CAHIER DE GÉOGRAPHIE

Les repères spatiaux à maitriser en début de seconde.

 A SAVOIR :

Agglomération: ville qui est formé de centre-ville et de banlieu

Métropole: ville importante qui concentre des activités et elle exerce une attractivité sur
l’extérieur.
Échelles :

- Locale : 5-10km
- Régionale : 10-80km
- Nationale : 100-1000km
- Continentale
- Mondiale

Mégalopole : quand des métropoles sont devenus des mégapoles, puis quand les mégapole se
touchent, ceci devient un mégalopole.
 THÈME 1 : SOCIÉTÉS ET ENVIRONNEMENTS :
DES ÉQUILIBRES FRAGILES.
Problématique : Quelles sont les interactions entre les sociétés et leurs
environnements?

Étude de cas : L’Arctique, entre fragilité et attractivité.

Intro :

Les sociétés aménagent et valorisent leurs environnement mais des inégalités

apparaissent car il y a d’importantes différences dans la gestion des ressources et
des risques.

Environnements
Températures très froides, très
déserté. Océan qui se compose d’une
banquise (couche de glace formé par
de l’eau douce recouvrant le
Groenland.)
Sociétés
10 % sont des autochtones, ils
dépendent sur les rennes pour le
transport. 7 millions d’habitants.

Hausse des températures, celui Le réchauffement de la planète

entraine la décongélation de la glace. cause un problème dans l’élevage
Ceci est mauvais car plusieurs des rennes.
animaux sont faits pour rester dans le Pas de végétation.
froid. Arrivée de nouvelles activités
Risque de fonte du pergélisol qui (tourisme, exploitation)
libère du gaz à effet de serre qui
accélère l’érosion du littoral et qui
rend les infrastructures instables.
Meilleure accessibilité de L’arctique
d’où explosion des activités
humaines.

1- Située au Pôle Nord, dans l’Océan Arctique, entre l’Amérique et l’Europe, à

l’intérieur du cercle polaire. Il compte 7 millions d’habitants, 10% de
personnes autochtones.

2- 30 % des ressources mondiales de gaz; 13% de celles du pétrole.

Les enjeux environnementaux de L’Arctique

L’exploitation du Pôle Nord ne ravit pas tout le. Monde. Greenpeace (association
non gouvernementale) et bien d’autres expriment ainsi leurs désaccords. En effet,
cela coûterait beaucoup à l’environnement de voir cette zone devenir exploitée et
dépouillée de toutes ses ressources.

Le réchauffement climatique fait fondre la banquise arctique, ce n’est pas nouveau

depuis maintenant plus de 35 ans. Mais les russes, ou l’état a qui cette zone
appartiendra, pourront profiter de ce réchauffement pour avoir un accès facilité et
donc une exploitation des ressources dans de meilleures conditions.

Néanmoins, les grandes entreprises pétrolières en notamment total, ne sont pas

prêtes à s’engager dans une telle épopée. En effet, les eaux glacées de l’océan
Arctique ne pourrait supporter des marées noires, et l’exploitation pétrolière n’est
pas sans risque. Ainsi, pour l’environnement (mais aussi parce que ça les arrange
pour se concentrer sur les gaz naturels) certains se rétractent.

Si les risques de marées noires engendreraient une catastrophe écologique, les

fuites de gaz ne sont pas non plus conseillées pour la pollution de l’air.

Enfin, la conquête du Nord peut aussi avoir de grave conséquence sur la population
et la terre environnante. Comme le souligne Yvette Vaguet, géographe : « La
facilitation des transports du fait de la diminution de la glace maritime amènera
aussi des inconvénients »

Question à faire

Le pétrole, le gas, par contre, tous des ressources naturels, les acteurs sont la Russie, le Canada,
les États Unis, et le Danemark et la Norvège. C’est un enjeux financier (combatte, diamant,
pierres précieuses, métaux, etc...)

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Les États-Unis, le Canada, la Norvège, la Russie ainsi que la Danemark sont les 5 états riverains
de l’océan Arctique. Chacun de ces pays possède une ZEE (zone économique exclusive) qui
jusqu’à maintenant ne pouvait être utilisé facilement à cause de la banquise.

L’Arctique est une terre pleine de ressources rendu plus accessible avec la fonte des glaces.
L’épuisement des gisements mondiaux rendent l’Arctique beaucoup plus attractive… Elle n’est
pas seulement source de pétrole, mais aussi de gaz. L’Arctique détient dans ses profondeurs, de
nombreux gisements de minerais non ferreux ainsi que des diamants! Une des plus grandes
mines se trouve sur le territoire canadien en Arctique, et correspondrait à 6% des réserves
mondiales en diamant.

Notions également que les eaux sont très riches pour la pêche et que ce nouvel espace attire les
investisseurs touristiques.

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I- LES SOCIÉTÉS FACE AU RISQUES

Comment les risques dans un contexte de changement global, relèvent-ils l’inégale vulnérabilité
des sociétés?

Aléa : Évènement d’origine naturelle technologique ou sanitaire qui a une probabilité plus ou
moins forte de se dérouler.

Vulnérabilité : Fragilités des sociétés face à un aléa. Elle varie selon leur préparation et leur
capacités à y faire face.

Risques : En géographie un risque est la possibilité qu’un aléa se produise et touche une
population vulnérable à cet aléa.

LES RISQUES NATURELS :

Géologiques : Séismes, éruptions volcaniques, Tsunami.

Climatiques : Cyclones, tempêtes, inondations.

Relevez d’autres risques carte p303

Glissement de terrain, grêle, vent violent, sécheresse, incendie, vague de chaleur,

etc…

Les risques anthropiques : Ce sont des risques liés à l’activité humaine. Ils sont de
plus en plus nombreux et accompagnent le développement notamment industriel
des pays.

Catastrophe nucléaire de Fukushima, 11 mars 2011

Accident nucléaire majeur de niveau 7
Catastrophe de l’usine AZF, Toulouse, 21 septembre 2001, 10h17.
Explosion d’un stock de nitrate d’ammonium.

Catastrophe du Lac Mégantic

B : DES SOCIÉTÉS INÉGALEMENT EXPOSÉS. Carte p300

1- Quelles régions sont les plus exposés aux risques naturels?

Les régions les plus exposés aux risques naturels sont l’Océanie et l’Afrique. Mais
surtout en Océanie à cause des incendies de forêts, des cyclones, etc…

2- Dans quelles régions le changement climatique aggrave-t-il fortement

l’expositions aux risques?

Principalement les pays dans le sud-équateur. Les zones les moins élevées,
litoraux, les zones de pleines, les zones de fleuves.

3- Où et jusqu’à quel point les sociétés peuvent-elle réduire les risques?

Les sociétés peuvent réduire les risques naturels en demander à la population de
recycler ou essayer d’utiliser moins de pétrole. Mais ceci dépend aussi sur le
développement du pays.

BILAN

Les sociétés sont exposées à des risques nombreux et différents. Les aléas naturels
sont nombreux, sismiques- climatiques. Ces derniers représentant d’ailleurs 90 %
des catastrophes. Il ne faut pas écarter les risques technologiques qui progressent
avec le développement surtout dans les pays avec de faibles moyens de contrôle.
Les risques sanitaires sont également préoccupant. La mondialisation entraine une
diffusion large et rapide des épidémies où encore une fois, tous les pays n’ont pas
la même vulnérabilité.
Les risques augmentent le développement, avec l’urbanisation, la littoralisation,
l’industrialisation des espaces. Souvent les espaces exposés aux risques sont des
régions de forte densité sur la planète. Cela résulte souvent d’un peuplement
ancien, près de l’eau, près de terres fertiles, ce qui explique les concentration de
population dans les vallées ou les littoraux par exemple.
Les pires au meilleurs pays :

PMA : (pays moins avancés) ex : Haïti

PET : (Pays en transition)
BRIC:( Brésil, Russie, Inde, Chine)
Pays riches : Japon

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Celui-ci mesure le taux de développement humain d’un territoire. Il est calculé en

fonction de trois facteurs : le PIB par habitant, l’espérance de vie à la naissance et
le niveau d’éducation. 0 correspond au développement le plus faible, et I à un
développement très élevé.

II- Des ressources majeurs sous pression : tensions et gestion

a- Une ressource majeure sous pression; l’exemple de l’eau.

Dans la première photo, qui se situe en Gambie, qui se situe en Afrique, on observe
que les personnes sont en train d’arroser de l’eau dans un seau lors d’une micro-
installation hydraulique-solaire, alors, montre une ressource d’eau très faible. Dans
cette photo, je dirais qu’on se situe dans un PMA. Dans la deuxième, on observe
qu’il y a un énorme fleuve d’eau, qui est utilisé pour l’électricité. Dans ces deux
photos, on essaye de comparer la consommation des ressources. Dans un côté, la
consommation très inférieure (manque des ressources) et dans l’autre, la
consommation supérieur (trop de ressources).
 La carte de gauche met en
évidence les régions qui ont de
l’eau disponible et les autres.

La carte de droite met en évidence

la consommation de l’eau par rapport à sa
disponibilité.

On remarque que la consommation très

supérieure dans les régions où l’eau n’est pas
très disponible.

Accès à l’eau : accès à domicile ou à au

moins d’un kilomètre à minimum de 20
litres d’eau potable par personne et par jour.

Nappe fossile : nappe d’eau souterraine non renouvelable à l’échelle humaine.

Étude de cas : Lesotho, en Afrique du Sud

On commence à manquer d’eau et doivent faire des heures de marche pour

atteindre leurs besoins quotidiens. Il y a une mauvaise distribution. Pour prendre
l’eau, ils ont fait un barrage, mais le Lesotho n’a pas les moyens d’accéder à ce
barrage.

Les habitants de Sephareng, au Lesotho, ont vue sur l’immense barrage de Kate,
mais ils n’ont pas accès à l’eau : elle part en Afrique du Sub. Une ironie d’autant
plus cruelle que tous souffrent de la sécheresse.
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Colorado est un fleuve, il est entrain de souffrir de la sécheresse à cause des

agricultures intensives. Les hivers sont beaucoup moins froids et il y a moins de
pluie.

Causes : moins de précipitations, agriculture intensive, activités touristiques,

jardinage d’ornement, besoin de la population (boire et se laver) piscine…
problème : le delta au Mexique est asséché et la mer remonte dans les terres ce qui
empêche l’agriculture et détruit l’écosystème. Mesures : Flic des eaux à Las Vegas
qui contrôlent.

L’eau douce qui représente 2,5% de l’eau sur terre est nécessaire à la vie, à
l’agriculture mais aussi dans l’industrie. C’est une ressource abondante mais
surtout mal répartie.

Le besoin devrait augmenter de plus de 50% d’ici à 2050 avec l’essor

démographique et le développement.

Eau douce. Elle est présente près des pôles et le long de l’équateur de manière
assez abondante sur des territoires de faibles densités. Au niveau des tropiques les
fortes densités et l’aridité la rendre plus insuffisante. Les régions d’Afrique du
Nord, de l’est et du Moyen-Orient sont en pénuries.

•Eau potable: 1être humain sur dix n’a pas accès à l’eau potable. Son accès est
conditionné par la maitrise de moyens techniques et financiers. L’accès est aisé
dans les pays développés et émergents tandis que les pays en développement ou
PMA n’y parviennent pas ou mal malgré des ressources souvent généreuses.
•La surexploitation entraine des pénuries et une dégradation de la qualité de l’eau.
Le débit des fleuves est réduit et la pollution augmente. Le partage des ressources
en eau engendre des conflits d’usage.

•Il faudrait donc économiser cette ressource, ex réducteur de pression sur les
robinets, récupérer les eaux de pluies. Il faudrait aussi règlementer davantage
contre les pollutions. Ex pesticides. Il faudrait également mieux s’entendre et
coopérer pour partager mieux cette ressources entre états.

b- Gérer durablement les ressources

- des ressources très convoitées.

La transmission énergétique, c’est quoi?

Chaque jour, nous consommons de l’énergie qui est devenu indispensable dans
notre quotidien, sans elle, nous n’avons pas de chauffage, ni d’électricité. Pour
bénéficier de ce confort, nous produisons de l’énergie de différentes manières.
Depuis longtemps, nous utilisons des énergies fossiles, par exemples le charbon, le
pétrole et le gaz. De nos jours, la plus-part de nos équipements les utilisent, par
exemple nos voitures qui roulent à partir d’essence. Dans les années 70, la France à
commencer à investir dans le nucléaire, aujourd’hui, ce sont 58 réacteurs qui
produisent le trois-quarts de notre électricité. Mais le nucléaire, c’est également des
déchets qu’il faut traiter et des mesures de sureté qu’il faut garantir. Enfin, il y a les
énergies renouvelables, la nature fournis sans limites ses matières premières. Elles
permettent de produire de l’énergie de façon beaucoup moins polluante, mais elles
sont également variables. Mais la transmission énergétique, c’est également
s’interroger sur notre consommation d’énergie. Nous n’avons pas tout le temps la
conscience que l’impact de nos gestes peut être négatif. Par exemple, quand on
utilise toute les lumières chez nous, ceci est un gaspillage d’énergie car on utilise
pas toutes les pièces en mêmes temps. Il faut garantir un accès équitable à tout le
monde et, en effet, moins gaspiller.

Énergie fossiles Ex : Gaz, pétrole, charbon.. On utilise

pour les voitures, pour les usines, etc…
Énergie renouvelables Ex : Eau, soleil, vent, etc…
Énergie nucléaire Ex : Utilisée pour les réacteurs.
RENOUVELABLES NON RENOUVELABLES
Nature, ex : vent, soleil, du bois, de Ressources limitées, on ne peut pas les
l’eau, chaleur. réutiliser.

Fossiles, ex : charbon, gaz, pétrole,