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Télécommunications

moyens de communications électroniques

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Télécommunications

Sous- Communicatio
classe distance ( )
d

de
Histoire Histoire des
télécommunic

Les télécommunications sont définies comme la transmission


d’informations à distance en utilisant des technologies électronique,
informatique, de transmission filaire, optique ou électromagnétique.
Ce terme a un sens plus large que son acception équivalente
officielle « communication électronique ». Elles se distinguent ainsi
de la poste qui transmet des informations ou des objets sous forme
physique.

Les télécommunications dont les prémices datent, entre autres, des


signaux de fumée et du télégraphe optique, concernent depuis le
début du xxe siècle l'utilisation d'équipements électriques puis
électroniques associés à des réseaux analogiques ou numériques
comme le téléphone fixe et mobile, la radio, la télévision ou les
ordinateurs connectés à Internet. Elles constituent une partie
importante de l'économie et font l'objet de régulations au niveau
mondial.

Robert Hooke invente en 1667 le premier téléphone de l'histoire : le


téléphone à ficelle. Par la suite, au XIXe, des inventeurs comme
Antonio Meucci, Alexander Graham Bell ou Guglielmo Marconi ont
mis au point des dispositifs de communication comme le
télégraphe, le téléphone ou la radio. Ceux-ci ont révolutionné les
moyens traditionnels tels que les pavillons ou le télégraphe optique
Chappe.

L'installation sous les océans de câbles sous-marins raccordés aux


réseaux terrestres permet le transit des données sur de très grandes
distances d’un continent à un autre.
Généralités

Étymologie

Le mot télécommunications vient du préfixe grec tele- (τηλε-),


signifiant loin, et du latin communicare, signifiant partager[1]. Le mot
télécommunication a été utilisé pour la première fois en 1902[2] par
Édouard Estaunié, ingénieur aux Postes et Télégraphes, pour intituler
un cours de l'école professionnelle des Postes et Télégraphes
(ancêtre de l'École nationale supérieure des télécommunications,
devenue Télécom ParisTech) dont il est directeur de 1901 à 1910. Le
terme est repris et popularisé en 1904 par Édouard Estaunié dans
son Traité pratique de télécommunication électrique, pour désigner
les multiples réseaux créés tout au long du xixe siècle pour assurer
la diffusion des signaux écrits et sonores[3].

Définition

Les télécommunications (abrév. fam. télécoms), sont considérées


comme des technologies et techniques appliquées et non comme
une science.

On entend par télécommunications toute transmission, émission et


réception à distance, de signes, de signaux, d’écrits, d’images, de
sons ou de renseignements de toutes natures, par fil électrique,
radioélectricité, liaison optique, ou autres systèmes
électromagnétiques[4].

Histoire

Robert Hooke, inventeur du premier téléphone, reconstruction à partir des descriptions de ses collègues Aubrey et Waller

Article détaillé : Histoire des télécommunications.

Origine des télécommunications

Les moyens simples naturels anciens comme la parole ou les


signaux à vue, permettent de communiquer à courte distance. Le
besoin de communiquer à plus grande distance dans les sociétés
humaines organisées a amené très vite à développer des
télécommunications primitives : tambours, signaux de fumée,
langage sifflé, etc.
Certains de ces types de communications, comme les pavillons,
sémaphores ou héliographes sont encore utilisés dans la marine,
même si cet usage est devenu marginal.

Télégraphe et téléphone

Un téléphone Gower de 1879[5] au Musée des arts et métiers à Paris.

Bien que la communication par signaux optiques entre des points


hauts soit très ancienne, on doit à l'ingénieur Claude Chappe la
création à partir de 1794 du premier réseau simple et efficace de
transmission optique de messages. Ce réseau qu'il a nommé
« télégraphe » fut développé sur les grands axes français et resta en
service jusqu'en 1848.

Le premier service commercial de télégraphie électrique fut construit


par Charles Wheatstone et William Fothergill Cooke, et ouvrit en
1839. C’était une amélioration du télégraphe électromagnétique
inventé auparavant[6]. Samuel Morse développa indépendamment
une version de télégraphe électrique, qu’il montra le
2 septembre 1837. Le code Morse était une avancée importante
comparé au télégraphe de Cooke et Wheatstone.

Le premier câble télégraphique transatlantique opérationnel fut mis


en service le 27 juillet 1866 entre Terre-Neuve et l’Irlande[7]. Sa
longueur était de 3 450 km[8] pour un poids total de 7 000 tonnes.

Le téléphone classique fut inventé indépendamment par Alexander


Bell et Elisha Gray en 1876. Cependant, c'est Antonio Meucci qui
inventa le premier dispositif permettant la transmission de la voix à
l'aide d'une ligne parcourue par un signal.

Télécommunications et sciences

Le domaine des télécommunications est un lieu de convergence et


d'interaction entre différentes technologies et disciplines
scientifiques.

Les mathématiques et plus particulièrement les mathématiques


appliquées sont à la base du développement des théories du
traitement du signal (modernisation des télécommunications), de la
cryptologie (sécurisation des échanges), de la théorie de
l'information et du numérique.
La physique a permis grâce au développement des mathématiques
d'édifier la théorie de l'électromagnétisme. Sont apparus alors les
premiers postes à galène, puis les tubes à vides, les semi-
conducteurs et l'opto-électronique, qui sont à la base de
l'électronique. L'électromagnétisme, en particulier l'étude des
phénomènes de propagation, permet de modéliser la propagation
des ondes à travers un canal, qu'il soit filaire (coaxial, fibre optique…)
ou sans fil (propagation hertzienne). De même, l'invention du laser
par les physiciens a ouvert la voie aux communications par fibres
optiques modernes (prix Nobel de physique 2008).

La chimie, par le biais de l'affinement des processus chimiques, a


permis de réduire le poids et d'allonger l'autonomie des batteries,
autorisant l'emploi d'appareils portables de télécommunications.

L'informatique fondamentale et appliquée[9] quant à elle a


révolutionné le monde de la communication à distance par le
développement des langages de programmation et des
programmes informatiques (génie logiciel) associés à la
microélectronique.

Technique des télécommunications

Principes
Une liaison de télécommunications comporte trois éléments
principaux :

un émetteur qui prend l’information et la convertit en signal


électrique, optique ou radioélectrique ;
un média de transmission, pouvant être une ligne de transmission,
une fibre optique ou l'espace radioélectrique, qui relie émetteur et
récepteur ;
un récepteur qui reçoit le signal et le convertit en information
utilisable.

Par exemple, en radiodiffusion, l’émetteur de radiodiffusion émet


grâce à son antenne la voix ou la musique, qui passe dans l’espace
sous forme d’onde électromagnétique, jusqu’à un récepteur AM ou
FM qui la restitue.

Les liaisons de télécommunications peuvent être


monodirectionnelles, comme en radiodiffusion ou télévision, ou
bidirectionnelles, utilisant alors un émetteur-récepteur. Quand
plusieurs liaisons sont interconnectées entre plusieurs utilisateurs,
on obtient un réseau, comme le réseau téléphonique ou Internet.

Médias de transmission
Fibres optiques.

La transmission s'effectue par différents médias selon les


systèmes. Historiquement le fil téléphonique fut le premier support
de télécommunication et permit le développement du télégraphe et
du téléphone. Il est toujours le média principal pour le raccordement
aux réseaux téléphoniques et aux réseaux informatiques (téléphone,
fax, minitel, internet…), sous forme de paire(s) torsadée(s).

Le câble coaxial était le média du haut débit avant l'apparition des


fibres optiques, il est toujours utilisé dans les réseaux industriels en
raison de sa robustesse face aux perturbations. C'est aussi le
support de prédilection pour les raccordements en radiofréquence à
l'intérieur d'un équipement, parfois remplacé par le guide d'ondes
pour les transmissions de micro-ondes de forte puissance.

La fibre optique, qui raccorde progressivement les abonnés en ville,


est aussi le média des câbles sous-marins modernes. C'est un fil en
verre ou en plastique très fin qui a la propriété de conduire la
lumière.

La radiocommunication, qui peut être définie comme toute


communication par l'intermédiaire de l'espace hertzien, a
révolutionné les télécommunications au début du xxe siècle. C'est le
média de la radiodiffusion de programmes, des services de
communications en radiotéléphonie, des réseaux de téléphonie
mobile, du Wi-Fi, des loisirs radio comme le radioamateurisme, des
liaisons par satellite de télécommunications ou par faisceau
hertzien, aussi bien que des simples télécommandes domestiques.
La radioélectricité étudie la transmission hertzienne, la propagation
des ondes, les interfaces avec l'émetteur et le récepteur par
l'intermédiaire des antennes.

Article détaillé : onde radio.

Les liaisons optiques dans l'espace, donc non guidées par fibres,
sont utilisées en communications par satellites, ainsi que dans des
applications aussi simples que les télécommandes audio-vidéo.

Article détaillé : Satellite de télécommunications.

Enfin, certains milieux ne peuvent être traversés que par des ondes
acoustiques, c'est le cas des communications dans les mines, ou
entre plongeurs, qui s’effectue par ondes ultra-sonores.
Émetteur et récepteur

Antenne rideau HF de télécommunication.

Quel que soit le média de transmission, un émetteur convertit


l’information en signal électrique, optique ou radioélectrique adapté
au média, en le modulant et en l’amplifiant. Inversement, un
récepteur convertit le signal transmis en information utilisable.

La technique de ces fonctions d’interface est donc très dépendante


du média, de la fréquence d’utilisation, et surtout de la puissance
nécessaire pour compenser les pertes de propagation. Ainsi, la
transmission sur une ligne Ethernet par exemple n’utilise que
quelques circuits intégrés et du câble de faible section, alors qu’une
liaison vers une sonde planétaire demande des émetteurs de forte
puissance et des antennes de plusieurs dizaines de mètres.

Dans un canal de transmission hertzien, le signal porté par l'onde


radioélectrique est atténué par l'affaiblissement de propagation, les
absorptions atmosphériques et les précipitations, et dégradé par les
diffractions et réflexions. L'équation des télécommunications inclut
tous ces facteurs et détermine la puissance et les antennes
nécessaires.

L'antenne radioélectrique convertit les signaux électriques en onde


radioélectrique à l'émission, et inversement en réception. De
nombreux types d'antennes ont été développés, selon la fréquence
d'utilisation, le gain nécessaire et l'application, depuis les antennes
miniatures intégrées aux téléphones mobiles, jusqu'aux paraboles
géantes de radioastronomie.

Dans les applications bidirectionnelles, comme la radiotéléphonie,


les deux fonctions peuvent être combinées dans un émetteur-
récepteur.
Un récepteur suivi d'un émetteur constituent un répéteur,
par exemple sur un satellite de télécommunication, ou dans un câble
sous-marin.

Partage du média de transmission

Le partage du média entre utilisateurs se fait par les techniques


d'affectation, de multiplexage et d'accès multiple.

L'affectation de fréquences par bande et par service sur le média


hertzien est la première technique apparue pour empêcher les
brouillages mutuels.
À l'intérieur d'une bande de fréquences, le multiplexage fréquentiel
est la division d’un média de transmission en plusieurs canaux,
chacun étant affecté à une liaison. Cette affectation peut être fixe,
par exemple en radiodiffusion FM, une station émet à 96,1 MHz, une
autre à 94,5 MHz. L’affectation des fréquences peut être dynamique
comme en FDMA[10] (Accès multiple par division en fréquence),
utilisée par exemple lors de transmissions par satellite. Chaque
utilisateur du canal y reçoit dans ce cas une autorisation temporaire
pour une des fréquences disponibles.

En communications numériques, le multiplexage peut également


être temporel ou par codage :

les techniques d’étalement de spectre comme le (CDMA) sont


utilisées notamment en téléphonie mobile. Chaque liaison y est
modulée par un code unique d’étalement, pour lequel les autres
utilisateurs apparaissent comme du bruit après démodulation ;
le codage par paquets (TDMA) est la clé du système ATM de
communications internationales et de tout le réseau internet.
Chaque utilisateur y transmet des « paquets numériques » munis
d’adresses, qui se succèdent dans le canal.

Le fonctionnement de ces techniques d’accès multiple nécessite


des protocoles pour les demandes d’affectation, les adressages,
dont le plus connu est le TCP/IP d'Internet.
Traitement du signal

Le traitement du signal permet d'adapter l'information (sous forme


de signal analogique ou numérique) au média de transmission et de
la restituer après réception.

À l'émission, les techniques de compression permettent de réduire le


débit nécessaire, idéalement sans perte de qualité perceptible, par
exemple sur la musique (MP3) ou sur la vidéo (MPEG), les codages
transforment le signal d’information binaire en une forme adaptée à
la modulation.

À la réception, les opérations inverses sont effectuées :


démodulation, décodage, correction et décompression. La
correction d’erreur permet, grâce à un ajout d'information
redondante par un code correcteur, de diviser de plusieurs ordres de
grandeur le taux d’erreur.

Ces techniques varient selon que les signaux à transmettre soient


analogiques, comme la musique, la voix, l’image, ou numériques,
comme les fichiers ou les textes. Un signal analogique varie
continûment alors qu’un signal numérique est une succession
d’états discrets, binaires dans le cas le plus simple, se succédant en
séquence.
Dans de nombreuses applications (TNT, téléphonie mobile, etc), le
signal analogique est converti en numérique, ce qui permet des
traitements plus efficaces, en particulier le filtrage du bruit[11]. Seuls
la modulation, l’amplification et le couplage au média restent alors
analogiques.

Systèmes de télécommunications

Un ensemble de liaisons et de fonctions permettant d'assurer un


service, constitue un système de télécommunications.

Ainsi le système de satellites Inmarsat, destiné aux communications


mobiles, comporte plusieurs satellites, plusieurs types de liaisons
d'utilisateurs selon les débits et usages, des milliers de terminaux
adaptés, et des liaisons de télémesure et de télécommande
permettant le contrôle des satellites depuis les stations terrestres,
celles-ci étant également connectées par des liaisons terrestres
dédiées.

Un système de télécommunications peut avoir une architecture :


Visualisation des multiples chemins à travers une portion de l'Internet.

de type « point à point », comme un faisceau hertzien, une fibre


optique ou une liaison radiotéléphonique. Des répéteurs peuvent y
être ajoutés pour amplifier et corriger les signaux ;
de « diffusion », comme en télévision où un émetteur est reçu par
des milliers de récepteurs ;
de « collecte », comme en surveillance océanographique, où des
centaines de capteurs sont reçus par un système central ;
en structure de réseau, où un ensemble d’émetteurs et de
récepteurs communiquent entre eux par des liaisons « étoilées »
(topologie en étoile) ou « point à point ». C'est la plus commune.

Un réseau de radiotéléphonie de secours est un réseau simple entre


un central et des mobiles, géré par des procédures radio et des
opérateurs.

Un réseau commuté comme le réseau téléphonique fixe, comporte


des liaisons individuelles d'abonnés comme une ligne analogique,
une ligne RNIS ou une ligne ADSL, des centraux téléphoniques pour
établir un circuit entre deux abonnés et des liaisons à haut débit
pour relier les centraux téléphoniques.

Un réseau par paquet, comme Internet, comporte des routeurs qui


aiguillent les paquets d’information d'une machine vers une autre
désignée par son adresse IP.

Applications

Voix et son

Téléphone filaire du début des années 2000.

Le transport de la voix par la téléphonie, fut la première avancée des


télécommunications, juste après les premiers télégraphes. Le
téléphone est l'appareil qui sert à tenir une conversation
bidirectionnelle avec une personne lointaine. Il est utilisé à titre privé,
pour garder le contact avec ses proches ou à titre professionnel,
pour échanger des informations orales sans avoir à se rencontrer
physiquement.

La téléphonie qui repose sur le réseau téléphonique permet


également des services plus avancés tels que la messagerie vocale,
la conférence téléphonique ou les services vocaux. La ligne
téléphonique sert aussi de solution d'accès à Internet, d'abord avec
un modem en bas débit, puis en haut débit grâce à l'ADSL.

La radiotéléphonie, c’est-à-dire la communication à distance sans fil,


a d'abord été appliquée aux communications maritimes pour en
accroître la sécurité, puis militaires dès la première guerre mondiale,
avant de devenir un média populaire avec la TSF. La radiotéléphonie
est encore le moyen principal de communication du contrôle aérien,
des liaisons maritimes par la radio maritime et des liaisons de
sécurité (police, secours). C'est aussi l'activité principale du
radioamateurisme.

La radiodiffusion est la distribution de programmes à partir d'un


émetteur vers des auditeurs équipés d'un récepteur. D'abord en
modulation d'amplitude en basse fréquence (GO) et moyenne
fréquence (PO), puis en modulation de fréquence en VHF, elle évolue
vers la radio numérique, diffusée par satellite ou en VHF terrestre.
La téléphonie mobile offre la possibilité de téléphoner sans
connexion filaire soit par une solution terrestre basée sur des zones
de couverture hertzienne d'antennes-relais, soit par satellite. Le
développement de ce moyen de communication est un phénomène
de société remarquable de la fin du xxe siècle. Le geste de
téléphoner dans la rue devient banal, au point d'inquiéter sur ses
risques sanitaires et de créer un langage particulier, le langage SMS.
L'accès à Internet et aux chaînes de télévision est déjà facile sur les
dernières générations de téléphones (smartphones).

Image et vidéo

La transmission d’images fixes par ligne téléphonique remonte au


bélinographe, et est toujours utilisée sous le nom abrégé de fax,
comme échange de pages photocopiées, documents commerciaux
ou technique. Le radiofacsimilé qui permet de transmettre des
images par radio est utilisé surtout pour la diffusion de cartes
météo, soit directement depuis les satellites d'observation, soit
retransmises vers les navires ou les terrains d'aviation.

Antennes de télévision UHF.


Après le téléphone et la radio, la télévision est présente dans tous
les foyers. Les forêts d'antennes yagi et de paraboles ont envahi les
villes, les chaînes satellites, d'abord analogiques puis numériques
ont multiplié les programmes nationaux et internationaux.

Les récepteurs modernes à plasma ou LCD fournissent des images


de haute qualité et la télévision numérique terrestre augmente
encore le choix des usagers.

La transmission d’images simultanées à une liaison de téléphonie


est possible grâce à la visioconférence utilisant des canaux à haut
débit dédiés, par la transmission à balayage lent analogique ou
SSTV, immortalisée par les premiers pas sur la lune, et par les
techniques numériques nouvelles, webcam sur internet ou téléphone
mobile de dernière génération.

Cinéma

Préparation et présentation à Paris, le 29 octobre 2001[12],[13], de la


première transmission de cinéma numérique par satellite[14] en
Europe d'un long métrage cinématographique par Bernard Pauchon,
Alain Lorentz, Raymond Melwig et Philippe Binant[15],[16],[17]. Cette
démonstration marque l'origine, en France, de l'application des
télécommunications à l'industrie cinématographique avec les
retransmissions par satellites d'opéras et d'événements dans les
cinémas, l'acheminement des rushes dans les salles de vision et des
films dans les salles de cinéma[18].

Texte et données

Le télégraphe est l'ancêtre des transmissions de données et la


première application des télécommunications : transmettre des
caractères, donc un message, par signaux optiques, puis sur une
ligne puis par ondes radio (Télégraphie sans fil). Le télétype puis le
radiotélétype l'ont automatisé.

Un réseau informatique est un ensemble d'équipements reliés entre


eux pour échanger des informations. Quoique l'Internet ne soit pas le
seul système de réseau informatique, il en est presque devenu
synonyme. La structure d'Internet est complexe et peut se séparer
en plusieurs parties :

des fonctions de communication (les lignes d'abonnés, les


modems, les routeurs qui connectent au web) ;
des fonctions de transport entre utilisateurs (les protocoles, les
serveurs…) ;
des applications qui fournissent le service final (messagerie,
image, voix, moteur de recherche, etc.).

La télémesure, terrestre comme en hydrologie ou en météorologie,


ou spatiale comme les images météosat ou celles des sondes
planétaires lointaines, permet la surveillance des installations
industrielles, augmente notre connaissance de l’environnement, du
climat ou de l’univers.

La télécommande, la plus simple comme en domotique ou en HiFi et


vidéo, ou la plus complexe comme celle des robots martiens, est la
commande à distance sans fil, optique ou radio, généralement
couplée à la télémesure.

Autres applications

Le signal radioélectrique peut contenir d'autres informations, comme


des paramètres permettant les calculs de position, le temps
universel, la détection de cibles ou la cartographie du terrain.
Cette antenne radar longue portée est connue sous le nom ALTAIR. Elle se trouve sur l'atoll Kwajalein des Îles Marshall.

Radar
Quoique le radar ne soit pas à proprement parler un système de
communication, mais de télédétection, ses techniques combinent
micro-onde, traitement du signal, radioélectricité, et peuvent être
rattachées au monde des télécommunications. Initialement
développé pour la détection des raids aériens, le radar est très vite
installé sur les navires, puis les avions. D'abord militaire puis civil,
les contrôles aérien et maritime utilisent intensivement le radar
pour la sécurité. Enfin, le radar météorologique permet de
cartographier les pluies et nuages, y compris depuis les satellites
d'observation.

Trois récepteurs GPS.

Radionavigation
La radionavigation a permis, dès les débuts de la radio, d'aider à
la navigation maritime puis aérienne, grâce à la radiogoniométrie
et aux radiophares, puis aux systèmes hyperboliques comme le
LORAN. Les systèmes de navigation par satellite comme le GPS
ou Galileo sont devenus des équipements courants des véhicules.
Les systèmes d'identification automatique comme l'AIS et de
détection d'obstacle améliorent la sécurité de la navigation. La
diffusion du temps universel et de signaux horaires est intégrée
aux signaux de radionavigation GPS actuels, mais a longtemps
été un service spécifique d'aide à la navigation astronomique, ou
de synchronisation scientifique, par émissions HF comme le
WWV, ou BF comme l'émetteur d'Allouis ou le DCF77.
Confidentialité
Pour leurs télécommunications, les militaires utilisent des
méthodes de discrétion comme l'évasion de fréquence, et le
chiffrement, sur des réseaux de radiotéléphonie HF et VHF, ou des
satellites dédiés, comme Syracuse. Les gouvernements utilisent
également les techniques radioélectriques dans un but de
renseignement électromagnétique, comme le système Echelon
d'écoute satellitaire[19], ou des systèmes de brouillage et de
contre-mesures radioélectriques.

Télécommunications et société
Les télécommunications représentent un secteur d'activité
économique significatif.

Télécommunications et développement
Un vaste centre d'appel situé à Lakeland, en Floride.

Les télécommunications sont un élément crucial de la société


moderne. En 2006, l’industrie des télécommunications représentait
un revenu de 1 200 milliards de dollars, soit 3 % du revenu
mondial[20].

Plus précisément en France, le secteur des télécoms représente le


quart de la croissance entre 2000 et 2008[21], 300 000 emplois en
2010 et plus de six milliards d'euros d'investissements annuels par
les opérateurs, notamment pour le développement des réseaux fixes
et mobiles. C'est le premier secteur d'investissement privé dans les
infrastructures d'après une analyse[22] de Arthur D. Little pour la
Fédération française des télécoms sur la base de données Insee.

À l’échelle microéconomique, les entreprises utilisent les


télécommunications pour construire leur activité, comme les ventes
en ligne, ou améliorer leur efficacité, comme les magasins
traditionnels[23]. Dans le monde entier, des services à domicile
peuvent être obtenus sur simple appel téléphonique, des livraisons
de pizzas au dépannage. Dans les communautés les plus pauvres, le
téléphone mobile sert aussi bien au Bangladesh qu’en Côte d'Ivoire
pour négocier les ventes agricoles au meilleur prix du marché[24].

En raison des avantages économiques d’une infrastructure correcte


de télécommunications, à laquelle une grande partie du monde n’a
pas accès, l’écart de développement par manque de
télécommunications, ou fracture numérique, peut se creuser[25].

Culture et télécommunications

Les télécommunications modernes permettent de transmettre des


images, du son et du texte dans le monde entier. Ces moyens
techniques sont neutres par rapport à leur contenu. Cependant, les
télécommunications sont à l'origine de débats en termes
d'uniformisation de la culture, d'identité nationale ou, au contraire, de
nouvelles possibilités d'expression, de communication permettant
de s'affranchir des frontières et des espaces traditionnels.

Le développement des moyens de transmission hertzien, terrestre


puis satellitaire, a favorisé le déploiement à grande échelle des
médias de masse (radio, télévision…) dans les sociétés[26],
modifiant ainsi les modes de pensée et les schémas culturels
traditionnels. Par exemple, pendant la guerre froide, la radio reçue
internationalement en ondes courtes depuis les émetteurs
américains vers la RDA, russes vers l'Europe ou chinois installés en
Albanie, a servi de média de propagande entre deux idéologies. La
télévision par satellite dont les paraboles garnissent les immeubles
des banlieues européennes, permet aux communautés minoritaires
de garder leur lien culturel.

Enfin, la convergence des réseaux numériques et des infrastructures


de télécommunications mondiales permet de se connecter au Web
par le biais du réseau Internet presque en tout point de la surface
terrestre. Ce nouveau mode de communication transforme
progressivement les manières d'échanger, de communiquer et de
travailler[27] non seulement dans une société, mais aussi entre
sociétés de cultures différentes.

Cependant, on trouve aussi sur le Web par exemple des albums CD


et des films avant leur mise en vente, ce qui provoque des réactions
restrictives, voire policières, des grands distributeurs. Les
informations vraies ou fausses peuvent circuler en quelques jours,
les groupes extrémistes ou criminels peuvent s'organiser sans
limitation.

Entreprises de télécommunications

Les industriels des télécommunications conçoivent et produisent


des équipements et des logiciels destinés aux télécommunications.
Ils participent aussi à la normalisation en proposant de nouvelles
solutions aux organismes de standardisation.

Les constructeurs peuvent être des entreprises multinationales


issues de plusieurs fusions-acquisitions comme Aastra, Alcatel-
Lucent, Nokia-Siemens ou des start-up comme Fortinet. Ils sont
d'Amérique du Nord : Cisco, 3Com (maintenant HP), d'Europe :
Ericsson, Nokia ou de Chine (ROC ou RPC) : Huawei, ZTE, D-Link.

Certains constructeurs se focalisent sur une technologie comme


Extreme Networks sur Ethernet. D'autres, comme Cisco, essayent de
couvrir la plupart des technologies, tous les marchés (particulier,
entreprise, opérateur de télécommunications), tous les services
(support, installation, architecture, etc.).

Un opérateur de télécommunications est une entreprise qui


commercialise des services en utilisant des infrastructures de
télécommunications. Cela peut être une entreprise indépendante qui
possède ses réseaux, ou une filiale d'un constructeur, qui loue une
capacité sur un réseau pour vendre des abonnements et des
connexions individuelles, ou encore une ancienne entreprise publique
propriétaire du réseau, comme les opérateurs historiques
européens.

Cette section doit être actualisée.


Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des
événements désormais passés. Améliorez-la ou discutez-en.

En 2011, les plus grands opérateurs mondiaux de


télécommunications par nombre d'abonnés étaient :

China Mobile : 649,56 millions


Vodafone : 439,601 millions
Telenor : 326 millions
Bharti Airtel : 243,336 millions
América Móvil : 236 millions
Telefónica : 231,87 millions
Orange : 232,5 millions au 30 septembre 2013
Veon : 199 millions
SingTel : 146 millions
Axiata Group Berhad : 159,7 millions
China Unicom : 169,7 millions
Telia : 160 millions
Saudi Telecom Company : 139 millions
MTN Group : 137,47 millions
Etisalat : 135 millions
Google, Apple ou Facebook tentent de se développer dans ce
domaine avec leurs technologies d'infrastructure. Selon certains, ils
pourraient ainsi concurrencer directement les acteurs majeurs des
télécommunications[28].

Organismes de normalisation et de standardisation

L'interopérabilité entre équipements ou systèmes différents


nécessite des standards et des protocoles de télécommunications
précis qui évoluent en versions successives selon les avances
techniques. Un fabricant dont une ou plusieurs innovations sont à la
base d'une norme ou d'un standard, est assuré de prendre une
avance significative sur son marché. Les constructeurs
d'équipements tissent donc des liens très étroits avec les
organismes de normalisation et de standardisation.

Parmi les principaux organismes de normalisation-standardisation


mondiaux, citons :

l'ETSI : European Telecommunication Standards Institute ou Institut


européen des normes de télécommunication ;
l'UIT (Union internationale des télécommunications), en anglais :
ITU : International Telecommunication Union ;
l'IETF : Internet Engineering Task Force ;
l'ATM Forum ;
le 3GPP : 3rd Generation Partnership Project, responsable des
normes de téléphonie mobile ;
l'ANSI : American National Standard Institute ;
l'IEEE: Institute of Electrical and Electronics Engineers.

Administration des télécommunications

Article détaillé : Administration des télécommunications.

Pour optimiser l'utilisation du spectre de fréquence et limiter les


interférences entre systèmes, les États s'accordent au niveau
international :

au niveau de l'Europe par le CEPT (Conférence européenne des


administrations des postes et télécommunications) ;
au niveau international par l'UIT - Union Internationale des
Télécommunications (agence de l'ONU) ;
par des révisions du « Règlement des Radiocommunications » ou
RR qui sont décidées dans le cadre des CMR (Conférence
Mondiale des Radiocommunications) appelées « WRC » (World
Radiocommunication Conference) en anglais.

Chaque pays gère ces règlementations internationales à l'intérieur


de ses frontières, sous le contrôle d'administrations nationales :
la FCC (federal commission of communications) aux États-Unis ;
l'ARCEP (autorité de régulation des communications électroniques
et des postes) et l'ANFR (agence nationale des fréquences), en
France.

Le secteur des télécommunications était historiquement lié à la


puissance publique de chaque état et exploité par cet état. Depuis
les années 1980-1990, un mouvement mondial de déréglementation
(ou dé-régulation) du secteur des télécommunications est intervenu,
amenant par exemple au dégroupage des réseaux téléphoniques.

Télécommunications et philosophie
Article détaillé : Philosophie des réseaux.

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Le secteur des télécommunications a été profondément influencé en


France par la philosophie des réseaux, qui est un concept inventé
par Saint-Simon[29]. Après la mort de ce philosophe en 1825, le saint-
simonisme s'est constitué à l'origine comme une secte[30].

Télécommunication et environnement
Selon une étude du cabinet Gartner, en 2009, les secteurs des
télécommunications et de l'information seraient responsables de
2 % des émissions anthropiques de gaz à effet de serre (équivalent
à l'aviation). Selon l'IDATE, en 2010, on estime les rejets liés à
l'activité télécoms dans les cinq grands pays européens à un peu
plus de 30 Mt de CO2, soit 1,1 % de leurs émissions totales.

En France, pour ce qui est des consommations électriques, le


secteur des télécoms représente 1,5 % des consommations. Cette
part reste modérée au regard de sa contribution économique pour la
France : plus de 2 % du produit intérieur brut en 2010.

Les opérateurs français ont signé en juillet 2010 une charte


d'engagements volontaires pour le développement durable dont
l'objectif est de diminuer l'impact environnemental des TIC[31].

En novembre 2011, ils ont réalisé le premier bilan d'application de


cette charte dont le principal enseignement est que malgré une
explosion des usages, les consommations électriques du secteur
restent maîtrisées[32].

Notes et références
1. (en) Telecommunication, tele- and communication, New Oxford
American Dictionary (2nd edition), 2005.
2. Philippe Ethuin, « Télécommunication(s). Aux origines d’un mot
(1902-1949) », Revue française des sciences de l’information et
de la communication, no 25,‎1er mars 2022 (ISSN 2263-0856 (htt
ps://www.worldcat.org/issn/2263-0856&lang=fr) ,
DOI 10.4000/rfsic.13585 (https://dx.doi.org/10.4000/rfsic.13585)
, lire en ligne
(https://journals.openedition.org/rfsic/13585)  [archive], consulté
le 2 janvier 2023)
3. (en) Jean-Marie Dilhac, From tele-communicare to
Telecommunications, LAAS-CNRS, 2004 [lire en ligne (https://we
b.archive.org/web/20090319000534/http://www.ieee.org/porta
l/cms_docs_iportals/iportals/aboutus/history_center/conference
s/che2004/Dilhac.pdf) ].
4. (en) « Telecommunications Act 1984 » (http://www.planningsanity.
co.uk/forums/masts/word/Telecommunications_Act_1984.doc)
(Archive.org (https://web.archive.org/web/*/http://www.planningsanity.co.uk/forums/

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Telecommunications Act de 1984.
5. La Compagnie du Téléphone Gower (http://collectionhistorique.o
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7. (en) The Atlantic Cable (http://www.sil.si.edu/digitalcollections/hst/
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9. L'informatique est-elle une science ? Robin Milner (Conférence -
ENS, 2007 (http://www.diffusion.ens.fr/index.php?res=conf&idco
nf=1880)  [archive]).
10. (en) Frequency-division multiple access (fr) Accès multiple par
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11. (en) Ashok Ambardar, Analog and Digital Signal Processing,
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12. France Télécom, Commission Supérieure Technique de l'Image
et du Son, Communiqué de presse, Paris, 29 octobre 2001.
13. Olivier Bomsel, Gilles Le Blanc, Dernier tango argentique. Le
cinéma face à la numérisation, École des Mines de Paris, 2002,
p. 12. (https://books.google.fr/books?id=JhLwPrW8pggC&prints
ec=frontcover&dq=olivier+bomsel+mines&hl=fr&sa=X&ei=hKGhU
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14. Cf. P. Binant, Éléments d'histoire du cinéma numérique, La Lettre
de la CST, n° 177, Paris, mai 2021, p. 44, § 4. (https://www.cst.fr/
wp-content/uploads/2021/05/LETTRE_CST_177.pdf)  [archive].
15. Bernard Pauchon, France Telecom and digital cinema, ShowEast,
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ca-45205-france-telecom-DIGITAL-CINEMA-global-leaderin-profe
ssional-broadcastingand-Education-ppt-powerpoint/)  [archive]
16. Première numérique pour le cinéma français, 01net, 2002. (http
s://www.01net.com/actualites/premiere-numerique-pour-le-cine
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17. Alexandru Georgescu (et al.), Critical Space Infrastructures. Risk,
Resilience and Complexity, Spinger, 2019, p. 48. (https://books.g
oogle.fr/books?id=drqODwAAQBAJ&printsec=frontcover&dq=Cri
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18. «Numérique : le cinéma en mutation», Projections, 13, CNC,
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19. Gerhard Schmid Rapport sur l’existence d’un système
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européen, 11 juillet 2001, 202 pages, rapport A5-02-64/2001.
20. (en) « Telecom Industry Revenue to Reach $1.2 Trillion in 2006 »
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p://www.usine-digitale.fr/editorial/la-virtualisation-et-facebook-a-l
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26 avril 2016 (consulté le 10 mai 2016).
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s_et_philosophie_des_r%C3%A9seaux)  [archive], PUF.
30. Louis Reybaud, Études sur les réformateurs contemporains ou
socialistes modernes. Saint-Simon, Charles Fourier, Robert
Owen.
31. Le secteur des télécoms s'engage dans une démarche vertueuse
(http://www.actu-environnement.com/ae/news/technologies-info
rmation-commonucation-environnement-10744.php4)  [archive],
sur le site actu-environnement.com.
32. Premier bilan de la charte du secteur des télécoms pour le
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mier-bilan-charte-DD)  [archive], sur fftelecoms.org.

Voir aussi

Bibliographie

Encyclopédie des Postes, télégraphes et téléphones. 2 volumes


(Rombaldi - 1957) (417 et 426 pages)
Globalstar: une constellation de 48 satellites pour le téléphone
mobile. Guy lebègue dans (Revue aerospatiale, no 115 -
février 1995)
Le Radar, 1904-2004. Histoire d'un siècle d'innovations techniques
et opérationnelles. Yves Blanchard. (Éditions Ellipses - 2004)
(ISBN 978-2-7298-1802-9)
Réseaux informatiques: Notions fondamentales. Normes,
Architecture, Modèle OSI, TCP/IP, Ethernet, Wi-FI… Philippe Atelin,
José Dordoigne (ENI - 2006) (452 pages)
(ISBN 978-2-7460-3154-8)
Réseaux et Télécoms. Claude Servin (Ed. Dunod. Collection
Sciences Sup - 2006) (940 pages) (ISBN 978-2-10-049148-3)
(en) A Global History Of The Mobile Phone. Constant Touch (Totem
Books - 2004) (ISBN 978-1-84046-541-9)
(en) City of Light, The Story of Fiber Optics. Jeff Hecht (Oxford
University Press, New York - 1999) (ISBN 978-0-19-510818-7)
(en) Inventing the Internet. Janet Abbate (Cambridge, Mass.: MIT
Press - 1999) (268 pages) (ISBN 978-0-262-01172-3)
« Bernard Pauchon, lorsque le cinéma s'élance vers les étoiles »,
La Lettre, n° 181, Commission Supérieure Technique de l'Image et
du Son, mai 2022, p. 54-55 lire en ligne. (https://www.cst.fr/wp-co
ntent/uploads/2022/05/Lettre-181-BD.pdf)  [archive]

Articles connexes

Technologies de l'information et de la communication


Réglementation des communications électroniques
Régulation des communications électroniques
Politique sectorielle des TIC
Convergence numérique
Droit de l'informatique en France
Droit des télécommunications
ICANN
Risques sanitaires des télécommunications
Géographie des télécommunications
Télécommunications en France
Grillage avertisseur

Liens externes

Notices d'autorité :
Bibliothèque nationale de France (http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/
 ·
Bibliothèque du Congrès (http://id.loc.gov/authorities/sh85133270)  
· Gemeinsame Normdatei (http://d-nb.info/gnd/4059360-5)  ·
Bibliothèque nationale de la Diète (http://id.ndl.go.jp/auth/ndlna/00561
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 ·
Bibliothèque nationale d’Israël (http://uli.nli.org.il/F/?func=find-b&local_
 · Bibliothèque nationale tchèque (http://aut.nkp.cz/ph116420)
Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
Dictionnaire historique de la Suisse (http://www.hls-dhs-dss.ch/textes
 ·
Enciclopedia italiana (http://www.treccani.it/enciclopedia/telecomunica
 ·
Encyclopædia Britannica (https://www.britannica.com/technology/telec
 ·
Encyclopédie Treccani (http://www.treccani.it/enciclopedia/telecomunic
 ·
Gran Enciclopèdia Catalana (https://www.enciclopedia.cat/EC-GEC-014
Ressource relative à la santé :
 Medical Subject Headings (https://meshb.nlm.nih.gov/record/ui?u
(en)

Autorité de régulation des communications électroniques (http://w


ww.arcep.fr)  [archive], ARCEP, France
Rubrique « Économie numérique » (https://web.archive.org/web/2
0140104065645/http://www.dgcis.gouv.fr/secteurs-professionnel
s/economie-numerique/) du site de la Direction générale de la
compétitivité, de l'industrie et des services (Dgcis). Le site
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