Contrat 439

Initial
Semaine 23.2023

Contrat de mission temporaire

27 route de Villeneuve *439_0*

06800 CAGNES SUR MER

Tel : 04.92.02.46.42
Ape 7820Z Siret 90864921300026
Garant financier : SOCAMETT

TRANSPORTS FREDDY BOUCHTA Mimoun

Interimaire
Client

379 Chemin des Vignes 14 avenue du XVème Corps

Quartier du Puy
06670 SAINT-MARTIN-DU-VAR 06000 NICE

N° Client 0007 N° Matricule 475

Contact M Olivier Guerucci Nationalité francaise
Lieu Mission TRANSPORTS FREDDY;divers chantiers sur le departement du N° Séc. Soc. 1801006088385/84
06 Né(e) le 27/10/1980 à NICE FRANCE
06670 SAINT-MARTIN-DU-VAR Qualification CHAUFFEUR PL BRAS DE GRUE (Non cadre)
Moyen Acces MOYEN PERSONNEL Pcs:641a
Téléphone 06 09 33 25 28 Titre Profession Perm.Cond: 24/08/2032
Siret 31822794900043 Naf 4941B
Effectif : -20 salariés DuréeColl: Org.tps travail :
Motif Accroissement temporaire d'activité Justificatif Remplacement pour cause de maladie de M. Ben Abdallah Fahmi
lié à un surcroît temporaire de l'activité
habituelle de l'entreprise

Dates 05/06/2023 au 30/06/2023 inclus * Caractéristiques du poste Chargement, dechargement par bras de
Souplesse 26/06/2023 au 06/07/2023 à terme précis grue et livraison sur differents chantiers du departement 06 de
Durée hebdo 35,00 Hrs Période d'essai 2 JT materiaux btp sous la responsabilité de mr Guerucci.
Horaires 08h00-12h00 13h00-16h00 Risques professionnels Ce poste n'est pas à risque selon articles
+ ou - selon besoins et planning de l'entreprise; 1er jour début:08h00 du code du travail en vigueur (dont L.4154-2)
Per.non trav : samedi et dimanche Reférence de commande
Retraite : AG2R LA MONDIALE Retraite Entreprises – TSA 30005 - Salaire de référence 1971,71 EUR pour 151.67h Les acomptes sont
92599 LEVALLOIS PERRET CDX //Prévoyance IID : AG2R REUNICA versés que sur présentation des RH et sont prévus le mercredi avant
PREVOYANCE - TSA 10003 - 92599 LEVALLOIS PERRET CDX midi
* Le terme de la mission prévu dans le contrat initial ou dans l'avenant Ind. Repas en Déplacement Prof /JT 15,20 Eur
de prolongation peut être aménagé dans les conditions prévues aux Facteurs pénibilité: Non
articles L.1251-30 et L.1251-31
Heures supplémentaire payées selon convention collective.
L’intérimaire est informé des gestes barrière et de distanciation sociale,
et de son obligation d’autotest si symptômes sur
https://mesconseilscovid.sante.gouv.fr/#symptomesactuels. L’EU met
en œuvre toutes les mesures de prévention qui découlent de
l’actualisation de son document unique intégrant le risque coronavirus.
». Masques et gels fournis par EU.
Au cas où la mission s'effectue hors du territoire métropolitain, le rapatriement du salarié est à la charge de l'ETT, à
Payé l'exception du cas où le salarié rompt volontairement sa mission avant le terme prévu du contrat. L'embauche par
l'utilisateur à l'issue de la mission n'est pas interdite sous réserve des interdictions fixées à l'article L.1251-36 du
Taux horaire payé (brut) 13,00 Eur/H code du travail. Les informations concernant le motif, la durée, la rémunération et les caractéristiques particulières
du poste de travail, sont données sous la responsabilité de l'utilisateur, seul habilité à les justifier. Il peut donc vous
Ind. Repas en Déplacement Prof /JT 15,20 Eur/Jt être délivré, à votre demande et en fin de mission une attestation Pôle Emploi. Le salarié autorise expressément
IFM:10% ICP:10% l’ETT à pratiquer la déduction forfaitaire spécifique pour frais professionnels telle que prévue par l’arrêté du 20
Les acomptes sont versés que sur présentation des RH et sont prévus le mercredi avant midi décembre 2002 modifié par l’arrêté du 25 juillet 2005, si sa profession est visée par l’article 5 de l’annexe 4 du
Payé le 15 du mois suivant CGI en vigueur au 31 décembre 2000 et ce, au titre de l’année sociale en cours. Le salarié peut y renoncer par
Adr.V.M.:AIST BTP 06 60 av Léonard Arnaud 06700 LA VALETTE DU VAR écrit, sa demande étant prise en compte au 1er jour de l’année sociale suivant sa renonciation. Le salarié
reconnait avoir été informé des conséquences sociales de la déduction forfaitaire spécifique sur sa rémunération.
Conformément à la Loi Warsmann du 22/03/2012, nos obligations sociales déclaratives sont accomplies au moyen
de la Déclaration Sociale Nominative. Le salarié accepte irrévocablement le versement immédiat de ses droits à
participation s’il en est bénéficiaire. Etant précisé que le salarié, pour une participation au-delà de 80 euros, pourra
toujours refuser le déblocage immédiat de ces dits droits. Le salarié accepte la transmission de paye par voie
électronique Le salarié reconnait avoir reçu toutes les informations relatives au régime de frais de santé souscrit
par l’agence au profit des salariés intérimaires relevant de la Branche du Travail Temporaire. A défaut l’agence
tient à sa disposition la notice d’information.
Adr.V.M.:AIST BTP 06 60 av Léonard Arnaud 06700 LA VALETTE DU VAR

Fait à CAGNES SUR MER le 05/06/2023 Contrat à signer sous 48 H.

Signature de l'intérimaire NICE
 CLAUSES PARTICULIERES DU CONTRAT DE MISE A DISPOSITION V.10.2020
1 – Contrat de mise à disposition
L'objet exclusif de ce contrat est l'exécution d'une tâche précise et temporaire dénommée « mission » par la mise
à disposition de l’entreprise utilisatrice du service d’un salarié intérimaire.
Pour permettre l’établissement du contrat de mise à disposition, la demande de prestation devra obligatoirement
préciser :
a) Le motif pour lequel il est recouru au salarié temporaire, cette mention devant être assortie de justifications
précises. Conformément aux dispositions de l’article 1251-6 du code du travail, il ne peut être fait appel à un
salarié temporaire que pour l’exécution d’une tâche précise et temporaire et seulement dans les cas suivants :
1°) Remplacement d'un salarié en cas d'absence, de passage provisoire à temps partiel, de suspension du contrat
de travail, de départ définitif précédant la suppression du poste de travail, d'attente de l'entrée en service
effective d’un salarié recruté par contrat à durée indéterminée appelé à le remplacer ;
2°) Accroissement temporaire de l’activité de l’entreprise ;
3°) Emplois à caractère saisonnier ou pour lesquels, dans certains secteurs définis par décret ou par voie de
convention ou d’accord collectif étendu, il est d’usage constant de ne pas recourir au contrat de travail à durée
indéterminée en raison de la nature de l’activité exercée et du caractère par nature de ces emplois ;
4°) Remplacement d’un chef d’entreprise artisanale, industrielle ou commerciale, d’une personne exerçant une
profession libérale, de son conjoint participant effectivement à l’activité de l’entreprise à titre professionnel et
habituel ou d’un associé non salarié d’une société civile professionnelle, d’une société civile de moyens ou d’une
société d’exercice libéral ;
5°) Remplacement du chef d’une exploitation agricole ou d’une entreprise mentionnée aux 1° à 4° de l’article L.
722-1 du code rural, d’un aide familial, d’un associé d’exploitation ou de leur conjoint, mentionné à l’article L. 722-
10 du même code dès lors qu’il participe effectivement à l’activité de l’exploitation agricole ou de l’entreprise ;
La mise à disposition d’un salarié temporaire auprès d’une entreprise utilisatrice peut également intervenir :
✓ lorsque la mission de travail temporaire vise, en application de dispositions légales ou d’un accord de
branche étendu, à favoriser le recrutement de personnes sans emploi rencontrant des difficultés sociales
et professionnelles particulières ;
✓ lorsque l’entreprise de travail temporaire et l’entreprise utilisatrice s’engagent, pour une durée et dans des
conditions fixées par décret ou par accord de branche étendu, à assurer un complément de formation
professionnelle au salarié.
b) Le terme de la mission ;
c) Les caractéristiques particulières du poste de travail à pourvoir et, notamment si celui-ci figure sur la liste des
postes présentant des risques particuliers pour la santé ou la sécurité des salariés prévue à l’article L. 4154-2 du
code du travail ;
d) Le lieu de mission ;
e) La qualification professionnelle exigée ;
f) L’horaire de travail ;
g) La nature des équipements de protection individuelle que le salarié temporaire doit utiliser ;
h) Le montant de la rémunération avec ses différentes composantes, y compris s’il en existe, les primes et
accessoires de salaire que percevrait dans l’entreprise utilisatrice, après période d’essai, un salarié de qualification
professionnelle équivalente occupant le même poste.
2 – Les obligations à la charge de l’entreprise de travail temporaire
L’entreprise de travail temporaire s’engage à mettre à la disposition de l’entreprise utilisatrice un salarié disposant
de la qualification exigée par cette dernière. Il est expressément convenu que l’obligation à la charge de
l’entreprise de travail temporaire est une obligation de moyens dans la mesure où l’entreprise utilisatrice est
responsable de manière permanente des conditions d’exécution du travail du salarié temporaire.
Si la responsabilité de l’entreprise de travail temporaire était retenue dans l’exécution du présent contrat au titre
notamment d’un défaut de respect de son obligation de moyens ou d’un éventuel devoir d’information,
l’entreprise utilisatrice ne pourrait prétendre à un total d’indemnités et de dommages et intérêts supérieur au
montant des règlements qu’elle a déjà effectués pour les services contenant l’erreur ou la faute objet du litige.
Si l’entreprise de travail temporaire détache un salarié sur un contrat de travail temporaire, elle ne peut refuser à
l’entreprise utilisatrice de poursuivre la mission avec d’autres contrats de travail temporaire pour ce salarié sur le
même poste. L’Entreprise de travail temporaire pourra cependant refuser de fournir :
- à partir des trois mois calendaires à compter du moment où elle peut justifier de la résiliation de la
couverture d’assurance-crédit qui garantissait initialement l’entreprise utilisatrice au bénéfice de
l’entreprise de travail temporaire.
- Si l’entreprise utilisatrice a 45 jours de retard sur une facture, qu’elle soit l’objet d’un litige ou non.
- Si le salarié a été arrêté volontairement par l’EU ou de son plein gré.
- Si le salarié a été détaché alors que la couverture de l’EU était déjà résiliée.
3 – Les obligations à la charge de l’entreprise utilisatrice
a) Le personnel temporaire mis à disposition de l’entreprise utilisatrice ne peut être affecté qu’à des tâches
correspondant au niveau de qualification, et qu’aux seules caractéristiques de travail spécifiées dans le présent
contrat. L’entreprise utilisatrice conserve en toutes circonstances la direction générale des prestations exécutées
par le salarié temporaire. A ce titre, sous sa responsabilité, elle définit les travaux à réaliser et prend les décisions
nécessaires à leur bonne exécution. Par conséquent, l’entreprise utilisatrice est civilement responsable en tant que
commettant du personnel temporaire placé sous sa direction exclusive, de tous les dommages causés tant à
l’entreprise utilisatrice qu’à des tiers sur les lieux ou à l’occasion du travail.
b) Votre signature apposée sur les relevés d’heures certifie l’exactitude des éléments consignés et emporte
reconnaissance de l’exécution satisfaisante du travail effectué par le salarié. Nous déclinons toute responsabilité
quant à la délégation de pouvoir éventuellement accordée par le représentant de l’utilisateur au signataire du
relevé d’heures. D’autre part, et en absence de cachet sur le lieu de la mission, la seule signature du responsable
de l’entreprise utilisatrice ou de son délégué emportera validation des éléments consignés.
4 – La facturation des prestations de l’entreprise de travail temporaire
Le prix dû par l’entreprise utilisatrice, pour bénéficier des prestations prévues aux présentes, est calculé selon
le tarif horaire figurant sur le contrat de mise à disposition.
Il est entendu que le tarif horaire s’applique :
✓ sur l’ensemble des rémunérations soumises à charges sociales versées au salarié temporaire, notamment
les heures supplémentaires éventuelles. Il intègre l’indemnité compensatrice de congés payés, l'indemnité
de fin de mission, les charges sociales. En cas d’augmentation du salaire de référence au sens de l’article
L. 1251-43 6° du Code du travail, d’une majoration d’une cotisation sociale ou d’augmentation d’une taxe
liée au salaire, le tarif horaire sera automatiquement et proportionnellement majoré ;
✓ sur les sommes représentatives de frais professionnels non soumises aux charges sociales.
Par ailleurs, il est précisé que le montant de la facturation obtenu en application du présent contrat est arrondi
à deux décimales, au centime d'euros le plus proche.
4.1 Les jours fériés chômés
La facturation des jours fériés chômés est due indépendamment de l’ancienneté du salarié temporaire. Si le
jour férié survient pendant l’exécution de la mission, la facturation de ce dernier est due.
Lorsqu’une mission s’achève normalement le dernier jour de travail précédant le jour férié, celui-ci n’est pas
facturé. En revanche, lorsque le salarié temporaire reprend une autre mission, au sein de la même entreprise
utilisatrice, le premier jour de travail suivant le jour férié, celui-ci est facturé.
Il est rappelé enfin que les jours fériés chômés seront facturés selon les mêmes modalités que si le salarié
temporaire avait travaillé ce jour-là.
4.2 Les visites médicales
Le temps nécessité par les examens médicaux durant l’exécution de la mission de travail temporaire est pris sur
les heures de travail des salariés temporaires et sera facturé.
4.3 La rupture du contrat de mission à l’initiative de l’entreprise de travail temporaire sur la demande de
l’utilisateur
Dans l’hypothèse où l’entreprise de travail temporaire serait contrainte de procéder à la rupture du contrat de
mission sur la demande de l’entreprise utilisatrice, il sera facturé à cette dernière la totalité des prestations prévues
jusqu’au terme du présent contrat.
4.4 Communication de renseignements inexacts
L’entreprise de travail temporaire, sur laquelle pèse l'obligation de verser aux salariés temporaires des salaires et
accessoires de salaire conformes aux dispositions de l’article L. 1251-43 6° du code du travail peut, en cas de
communication de renseignements inexacts de la part de l’entreprise utilisatrice, lui faire supporter le paiement
des salaires et/ou accessoires non initialement prévus ainsi que les charges patronales de sécurité sociale
afférentes.
5 – Règlement - facturation
Il est expressément prévu que toute réclamation de quelque nature que ce soit sur la facturation établie
ne pourra être admise que sous réserve d’être formulée dans un délai maximum de douze [12] mois à
compter de la date de la facture. Au-delà de ce délai de douze [12] mois, aucune réclamation ne
sera recevable et ne pourra donner lieu à une quelconque compensation.
Modalités de règlement conformément à l’article L 441-6 du Code de Commerce : le délai de règlement est celui
indiqué dans les conditions de facturation et ne pourra en aucun cas dépasser quarante-cinq jours à compter
de la date d’émission de la facture (Loi HAMON).
De convention expresse, le défaut de respect des conditions de règlement entraîne, sans préjudice de toute
autre voie d’action, l’application de plein droit de pénalités de retard d’un montant égal au taux de
refinancement de la Banque centrale européenne, majoré de 10 points, conformément à l’article
L. 441-6 du code de commerce, prenant effet au lendemain de la date de paiement figurant sur la facture.
Le taux de refinancement applicable pendant le 1er semestre de l'année en cours est le taux en vigueur au 1er
janvier de cette même année. Pour le 2nd semestre, le taux en vigueur au 1er juillet s’applique. Les pénalités de
retard sont exigibles sans qu'un rappel soit nécessaire. Conformément aux dispositions des articles L. 441-6 et D.
441-5 du code de commerce, l’entreprise utilisatrice en situation de retard de paiement est de plein droit débitrice
d'une indemnité forfaitaire pour frais de recouvrement de 40 €. En cas de non-paiement des factures échues,
l’intégralité des factures non échues devient de plein droit exigible.
Clause pénale : Le défaut de règlement, dès mise en demeure, entraînera de plein droit, outre l’application
des intérêts de retard ci-dessus, une majoration de 10% des sommes dues, à titre d’indemnité forfaitaire de
frais, sans cependant que cette majoration ne puisse être inférieure à 4000 euros résultant des frais de
l’intervention contentieuse.
6 – Clause attributive de compétence
De convention expresse et en cas de contestation, les tribunaux du lieu du siège social de l’entreprise de travail
temporaire sont seuls compétents pour connaître les différents d’interprétation et d’exécution pouvant découler
des présentes prestations.
7 – L’embauche du salarié temporaire par l’entreprise utilisatrice
L’embauche du salarié temporaire par l’entreprise utilisatrice à l’issue de la mission est possible.
Toutefois, des frais de recrutement anticipés seront dus à l’entreprise de travail temporaire si le salarié temporaire
est embauché par l’entreprise utilisatrice avant une période de 910 heures de travail facturées. Le coût de ces
frais s’élève forfaitairement à 10 € hors taxes par heure non facturée et ce jusqu’au terme de la période susvisée.
Si l’entreprise utilisatrice a signé des conditions particulières commerciales différentes faisant référence
expressément aux frais supplémentaires en cas d’embauche, celles-ci s’appliqueront en place et lieu des
conditions générales.
8 – Clause de transfert
Afin de garantir la pérennité de nos relations commerciales, vous êtes informés que nous nous réservons la
possibilité de transférer tout ou partie des intérimaires sur une ou plusieurs entités du Groupe JTI (GROUPE JTI
INTERIM – GROUPE JTI RECRUTEMENT- GROUPE JTI TRAVAIL TEMPORAIRE).
En cas de transfert, les contrats de mise à disposition, les relevés d’heures et les factures seront automatiquement
établis au nom de la nouvelle entité
9 - Pénibilité
L’entreprise utilisatrice indique à l’entreprise de travail temporaire, au titre des caractéristiques particulières du
poste à pourvoir, les facteurs de pénibilité auxquels les salariés temporaires sont susceptibles d’être exposés afin
lui permettre d’établir la déclaration visée à l’article L.4161-1 du Code du travail. L’entreprise utilisatrice doit
également informer l’entreprise de travail temporaire en cas de rectification des informations transmises afin de
permettre à cette dernière d’établir un avenant au contrat de mise à disposition.
L’entreprise de travail temporaire, sur laquelle pèse l'obligation d’établir la déclaration visée à l’article L.4161-1
et le versement de la contribution visée à l’article L.4162-19 2° du Code du travail peut, en cas de communication
de renseignements inexacts de la part de l’entreprise utilisatrice, lui faire supporter le paiement de la pénalité
prévue à l’article L.4162-12, 2nd alinéa et/ou le rappel de la contribution visée à l’article L.4162-19 2° assortie des
charges sociales, majorations et pénalités de retard ».
10 – Protection des données personnelles
En application du règlement européen n° 2016/679 du 27 avril 2016 et de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 (modifiée
par la loi n°2018-493 du 20 juin 2018), l’utilisateur est responsable du traitement des données à caractère personnel
qui lui sont confiées dans le cadre de la mise à disposition, y compris lorsqu’il fait appel à des sous-traitants pour
le traitement de ces données.
Pour tout besoin relatif au Règlement Général sur la Protection des Données, vous pouvez adresser un mail à
rgpd@groupejti.com
CLAUSES PARTICULIERES DU CONTRAT DE MISSION TEMPORAIRE
1 - Droit à congés payés et indemnité compensatrice de congés payés
Comme tout autre salarié, le salarié temporaire a droit à des congés payés qui doivent être pris au cours de sa
mission quel que soit la durée du contrat.
Lorsque le régime des congés applicable dans l'entreprise utilisatrice ne lui permet pas une prise effective de droits
à congés payés, le salarié temporaire a droit alors à une indemnité compensatrice de congés payés au titre du
travail effectivement accompli durant son contrat de mission.
2 – Frais professionnels
Certaines conventions collectives en vigueur au sein d’entreprises utilisatrices prévoient le versement d’indemnités
de déplacement à compter du domicile du salarié temporaire. Ces indemnités de déplacement constituent la
contrepartie qui est octroyée au salarié, en raison du déplacement depuis son domicile qu’il est amené à réaliser.
En conséquence, il lui sera demandé de fournir à l’entreprise de travail temporaire, tout au long de la relation
contractuelle, un justificatif de domicile datant de moins de trois [3] mois.
En l’absence d’un justificatif de domicile à jour, donc en l’absence de justification du déplacement susceptible
d’être indemnisé, l’entreprise de travail temporaire suspendra le versement desdites indemnités de déplacement.
3 – Attestation Pôle Emploi
Les entreprises de travail temporaire pour leurs salariés titulaires d'un contrat de mission en vue d'être mis à
disposition peuvent ne remettre l'attestation que sur demande du salarié.
4 – Etablissement des contrats de mission
L’entreprise de travail temporaire établit un contrat de travail pour chaque mission effectuée dans une entreprise
utilisatrice, dénommé « contrat de mission » et l’adresse au salarié au plus tard dans les 48 heures suivant le début
de sa mise à disposition.
Il existe en 2 exemplaires : le 1er est à conserver par le salarié et le 2ème doit être signé et être retourné à l’entreprise
de travail temporaire dans les meilleurs délais.
Pour le cas où le salarié n’aurait pas reçu un exemplaire de son contrat de travail, il s’engage à le signaler à
l’entreprise de travail temporaire au plus tard dans le délai de 72 heures suivant le début de sa mise à disposition.
Son silence à l’issue de ce délai vaudra reconnaissance de sa part que le contrat de mission a été établi par écrit
et transmis dans le délai fixé par l’article L.1251-17 du code du travail.
5. Aménagements conventionnels du délai de prescription
Conformément à l’article 2254 du code civil, la durée de la prescription est abrégée par accord entre
l’entreprise de travail temporaire et le salarié à douze [12] mois. Cet aménagement conventionnel ne concerne
que les actions en dommages et intérêts et les actions en indemnités de rupture pour quelque cause que ce soit
et quel que soit le fondement juridique.
6 – Protection des données personnelles
Pour tout besoin relatif au Règlement Général sur la Protection des Données, vous pouvez adresser un mail à
rgpd@groupejti.com
 CLAUSES PARTICULIERES DU CONTRAT DE MISE A DISPOSITION V.10.2020
1 – Contrat de mise à disposition
L'objet exclusif de ce contrat est l'exécution d'une tâche précise et temporaire dénommée « mission » par la mise
à disposition de l’entreprise utilisatrice du service d’un salarié intérimaire.
Pour permettre l’établissement du contrat de mise à disposition, la demande de prestation devra obligatoirement
préciser :
a) Le motif pour lequel il est recouru au salarié temporaire, cette mention devant être assortie de justifications
précises. Conformément aux dispositions de l’article 1251-6 du code du travail, il ne peut être fait appel à un
salarié temporaire que pour l’exécution d’une tâche précise et temporaire et seulement dans les cas suivants :
1°) Remplacement d'un salarié en cas d'absence, de passage provisoire à temps partiel, de suspension du contrat
de travail, de départ définitif précédant la suppression du poste de travail, d'attente de l'entrée en service
effective d’un salarié recruté par contrat à durée indéterminée appelé à le remplacer ;
2°) Accroissement temporaire de l’activité de l’entreprise ;
3°) Emplois à caractère saisonnier ou pour lesquels, dans certains secteurs définis par décret ou par voie de
convention ou d’accord collectif étendu, il est d’usage constant de ne pas recourir au contrat de travail à durée
indéterminée en raison de la nature de l’activité exercée et du caractère par nature de ces emplois ;
4°) Remplacement d’un chef d’entreprise artisanale, industrielle ou commerciale, d’une personne exerçant une
profession libérale, de son conjoint participant effectivement à l’activité de l’entreprise à titre professionnel et
habituel ou d’un associé non salarié d’une société civile professionnelle, d’une société civile de moyens ou d’une
société d’exercice libéral ;
5°) Remplacement du chef d’une exploitation agricole ou d’une entreprise mentionnée aux 1° à 4° de l’article L.
722-1 du code rural, d’un aide familial, d’un associé d’exploitation ou de leur conjoint, mentionné à l’article L. 722-
10 du même code dès lors qu’il participe effectivement à l’activité de l’exploitation agricole ou de l’entreprise ;
La mise à disposition d’un salarié temporaire auprès d’une entreprise utilisatrice peut également intervenir :
!! lorsque la mission de travail temporaire vise, en application de dispositions légales ou d’un accord de
branche étendu, à favoriser le recrutement de personnes sans emploi rencontrant des difficultés sociales
et professionnelles particulières ;
!! lorsque l’entreprise de travail temporaire et l’entreprise utilisatrice s’engagent, pour une durée et dans des
conditions fixées par décret ou par accord de branche étendu, à assurer un complément de formation
professionnelle au salarié.
b) Le terme de la mission ;
c) Les caractéristiques particulières du poste de travail à pourvoir et, notamment si celui-ci figure sur la liste des
postes présentant des risques particuliers pour la santé ou la sécurité des salariés prévue à l’article L. 4154-2 du
code du travail ;
d) Le lieu de mission ;
e) La qualification professionnelle exigée ;
f) L’horaire de travail ;
g) La nature des équipements de protection individuelle que le salarié temporaire doit utiliser ;
h) Le montant de la rémunération avec ses différentes composantes, y compris s’il en existe, les primes et
accessoires de salaire que percevrait dans l’entreprise utilisatrice, après période d’essai, un salarié de qualification
professionnelle équivalente occupant le même poste.
2 – Les obligations à la charge de l’entreprise de travail temporaire
L’entreprise de travail temporaire s’engage à mettre à la disposition de l’entreprise utilisatrice un salarié disposant
de la qualification exigée par cette dernière. Il est expressément convenu que l’obligation à la charge de
l’entreprise de travail temporaire est une obligation de moyens dans la mesure où l’entreprise utilisatrice est
responsable de manière permanente des conditions d’exécution du travail du salarié temporaire.
Si la responsabilité de l’entreprise de travail temporaire était retenue dans l’exécution du présent contrat au titre
notamment d’un défaut de respect de son obligation de moyens ou d’un éventuel devoir d’information,
l’entreprise utilisatrice ne pourrait prétendre à un total d’indemnités et de dommages et intérêts supérieur au
montant des règlements qu’elle a déjà effectués pour les services contenant l’erreur ou la faute objet du litige.
Si l’entreprise de travail temporaire détache un salarié sur un contrat de travail temporaire, elle ne peut refuser à
l’entreprise utilisatrice de poursuivre la mission avec d’autres contrats de travail temporaire pour ce salarié sur le
même poste. L’Entreprise de travail temporaire pourra cependant refuser de fournir :
-! à partir des trois mois calendaires à compter du moment où elle peut justifier de la résiliation de la
couverture d’assurance-crédit (EULER-COFACE-ATRADIUS) qui garantissait initialement l’entreprise
utilisatrice au bénéfice de l’entreprise de travail temporaire.
-! Si l’entreprise utilisatrice a 45 jours de retard sur une facture, qu’elle soit l’objet d’un litige ou non.
-! Si le salarié a été arrêté volontairement par l’EU ou de son plein gré.
-! Si le salarié a été détaché alors que la couverture de l’EU était déjà résiliée.
3 – Les obligations à la charge de l’entreprise utilisatrice
a) Le personnel temporaire mis à disposition de l’entreprise utilisatrice ne peut être affecté qu’à des tâches
correspondant au niveau de qualification, et qu’aux seules caractéristiques de travail spécifiées dans le présent
contrat. L’entreprise utilisatrice conserve en toutes circonstances la direction générale des prestations exécutées
par le salarié temporaire. A ce titre, sous sa responsabilité, elle définit les travaux à réaliser et prend les décisions
nécessaires à leur bonne exécution. Par conséquent, l’entreprise utilisatrice est civilement responsable en tant que
commettant du personnel temporaire placé sous sa direction exclusive, de tous les dommages causés tant à
l’entreprise utilisatrice qu’à des tiers sur les lieux ou à l’occasion du travail.
b) Votre signature apposée sur les relevés d’heures certifie l’exactitude des éléments consignés et emporte
reconnaissance de l’exécution satisfaisante du travail effectué par le salarié. Nous déclinons toute responsabilité
quant à la délégation de pouvoir éventuellement accordée par le représentant de l’utilisateur au signataire du
relevé d’heures. D’autre part, et en absence de cachet sur le lieu de la mission, la seule signature du responsable
de l’entreprise utilisatrice ou de son délégué emportera validation des éléments consignés.
4 – La facturation des prestations de l’entreprise de travail temporaire
Le prix dû par l’entreprise utilisatrice, pour bénéficier des prestations prévues aux présentes, est calculé selon
le tarif horaire figurant sur le contrat de mise à disposition.
Il est entendu que le tarif horaire s’applique :
!! sur l’ensemble des rémunérations soumises à charges sociales versées au salarié temporaire, notamment
les heures supplémentaires éventuelles. Il intègre l’indemnité compensatrice de congés payés, l'indemnité
de fin de mission, les charges sociales. En cas d’augmentation du salaire de référence au sens de l’article
L. 1251-43 6° du Code du travail, d’une majoration d’une cotisation sociale ou d’augmentation d’une taxe
liée au salaire, le tarif horaire sera automatiquement et proportionnellement majoré ;
!! sur les sommes représentatives de frais professionnels non soumises aux charges sociales.
Par ailleurs, il est précisé que le montant de la facturation obtenu en application du présent contrat est arrondi
à deux décimales, au centime d'euros le plus proche.
4.1 Les jours fériés chômés
La facturation des jours fériés chômés est due indépendamment de l’ancienneté du salarié temporaire. Si le
jour férié survient pendant l’exécution de la mission, la facturation de ce dernier est due.
Lorsqu’une mission s’achève normalement le dernier jour de travail précédant le jour férié, celui-ci n’est pas
facturé. En revanche, lorsque le salarié temporaire reprend une autre mission, au sein de la même entreprise
utilisatrice, le premier jour de travail suivant le jour férié, celui-ci est facturé.
Il est rappelé enfin que les jours fériés chômés seront facturés selon les mêmes modalités que si le salarié
temporaire avait travaillé ce jour-là.
4.2 Les visites médicales
Le temps nécessité par les examens médicaux durant l’exécution de la mission de travail temporaire est pris sur
les heures de travail des salariés temporaires et sera facturé.
4.3 La rupture du contrat de mission à l’initiative de l’entreprise de travail temporaire sur la demande de
l’utilisateur
Dans l’hypothèse où l’entreprise de travail temporaire serait contrainte de procéder à la rupture du contrat de
mission sur la demande de l’entreprise utilisatrice, il sera facturé à cette dernière la totalité des prestations prévues
jusqu’au terme du présent contrat.
4.4 Communication de renseignements inexacts
L’entreprise de travail temporaire, sur laquelle pèse l'obligation de verser aux salariés temporaires des salaires et
accessoires de salaire conformes aux dispositions de l’article L. 1251-43 6° du code du travail peut, en cas de
communication de renseignements inexacts de la part de l’entreprise utilisatrice, lui faire supporter le paiement
des salaires et/ou accessoires non initialement prévus ainsi que les charges patronales de sécurité sociale
afférentes.
5 – Règlement - facturation
Il est expressément prévu que toute réclamation de quelque nature que ce soit sur la facturation établie
ne pourra être admise que sous réserve d’être formulée dans un délai maximum de douze [12] mois à
compter de la date de la facture. Au-delà de ce délai de douze [12] mois, aucune réclamation ne
sera recevable et ne pourra donner lieu à une quelconque compensation.
Modalités de règlement conformément à l’article L 441-6 du Code de Commerce : le délai de règlement est celui
indiqué dans les conditions de facturation et ne pourra en aucun cas dépasser quarante-cinq jours à compter
de la date d’émission de la facture (Loi HAMON).
De convention expresse, le défaut de respect des conditions de règlement entraîne, sans préjudice de toute
autre voie d’action, l’application de plein droit de pénalités de retard d’un montant égal au taux de
refinancement de la Banque centrale européenne, majoré de 10 points, conformément à l’article
L. 441-6 du code de commerce, prenant effet au lendemain de la date de paiement figurant sur la facture.
Le taux de refinancement applicable pendant le 1er semestre de l'année en cours est le taux en vigueur au 1er
janvier de cette même année. Pour le 2nd semestre, le taux en vigueur au 1er juillet s’applique. Les pénalités de
retard sont exigibles sans qu'un rappel soit nécessaire. Conformément aux dispositions des articles L. 441-6 et D.
441-5 du code de commerce, l’entreprise utilisatrice en situation de retard de paiement est de plein droit débitrice
d'une indemnité forfaitaire pour frais de recouvrement de 40 €. En cas de non-paiement des factures échues,
l’intégralité des factures non échues devient de plein droit exigible.
Clause pénale : Le défaut de règlement, dès mise en demeure, entraînera de plein droit, outre l’application
des intérêts de retard ci-dessus, une majoration de 10% des sommes dues, à titre d’indemnité forfaitaire de
frais, sans cependant que cette majoration ne puisse être inférieure à 4000 euros résultant des frais de
l’intervention contentieuse.
6 – Clause attributive de compétence
De convention expresse et en cas de contestation, les tribunaux du lieu du siège social de l’entreprise de travail
temporaire sont seuls compétents pour connaître les différents d’interprétation et d’exécution pouvant découler
des présentes prestations.
7 – L’embauche du salarié temporaire par l’entreprise utilisatrice
L’embauche du salarié temporaire par l’entreprise utilisatrice à l’issue de la mission est possible.
Toutefois, des frais de recrutement anticipés seront dus à l’entreprise de travail temporaire si le salarié temporaire
est embauché par l’entreprise utilisatrice avant une période de 910 heures de travail facturées. Le coût de ces
frais s’élève forfaitairement à 10 € hors taxes par heure non facturée et ce jusqu’au terme de la période susvisée.
Si l’entreprise utilisatrice a signé des conditions particulières commerciales différentes faisant référence
expressément aux frais supplémentaires en cas d’embauche, celles-ci s’appliqueront en place et lieu des
conditions générales.
8 – Clause de transfert
Afin de garantir la pérennité de nos relations commerciales, vous êtes informés que nous nous réservons la
possibilité de transférer tout ou partie des intérimaires sur une ou plusieurs entités du Groupe JTI (GROUPE JTI
INTERIM – GROUPE JTI RECRUTEMENT- GROUPE JTI TRAVAIL TEMPORAIRE).
En cas de transfert, les contrats de mise à disposition, les relevés d’heures et les factures seront automatiquement
établis au nom de la nouvelle entité
9 - Pénibilité
L’entreprise utilisatrice indique à l’entreprise de travail temporaire, au titre des caractéristiques particulières du
poste à pourvoir, les facteurs de pénibilité auxquels les salariés temporaires sont susceptibles d’être exposés afin
lui permettre d’établir la déclaration visée à l’article L.4161-1 du Code du travail. L’entreprise utilisatrice doit
également informer l’entreprise de travail temporaire en cas de rectification des informations transmises afin de
permettre à cette dernière d’établir un avenant au contrat de mise à disposition.
L’entreprise de travail temporaire, sur laquelle pèse l'obligation d’établir la déclaration visée à l’article L.4161-1
et le versement de la contribution visée à l’article L.4162-19 2° du Code du travail peut, en cas de communication
de renseignements inexacts de la part de l’entreprise utilisatrice, lui faire supporter le paiement de la pénalité
prévue à l’article L.4162-12, 2nd alinéa et/ou le rappel de la contribution visée à l’article L.4162-19 2° assortie des
charges sociales, majorations et pénalités de retard ».
10 – Protection des données personnelles
En application du règlement européen n° 2016/679 du 27 avril 2016 et de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 (modifiée
par la loi n°2018-493 du 20 juin 2018), l’utilisateur est responsable du traitement des données à caractère personnel
qui lui sont confiées dans le cadre de la mise à disposition, y compris lorsqu’il fait appel à des sous-traitants pour
le traitement de ces données.
Pour tout besoin relatif au Règlement Général sur la Protection des Données, vous pouvez adresser un mail à
rgpd@groupejti.com
CLAUSES PARTICULIERES DU CONTRAT DE MISSION TEMPORAIRE
1 - Droit à congés payés et indemnité compensatrice de congés payés
Comme tout autre salarié, le salarié temporaire a droit à des congés payés qui doivent être pris au cours de sa
mission quel que soit la durée du contrat.
Lorsque le régime des congés applicable dans l'entreprise utilisatrice ne lui permet pas une prise effective de droits
à congés payés, le salarié temporaire a droit alors à une indemnité compensatrice de congés payés au titre du
travail effectivement accompli durant son contrat de mission.
2 – Frais professionnels
Certaines conventions collectives en vigueur au sein d’entreprises utilisatrices prévoient le versement d’indemnités
de déplacement à compter du domicile du salarié temporaire. Ces indemnités de déplacement constituent la
contrepartie qui est octroyée au salarié, en raison du déplacement depuis son domicile qu’il est amené à réaliser.
En conséquence, il lui sera demandé de fournir à l’entreprise de travail temporaire, tout au long de la relation
contractuelle, un justificatif de domicile datant de moins de trois [3] mois.
En l’absence d’un justificatif de domicile à jour, donc en l’absence de justification du déplacement susceptible
d’être indemnisé, l’entreprise de travail temporaire suspendra le versement desdites indemnités de déplacement.
3 – Attestation Pôle Emploi
Les entreprises de travail temporaire pour leurs salariés titulaires d'un contrat de mission en vue d'être mis à
disposition peuvent ne remettre l'attestation que sur demande du salarié.
4 – Etablissement des contrats de mission
L’entreprise de travail temporaire établit un contrat de travail pour chaque mission effectuée dans une entreprise
utilisatrice, dénommé « contrat de mission » et l’adresse au salarié au plus tard dans les 48 heures suivant le début
de sa mise à disposition.
Il existe en 2 exemplaires : le 1er est à conserver par le salarié et le 2ème doit être signé et être retourné à l’entreprise
de travail temporaire dans les meilleurs délais.
Pour le cas où le salarié n’aurait pas reçu un exemplaire de son contrat de travail, il s’engage à le signaler à
l’entreprise de travail temporaire au plus tard dans le délai de 72 heures suivant le début de sa mise à disposition.
Son silence à l’issue de ce délai vaudra reconnaissance de sa part que le contrat de mission a été établi par écrit
et transmis dans le délai fixé par l’article L.1251-17 du code du travail.
5. Aménagements conventionnels du délai de prescription
Conformément à l’article 2254 du code civil, la durée de la prescription est abrégée par accord entre
l’entreprise de travail temporaire et le salarié à douze [12] mois. Cet aménagement conventionnel ne concerne
que les actions en dommages et intérêts et les actions en indemnités de rupture pour quelque cause que ce soit
et quel que soit le fondement juridique.
6 – Protection des données personnelles
Pour tout besoin relatif au Règlement Général sur la Protection des Données, vous pouvez adresser un mail à
rgpd@groupejti.com