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CHAPITRE 2 : EXPLICATION DE CARTE I : LES FACTEURS

NATURELS DU PEUPLEMENT
Ce chapitre vise à expliquer la répartition globale de la population à l'échelle planétaire
et à donner les facteurs de localisation à plus grande échelle.
L'inégal peuplement des hommes est encore une énigme.
Le Gabon et le Congo sont par exemple deux Etats très peu peuplés. Cette faible
occupat° s'explique par la conjugaison de facteurs nat., sociaux et histo. L'énorme
masse forestière fait obstacle au peuplement pour des groupes humains réduits. Or, ces
espaces sont tjrs restés faiblement peuplés pr plusieurs raisons : insalubrité d'un milieu
tropical au paludisme présent dans sa forme la plus agressive; faible fécondité des
femmes, sans qu'on sache pourquoi, épidémies de variole au contact des Européens,
traite des esclaves, colonisation, ravages de la maladie du sommeil...

Le peuplement revêt essentiellemt un caractère contingent, ss déterminat° forcée par


des facteurs physiques.

I) Les contraites physiques

Les contraintes naturelles expliquent surtout les grands vides

1) Des climats limitants


On peut considérer que certains climats imposent aussi svt à l'homme des limitat°
fortes.
Les milieux les moins hab sont les + contraignants : polaire et montagnard, aride et
semi-aride.
Nette opposit° entre le littoral et l'intérieur, bien moins peuplé, ms aussi un contraste
très marqué entre façades continentales.
Ces densités soutenues correspondent au climat tempéré océanique ou semi-continental,
alors qu'aux mêmes latitudes sur les façades Est se trouvent des climats continentaux
aux hivers rigoureux.
1.1) Le froid

Principale contrainte : l'ho préfère les T° entre 10 et 30°c.


Dans cert1 cas extrêmes, la glace ou la neige persistante empêchent tte installat° :
l'Antarctique, montagneuse de surcroît, est ainsi à peu près vide; c'est même avec plus
de 7 millions de km² le + gd désert absolu du monde.
Mais on peut se protéger du froid : la Yakoutie, qui détient le record du monde du froid
après l'Antarctique est habitée.
Faibles possibilités de croissance végétale. Principale chute de densités intervient là où
agri pas possible. Au Canada par ex., la densité tombe brutalement au nord de la limite
des 160j sans gelées qui correspond à la limite de la céréaliculture. Pareil pour la
Russie.
Lorsque le gel permanent au sol rend l'agri impossible, on ne trouve qu'un élevage
extensif principalement de rennes et une activité de chasse et pêche.
Concentrat° plus importantes en présence d'intérêts stratégiq et éco : les mines de
charbon de Spitzberg et les mines de fer de Kiruna en Suède figurent ainsi parmi les plus
importants établissements humains des hautes altitudes.
Dans les milieux à hiver froid, le litto est svt davantage occupé. Il peut être un peu –
froid, y compris en climat continental mais il est surtout + riche en ressouces.
En Islande, 20% de l'île qui sont occupés correspondent aux plaines côtières et aux
rivages de fjords. La seconde grande contrainte climatique est incontestablement le
déficit en eau.

1.2) La sécheresse

La rareté ou le manque d'O expliquent que de gdes étendues soient très peu peuplées.
Ms l'insuffisance des pluies a le même effet q le froid sur les ressources alimentaires.
Limitées, celles ci n'autorisent qu'un peuplement restreint. L'agr devient très aléatoire
car très sujette à la variabilité interannuelle de la pluviométrie en dessous de 300
millimètres de précipitations moyennes annuelles et impossible sous 150 sauf irrigat°. Le
manque d'O entraine surtt une discontinuité du peuplement. Au Sahara, de vastes
étendues sont ainsi à peine parcourues par des éleveurs noamdes pratiquant un élevage
très extensif. La diagonale aride, du Sahara occidental au Takla Makan chinois est la plus
gde rég° nomadiste du globe. Des taches de peuplement correspondant aux espaces
cultivés, là où l'eau est maîtrisée, permettant alors des cultures irriguées très
intensives.

De vieilles civilisat° hydrauliq sont nées et ont prospéré ds des rég° désertiques. MS il
s'agit d'une mise en valeur coûteuse, souvent hors de portée des Etats, et qui produit des
aliments trop chers pour le marché mondial. La Libye récole du blé irrigué en plein
désert à un prix 7x supérieur au cours mondial.

Héliotropisme comme Sun-City ou Phoenix en Arizona


De mm, la densité des déserts d'Australie est quasi nulle en dépit des rares Aborignènes.
Qd il le faut néanmoins, on fait venir les pers nécessaires pr exploiter les ressources du
sous sol c'est notammt le cas ds la péninsule arabique où afflue une pop° originaire du
monde arabe et indien.
Ds ces riches champs pétrolifères, densités élevées : 128hab/km² au Koweit, 54 au
Qatar, 39 ds les Emirats Arabes Unis.
De véritables villes pétrolières sont égalemt apparues ds le Sahara : Touggourt et
Ouargla (Algérie) ont plus de 80 000hab.
Le caractère localisé de la ressource hydraulique énergétique ou minière provoque cpdt
une répartition du peuplement, sporadique

A l'except° de la vallée du Nil, les + gds foyers de pop° sont situés sous des climats qui
n'ont pas à souffrir d'un déficit d'humidité : climats subtropicaux de type « chinois »,
climats tropicaux humides, climats tempérés océaniques ou continentaux. En Inde par
ex, la carte des densités rurales coincide largemt avec celle des pluies

1.3) La chaleur humide

A priori, la combinaison de la chaleur et de l'humidité semble apporter des cond° idéales


à la vie. D'ailleurs, cert1 milieux tropicaux humides portent des pop très denses, avec
des rendements agr parfois très élevés comme l'Inde ou Java
Ce qui est très peu peuplé, c'est la forêt dense équatoriale, vectrice de nbeuses
maladies et parasitoses le plus souvent tranmises de par vastes tribus de moutiques et
de mouches. La chaleur humide du climat, entretenue par le couvert forestier, favorise
en effet les parasites, les virus et les batécries. Parmi les maladies les + dévastatrices :
paludisme, malaria, lèpre, fièvre jaune......
Particulièremt dommageable en Afrique centrale et orientale : la mouche tsé tsé ou
glossine, qui vit ds les forêts et les ss-bois tropicaux et équatoriaux et transmet la
maladie du sommeil ou trypanosomiase humaine. Attaque le syst nerveux et tue en
moins de deux ans : agit aussi sur les animaux : empêche le dévelpmt de l'élevage
Pourtant : la malaria n'empêche pas nn plus les fortes dentsités du delta du Bengale et
les maladies tropicales n'ont pas nui au fort peuplement de Java
La combinaison du sous peuplement et du sous dévelopmment techniq et médical rend
encore plus virulente l'agressivité du milieu naturelles
Le milieu n'explique pas les contrastes entre l'Asie tropicale et les autres milieux
tropicaux humides. L'Amazonie n'a pas de tsé tsé mais elle est très vide qd mm
Il semble q la difficulté de défrichement de la forêt dense équatoriale ac des moyens
techniques limités soit tt autant la cause de son faible peuplement.
Les trois contraites climatiques qu'ont a décrites permettent de rendre compte des
grands vides.
Aisi, les 15 pays les – densément peuplés du monde souffrent soit de la sécheresse
(Namibie, Mauritanie, Australie, Botswana, Libye, Kazakhstan, Tchad) soit d'un milieu
chaud et humide (Surinam, Guyana, Gabon, Centrafrique, Bolivie ds sa partie
amazonienne, la plus étendue) soit du froid (Mongolie, Islande, Canada).

2) Le relief

certains vides étendus s'expliquent par la présence de hautes montagnes ou de hauts


plateaux : Himalaya et Tibet, Rocheuses, Andes méridionales. D'1 façon gnale, la densité
de pop diminue avec l'altitude ms non linéairement : la densité moyenne chute
brutalement dès les 1ers relierfs car les gds foyers sont ds les plaines. En 1945, 8% des
ho vivaient à + de 1000m d'altitude et 1,5% slmt à + de 2000mn alors que 56% vivaient à
moins de 200m où les densités étaient 2x supérieures à la moyenne mondiale

Les pentes raréfient les sols agri, gênent les labours, facilitent l'érosion, entravent la
rétention d'eau et rendent plus ardue la mécanisation. La pente perturbe aussi
l'irrigation, car elle implique des systèmes de banquettes avec terrasses plus compliqués
et plus couteux, y compris en travail.
• mal des montagnes (rarificat+ de l'0²) à partir de 6000m
le record d'altitude du peuplement permanent est détenu par des communautés de
mineurs du Chili septentrional vers 5500m.
La pop mondiale vit à 320m d'altitude en moyenne (95m en australie, 168m en europe,
319m en Asie, 430m en Amerique du Nord....)
Ces variat° s'expliquent par le milieu phy : ds la zone intertropicale, les hautes terres
sont d'abord plus salubres, car elles sont exemptes de grandes maladies tropicales
comme le paludisme, qui disparaît au dessus de 2000m, la fièvre jaune, absente au dela
de 1000m...
En Equateur, 85% de la pop vit ds les Andes et 98% en Bolivie où 7hab/10 vit à plus de
3000m.
En Ethiopie, 9hab./10 vivent sur des plateaux humides d'altitude

L'étagement favorise généralement la variété des prod agricoles, surtt aux latitudes
tropicales où la végétat monte jusqu'à 4800m soit 2x plus haut qu'aux lat moyennes
L'abaissement mécanique de la t° avec l'altitude de 0,6°c ts les 100m représente un
handicap important pr l'agr aux latitudes tempérées car l'allongement de la durée de la
saison froide qui en résulte empêche la culture de certaines plantes.
Les très hauts reliefs du Tibet et des montagnes du confins chinois réduisent les densités
à moins de 2hab/km²

Ds les régions méd., la montagne = réservoir d'humidité, exempt de la malaria. Les très
fortes pentes limitent l'étendue des sols cultivables et gênant la circulation, ce q
explique la concentrat° fréquente des ho dans la vallées, surtt là où les glaciat° les ont
élargies. Le sillon alpin compte ainsi + de 100hab/km²
Ds l'ensemble, les montagnes sont peu urbanisées. La Suisse et l'Autriche ont des taux
d'urb inférieurs à la moyenne europ.
Nb de ces reliefs tempérés se sont vidés depuis le max de peuplement du siècle dernier
car ils étaient surpeuplés : avec l'accroissement démo, leurs ressources étaient devenues
insuffisantes. Une émigrat° temporaire, saisonnière, a souvent précédé l'exode définitif.
Le désenclavement a fav une ouverture éco venue concurrencer voire ruiner les activités
locales, aggravant svt l'émigration.

« l'or blance », c'est à dire les champs de neige à ski, ont entrainé la naissance de vraies
ville squi comptent parfois de 20000 à 30000 hab telles Chamonix ou Courchevel.
Certaines stations de sports d'hiver ont même battu des records d'établissement en
altitude : celle de Tignes dépasse le village de Saint-Veran comme plus haute commune
d'Europe. La partie de la Fce la – densémt peuplée ne correspond d'ailleurs pas à nos
plus hauts reliefs (les alpes du nord) mais plutot à des régions de plateaux comme la
Lorraine, la Bourgogne ou le Massif central traversés par la diagonale du vide.

Ds les Rocheuses, par ex, qui ne comptent que 2 à 3hab/km², les ressources en minerais,
en énergie, en eau ou en bois sont abdondantes et la circulation assez commode. Les
contraintes nat ne suffisent pas à expliquer de telles différences.

Ds les campagnes des deltas et pplaines côtières et alluviales, rizicoles, fertiles, on


atteint des densités rurales de plusieurs centaines et même 2 000 hab par km² alors que
les arrière-pays montagneux sont vides. En Chine 97% de la pop vit sur – de la moitié du
territoire tandis que l'ouest montagneux est vide.

3) L'hydrographie

La domestication de l'O des gds fleuves permet l'irrigation et dc de + fortes densités.


Assez svt, les gdes vallées sont mieux peuplées pr diverses raisons, mm si naturellement
toutes ne le sont pas.
Ressources supplémentaires en eau et les facilités de communication offrtes par le
fleuve et/ou sa vallée font que celle ci est souvent davantage peuplée que les
interfluves. La carte de l'Europe révèle ainsi les + fortes densités hydrographiques :
Plaine du Pô, axe rhénan, gdes vallées alpines...
En Fce, la carte des densités souligne de mm le tracé des fleuves – Rhône, Loire,
Garonne, Seine, Rhin, Escaut, Meuse... → créant des couloirs de population
La Fce est dc caractéristique de ce mode de distribution linéairement
Non moins impressionnantes sont cert1 peuplements hydrographiques de la zone
tropicale humide tels que la vallée du Gange
En milieu trop sec ou semi aride, le contrôle de l'O explique q certaines rég° peu
arrosées connaissent malgré tout des densités localement soutenues, comme ds les
vallées de l'Indus, du Nil et ds les gdes vallées fluviales irriguées d'Asie centrale et du
Moyen-Orient, telle la Mésopotamie
Cela dit, ttes les vallées ne drainent pas le peuplement. Des maladies liées aux milieux
humides, les difficultés de franchissement ou les crues peuvent limiter leur occupation.
Les rives de l'Amazonie, le plus lg fleuve navigable du monde, ne sont guère peuplées.

En Tunisie, 91% des entreprises indus, 75% de la main d'o industrielle et des citadins, 96%
des aménagements touristiques et l'essentiel des réseaux (ports, aéroports, routes, voies
ferrées, téléphone) sont locaisés ds une bande de 10km de largue sur la côte.
Ts les littoraux ne sont pas pr autant peuplés, nombre d'entre eux sont inhabités, qu'il
s'agisse de déserts côtiers (au sens climatique) là où des courants d'eau froide
empêchent les précipitations (Namibie, Californie mexicaine,...) ou des déserts zonaux
atteignant le littoral (Australie occidentale, Sahara, Arabie)

4) Les sols

Des qualités pédologiques diff créent surtout des variat° locales, soit directement via la
capacité productrice et le potentiel nutritif qui en résulte, soit indirectement selon la
quantité de main d'oeuvre exigée. Ds l'ex du Nebraska, le résidu négatif observé est dû à
une pauvreté locale du sol. En domaine semi-aride ou méditerranéen, de tels bad lands
sujets à érosion sont délaissés. En milieu tempéré, le contraste est classique entre les
plateaux calcaires perméables et donc secs et relativement vides et les massifs
cristallins aux sols imperméables par conséquent plus humides. Partt des types de roches
volcaniques donnant des sols fertiles sont recherchés, comme dans certaines îles ou à
Java

Certains « greniers du mond » comme la Beauce, le Middle west ou la ceinture


céréalière australienne reposent par ex sur des syst céréaliers hypermécanisés peu
exigeants en main d'oeuvre et sont de ce fait peu habités contrairement aux autres
grands greniers à céréales de la planète que snt les régions rizicoles asiatiques
Certains dépôts superficiels pauvres contribuent à l'abaissement des densités régionales
ou locales. C'est le cas des terrains sableux en Sologne ou dans les Landes de Gascogne
et de Lunebourg, entre Weser et Elbe

Chacune de ces contraintes phy intervient de tte façon rarement isolément, ce qui
amène à tenter d'évaluer leur rôle respectif

II) LA PART DU MILIEU


1) Une combinaison de facteurs physiques

Un caractère naturel isolé explique rarement à lui seul la densité du peuplement. On a


plus souvent une combinaison de facteurs, au poids inégal et plus ou moins convergents.
Même dans un pays très développé et de peuplement dense et ancien comme la Frce, les
régions les – peuplées correspondent souvent à des milieux + difficiles. Les montaignes
et des plateaux océaniques comme les collines de Normandie sont moins occupés à
cause de la péjoration des cond° agr sous l'effet de la dégradation du climat, de
l'accentuation des pentes et de la minceur des sols.
Inversement, les milieux + fav sont davantage occupés : plaines (alsace, bassins du
Massif central, Flandres), vallées, littoraux, coteaux viticoles, bassins miniers (Nord,
Lorraine, St Etienne, Alsace et petits bassins du Massif central)
Ainsi globalement à l'échelle planétaire comme à l'échelle régionale, les parties les –
peuplées coincident avec les milieux les plus hostiles et inversement

2) A milieux similaires, densités contrastées


Vidal de la Blache écrit « aucune de ces causes ne peut être négligée, aucune ne peut
suffire. Tout ce qui touche à l'homme est frappé de contingence »
Effectivement, on relève d'étonnantes variations au sein de mêmes milieux physiques,
quelle que soit la zone considérée
En zone tempére : le R-Uni compte 60 mill° d'hab contre 3,9 en Nouvelle Zelande
pourtant un peu plus vaste. Sur les façades est subtropicales, les plaines du Mississippi
ou de la Pampa argentine sont 10 à 20x – peuplées que celles du Huang He ou du
Yangzijiang.
L'Océanie tropicale = très faiblement peuplée, à l'image de l'Australie du Nord humide,
quasi déserte. L'asie méridionale et extrême-orientale est infiniment plus dense
(208hab/km² ojd pour le monde indien et de l'asie du sud est) que le reste du monde
trop.
L'Amérique du sud tropicale est 10x – dense (environ 20hab/km²) et a un peuplement
périphérique, montagnard et littoral, avec un gd vide amazionien. L'afrique tropicale est
faiblement habitée mais elle a surtout selon une disposition complexe, avec des noyaux
de forte densité disséminés comme au hasard au milieu d'immenses étendues peu
peuplées, tantôt sur les reliefs, tantôt sur les côtes, sur des sols qui peuvent être riches
ou médiocres alors que des sols riches sont parfois dédaignés avec une pluviosité faible
et irrégulière dans certains cas ou abondante tte l'année dans d'autres
Les deltas peuvent etre vides ou incroyablement peuplés : le delta du Fleuve Rouge (au
Vietnam) a plus de 500hab/km² tout comme celui du Huang He alors que ceux du
Mekong (Vietnam) ou de l'Irrawaddy (Birmanie) en ont moins de 200.
Des montagnes sont désertes alors que d'autres sont surchargées. Des forêts sont
pratiquement inhabitées alors que d'autres ont été entièrement défrichées. Les vastes
cuvettes amazoniennes et congolaises ne portent que 8% des hab du globe sur 28% de sa
surface, à la même latitude que l'Asie tropicale où le rapport s'inverse : 25% des hab sur
8% des terres. L'Amazonie n'a que 0,2hab/km² sur une surface 7x plus gde que la France
alors que ses sols ne sont pas + médiocres que ceux d'autres régions équatoriales
densément occupées et que le complexe paludéen n'y est pas plus virulent que dans
d'autres contrées habitées.

Ainsi, des représentations collectives, des habitudes expliquent certaines anomalies


apparentes, comme par ex au Japon le vide relatif des montagnes, même dans leurs
vallées, qui contraste avec la forte occupat° des plaines. A la diff de la Chine, les reliefs
ne sont pas défrichés pour des raisons culturelles : en japonais : yama signifie aussi bien
la montagne que la forêt, c'est le domaine des esprits et des mystères.
C'est la raison pr laquelle les facteurs histo sont souvent bcp plus importants, surtt pr
expliquer les pleins des cartes.

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