+i--- : bf :----,_._/______
~ i i i ! l/ 1 1
~ E Ï·I -+-+-+-+-+-1-1 1 l--1- i-+-+-+--1-Jf-il,'-i-1-+--+---f--,.,.:--------.,----;'""'-
~ ! i ' ' i i Il 1 1 1 ., ,
~ 5 !- t- -j-[-t-i v i 1 ~ ., · - - - - - ! 1
i i/~1-- i ~L;'~~,
8 cales (majoration maxi de
1 IY II V
1
33.23 Toiture à lieux versants
On utilise le tableau 1 du §33.31 pour le coefficient IL, et les
dispositions de charges de la figure 1 :
-Cas (i) disposition de charge sans accumulation de neige due
au vent (vent faible à modéré).
- Cas (ii) disposition de charge avec accumulation sur le
versant de droite
)s ~ I I
!1, (a, · k I I Ili i **+
0•5·11, (a2).Sk Cas (iii)
Exemple de calcul
La construction est représentée en coupe sur la figure 4.
Il s'agit d'un hangar métallique à deux versants, comprenant
un acrotère sur une façade longitudinale. Il n'y a pas de dispo-
sitif d'arrêt de neige.
La construction est située dans la région lyonnaise à une alti-
tude de 360 m; le site est dit normal.
Les charges de neige à prendre en compte sur la toiture de la 24,00 m
construction sont données dans la figure 4.
1
[ 34 Ettets du vent Vent perpendiculaire au pignon
....
s'agit alors d'une pression ; si cette action s'éloigne de la
V\
paroi elle est négative, il s'agit alors d'une dépression.
L'action intérieure est induite par la perméabilité de cette
paroi et des autres parois de la construction, qu'elles soient
ouvertes ou non. La taille et la perméabilité des ouvertures
et surtout leur orientation par rapport au vent installent à
l'intérieur de la construction, selon le cas, une pression in-
w e<O
térieure (cas 1) ou une dépression intérieure (cas 2).
Cette action dirigée vers la paroi est positive, il s'agit alors
d'une surpression intérieure. Si cette action s'éloigne de
la paroi elle est négative, il s'agit alors d'une succion (ou
dépression intérieure).
w. a pour expression
w.= c.(zJ. qréf. cpe
où:
c,(z,) etc;(~) sont des coefficients dits d'exposition (§ 34.3)
qrét est la pression dynamique moyenne de référence (kPa)
cpe et cPl. sont les coefficients de pression extérieure et in-
térieure (§ 34.3).
Pression dynamique
2
movenne de référence Qr61 Ze = h
Elle est fixée pour chaque région climatique (carte).
We = Ce(h). q,., .Cpe
qrét =P· (v,l 12
où p est la masse volumique de l'air (1,225kg/m3).
Région 1 1 2 3 4
v.. (m/s) 22 24 26 28
q., (Pa) 296 352 414 480
q., (kPa) 0,30 0,35 0,41 0,48
3 1 b < h:S 2b
CoeHicients d'exposition
c,lz,J We = Ce(h) . q,., .Cpe
~
1
~ ~ coenicients de pression
extérieure c11, pour les parois Vue en plan
verticales A 8 C
A m• 1 0 i 1 i 4 1 8 10
e~
c,.,1 -1 ,4 -1 ,4 -1,4
c ,10 -0,8 -0,8 -0,8
B eest la plus
CM,1 -1 ,1 -1 ,1 -1,1 Vent • petite des deux
c,.,1o -0,5 -0,5 -0,5 dimensions :
c
c,.,1 -0,5 -0,5 -0,5
H b bou 2h
c,.,1o +0,8 +0,8 +0,7
0
c ,1 +1 ,0 +1,0 +1 ,0
c ,10 -0,7 -0,5 -0,3
E
c, ,1 -0,7 -0,5 -0,3
Il convient d'interpoler linéairement en fonction des valeurs
de h/d.
Exemple : vent sur façade au vent zone Dd'aire A {m2) d
H
c ,10 -0,7 -0,7 -0,7 -0,7 0,3
""" """"
""" "
c,.,1 -1 ,2 -1,2 -1,2 -1,2 0,2
0, 1 1 h/d oS 0,25 j r--
c,.,1o +0,2 +0,2 +0,2 +0,2
0,0
""" """
1
c,.,1
c,.,1o
+0,2
-0,2
+0,2
-0,2
+0,2
-0,2
+0,2
-0,2
-0,1
-0,2
1
""' ""'
"""
hld > 1,0 1
c,.,1 -0,2 -0,2 -0,2 -0,2 -0,3
1
Coenicients de pression
intérieure c•• pour toutes les
parois de l'enveloppe du bâtiment
Pour un bâtiment à base rectangulaire les coefficients epi
dépendent des dimensions de la construction et de la
répartition des ouvertures potentielles dans l'enveloppe du
Vent. ---'--~
ft
-l!l
__j
bâtiment (IL).
IL : (somme des ouvertures dans les façades où cP• est
/
Ouvertures
négatif ou nul) 1(somme des aires de toutes les ouvertures
du bâtiment)
Une construction est dite ouverte quand m est supérieur
à 0,05 et fermée dans le cas contraire. 2
Exemple de calcul
La construction est représentée sur les figures 3 et 4.
Définir les pressions réglementaires sur chaque façade. 4
sion intérieure ;
w = + 0,384-0,240 = + 0,144 kPa, dans le cas de dépres-
sion intérieure.
- Situation b : les villes petites ou moyennes ou la périphérie
des grands centres urbains.
- Situation c : constructions isolées en rase campagne.
En fonction de l'endroit où elles se trouvent, les fenêtres doivent - Situation d : constructions isolées en bord de mer ou situées
répondre à un certain nombre d'exigences, c'est le classement dans les villes côtières et situées à une distance du littoral infé-
A'2J, établi selon trois critères : rieure à 15 fois leur hauteur et cela pour leurs fenêtres isolées.
• La hauteur de la fenêtre au dessus du sol :
La perméabilité à l'air : IAJ Pour les bâtiments situés près d'une dénivellation importante,
Qui vise à limiter les déperditions thermiques dans les locaux. les hauteurs à prendre en compte sont données figure 2.
On a retenu quatre classes de perméabilité à l'air : • La présence de masque : on considère deux cas :
• Non classé • A1 Normale - les façades abritées : donnant sur rue et ayant des vis-à-vis
• A2 Amélioré • A3 Renforcée situés à moins de 15 met de hauteur au moins égale.
- les façades non abritées : dans les autres cas.
L'étanchéité à l'eau : IEJ
Qui vise à assurer une étanchéité satisfaisante sous les effets
35.42Le choix des fenêtres
conjugués de la pluie et du vent. On mesure, pour classer
Voir tableau en bas de page.
une menuiserie, la pression maximale (Pe) sous laquelle elle
reste étanche. On détermine ainsi quatre classes en fonction
des résultats obtenus.
Classe Désignation Pression (Pa)
Et Normale 50< Pe < 150
E2 Améliorée 150 < Pe < 300
E3 Renforcée 300 <Pe <500
EE Exceptionnelle Pe > 500
-
Réaction au feu
RfA
2
1
Euroclasses : A1, A1 11•• ~ A2, A211•• ~ pour les produits peu ou 36.41 éslstanca au tau as structuras
pas combustibles. ....-- Famille
Structures
Euroclasses : B, 811•• , produits combustibles avec un « flash 1" 2' 3' 4'
over, très limité. SF SF SF SF
Porteurs verticaux
1/4h 1/2h 1h 1 h 30
Euroclasse : C, C11•• , produits dont la contribution au " flash CF CF CF CF
Planchers
over , est limitée. 1/4h 1/2h 1h 1 h3~-
Euroclasse : D, 011•• , produits dont la contribution au " flash 36.42 Isolement entralouamants conuaus
over •• est significative. Famille
Parois verticales
Euroclasses : E, E11 ••,. F et F1100, contribution à l'embrasement des logements 1" 2' 3' 4'
généralisé importante. Collectif sans porte CF1/2 CF 1/2 CF 1
D'autres critères peuvent être associés. Collectif avec porte PF 1/4 PF 1/4 PF 1/2
Classes d'opacité des Fumées : s1 à s3. Maisons individuelles CF1/4 CF 1/4
-s< 7
EXEMPLE : un carreau de plâtre PF3 de 70 mm a un degré
coupe feu de 3 heures.
ttfl Classement reVETIR
Ce classement concerne les systèmes destinés à l'isolatio
l'extérieur des bâtiments. Il s'applique aux enduits sur isol
sur bardage, vêture. Le sigle reVETIR signifie :
r = facilité de réparation, T = tenue aux chocs,
e =facilité d'entretien, 1=tenue à l'incendie,
Ce classement a été établi par l'association pour la certifica-
V= résistance aux effets du vent, R= résistance thermiquE
tion des matériaux isolants (ACERMI) et concerne les isolants
E= étanchéité,
conformes à la norme NFP75-101. Le sigle ISOLE signifie :
1 = incompressibilité (5 niveaux), 37.21 Résistance au vent lVJ
1 S = stabilité dimensionnelle (4 niveaux),
0 = comportement à l'eau (4 niveaux),
Hauteur
au-dessus A
Réglons•
B
L = cohésion et résistance en flexion (4 niveaux), du sol Situations• Situations•
(m)
E = perméance à la vapeur d'eau (4 niveaux). a b c d a b
Tous les isolants certifiés comportent une étiquette indiquant <6 V1 V1 V1 V2 V1 V1
6 à 18 V1 V1 V2 V2 V1 V2
leur classement ISOLEet leur résistance thermique R.
18à28 V1 V1 V2 V2 V2 V2
37.11 Incompressibilité m 28 à 50 V1 V2 V2 V3 V2 V2
50 à 100 V2 V3 V2 V3 V2 V3
Classe Emplois
11 Isolant non soumis à charges 37.22 ltanchéité lEJ
12 Sous dalle, fond de coffrage, soubassement
Situations•
13 Sous charge, dalle ou terre-plein Hauteur
14 Sous chape, dalle ou lambourdes au-dessus a, b, c d
15 Pose directe de carrelages du sol Façade Façade
(m) Abritée Exposée Abritée Littoral Fron
31.12 Stabilité dimensionnelle lSJ <6 E1 E1 E1 E2 E
6 à 18 E1 E2 E1 E2 E
Classe Emplois
18à 28 E1 E2 E1 E2 E
S1 Isolation non enduite, non contre-collée
28 à 50 E3 E3 E
S2 Complexe de doublage
50 à 100 E3 E4 E·
S3 Support d'enduit
S4 SupQort d'enduit 37.23 Tenue aux chocs lTJ
T1 Hauteur > 6 rn
37.13 Comportement à l'eau lOJ T2 Hauteur > 3 rn rez-de-chaussée inaccessible
Classe Emplois T3 Rez-de-chaussée accessible non protégé, peu sollicité
01 Combles et sous-face de planchers T4 Rez-de-chaussée accessible protégé, peu sollicité
02 Parois verticales et sols
03 Support d'enduit 37.24 Incendie m
Type de bâtiment Classement Classe_.!!
31.14 Cohésion et flexion lll Habitation 1" famille
11 M4
à plus de 4 rn de la limite
Classe Emplois
Habitation 1• famille autres cas
L1 Tous 12 M3
Habitation 2' famille
L2 Parois verticales et soubassements
Habitation 3 et 4• famille,
L3 Complexe de doublage 12 M3
ERP en étage avec 0/H> 0,8
L4 Support d'enduit
1 31.15 Perméance à la vapeur d'eau lEJ
Autres cas
IGH
13
14
M2
MO
Il
les chaux NFP15-311
• Du fait de leur faible résistance mécanique, les chaux ~
réservées aux travaux de maçonnerie (hourdage, rejointoien
Définition de murs anciens, scellement de petits éléments de couvert
On appelle liant hydraulique un produit constitué essentielle- et d'enduits. On peut les «-batarder-» avec du ciment ~
Il ment de calcaire et d'argile cuits et finement moulu. Gaché améliorer leur résistance.
avec de l'eau, un liant fait prise et durcit par un processus de • Les chaux présentent une grande souplesse d'utilisa
1
réactions chimiques dues à l'hydratation. Après durcissement, (plasticité, long temps de prise) et confèrent aux enduits
il conserve sa résistance même dans l'eau. bonne étanchéité à l'eau (absence de faïencage) tout en 1
On distingue deux grandes familles de liants : sant le mur respirer.
• les chaux, • Sur le plan esthétique, il est possible d'obtenir une gra
• les ciments. variété de coloris et d'aspects.
DESIGNATION ET CARACTERISTIQUES DES CHAUX
~
Nature Désignation
à 7i
Résistance (MPa)
à 28j
Nature Désignation Ré~=î
(MPa)
Chaux hydrauliques
HL2 - 2à5 CL90 -
(HL)
HL3,5 " 1,5 3,5 à 10 Chaux calciques • CLBO -
HL5 ;. 2 5 à 15 CL 70 -
Chaux hydraulique
NHL2 - 2à5 DL85 -
naturelles (NHL)
NHL 3,5 " 1,5 3,5à 10 Chaux dolomitiques • DLBO -
NHL5 ;. 2 5 à 15
• Les chaux calciques et dolomitiques ne sont utilisées que pour les enduits.
Constituants principaux en % ~
1 Laitier de
Fumée Pouzzo Cendres Schiste Constituants
Types Différentes désignations Clinker haut Calcaire
de silice lane volantes calciné secondaire
fourneau
Ciment
CEMIIIIA 35-64 36-65 - - - - - 0-5
CEMIII
de haut fourneau
CEMIIIIB 20-34 66-90 - - - - - 0-5
CEMIIIIC 5-19 81-95 - - - - - 0-5
CEM IV
Ciment CEM IV/A 65-89 - 11-35 - 0-5
pouzzolanique CEM IV/B 45-64 - 36-55 - 0-5
1
39.32 les ciments spécifiques NF r-15-307. 3o&. 3os. 319.111. 315. 314
Resistance à la Résistance à la
Appellation compression en MPa Appellation compression en MPa
2 jours 7 jours 28 jours 2 jours 7 jours 28jOI
CM160 10 16 ES 21 32.5
Ciments à maçonner Ciments sursuHatés
CM250 16 25 ES 31.5 40
CLX100 5 10 Ciments travaux en mer PM 16 25
Ciments de la~ier à la chaux
CLX160 10 16 Ciments alumineux fondus CA 50 60
Ciments naturels CN 10 16 Ciments prompts naturels CNP 10 14 19
39.33 tmsation des ciments ser en milieu agressif et par temps froid.
Le tableau ci-dessous permet de choisir un ciment pour réaliser Deux ciments répondent à ces critères :
un béton le mieux adapté à son emploi. • le CEM 152.5 ES,
EXEMPLE : On souhaite un béton à hautes performances à utili- e le CEM Il 52.5 ES.
.,"'
g .,"'<> 5:
::0
0
"'.,
.,~
'"
!§ c: .,c ::0 .,
Types Classes .., 0
.~
.2'
~ ,.,
~ !i :;
't
""!!
.,
.,c
·r:
!§
'"c c
!!
8.
:c ~
0
<>
1
'"
tl
~'"
:î
:ii
c
"'
c
!!
]- .5 ..
""
::0
.<: ""~ .="' .:::"'e
.,!!
.. "'
0 "!;; <>
~ ~
c ::0 CL E
"'c
....,.
0
c c <> ~ c c c .!! :!!. :!!. ::0
0
~ ci. ci. ~
0
~
0
;;; 8 ~ .>.
.::
-::0
~
E
,!!
E ..,<>
0
:!
:lE ai ai
"' "' "' Il
,!! 0 ::i
...J
32.5
~r
R CP i - _L J ES
-~
CEMI 42.5 1 1 J 1 R R R ES
52.5
L..l "__j
CP 1
r
L
-[
R ES
L~
32.5 R R lf I
·- Il
CEM Il 42.5 CP R R R ES
- ' p
52.5 CP R ES
32.5 R
'-------
l ES
.~
CEM Ill 42.5
L 1 '-------
R ES p
52.5 R ES ~
32.5
CEM IV 42.5
52.5
1...
32.5 R !i ES
CEMV 42.5 ES
!--
52.5 ..,__ 1 ES
CM 1
CN
CLX
f-
CA
-
• ~ ---=p
1---
ES 1 - 1---1
CNP
40 Bétons prêts 1 l1!! 1 Classe de consistance
Elle est mesurée par l'affaissement au cône d'Abrams.
1
• Intégration au site (historique, culturelle,
• Respect de la trame architecturale locale (typologi
de l'habitat, nature des matériaux, sens de faîtages ...)
le développement durable • Rationalisation de l'espace (habitats intermédiaires pluté
La démarche " Haute Qualité Environnementale » (HQE) est
qu'habitats individuels)
un concept issu de la démarche du développement durable.
• Préservation des espaces naturels et agricoles
Le développement durable (DD) doit nous permettre de répon-
dre aux besoins du présent sans compromettre la capacité 2. Choix intégré des procédés et produits de constructio1
des générations futures de répondre aux leurs. Le DD est • Cohérence globale pour minimiser l'impact sur l'environnement
un processus qui associe trois thématiques : - Isolation intégrée (ex : brique monomur)
• l'écologie : environnement, maîtrises des ressources -Système d'isolation par l'intérieur, par l'extérieur (pa
naturelles, des déchets, de la pollution de pont thermique)
• le social : justice sociale, lutte contre la pauvreté - Système constructif en bois
• l'économique : commerce équitable, lutte contre le gas- • Choix de matériaux recyclables en vue de la déconstructio
pillage, coopération • Valorisation des matériaux locaux en adéquation avec le projf
3. Chantier à faibles nuisances
• Prise en compte des nuisances ( bruit, poussières, circule
tion, tri des déchets de chantier)
Eco gestion :
4.Gestion de l'énergie
• Minimiser les besoins énergétiques (effort significatif p;
rapport à la RT 2005 de moins 10 %)
• Dispositions architecturales (orientations): ouvertures é
la démarche HQE dans sud et à l'ouest ( apports énergétiques gratuits), garages <
nord et combles (espaces tampons), feuillus au sud pour bén'
le bâtiment ficier de l'ombre l'été et la lumière l'hiver (régulation thermiqu
Au niveau de l'acte de bâtir, la démarche Haute Qualité Envi-
• Isolation thermique renforcée : maison passive :
ronnementale vise à limiter les impacts d'une construction sur
Majsons jumelées pour limiter les déperditions
l'environnement en se basant sur les 14 cibles, déclinées au pa-
• Utilisation des énergies renouvelables
ragraphe 41.22. Elle met en avant le cadre de vie en privilégiant
Panneaux solaires, éolienne, géothermie, ...
le confort et la santé des personnes dans un souci de gestion
• Double flux (récupération des calories de l'air vicié)
des ressources.
• Présence d'un puits canadien pour préchauffer l'arrivl
41.21 ObJacllfs da la démarcha HQE d'air neuf
dans la bltimant 5.Gestion de l'eau
La démarche HQE présente deux objectifs principaux :
• Récupération des eaux de pluie et réemploi pour les cE
• un objectif de qualité environnementale pour obtenir
tains usages domestiques (arrosage des espaces verts, chass'
ou améliorer la qualité environnementale des bâtiments dans
d'eau, piscine ... )
le cadre d'opération de construction
• Réducteur de pression pour limiter le débit de puisage
• un objectif d'une gestion • environnementale • pour amé-
liorer la maintenance de la qualité environnementale 6.Gestion des déchets d'activité
• Tri sélectif (verre, papier, emballage)
41.22 QE : las quatorze ciblas • Tri des déchets de l'acte de construire pendant le chanti
Les quatorze cibles HQE déclinées :
• Gestion individuelle des déchets verts
Maîtriser les impacts sur l'environnement extérieur
1. Relation harmonieuse des bâtiments avec leur 7.Gestion de l'entretien et de la maintenance
environnement immédiat • Planification des opérations de maintenance
1
• Suivi des opérations de maintenance préventive et curative 11.Confort olfactif
• Renouvellement d'air suffisant
Créer un environnement intérieur satisfaisant :
8. Confort hygrothermique Santé:
• Plantes vertes dans la partie habitée 12. Qualité sanitaire des espaces
• Régulation par hygrostat • Dimensions suffisantes pour l'activité humaine (conformité
9. Confort acoustique au Code de la Construction et de l'Habitation)
• Conception architecturale de la disposition des pièces • Prise en compte de la réglementation pour les personnes
à vivre pour limiter les bruits à mobilités réduites
• Limitation des bruits extérieurs (vitrage adapté, isolation 13. Qualité sanitaire de l'air
phonique ... ) • Analyse de ,pollution de l'air à la charge des collectivités
• Limitation des bruits d'impact par interposition de sous- urbaines
souche acoustique • Remplacement des filtres à air dans les appareils de
• Choix des matériaux en vis à vis (surface dure et molle) climatisation
1O. Confort visuel 14. Qualité sanitaire de l'eau
• Pièce à vivre suffisamment éclairée la journée par un éclai- • Analyse d'eau fournie par la collectivité
-ement naturel ou artificiel permettant 1'activité humaine • Traitement de la dureté de l'eau par système individuel
• Occultation l'été par système adapté ou collectif
l.
· Intégration au site : construction disposée en escalier dans la pente entre deux parties 4 - Entrée d'air neuf par le vide sanitaire.
aisées. 5 - Récupération des eaux de la terrasse pour alimenter une citerne située dans le jardin.
·Isolation par l'extérieur sur une structure métallique, le complexe est composé d'un bac 9 - Confort acoustique : pièces à vivre au RdC et chambres à l'étage.
létallique, d'une isolation par l'extérieur et d'un bardage bois en façade. 10 -Confort visuel : grandes ouvertures au Sud dans les pièces à vivre, pare-soleil.
1
42 Constructions c
géométriques A
1111ŒD Perpendiculaires
D
Triangle 3-4-5
Tracer AB =quatre unités. De A, tracer un arc de cercle de A
rayon trois unités et de B, un arc de cercle de rayon cinq ..1
unités. Ils se coupent en C. Joindre CA qui est la perpendi-
culaire cherchée.
1
_.......,._ Construction
de parallèles
...
42.31 Tracé ·une parallèle · .!1
à ne distance donnée R
a:
Par deux points quelconques A et B de b., aussi éloignés
que possible, tracer deux arcs de cercle de rayon R. Tracer
la droite qui s'appuie sur les deux arcs de cercle. Cette A B
méthode a une précision suffisante pour les tracés cou-
rants-; elle se justifie par sa rapidité d'exécution.
1
*fi 1 Tracé des polvuones
réguliers convexes inscrits
42.41 Détinition D
42.42 Carré
Tracer les deux axes perpendiculaires AB, CD. Joindre AC,
CB, BD, DA.
42.44 Pentagone
Tracer deux diamètres perpendiculaires AB, CD. Tracer
la médiatrice de OC. De M pour centre, tracer un arc
de cercle de rayon MA qui coupe CD en N. AN est le côté
du pentagone.
42.45 Hexagone
Tracer un diamètre AB. De A et B pour centre, tracer
les arcs de cercle de rayon Rqui coupent le cercle en C, D,
E, F. Joindre BC, BD, DF, AF, CE, EA.
42.46 Octogone
Tracer deux diamètres perpendiculaires AB, CD.
Tracer les deux bissectrices des angles droits EF, GH.
Joindre AH, HC, CF, FB, BG, GD, DE, EA.
1
3 Tangentes
t raccordements
les tangentes
..11 Tangente en un point
an cercle
:;er OA, élever la perpendiculaire AB en Aà OA. AB est
angente.
U4 Tangentes Intérieures
lmmunes à deux cercles
lcer 00', la médiatrice de 00', le cercle de centre 1et de
lmètre 00'. De 0 pour centre, tracer un cercle de rayon
+r qui coupe le précédent en M' et N' ; tracer OM' et ON'
,i coupent le cercle en Met N. De 0', tracer les parallèles
M" à OMet O'N" à ON. Joindre MM" et NN".
1
e ffi Raccordements
43.21 De deux drolles ma.1J
Tracer les deux parallèles intérieures aux deux droites 6. et D
à une distance R. Elles se coupent en O. Abaisser de 0 sur
6. et Dles perpendiculaires OMet ON. Tracer l'arc de cercle D
MN de centre 0 et de rayon R.
2 t:,.
43.22 D'une droite et d'un cercle
N
• Extérieurement (fig. 2)
Tracer la parallèle à 6. à la distance r et le cercle de centre 0
de rayon r + R. Ils se coupent en 0'. Joindre 00' qui coupe
le cercle en M et abaisser la perpendiculaire de 0' sur 6..
Tracer l'arc de cercle MN de centre 0' et de rayon r.
3 r - - -- -'--- --Jt:.
• Intérieurement (fig. 3) .AE------,.,.--.....:-- ---l N
Tracer la parallèle à 6. à la distance r. Tracer le cercle de
centre 0 de rayon R - r. Il coupe la parallèle à 6. en 0'.
Abaisser la perpendiculaire de 0' sur 6. et joindre 00' qui
coupe le cercle en M. De 0' pour centre, avec un rayon r
tracer l'arc de cercle de raccordement MN.
1
1
4 Courbes
suelles
l'ellipse
st l'ensemble des points dont la somme des distances
eux points fixes appelés foyers est constante. Une ellipse
jéfinit par les dimensions de ses axes.
D
rA :
s le nombre de divisions sera élevé, plus la définition
la courbe sera précise.
1
Il
~bote
la parabole 1
inscrite dans un rectangle: (fig. fi
~ Tracer un rectangle sont les dimensions correspondent A~------------------------~8
~- l'ovale mu. 21
Tracer les dimensions AB et CD de l'ovale à tracer sur deux
axes perpendiculaires.
De 0 pour centre, tracer un arc de cercle de rayon OA qui
coupe l'axe vertical en A'.
De C pour centre, tracer l'arc de cercle de rayon A'C qui
coupe AC en A".
Tracer la médiatrice de AA" qui coupe l'axe vertical en 02
etOAenO,.
De 01 pour centre, tracer l'arc de cercle AM de rayon 01A.
De 02 pour centre, tracer l'arc de cercle MM' de rayon
02M.
3
_ _......._ l'anse de panier
• Anse de panier à trois centres
Voir tracé de l'ovale paragraphe ci-dessus.
• Anse de panier à cinq centres : (fig. 3)
Tracer le segment AB correspondant à la longueur de
l'anse.
De A pour centre, tracer un arc de cercle de rayon AB, faire
de même à partir de B.
Les deux arcs se coupent en 01, tracer le segment AO,.
Diviser AB en 6 parties égales.
/
Du premier point de division, tracer la parallèle à A01.
/
Joindre 20 1 qui coupe la parallèle en 02•
De 1 pour centre, tracer l'arc de cercle AM de rayon 1A.
De 02 pour centre, tracer l'arc de cercle MN de rayon 02M.
De 01 pour centre, tracer l'arc de cercle NN' de rayon 01N.
1
CENTRES DE GRAVITÉ
Surfaces Volumes
1
OG =.b.. R2+ 2Rr+ 3r 2
4 R2+ Rr + r2
}; S X·
X= - -' - '
}; S;
y= }; S; Y;
}; S; .
OG = ~ • (2R - h)2
4 3R-h
1
• 1
Surface Figure
SURFACES USUELLES
Surface Figure
1
1 Volume
......1
Figure
:::1'1
VOLUMES USUELS
•
Volume Figure
a.b 1 1
a
1 .01 1
1
"TT . R2
~o 1 a.b . h 1 1
~
1 1 1 'f 1 S.h 1 1
-
1/ 1 .c
1 1 ... I 1 1 s
b .h
2 1 / \ ~1 1 TI(R '- r 2) 1
@ 1
S. h
3
1 //1\ \ . cl 1 ~ . (S+s+VSS)
B+ b .h
2 11 \ . cl 1 3R 2v'3
2 1
G "TT. R2h
Tl~
/ 1 '
"TT. R 2h
ffij '
-
b.h
2 1 1~ /1 ..cl
c b .. 1
1
3R 2v'2
1
1 G 1
"TT. R2h
-3-
1 / 1\ . cl 1"TT . h(R 2; r2 +Rr)
s,.s,.s,.s, 1 ·® a(~+
+ h3 + ...
+ hn,. +~
2
h2
)
1 ~~~~~~~..c1~1 1
(n -1) a
S .h
3
1 / 1 . cl 1 ~"TT
3 .
R3
MOMENTS QUADRATIQUES FORMULAIRE R.d.M
Figures 1u I.,JV 1, IJV, Figures
a 1
TA MfA '~'.
'·
m T
1
a'
12
a3
6
a'
6
a3V3
6 !~ ~
~
~A
c!P
e
B
p -Pa
'~'a = '~'c=
Pa
- 2EI
-Pa> (31-a)
6EI
1
~ x'
.:..:...c:
~- , -- bh 3 bh 2
~(h 2 +b") bhv'(h 2 +b 2)
12 6 12 6 pe> pe3 p e'
b
*A
p 1
B
pe --z - 6EI - 8EI
ffl~ bh 3 bh 3
1
~~'
36 24
1 b 1
pe> pe' pe'
pe -6 - 24EI - 30EI
~A
0
B
TI . R' 1T.R 3 1T.R3
~
TI . R'
4 - 2-
4 2
~~
~A B
pe -3
pe> pf3
-BEf
11pe•
- 120EI
y 1
r)
~~
1~ -~~J:y· 1, . + Sb2 IG+ S(a2+b 2)
B
0 - ce '~'a = '~'c =
~(e~a)
1"'. + Sb
2
v IG+ S(a2+b 2)
v, Je 1 'e a El 2
0 x
• a
Figures
·t; b
--- -- ---
TA
·-· -
TB
POUTRE SUR DEUX APPUIS SIMPLES
M, ....
-··-
x,M, ....
... --·-
4pA
..
41'a
. .. -· ·-
flèche max.
Al~
pour x = a
Pb Pa Pab - ~ (e- a)(2e -a) - ~~e
J" e e -e- a
6EJe
(f' -a') Pa' b'
3EJ e
e
.J p
~' Pe
2
Pe
2
PC'
2
e
2
-~
24EI
~
24EI
-~
384EI
·~
p a~ dépend de
2
~2 2
pa (2e- a)' 2 2 2
lB ~(e -~) - pa (2e- a)' - pa (2e - a')
A e 2e a
a .1' 2 Be'
a
24EI 24EJe
e
x= o.s1s e
·h====== "
---
~ --.Â
.• x • 1
pe
3
pe
6 9v'3
pC'
v'3
e -~
360EI
+~
360EI pe•
-153,2EI
Al
~ lB ~ ~ pC' e
2
-~ ~ -~
~ ~ 4 4 12 192EI 192EI 120EI
'fla
Ai
~ cg
lB --e a> b pour x= a
t a .L b
f -e '€ +~
e
-e '~ b
b> a
- ..'!._ (e'- 3b'J
6EJe
- ~(e' - 3a')
6EJ e
-
'€ab (b-a)
EJe
46 svstème S.l.
1
1
1
Unités Grandeurs 1 Symbole Unités Abréviation
Longeur L Mètre m
Cl>
:::J Surface s Mètre carré m'
:5
•Cl> Volume v Mètre cube m'
E
0
•Cl>
0 Angle plan Radian rd
Intensité 1 Ampère A
1
• Les adresses de cette liste sont mis à jour sur le site : www.hachette-education.com
>rubrique espace enseignants > sites sélectionnés > enseignement technique
Sites généralistes
www.cticm.com
www.construireacier.fr
www.etancheite.com
www.meple.com
www.soprema.fr
. Centre technique de la CM
Produits métallurgiques
Couverture étanché~é
Portail de l'étanchéité
Etanchéité et bardeaux
Etanchéité multicouches
www.batiweb.com Base de données de produits www.siplast.fr Etanchéité multicouches
www.qualiteconstruction.com Site sycodès www.terreal.com Portail des tuiles et briques
www.batiactu.com Portail TCE avec moteur de recherche www.monier.fr Couvertures en tuiles (Lafarge couvertures) 1
~-
"0
0 > (')
> www.batiproduits.com Accès aux produits TCE et GO www.ardoisieres-angers.com Ardoises
...... P" www.eternit.fr Couvertures libres-ciment 1
www.untec.com Fiches estimatives et descriptives 1
~ ~ www.batissor.com Fiches de produits de construction www.arval-construction.fr Bacs et bardages acier, planchers (Haironville, PAB)1
~~ www.batirenover.com Portail TCE avec moteur de recherche www.nicoll.fr Gouttières et tuyaux PVC
www.achard-sa.fr Gouttières et accessoires
§ ~~ www.lemon~eur-expert.com Le site du Moniteur du BTP
www.etanco.fr Fixations pour couvertures et bardages métal
www.interbat.com Portail TCE produits, Avis techniques
~- §·
..., ~
www.archicool.com Actualités architecturales Électricité
..., www.legrand.fr Equipements électriques
--- -
00
N
0 ~
l:l www.ciments-calcia.fr
Gios-œuvre
Fiches techniques sur les ciments www.hager.fr
www.sermes.fr
Tout le matériel électrique
Tout le matériel électrique
oon:::~
0 1 www.infociments.fr Fiches techniques sur les bétons et mortiers
www.lafarge.fr Ciments et bétons www.arnould.com Prises, interrupteurs, boîtiers
~ 0
......_ ::::
s
~ www.sika.fr Adjuvants pour bétons et mortiers Plomberie Chauffage
o g e. www.adets.org Aciers et panneaux soudés ADETS www.baxifrance.com Chaudières, brûleurs, radiateurs, ECS
::t. (l)
www.chappee.com Chaudières, brûleurs, radiateurs
www.armatures-allians.com Aciers et panneaux soudés ADETS
§ ~ www.doka.com Coffrages www.dedietrich.fr Chaudières, brûleurs, radiateurs
l:lo n www.rector.fr Composants béton www.finimetal.fr Radiateurs, planchers chauffants
0 êl www.kp1.fr PPB et Feder béton : composants en BA www.acova.fr Radiateurs
- $»
~- G" www.outinord.com Coffrages www.flamco.fr Vases d'expansion et accessoires divers
o..tD
..... :::: www.hussor.com Coffrages www.danfoss.com/france Contrôle, régulation, équilibrage
:;:t. (") www.robinetterie-hammel.fr Robinetterie chauffage et sanitaire
0 $» www.xella.fr Béton cellulaire (Ytong, Siporex et Hebei!
l:l @ www.comap.fr Robinetterie, tuyaux, planchers chauffants
Cha~nte Menuiserie
t:;jo ~ www.giacomini.fr Robinetterie, tuyaux, raccords, conseils
0
www.mii.com Fermettes et connecteurs (Mitek)
w www.glulam.org Le site du bois lamellé-collé www.grohe.fr Robinetterie
www.nailweb.com Poutres et connecteurs www.brossette.fr Tout le chauffage et le sanitaire
www.le-bois.com Portail de la filière bois Cloisons plafonds
www.site-en-bois.net/lr Le site de la filière bois www.placo.com Produits placoplâtre
www.fcba.fr Centre Technique du bois et de l'Ameublement www.creargos.com Portail produits du logement
www.velux.fr Fenêtres de toit Isolation ventilation
www.technal.fr Menuiseries alu et PVC www.isover.fr Produits isolants
Cnnetnu~ti""" -.&.t.... Ju... ,
www fn:1mnl:1~ fr ,._. --' · . ~... .- - ' - .. . ...