CHAPITRE I : LA TERRE, UNE PLANETE DU SYSTEME SOLAIRE _________________________________L1

ETUDE DE SITUATION :
La terre est une petite partie du système solaire. Le système solaire est une partie de la voie lactée et la voie lactée une
petite partie de l’univers.
I- CARACTERISTIQUES :
▪ L’Univers ou Cosmos se serait formé il y a environ 15 milliards d’années à la suite d’une gigantesque explosion appelée
BIG BANG. Il est formé de gaz et de poussières et est en constante expansion.
▪ La galaxie est constituée de centaines de milliards d’étoiles. La notre, la voie lactée est en forme de spirale.
▪ Le système solaire est formé d’une étoile, le Soleil et 8 planètes dont 4 telluriques, internes ou rocheuses (Mercure,
Vénus, Terre et Mars) et de 4 autres planètes joviennes, externes ou gazeuses (Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune).
La Terre encore appelé planète bleue est composée de 29 % de terre et de 71 % d’eau. Elle a forme ellipsoïdale, une
superficie de 510 millions de Km², une circonférence de 40 000 km, un diamètre équatorial de 12 756 km et un diamètre
polaire de 12 713 km. La terre possède un satellite naturel, la lune. La terre effectue deux mouvements simultanés.
- Un mouvement de rotation sur elle-même en 23 H 56 MN 4 S, responsable de l’alternance jour / nuit et de la
force de Coriolis.
- Un mouvement de révolution autour du soleil en 365 J ¼ responsable de l’inégalité des jours et des nuits et de la
succession des saisons.

II- IMPACT DU RAYONNEMENT SOLAIRE SUR LA TERRE :

La lumière du soleil est indispensable au développement de la vie. Elle permet la photosynthèse et le développement des
végétaux. Cependant une partie de l’Energie envoyée par le soleil est absorbée, réfléchie ou diffusée dans l’atmosphère.
Seule 50 % de la constante solaire arrive au niveau de la terre : c’est le bilan radiatif. Ainsi, grâce à l’effet de serre
naturel, la température de la terre est maintenue à 15° C.
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POTENTIELS ET EQUILIBRES :
La terre possède des ressources variées. Ses ressources sont renouvelables ou non renouvelables et se répartissent dans la
lithosphère (sphère minérale rocheuse), dans l’atmosphère (sphère gazeuse), dans la biosphère (sphère biotique :
ensemble des êtres vivants) et dans l’hydrosphère (ensemble des eaux de la planète).
I- QU’EST-CE QU’UNE RESSOURCE RENOUVELABLE ?
Une ressource est renouvelable si elle est inépuisable. On peut citer :
▪ Les ressources forestières : ont des fonctions capitales comme la production de biomasse, la gestion de l’eau…
▪ Les sols : ont des potentialités agronomiques différentes et assurent aux plantes la nutrition dont elles ont besoin.
▪ Les ressources hydrologiques : constituées pour 97% d’eau salée des océans et des mers, et pour 3% d’eau douce.
▪ Les ressources halieutiques : sont des poissons, des crustacés, des algues, des coquillages....
Les ressources énergétiques : sont renouvelables pour certains (l’énergie solaire, de l’énergie éolienne, de la bioénergie).
II- QU’EST-CE QU’UNE RESSOURCE NON RENOUVELABLE ?
C’est une ressource dont l’utilisation abusive aboutit à sa disparition. Il s’agit :
▪ Des combustibles fossiles : qui sont des sources d’énergie comme les hydrocarbures (pétrole, gaz naturel) et les
charbons ou houilles (anthracite, bitume, lignite, tourbe).
▪ De minérales : (minerais) comme le fer, les métaux ferreux (manganèse, nickel, chrome, cobalt…), non ferreux (cuivre,
étain, bauxite, mercure…), de métaux précieux (or, argent, platine…), des phosphates, l’uranium, le plutonium....
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 III- LES EQUILIBRES DE LA TERRE :
▪ Les équilibres de l’écosystème : dans un écosystème, toute modification d’un élément aura des répercussions sur
l’ensemble dont l’équilibre est très fragile. La synergie des communautés vivantes alimente la chaîne alimentaire avec
trois maillons : les producteurs (plantes qui produisent la biomasse végétale), les consommateurs : (herbivores,
végétaux, carnivores et omnivores) et les décomposeurs (champignons, bactéries, vers, charognards qui recyclent les
cadavres et les débris organiques pour alimenter les producteurs).
▪ Le cycle de l’eau : l’eau dans la nature se présente sous trois états : liquide, gazeux et solide. Le passage d’un état à
l’autre est possible grâce à l’évaporation, évapotranspiration, la condensation et la congélation. L’eau circule dans notre
planète à travers un circuit ininterrompu. Au total il y a un équilibre presque parfait entre les quantités d’eau précipitées
sur la terre et celles rendues dans l’atmosphère.
▪ Les équilibres climatiques : la terre est découpée en plusieurs zones climatiques. Ce découpage se fait selon un équilibre
constant. De l’équateur aux pôles se succèdent les climats équatoriaux, tropicaux, et tempérés.
▪ Les équilibres atmosphériques : les différentes zones climatiques n’agissent pas en circuit fermé, C’est ce qui favorise
un certain équilibre. Ainsi, l’air se déplace des régions de hautes pressions vers les régions de basses pressions.
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CHAPITRE II : LA TERRE UNE PLANETE MENACEE
LA SUREXPLOTATION DES RESSOURCES ET SES CONSEQUENCES

I- LA SUREXPLOITATION DES SOURCES D’ENERGIE ET LEURS CONSEQUENCES :

La consommation des ressources a très vite augmenté au cours des siècles.
Le charbon, surnommé le « pain de l’industrie » est utilisé pour la cuisson, le chauffage et dans les centrales thermiques.
Le pétrole, utilisé pour les transports et l’électricité représente le tiers des besoins énergétiques actuels soit 40 %. Le gaz
naturel comme l’hydroélectricité fournit 20 % de la production d’électricité. La consommation de l’énergie nucléaire
par contre ne cesse de croitre surtout dans les pays émergents.
Cependant, les conséquences de la surexploitation des ressources énergétiques sont mesurables à trois niveaux : d’abord
leur épuisement (pour certaines ressources énergétiques non renouvelables), la dégradation de l’environnement
(pollution de l’atmosphère, des marées noires et destruction de la faune et la flore maritime) et enfin, le danger
radioactif (émanation d’un nuage radioactif)

II- CONSEQUENCES DE LA SUREXPLOITATION DES RESSOURCES MINIERES,

HALIEUTIQUES, FORESTIERES ET HYDRAULIQUES :
Les ressources minières sont menacées d’épuisement. Pour les ressources halieutiques, on constate que depuis quelques
années, leur capacité de renouvellement est limitée à cause des techniques de prélèvement de plus en plus sophistiquées.
Les ressources forestières sont de plus en plus menacées à cause de la quête de terre agricoles et surtout de l’exploitation
commerciale. Les ressources hydrauliques sont certes inépuisables, mais à cause de la surexploitation, l’eau douce
devient de plus en plus inaccessible.
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LES CONSEQUENCES CLIMATIQUES DE L’EXPLOITATION ECONOMIQUES DE LA PLANETE :
De nos jours, avec la surexploitation des ressources naturelles et à l’essor démographique, nous assistons à une
modification du climat perceptible à travers la pollution atmosphérique, le réchauffement et la menace d’aridité.
I- LA POLLUTION :

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Polluer signifie souiller, salir, dégrader… la pollution désigne les effets des innombrables composés toxiques rejetés par
l’homme dans l’environnement.
▪ La pollution atmosphérique est provoquée par le rejet des diverses substances dans l’atmosphère provenant des usines,
de l’incinération des ordures, des pots d’échappement des motos, des véhicules, des avions, des bateaux… Cette pollution
a des conséquences sérieuses : formation du SMOG, destruction de la couche d’ozone par les CFC… formation des pluies
acides, des troubles pulmonaires, des irritations des yeux…
▪ La pollution des eaux (océan, nappe phréatique) et des sols sont causées par les eaux usées domestiques, agricoles,
industrielles… Dans le cadre des interactions entre les différentes sphères, la pollution des eaux et des sols peut avoir des
répercussions dans l’atmosphère et modifier le climat.
II- LE RECHAUFFEMENT :
Le réchauffement est dû à une augmentation de la température. En effet, l’augmentation de l’émission des gaz à effet de
serre (GES) affecte le bilan radiatif de l’atmosphère. Ainsi, la température moyenne de la terre pourrait augmenter de 3 à
7°C, surtout dans les hautes altitudes. Les conséquences de ce réchauffement sont multiples : dérèglement du régime des
précipitations, augmentation des tempêtes, fonte des glaciers, hausse du niveau de la mer, submersion des côtes, des îles,
modification des écosystèmes.
III- MENACE D’ARIDITE :
L’aridité se manifeste par un déficit hydrique. Ce déficit résulte essentiellement de l’insuffisance des précipitations par
rapport à une évapotranspiration excessive liée au réchauffement de la température. Il en résulte une désertification qui
engendre la sécheresse, l’érosion éolienne, l’avancée du désert, disparition de plusieurs millions d’espèces de plantes,
d’animaux, multiplication des ergs, des regs, des sols latéritiques…
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CHAPITRE III : LA TERRE UNE PLANETE DIVISEE :
INEGALITE DE DEVELPPEMENT :
Le monde n’évolue pas au même rythme. Des inégalités de toutes natures se manifestent à l’échelle de la planète.
I- QU’EST-CE QUE LE DEVELOPPEMENT ?
Le développement se définit comme étant un processus qui conduit une société à la satisfaction de ses besoins vitaux, à
l’épanouissement intellectuel et à un niveau de vie acceptable.
Parmi les indicateurs de développement on peut citer : le PNB (Produit National Brut), le PIB (Produit Intérieur Brut) et
l’IDH (Indice de développement humain) qui prend en compte le revenu du pays, l’espérance de vie, le niveau
d’instruction des populations sur une échelle de 0 à 1.
II- QUELS SONT LES CARACTERISTIQUES DES PAYS RICHES ?
Les pays riches, encore appelés Pays du Nord, ou encore Pays Industrialisés Développés (PID) ou le Centre représentent
20% de l’humanité et produisent 80% de la richesse mondiale. Ils détiennent les grandes bourses de valeurs, dominent les
organisations économiques internationales. Ils ont aussi une espérance de vie de 74 ans en moyenne et un IDH compris
entre 0,8 et 1.
Cependant le monde développé est hétérogène. D’une part, il y a la « Triade capitaliste » (Europe Occidentale, USA,
Japon), plus le Canada. D’autre part, le pôle asiatique avec les NPI ou « Dragons de l’Asie du sud-est » (Corée du Sud,
Taïwan, Hong Kong Singapour). Enfin, il y a les pays de l’ancien bloc communiste.
III- QUELS SONT LES CARACTERISTIQUES DES PAYS PAUVRES ?
Les pays du Sud, Pauvres, sous-développés, en voie de développement, ou pays du Tiers-monde ou encore périphérie
regroupe 80% de la population mondiale et détiennent 20% des richesses. Leur espérance de vie en moyenne est de 60
ans et leur IDH de 0,570. Ces pays ont une forte croissance démographique et sont souvent confrontés à la famine, aux
épidémies…

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Le Tiers-monde est aussi hétérogène. D’une part on note les pays de l’OPEP, d’autre part il y a les puissances émergentes
comme les BRICS et enfin les PMA qui forment le quart-monde et dont la majorité se trouve en Afrique au sud du Sahara.
Cependant l’ensemble de ces pays conserve certains caractères du sous-développement comme l’analphabétisme, les
inégalités sociales, un retard technologique, la dépendance…
IV- ECHANGES ET EXPLOITATION :
Les échanges entre le nord et le sud sont faibles. Ils sont inégaux et entrainent une fluctuation permanente des prix, une
détérioration des termes de l’échange, une dégradation du pouvoir d’achat des pays du Sud, un déficit de la balance
commerciale, et un surendettement massif.
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LES SYSTEMES ECONOMIQUES :
La manière dont les hommes s’organisent pour produire et répartir les richesses constitue un système économique.
I- LE CAPITALISME (ECONOMIE DE MARCHE OU ECONOMIE LIBERALE)
Le capitalisme est né au XIXe siècle et trouve sa source dans le mercantilisme des siècles précédents. C’est un mode de
production fondé sur la propriété privée des moyens de production, la libre entreprise et la libre concurrence.
Ses structures économiques sont : l’entreprise, unité économique de base, les sociétés financières (banques, compagnies
d’assurances…) et les bourses de valeur.
La suprématie du capitalisme se manifeste aujourd’hui dans trois domaines : la domination des industries de pointe, des
firmes multinationales ou transnationales (Coca Cola, Toyota, Bayer, Vivendi…), la puissance financière des grandes
bourses et des institutions internationales (OMC, FMI, BM) et la révolution des NTIC, surtout Internet.
II- LE SOCIALISME, ECONOMIE COLLECTIVISEE, PLANIFIEE, CENTRALISEE :
Le socialisme né au XIXe siècle (Russie, Chine et Europe de l’est). Il se fonde sur la suppression de la propriété privée et
la collectivisation des moyens de production. C’est une économie sous contrôle de l’état. Par conséquent les salaires et
prix sont fixés par l’état qui se substitue au marché.
Ses structures économiques sont : les sovkhozes (fermes d’état dont les paysans sont salariés), les kolkhozes (paysans
payés selon le niveau de production), les combinats (regroupement d’entreprises interdépendantes) et les unions
industrielles (regroupement d’entreprises d’une même branche).
Malgré l’idéal égalitaire de l’idéologie communiste, la division en classes a été maintenue avec le prolétariat et les paysans
contrôlés par le PCUS (parti communiste de l’union soviétique) et la classe dirigeante, la Nomenklatura.
Cependant plusieurs facteurs internes vont contribuer à son effondrement : la rigidité et les lourdeurs bureaucratiques,
l’option militaro-industrielle, le retard technologique et la faible productivité et l’instauration la Perestroïka
(restructuration) et la Glasnost (transparence).
III- LES SYSTEMES MIXTES DU TIERS-MONDE :
Ce système économique est adopté par les pays marqués par de graves déséquilibres économiques et sociaux, cherchant
une voie de développement entre le socialisme et le capitalisme.
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LA COOPERATION BILATERALE
La coopération bilatérale est une assistance mutuelle et complémentaire entre deux états souverains ou entre un état et un
organisme. Elle repose sur la Convention de Vienne de 1960. On distingue plusieurs types de coopération bilatérale : -
coopération économique et financière (traités et contrats), la coopération militaire (accords) et la coopération sociale,
culturelle et technique (échanges).
Le bilatéralisme a comme objectif d’affermir des liens d’amitié et de coopération, de sauvegarder la paix et de réaliser
les progrès économiques et sociaux des populations.

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Elle s’articule autour de 3 mécanismes : l’aide Publique au Développement, l’assistance technique et l’administration de
la coopération.

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LA COOPERATION MULTILATERALE :
La coopération multilatérale lie des pays à des organismes à vocation sous régionale, régionale ou internationale. Elle se
développe à travers 3 mécanismes : la coopération de solidarité globale ou mondiale avec le système des nations – unies,
le multilatéralisme de solidarité régionale avec l’UA la CEDEAO l’UEMOA et les ONG comme Green Peace, Amnesty,
Croix Rouge…

LA COOPERATION INTERNATIONALE EST INSTRUMENTALISEE LA COOPERATION A

PAR L’ONU
La coopération politique, sociale et La coopération économique et
culturelle mondiale : financière :
▪ La FAO (organisation des nations unis ▪ L’OMC (organisation mondiale du
pour l’alimentation et l’agriculture) commerce)
▪ L’UNESCO (organisation des nations- ▪ Le G 8 ensemble formé par les 7
unies pour l’éducation, la science et la pays les plus industrialisés plus la
culture) Russie
▪ L’UNICEF (fonds des nations unies ▪ Le G 15 formé de pays du tiers
pour l’enfance) monde pour la coopération sud/sud
▪ L’OMS (organisation mondiale de la ▪ L’ONUDI (organisation des
santé) nations unies pour le développement
▪ L’OIT (organisation internationale du industriel)
travail) ▪ Le FMI et la Banque Mondiale
▪ UE /ACP (union européenne /
Afrique caraïbes pacifique)
L’ECHELLE CONTINENTALE
/ REGIONALE
▪ La BAD (banque africaine de
développement)
▪ L’UEMOA (union économique et
monétaire ouest africaine)
▪ Le FED (réserve fédérale des états
unis)
A l’échelle continentale on peut
citer :
▪ L’UE (union européenne)
▪ L’ALENA (accord de libre-
échange nord-américain)
▪ Le CARICOM (communauté des
caraïbes)
▪ Le MERCOSUR (marché
commun du sud)
▪ Le NEPAD (nouveau partenariat
pour le développement de l’Afrique)

Les avantages du multilatéralisme sont nombreux. L’aide est moins liée et multiforme (alimentaire, sanitaire, culturelle)
; la banque accorde des prêts, l’UE signe des conventions avec les ACP. Avec la mondialisation l’OMC tend à supprimer
les droits de douanes à travers la signature des APE : accord de partenariat économique.
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FORMES ET PROBLEMES DE COMMUNICATION :
Aujourd’hui le développement des échanges et de l’information est facilité par des réseaux denses de communication et
de télécommunication.
I- LES FORMES DE COMMUNICATION
Ils permettent la libre circulation des personnes, des biens et services. On peut citer :
▪ LES TRANSPORTS composés des Transports Terrestres (autobus, car, voiture, le chemin de fer…), des Transports
Maritimes (pirogues, chalands, cargos, paquebots bateaux…), et des Transports Aériens (aviation HUB, ADAV,
ADAC, CONCORDE, pouvant atteindre plus de 900 km/h.
▪ LES TELECOMMUNICATIONS composées du téléphone, de la radio, de la télévision, des réseaux informatiques
(apparition de câbles à fibres optiques de satellites de communications placés sur orbites géostationnaires), des messages
écrits (télex, télécopie), de relier entre eux, des ordinateurs, de l’internet…
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II. LES PROBLÈMES DE COMMUNICATION
On peut citer :
Les problèmes d’émission de GES par les moyens de transport, les accidents routiers et aériens très fréquents, saturation
régulière dans les centrales de la télécommunication, la presse est aussi régulièrement victime de la censure, écart entre
pays développés et pays en développement en matière de TIC, les pannes de courant et les grèves, les dérives surtout pour
les jeunes avec l’accès incontrôlable à la pornographie ou à la violence avec le net.

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LA PLANETE TERRE, UN VILLAGE :
La planète est devenue un village sans frontière avec un véritable mouvement d’internationalisation de l’économie qui
s’accompagne d’échanges inégaux et de mouvements de contestation.
I- QU’EST-CE QUE LA MONDIALISATION ?
C’est la connexion instantanée des hommes et des idées en tout lieu de la planète, la multiplication des échanges interactifs
qui en déroulent.
II- QUELS SONT LES ESPACES DE LA MONDIALISATION ?
Les espaces de la mondialisation sont les espaces moteurs et les espaces périphériques.
▪ Les espaces moteurs sont composés : du centre dominant (USA, UE, JAPON, CANADA) et de l’archipel
mégalopolitain (Sao Paulo, Mexico, Bombay, Shanghai, Johannesburg…).
▪ Les espaces périphériques sont composés : des périphéries intégrées associées ou polarisés (NPI, BRICSAM), des
pays de l’OPEP), des périphéries marginalisées comme les PMA.
III- QUELS SONT LES FACTEURS DE LA MONDIALISATION ?
La mondialisation est possible grâce à plusieurs facteurs. On peut citer : les facteurs économiques, les facteurs
politiques, les facteurs socioculturels et les facteurs techniques.
IV- QUELLES SONT LES MANIFESTATIONS DE LA MONDIALISATION ?
La mondialisation se manifeste par : une mobilité des hommes, une expansion rapide des échanges et par une mobilité
des capitaux au-delà de leur frontière, orchestrée par les banques grâce à la déréglementation.
V- QUI SONT LES ACTEURS DE LA MONDIALISATION ?
Ils ont plus de pouvoir que les Etats. Il s’agit : des États-nations (ALENA, UE, G7 ; G8 ; G20), des firmes
transnationales (FTN), des organisations internationales comme le FMI et la BM, OMC, des pays de l’OPEP et des
ONG.
VI- QUELS SONT LES EFFETS DE LA MONDIALISATION ?

AVANTAGES INCONVENIENTS
♦Amélioration des conditions de vie surtout dans les PMA ♦Echange inégal entre pays riches et pays pauvres
♦Accès à des améliorations technologiques (téléphone) ♦Délocalisation des emplois ♦Hégémonie des pays riches
♦Plus de créativité et d’innovation grâce à la concurrence ♦Perte d’identité culturelle
♦Abaissement des couts des biens et services
♦Démocratisation des produits
♦Echanges culturels