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UNIVERSITE D’ANTANANARIVO

FACULTES DES SCIENCES

SCIENCES ET TECHNOLOGIES

SCIENCES DE LA TERRE ET DE L’ENVIRONNEMENT

GESTION DES RISQUES


ET CATASTROPHES
NATURELLES
Dirigé par
RAVONIMANANTSOA Maurile
M1S8 GEOTECHNIQUE
Responsable :
Monsieur ANDRIAMAMONJISOA Nirina

Année Universitaire : 2021- 2022


I- Résumé du cours

Les catastrophes naturelles

Le tremblement de terre est un phénomène naturelle due au mouvement des couches internes
de la terre dit- on séisme, il peut apparaître dans la zone continentale et dans la zone océanique
en onde parallèle ou en onde perpendiculaire ou de même onde L. Ces types des ondes sismiques
sont différents selon la direction du mouvement, onde P, c'est un onde qui se propage parallèle à
la direction du mouvement, et les ondes S se propagent perpendiculaire à la direction, l'onde de
surface c'est le complexe entre les deux ondes S et ondes P. Le sismomètre est un appareil de
mesure de la vitesse ou la pression du séisme qui détecte dans la zone d'apparition et le
séismogramme se mesure l'intensité du séisme en échelle de mercall et sa grandeur avec l'échelle
de Richter.

Le volcan, l'un des catastrophe le plus terrifiant, l'éruption des laves magmatique dans la
surface de la terre et se solidifie en forme de roche. Apres quelques temps de solidification, la
roche se forme et avec de 80% de la croute terrestre se compose des roches volcaniques. Il est
résulte aussi plusieurs pierres précieux et la fertilité de la terre au plateau, écoulé plus ou moins
de 1000 km2 par chaque explosion, l'écoulement à deux type, le paheoheo en vitesse lent avec
lave toujours liquide et le type a'a'. Le volcan bouclier, cinder con, composant, caldera et fissure
sont tous dangereux pour la vie humaine et la vie des biodiversités.

Le glissement de terrain venant par le tremblement de terre ou volcan dorénavant et la fissure


interne rouille par l'activité du gravité interne et de glissements des matériels sur terre a condition
des influences des gravites et des facteurs des détentes. La forte pluie causé l’écoulement des
surfaces externes, glissade du terrain et chute avec la déforestation et la culpabilité humaine
risque beaucoup de cas.

La montée de l'océan envers la surface terrestre c'est le tsunami ou cataclysme naturel. La


première cause n'est que l'activité de la gravité dans la mer remonte le volume externe de l'océan,
elle atteint à la zone frontière avec la forte pression d'eau. Perte de territoire côtier et de
destruction du cadre bâti. Une onde de tempête, une inondation de tempête, une onde de marrée
ou une marrée de tempête, est le rehaussement important du niveau de la mer sur le littoral cause
par les vents d'une importante dépression ui pousse sur la surface de l'océan ou du lac
II- Mise en place d'un système d'alerte précoce (SAP)

Dans certains systèmes de milliers de personnes ont été atteintes annuellement par une
catastrophe naturelle, résultat d'une augmentation de la fréquence des aléas naturels et
environnementaux sur les populations vulnérables, et d'une croissance de l'exposition des enjeux
face à ces aléas. L'alerte précoce est un élément clé de la prévention des catastrophes. Elle peut
permettre de:

o Prévenir des pertes en vies humaines et

o Réduire les effets économiques et matériels des phénomènes dangereux, y compris les
catastrophes.

Pour être efficace, les systèmes d'alerte précoce doivent:

o Mobiliser les personnes et les communautés qui sont exposées à divers dangers,

o Favoriser l'éducation et la sensibilisions du public aux risques,

o Assurer la bonne diffusion des messages et des alertes et

o Veiller à maintenir en permanence un état de préparation aux catastrophes et une capacité


d'intervention rapide.

II-1- Définitions

Le système d'alerte précoce (SAP) se définit comme un ensemble de capacités


nécessaires pour générer et diffuser des informations significatives d'alerte en temps opportun
pour permettre à des individus, des communautés et des organisations menaces par un alea de se
préparer et d'agir de façon appropriée et en temps suffisant pour réduire la possibilité de
dommages ou de pertes. En théorie, il est mis en place dans la plupart des pays des et pour la
plupart des aléas naturels hydrométéorologiques et géologiques.

Le SAP n'est pas simplement une alerte, c'est à dire un message transis sur un alea en
évolution, mais bien un système hôte d'échanges permanents et d'interactions dynamiques.

II-2- Limites des SAP

Si un certain succès des SAP apparait dans la littérature grâce à l'apport des technologies
de pointe qui permettent un suivi de plus en plus précis des processus, la plupart des pays en
développement et plusieurs pays développés ne possèdent que peu ou pas de systèmes aux
capacités opérationnelles à la hauteur des attentes théoriques. Comme dit GLANTZ (2004) " il
n'y a pas de SAP parfait, sauf sur papier".
Dans les faits, près d'un cinquième de la population mondiale n'a pas accès à l'électricité,
d'ou la difficulté à promouvoir un SAP base uniquement sur la technologie.

Pour réduire les risques de catastrophe naturel, il faut connaitre les nations et des
collectivités résilientes face aux catastrophiques, les avantages des systèmes d'alerte précoce
multidangers, qu'il inclut explicitement dans l'un des sept objectifs mondiaux:

"Améliorer nettement, d'ici a 2030, l'accès des populations aux dispositifs d'alerte rapide
multirisque et aux informations et évaluations relatives aux risques de catastrophe ".

 Il affirme que:

Pour réduire les risques de catastrophe, il faut relever les défis existants et se préparer aux
défis à venir, en s'attachant en particulier à faire ce qui suit:

o Surveiller, évaluer et comprendre les risques de catastrophe et échanger des informations


à ce sujet ainsi que sur leur genèse;

o Renforcer la gouvernance et la coordination relatives aux risques de catastrophe dans tous


les secteurs et dans toutes les institutions concernées

o Et faire en sorte que les intervenants concernes y participent pleinement aux niveaux
pertinent.

II-3-Règles de priorités des cadres d'action


Figure 1: le cadre d'action de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe 2015-2030
comporte quatre priorité d'action qui recouvrent des activités à l'échelon local, régional et
mondial.

II-3-1- Condition d'efficacité

Pour être efficace et diminuer la vulnérabilité, le SAP doit ainsi agir sur l'exploitation et
la sensibilité en considérant la capacité adaptative du système en place au fur et à mesure que la
dynamique s'ajuste dans le temps.

Cependant, en raison du grand nombre de facteurs à considérer, la vulnérabilité demeure


souvent théorique et difficile à intégrer de manière opérationnelle.

II-4- Facteurs de risques

La vulnerabilite des populations et leur environnement, peut être définie comme étant
l'ensemble des caractéristiques, circonstances et propositions à l'endommagement des
communautés, les rendant susceptibles se subir les effets d'un danger.

De manière générale, la vulnérabilité se définit par probabilité que les communautés ou


les personnes souffrent des effets négatifs des aléas.

II-5- Caractéristiques

 Elle est généralement qualifiée par:

 Ses caractéristiques socio- politiques et le contexte socio- spatial (vulnérabilité sociale),

 La répartition et l'organisation du cadre bâti (vulnérabilité physique)

 Ainsi que la sensibilité biophysique de l'écosystème (vulnérabilité naturelle ou


écologique ou biophysique).

II-5-1- Types de vulnérabilités:

 Vulnérabilité sociale,

 Vulnérabilité physique,

 Vulnérabilité naturelle ou écologique ou biophysique.

 Cette vulnérabilité dépend aussi de:

 La capacité d'adaptation,

 La capacité de réponse aux aléas.

 La capacité d'adaptation intègre:


 L'ensemble des stratégies d'adaptation tant à l'échelle locale que nationale

 Les réponses faces aux aléas

 Les ajustements postsinistrés mis en place pour augmenter la résilience de


l'ecosociosystème.

La vulnérabilité peut donc s'exprimer comme étant la fonction de l'exposition E, de la


sensibilité S (degré d'exposition) et de la capacité d'adaptation D du système humain à s'ajuster
aux aléas ou changements sous la forme:

V= F [E (D), S (D)] (HOGARTH et al. (2014) ou bien V= F [E, S] / capacité


d'adaptation
Selon l'UNISDR (2009), un alea naturel est un " processus ou phénomène naturel qui
peut causer des pertes de vies humaines, des blessures ou d'autres effets sur la sante, des
dommages aux biens, la perte de moyens de subsistance et de services, des perturbations socio-
économiques, ou des dommages à l'environnement par exemples l'inondation (pluie, saturation
nappe), sécheresse, glissement

II-6- méthodologies

Il est possible de rendre les SAP totalement efficace.

L'objectif de cette présentation est de dresser un portrait des facteurs influencent


l'efficacité des SAP pour la gestion des risques naturels et environnementaux à partir d'une revue
des principaux travaux scientifiques et publications d'organismes internationaux portant sur
l'implantation des SAP.

Dans un contexte de SAP, la cinétique du processus divise les aléas en deux classes:

 Soudains et

 Lents (tableau 1).

Diffuser une alerte qui permet a une personne de fuir doit tenir compte de:

 La vitesse de développement de l'alea, et ces paramètres est essentiel à l'efficacité d'un


SAP qui implique des actions humaines.

Tableau 1: principaux aléas naturels et environnementaux qui affectent les populations et leur
environnement en fonction de la capacité de la cinétique du processus.

Cinétique de Aléas Impacts potentiels sur l''environnement,


l’eau les populations et les infrastructures
Aléas Rapide/ Déversement pétroliers Rejet de produits toxiques dans
naturels l'environnement
soudain Accidents chimiques
Contamination des eaux,
et nucléaires
Contamination des écosystèmes
Géologiques
Fuite de gaz et de produits toxiques,
-séismes
Débris de bâtiments, mélange des
matériaux dangereux

Contamination indirecte par rupture des


structures d'épuration d'eaux usées

Rupture d'oléoducs et contamination


subséquente.
-Mouvement de terrain
Dommage au cadre bâti, aux habitats et
fonctions du territoire

Contamination du sol et des eaux de


surfaces
-Tsunami Apports des dechets solides, debris,
materiaux dangereux et substances
toxiques

Contamination directe des sols et de


l'eau

Destruction des terres et des bâtiments,


salinisation des sols des sols et de l'eau

Contamination indirecte par rupture des


structures d'épuration d'eaux usées

Contamination des eaux côtières et


pédagogiques

Pollution de l'air et influence du climat


-éruption volcanique
mondial

Destruction des terres et du bétail


-Feux et foret
Perte de biodiversité et d'habitats
sensibles

Destruction du cadre bâti, et pollution


de l''air

Destruction du cadre bâti

Hydrométéorologiques Débordement des conduites d'eau usée


(sauf sécheresse)
Ecoulement des produits toxiques
-inondations (routes, fermes, usines)

- tempêtes Débris dangereux en milieux habites

-ouragans Contamination des eaux de surface et


des sols

Perte des sols organiques sous


l'influence de l'écoulement

Effets sur la couche d'ozone et smog


Lente
Destruction des habitats
Qualité de l'air
(pollution) Altérations du climat et des
écosystèmes
Sécheresse,
désertification Perte de biodiversité
Variabilités climatiques Perte de territoire côtier et destruction
du cadre bâti.
-Erosion côtière

-Usage des terres, etc.

L'alerte précoce s'évolue selon le temps et des événements naturels limites aux forces de la
nature:

 Instauration d'une vision socionaturelle des risques, accusant les humains de stagner en
zones inondations.

 Alerte surtout à la préparation avant sinistre pour les personnes et les communautés
suspectes.
 La technologie et la coopération des acteurs forment un système complexe de prise de
décision à l'œuvre avant la détection de la menace, mais qui ne se termine qu'une fois les
actions entreprises par les gens vulnérables.

Il se réalise par un réseau de communication qui fournit le message au bon moment.

II-6-1-Décentralisation des SAP

La mise en opération des SAP semble difficile pour tous les types d'aléas en raison d'une
"implémentation coincée" entre un mécanisme de gouvernance provenant des autorités vers les
communautés top- down et une vision centrée vers la communauté promulguant de plus en plus
l'approche participative bottom- up.

Le SAP technocentre, alea- centre, de type top- down et base uniquement sur des modèles
et des données scientifiques, à été dominant jusqu'au début des années 2000 alors plusieurs aléas
importants, comme le tsunami d'Asie du Sud - Est de 2004, se sont transformes en désastres en
raison de manques de communications dans le système d'alerte.

 Prise en conscience

Les systèmes d'alerte centrés vers les personnes et les communautés forment alors le
cœur de la proposition des Nations Unies. La prévention et la préparation sont reconnues alors
comme principaux moteurs de la gestion des risques.

III- Concepts fondamentaux et opérationnels

La fonction des SAP est généralement forme de quatre sous-systèmes intègres


indépendamment du type d'alea:

1) Connaissance du risque,

2) Suivi, prévision et alerte,

3) Communication de l'alerte,

4) Capacité de réponse
Figure 2: composants intégrées d'un système d'alerte centre vers les gens ou l'information circule
entre les composantes continuellement (cercle centrale rouge)

III-1- La connaissance du risque

La connaissance du risque constitue l'appréciation de la vulnérabilité et des aléas qui


affectent les personnes et éléments vulnérables. Cette tache presinistre est généralement réalisée
par des institutions spécifiques.

Cette étape se nomme le design du système, puisqu' elle planifie et caractérise la structure
du système complexe.

En plus de recenser les paramètres sur les aléas (par exemples, intensité, fréquence,
probabilité et répartition spatiale), l'analyse de la vulnérabilité des connaissances de base. La
cartographie des aléas fait partie de cet aspect.

III-2- Prévision et alerte

La surveillance englobe le suivi, la prévision ainsi qu'un service d'avertissement. Il s'agit


de la base scientifique du SAP qui permet de détecter l'alea. Il requiert un support technologique
important, notamment des types de capteurs adaptent au processus.

Des modèles de prévisions sont également utilises afin de prédire l'évolution des
phénomènes dans le temps (OMM, 2010)

III-3- Communication de l'alerte

Une fois le danger détecte, une alerte doit être communiquée et diffusée aux personnes
concernées, soit les professionnels en charge des décisions et les personnes à risque.

Le message doit être clair, compréhensible, utile, et doit se rendre aux personnes vulnérables.
Le réseau de communication s'étend sur tous les paliers de gouvernance communautaire,
régionale, nationale et internationale, mais l'alerte doit atteindre toutes les personnes, et
rapidement. Les medias ont souvent un rôle important à jouer dans la diffusion publique de
l'information, notamment s'ils sont associes directement au SAP via une entente spécifique de
diffusion.

 Facteurs limitant

 Le temps

 Le contexte sociopolitique

 Le genre (sexe, personnes marginalisées, personnes à mobilité réduite...)

Exemple:

Bien que 98,3% des habitants avoir reçu l'avertissement du typhon s'approchant des
cotes, la plupart n'avaient pas compris le sens du terme Storm surge (onde de tempête).

Figures 3: inondation de tempête et une onde de marrée

Une onde de tempête, une inondation de tempête, une onde de marrée ou une marrée de
tempête, est le rehaussement important du niveau de la mer sur le littoral cause par les vents
d'une importante dépression qui pousse sur la surface de l'océan ou du lac.

III- 4- La capacité de réponse


La capacité de réponse est l'élément qui assure que l'alerte soit reçue et qu'une réponse
appropriée soit planifiée et mise en œuvre. Par exemples: des mesures d'évacuation, des services
d'urgence et des stocks de provisions localisés à des endroits précis.

La réponse est synonyme d'éducation de la communauté, en augmentant la perception


publique sur les risques et en éduquant sur les comportements à adopter pour prévenir les
dommages ou les pertes (exemples, en réagissant à des fausses alarmes).

Figure 4: schéma conceptuel du système d'alerte précoce (SAP) opérationnel.

IV- Facteurs de vulnérabilité ou contraintes a l'efficacité des SAP : monopole, exclusion et


cloisonnement

Le fonctionnement du SAP opérationnel comporte une influence de la communauté à


travers sa réponse postsinistre (rétroaction), il est difficile d’évaluer une réponse si les gens sont
personnellement affectés par le désastre. Les gens décédés ou disparus ne donnent
malheureusement pas de rétroaction active dans le système.
Les facteurs qui influent les SAP sont nombreux :
 Les nombres de définitions et d’acteurs impliqués dans la conception de système
d’alerte précoce est si élevé qu’il est impossible d’établir un portrait complet du
SAP. Il semble évident que les SAP doivent être une interrogation de ses
composantes et être centrés vers les besoins de la communauté.
 Ainsi, l’efficacité de la performance des composantes techniques de détection, de
prédiction et de communication, mais aussi de la capacité de réponses des gens
affecte et des agences impliquent. Cette réponses est modelée par des diverses
dimensions de la vulnerabilites et la perception de la communauté.
IV-1- Mesures d’efficacités des SAP

R= P [A] VC
Avec, R: Risque

P: probabilité d'occurrence de l'aléa,

V: vulnérabilité V incluant l'exposition,

C: valeur de l'objet exposé

Figure 5: matrice des scenarios possibles causes par les fausses alertes et relation entre une
probabilité de détection (POD) et de fausses alarmes (PFA) afin de déterminer un seuil de
déclenchement d'alerte.

V- Rôles et responsabilités

 Les principaux acteurs

Les acteurs locaux Les communautés

Les autorités locales

Les acteurs nationaux Les autorités nationals

Les acteurs regionaux Les agences et organisations régionales

Les acteurs internationaux Les organisms internationaux

Les autres acteurs essentiels Les organismes non gouvernementaux


Les mediasles secteur privé

La communaute universitaire

Tableau 2: rôles et principaux acteurs des SAP

Si l'intérêt des systèmes d'alerte précoce est diminuer le risque encouru par une
population, amoindrir, sa vulnerabilite exige que le type de système soit adapte au contexte local.

Joindre les connaissances scientifiques au savoir local peut contribuer à cibler les besoins
réels et facilitée la transmission des connaissances pour l'ensemble des acteurs.

Des systèmes d'alerte précoce multidangers de boit en bout et axes sur les populations, un
système d'alerte précoce multidanger axe sur les populations doit permettre aux personnes et aux
communautés menacées par des dangers d'agir de manière diligente et adéquate pour réduire
l'éventualité de blessures et de maladies, de pertes en vie humaines et de dommages aux biens, au
patrimoine et l'environnement.

Le système doit opérer dans un environnement propice caractérise par une gestion avisée,
des capacités opérationnelles suffisantes, des rôles et des responsabilités bien définis pour
l'ensemble des acteurs, des ressources suffisantes et des plans opérationnels efficaces, comme
procédures d'exploitation normalisées.

Ces procédures doivent être régulièrement mises à l'épreuve et inclure un mécanisme de


retour d'information permettant une amélioration continue du système (voir la figure 6)
Figure 6: représentation schématique d'un système d'alerte précoce multidanger.

Figure 3: les quatre éléments d'un systeme d'alerte précoce multidanger de bout en bout et axes
sur les populations
Tableau 3: principales contraintes à l'efficacité des systèmes d'alerte précoce (SAP)
Tableau 4: recommandations générales pour améliorer l’efficacité des systèmes d’alertes
précoce (SAP) issues de la littérature scientifique

Les catastrophes naturelles sont des phénomènes géologiques qui affectent les êtres
vivants animaux et végétaux sur le globe terrestre comme l’éruption volcanique, le glissement de
terrains, l’érosion côtière, qui sont des dégâts graves pour les biodiversités des êtres vivants.
Mais ils sont là, la présence de l’éruption volcanique est besoins car ils deviennent des pierres
précieuses et d’autres roches très intéressantes après la solidification du magma et les fertilités de
la terre aux plateaux. Mais les solutions des programmes pour résoudre les problèmes de ces
catastrophes, le système d’alerte précoce est une des méthodes efficace et fiable pour analyser
des problèmes d’alerte avant ces destructions ou des mesures prendre catastrophiques de ce lieu
mais qui sont limités selon les acteurs et les responsables suivis des solutions bien définis.

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