Thème 1 

: sociétés et environnements, des équilibres

fragiles.

Chapitre 1 : les sociétés face aux risques.

Aléa
enjeu
vulnérabilité
risque
catastrophe
protection
prévision
prévention
résilience

Comment les sociétés font-elles face aux risques ?

II. La diversité des risques

A. l’inégale exposition aux risques naturels

les espace les plus soumit au risque naturel sont, les littoraux et les vallée
fluviale. Les densités et les aléa y sont plus élever. Les aléa d’origine
géologique se concentre surtout dans les zones de contacte de plaque
tectoniques. La ceinture de feu du pacifique touche à la fois la cote ouest
des US et l’Asie du sud est. Elle concentre à elle seul la grande majorité
des volcans actifs est des séisme de la planète. Les aléa climatique
concérne l’ensemble des continent même si il touche davantage les zones
situer vers l’équateur etc etc.
 B. Des risques accrus par l’activité humaine.

Les catastrophes lié au risque technologique prennent plusieurs formes :

les accident nucléaire.

Les marées noir.
Les catastrophes chimique.

Elle peuvent faire des victime et des dégât matériel. Mais elle peuvent
aussi dégrader durablement les écosystème. Ces risques se concentre dans
les pays industrialiser et sont donc principalement dans les pays du nord.
La hausse de la population mondiale, l’accroissement des densité et le
développement augmente les enjeux et donc les risques.

III. Les sociétés face aux risques

A. Une inégale vulnérabilité.

il existe un indice de risque qui évalue le degré de vulnérabilité d’une

population. Il prend en compte le niveaux d’exposition, les dommage
potentiel, la capacité à prévoir le risque et la résilience.
La vulnérabilité varie selon la densité de population, le lieu de vie, niveaux
de développement du pays, la culture du risque.

B. Prévoir les aléas et prévenir les risques.

Faire face au risque commence par la prévision des aléa. Des dispositif de
surveillance des aléa se sont multiplié et deviennent plus performant :
-des satellites météorologiques.
-Des observatoire volcanologique et sismiques.
Il est essentiel de sensibiliser les population en les exposant à la culture du
risque.
 C. Protéger les population.

Des inégalité existe entre les pays riche et les pays en développement.
Le coup très élever de certain élément.
Pourquoi les societé sont inégalement vulnérable ensuite nous verron en
quoi cette vulnab

Chapitre 2 : Des ressources majeures sous pression :

tension, gestion.

La gestion des ressources est essentiel pour l’avenir des sociétés. La

ressource est un élément qui est utile à l’homme et mis en valeur.

Comment les sociétés gèrent-elles une ressource, source de tension, dont la

durabilité est menacée ?

I. La difficile gestion des ressources : l’exemple de l’eau.

A. Une ressource inégalement répartie.

La planète recouvert à 70 % d’eau et seulement 3 % représente de l’eau

douce.

Les principale sources d’eau sont les nappes phréatique, les glacier, l’eau
de pluie.

Cette eau douce est difficile d’accès, puisqu’elle est en majeur partie
souterraine.
A l’aide de la carte page 286-287 du manuel, commentez la répartition des
ressource en eau douce aux échelles mondiale, continentale et nationale.

Certaine source d’eau sont « rapatrié » vers les grande ville plutôt que vers
les villes en besoin.

L’eau est très présente dans les zone équatorial en raison de forte
précipitation qui permet de remplir les nappes phréatique. Il y à un petit
nombre de pays qui vont concentrer les parts les plus importante. Il y à 9
pays qui détiennent 60% des réserves d’eau. Ont appellent ces pays les
puissance de l’eau.
L’eau est très rare en zone aride : Afrique du nord/ subsaharienne.
A l’échelle national, la présence d’eau douce n’est pas uniforme. Les État
Unis qui font parti des principaux détenteur d’eau ont aussi des zone aride.
La présence de fleuve représente une source d’eau majeur qui peut y crée
des tension, car ces fleuve traverse plusieurs pays. Lorsque l’eau n’est pas
suffisante nous faisons face au stress hydrique, lorsque que la demande en
eau dépasse la quantité disponible sur une certaine période.
Pour assouvir les besoin vitaux de la société, il faut avoir de l’eau et de la
nourriture en quantité et en qualité.
L’ONU considère un accès satisfaisant à l’eau lorsqu’un individue dispose
de 25 L d’eau par jour et qu’il dispose d’un point d’eau à moins de 200m
de son habitât.

B. une ressource sous tension.

L’eau douce est utilisé pour irrigué les terres agricoles, pour faire
fonctionné les industrie et pour les besoins domestique. L’eau douce sers
avant tout à se nourrir. La consolation d’eau à l’échelle mondiale augmente
à cause de l’augmentation de la population. Selon l’ONU, un individu
utilise environ 137 L d’eau par jour. La moyenne mondiale cache
importante disparité entre continent et entre pays.
II. La recherche d’une nouvelle gestion des ressources.

A. Vers une gestion plus durable des ressources.

Le développement durable, c’est un développement qui répond au besoin

des génération actuelles sans compromettre la capacité des génération futur
à répondre au leurs.
Trois objectif majeur :
- économiser l’eau
- réduire les inégalité d’accès
- préserver la qualité de l’eau.

B. un coopération pour une gestion plus durable.

Conclusion
L’eau est une ressource inégalement répartie à l’échelle mondiale et de
plus en plus exploité se qui peut générer des tensions. La recherche d’une
gestion plus durable à un objectif environnementale mais aussi

Chapitre 3 : La France des milieux métropolitains et

ultramarins entre valorisation et protection.

Milieu : espace marqué par la combinaison de composant naturelles qui

sont modifiées par les actions humaines.

La France abrite une grande diversité de milieu qui sont fortement mis en
valeur et dont la protection et nécessaire.

Comment la France parvient-elle à valoriser et protéger son

environnement ?
I. Une diversité de milieux mis en valeurs

A. Une pluralité de milieux.

La France est séparé entre des milieu métropolitain et des milieu

ultramarin qui vont avoir des caractéristique différent.
La France métropolitaine dispose d’un climat tempéré alors que les
territoire ultramarins vont avoir un climat tropical.
L’ensemble du territoire français et aménager et traverser par des réseaux
de transport.

B. Des milieux fortement valorisés

Pour mettre en valeur les potentialités des milieux, ils sont anthropisés
(modifiés par des activités humaines).
Pour favorisé les cultures des terres, celle-ci ont était déboisé.
Développement de zone industriel, création de zip sur les littoraux.
Mise en tourisme des territoire avec l’aménagement des massifs
montagneux (station de sport d’hiver) et aménagement des littoraux.
Urbanisation avec une modernisation des moyen de transport, l’objectif et
d’accéléré les échanges.

Contrainte : élément de l’espace qui gêne les activités humaine.

En métropole, les contrainte ne sont pas nombreuse.

Ex : la montagne n’es plus une contrainte (route construite).
La circulation y est possible et l’altitude et le froid sont même valorisée
pour diverse activité.
Les territoire ultramarin souffre de deux contrainte principales : leur
éloignement et leur insularité.
II. Des milieux fragilisés qui présentent des risques.

A. Des milieux fragilisé par l’activité humaine.

La ou elle est la plus marqué, la valorisation entraîne des dégâts :

L’agriculture provoque la pollution des sols et eau.

Le tourisme de masse entraîne des transformations de paysage et le

bouleversement écosystème. L’urbanisation et la construction de grande
infrastructure de transport menace les milieux naturel et peuvent entraîné
de la pollution.

B. Des risques multiples aggravés par l’activité humaine.

III. La protection des milieux et la gestion des risques

A. la protection des milieux est-elle compatible avec leur

valorisation.

Depuis 1960, l’État crée des parque nationaux. C’est à dire des zone où la
faune et la flore sont respecté et protégé. Chaque parque est constitué de
deux zones :

- une de cœur ou la réglementation est très stricte.

- une d’adhésion ou les commune signe une charte qui liste les action
autorisée.

Cet exemple, permet de montrer que la valorisation et la protection sont

intimement liée. La protection permet la mise en valeur et que la mise en
valeur finance en parti la protection.
B. la gestion des risques.

Une politique de gestion des risque c’est progressivement mise en place en

France à partir des année 1980.
Dans cette legislation, la gestion des risque s’articule autour de trois axe :
- la connaissance des risque
- la mise en place de mesure de prévention
- la gestion des secoure en cas de catastrophe.

Plan de prévention des risques : documents qui délimite les zones à risque
en vue d’en réduire l’occupation et d’informer les populations concernées.

- Marée noire
- incendie

-pollution tout genre

- bateau de gens gentil

la France dispose de milieux varié qui sont plus ou moins mis en valeur et
protéger. La valorisation et la protection de ses lieux sont extrêmement lié.
La protection peut être facteur de mis en valeur par le tourisme.

Thème 2 : territoire, populations et développement :

quels défis ?
Paragraphe inde :

En 2018, l’Inde a enregistré le meilleur taux de croissance du PIB parmi

les pays du G20 (+7,4%), devant la Chine (+6,6%). Une performance qui
résulte d’une meilleure gestion des politiques macroéconomiques et d’une
orientation plus claire des politiques appliquées. Cependant, selon les
calculs d’Euler Hermes, la croissance économique indienne a ralenti au T1
2019 (+6,2%). En cause, une consommation privée moindre et des
incertitudes entourant l’issue des élections.
Toutefois, le modèle indien semble en mesure de tirer avantage du
prochain cycle économique mondial. L’économie indienne pourrait ainsi
atteindre d’ici 2025 la taille de l’économie allemande (plus de 4 000 Mds
EUR). Et pour y parvenir, le prochain gouvernement indien devra relever 3
défis majeurs.

Défi n°1 : ouvrir ses marchés aux capitaux étrangers et

réduire le nombre de mesures protectionnistes
Malgré les efforts de l’administration Modi pour ouvrir les marchés
indiens aux capitaux étrangers, il reste encore un long chemin à parcourir
pour combler les lacunes financières du pays et proposer des opportunités
aux investisseurs du monde entier. Les ressources financières indiennes
sont limitées, avec une dette publique élevée (la dette globale du
gouvernement représente environ 70% du PIB), un secteur bancaire
contraint par de nombreux actifs non-performants, et une épargne trop
faible comparée aux investissements. Pour continuer d’attirer les
investisseurs, il sera donc primordial de maintenir le rythme actuel de
réformes.
Par ailleurs, afin de stimuler le commerce, une importante réduction du
nombre de mesures protectionnistes apparaît également nécessaire.
Actuellement, les taxes à l’importation imposées par l’Inde figurent parmi
les plus élevées dans le monde. Par exemple, l’Inde applique la clause de
la Nation la Plus Favorisée (NPF, règle de l’OMC), ce qui fixe ses taxes à
l’importation à 13,8%. Pour comparaison, en 2017, les taxes à
l’importation chinoises s’élevaient à 9,8%. Ainsi, le marché indien de
biens et services est difficile d’accès pour les entreprises étrangères.

Défi n°2 : mettre en place une nouvelle stratégie

d’investissement dans les infrastructures, en se concentrant
particulièrement sur la transformation digitale
En parallèle, une amélioration drastique des infrastructures indiennes
semble essentielle pour stimuler les échanges domestiques et accélérer le
rattrapage économique. Cette mission s’est avérée compliquée lors des
précédentes années en raison d’un manque de financement et de
contraintes techniques et législatives.
Le gouvernement Modi estimait que le pays avait besoin d’un
investissement dans les infrastructures de 150 Mds USD par an entre 2017
et 2022 pour créer un environnement de croissance durable. « Cependant,
en utilisant l’outil de simulation de la Banque Mondiale, nous avons
calculé que le besoin d’investissement indien dans les infrastructures
s’élève plutôt à 203 Mds USD par an. L’accent doit particulièrement être
mis sur les infrastructures liées à l’énergie et aux transports », estime
Alexis Garatti, Directeur des Etudes Economiques chez Euler Hermes.
Une libéralisation plus prononcée des marchés financiers indiens pourrait
alléger cette charge financière. En améliorant l’accès des investisseurs
privés étrangers aux marchés indiens, ces derniers pourraient contribuer au
financement des projets d’infrastructures.
De plus, alors que l’Inde est le numéro 2 mondial des ventes de téléphones
mobiles et des souscriptions à un abonnement internet, seulement 37% de
la population locale avait accès à internet en 2018 (53% à l’échelle
mondiale). Le pays pourrait aller plus loin en matière de digitalisation,
surtout quand on se penche sur son énorme potentiel : le nombre
d’utilisateurs d’internet a cru de +17% en Inde en 2017-2018. Soutenir la
digitalisation bénéficierait à de nombreux secteurs, dont les constructeurs
d’infrastructures.
Défi n°3 : renforcer la consommation privée
Il s’agit du dernier défi à relever, car il permettrait à la demande
domestique d’être soutenue de manière durable. Alors que la stratégie
d’investissements dans les infrastructures soutiendra l’emploi et les
revenus, une stratégie de redistribution efficace des richesses sera
nécessaire pour réduire les inégalités croissantes.
En ce sens, les autorités pourraient fournir plus de ressources aux ménages
indiens, en investissant par exemple dans la santé et l’éducation. De plus,
la mise en place d’un salaire minimum garanti aiderait à renforcer la
consommation privée. Les secteurs du B2C, comme l’électronique
domestique et les équipements électriques, l’automobile, la
pharmaceutique ou les services aux particuliers bénéficieraient
particulièrement d’une telle stratégie de redistribution.

Chapitre 4 :des trajectoire démographiques différencié : les

défis du nombre et du vieillissement

La population est inégalement répartis sur la terre. Plus de la moitié des

humain se concentre dans trois grand foyer de peuplement. Les
changement démographique sont différent en fonction des région du
monde. Mais il existe un point commun : le monde est en transition.

Comment les société font elle faces aux défis de trajectoire

démographiques très différencié ?
I. Une grande diversité de situation démographiques

A. La transition démographique

La population mondial continuera à augmenté dans le futur, mais cette

hausse ralentira. En même temps que la population augmente, elle vieillie,
les femmes font moins d’enfants et l’espérance de vie augmente. Ces
indicateur évolue dans le temps à cause du phénomène de transition
démographique.

Transition démographique : passage d’un équilibre démographique ancien

(forte natalité/ mortalité) à un équilibre nouveau (natalité/ mortalité en
baisse).

Cette transition ce fait deux phase :

- la mortalité baisse (progret médicaux, meilleur hygiène…) mais la

natalité reste forte ce qui explique un accroissement naturel.

- la natalité diminue aussi(contraception) et la mortalité également.

L’accroissement naturel reste élevé mais moins quand première phase

les espace qui ont terminé leurs transition ont une population stable voire
en diminution. L’inde se situ dans la deuxième phase de sa transition
démographique.

B. Des situation varié dans le monde

les transition démographique sont inégale dans les pays qui ne sont tous
pas au même niveau.

- on à des pays qui sont en pleine transition démographique

la natalité et forte alors que la mortalité ne l’est pas.

Natalité est mortalité faible, stagnation de la natalité et augmentation de la
longévité de vie.

A. Le défi du nombre
la population mondial devrai atteindre 9,8 milliard d’habitant en 2050.
98 % de cette croissance démographique se fera dans les pays en
développement. L’accès au besoins essentiel est le premier des défi lié au
nombre. La chine a mené une politique autoritaire, efficace mais qui a
d’importante conséquence :
- Pénurie de main d’œuvre
- Déséquilibre entre les sexes
- Enfants noirs : pas d’existence légal

la plupart des état cherche plutôt à mettre en place des planning familiaux.
Ensemble de moyen mis en place pour éduquer un meilleur contrôle des
naissance.

B. Le défi du vieillissement

les vieux coûte chère. L’augmntation de la population mondial cache de

grande disparité entre les pays qui ont déjà acchevé leur transition et ceuc
qui les ddébutent se qui entrain de defi.
La scolarisation est différrencié notament dans les pays défavorisé tel que
l’afrique qui contient le plus grand

Les états joue un rôle fondamental dans les chois de modèle de

développement. Il en existent plusieurs.

- le développement autocentré : une stratégie basée sur le développement

du marché intérieur. Le but est de devenir autonome vis-à-vis du marché
extérieur. Cela passe par la limitation des importations et la production des
produit auparavant importé.

- le développement extraverti : stratégie basée sur l’ouverture au monde et

aux entreprises international. L’objectif et de produire des bien destiné à
être exporté et qui sont destiné au marché mondial.

Il y a des vagues de délocalisation d’entreprise.

L’économie de Rente est une stratégie basée sur l’exploitation de ressource

naturel.

B. La recherche d’un développement durable.

L’un des enjeux majeur de la planète est de mètre en œuvre un modèle de
développement durable (un développement qui répond au besoin du
présent sans nuire/ compromettre la capacité au génération futur à
répondre au leurs.).

L’O.N.U fixe pour 2030 17 objectif pour la planète.

PNUD : programme des Nation Unies pour le développement durable.

Le principale problème est de réussir à concilié des enjeux très différent

(économique, sociaux et environnementaux)

il faut protégé la planète et les ressources

La planète connaît un développement important et soutenue qui à permit
en partis de réduire la pauvreté. Mais les inégalité reste présente à toute les
échelles (entre les états, entre les villes et au sein des différent groupes
sociaux).

CHAPITRE 6 : La France : Dynamique démographiques,

inégalité socio-économique.

Les inégalité social s’observe au niveau des territoire et au niveau des

individus. C’est pour ça qu’on par d’inégalité socio-spatial/ économique

I. Les dynamiques démographique en France

A. La situation à l’échelle national

Les territoire qui ont l’indice de vieillissement le plus élever en France
sont les espace ruraux. Il se situe au sud-ouest et au centre de la métropole
mais aussi en Corse. Cela correspond à se que l’on nommé la diagonale du
vide et de façons plus générale au zone de montagne. A l’inverse, les
territoire situer à proximité des villes sont globalement jeunes tout comme
les territoire d’outre mer.

Solde migratoire : différence entre le nombre de personnes qui sont entrée

sur le territoire et le nombre de personne qui en sont sortie au cours de
l’année.

Solde naturel : différence entre le nombre de naissance et le nombre de

décès enregistrés au cours d’une période.

Les dynamique démographique sont les combinaison entre les solde

migratoire et naturel. On peut distinguer des régions dynamique dans
l’ouest et le sud de la France ainsi quand Guyane et en Corse. Elle gagne
de la population grâce au sol migratoire ( se sont des région attractive) sauf
pour la Guyane qui a un solde naturel très élever. Il y a aussi des région en
crise qui voit leur population stagné. Se sont les régions du grand est et au
nord de la France et des région que en perde comme la Guadeloupe et la
Martinique.

II. Les inégalités socio-économiques en France.

A. Des inégalités à toute les échelles.

À l’échelle européenne, la France est un pays moyennement égalitaire.

Sont indice de Gini la place en situation intermédiaire entre l’Europe du
sud très inégalitaire et l’Europe du nord.
Les inégalité sont en hausse le taux de pauvreté stagne voire augmente et
le revenus des plus riche augmente.

1) l’île de France a le PIB par habitant de plus élever en France.

2) elle sont des régions touristique.

3) les régions d’outre-mer ont les PIB/HAB les plus faible de France.

4) la Corse a le taux de pauvreté le plus élever en France.

5) oui, cela correspond au taux de PIB/HAB en France.

6)

B. Les réponse aux inégalités : diversité des acteur et es

échelles d’intervention.

L’un des premier acteur à agir pour le développement de la France est

l’union européenne. Elle mène une politique de cohésion (vise à réduire les
disparité entre les différent régions de l’UE) mème si elle n’est pas a
l’origine des politique de réduction des inégalité en France. Elle cofinance
des actions (local et national) de réduction des inégalités.
Les régions principalement aidée par les fonds européen sont les plus
pauvre et corresponde surtout aux territoires d’outre mer et aux régions les
plus rural. Deux autre acteur agissent à l ‘échelle national : l’état et les
collectivité territorial.

ZRR ( zone de revitalisation rural)

c’est espace sont faiblement peuplé avec une population qui vieillis. À
l’intérieur de ces zones, les entreprise ne paye pas de taxes et les
collectivité territorial bénéficie d’aide financière. La politique n’est pas
efficace car trop de commune sont classée en ZRR. Les aides sont donc
trop petite et trop dispersé.

II. Une pluralité des acteurs du développement

A. Le rôle des États dans les modèle de développement