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Voyages

Je voudrais faire des voyages, Si j’avais une bicyclette,


Aller très vite, aller très loin... J’irais, dès le soleil levant,
Je voudrais voir tous les rivages Par les routes blanches et nettes ;
Des mers que je ne connais point. J’irais plus vite que le vent.

Mais je n’ai qu’une patinette Si j’avais une automobile


Et un petit cheval de bois ! Je roulerais au clair matin ;
Le cheval a mauvaise tête, Je roulerais de ville en ville,
La patinette fuit sous moi. Jusqu’aux murailles de Pékin.
Ernest PEROCHON

Voyages
Je voudrais faire des voyages, Si j’avais une bicyclette,
Aller très vite, aller très loin... J’irais, dès le soleil levant,
Je voudrais voir tous les rivages Par les routes blanches et nettes ;
Des mers que je ne connais point. J’irais plus vite que le vent.

Mais je n’ai qu’une patinette Si j’avais une automobile


Et un petit cheval de bois ! Je roulerais au clair matin ;
Le cheval a mauvaise tête, Je roulerais de ville en ville,
La patinette fuit sous moi. Jusqu’aux murailles de Pékin.
Ernest PEROCHON

Voyages
Je voudrais faire des voyages, Si j’avais une bicyclette,
Aller très vite, aller très loin... J’irais, dès le soleil levant,
Je voudrais voir tous les rivages Par les routes blanches et nettes ;
Des mers que je ne connais point. J’irais plus vite que le vent.

Mais je n’ai qu’une patinette Si j’avais une automobile


Et un petit cheval de bois ! Je roulerais au clair matin ;
Le cheval a mauvaise tête, Je roulerais de ville en ville,
La patinette fuit sous moi. Jusqu’aux murailles de Pékin.
Ernest PEROCHON

Voyages
Je voudrais faire des voyages, Si j’avais une bicyclette,
Aller très vite, aller très loin... J’irais, dès le soleil levant,
Je voudrais voir tous les rivages Par les routes blanches et nettes ;
Des mers que je ne connais point. J’irais plus vite que le vent.

Mais je n’ai qu’une patinette Si j’avais une automobile


Et un petit cheval de bois ! Je roulerais au clair matin ;
Le cheval a mauvaise tête, Je roulerais de ville en ville,
La patinette fuit sous moi. Jusqu’aux murailles de Pékin.

Ernest PEROCHON

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