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MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR

ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE (MESRS)

*******

DIRECTION DES EXAMENS ET CONCOURS (DEC)

*******

CENTRE DE FORMATION TOURISTIQUE ET HOTELIERE (CFTH)

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MEMOIRE DE LICENCE PROFESSIONNELLE

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Protocole de recherche

******

OPTION: Tourisme

VALORISATION DE LA REPRESENTATION MATERIEL (ATINKPAVI) DES


JUMEAUX A OUIDAH.

Réalisé par: 
FADONOUGBO Manakel

Sous la direction de:

M.BABIO EL-KIR Moudachirou

Soutenu le …../…/2023

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SOMMAIRE

DEDICACE

REMERCIEMENTS

INTRODUCTION

CHAPITRE I : CADRE THEORIQUE ET CONCEPTUEL


1.1. Revue de littérature ou point des connaissances
1.2. Clarification des concepts

1.3. Problématique

CHAPITRE II : PRESENTATION DU LIEU DE STAGE ET APPROCHE


METHODOLOGIQUE

2.1. Présentation du lieu de stage

2.2. Approche méthodologique

 CONCLUSION

WEBOGRAPHIE

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DEDICACES

 Mon père Gilbert FADONOUGBO


 Ma mère Amandine AGBOTON

Merci infiniment pour votre amour et votre soutien.

REMERCIEMENTS

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J’adresse mes vifs et sincères remerciements à tous ceux qui de près ou de loin ont contribué à
la réalisation de ce mémoire.

Notamment: 
 
 M.BABIO EL-KIR Moridachirou qui a accepté de m’aider malgré ses multiples
occupations.

 A l’ensemble du corps professoral du Centre de Formation Touristique et Hôtelière


CFTH qui a œuvré à ma formation.

 A ma famille (parents, sœurs et frère) pour leurs amours et leurs soutiens perpétuel.

 A mes amis(es) pour toute l’aide accordée, sincère gratitude.

 A Monsieur le Président de Jury et aux membres du Jury pour avoir accepté


d’apprécier ce travail. 

 Pareil à tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, m’ont également assistée. 
 
      

Merci infiniment à toutes et à tous

INTRODUCTION

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La question de la gémellité a toujours suscité une curiosité forte. Au fil des siècles, la figure
du « jumeau » a amené avec elle son lot d’interrogations et parfois même d’idées reçues.
C’est en Afrique que l'on enregistre les plus forts pourcentages de jumeaux avec 4% du total
des nouveau-nés. L'ethnie nigérienne des Yoruba détient la première place, avec une naissance
gémellaire sur 21 : il semble que la raison en soit un tubercule dont la population s'alimente et
qui contient une substance stimulant la double ovulation. Les Asiatiques en revanche ont la
moyenne la plus faible, seulement 0,6%, alors que les Européens et les Américains se situent
aux alentours de 1%.

Une étude coécrite par un professeur français montre que le taux de gémellité a augmenté en
trente ans : dans les années 2010, 12 naissances pour 1 000 ont été des naissances gémellaires,
contre 9 pour 1000 dans les années 1980. Un phénomène qui met en lumières les nombreux
mythes qui accompagnent les jumeaux. Voir naître 2 enfants en même temps a déstabilisé
bien des civilisations.

Tantôt cadeaux des dieux, tantôt marques d’une intervention diabolique, les jumeaux n’ont
jamais laissé indifférents, la religion chrétienne s’étant même interrogée des siècles sur leur
identité : possèdent-ils une âme ou sont-ils deux individus différents ? Dans plusieurs mythes
amérindiens, les jumeaux sont considérés comme antithétiques, c’est-à-dire remplissant des
fonctions complémentaires, mais opposées : l’un est bon, l’autre est mauvais, l’un est fort,
l’autre est faible, l’un est agressif, l’autre est pacifique, etc.

À l’inverse, dans les mythes indo-européens, l’accent est mis sur leur complète homogénéité.
On considère qu’ils ne forment qu’un, avec les mêmes goûts, les mêmes pensées, les mêmes
caractères, qu’ils sont épris des mêmes femmes, malades aux mêmes moments. Le
phénomène de la gémellité concerne tous les pays du monde. Au Bénin, chaque collectivité
érige un autel aux esprits des jumeaux défunts. Les frères de ceux-ci doivent aussi se munir
d’une statuette déifiée, représentant les jumeaux morts. Il n’est pas rare de voir dans beaucoup
de famille des jumeaux, 40% des jumeaux dans le monde sont nés en Afrique. Les Fon du
Bénin ont l'un des taux les plus élevés, soit 1 naissance sur 20 naissances. Le taux de mortalité

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élevé a contribué à l'émergence d'un système de croyance particulier pour les jumeaux, selon
les traditions vaudous de cette culture.

Selon une étude sérieuse 40% des familles de la région de Ouidah ont des jumeaux, ce
mystère n’a jamais eu d’explication. En dehors des cérémonies familiales à l’intention des
jumeaux, à OUIDAH une fête annuelle leur est consacrée. Cette réjouissance populaire qui se
tient les 8 Septembre, jour de saints Cosme et Damien se déroule dans cette cocoteraie
appartenant à Eugène Les Marassa Jumeaux sont les jumeaux divins du vaudou. Ces fantômes
d'enfants morts symbolisent les forces élémentaires de l'univers. Lorsqu’un des jumeaux
décède, le survivant doit toute sa vie s'occuper de son frère décédé, il doit lui donner à manger
et à boire chaque jour, il emporte sa statue de bois représentant son frère partout où il se
déplace. Mais pourtant plusieurs d’entre nous ignorent l’importance et l’existence de cette
cultes. D’où la naissance de notre sujet qui porte sur la valorisation de la représentation
matériel (ATINKPAVI) des jumeaux à Ouidah. Le prestent protocole est structuré en trois
chapitres :

 le premier chapitre aborde le cadre théorique et conceptuel,


 le deuxième chapitre aborde la présentation du milieu d’étude et l’approche
méthodologique,
 le dernier chapitre parle des résultats et de la discussion.

CHAPITRE I :

CADRE THEORIQUE ET CONCEPTUEL


Il s’agit ici de présenter la problématique de l’étude ; le revue littérature et de la clarification
des concepts.
 
1-1-Revue de literaturelittérature:
Dans la mythologie et l’histoire de tous les peuples, les jumeaux ont toujours été un objet de
fascination provoquant admiration ou rejet. Les jumeaux y sont le mode d’expression d’une

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multitude de thématiques : dualité, unité, opposition de forces contradictoires, miroir. Ainsi,
dans son ouvrage « Histoire du Lynx », C. Lévi-Strauss se penche sur les mythes gémellaires
propres aux tribus de l’Amérique du Nord pour les comparer ensuite aux mythes de tout le
continent américain et aux mythes indo-européens. De son côté, A. Meurant, docteur en
philologie classique de l’université de Louvain, a fourni de nombreuses pistes sur le thème
gémellaire dans l’Antiquité gréco-romaine. L’ethnopsychiatre R.-M. Moro relate combien la
prise en considération de la culture d’origine peut être importante surtout pour les cultures
africaines puisque les jumeaux peuvent être considérés comme signe de malédiction ou de
bénédiction. La journaliste O. Maillot, écrit : « Dans de nombreuses cultures, la naissance de
jumeaux est bénie, synonyme de fertilité et de bonnes récoltes à venir… au Moyen Age … on
pensait qu’ils étaient le signe d’un adultère de la mère, un seul homme ne pouvant concevoir
deux enfants à la fois. » D’une autre manière, O. Maillot se demande si la bénédiction ne
correspond pas plutôt au fait de : « posséder dès la naissance ce double, cette «âme sœur»
que d’autres recherchent toute leur existence ». Dès lors, la malédiction serait : « celle du
partage imposé, de l'obligation de se distinguer, de l'affrontement pour exister ».

On en retient que le regard des autres n’est pas anodin, il a une incidence dans la façon dont
les jumeaux sont perçus dans la vie sociale et les renvoie bien souvent à leur caractère
particulier. Aà Ouidah la pratique des jumeaux a à subsistéer la curiosité de plusieurs acteurs.
le professeur Dodji Amouzouvi sociologue des religions, explique la pratique par le fait que
“dans la cosmologie et l'environnement spiritual fon et apparenté, morts ou vivants, quelle
que soit leur situation, les jumeaux sont vénérés et mis à un niveau supérieur car considérés
comme des enfants extraordinaires et renforçant le mystère de Dieu ”.La pratique des cultes
gémellaires faire partie de nos traditions et en tant que citoyen nous devons respecter ses
traditions comme l’as dit Blanche Eddy Kpatindé “Nous devons toujours avoir recours à nos
traditions. C’est notre héritage”. À Ouidah, la famille Chodaton et l’association fraternelle
des jumeaux perpétuent cette tradition. “Là où vous attendez un enfant à naître, et que vous en
avez deux, trois, il se peut que les moyens manquent pour leur prise en charge. L'association
fraternelle des jumeaux de Ouidah intervient pour aider ces familles qui sont dans le besoin“
a souligné Christophe chodaton.

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1-2- Clarification des concepts:
 
Pour une meilleure compréhension des concepts utilisés dans le cadre de cette étude,
il s’avère indispensable de les définir dans un contexte qui favorise une compréhension plus
large des idées véhiculées de ce travail.
 
Jumeaux: Enfants nés d’un même accouchement.

 Des jumeaux (jumelles au féminin) sont des frères et sœurs qui ont partagé le même utérus au cours d'une
même gestation, chez les espèces vivipares (essentiellement mammifères)

Dans le langage courant, on parle de jumeaux pour désigner uniquement une double naissance. En

revanche, le terme ne s'applique pas à un nombre supérieur de naissances multiples.

ATINKPAVI: Représentation d’un jumeaux mort à la naissance.


 
Rite: est une pratique social codifiee,de caractère sacre ou symbolique, destine à susciter
l’engagement émotionnel des participants au service d’une même attente ou dans le cadre

d’un culte.
 
1.3. Problématique

Problématique:

D ans l’Afrique d’hier et comme dans celle d’aujourd’hui, les naissances gémellaires

occupent une place importante dans l’imaginaire collectif des populations et la cosmogonie.
Celle-ci perçoit le monde comme double : le monde « visible », celui des hommes, et le
monde « invisible », celui des esprits, des dieux et des ancêtres (Bonnet, 1988). La naissance
d’un enfant est souvent considérée comme le produit d’un transfert qui part du monde
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invisible vers le monde des humains. Mais certains enfants tels que les jumeaux sont
considérés comme assurant un lien direct et privilégié entre ces deux mondes (ibid.). Cette
appartenance « mixte » des jumeaux leur vaut un statut à connotation sacrée et généralement
ambivalent parmi les humains .Mais quand l’un des jumeaux meurt la tradition veut que ces
jumeaux soient représentés par une statuette que le second garde).leurs miracles et différentes
manifestation font deux des divinités exceptionnelles .la tradition béninoises, en plus de ces
conventions scientifiques, tout enfant née par le siège(agossi:fille,agossou:garcon)est
également considérés comme un jumeaux et est traitée de la même manière que les jumeaux.
De tous les vodouns, le culte des jumeaux est le plus puissant et le plus vénéèrée, aussi bien
au Béenin qu’en Afrique. Pourtant cette divinité fait partie intégrantes du riche patrimoine
culturel béninois non encore explorée par les milliers de touristes .Elle reste la grande
curiosité du pays. C’est dans cette vision qu’a travers la présente étude, les questions
suivantes mérite d’être posée: quelle sont les différentes rites qui interviennent dans le cycle
des jumeaux? Quelle sont les différentes types de ATINKPAVI? Comment peut-on valoriser la
gémellité ouidahnienne à travers les initiatives touristiques?touristiques ?

1.3.1. Hypotheses de recherche

Pour répondre à ces questions des hypothèses sont émises :

 Plusieurs rites interviennent dans le cycle de vie des jumeaux. 

 Chaque ATINKPAVI aà sa spécificité.

 La gémellité ouidahnienne est mise en valeur par le tourisme ou par l’activité


touristique.

1-3-2:Objectifs de recherche

L’objectif global de cette étude est de donner le rôle de la représentation matérielle


(ATINKPAVI) des jumeaux chez les ouidahnien.

De façon spécifique il s’agit de :

 Identifier les différents rites liés aux jumeaux durant leur cycle de vie 
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 Répertorier les différents types d’ATINKPAVI et leur spécificité 

 Valoriser la gémellité ouidahnienne à travers les initiatives touristiques.

CHAPITRE II

PRESENTATION DU MILIEU D’ÉTUDE ET APPROCHE METHODOLOGIQUE

2.1. Présentation du lieu milieu d’étude 

Il s’agit ici de faire l’étude du milieu tout en présentant l’étude géographique et administrative
de Ouidah 

2-1-1 situation géographique :

Source: Monographie de la commune de OUIDAH

Située entre 2° et 2°15 de latitude Est et, 6°15 et 6°30, dans le Département de l’Atlantique, la
Commune de Ouidah s’étend sur une superficie de 364 km2. Elle est limitée:

 Sud par l’Océan Atlantique,

 à l’Est par la Commune d’Abomey-Calavi,

 à l’Ouest par la Commune de Grand-Popo,

 et au Nord par les Communes de Kpomassè et Tori - Bossito.

Climat :
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Située au Sud-Ouest du Bénin, la Commune de Ouidah appartient à l’ensemble géographique
qu’il est convenu d’appeler « Zone humide ». Elle jouit d’un climat soudano guinéen,
caractérisé par deux saisons de pluie alternées de deux saisons sèches à durées inégales. La
hauteur d’eau recueillie au cours de l’année varie entre 950 et 1150 mm Elle est plus
importante à l’Est qu’à l’Ouest. La température moyenne est de 27°C, variant de 24° à 30°C
en saison des pluies et de 23° à 33°C en saison sèches.

Sols :

On distingue, du Sud au Nord, deux grands ensembles de sol. Les sols de type sablonneux et
les sols de type ferralitique. Les sols sablonneux sont limités au cordon littoral qui regroupe
les arrondissements d’Avlékété, de Djègbadji et de Ouakpè-Daho. Cependant ce type de sol se
retrouve également dans la partie méridionale de Ouidah 1, Ouidah 3 et de Pahou. La RNIE1
marque la limite nord de ce complexe parsemé de nombreux îlots. Au-delà de cette limite,
s’étendent les sols de type ferralitique. Ils sont généralement localisés dans les
arrondissements de Savi, de Gakpé, et la partie septentrionale des arrondissements urbains.
Entre ces deux types de sols, existe la frange lagunaire, constituée de zones marécageuses et
de plaines inondations.

Réseau hydrographique :

Le réseau hydrographique est essentiellement caractérisé par un système lacustre et lagunaire


dont les principaux plans d’eau sont : les lagunes de Djessin, Donmè, et le lac Toho. Ils sont
alimentés par les fleuves du bassin du sud-ouest, notamment le Kouffo et le Mono. Ils sont
généralement très encombrés et leur production halieutique est en baisse à cause de la
surexploitation anarchique et intensive par les populations riveraines.

Vegetation :

Elles se situent dans un écosystème particulier constitué d’une diversité floristique et


faunique. Du point de vue formation végétale, la flore est d’une manière générale dégradée,

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entièrement défrichée et qui laisse apparaître par endroits, l’existence de quelques îlots de
forêts sacrées comme celles de Kpassè-Zoumè et d’Avlékété. En dehors de ces reliques de
forêts naturelles, il existe plutôt de grandes plantations de palmier à huile, de cocotiers,
d’arbres fruitiers (notamment les manguiers), de bois de feu.

Les principales espèces de bois de feu sont l’acacia et l’eucalyptus. Elles couvrent une
superficie de 300 ha à Ahouicodji. Dans le village de Gakpé, il existe de grandes plantations
de cocoteraie (430 ha) et de palmeraie (830 ha) rétrocédées par la SONICOG à la
communauté. Ce domaine est dénommé CARON. Devenu une coopérative de tout le village,
il est géré par un bureau élu.

La cocoteraie reste le type de végétation du cordon littoral. Les formations naturelles sont la
savane herbeuse, les prairies et les formations marécageuses à Raphia gigente à, quelques
mangroves à Rhizophora racemosa et Avicenia africana.

La faune bénéficie de la diversité des composantes naturelles du milieu constituées d’un


microclimat de type humide continental, d’une pluralité floristique composée de forêts
naturelles, de plantations forestière et agricole, etc., de ressources en eau (plans et cours d’eau
et océan), etc. Cette diversité de l’environnement naturel concourt à la diversité faunique, tant
domestique que naturelle. Du point de vue domestique, il s’agit des animaux de compagnie et
de bouche (volaille, petit bétail, pisciculture de petite échelle, etc.) ; quant à la faune naturelle
ou sauvage, elle concerne plus le type aquatique, notamment les oiseaux, les poissons, les
crustacés, les moules, les huîtres, tant d’origine continentale que marine.

2-1-2: situation administrative :

La commune de Ouidah compte dix (10) arrondissements subdivisés en soixante (60)


quartiers de ville et villages.

La toponymie des localités révèle un fond culturel et historique très riche. Chaque quartier de
ville est dirigé par un Chef Quartier, alors que chaque village est dirigé par un Chef de
Village. Ils sont sous l’autorité d’un Chef d’Arrondissement élu et membre du conseil
communal.

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Reprendre le tableau ci-dessous toi-même

  Source : unités administratives de la commune de Ouidah


 
 
 
 
 
 
Services techniques, administratif et partenaires au développement :

La Société Civile de Ouidah est diversifiée on y rencontre des associations et ONG locales de
lobbying (UGDO, COFOVICO, AJO, AFDO, AGVO, AVO, GAMO, ASAMHO, Association

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de Développement de Savi, Gakpé, Djègbadji (Donmè)...), des ONG spécialisées dans les
secteurs du développement (Aide et Action, APFEM, CERPADEC, IDEE, IDDOR, USIRTO,
Action plus, GATOM, AFO Développement, IRADM, UFOR, UIB, CPJO, FSD, Coopérative
Ayiwou, Association Vidolé, ...), des groupements à la base, des unions des producteurs et des
associations des corps de métier ; les pouvoirs religieux : Vodoun, Chrétiens et Islam ; et la
diaspora latino- américains et les organisations des ressortissants de Ouidah résidents ailleurs.
La Société Civile de Ouidah est diversifiée regorge de cadres compétents dans tous les
domaines : économique, social et culturel ; tant de ressources humaines sont d’une utilité
incontestable pour le développement de la Commune. Dans une logique de démocratie, ce
potentiel humain doit être associé aux initiatives de développement. Conscient de cette
nécessité et recherchant l’adoption d’une politique de développement dynamique, harmonieux
et consensuel répondant aux aspirations profondes des populations, le Conseil Communal et
le Maire ont mis sur pied un organe de concertation et de collaboration avec la Société Civile
de Ouidah. Ce cadre de concertation est d’une importance capitale en ce qu’il vise à regrouper
les forces économiques, intellectuelles et associatives de la Commune au tour des actions de
développement. De part son regard extérieur et les expériences de ses membres et même les
compétences infuses des sages, cet organe enrichira la réflexion des élus et éclairera leurs
choix dans une vision commune de l’avenir de ouidah.
 
 
2-2: Approche méthodologiques:

Recherche documentariesdocumentaires:

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Au cours de cette recherche plusieurs documents ont été consultés et sont consignés dans un
tableau; on n’a eu à faire recours aux sites internet afin de collecter les données pouvant nous
aider à l’aboutissement de ce travail
Centre de documentation Nature des documents types d’informations à
recueillir

CFTH Mémoires informations sur le sujet de


recherche

HECM Mémoires informations sur la rédaction


d’un plan et de la
problématique

Sites internet Articles,vidéo informations général sur le


sujet de recherche

Source:

Recherche documentaire février 2023 informations sur la représentation matériel


(ATINKPAVI) des jumeaux à Ouidah.
Toutes les données inscrites dans le tableau ont aboutie à la collecte des données, traitement
des données et l’analyse des résultats.
 
 
Enquête de terrain:

Elle s’est articulée autour de deux principaux axes: l’échantillon et les outils de collecte des
données.
 
Échantillon:

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Certaines dames ont été questionnées pour avoir des informations sur la représentation
matériel  (ATINKPAVI) des jumeaux à Ouidah.
 
 
 
Outils de collecte des données:

L’enquête a nécessité des outils constitués:

 D’un carnet pour la prise de note 


 De t’as de question concernant les ATINKPAVI 
 D’une experte dans le domaine des pratiques rituelles dédiées aux (ATINKPAVI) à
Ouidah.
 
 
 

CONCLUSION

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 En conclusion, la divinité des jumeaux fait partie intégrante du riche patrimoine culturel
béninois. Sans être exhaustif, on ne peut omettre l’importance de culte dans le domaine
touristique Béninois. De tous les vodoun le culte des jumeaux est le plus puissant et le plus
vénéré.
A la fin de cette étude ,un circuit seras monter permettant au touristes de faire de leurs séjours
au Bénin ,un séjour parfait en prenant le chemin qui mène à la divinité des jumeaux.
 
 
 
 

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RÉFÉRENCES WEBOGRAPHIQUES:

 
 https://knowledge-uclga.org/IMG/pdf/monographiedelacommunedeouidah.pdf
 https://www.voyage-benin.com/divinite-des-jumeaux
 https://africa.la-croix.com/benin-le-culte-des-jumeaux-au-coeur-de-controverses-
religieuses/amp/
 https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Culte_des_jumeaux
 https://lanation.bj/celebration-des-jumeaux-a-ouidah-rejouissance-populaire-pour-
honorer-des-demi-dieux/
 https://www.hemis.fr/reportages/8295/benin-les-jumeaux-sont-immortels-par-eric-
lafforgue.html

 Références : Lévi-Strauss C., Histoire de Lynx, Plon, Paris, 1991.

 Meurant A., L’idée de gémellité dans la légende des origines de Rome, Académie Royale de

Belgique, Bruxelles, 2000.

 Moro M.-R., Kouassi K. et Levy K., Le lien fraternel, 1999, Clinique transculturelle des jumeaux,

www.minkowska.com

 Maillot O., Libération, Jumeau / Jumeau. Paire de famille, 2008,

www.liberation.fr/cahier-special/2008/08/18/jumeau-jumeau-paire-de-famil...

https://www.louvainmedical.be/fr/article/specificite-de-lattachement...

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Les Jumeaux - Explications, Risques, Mécanismes

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