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2°) En utilisant les résultats de la partie 1, déterminer pour quelle position de M l’aire du triangle CNP est

ère Contrôle du mardi 2 février 2016 maximale. On répondra en une ou deux phrases.
1 S1
(3 heures) 3°) Question bonus (à traiter sur copie s’il reste du temps)

On note  et  les valeurs de x telles que l’aire de CNP soit égale à 0,01 avec    .
 Le barème est donné sur 40.
À l’aide de la calculatrice, déterminer les valeurs décimales approchées d’ordre 3 par défaut de  et .

 Il est demandé de ne rien écrire sur l’énoncé (et en particulier de ne rien écrire sur les figures).
II. (7 points : 1°) 2 points ; 2°) 1 point ; 3°) a) 1 point ; b) 2 points ; c) 1 point)

I. (9 points) x 2  2mx  1  1 
À tout réel m non nul on fait correspondre la fonction f m : x  définie sur  \  .
mx –1 m 
Partie 1 (1°) 2 points ; 2°) 3 points)  
On note Cm 
sa courbe représentative dans le plan muni d’un repère O, i, j . 
2 3
x x
On considère la fonction f : x  définie sur  \  1 .
x 1 1 mx 2  2 x  m
1°) Démontrer que pour tout réel x  , on a : f m '  x   .
2 x 1  x  x 2  m  mx  1 2
1°) Démontrer que pour tout réel x   1 , on a f '  x   2
.
 x  1 On ne demande d’écrire que trois lignes de calculs en montrant bien la formule utilisée.
On ne demande d’écrire que trois lignes de calculs en montrant bien la formule utilisée.
2°) Soit I le point de Cm d’abscisse 0.
2
2°) Donner sans justifier les racines x1 et x2 du polynôme 1  x  x en prenant x1  x2 . Déterminer une équation de la tangente T à Cm en I. On répondra en 4 lignes au maximum en rédigeant avec
Faire un tableau comprenant l’étude détaillée du signe de f '  x  (ne pas oublier les 0 !) et les variations de f. concision.
 5 5  11 5 5  11 3°) Dans cette question, on suppose que m est distinct de 0, 1 et – 1.
On admettra que f  x1   et f  x2   .
2 2 On cherche à démontrer qu’il existe un unique point J de C m , distinct de I, tel que la tangente en J soit parallèle à la
droite T.
Partie 2 (1°) a) 2 points + 1 point ; 2°) 1 point ; 3°) 1 point)

Une unité de longueur est fixée. a) Recopier et compléter sans justifier la phrase : « Les abscisses des points de Cm en lesquels la tangente est
On considère un carré ABCD de côté 1. Soit M un point quelconque de [AB] et N le point de la demi-droite [BC) parallèle à T sont les solutions de l’équation …. (écrire l’équation) ». On note  E  cette équation.
n’appartenant pas au segment [BC] tel que CN  AM . La droite (MN) coupe le segment [CD] en un point P.
L’objectif est de rendre maximale l’aire du triangle CNP.
b) Déterminer les solutions de  E  sous la forme la plus simple possible et en déduire qu’il existe bien un unique
point J de C m , distinct de I, tel que la tangente en J soit parallèle à la droite T. On donnera l’abscisse de J en
N
fonction de m.
Rédiger en écrivant au début : «  E  est successivement équivalente à ... ».
D P
C c) Démontrer que J appartient à la parabole  d’équation y  x 2  3 .

III. (7 points : 1°) 2 points ; 2°) 2 points ; 3°) 2 points ; 4°) 1 point)

Dans une urne, on place n jetons (n entier naturel supérieur ou égal à 2) : un noir et tous les autres blancs.
On tire successivement, au hasard et avec remise, deux jetons de l’urne.
On considère le jeu dont la règle définie de la manière suivante :
- on gagne 16 points si on tire deux fois le jeton noir ;
- on gagne 1 point si on tire deux fois un jeton blanc ;
- on perd 5 points dans les autres cas.
On note X la variable aléatoire égale au gain algébrique du joueur. On notera que X peut prendre les valeurs x1  16 ,
A M B x2  1 et x3   5 .
1°) On pose AM  x .
Pour les questions 1°), 3°) et 4°) aucun détail des calculs n’est attendu sur la copie.
Exprimer la distance PC puis l’aire du triangle CNP en fonction de x. On donnera directement les résultats.
1°) Donner la loi de probabilité de X dans un tableau sans détailler les calculs. VI. (6 points : 1°) 2 points ; 2°) 2 points ; 3°) 2 points)

n 2  12n  27 Le plan orienté est muni d’un repère orthonormé direct d’origine O. On note C le cercle trigonométrique et on
2°) Démontrer que l’espérance mathématique de X est donnée par E  X   . 
n2 considère les points A 1; 0  , B  0 ;1 , A'   1; 0  , B'  0 ;  1 . On note E et F les images respectives de  et de
12
3°) Déterminer les valeurs de n pour lesquelles le jeu est équitable. Calculer dans ces cas la variance de X. 
sur C .
4
4°) Déterminer le plus petit entier naturel n  2 tel que la probabilité d’avoir un gain positif ou nul soit supérieure
ou égale à 0,9. Répondre sans justifier. B

C F +
IV. (8 points : 1°) 2 points ; 2°) 2 points + 2 points ; 3°) a) 1 point ; b) 1 point)

Un jeu consiste à lancer des fléchettes sur une cible circulaire. La cible est partagée en trois secteurs circulaires
marqués 0 point (secteur A), 3 points (secteur B), 5 points (secteur C). Les probabilités d’atteindre les secteurs A, B,
A
1 1 1
C sont respectivement égales à , , . On suppose que les lancers sont indépendants et que le joueur touche la A' O
2 3 6
cible à tous les coups. Une partie de ce jeu consiste à lancer trois fléchettes au maximum. Le joueur gagne la partie E
s’il obtient un total (pour les 3 lancers) supérieur ou égal à 8 points. Si au bout de 2 lancers, il a un total supérieur ou
égal à 8 points, il ne lance pas la troisième fléchette.
On définit les événements E : « le joueur gagne la partie en 2 lancers » ; F : « le joueur gagne la partie en 3
lancers » ; G : « le joueur perd la partie ». Aucun arbre de probabilités n’est demandé sur la copie.
B'
5
1°) Démontrer que la probabilité de E est égale à . Le détail des calculs est attendu.
36
   
2°) Calculer la probabilité des événements F et G. On donnera les résultats sous la forme de fractions irréductibles
   
On note M et N les points de C tels que OE ; OM  x et OF ; ON   x où x est un réel fixé.

sans détailler les calculs.  



1°) Déterminer une mesure en radians de l’angle orienté OE ; OF . 
3°) Pour une partie, la mise est fixée à 2 €. Si le joueur gagne en deux lancers, il reçoit 5 €. S’il gagne en trois On veillera à présenter soigneusement les calculs.
lancers, il reçoit 3 €. S’il perd, il ne reçoit rien. On note X la variable aléatoire correspondant au gain algébrique en
euros du joueur pour une partie. Les valeurs possibles pour X sont donc x1  – 2 , x2  1 et x3  3 .  
 
2°) Déterminer une mesure en radians de l’angle orienté OM ; ON en fonction de x.
a) Donner la loi de probabilité de X sans détailler la démarche. On veillera à présenter soigneusement les calculs.

b) Calculer l’espérance mathématique de X. Le jeu est-il favorable au joueur ?   



3°) Déterminer pour quelles valeurs de x l’angle orienté OM ; ON admet
2

pour mesure en radians.
Rédiger selon le modèle suivant à recopier et compléter :
V. (3 points : 1°) 1 point ; 2°) 1 point ; 3°) 1 point)

Le trois questions de cet exercice sont indépendantes.  


Aucune justification n’est demandée. On répondra directement sans faire de phrases.  OM ; ON   2 si et seulement si …
On se place dans le plan orienté.  
 OM ; ON   2 si et seulement si …
1°) Parmi les cinq réels suivants, quatre sont des mesures d’un même angle orienté. Quel est l’intrus ?
 
9
;
17
; 
7
;
13
;
  OM ; ON   2 si et seulement si …
4 4 4 4 4

26
2°) Donner la mesure en radians dans l’intervalle  0 ; 2 d’un angle orienté dont une mesure en radians est . Il est demandé :
5
- de rédiger de la manière la plus concise possible (inutile de recopier les questions) ;
218
3°) Donner la mesure principale en radians d’un angle orienté dont une mesure en radians est .
3 - de soigner la présentation des calculs.
1ère S1 Partie 2 (1°) a) 2 points + 1 point ; 2°) 1 point ; 3°) 1 point)
Nom : …………………… Contrôle du mardi 2 février 2016 1°) ……………………………………………………………………………………………………………………….
Prénom : ………………… Copie à rendre ..…………………………………………………………………………………….……………………………………

I II III IV V VI Total/40 Total/20 ..…………………………………………………………………………………….……………………………………

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I. (9 points) ..…………………………………………………………………………………….……………………………………

Partie 1 (1°) 2 points ; 2°) 3 points) ..…………………………………………………………………………………….……………………………………

1°) ………………………………………………………………………………………………………………………. ..…………………………………………………………………………………….……………………………………

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2°) Les racines du polynôme 1  x  x 2 sont x1  .................................. et x2  .................................. .
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2°) ……………………………………………………………………………………………………………………….

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II. (7 points : 1°) 2 points ; 2°) 1 point ; 3°) a) 1 point ; b) 2 points ; c) 1 point) III. (7 points : 1°) 2 points ; 2°) 2 points ; 3°) 2 points ; 4°) 1 point)

1°) ………………………………………………………………………………………………………………………. 1°)

..…………………………………………………………………………………….…………………………………… xi
..…………………………………………………………………………………….……………………………………
P  X  xi 
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2°) ……………………………………………………………………………………………………………………….
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2°) ……………………………………………………………………………………………………………………….
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3°) Le jeu est équitable si et seulement si ……………………………………………………………….……………...
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.…………………………………………………………………………………….…………………………….………
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3°) a) ……………………………………………………………………………………………………………………
4°) …….. (répondre sans écrire d’égalité)
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IV. (8 points : 1°) 2 points ; 2°) 2 points + 2 points ; 3°) a) 1 point ; b) 1 point)

b) ……………………………………………………………………………………………………………………….. 1°) ……………………………………………………………………………………………………………………….

..…………………………………………………………………………………….…………………………………… .…………………………………………………………………………………….…………………………….………

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2°) ……………………………………………………………………………………………………………………….
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..…………………………………………………………………………………….…………………………………… 3°) a) b) E  X   .........


..…………………………………………………………………………………….……………………………………
…………………………………………………..
..…………………………………………………………………………………….…………………………………… xi
………………………………………………....
..…………………………………………………………………………………….……………………………………
P  X  xi 

c) ……………………………………………………………………………………………………………………….. ..………………………………………………..

..…………………………………………………………………………………….……………………………………
V. (3 points : 1°) 1 point ; 2°) 1 point ; 3°) 1 point)

1°) …………… (un seul résultat) ; 2°) …………… (un seul résultat) ; 3°) …………… (un seul résultat)

VI. (6 points : 1°) 2 points ; 2°) 2 points ; 3°) 2 points)

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 1 5 5 1
Corrigé du contrôle du 2-2-2016 Les valeurs des extremums en
2
et
2
sont données dans l’énoncé.

I.
La valeur de f  0  se calcule immédiatement avec l’expression de f.
1°)

f est une fonction rationnelle donc elle dérivable sur  \  1 . On vérifie les variations à l’aide de la calculatrice à condition de choisir une bonne fenêtre graphique.

On applique la formule de dérivation d’un quotient de deux fonctions dérivables. Partie 2

x   \  1 f ' x 
 2 x  3x    x  1   x
2 2
 x  1
3
1°)
2
 x  1
 Exprimons la distance PC en fonction de x.
2 3 2 2 3
2 x  2 x  3 x  3x  x  x
x   \  1 f ' x  2
Dans le triangle BMN, on sait que :
 x  1 P   MN  ;
C   BN  ;
 2 x3  2 x2  2x
x   \  1 f ' x  2  PC  / /  BM 
 x  1
NP NC PC
2 x 1  x  x 2  Donc d’après le théorème de Thalès, on a :   .
x   \  1 f ' x  NM NB MB
2
 x  1
NC PC x PC
En particulier, on a :  . Par conséquent,  .
 5 1 5 1 NB MB x 1 1 x
2°) Les valeurs « charnières » sont 0, – 1, , . On doit ranger ces valeurs dans l’ordre croissant sur la
2 2 On obtient alors :
première ligne du tableau.
x 1  x 
PC 
x 1
 1 5 5 1
x  –1 0 + x  x2
2 2 PC 
x 1
SGN de 2x    0num + +

 Exprimons l’aire du triangle CNP en fonction de x.


SGN de
 0num + + + 0num 
1 x  x2
A CNP  CN  CP
SGN de 2
2 + + 0dén + + + x  x2
 x  1 x
SGN de A CNP  x 1
+ 0num   0num + 0num  2
f '  x
x  x  x2 
 5 5  11 5 5  11 A CNP 
2  x  1
Variations 2 2
de f x 2  x3
A CNP 
0 2  x  1
2°) II.

1°)
On remarque que A CNP  1 f  x (pour x   0 ;1 ).
2
On s’intéresse donc à la restriction de la fonction f à l’intervalle [0 ; 1].  1 
f est une fonction rationnelle donc elle dérivable sur  \  .
On a les variations de f sur  \  1 donc obtient les variations de f sur  0 ;1 . m
1 1
Comme  0 , les variations de la fonction g : x  f  x  sont les mêmes que celles de f.
2 2  1   2 x  2m  mx  1   x 2  2mx  1  m
x   \   fm '  x  
On observe que
5 1
  0 ;1 (par exemple en utilisant la calculatrice).  m   mx  12
2
5 5  11  1  2mx 2  2 x  2 m2 x  2 m  mx 2  2 m2 x  m
D’après le tableau de variation établi à la partie 1, le maximum de f sur [0 ; 1] est égal et il est atteint en x   \   fm '  x  
2  m   mx  12
5 1
x .
2
 1  mx 2  2 x  m
5 5  11 5 1 x   \   fm '  x  
Donc le maximum de g sur [0 ; 1] est égal
4
et il est atteint en x 
2
.  m   mx  1 2

On pouvait poser u  x   x 2  2mx  1 et v  x   mx  1 .


5 1 5 5  11
L’aire du triangle CPN est donc maximale lorsque AM  ; dans ce cas, elle vaut .
2 4 On avait alors u '  x   2 x  2m et v '  x   m .

3°) Bonus :
2°)
x2  x3
On effectue une résolution approchée de l’équation  0, 01 à l’aide de la calculatrice.
2  x  1 Une équation de T s’écrit y  f m '  0  x  0   f m  0  .
2 3
x x
On trace les représentations graphiques des fonctions x  et x  0,01. On a : f m  0    1 et f m '  0   m .
2  x  1
On règle la fenêtre graphique de manière à avoir une bonne visibilité.
Par conséquent, T a pour équation y  mx  1 .
On utilise ensuite la commande d’intersection pour déterminer une valeur approchée des abscisses des points
d’intersection. 3°)

Il y a trois points d’intersection. a)

On lit les affichages suivants : Les abscisses des points de Cm en lesquels la tangente est parallèle à T sont les solutions de l’équation
f m ' x   m  E  .
– 0,1247532 0,16747042 0,95728277

Donc

La valeur décimale approchée d’ordre 3 par défaut de  est 0,167.

La valeur décimale approchée d’ordre 3 par défaut de  est 0,957.


 1  c)
b) On résout  E  dans  \  .
m 
On commence par calculer l’ordonnée de J en fonction de m.
 E est successivement équivalente aux lignes suivantes :
2
2 2
mx 2  2 x  m    2m   1
m  2  m m
fm   
 mx  1 2 m 2
m  –1
m
2
mx 2  2 x  m  m  mx  1
2
2
   4  1
 2  m

mx 2  2 x  m  m m 2 x 2  2mx  1  fm   
m 2 –1

mx 2  2 x  m  m3 x 2  2m 2 x  m 2
2
   3
 2  m
m  m  x
3 2

 2 x 1  m2  fm   
m 2

m  m  x
3 2

 2 x 1  m2  0  2 2
2
f m       3
m  m
  
x  m  m3 x  2 1  m2   0
  
On a donc fm  xJ   xJ 2  3 .

x  0 ou  m  m  x  2 1  m   0
3 2
On en déduit que J appartient à la parabole  d’équation y  x 2  3 .

x  0 ou x 

2 1  m2 
3
mm
III.

x  0 ou x 

2 1 m 2
 Il s’agit de la répétition d’une épreuve dans des conditions identiques indépendantes.

m 1  m2  On dresse un arbre de probabilités en utilisant les événements B et N définis ci-dessous.

2 B : « La boule tirée est blanche »


x  0 ou x  (comme m est différent de 1 et de – 1, 1  m 2  0 )
m
N : « La boule tirée est noire »
2
Cm admet donc une tangente parallèle à T au point J d’abscisse .
m
B P  X   5  P  B  N   P  N  B
n 1
n P  X   5  2 P  B   P  N 

B n 1 1
P  X   5  2  
n n
n 1
1 2  n  1
n N P  X   5 
n n

On vérifie que la somme des probabilités est égale à 1.

P  X  16   P  X  1  P  X   5   1

n 1 B
1
n xi 16 1 –5
n
2
N 1  n 1 2  n  1
P  X  xi   
n2  n  n2

1
n N 2°)

2
1  n 1  2  n  1
E  X   16   1    5
n2  n  n2
2
16   n  1  10  n  1
1°) E  X 
n2
2
16  n  2n  1  10n  10
À chaque fois, on applique le principe multiplicatif (licite car les expériences sont indépendantes). E  X 
n2
P  X  16   P  N-N 
n 2  12n  27
E  X 
2 n2
P  X  16   P  N 

2 3°)
1
P  X  16    
n
Le jeu est équitable si et seulement si E  X   0
1
P  X  16   2 n 2  12n  27
n Le jeu est équitable si et seulement si 0
n2

P  X  1  P  B  B  Le jeu est équitable si et seulement si n2  12n  27  0

2 Le jeu est équitable si et seulement si n  3 ou n  9


P  X  1   P  B 

2
 n 1
P  X  1   
 n 
Pour n  3 , la loi de probabilité de X est donnée par : 1ère méthode :

On rentre la fonction f : x 
 x  1
1
dans la calculatrice.
xi 16 1 –5 x 2

On lit dans le tableau de valeurs de f avec un pas de 1 que l’entier cherché est 19.
1 4 4
P  X  xi 
9 9 9
2e méthode :

2
1 4 2 4  n  1 1
 0,9
V  X   16 2   12     5    02 On résout l’inéquation 1 .
9 9 9 n2

  n  1  1  0,9n 2
2
360 1
V  X 
9
1  n 2  2n  2  0,9n 2
V  X   40

Pour n  9 , la loi de probabilité de X est donnée par : 1  0,1n 2  2n  2  0

On considère le polynôme 0,1x 2  2 x  2 .


xi 16 1 –5 Son discriminant réduit est égal à 0,8.
Le polynôme admet deux racines distinctes x1 et x2 dans .
1 64 16
P  X  xi 
81 81 81 1  0,8 1  0,8
x1  x2 
0,1 0,1

1 64 16 Le polynôme est positif ou nul pour x  x1 ou x  x2 .


2
V  X   16 2   12     5    02
81 81 81
Avec la calculatrice, on trouve x1  1, 0557280... et x2  18, 9442719...
720
V  X 
81
Donc l’entier cherché est 19.
80
V  X 
81
IV.
On peut vérifier les calculs grâce à la commande statistiques de la calculatrice.
On commence par faire un « gros » arbre de probabilités (à faire soigneusement au brouillon).
4°)
1°)
P  "avoir un gain positif ou nul"  P  X  0 
Dans l’arbre ci-dessous on n’a pas fait le 3e niveau qui est inutile pour répondre à la question.
P  "avoir un gain positif ou nul"  P  X  1  P  X  16 

2
 n  1 1
 "avoir un gain positif ou nul"  
n2 n2

2
 n  1 1
 "avoir un gain positif ou nul" 
n2

On cherche le plus petit entier naturel n tel que P  "avoir un gain positif ou nul"  0,9 .
 Pour calculer la probabilité de F, on doit utiliser l’arbre de probabilités.
A (0 pt)
1
Les chemins qui permettent de gagner en 3 lancers sont : A-B-C ; A-C-B ; A-C-C ; B-A-C ; B-B-B ; B-B-C ;
2
1 C-A-B ; C-A-C.
A (0 pt) B (3 pts)
3
1
A
6
A B
C (5 pts)
C
1
2 A
A B B
A (0 pt)
C
1
2 A
1 1 C B
B (3 pts) B (3 pts)
3 3
1 C
6 A
C (5 pts) A B
1 C
6 A
A (0 pt) B B B
1 C
2 C
1
C (5 pts) B (3 pts) A
3
1 A B
6 C
C (5 pts) C B
C
Les chemins qui permettent de gagner en deux lancers sont : B-C ; C-B ; C-C.

En utilisant le principe multiplicatif sur l'arbre pour les branches qui aboutissent à un total de points supérieur ou
égal à 8 on obtient :

1 1 1 1 1 1
P  E      
3 6 6 3 6 6

1 1 1
P E   
18 18 36

2  2 1
P E 
36

5
P  E 
36

2°)

Si le total est supérieur est supérieur ou égal à 8, alors le joueur est déclaré gagnant.

Si au bout de deux lancers, le total est supérieur ou égal à 8, alors le joueur est déclaré gagnant et il n’y a pas de 3e
lancer.
Pour calculer la probabilité de G, il y a deux méthodes :
A (0 pt)
A (0 pt) B (3 pts) 1ère méthode :

C (5 pts) L’événement G est le contraire de l’événement E  F .


A (0 pt)
P  G   1  P  E  F
A (0 pt) B (3 pts) B (3 pts)
C (5 pts)
P  G   1   P  E   P  F  (les événements E et F sont incompatibles)
A (0 pt)
C (5 pts) B (3 pts) 75
P G   1 
C (5 pts) 36

A (0 pt) 12
P G   1
A (0 pt) B (3 pts) 36
C (5 pts)
24
A (0 pt) P  G 
36
B (3 pts)
B (3 pts) B (3 pts)
2  12
C (5 pts) P G  
3 12
C (5 pts)
A (0 pt) 2
P G  
3
A (0 pt) B (3 pts)
C (5 pts) 2e méthode :
C (5 pts)
B (3 pts) On utilise l’arbre de probabilités.
C (5 pts)
Les chemins qui correspondent à l’événement G sont :

A-A-A ; A-A-B ; A-A-C ; A-B-A ; A-B-B ; A-C-A ; B-A-A ; B-A-B ; B-B-A ; C-A-A
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
P  F                         (la somme des probabilités des chemins A-A-A ; A-A-B ; A-A-C est égale à la probabilité du chemin A-A).
2 3 6 2 3 6 2 6 6 2 3 6 3 3 3 3 3 6 6 2 3 6 2 6

1 1 1 1 1 1 1 1
P  F        
36 36 72 36 27 54 36 72

4 2 1 1
P  F    
36 72 27 54

4 1 3
P  F   
36 36 54

5 1
P  F  
36 18

7
P  F 
36
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 V.
P G                        
2 2 2 3 2 2 3 3 2 6 2 3 2 2 3 2 3 3 3 2 6 2 2
1°)
1 1 1 1 1 1 1 1
P G          13
4 12 18 24 12 18 18 24
4
1 2 3 2
P G      Pour faire apparaître l’intrus, on peut écrire chaque nombre sous la forme d’un multiple entier de 2 et d’un nombre
4 12 18 24
dans l’intervalle   ;  .
1 1 1 1
P G     
4 6 6 12 9 8  
   2 
4 4 4 4
3 1 2 17  16  
P G       4 
12 6 4 4 4 4
7 8  
4 1      2 
P G    4 4 4 4
12 3 13 16  3 3
  4 
4 4 4
1 1
P G   
3 3 2°)

2 26
P G   La mesure en radians dans l’intervalle  0 ; 2 d’un angle orienté dont une mesure en radians est est égale à
3 5
6
3°) .
5
a)
26 20 6 6 6
En effet, on a :    4  et   0 ; 2 .
5 5 5 5 5
xi –2 1 3 218 2
3°) La mesure principale en radians d’un angle orienté dont une mesure en radians est est égale à .
3 3
2 7 5
P  X  xi 
3 36 36 218 2   216 2
   72
3 3 3

b)
VI.
2 7 5
E  X    2   1  3 
3 36 36 1°)
     
E  X 
 48  7  15  OE ; OF   OA ; OF   OA ; OE  (relation de Chasles en forme soustractive)
36  
 OE ; OF  4  12
26
E  X    
36  OE ; OF  3
13
E  X     
18 On a
3

est une mesure en radians de l’angle orienté OE ; OF . 
E  X   0 donc le jeu est défavorable au joueur.
2°)
       
 OM ; ON    OM ; OE   OE ; OF   OF ; ON  (relation de Chasles)

       


 OM ; ON     OE ; OM    OE ; OF   OF ; ON 
 
 OM ; ON    x  3  x
 
 OM ; ON   3  2 x

3°)

 
 OM ; ON   2 si et seulement si 3  2 x  2  2k   k   
 
 OM ; ON   2 si et seulement si  2 x  6  2k   k   
 
 OM ; ON   2 si et seulement si x   12  k  k  

 
 OM ; ON   2 si et seulement si x   12  k  k  

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