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Plan du cours
INTRODUCTION
1. Tentative de définition
1. Définition
5. Processeur de l’IA
1. L’alphabet : symboles conventionnelles que l’homme utilise pour exprimer ses pensées
3. Calculs proportionnels
4. Interprétation (déduction)
5. Théorie d’équivalence
2. Domaines d’activité
2. Architectures des SE
CHAP. V : ROBOTIQUE
1. Définition
Tentative de définition:
L’intelligence artificielle est un ensemble des phénomènes et des perceptions dont l’objet d’étude
est l’observation des éléments constitutifs de l’intelligence naturelle pour construire des mécanismes ou
présenter le comportement intelligent (l’intelligence artificielle vise à imiter l’homme).
L’intelligence est l’aptitude donnée à l’homme de réfléchir en vue de trouver une solution à un
problème donné.
Imiter l’Intelligence Humaine : observer, mémoriser, répéter et reproduire les éléments copiés et les
éléments personnels.
Dans son livre « l’Evolution Créative » ; Henri Bergson, savant scientifique français du 20ème siècle,
introduit l’intelligence naturelle par la citation suivante : « il y a des choses que l’intelligence seule est
capable de chercher par elle-même, mais, elle ne les trouvera jamais. Ces choses là, seul l’instinct les
trouve ; mais, il ne les cherche pas »(1). Cette idée d’Henri Bergson montre que l’instinct et l’intelligence
poursuivent parfois les mêmes objectifs mais les motivations et l’expression de cette recherche diffèrent
souvent.
L’Intelligence Artificielle est un domaine étendu, la cerner consistera à exprimer ses manifestations dans
la vie courante et ses manifestations sont de 4 ordres qui donnent 4 définitions de l’Intelligence
Artificielle.
Système qui agit comme l’homme : Système qui agit rationnellement : après
l’homme agit par avoir rapproché plusieurs fois, l’homme
- apprentissage des connaissances, étudie le processus et élimine de celui-ci tout
- reproduction des connaissances et ce qui est superflu et ne retient que ce qui est
- rapprochements des connaissances à efficace, puis l’améliore pour mieux
la réalité produire, pour cela il utilise les
(l’homme observe c’est que l’autre fait connaissances de l’expert qui est une
(apprentissage), après observation et personne ayant appliqué plusieurs fois et
rétention, il refait seul c’est qu’il a ayant maîtrisé le processus.
observé et retenu (reproduction), quand
cette reproduction est efficace il applique
aux nouveaux problèmes qui se posent à
lui en utilisant les principes qu’il a
préalablement appliqué pendant les
exercices (rapprochement à la réalité).
On aborde le problème par simulation (on crée un état concret à résoudre). Exemple : pour un exercice
posé en classe, la simulation conduit à extraire la solution afin d’obtenir la réponse (heuristique). Les
procédures mentionnées ci haut sont des protocoles.
N B : quand on utilise l’intelligence artificielle, on se retrouve dans un des systèmes, mais l’idéal est de se
retrouver dans le système qui agit rationnellement.
La résolution des problèmes est une procédure empirique, car on procède par tâtonnement.. Les
heuristiques ne sont pas des solutions spécifiques, mais des voies effectives pour atteindre des points
spécifiques. Elles ne sont pas, non plus scientifiques, ni démontrables d’où, il faut procéder par
élimination sur base de la situation actuelle, du but ou situation à atteindre, des moyens dont on dispose
aujourd’hui. Les heuristiques varient selon le temps et les circonstances.
Elle consiste à saisir la pensée et la traduire en son propre langage. La technique utilisée à ce
stade est la compréhension du langage naturel hors contexte. On prend le mot de la pensée, on le place
dans le contexte approprié.
Les étapes : définir le vocabulaire à utiliser, comprendre le langage naturel, choisir les mots appropriés
du vocabulaire défini, exprimer la pensée selon le contexte dans lequel on se trouve.
La technique utilisée consiste : - à apprendre les connaissances s’adapter
- à représenter les connaissances mémoriser
- à résoudre les problèmes raisonner
- à comprendre la difficulté communiquer les réponses
obtenues aux tierces personnes
3. La reconnaissance des formes (traitement des formes) (système qui pense rationnellement):
Pour l’homme, il a déjà un certain nombre de formes qui lui sont incrustées en mémoire. Le but
à résoudre dans ce type de problème est de former des automates capables de reconnaître
l’environnement et de travailler en tenant compte de cet environnement.
Le problème consiste à prendre l’image et à la rapprocher (coller) à la base. Si l’image ne correspond pas,
on peut soit l’ajouter, soit la rejeter.
La reconnaissance des formes concerne les automates, leur accès à l’environnement, les images, les
formes, les distances, les bruits et odeurs que doivent incorporer les machines pour s’adapter à leurs
environnements afin de réaliser leur travail. Cela se fait à l’aide des cameras, des senseurs et d’autres
systèmes de palpage. Ces instruments donnent la notion de référence à la connaissance d’objets
(comparaison) afin d’agir au moyen des bras ou mains appelés effecteurs qui effectuent les tâches déjà
- Identité des coordonnées et calculs de distance qui déterminent le champ de travail du robot,
L’expérience est la somme des connaissances acquises par le passé, suite à l’application des
éléments essai – erreur ; dont on part comme point de repère ou référence pour les autres. Le système
expert est une manipulation des connaissances dans un domaine déterminé et le système qui en
découle.
Standford définit le système expert comme étant des programmes conçus pour raisonner à propos des
tâches dont on pense qu’elles requièrent de l’expertise humaine considérable.
Dans ce cadre, l’expert est appelé à faciliter le transfert de l’expertise nous permettant d’atteindre
l’objectif souhaité au moyen des actes particuliers le différenciant du commun des mortels. De cet
expert, nous espérons obtenir les conseils pratiques et recommandations précises qui nous permettrons
selon la confiance placée en lui, de maintenir ou rejeter le cas échéant les connaissances visées. Ainsi,
l’expert doit :
- Faciliter le transfert des connaissances vers l’utilisateur (l’instruction) : cas lorsque l’expert n’est
pas disponible à faire une tâche
- Faciliter le transfert des connaissances vers ses collègues : cas de collaboration entre experts
L’expert applique l’expérience basée sur la logique définie comme l’art de mener une pensée ou
réflexion en suivant certaines procédures reconnus rationnelles et permettant d’atteindre un objectif à
moindre coût. La logique est exprimée par un ensemble des symboles primitifs et des formules qui
permettent d’exprimer la pensée. Elle s’exprime au moyen d’un langage possédant une sémantique qui
est l’ensemble de significations données aux mots constituant notre langage de manière à atteindre
l’objectif fixé à l’avance. Le langage possède également une théorie des preuves permettant de vérifier la
Les systèmes experts appliquent leurs décisions dans quatre domaines spécifiques qui sont dits
domaines intelligents ou activités intelligentes qui sont :
Activités associationistes ou activités intelligentes associatives : dont la caractéristique essentielle
est l’indépendance vis-à-vis de la situation ou vis-à-vis du contexte
Exemple : marcher : quand l’enfant marche ; il le fait par imitation des adultes
Ces activités sont innées et répétitives
Le champ de ces activités couvre les jeux de mémoire par association tel que les jeux de labyrinthe.
Pour résoudre de tels problèmes, l’ordinateur dispose d’un programme basé sur une table de décision,
ou de recherche par liste et des procédures d’identification. Ici, la signification des symboles n’est pas
nécessaire
La connaissance de la situation intérieure n’est pas nécessaire
La connaissance de la situation extérieure n’est pas non plus nécessaire
On retient qua dans ce domaine, tout se fait par imitation
Activités intelligentes formelles simples : Dans ce type d’activité, l’intelligence s’exprime sous forme
simple ; le contexte est entièrement explicite et indépendante de la situation. Ici, la signification des
symboles est explicite, mais la connaissance de la situation intérieure n’est pas pertinente de même que la
connaissance de la situation externe
Exemple : soit à résoudre l’équation Ax2 + Bx + C = 0
1°) lecture de A, B, C Nous avons une règle à observer ou un e certaine
2°) Delta = B2 – 4 A C prévision à réaliser. Pour l’exemple ci-contre, il 3°)
Tester delta suffit d’identifier A, B, C et le processus se
4°) … déclenche automatiquement
Ces activités touchent aux jeux calculables, aux jeux quasi calculables, aux problèmes combinatoires
simples, à la recherche de démonstration des théorèmes par les mécanismes automatiques et la
reconnaissance des caractères bien définis. Pour résoudre les problèmes de ce type, les ordinateurs
utilisent les algorithmes basés sur les règles.
Activités intelligentes formelles complexes : Ces activités sont basées sur la situation interne qui est
apprise au moyen des règles et des pratiques ; ces activités s’étendent aux jeux incalculables, c’est – à –
dire jeux pour lesquels intervient la notion d’intuition globale et de comptage ; à ces jeux s’ajoute la
reconnaissance des formes complexes noyée dans les bruits.
La résolution de ces problèmes passe par les règles et pratiques c’est - à – dire les solutions sont du type
algorithmique et heuristique.
Dans ces activités, la définition des symboles est nécessaire, la connaissance de la situation intérieure
- Le problème bien défini : un problème est dit bien défini quand la définition des inconnus est
simple, le choix des alternatives aisé et les procédés bien rétablis. Ex. calcul de l’équation ax2 +
bx + c=0, on cherche x1 et x2 ; le schéma de résolution est bien établi, les données bien fournis ;
les problèmes bien définis s’appliquent aux systèmes qui pensent comme l’homme (procédant
par des alternatives qui ne contredisent pas). Calcul du poids d’un bébé : mettre le bébé sur la
balance et lire son poids.
- Le problème semi défini : un problème est dit semi défini lorsque les inconnus, le choix des
alternatives sont difficiles. Pas impossible, nécessite beaucoup de réflexions. Ex : la vie sur
mars est elle possible ?
Inconnu : vie sur mars ; alternatives : température, peut on y construire des maisons ? Les
problèmes semi définis s’étendent aux systèmes qui pensent rationnellement et aux systèmes qui
agissent comme l’homme. Ils se rapportent à une philosophie qui peut être contredite par une
autre. Le choix des variables et alternatives n’est pas aisé.
- Les problèmes non définis : ce sont les problèmes pour lesquels le choix des variables, des
alternatives et des procédures est impossible. Ces problèmes s’étendent aux systèmes qui agissent
rationnellement.
La difficulté que présente cette complexité réside dans le fait qu’on ne sait pas saisir exactement
ce qu’il pense pendant qu’il exprime une idée. La conscience marginale manifeste la partie inexpliquée de
l’homme (chaque fois que l’homme parle, il laisse un écart entre la pensée et ce qu’il dit ou ce qui voulait
dire).
La distinction entre l’essentiel et l’accessoire : cette distinction change d’un individu à un autre et
pour le même individu d’une situation à une autre
Ex. quels sont les éléments manifestant que quelqu’un a faim : Chacun peut donner des signes qu’il
ressent lorsqu’il a faim, les éléments semblables pourront être présentés par plusieurs personnes et aussi
les accessoires dépendant de tout un chacun seront également donné, alors comment distinguer que
lorsque M. X présente tel signe il a réellement faim alors que M. Y a présenté le même signe dans le cas
des points accessoires en plus en cas d’épidémie de famine dans une contrée beaucoup des personnes
pourront manifester certains signes autres que ceux présentés habituellement.
Ex 2 en considérant la malaria et la fièvre typhoïde beaucoup des signes sont les mêmes. Mais la
distinction découle de certains éléments parfois jugés accessoires tels que le temps pendant lequel la
fièvre se manifeste (toujours le soir pour la fièvre typhoïde et le soir et à d’autre moment pour la malaria)
le temps alors qu’il est un élément accessoire donne une indication particulière pour la différentiation
des deux maladies.
Néanmoins, la programmation a comme base l’essentiel ; l’accessoire vient renforcer l’essentiel
pour donner plus de détails, d’explication ou pour renforcer l’essentiel.
L’homme, de part sa constitution, décide qu’un point soit essentiel ou accessoire selon le cas et
non en tenant compte de l’importance fournie par l’expert, mais en se basant sur la constitution propre
du créateur de l’interface qui fait qu’un point fourni par l’expert soit important ou accessoire.
Ceci constitue une difficulté car le programmeur doit tabler sur les points séparés alors que
l’homme en pensant regroupe les points similaires. L’homme associe facilement les éléments présentant
une ressemblance, alors que le gros de ces éléments présente des différences.
Pour ressortir les différences, on commence par mettre en évidence les points communs et
lorsque l’homme ne sait pas trouver les ressemblances, il considère le reste comme différent. Et quant il
y a beaucoup de différences, on s’attache aux ressemblances. Dans tous les deux cas, l’homme a
tendance à simplifier les choses, à chercher les facilités. Aborder le problème du coté faible, simple pour
moins travailler. L’homme de part la faiblesse de sa réflexion a tendance à rapprocher les éléments point
à point, à les déclarer identiques, alors qu’en réalité ces éléments pourraient être distincts. Cette tendance
matérialise une faiblesse que l’homme transmet facilement à l’interface dans la réalisation des activités.
Ce sont les éléments que l’on accepte comme conventionnels, sans explication. Sans postulat, la
vie de l’homme n’a pas de sens. Dans la vie de l’homme, il existe plusieurs conventions acceptées
comme telles qui constituent des postulats, qui dès qu’ils sont mis en doute changeraient totalement le
cours normal de la vie et donneraient de sens contraire assez couramment acceptés.
Exercices :
7. Système de pesage au défilé des wagons dans une société de chemin de fer.
I. Définition :
L’Intelligence Artificielle a été créée par John MC McCarthy en 1955 et a été défini par un disciple de
MC McCarthy qui s’appelé Martin Marvin Lee Miisky comme la construction des programmes
informatiques qui s’adonnent à des taches qui sont pour l’instant accomplis de plus en plus
satisfaisante par des êtres humains car demandant des processus mentaux de tous les niveaux
tels que l’apprentissage perceptuel réalisée par l’usage des ordinateurs ou l’apprentissage
perceptuel réalisé par l’organisation elle-même avec le raisonnement critique qui en découle.
De cette définition de Miisky, il ressort que l’Intelligence Artificielle est une branche de
l’informatique destinée à apprendre aux machines à agir comme des humains par la perception
des éléments de leur entourage, et cette perception se réalisé par les 4 domaines vus
précédemment. De cette définition de Miisky, on a développé un certain nombre de définitions
différentes de l’Intelligence Artificielle qui varient selon deux points de vu :
- Les définitions qui lient l’Intelligence Artificielle à l’aspect humain de l’intelligence (celles qui lui
donnent un aspect idéal),
- Les définitions qui insistent sur les faits que l’Intelligence Artificielle a pour but d’avoir toutes les
apparences de l’intelligence humaine et celles qui insistent sur le fait que le fonctionnement du
système doit ressembler à l’être humain ou être rationnelle.
- La représentation des connaissances : qui est sous forme logique, sous forme des règles ou des
éléments naturels,
- La mise en application des idées une à une au moyen d’un système expert : exemple les pilotes
automatiques et les robots.
- D’éprouver une impression d’une réelle conscience de soi, c'est-à-dire de développer des vrais
sentiments et une compréhension des raisonnements développés. Raisonner et appliquer ce
raisonnement, justifier ce raisonnement. Le raisonnement que l’on applique doit être intelligent.
Selon l’Intelligence Artificielle forte, aujourd’hui, Il n’existe pas de robot capable de remplacer
l’homme ; elle fait recourt à l’estimation de la faisabilité. On peut donc comparer la capacité de
traitement des informations par un cerveau humain à celle de l’ordinateur pour estimer la faisabilité
de l’Intelligence Artificielle forte.
Cerveau humain
Développer les idées,
Communiquer,
Développer les sentiments
Sensations,
Créer des idées
Ordinateur
Développer,
Communiquer,
Pas des sentiments
Sensations,
Peut aussi créer des idées
Les principales opinions soutenues pour répondre à la question d’une intelligence artificielle
consciente sont les suivantes :
Impossible : la conscience serait le propre des organismes vivants, et elle serait liée à
la nature des systèmes biologiques. Cette position est défendue principalement par
des philosophes et des religieux.
o Problème : Elle rappelle toutefois toutes les controverses passées entre
vitalistes et matérialistes, l'histoire ayant à plusieurs reprises infirmé les
positions des premiers.
Impossible avec des machines manipulant des symboles comme les ordinateurs
actuels, mais possible avec des systèmes dont l’organisation matérielle serait fondée
sur des processus quantiques. Cette position est défendue notamment par Roger
Penrose. Des algorithmes quantiques sont théoriquement capables de mener à bien
des calculs hors de l'atteinte pratique des calculateurs conventionnels (complexité en
au lieu de , par exemple, sous réserve d'existence du calculateur
approprié). Au-delà de la rapidité, le fait que l'on puisse envisager des systèmes
quantiques en mesure de calculer des fonctions non-turing-calculables (voir
Hypercalcul) ouvre des possibilités qui - selon cet auteur - sont fondamentalement
Des auteurs comme Hofstadter (mais déjà avant lui Arthur C. Clarke ou Alan Turing) (voir
le test de Turing) expriment par ailleurs un doute sur la possibilité de faire la différence entre
une intelligence artificielle qui éprouverait réellement une conscience, et une autre qui
simulerait exactement ce comportement. Après tout, nous ne pouvons même pas être
certains que d’autres consciences que la nôtre (chez des humains s’entend) éprouvent
réellement quoi que ce soit. On retrouve là le problème connu du solipsisme en philosophie.
Elle se base sur le système expert et elle est une approche pragmatique de l’ingénierie
qui cherche à construire des systèmes de plus en plus autonomes pour réduire le coût de leur
supervision et monter des algorithmes capables de résoudre les problèmes d’une certaine
classe en simulant l’Intelligence Naturelle, ce qui permet aux machines de réagir comme si
elles étaient intelligentes.
- Approche par décomposition : c’est l’analyse par l’abstraction la plus élevée vers
l’abstraction la plus faible
- Approche par composition : qui consiste à partir des variables pour construire
l’abstraction la plus élevée, donc le contraire du premier
Ces deux approches sont complémentaires et nécessitent pour leur utilisation de maîtriser
une approche tout en se familiarisant avec l’autre.
Par ces deux approches, on a développé les différents courants de pensée appliqués autre
fois en intelligence artificielle, aujourd’hui, la tendance est à la synthèse de ces approches
1. Le cognitivisme
Elle considère les vivants comme des ordinateurs manipulant des symboles élémentaires, les
tenants de ce courant affirment que les êtres sont en compétition dans laquelle les plus aptes
survivent.
1 L
1 L
R 1 R 2
2. Le connexionnisme
Ici on a une idée générale de l’ensemble des experts contactés pour le projet. Les
connexionnistes se réfèrent au processus auto - organisationnel pour envisager la connexion
comme étant le résultat d’une interaction globale des parties élémentaires d’un système. Dans
cette façon de voir les choses, on peut affirmer qu’un chien dispose d’une sorte de
connaissance des lois du mouvement car il parvient à attraper un ballon en vol, et même le
chat possède des notions de chute libre des corps du fait qu’il est capable de savoir à partir
de quelle hauteur il ne doit pas sauter au sol.
Cette faculté évoque qu’avec un peu d’intuition les philosophes caractérisent par
prise en compte et consolidation d’éléments perceptifs, on peut faire agir un corps non
intelligent comme un corps intelligent.
3. La synthèse
A partir des différences constatées ou des faiblesses des deux courants de pensées
précédents beaucoup ont pensé créer une voie intermédiaire qui incorporera les éléments des
a. La redondance : dans ce système, on est très sensible aux pannes ponctuelles. Pour
cela, on crée des unités parallèles qui prennent le relais de l’unité dès que celles-ci
sont en panne. Le secteur principal est ainsi constitué des éléments d’activités,
doublets à d’autres qui sont inactifs, qui n’interviennent qu’en cas de panne des
premières. Les unités secondaires sont appelées unités relais. Cette méthode est
utilisée en production intensive. Son inconvénient, c’est l’immobilisation des
ressources.
Bien que nous nous en rendions peu compte, l'intelligence artificielle est beaucoup plus
présente que nous ne l'imaginons. En entendant « intelligence artificielle » nous nous
attendons à des dispositifs miraculeux à apparence humaine, dotés de jugement. La réalité est
que l'intelligence artificielle est bien plus subtile que ça de nos jours.
La robotique :
L'aide au diagnostic médical : Les logiciel d'aide au diagnostic on été conçus dans le but
de fournir aux praticiens du secteur médical des outils diagnostics innovants et faciles
d'utilisation. Ils prennent en compte avant tout les dossiers médicaux des patients et sont
édités par spécialité médicale.
En conclusion l'intelligence artificielle est présente sous plusieurs formes parfois inattendu et
dans des domaines variés mais toutes ses applications on pour but de simplifier la vie de
l'homme et ses travaux.
L’intelligence artificielle utilise tous les types de processeur mais le processeur en question
doit être suffisamment rapide pour pouvoir réaliser le travail attendu de lui
Aristote définit une proposition comme des discours liés à l’ensemble vrai ou faux,
c'est-à-dire autrement certains discours dans lesquels réside la notion du vrai ou du faux. De
là, on conclue qu’une proposition contient une syntaxe, c'est-à-dire, un ensemble de règles et
un alphabet favorisant son montage.
1. L’alphabet
Tout homme est mortel or Jean est un homme, donc Jean est mortel →V
La vie et la mort sont au pouvoir de la langue, pour l’avoir bien utilisée, certains sont
devenus parfaits et pour l’avoir mal utilisée d’autres sont devenus des démons
→V
La vie est un combat dans lequel les courageux chançards s’en sortent mais les
courageux non chançards se battent tant bien que mal, les paresseux chançards sont
de temps en temps bénis mais les paresseux non chançards croupissent dans la misère
la plus noire.
- base : tout atome est formule bien formée de même constante proportionnelle que le
primitif.
- Induction : si G et F sont des formules bien formées alors non ┐G, (F^G),
(F → G), (F ↔ G) sont aussi des formules bien formées avec ┐F qui n’est pas
nécessairement une formule bien formée.
- La clôture : toutes les formules bien formées sont obtenues par application des
règles ci après.
1. Implication matricielle : A → B ≈ ┐A V B
2. Commutativité : A V B≈ B VA
A ^ B ≈ B^ A
3. Associativité : (A ^ B) ^ C ↔ A^ (B ^C)
(A V B) V C↔ AV (BVC)
5. Elément neutre : (A V V) → V, (A V F) ↔ A
(A ^V) → V, (A ^F) ↔F
6. Involution : ┐ (┐A)= A
7. Identité : (A ^ A) → A
(A VA) → A
A V (┐A) = vrai
Notion classique: A est vrai si et seulement si il est vrai dans toutes les interprétations.
4. théories d’équivalence
Deux fonctions F et G sont équivalentes si et seulement si toutes les valeurs de vérité
de F et G sont les mêmes dans toutes les interprétations.
5. interprétation
6. calculs proportionnels
La disjonction peut est inclusive ou exclusive. Elle est inclusive lorsqu’elle laisse la
possibilité d’une réalisation simultanée, c’est à dire soit P, soit Q ou encore les deux peuvent
se réaliser. Elle est exclusive et notée NOR, si elle ne donne aucune chance à une réalisation
simultanée.
I I O I O I
I I I I I O
O I I O I I
O O O O O O
L’équivalence : P est équivalent à Q (P↔ Q) (si P alors Q) manifeste une identité de valeur
mais pas une égalité ; cela signifie que P contient les mêmes arguments ou les arguments
semblables à Q. bref, P et q ont la même composition en terme de valeurs.
La logique propositionnelle est le fondement de toute réflexion, bien la maîtriser
concourt à une bonne réflexion et surtout à une bonne inférence nécessaire à la
réalisation des raisonnements bien formés.
1. SYSTEME EXPERT
D'une manière générale, un système expert est un outil capable de reproduire les
mécanismes cognitifs d'un expert, dans un domaine particulier. Il s'agit de l'une des voies
tendant d'aboutir à l'intelligence artificielle.
Plus précisément, un système expert est un logiciel capable de répondre à des questions, en
effectuant un raisonnement à partir de faits et de règles connus. Il peut servir notamment
comme outil d'aide à la décision. Le premier système expert est DENDRAL . Il
permettait d'identifier les constituants chimiques.
Le moteur d'inférence est capable d'utiliser faits et règles pour produire de nouveaux faits,
jusqu'à parvenir à la réponse à la question experte posée.
La plupart des systèmes experts existants reposent sur des mécanismes de logique formelle
(logique aristotélicienne) et utilisent le raisonnement déductif. Pour l'essentiel, ils utilisent la
règle d'inférence suivante (syllogisme) :
si P est vrai (fait ou prémisse) et si on sait que P implique Q (règle) alors, Q est
vrai (nouveau fait ou conclusion).
Les plus simples des systèmes experts s'appuient sur la logique des propositions (dite aussi
« logique d'ordre 0 »). Dans cette logique, on n'utilise que des propositions, qui sont vraies, ou
fausses. D'autres systèmes s'appuient sur la logique des prédicats du premier ordre (dite
aussi « logique d'ordre 1 »), que des algorithmes permettent de manipuler aisément.
Enfin, pour faciliter la description de problèmes réels sous forme de règles logiques, on a
recours à des opérateurs ou des valeurs supplémentaires (notions de nécessité/possibilité,
coefficients de plausibilité, etc.).
On distingue souvent trois catégories, basées sur la manière dont les problèmes sont résolus :
les moteurs - dits à « chaînage avant » - qui partent des faits et règles de la base de
connaissance, et tentent de s'approcher des faits recherchés par le problème.
les moteurs - dits à « chaînage arrière » - qui partent des faits recherchés par le
problème, et tentent par l'intermédiaire des règles, de « remonter » à des faits connus,
les moteurs - dits à « chaînage mixte » - qui utilisent une combinaison de ces deux
approches chaînage avant et chaînage arrière.
Certains moteurs d'inférence peuvent être partiellement pilotés ou contrôlés par des méta-
règles qui modifient leur fonctionnement et leurs modalités de raisonnement.
Historique
Le premier système expert fut Dendral en 1965, créé par les informaticiens Edward
Feigenbaum, Bruce Buchanan, le médecin Joshua Lederberg et le chimiste Carl Djerassi. Il
permettait d'identifier les constituants chimiques d'un matériau à partir de la spectrométrie
de masse et de résonance magnétique nucléaire, mais ses règles étaient mélangées au moteur.
Il fut par la suite modifié pour en extraire le moteur du système expert nommé Meta-
Dendral.
Le plus connu, peut-être, fut Mycin en 1972-73, système expert de diagnostic de maladies
du sang et établit des prescriptions de médicaments adéquats. Ce système avait un vrai
moteur d’inférence et une vraie base de règles. Cependant, ses règles étaient affectées de
coefficients de vraisemblance qui donnaient à chacune d'entre elles un poids particulier face
aux autres. Le moteur produisait un chaînage avant simple tout en calculant les probabilités
de chaque déduction, ce qui le rendait incapable d'expliquer la logique de son
fonctionnement et de détecter les contradictions. Les experts étaient obligés de trouver des
coefficients de vraisemblance pour chacune des conclusions de leurs règles. Cette démarche
compliquée et antinaturelle déniait leur capacité de raisonnement.
Le projet Sachem (Système d'Aide à la Conduite des Hauts fourneaux En Marche, chez
Arcelor), opérationnel dans les années 1990, est l'un des derniers projets « système expert » à
avoir vu le jour. Il est conçu pour piloter des hauts-fourneaux en analysant les données
fournies en temps réel par un millier de capteurs. Le projet a couté entre 1991 et 1998
environ 30 millions d'euros, et le système économise environ 1,7 euros par tonne de métal1.
En 1965, une équipe de l’université des Stand Fort travaille sur la résolution d’un
problème pour lequel on ne connaît pas de solutions algorithmiques, il s’agit de faire
correspondre entre le spectre et la masse ainsi que la formule développée par un corps
chimique. Le premier système expert venait de naître, ce système se différenciait de
l’informatique classique dans la mesure où cette dernière résout des plans en utilisant la
méthode appropriée traduite sous forme d’algorithmique pour obtenir la solution aux
problèmes posés. L’algorithmique quoique générale ne contient pas l’ensemble des solutions
permettant de résoudre tous les types de problèmes se posant à lui-même, mais au contraire,
l’algorithme contient un ensemble de connaissances utiles bien délimitées avec des règles
d’usage précises. C’est la raison pour laquelle sont exclus de l’algorithme tous les éléments
superflus. L’idée a consisté à introduire la connaissance des experts dans les ordinateurs afin
de vendre l’intelligence ainsi conçue sous forme d’expertise de connaissances de l’expert sans
la présence de l’expert lui-même. L’expertise se traduit bien souvent par un ensemble des
règles déductives qui reflètent par leur enchaînement le raisonnement des experts eux-
mêmes. Le problème consiste à connaître ces règles et à établir un raisonnement en vue de
l’appliquer. En algorithmique, les problèmes sont simples car on applique des principes
connus dans un domaine précis avec des règles bien établies et préalablement testées et
confirmées.
Les quatre domaines étudiés précédemment s’appliquent également aux Systèmes Experts. Il
s’agit : des activités associationnistes, des activités formelles simples, des activités formelles
complexes, des activités informelles.
Les Systèmes Experts sont composés de trois éléments qui sont : la base des
connaissances, le moteur d’inférence et les règles.
1. Connaissance
2. Une règle
Est une portion de connaissance fournie par un expert humain dans un domaine bien défini.
Les règles qui découlent des relations sont des liants ou connecteurs permettant d’associer
les faits ou les prédicats entre eux. De ce fait, une relation devient la conséquence d’une règle
Exemple : la terre est ronde donc on peut en faire le tour
A B
Le soleil se lève à l’Est et se couche à l’Ouest
A B ou A B
3. Un fait
Un fait est une proposition faite sur un objet quelconque du domaine visé. Les
connaissances (faits + règles) seront transformées en logique du système expert.
Un fait est une information particulière observée dans un domaine bien défini des
connaissances ou encore une information provenant d’une quantité universelle
Exemple : L’ordinateur est un appareil, muni de plusieurs composants ayant
a b
Chacune une fonction bien déterminée mais concourant à l’objectif unique
c d
qui est de remplacer l’homme dans ses travaux intellectuels
e
Les règles et les faits sont logés dans une structure des données qu’on appelle base
des connaissances. La base des connaissances peut être déductive c'est-à-dire quand elle se
réfère à une idée essentielle et factuelle, c'est-à-dire due au fait.
Ex.1 base déductible : le patient est un hôte à risque. On part de l’idée que l’hébergement du
patient se fait avec un risque potentiel, nous pouvons, par déduction, conclure que :
Un patient peut mourir lors de son hébergement,
Un patient peut contaminer le médecin pendant la même période,
Donc un patient est un hôte à risque.
Ex. 2 base factuelle : la terre a plusieurs couches, partant du fait qu’en forant le sol, on
constate l’existence de différentes couches. Celle constitue une connaissance factuelle. On
parle alors des faits palpables.
6. Relation
La relation est constituée d’un foncteur avec ses arguments. Le foncteur est un liant.
Ex. le soleil se lève à l’Est et se couche à l’Ouest. Le foncteur : « et »
7. Règle
Les règles qui découlent des relations sont des liants ou connecteurs permettant
d’associer les faits ou les prédicats entre eux. De ce fait, une relation devient la conséquence
d’une règle.
Ex.1 la terre est ronde donc on peut en faire le tour : A B
On a: A B, on peut aussi l’écrire A^ B
Ex 2 La MALARIA se manifeste par la présence des fièvres et des microbes donc on
peut écrire :
MALARIA (X) : FIEVRE (X), MICROBES (X,Y,Z)
Conséquent Antécédents
Un fait est une information particulière observée dans un domaine quelconque des
connaissances ou encore une information provenant d’une quantité universelle.
EXPLICATIONS :
A : l’hélicoptère est un appareil (domaine universel)
B : l’hélicoptère est constitué de 2 moteurs (domaine précis)
C : le premier
D : qui est le plus grand (domaine précis)
E : sert à propulser l’helico (domaine précis)
F : sert à maintenir à une altitude (domaine précis)
G : le second
H : qui est plus petit (domaine précis)
I : sert à diriger
J : sert à casser le mouvement de rotation par entraînement (domaine précis)
A^ B [C (D^E)] ^ [F (G^H)]}
Procédure MALARIA
Note : une procédure existe s’il y a un conséquent.
C A^ B : Procédure Grippe
Procédure hélicoptère :
avoir deux moteurs (X) : le plus grand (X), petit moteur (X), diriger (X), Casser le
mouvement (X).
Concourir à l’objectif unique : avoir plusieurs composantes (X), chaque composante
réalise une fonction particulière(X).
Procédure Ordinateur :
Remplacer l’homme (X) : un appareil (X), concourir à l’objectif unique (X)
Ou remplacer l’homme (X), munir de plusieurs composantes, chaque composante a
une fonction déterminée (X), les composants concourent à on objectif commun
(X).
10.Objectif
11. Inférence
C’est la théorie des preuves du système expert. Les preuves (par l’ordinateur) sont
fournies au moyen de la spécialisation, de la procédure de Robinson. La preuve découle de la
procédure de Robinson lorsqu’elle se fait par raisonnement formel (manipulation des
symboles), par raisonnement procédural (simulation), par raisonnement analogique
(syllogisme) ou par généralisation.
Ex. Ilunga est homme, Donc Il est mortel.
L’application d’un des modes de chaînage (en avant ou en arrière) est fonction des
possibilités qui nous sont offertes.
Il est possible de combiner les deux modes de chaînage, on parle de chaînage mixte qui est
appliqué quand un chaînage à lui seul ne donne pas satisfaction (est inefficace) ; alors après
chaque évaluation d’une prémisse des règles une propagation en avant de cette évaluation est
faite pour tirer l’ensemble aux conclusions qu’il est possible d’en tirer
Un réseau sémantique est un graphe permettant de lier entre eux les éléments, des
faits manifestant la connaissance (les mots) au moyen des liants, expressions (éléments
indiquant l’action qui lie deux faits ; verbes). Le réseau sémantique respecte l’antériorité, la
postériorité des faits et est basé sur l’explication des faits.
Exemple
Exercice 1 : un ouvrier est soit un menuisier, soit un cordonnier, soit un macon. Il porterait comme
prénom : Jean, Paul ou Pierre. Il serait petit ou grand et âgé entre 22 et 33 ans. Appliquer un de ces deux
modes de chaînage.
dévouer
Cause de son travail(x)
Imprimante(x)
être
Appareil(x)
Ecrire
être être Papier(x) être
des
Eléments(x)
Qui sont soit
Graphiques(x) textes(x) images(x) autres(x)
lettres(x)
protons(x)
spécialement conçus(x)
endroits(x)
écrits(x)
Exercice 5 : Soit à dresser un réseau sémantique suivant la connaissance fournie ci dessous : Jean a 25
ans et Paul 38ans. Tous deux sont menuisiers, mais Jean est petit alors que Paul est grand, Pierre est
maçon, il est âgé de 22 ans et de grande taille. Le maçon et le menuisier sont des artisans et également des
ouvriers.
Exercice 6 : Le football est un sport qui se pratique par équipes de 11 joueurs chacune opposées les
unes aux autres en forme de tournoi à l’issu duquel un champion est proclamé. Celui-ci est désigné parce
que possédant plus de points que les autres ou plus de goals averages, en cas d’égalité, que ses
poursuivants directs.
Exercice 8 : dresser un réseau sémantique sachant que le travail de champ n’est pas un jeu mon
enfant ; un peu de sommeil, un peu de distraction, le champ est envahi par la brousse. Tous les jours
debout, veillant sous la pluie et sous le soleil, alors la bonne récolte est assurée.
Une méta règle est une règle qui ne manipule pas directement les connaissances du
domaine défini ou visé mais qui manipule les règles de production, c'est-à-dire les règles
générant les connaissances du domaine et servant à déterminer les plans, à piloter les
dialogues et à déterminer les priorités dans le déclenchement des règles.
Une Méta règle sert à :
- déterminer des plans
- piloter les dialogues
- déterminer les priorités dans le déclenchement des règles
Composants :
1. structure
Espace de travail (ou agenda), de réalisation ou encore historique de
résolution. La structure contient :
C’est un écran qui permet le contact entre l’utilisateur et le système expert. Apres le
module, on produit la structure et le langage de programmation. . le moteur d’interface est
un programme qui n’applique pas les règles mais génère des méta règles qui à leur tour
produisent le résultat, l’objectif. Cette structure comprend : le moteur d’interface et les
Le programme doit être capable d’expliquer pourquoi nous avons pris une décision,
ie. Le résultat du produit. L’explication du résultat se fait soit par logique claire ou par
logique naturelle. La programmation se fait sur des granules, éléments et chaque élément doit
être primitif (non décomposable). Les granules sont des connaissances, phrases qui ne
contiennent qu’une seule pensée facilement compréhensible. Le système doit facilement
accepter les révisions.
S V C
3. structure et langage :
Généralement les systèmes experts utilisent le langage PERL ou le PROLOG, ci-
dessous nous exploiterons les éléments du langage PROLOG IV
Le système expert utilise les deux modes de programmation en se fondant sur la base
des connaissances élaborées. Un logiciel est dit déclaratif quand il ne permet pas l’usage
d’une variable en cours de programmation sans l’avoir déclare au préalable, ex le pascal, le
C++, le C#.
Inconvénients :
2. Un fait est imprécis s’il explique des objets incomplètement identifiés. Une règle est
imprécise, si elle implique des faits imprécis dans la conclusion.
5. méthodologie
Procédures :
Les deux domaines utilisent des mêmes éléments tels que le système d’aide à la
décision, les statistiques, la programmation mathématique, la simulation discrète et continue
et cela au moyen de la manipulation symbolique et de la représentation qui permet de
supporter l’avenir. Les deux utilisent des donnes gérées par des SGBD au niveau de
l’entreprise. Ils utilisent des connaissances conduisant souvent au jugement, à l’expérience et
au savoir faire des gestionnaires, aux tacts et à la finesse du décideur. Les BD déductives
consistant en l’adjonction aux éléments existants (SGBD) d’un composant intelligent ou
déductif permettant d’expliciter les réponses aux questions (SGBD + explications sur les
mécanismes disponibles) n’ayant pas des éléments marqués dans la base. Le procédé utilisé
est le couplage (liens entre différents modules).
Les SE sont souvent utilisés comme outils du gestionnaire, généralement dans le cas
d’établissement des diagnostics et de prise de décisions. A ce niveau, il se place au niveau du
système de décision (pilotage) dans l’entreprise, quoi est un domaine propre à l’information
de gestion et souvent réalisé par des SE. En bureautique aussi, dans le traitement des textes,
les SE accentuent l’accès communicationnel entre organes et permet la décentralisation et le
raccourcissement de la prise des décisions.
Exercice : une maison assurant les services de restauration utilise un cordon bleu (expert en cuisine) pour la
réalisation des différents plats. Ce dernier cuit un œuf dur en 17 minutes et fait payer ses services par le
restaurant 30USD/ heure. Le gestionnaire du restaurant désire occuper l’expert à des repas plus compliqués
nécessitant beaucoup de temps et d’ingrédients en vue de diminuer les charges du restaurant. Il vous
demande de monter pour lui un système expert réalisant cette cuisson. Le cordon bleu fournit des
informations suivantes : pour deux œufs durs, il faut 60 cl d’eau à bouillir sur une plaque chauffante à 75º
C et au plus 180º C pendant 7 minutes ; si la plaque est insuffisamment chauffée, la cuisson dure 10
minutes. Si la température est supérieure à 180 º C, la cuisson ne peut se faire car dans moins de 7 minutes,
l’œuf dure aura grillé suite à la disparition de l’eau. Apres le temps énuméré ci haut, plonger l’oeuf dans
l’eau en adjoignant 2 cl de sel, si c’est le sel granulé, et la moitié si c’est le sel en poudre. Laisser bouillir le
mélange pendant le temps complémentaire à 17 minutes. Si le temps se prolonge, l’œuf se fissure et n’a plus
de valeur vénale.
Donnez les faits, les règles, les bases des règles, les connaissances, le chaînage, le réseau
sémantique et élaborer un algorithme intelligent permettant de résoudre ce problème.
1. Les éléments :
- cuire un œuf,
- 60 cl d’eau,
- Chauffer plaque chauffante min 75 º et max 180º C,
- Durée de chauffage 7 min,
- Durée 10 min si plaque insuffisamment chauffée et température proche de 75º C
(70-75º C),
- Température > 180 º C, œuf grillé,
- Plonger les 2 œufs dans l’eau,
- Ajouter 1 ou 2 cl de sel selon le cas,
- Bouillir le mélange pendant un temps compris () 7 et 10 minutes.
2. Faits :
Avoir 2 œufs,
Avoir 60 cl d’eau,
Avoir 2 ou 1 cl de sel,
3. Règles :
4. Connaissances :
7. nouvelles connaissances
Plaque à chauffer,
Entre 73 et 130º C,
8. méta règles
Chauffer plaque
Si Tº entre 73 et 180ºC,
Chauffer eau pendant 8.5 minutes,
Laisser bouillir pendant 17 minutes
Retirer œuf
Exercice 2 : une entreprise veut attribuer des cadeaux à ses agents à l’occasion des festivités de fin d’année. Comme le
nombre d’agents concernés est très élevé et les divers dons n’ont pas la même valeur, la distribution devient très complexe,
l’entreprise vous demande de monter un système expert afin d’éviter l’arbitraire et de mieux primer les agents méritants. Les
experts consultés en cette matière vous proposent les critères suivants :
- avoir une ancienneté d’au moins 10 ans,
- être coté ‘‘élite’’ pendant les trois dernières années,
- n’avoir jamais été puni d’une sanction de plus de 3 jours de mise à pieds,
- avoir fait une carrière normale, ie. Monter de grade régulièrement (sans utiliser des procédés détournés),
- ou soit monter en grade après avoir découvert un procédé aidant l’entreprise à vendre ou à mieux produire.
Ces conditions ne s’appliquant pas à tout le monde, la Direction a décidé de les alléger de manière suivante :
a. ancienneté ≥ 20 ans,
Nombre de cotations trimestrielle ‘‘élite’’ > 9,
Nombre de jours de mise à pieds = 0,
Carrière normale,
Nombre de voix obtenues lors des élections au don =9/12.
a. ancienneté < 10
Nombre de cotations trimestrielle ‘‘élite’≥3,
Nombre de jours de mise à pieds < 1,
Montée normale,
Nombre de voix obtenues lors des élections au don > 7/12.
3. dons divers
b. Ancienneté normale
4. dons de 500USD
Quelque soient les conditions d’ancienneté, du nombre de cotations ‘‘élite’’, Nombre de jours de mise à pieds < 10, Nombre de
voix obtenues lors des élections au don > 5/12.
Note : une gent n’est éligible qu’a un seul don. S’il remplit plusieurs conditions lui donnant droit à plusieurs dons, il reçoit le
don de valeur plus élevée avec merci en contre partie des autres dons.
I. Historique
Le terme robotique vient de Roba en Hongrois, et Robus en Bulgare. Le premier signifie : travailler
de manier assidue et le second : serviteur. Ce terme a été inventé en 1920 par l’écrivain Cheque Karel
Capek dans sa pièce Rossum’s Universal Robots qui a connu un grand succès en France et qui mettait en
scène les petits êtres artificiels répondant au doigt et à l’œil, aux ordres de leur maître.
2. Définition
a. concept général
Le robot pris dans cette lignée apparaît comme une entité créée par des dieux, des hommes, des
fous, esprits supérieurs dont la caractéristique principale concerne u moins une égalité, la plupart de temps,
une supériorité avec l’homme dans le domaine des propriétés du cerveau (au sens large). Cependant le
robot reste fortement aliéné dans son comportement à la volonté de son créateur. Cette définition est de
concept général. Dans le concept qui est connu, et qui a longtemps rendu confus le problème scientifique
du robot et qui s’inscrit bien le concept général mais qui met l’accent sur l’imitation des propriétés
essentielles du cerveau humain (le robot a un cerveau).
b. concept scientifique
Scientifiquement parlant, le robot s’insère dans une problématique spécifique, celle de l’assistance à
l’homme par des machines pour l’exécution des travaux ou des taches spécifiques (aide : le robot ne va pas
au delà de ce qui été programmé). Cette assistance prend généralement deux grandes formes :
Il s’agit d’un outil manipulé par l’homme pendant l’exécution de la tache (machine de corporation), ex.
l’ordinateur dans la gestion des stocks, pour entrer les données, l’homme les saisit.
Processus : saisir la quantité ; mettre à jour les stocks= entrée + sortie ; afficher la quantité sortie ;
mettre à jour quantité = quantité sortie – quantité entrée ; afficher quantité sortie. Ainsi les taches
programmées s’exécutent elles-mêmes de manière…
- il s’agit d’une machine qui une fois mise en route exécute le travail sans l’intervention humaine, on
parle d’une machine de substitution. Ex. l’ordinateur quand il est équipé des appareils étudiant
l’environnement.
Dans cette optique, le robot est en 1er lieu une machine physique qui participe à l’automatisation des
taches physiques. Dans cette optique toutes les machines sont des robots, exceptés des machines
inorganiques. Cette caractéristique ne permet pas de distinguer les robots de l’ensemble des machines
dotées des certains automatismes et qui ont pour objectifs, l’exécution des taches physiques. Des
machines pareilles existent depuis longtemps avant même que les scientifiques ne puissent parler des
robots et elles continuent à exister jusqu'à nos jours. Cette caractéristique révèle les points suivants :
Au vu de toutes les caractéristiques ci-dessus relevées, on trouve certes une définition du terme
dans les dictionnaires ou encyclopédies mais beaucoup plus dans les textes des associations de la robotique
des divers pays ou des groupes de réflexion qui ont mené des études à ce sujet. Ainsi, le dictionnaire
Robert définit le robot comme un mécanisme automatique pouvant se substituer à l’homme pour effectuer
certaines opérations et capable d’en modifier de lui-même le cycle et d’exercer un certain choix par
détection photon électrique, par cerveau électronique ou par cerveau moteur ou un ensemble de dispositifs
de commande de moteur.
La JIRA (Japon Industrial Robot Association) définit le robot en mettant l’accent sur
l’anthropomorphisme (1980). Elle définit le robot comme étant un dispositif versatile et flexible offrant des
fonctions de déplacement similaire à celle des membres humains ou dont les fonctions de déplacement
commandés par des capteurs et des moyens de reconnaissance.
La RIA (robotique Industrial association) : sa définition date de 1979 et définit le Robot comme un
manipulateur multifonctionnel programmable conçu pour déplacer les matériaux, les pièces, les outils ou
dispositifs spécialisés au travers de déplacements variables et programmables pour accomplir diverses
taches.
AFRI (association française de robotique) a de son côté renoncé à donner une définition générale
pour se focaliser sur la définition de deux grandes de robots :
Les manipulateurs : mécanisme généralement composé d’éléments en série, articulés ou coulissant
l’un par rapport à l’autre, dont le but est la saisie et le déplacement d’objets suivant plusieurs degrés
de liberté.
- Le degré de liberté est appelé notion de d’arrêt. Le manipulateur est multifonctionnel et peut
être commandé par l’opérateur humain ou logique.
- Le robot industriel : qui est un manipulateur automatique asservi en position, i.e qui doit
avoir une position précise, reprogrammable, polyvalent, capable de positionner t d’orienter
les matériaux, les pièces, les outils ou dispositifs spécialisés au cours des mouvements variables.
La deuxième application à être attestée avec succès, c’est la peinture automatique des automobiles
(quand une tache devient dangereuse pour l’homme, on préfère utiliser le robot).
Le soudage point à point appelé pré soudage qui consiste à assembler préalablement les pièces en
vue d’une finition ultérieure (il y a l’effet risque, salubrité, étouffement, lumière).
Le soudage continu : qui est un soudage précis exigeant l’automatisation parce que les pertes sont
énormes.
L’assemblage des pièces : faite pour un assemblage des pièces exigeant une très grande précision.
Chaque fois que l’homme devra recourir à des taches dangereuses ou des très grandes précisions.
Les robots à programmation de type point à point sont les plus courants, leur tâche consiste à
réaliser des actions non continues mais répétitives. Ces robots réalisent des taches spécifiques en
programmation simple et surtout en programmation…..
Les robots à programmation continue : ici la programmation devient événementielle. Le robot doit
s’adapter aux événements qui surviennent dans son environnement . Cette dernière est réalisée au moyen
des capteurs dont les résultats sont interprétés par des processeurs spécialisés en vue de réagir aux
événements survenus.
- Synchroniser les mouvements du robot, les dispositions perirobotiques et les autres équipements de
l’atelier ou de la cellule de reproduction.
- Gérer les actions des outils.
- Gérer les communications I/O.
- Intégrer les informations sensorielles dans le primitif des mouvements. Généralement ces
mouvements proviennent des simples capteurs.
- Contrôler l’exécution des programmes.
- Communiquer avec un opérateur via une interface appropriée.
a. Apprentissage
Principes d’apprentissage : consiste à montrer au robot ce qu’il doit faire, c'est-à-dire amener l’outil sur
les pauses (repères) souhaités successivement représentant la tache à accomplir. Sur chaque pause,
on enregistre la position, l’orientation du repère lié au centre de l’outil ou encore les positions
articulaires correspondant à l’exécution.
Taches point à point : comment faire l’apprentissage des taches point à point ? pour les taches point à
point, la boite à boutons reste le moyen le plus rependu (programmer les boutons, chaque bouton
réalise une tache, la tâche est apprise par apprentissage).
taches continues : on utilise le guidage, généralement manuel ou par pantin. Le guidage, on a un
manipulateur contenant des boutons s’exécutant selon un ordre prévu. Un pantin est un
1º Programmation explicite :
Principe : dans la programmation implicite, l’opérateur écrit un programme dans un langage choisi,
acceptable par le robot. Ce langage présente des blocs d’instruction de base réalisant des taches
spécifiques. Tout langage évolué peut faire cette tâche à condition d’y ajouter les instructions de
mouvements.
Les premiers systèmes ont vu le jour, tout d’abord sur les calculateurs main frame, puis sur les stations
de travail dont elles utilisent pleinement les avancées en matière d’ergonomie des interfaces, de
visualisation réaliste, de facilité d’utilisation. Ces systèmes ont généralement un double objectif à
savoir :
- l’aide à la conception, à la simulation et à l’optimisation des cellules robotisées, grâces à des outils
de modélisation des robots et de l’environnement, de placement automatique du robot dans sa
cellule, d’analyse du mouvement
- la programmation hors ligne qui permet, après optimisation et validation des trajectoires,
Méthodologie de programmation : cette programmation hors lignes conduit à la génération d’un code
exécutable sur site à partir des données CAO qui comportent :
- la maquette virtuelle (qui reprend la description géométrique des taches à réaliser. Le repère de
travail et le repère intermédiaire qui entrent dans l’élaboration des phases de travail) ;
- les trajectoires CAO : sont les lignes virtuelles au travers desquelles, les taches vont se réaliser.
Elles peuvent être optimisées selon les critères temps du cycle, anti collusion, et placement.
- Taches corrigées et traduites : évaluation de l’habillage au moyen des mesures préalablement
fournies en comparaison avec l’environnement. Cette étape est donc une mise au point, un
ensemble des tests de validation ayant pour but de rendre la
Tâche exécutable. Des que toutes les taches sont vérifiées et déclarées correctes, la tache devient
exécutable.
Avantages : les avantages d’une programmation hors ligne par CAO-robotique sont nombreux :
Disponibilité de la cellule de production : globalement, le temps de programmation d’une
gamme reste le même si l’on compare un apprentissage classique et une PHL. Cependant, la
PHL se faisant en temps masqué, le temps d’immobilisation du site est considérablement
réduit.
Amélioration de la qualité : dans une programmation par apprentissage, la qualité de
l’expérience de l’opérateur, ce qui n’est pas le cas avec la CAO qui permet une définition
exacte des poses désirées…
Minimisation de l’effort de programmation en termes de préparation des données :
réutilisation de modèles déjà créés lorsqu’il y a différentes variantes d’un produit
Optimisation des tâches des temps de cycles et de l’accessibilité sans collision de toutes les
poses notamment, grâces à des outils de placement automatique
La limitation essentielle d’une programmation par CAO est que la maquette virtuelle ne représente
qu’imparfaitement le comportement réel du robot et de la cellule robotisée : certains phénomènes
physiques sont trop complexes et ne sont pas modélisables (par exemple la flexibilité, la déformation
des faisceaux de câbles et des gaines d’amenée des fluides,…)
Ces difficultés sont à l’origine des écarts que l’on constate entre la trajectoire programmée en CAO et
celle effectivement suivie par le robot.
Elles expliquent aussi les différences entre le temps de cycle attendu et celui qui est observé.
Les principales sources d’erreurs de modélisation sont passées en revue ci-dessous :
* modélisation des robots :
Limites : Il faut avoir le matériel conséquent, on apprend que ce qui a été montré, exposition
permanente de l’homme (sécurité de l’homme n’est pas admise), disposer d’un langage de
programmation textuelle, impossibilité de faire la programmation avec maquette.
Avantage : simplicité : l’homme fait les actions, la machine exécute.
Limites : nécessite d’étudier plusieurs langages, l’opérateur doit manipuler plusieurs langages et créer
des instructions propres à lui pour exécuter certaines tâches, anticiper les difficultés d’où le programme
sera toujours partiel et exige une mise à jour perpétuelle.
Avantage : n’expose pas l’homme.
Améliore la qualité des programmes obtenus
Diminution du temps de cycle
Assurance de la sécurité des personnes et des matériels
Dépendance des robots pour permettre la duplication des
tâches sur plusieurs cellules et le remplacement des
robots en panne
- Tout récemment, le module envoyé sur la planète Mars avec pour objectif de prouver que cette
planète a à une certaine période de son existence possédé de l’eau sous forme liquide laissant
entrevoir la possibilité d’existence d’un vie. Le module a pour Nom « CURIOSITY »
- Plus proche de nous, les avions sans pilotes, appelés DRONES, que les américains utilisent dans la
guerre contre les terroristes au PAKISTAN et en AFGANISTAN, ces robots sont si intelligents
qu’ils sont capables de rechercher, de trouver et abattre un individu dont les identités leurs ont été
donné sans le concourt d’aucun humain ; les militaires Français en ont fait usage lors de leur guerre
au MALI ce qui a facilité ladite guerre tout en diminuant les risques encourus par les soldats, la
preuve est qu’à ce jour seuls 6 soldats Français ont été tués contre des centaines des Jihadistes
- Les différents minéraux sur la surface de la terre sont actuellement détectés au moyen des satellites
dotés des systèmes intelligents capables d’analyser, cartographier, donner la teneur et quantifier la
réserve concernée
- Les Scanners, les appareils d’échographie, etc. utilisent de l’intelligence artificielle et produisent des
résultats qui étonnent le commun des mortels
- La guerre qui jadis était les faits du nombre des soldats ou de la puissance de frappe disponible est
devenue aujourd’hui une science fondée sur des stratégies mues par l’intelligence artificielle. C’est ce
qui fait qu’aujourd’hui une troisième guerre mondiale semble improbable car les grandes nations
sachant ce qu’ils possèdent comme armes et comme systèmes d’action et de réaction se craignent
mutuellement. Dernièrement la Corée du Nord rompant unilatéralement les accords de paix de
1952, a menacé les USA d’une frappe nucléaire préventive, ce fait n’a pas ébranlé outre mesure
KABEYA MWEPU Simon Isaac cours d’IA ISES 2018-2019 Page 55
cette superpuissance, ce n’est pas que la bombe nucléaire nord-coréenne n’aurait pas d’effet, mais
c’est la confiance que ce pays place dans l’ensemble du dispositif sécuritaire mis en place, dispositif
piloté par des ordinateurs et des systèmes intelligents très complexes qui est capable de mettre hors
d’état de nuire la fameuse bombe
- Les travaux de construction des tunnels sont aujourd’hui téléguidés par des systèmes automatiques
qui grâces aux satellites conduisent avec précision les têtes perceuses enfouis à plusieurs mètres
sous terre
- Il en est de même des travaux de forage des puits d’extraction pétrolières qui anciennement se
faisaient en ON SHORE (sur terre) se font actuellement OFF SHORE (en mer) et la conduite de
toutes ses tâches, ainsi que la surveillance des activités d’extraction se font par des systèmes
intelligents dirigés des ordinateurs mus par des logiciels intelligents capables de détecter la moindre
faille et de signaler à l’avance toute défaillance susceptible de provoquer mort d’hommes
- Les installations de production d’électricité par procédés nucléaires, tous ces systèmes sont si
dangereux que les laisser être surveillés par l’homme, avec l’effet de la fatigue, de l’inattention, ils
risquent de causer beaucoup des dégâts, c’est ainsi que tous ces éléments à partir de la préparation,
en passant par l’introduction des barres de combustible uranifère dans les réacteurs, le
refroidissement des barres uranifères dès qu’elles sont consumés jusqu’au refroidissement , à la
surveillance et à la production de l’électricité par ces systèmes sont conduits par des systèmes
intelligents
- Aujourd’hui les sciences dans leur ensemble préfèrent utiliser des systèmes intelligents pour la
majeure partie de leurs activités et laisser l’homme au repos
- Actuellement, il est question de capturer les astroïdes dans la ceintures comprises entre les planètes
Mars et Jupiter en vue d’exploiter les richesses qu’elles contiennent, car il est prouvé que certains
d’entre eux sont constituer des blocs de fer ou de platine ou d’or ou encore de cobalt, des projets
aussi gigantesque ne peuvent se réaliser que grâce aux systèmes intelligents
- L’exploration de la planète Mars se fait au moyen des robots intelligents et il y a plus de 100000 qui
la parcours en son pôle Nord et en son équateur ; avec la distance séparant Mars à la Terre des
systèmes dirigés à distance ne produiraient pas des résultats conséquents ; c’est ainsi que tous ces
systèmes sont intelligents et destinés à observer des aspects particuliers ce monde lointain
- Nous pouvions citer des milliers des réalisations intelligentes mais le temps et l’espace nous
manquerait.
Enfin, le monde est en passe de se faire coloniser par des robots et l’avenir tend à donner raison à toutes
les personnes pensent dans ce sens, notre souhait est que l’étudiant de L1 puisse cultiver un esprit créatif de
manière à ne pas se laisser à la traîne car l’avenir semble dire que dominera le monde la personne qui
domptera les systèmes intelligents.