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République Algérienne Démocratique et populaire

Université 8 mais 1945

Faculté de génie civil et d’hydraulique

Travaux pratique de MDC


Réaliser par : Responsable de TP :
 Allal malek kechkar.ch
 Boudeffa nassim
 Chemakh Achref
Tp01 : Méthode dreux-gorisse

Introduction :
La méthode du Dreux-Gorisse, par définition, est une méthode de synthèse applicable aux
granulométries continues et discontinues et qui consiste à calculer une première composition à
partir des deux principales caractéristiques que sont la résistance et l’ouvrabilité. Elle permet
donc de formuler les quantités optimales de matériaux nécessaires à la confection du béton
conformément au cahier des charges. Ainsi, nous passerons à plusieurs étapes de calcul
successives, nécessaires à l’obtention de la formulation théorique du béton tel que la nature de
l’ouvrage, la résistance souhaitée et la consistance désirée.

APPLICATION DE LA METHODE

L’application de la méthode consiste à la détermination des quantités nécessaires en ciment,


eau et granulats pour préparer 1 m3 du béton

Détermination de la quantité du ciment


Le dosage en ciment est de 350 Kg / m 3 ; alors la quantité du ciment correspondant
est :
c
σ ' 28=Gσ ' c( −¿0.5)
E
c σ ' 28
= +0 . 5……………(1)
E G σ 'c

on a:

C=350kg/m3
σ ' 28=28.75Mpa=287.5bar

G:on a 25 ≤ D ≤ 40 mm la qualité es granulats est conuts donc: G=0.5

σ ' c=425 bar

d onc :

c 287 . 5
= +0 . 5
E 0 .5∗425
c
=1.85………(2)
E

Dosage en Ean :
c
On(2) : =1.85
E
c 350
E= 1.85 = E 1.85 =189 L

Dosage des granulats :


D max =25 mm>20 mm

12.5> x >10 voir le graple

En ordonnee ;Y

Y=50-√ D+K- K s + K p……………(1)

D=25 mm

K :coefficient par le tableaux est egalr (+2)


K s :pas de correction donc ( K p =0 ¿

K s :6 M f -15 ; on calcul M f :

1 1
Mf =
100 ∑ 5,2.5,1.25,0 .63,0 .315,0.16=¿
100
¿(0+15+64+78+97)=3.49

K s =6 ( 3.49 )−15=(5.94 )
Tp02 : essai d’affaissement au cône d’Abrams

INTRODUCTION:
La norme béton NF EN 206-1 précise que "tous les bétons doivent être soumis à un contrôle
de production sous la responsabilité du producteur". Ces contrôles ont pour but de vérifier la
conformité par rapport aux spécifications en vigueur et/ou à un cahier des charges
demandé. Parmi tous les contrôles nécessaires, il faut distinguer ceux qui sont effectués
lorsque le béton est à l’état frais de ceux qui le sont lorsqu’il est à l’état durci. Les contrôles
réalisés sur le béton à l’état frais constituent les premières vérifications possibles de la
conformité d’un béton et permettent, à la livraison de ce dernier, de pouvoir détecter
d’éventuelles variations susceptibles de nuire à la mise en œuvre. Et donc à la bonne tenue
des ouvrages dans le temps.

DEFINITIONS:
Le béton est dit frais lorsqu’il n’a pas entamé son processus de prise et de durcissement. Le
béton frais a la capacité de se déformer et de s’écouler ; ce qui permet de le transporter ou
de le pomper et de remplir les moules ou les coffrages.

Le béton frais est une sorte de matériaux de construction, dont les constituants sont le
ciment, les granulats, l'eau et éventuellement des adjuvants soit liquides, soit en poudre.
Dans le béton frais lors de sa fabrication existe aussi l'air, qui joue un rôle non pas seulement
sur sa plasticité, mais également sur ses déformations et ses propriétés finales.

Le béton frais obtenu après le mélange doit être homogène et avoir la consistance préalable
pour les travaux concernés. Pour assurer la réussite de cette opération, il faut choisir un
matériel adapté et déterminer un temps de mélange suffisant.

But de TP :
 Le but de cette recherche est d’étudier expérimentalement l’influence des granulats recyclés
sur les propriétés du béton telles que sa résistance à la compression, son ouvrabilité et sa
porosité, ainsi que sa durabilité.

ESSAI D'AFFAISSEMENT:
Cet essai appelé aussi cône d'Abrams ou bien slump-test est décrit dans la norme NF EN
12350-2. Il est incontestablement un des plus simples et des plus fréquemment utilisés, car il
est très facile à mettre en œuvre. Il ne nécessite qu'un matériel peu coûteux et peut être
effectué directement sur chantier par un personnel non hautement qualifié mais ayant reçu
simplement les instructions nécessaires au cours de quelques séances de démonstration. . Il
est utilisable tant que la dimension maximale des granulats ne dépasse pas 40 mm.

Matériel utilisé :

 Une plaque carrée ;


 Cône d’Abrams avec deux poignées(d=16cm) (h=32cm) ;
 Une tige de piquage
 Un entonnoir ;
 Une règle.

Mode opératoire :

 Placer la plaquette sur un support stable et horizontale ;


 Humidifier la surface de la plaque ;
 Le cône doit être légèrement huilé .remplir le cône en béton. En trois couches ;
 Chaque couche est piquée par 25 coups de façon répartie avec une tige de pique ;
 Araser en roulant la tige de piquage sur le bord supérieure du moule ;
 Le cône de béton est immédiatement démoulé. Le béton est mesuré a l’aide du règle
métallique.

Affaissement : l’affaissement est égale à 4 cm alors la classe de la consistance


du béto est faible plastique

Conclusion :
La mesure de l’affaissement permet de vérifier si l’ouvrabilité du béton est conforme
à l’ouvrabilité souhaitée.
Tp03 :confection de béton
INTRODUCTION
Le béton est un mélange de sable, de gravier, ciment et d’eau. Il peut contenir un ou plusieurs
adjuvants, des poudres qu’on appelle addition et éventuellement des fibres, qui une fois ces
éléments mélangés et homogénéisés, on obtient un matériau qu’on appelle pate granulaire
dont la consistance peut varier en fonction des besoins, de l’état ferme à l’état fluide. Cette
pate granulaire durcit même sous l’eau après quelques heures par un jeu de réaction chimique
des composées du ciment avec l’eau qu’on appelle hydratation. La résistance du béton
augmente avec le temps pendant plusieurs décennies mais pour le dimensionnement des
ouvrages, la résistance à l’âge de 28 jours est en général retenue car elle donne une estimation
de la résistance finale.

BUT DU TP

Ce présent travail a pour but de sélectionner les différents constituants du béton et de choisir
leurs proportions dans le but de répondre à un cahier de charge conforme. Le cahier des
charges minimum imposé par le maitre d’œuvre est la résistance caractéristique du béton à 28
jours. Enfin, nous allons poursuivre le travail en mélangeant la pâte granulaire puis réaliser la
fabrication du béton avec les trois (3) éprouvettes préinscrites dans le TP.

MATERIAUX UTILISEES
 Gravier 5/16(3.54kg)
 Gravier 16/25(16.7kg)
 Sable(15.18kg)
 Ciment(7kg)
 Eau et adjuvant(3.78l)
MATERIELS UTILISEES
 Bétonnière électrique
 Pelles
 Brouette
 Cône d’Abrahams
 Trois éprouvettes
 Balance électrique
MODE OPERATOIRE

Pour réaliser ou fabriquer un béton selon le TP, nous allons :


 Peser à l’aide d’une balance les différents constituants : eau, ciment, sable et gravier.
 Commencer à verser les granulats de plus grandes dimensions dans le malaxeur par ordre
(soit gravier 16/25, gravier 5/16, et sable).
 Mettre ensuite la bétonnière en marche et laisser pendant 2 minutes pour pouvoir
homogénéiser l’ensemble de grains.
 Apres 2 mn, mettre en pause la machine (bétonnière) pour verser le ciment et remettre la
bétonnière en marche.
 Une minute plus tard, verser de l’eau sans stopper la machine et laisser 2 mn encore.
 Puis verser l’ensemble dans une brouette et procéder par occasion à la mesure de
l’affaissement à l’aide du cône d’Abrahams.
 Enfin, verser dans chaque éprouvette, une quantité suffisante pour la suite de

l’expérience.

CONCLUSION
Pour contourner le tout, nous déduisons que ce TP nous a poussé à comprendre la méthode de
formulation du béton dans le domaine de génie civil car le béton est l’un de matériaux de
construction les plus utilisées dans le monde, il fait partie de notre cadre d’infrastructure. Il a
mérité sa place par sa performance, sa souplesse d’emploi ainsi que par la diversité qu’il
permet dans les formes, les couleurs et les aspects. En somme, le béton est un matériau très en
demande dans le domaine du génie civil et son utilisation ne cessera de croitre au cours des
années à venir.
Tp04 :Détermination du taux des fins du sable
INTRODUCTION
Le taux de fines de sable est une des données très importantes qu’il est souhaitable de
déterminer au moment de l’étude du gisement.
Il est communément établi que la teneur en fines d’un sable dépend de la structure
pétrographique ; de la taille des grains et de la quantité du ciment de la roche et en partie, de
la nature du concassage. Donc cette présente étude présente un résultat de taux de fines de
sables concassés puis associés à une identification pétrographique et indique aussi comment il
est possible d’estimer le taux des fines des sables élaborés à partir d’échantillons.

BUT DU TP
Le but de ce présent travail est de déterminer la quantité de fines que contient sable concassé
avant son usage dans le béton.

MATERIELS UTILISES
 Une série de trois tamis (de 1mm ; 0.5mm et de 0.063mm) conformes à la Norme NF X
11-501 et NF X 11-504.
 Un couvercle qui évite la perte de matériau pendant le tamisage.
 Un réceptacle de fond pour recueillir le dernier tamisât.
 Des récipients en plastique contenant de l’eau de lavage du sable.
 Une spatule de mélange permettant aux particules de s’échapper facilement.
 Une main écope pour le remplissage.
 Une balance de précision
 Une quantité de sables concassés.
 Une quantité d’eau suffisante.

MODE OPERATOIRE
Pour ce TP, nous allons procéder par les étapes suivantes :
 Prendre une petite quantité des sables dans 2 ou 3 tares et mettre dans l’étuve pour
déterminer la teneur en eau.
 Ensuite, placer les tamis par ordre décroissant ;
 Mesurer la quantité de sables à utiliser à l’aide d’une balance de précision ;
 Verser la quantité de sables mesurée sur le premier tamis de 1mm ;
 Après, mettre la machine en marche pendant une période de 10min ;
 Après tamisage, prendre le tamis de 0.063mm puis bien laver les refus se trouvant dedans
jusqu’à ce que l’eau du lavage soit bien claire ;
 Prendre les refus lavés de trois tamis et les placer dans l’étuve à 105 degré ;
 A la fin, procéder au calcul de détermination de taux des fines.

Travail demander

On déterminer le taux de fine de sable :


M0=500g

M1=440g

Pour le teneur en eau :

m1=300.6g

m2=300.04g

après séchage :
m1=300.06g

m2=300.02g

W1=(mh1-ms1/ms1)*100=0.016

W2=(mh2-ms2/ms2)*100=0.006

F=1-(m1/m0)(1+W)=11.03%

Donc:F=0.11232‹1.5

Conclusion:
Nous conclut que le taux de fine de sables dans le dosage du béton est un facteur
a déterminé avant l’usage de béton
Tp05 :essai d’écrasement

Méthode01
INTRODUCTION
L’essai d’écrasement sur béton est un essai qui consiste à placer les éprouvettes du béton
perpendiculairement dans une machine appelée presse hydraulique et qui effectue une force
de compression à l’aide d’une charge croissante et constante, programmée sur l’appareil. Ce
dernier mesure la résistance à la compression d’un béton suivant un protocole normalisé. Ces
essais de compression se font souvent sur un même appareil que l’essai de traction mais en
appliquant la charge en compression au lieu de l’appliquer en traction. Pendant l’essai de
compression, l’échantillon se raccourcit et s’élargit. La déformation relative est « négative »
en ce sens que la longueur de l’échantillon diminue. La résistance a été longtemps considérée
comme la qualité essentielle pour ne pas dire la seule à rechercher pour un béton. Ainsi,
l’ouvrabilité et la résistance sont à étudier de pair car elles sont étroitement dépendantes l’une
de l’autre et d’autant plus qu’elles varient en sens inverse en fonction de certains facteurs
essentiels de la composition du béton.

BUT
Le but du travail est de déterminer la résistance à la compression de l’échantillon et de vérifier
qu’elle correspond bien à celle demandée pour la réalisation de l’ouvrage. Juste avant l’essai
de compression, nous allons mesurer quelques paramètres des éprouvettes : la hauteur réelle
ainsi que son poids pour pouvoir calculer le poids volumique de chaque éprouvette.

PRINCIPE DE L’ESSAI
Le principe de l’essai se mesure par compression axiale du cylindre droit de révolution, d’une
hauteur double de leurs diamètres. Le cylindre le plus couramment utilisé est le cylindre de
(16 x 32) dont la section est de l’ordre de 20 cm2.

MATERIELS UTILISEES
 Presse hydraulique
 Balance électrique

DESCRIPTION DU DISPOSITIF
L’appareil ou le dispositif utilisé au cours de l’essai est une machine appelée presse
hydraulique de force et de dimension appropriées à l’éprouvette à tester et répondant aux
prescriptions des normes NFP18-411 et NFP18-412. Un moyen pour rectifier les extrémités
des éprouvettes : surfaçage au souffre ou disque diamante.

MODE OPERATOIRE
 Nettoyer les plateaux de la presse ;
 Mettre en place l’éprouvette verticalement et la centrer sur le plateau ;
 Soumettre les éprouvettes étudiées à une charge croissante jusqu’à la rupture avec une
vitesse de 0.5 MPa/s.

Méthode02

INTRODUTION
L’essai au scléromètre consiste à projeter une masse sur la surface d’un béton avec une
énergie initiale constante. Suite au choc, une partie de l’énergie est absorbée par le béton,
l’autre partie provoque le rebondissement de la masse. L’énergie d’impact est produite par un
système de ressort dont l’amplitude du mouvement de recul est fonction de l’énergie de recul
et les caractéristiques du système des ressorts. La mesure de la dureté au choc permet
d’évaluer la résistance du béton de manière non destructive. Cette méthode est
particulièrement intéressante en raison de sa simplicité ; elle permet de faire rapidement des
contrôles de régularité du béton d’un ouvrage. Par ailleurs, la détermination de la dureté est
basée sur la mesure du recul que subit le dispositif mobile (commandé par un ressort) à la
suite d’une collision entre le dispositif et la surface du béton.
BUT

Le présent travail a pour but de permettre l’obtention rapide de la résistance du béton d’un
ouvrage, sans procéder à des prélèvements du béton durci par carottage. La mesure de la
dureté permet d’évaluer la résistance d’un béton de manière non destructive. Cette méthode
permet également de faire rapidement des contrôles de régularité du béton d’un ouvrage.

PRINCIPE DE L’ESSAI
Le principe de l’essai consiste à tester la résistance de la surface d’un béton durci. Cette
résistance étant plus élevée que le béton est donc plus résistant, cela permet d’avoir un ordre
de grandeur de la résistance atteinte par un béton à un âge donné.

MATERIELS UTILISEES
Le scléromètre : il existe plusieurs modelés selon le type de recul ainsi que l’énergie
d’impact. Le modelé utilisé dans ce présent TP est le scléromètre SCHM (D) (suisse). Le
dispositif est composé d’une masselotte chargée par un ressort qui se projette sur une tige
métallique appelée tige de percussion. Il est livré avec une pierre à pâlir et un bloc
d’étalonnage.

Photographie d’un scléromètre

MODE OPERATOIRE
Les mesures sont effectuées sur des surfaces nettes, ne présentant pas de nids de gravier, des
écaillages, de textures grossières, de porosités élevées ou des armatures affleurant. La
préparation de la surface consiste à éliminer tout enduit ou peinture adhérant ou poncer si
cette surface est constituée d’une couche superficielle friable. Toute trace d’eau sur la surface
doit être essuyée.
Travail demander
Les résistances de les éprouvettes R1=17.5Mpa et R2=18.2Mpa

R 1+ R 2
Rm= =17.85 Mpa‹25mpa donc la résistance est faible
2

Déterminer le poids volumique :

ms 14.966
ρ 1= = =1.19∗10−3 g/cm 3
v 12541.91

15.0210
ρ 2= =1.20 g /cm3
12659.49

ρ1+ ρ2
ρ m= =1.195 g/cm 3
2

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