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1 A. P=
( ∆V )
R
devient 20, 0 W =
(11, 6 V )
R
donc R = 6, 73 Ω
B. ∆V = IR
et I = 1,72 A
ε = IR + Ir
r = 1,97 Ω
3, 00 V
2 La résistance totale est R = = 5, 00 Ω.
0, 600 A
Ziegler 28-1
A. Rlampe = R − rpiles = 5, 00 Ω − 0, 408 Ω = 4, 59 Ω
Ppiles ( 0, 408 Ω ) I 2
B. = = 0, 0816 = 8,16%
Ptotal ( 5, 00 Ω ) I 2
3 A. Ici ε = I(R+r),
ε 12, 6 V
donc I = = = 2, 48 A.
R+r ( 5, 00 Ω + 0, 080 0 Ω )
Et ∆V = IR = ( 2, 48 A )( 5, 00 Ω ) = 12, 4 V .
et on obtient I2 = 1,93 A
B. Pour permettre une efficacité maximale, on veut que l’énergie absorbée par r
afin de vendre une plus grande partie de l’énergie produite à ses clients.
Ziegler 28-2
D. Transfert d’énergie élevé. Une puissance maximale permettra un volume
est:
1 1 1 1 3 R
= + + = donc Rp =
R p R1 R2 R3 R 3
R 7
Rab = R + R p + R = 2 R + = R
3 3
Les deux conducteurs de cette rallonge se donc reliés en série avec l'ampoule. La
tion:
2 2 2
P=
( ∆V ) → R=
( ∆V ) =
(120 V ) = 192 Ω
R P 75, 0 W
Ziegler 28-3
La résistance totale du circuit en présence de la rallonge est de 193.6 Ω. Le cou-
rant est:
120 V
I= = 0, 620 A
193, 6 Ω
2
P = I 2 ∆R = ( 0, 620 A ) (192 Ω ) = 73,8 W
7 A. Puisque tout le courant du circuit doit passer par la résistance de 100 Ω située à
gauche:
2
Pmax = I max R
P 25.0 W
donc I max = = = 0,500 A
R 100 Ω
−1
1 1
Req = 100 Ω + + Ω = 150 Ω
100 100
∆Vmax = Req I m ax = 75.0 V
2
Pparallèle = I 2 R = ( 0, 250 A ) (100 Ω ) = 6, 25 W pour les deux résistances en paral-
lèle.
Ziegler 28-4
*8 A. Selon la loi d'Ohm le courant dans l'ampoule A est I A = ε / R . La résis-
tance équivalente des deux ampoules B et C est 2R. Ainsi, le courant dans ces
courant.
C. A est plus brillante que B ou C parce que son courant est deux fois plus élevé.
9 La figure (a) ci-contre est équivalente à la Figure P6.9. Les résistances de 20.0 Ω
et 5.00 Ω sont en série; elles sont combinées tel qu'indiqué sur la figure (b). Par la
suite, les résistances de 10,0 Ω, 5,00 Ω, et 25,0 Ω sont en parallèle, et leur résis-
1 1 1 1
= + + → Req = 2.94 Ω
Req 10.0 Ω 5.00 Ω 25.0 Ω
Ce résultat est représenté à la figure (c), qui se réduit finalement à la figure (d), où
Ziegler 28-5
On procède ensuite en sens inverse en appliquant la loi d'Ohm sur chaque résis-
∆V 25, 0 V
I= = = 1, 93 A
R 12, 94 Ω
∆Vab = 5, 68 V
Ziegler 28-6
Cette différence de potentiel est appliquée sur la résistance équivalente de 25,0 Ω
à la figure (b), ce qui signifie que cette résistance est traversée par un courant égal
à:
∆Vab 5, 68 V
I= = = 0, 227 A = 227 mA
Rab 25, 0 Ω
11 Lorsque l'interrupteur S est ouvert, les résistances R1, R2, et R3 sont en série avec
la pile. Ainsi:
6V
R1 + R2 + R3 = = 6 kΩ (1)
10−3 A
1 6V
R1 + R2 + R3 = = 5 kΩ (2)
2 1, 2 ×10 −3 A
6V
R1 + R23 = = 3kΩ (3)
2 × 10−3 A
Ziegler 28-7
Soustrayant (2) de (1): R2 = 2 kΩ .
De (3): R1 = 1 kΩ .
Réponses: A. R1 = 1, 00 kΩ B. R2 = 2, 00 kΩ C. R3 = 3, 00 kΩ
12 Lorsque l'interrupteur S est ouvert, les résistances R1, R2, et R3 sont en série avec
la pile. Ainsi:
ε
R1 + R2 + R3 = (1)
I0
1 ε
R1 + R2 + R3 = (2)
2 Ia
ε
R1 + R2 = (3)
Ib
ε ε 1 1
( R1 + R2 + R3 ) − ( R1 + R2 ) = − → R3 = ε −
I0 Ib I0 Ib
1 1 1 1 1 1
( R1 + R2 + R3 ) − R1 + ε ε
R2 + R3 = − → R2 = ε − → R2 = 2ε −
2 I0 Ia 2 I0 Ib I0 Ia
De (3):
Ziegler 28-8
ε ε ε 1 1 2 2 1
R1 + R2 = → R1 = − R2 → R1 = − 2ε − → R1 = ε + +
Ib Ib Ib I0 Ia I0 I a Ib
2 2 1 1 1
Réponses: A. R1 = ε + + B. R2 = 2ε −
I0 I a Ib I0 Ia
1 1
C. R3 = ε −
I0 Ib
tance équivalente de
1 1 1 2 +1 12 Ω
= + = ou R p1 = = 4, 0 Ω
R p1 6, 0 Ω 12 Ω 12 Ω 3
1 1 1 2 +1 8Ω
= + = ou R p 2 =
R p 2 4, 0 Ω 8, 0Ω 8, 0 Ω 3
8, 0 35
Rab = R p1 + 5, 0 Ω + R p 2 = 4, 0 Ω + 5, 0 Ω + Ω= Ω = 11, 7 Ω
3 3
∆V p1 = I ab R p1 = ( 3, 0 A )( 4, 0 Ω ) = 12 V et
8, 0
∆V p 2 = I ab R p 2 = ( 3, 0 A ) Ω = 8.0 V
3
Ziegler 28-9
I12 = ∆V p1 12 Ω = 1, 0 A ; I 6 = ∆V p1 6, 0 Ω = 2, 0 A ; I 5 = I ab = 3, 0 A ;
I 8 = ∆V p 2 8, 0 Ω = 1, 0 A ; et I 4 = ∆V p 2 4, 0 Ω = 2, 0 A
1
R+ 1
= R + 50 Ω
90 +10 + 10+190
1 1
R+ 1 1
+ 1 1 = R + 18 Ω
90 + 10 10 + 90
1 1 1
R1 + R2 = 690 Ω, et = +
150Ω R1 R2
1 1
= +
1
=
( 690 − R1 ) + R1
150 R1 690 − R1 R1 ( 690 − R1 )
R12 − 690 R1 + 103500 = 0
2
690 ± ( 690 ) − 414 000
R1 =
2
R1 = 470 Ω R2 = 220 Ω
donner une résistance de 2R. La résistance R1 est ensuite ajoutée en série, ce qui
donne une résistance totale pour le circuit de 3R. Le courant sortant de la pile et
traversant R1 est I = I1 = ε / 3R .
ε
La tension aux bornes de R1 est ∆V1 = IR1 = R → ∆V1 = ε / 3 .
3R
Ziegler 28-10
La tension aux bornes de R4, est ∆V4 = ε − ε / 3 = 2ε / 3 .
Cette tension est également appliquée à l'association de R2 et R3. Ces deux résis-
∆V23 2ε / 3
tances sont donc traversées par un courant I 2 = I 3 = = = ε / 9R .
R2 + R3 6R
ε
La tension aux bornes de R2 est ∆V2 = IR2 = 2 R → ∆V2 = 2ε / 9 , et la tension
9R
ε
aux bornes de R3 est ∆V3 = IR3 = 4 R → ∆V3 = 4ε / 9 .
9R
∆V4 2ε / 3 2
I4 = = = ( ε / 3R ) = 2 I / 3 .
3R 3R 3
ε 1 ε
Du résultat de la partie A. on peut écrire I 2 = I 3 = = = I /3.
9R 3 3R
En résumé: I1 = ε / 3R, I 2 = I 3 = I / 3, I 4 = 2 I / 3.
courant sortant de la pile, qui est aussi celui traversant R1, diminue par consé-
D. Une résistance R3 qui tend vers l'infini revient à mettre cette branche en circuit
ouvert; plus aucun courant ne peut la traverser. Le circuit se ramène donc aux ré-
Ziegler 28-11
ε 3 ε
courant sortant de la pile devient I = I1 = = . Le courant est donc égal
4 R 4 3R
3
au du courant initial. Tout ce courant passe par R1 et R4.
4
En résumé, I1 = 3I / 4, I 2 = I 3 = 0, I 4 = 3I / 4.
−1
1 1
Rp = + = 0, 750 Ω
3, 00 1, 00
17 Rs = ( 2, 00 + 0, 750 + 4, 00 ) Ω = 6, 75 Ω
∆V 18, 0 V
I pile = = = 2, 67 A
Rs 6, 75 Ω
2
P = I 2R : P2 = ( 2, 67 A ) ( 2, 00 Ω )
P2 = 14, 2 W dans la résistance de 2, 00 Ω
2
P4 = ( 2, 67 A ) ( 4, 00 A ) = 28, 4 W dans la résistance de 4, 00 Ω
∆V2 = ( 2, 67 A ) ( 2, 00 Ω ) = 5, 33 V
∆V4 = ( 2, 67 A ) ( 4, 00 Ω ) = 10, 67 V
∆V p = 18, 0 V - ∆V2 − ∆V4 = 2, 00 V ( = ∆V3 = ∆V1 )
Ziegler 28-12
2 2
P3 =
( ∆V3 ) =
( 2, 00 V ) = 1, 33 W dans la résistance de 3, 00 Ω
R3 3, 00 Ω
2
P=
( ∆V1 ) = ( 2, 00 V ) = 4, 00 W dans la résistance de 1, 00 Ω
1
R1 1, 00 Ω
50, 0 V
est . Le voltmètre indique
1, 00 MΩ + Rchaussures
∆V = I (1, 00 MΩ )
50, 0 V
∆V = (1, 00 MΩ )
1, 00 MΩ + Rchaussures
Rchaussures = 1, 00 MΩ
( 50, 0 − ∆V )
∆V
50, 0 − ∆V
donc Rchaussures = lorsque mesurée en MΩ.
∆V
50, 0 V
= 50, 0 µ A Le courant ne dépasse jamais 50 µA.
1, 00 MΩ
1 1 1
= + donc R p1 = 3, 33 Ω
R p1 10, 0 Ω 5, 00 Ω
Ziegler 28-13
On associe le résultat en série avec la résistance de 4,00 Ω:
Rhaut = R p1 + 4, 00 Ω = 7,33 Ω
1 1 1 1 1
= + = + donc R p 2 = 2,13 Ω
R p 2 Rhaut 3, 00 Ω 7,33 Ω 3, 00 Ω
∆V 8, 00 V
Le courant total fourni par la pile est I total = = = 1,94 A
Rtotal 4,13 Ω
∆V p 2 4,12 V
I total = = = 1, 37 A .
R3 3, 00 Ω
Ziegler 28-14
7 4
*20 La résistance supplémentaire totale ajoutée au circuit doit être R − R = R . Les
3 3
1
combinaisons possibles sont: une résistance: R; deux résistances: 2R, R ; trois
2
1 2 3 4
résistances: 3R, R, R, R . Aucune de ces valeurs n'est égale à R , le résultat
3 3 2 3
21 On pose les courants I1, I2, et I3 tels qu'indiqués sur la figure P6.21. En appliquant
la loi des nœuds, on obtient: I3 = I1 + I2. La loi des mailles sur la maille de droite
permet d'obtenir:
12, 0 V - ( 4, 00 ) I 3 − ( 6, 00 ) I 2 − 4, 00 V = 0
8, 00 = ( 4, 00 ) I 3 + ( 6, 00 ) I 2
− ( 6, 00 ) I 2 − 4, 00 V + ( 8, 00 ) I1 = 0 → ( 8, 00 ) I1 = 4, 00 + ( 6, 00 ) I 2
d'équations suivant:
8 = 4 I1 + 10 I 2
8 = 4 I1 + 4 I 2 + 6 I 2
ou 4 2
8 I1 = 4 + 6 I 2 I 2 = 3 I1 − 3
Ziegler 28-15
4 2 52 20 3 20
8 = 4 I1 + 10 I1 − = I1 − → I1 = 8 + = 0,846 A
3 3 3 3 52 3
4 2
Il suit que I 2 = I1 ( 0,846 ) − = 0, 462
3 3
A. Les résultats sont: 0,846 A vers le bas dans la branche de gauche; 0,462 A
vers le bas dans la branche du milieu; 1,31 A vers le haut dans la branche de
droite.
V puisque celui-ci entre par la borne positive plutôt que d'en sortir:
Les résultats sont: –222 J par la pile de 4,00 V et 1,88 kJ par la pile de 12,0-V.
2
∆U = P∆t = I 2 R∆t = ( 0,846 A ) ( 8, 00 Ω )(120 s ) = 687 J
2
Pour la résistance de 5,00 Ω: ∆U = ( 0, 462 A ) ( 5, 00 Ω )(120 s ) = 128 J
2
∆U = ( 0, 462 A ) (1, 00 Ω )120 s = 25, 6 J
2
Pour la résistance de 3,00 Ω: ∆U = (1,31 A ) ( 3, 00 Ω )(120 s ) = 616 J
2
∆U = (1,31 A ) (1, 00 Ω )120 s = 205 J
Ziegler 28-16
D. L'énergie chimique de la pile de 12,0 V est transformée en énergie interne dans
les résistances. La pile de 4,00 V se fait recharger (puisque sa puissance est néga-
tive), elle emmagasine donc de l'énergie chimique, qui provient d'une partie de
+ 1,88 kJ = 1,66 kJ, ou de la partie C.: 687 J + 128 J + 25,6 J + 616 J + 205 J =
1,66 kJ
A. I1 = I2 + I3
12, 0 V - ( 2, 00 Ω ) I 3 − ( 4, 00 Ω ) I1 = 0
8, 00 V - ( 6, 00 Ω ) I 2 + ( 2, 00 Ω ) I 3 = 0
1 4 1
I1 = 3, 00 − I 3 , I 2 = + I 3 , et I 3 = 909 mA
2 3 3
Va − ( 0,909 A )( 2, 00 Ω ) = Vb
B.
Vb − Va = −1,82 V
Ziegler 28-17
B. D'après la loi des nœuds: I3 = I1 + I2 = 2,00 A, où I3 est le courant qui traverse
l'ampèremètre.
et I1 = I2 + I3 [3]
("Livre battery" devient "Batterie en bon état", "Dead battery" devient "Batterie à plat", "Starter" devient "Démarreur" et "Ignition
switch" devient "Commutateur d'allumage")
C. Non, car le courant sort de la batterie à plat par la borne positivE. Cette batterie
6,00 Ω du haut, orienté vers la droite. L'autre résistance de 6,00 Ω est soumise à la
même différence de potentiel, elle sera donc traversée par un courant de même
grandeur. Le courant dans la branche du bas du circuit est par conséquent aussi
représenté par I1 (que l'on pose également orienté vers la droite). On pose ensuite
que I2 est le courant à travers la résistance de 10,0 Ω, orienté vers la gauche, tandis
+ I2 + I3 – I1 – I1 = 0 [3]
+ 6, 00 V – ∆V – 4,50 V = 0
→ ∆V = 1, 50 V
26 A. Les deux premières équations proviennent de la loi des mailles; elles corres-
pondent à des portions de circuit représentées respectivement dans les figures (a)
Ziegler 28-19
et (b). La résistance de 370 Ω est commune aux deux figures. Elle se trouve donc
seule sur une branche, avec des nœuds de part et d'autre. La figure (c) présente le
I1 + I3– I2 = 0
I2 = I1 + I3
B. On substitue:
5,80 − 590 I1
I3 =
370
520
Puis 370 I1 + ( 5,80 − 590 I1 ) − 3,10 = 0
370
370 I1 + 8,15 − 829 I1 − 3,10 = 0
Ziegler 28-20
Il y a un courant de 1,87 mA dans la résistance de 150 Ω, sortant de la borne né-
27 On pose les courants tels qu'indiqués par la figure (a). On simplifie ensuite le cir-
cuit en combinant les deux résistances en parallèle. À cause de la loi des nœuds, le
courant dans la branche du milieu est égal à I1 + I2. On applique la loi des mailles
Vc − Va 240 V
Donc, de la Figure (a), I 4 = = = 60, 0 mA
4R 4 000 Ω
Ziegler 28-21
28 On pose les courants tels qu'indiqués par la figure. Par la loi des nœuds:
I3 = I1 + I2 + I4.
I 2 = 2, 50 I1 + 0, 500 I 2 = 2, 50 I1 + 0, 500
20, 0 = 4, 00 I 2 + 1, 00 I 3 → 20, 0 = 4, 00 I 2 + 1, 00 ( I1 + I 2 + I 4 ) → 20, 0 = 5, 00 I 2 + 1, 00 I1 + 1, 00 I 4
22, 0 = 1, 00 I + 1, 00 I + 4, 50 I
22, 0 = 1, 00 I 3 + 3, 50 I 4 → 22, 0 = 1, 00 ( I1 + I 2 + I 4 ) + 3, 50 I 4 1 2 4
On élimine I2:
70,0 Ω
de 80,0 Ω
Ziegler 28-22
I3 = I1 + I2 + I4 = 1,00 + 3,00 + 4,00 = 8,00 vers le bas dans la résistance de 20,0
I3 = I1 + I2 [1]
4, 00 I 3
+12, 0 − 12, 0 I 2 − 16, 0 I 3 = 0 or I 2 = 1, 00 − [2]
3, 00
Une troisième équation est obtenue en appliquant la loi des mailles sur la maille
24, 0 − 16, 0 I 3
+24, 0 − 28, 0 I1 − 16, 0 I 3 = 0 or I1 = [3]
28, 0
24, 0 − 16, 0 I 3 4, 00 I 3
I3 = + 1, 00 − . On résout ensuite:
28, 0 3, 00
Ziegler 28-23
*30 Si on parcourt le circuit du point a au point b par la branche de droite, on re-
Vb − Va = − ( 3, 00 Ω ) I 2 = +6, 00 V → I 2 = −2, 00 A
B. I3 = 1,00 A .
contenant ces deux variables. Il n'est pas possible de résoudre un système consti-
tué d'une seule équation avec deux inconnus. Par conséquent, ces valeurs ne peu-
*31 A. Non. Quelques simplifications peuvent être apportées au circuit. Les résis-
tances de 2,00 Ω et de 4,00 Ω sont associées en série, tout comme les résistances
lentes de 6,00 Ω.
Ziegler 28-24
Le circuit ne peut être simplifié davantage, et les lois de Kirchhoff sont néces-
I1 = I2 + I3 [1]
A. En substituant les équations [2] et [3] dans l'équation [1] on obtient I1 = 3,50 A
Ziegler 28-25
B. On applique la loi des mailles sur la maille du bas:
I1 – I2 – I3 = 0 [3]
13, 0
( 24, 0 + 23, 0 I 2 ) + 18, 0 I = 30, 0
2
5, 00
13, 0 ( 24, 0 + 23, 0 I 2 ) + 5, 00 (18, 0 I 2 ) = 5, 00 ( 30, 0 )
389 I 2 = −162 → I 2 = −162 / 389 → I 2 = −0, 416 A
Ziegler 28-26
H. Le signe négatif du courant I2 signifie que l'orientation du courant est inverse à
celle qui avait été initialement posée. Le courant se déplace donc en réalité vers la
gauche.
34 A. τ = RC = (1, 00 × 106 Ω )( 5, 00 × 10 −6 F ) = 5, 00 s
ε 30, 0 V −10, 0s
C. i (t ) = e − t / RC = 6 exp 6 −6
= 4, 06 µ A
R 1, 00 ×10 Ω (1, 00 × 10 Ω )( 5, 00 × 10 F )
35 A. i ( t ) = − I 0 e − t / RC
Q 5,10 × 10−6 C
I0 = = = 1,96 A
RC (1300 Ω ) ( 2, 00 × 10−9 F )
−9, 00 ×10 −6 s
I t = − (1, 96 A ) exp −9
= −61, 6 mA
(1300 Ω ) ( 2, 00 ×10 F )
−8, 00 × 10−6 s
B. q ( t ) = Qe − t / RC = ( 5,10 µ C ) exp −9
= 0, 235 µ C
(1300 Ω ) ( 2, 00 × 10 F )
Ziegler 28-27
36 La différence de potentiel entre les armatures du condensateur est
∆v ( t ) = ∆V (1 − e− t / RC )
− 3,00×105 Ω / R
( ) = 0, 600
Donc e
3, 00 × 105 Ω
En prenant le logarithme naturel de chaque côté: − = ln ( 0, 600 )
R
3, 00 × 105 Ω
et R = - = 5,87 × 105 Ω = 587 kΩ
ln ( 0, 600 )
comme un circuit ouvert. Les résistances de 1,00 Ω et de 4,00 Ω sont donc asso-
ciées en série; la résistance équivalente de 5,00 Ω est traversée par un courant égal
à:
10, 0 V
I1 = = 2, 00 A
5, 00 Ω
Ziegler 28-28
On procède de la même façon pour la branche de droite du circuit. Les résistances
10, 0 V
I2 = = 1, 00 A
10, 00 Ω
∆V = Vgauche − Vdroite = 8, 00 Ω − 2, 00 = 6, 00 V
et de 8,00 Ω sont maintenant associées en série, ainsi que les résistances de 4,00
temps du circuit.
1
R= = 3, 60 Ω
(1 / 9, 00 Ω ) + (1 / 6, 00 Ω )
τ = RC = 3, 60 × 10−6 s
1
On pose e− t / RC =
10
Ziegler 28-29
38 On doit calculer
∞ ∞
RC −2 t / RC 2df RC −2t / RC ∞ RC −∞ 0
∫e 2 ∫0
e − e
−2 t / RC
dt = − e =− e |0 = −
0 RC 2 2
RC RC
=− [ 0 − 1] = +
2 2
courant variable i2 qui traverse l'interrupteur puis la résistance R2. Le courant total
ε
ε − I1 R1 = 0 → I1 =
R1
10, 0 V
ce qui donne I1 = = 200 µ A
50, 0 × 103 Ω
q q ε − t / ( R2C )
− i2 R2 = 0 → i2 = = e
C R2C R2
ε 10, 0 V − t /1,00 s
ce qui donne i2 = e − t / RC = 3 e
R2 100 × 10 Ω
Ziegler 28-30
Le courant total dans l'interrupteur est donc I1 + i2 = ( 200 +100e − t /1,00 s ) µA
τ = ( R1 + R2 ) C
τ = R2C
courant variable i2 qui traverse l'interrupteur puis la résistance R2. Le courant total
ε
ε − I1 R1 = 0 → I1 =
R1
q q ε − t / ( R2C )
− i2 R2 = 0 → i2 = = e
C R2C R2
ε ε 1 1
I1 + i2 = + e − t / ( R2C ) = ε + e − t /( R2C )
R1 R2 R1 R2
0,750Q = Qe–t/τ
Ziegler 28-31
e–t/τ = 0,750
τ 1,50 s
B. τ = RC , donc C = = 3
= 6, 00 ×10 −6 F = 6,00µ F
R 250 × 10 Ω
P 1500 W
42 A. P = I∆V: Pour la plinthe, I = = = 12, 5A
∆V 120 V
750 W
Pour le grille-pain, I = = 6, 25 A
120 V
1000 W
Pour le gril, I = = 8,33A
120 V
doigts est un morceau de cuivre ayant une surface de contact de 4 mm2 et une
R=
ρ
≈
(10 13
Ω ⋅ m )(10−3 m )
≈ 2 × 1015 Ω
A 4 × 10−6 m 2
Le courant traverse une première couche de caoutchouc, puis la main, puis une
∆V 100 V
Ce qui donne: I = ≈ 15
≈ 10−14 A .
R 5 × 10 Ω
Ziegler 28-32
B. La différence de potentiel entre le pouce et l'index est égal à ∆V = IR ≈
*44 La résistance équivalente se calcule en suivant les étapes illustrées ci-dessous, afin
ε ε2
45 A. Réq = 3R I= Pséries = ε I =
3R 3R
1 R 3ε 3ε 2
B. Réq = = I= Pparallèle =εI =
(1/R ) + (1/R ) + (1/R ) 3 R R
A. La résistance la plus élevée est celle traversée par le plus faible courant, celui
211
pile est: (150 + 45,0 + 14,0 + 2,00) mA = 211 mA. Le rapport est = 0, 991.
213
Ziegler 28-33
B. La résistance la plus faible est celle traversée par le courant le plus élevé, celui
138
pile est: (75,0 + 45,0 + 14,0 + 4,00) mA = 138 mA. Le rapport est = 0, 648 .
213
C. C'est par le plafond que les pertes d'énergie sont les plus élevées, ce transfert
47 Les quatre piles sont reliées en série; la différence de potentiel totale appliquée à
∆V 6, 00 V
Le courant fourni par la pile à la radio est: I = = = 0, 030 0 A
R 200 Ω
= 0,180 J/s
∆U ∆U 1440 J
Puisque P = , on obtient ∆t = = = 8, 00 ×103 s = 2.22 h
∆t P 0,180 J/s
Q
Le même résultat peut être obtenu avec I = :
∆t
Q 240 C
∆t = = = 8, 00 ×103 s = 2,22 h .
I 0, 030 0 A
*48 On remarque d'abord que Réq = R + Rp, où Réq est la résistance équivalente du cir-
Ziegler 28-34
−1 −1
1
Rp = +
1
+
1 1 1 ( 30, 0 Ω )( R + 5, 00 Ω )
= + =
120 Ω 40, 0 Ω R + 5, 00 Ω 30, 0 Ω R + 5, 00 Ω R + 35, 0 Ω
On élimine les courants I1 et I3 en substituant les équations [1] et [2] dans [3]:
(11 V) = 66,0 µC
Ziegler 28-35
15 V
50 Le courant fourni par la pile = 1,15 A.
1
10 Ω +
1 + 1
5Ω 8Ω
3,53 V.
C. Seulement dans le circuit de la figure 50c. Dans les deux autres, les résis-
10,0 Ω est la plus petite. Dans les deux autres, les deux piles sont en série, ce qui
∆V 6, 00 V
*51 A. R = = −3
= 2, 00 × 103 Ω = 2, 00 kΩ
I 3, 00 × 10 A
B. Les deux résistances du circuit sont en série, ce qui donne une résistance
Ziegler 28-36
2 2
ε ε
P = I 2R = R → (r + R ) =
2
R = aR
r+R P
ε2
où a = .
P
ε2
où b = 2r − a = 2r − .
P
−b ± b 2 − 4 r 2
R=
2
Puis on détermine b:
b = 2(1, 20 Ω) −
( 9, 20 V ) = −1, 59 Ω
21, 2 W
2 2
− ( −1, 59 Ω ) ± ( −1,59 Ω ) − 4 (1, 20 Ω ) 1,59 Ω ± −3, 22 Ω 2
R= =
2 2
Ziegler 28-37
54 A. Les résistances se simplifient à une seule résistance équivalente Réq = 15,0
∆Vab 15, 0 V
De la figure (e), I1 = = = 1, 00 A
Réq 15, 0 Ω
Ziegler 28-38
∆Vcd 3, 00 V
De la figure (c), I 2 = I 3 = = = 0,500 A
6, 00 Ω 6, 00 Ω
∆Ved 1,80 V
Ensuite, de la figure (a), I 4 = = = 0,300 A
6, 00 Ω 6, 00 Ω
∆V fd ∆Ved 1,80 V
et I 5 = = = = 0, 200 A
9, 00 Ω 9, 00 Ω 9, 00 Ω
B. ∆Vac = ∆Vdb = 6,00 V, ∆Vce = 1,20 V, ∆Vfd = ∆Ved = 1,80 V, ∆Vcd = 3,00 V
2 2
( ∆V )ac ( 6, 00 V )2 ( ∆V )ce (1, 20 V )2
Pac = = = 6, 00 W Pce = = = 0, 600 W
Rac 6, 00 Ω Rce 2, 40 Ω
2 2
( ∆V )ed (1,80 V )2 ( ∆V ) fd (1,80 V )2
Ped = = = 0,540 W Pfd = = = 0,360 W
Red 6, 00 Ω R fd 9, 00 Ω
2 2
( ∆V )cd ( 3, 00 V )2 ( ∆V )db ( 6, 00 V )2
Pcd = = = 1,50 W Pdb = = = 6, 00 W
Rcd 6, 00 Ω Rdb 6, 00 Ω
55 La pile est rechargée au moyen d'un courant Icharge: 14,7 V – (13,2 V – Icharge 0,85
Ω) = 0 → Icharge = 1,76 A.
Ziegler 28-39
Cette même quantité d'énergie sera par la suite déchargée par la pile:
L'efficacité est donc égal à 147 000 J/168 000 J = 0,872 = 87,3%.
4,40 Ω
Ps 225 W
Alors, Rs = R1 + R2 = 2
= 2
= 9, 00 Ω → R2 = 9, 00 Ω − R1
I ( 5, 00 A )
Ziegler 28-40
−1
1 1 RR Pp 50, 0 W
et R p = + = 1 2 = 2 = 2
= 2, 00 Ω
R
1 R2 R1 + R2 I ( 5, 00 A )
R1 ( 9, 00 Ω − R1 )
donc = 2, 00 Ω R12 − 9, 00 R1 + 18, 0 = 0
R1 + ( 9, 00 Ω − R1 )
Il n'existe donc qu'une seule réponse: les deux résistances valent 6,00 Ω et 3,00
Ω.
−1
P 1 1 RR Pp
Alors, Rs = R1 + R2 = 2s et R p = + = 1 2 = 2 .
I R1 R2 R1 + R2 I
Ps
De la première équation, R2 = − R1 , tandis que la seconde de-
I2
R1 ( Ps / I 2 − R1 ) Pp P Ps Pp
vient = 2
donc R12 − 2s R1 + 4 = 0.
R1 + ( Ps / I − R1 )
2
I I I
Ps ± Ps2 − 4 Ps Pp
En utilisant la quadratique, R1 = .
2I 2
Ps Ps ∓ Ps2 − 4 Ps Pp
Ensuite, R2 = 2 − R1 donne R2 = .
I 2I 2
Ziegler 28-41
Ps + Ps2 − 4 Ps Pp Ps − Ps2 − 4 Ps Pp
Les deux résistances sont et .
2I 2 2I 2
Lorsque chargés par une pile de 12,0 V, la charge totale emmagasinée par ces
condensateurs est:
lèle est:
q 40, 2 µ C
∆v = = = 8, 04 V
Céq 5, 00 µ F
réponse que l'on peut également obtenir avec q2 = C2(∆v) = (2,00 µF)(8,04 V) =
16,1 µC
Ziegler 28-42
∆v 8, 04 V
I= = 2
= 1, 61×10−2 A= 16,1m A
R 5, 00 ×10 Ω
I1 R1 R + R1
I = I1 + I 2 = I1 + = I1 2
R2 R2
IR2
I1 =
R1 + R2
I1 R1 IR1
I2 = = = I2
R2 R2 + R1
2
B. La puissance des résistances est: P = I12 R1 + I 22 R2 = I12 R1 + ( I − I1 ) R2 .
dP
Pour que la puissance soit minimale il faut que =0.
dI1
dP
= 2 I1 R1 + 2 ( I − I1 )( −1) R2 = 0 I1 R1 − IR2 + I1 R2 = 0
dI1
IR2
I1 =
R1 + R2
−1 −1
1 1 1 1
R= + = + = 1, 20 kΩ
R1 R2 2, 00 kΩ 3, 00 kΩ
Ziegler 28-43
et τ = RC = (1, 20 ×103 Ω )( 5, 00 × 10−6 F ) = 6, 00 × 10−3 s = 6, 00ms
q = q1 + q2 = Q (1 – e–t/τ) [1]
q q C
Par conséquent, ( ∆V )C = = → q2 = 2 q1 = 1,50q1 [2]
C1 C2 C1
(
2,50q1 = ( 600µC ) 1 − e −t /6,00⋅10
−3
s
) → q = 240 µC (1 − e
1
− t /6,00⋅10 −3 s
)
B. De l'équation [2]:
(
q2 = 1,50q1 = 360µC 1 − e −t /6,00⋅10
−3
s
)
62 A. Lorsque le condensateur est pleinement chargé, il se comporte comme un cir-
cuit ouvert. Le courant dans les deux résistances de gauche est alors Igauche = 5,00
V/83,0 Ω tandis que le courant dans les deux résistances de droite est Idroite = 5,00
V/(2,00 Ω + R).
3, 00
Vgauche = 5, 00 V − ( 3, 00 Ω )( 5, 00 V/83, 0 Ω ) = ( 5, 00 V ) 1 −
83, 0
2, 00
Vdroite = 5, 00 V − ( 2, 00 Ω )( 5, 00 V ) / ( 2, 00 Ω + R ) = ( 5, 00 V ) 1 − .
2, 00 + R
Ziegler 28-44
3, 00 2, 00
∆V = Vgauche − Vdroite = ( 5, 00 V ) 1 − − ( 5, 00 V ) 1 −
83, 0 2, 00 + R
2, 00 3, 00
∆V = ( 5, 00 V ) −
2, 00 + R 83, 0
Et la charge du condensateur:
2, 00 3, 00
q = C ∆V = ( 3, 00 µ C )( 5, 00 V ) −
2, 00 + R 83, 0
2, 00 3, 00
q = (15, 0 µ C ) −
2, 00 + R 83, 0
30, 0
q= − 0,542, où q est en µ C et R est en Ω.
2, 00 + R
2, 00 3, 00
B. Avec R = 10, 0 Ω, (15, 0 µ C ) − = 1, 96 µ C .
2, 00 + 10, 0 83, 0
2, 00 3, 00 2, 00 ( 83, 0 )
C. Oui. q = (15, 0 µ C ) − = 0→ R = − 2, 00 = 53,3 Ω
2, 00 + R 83, 0 3, 00
2, 00 3, 00
q = (15, 0 µ C ) − = 14,5 µ C
2, 00 + 0 83, 0
E. Oui. Une valeur de R = ∞ est équivalent à retirer les conducteurs pour décon-
necter la résistance R:
2, 00 3, 00 3, 00
q = (15, 0 µ C ) − = (15, 0 µ C ) = 0, 542 µ C
2, 00 + ∞ 83, 0 83, 0
63 A. q = C∆V(1 – e–t/RC)
Ziegler 28-45
dq ∆V − t / RC
i= = e
dt R
B.
10, 0 V −5,00
i= 6 e = 3, 37 × 10 −8 A = 33,7 nA
2, 00 ×10 Ω
dU d 1 q 2 q dq q
= = = I
dt dt 2 C C dt C
C.
dU 9,93 ×10 −6 C −8 −7
= ( 3,37 × 10 A ) = 3,34 × 10 W = 334 nW
dt 1, 00 × 10 −6 C/V
dE ε
64 La pile fournit de l'énergie à un taux = P = ε i = ε e −1/ RC .
dt R
∞
ε2 t
∫ dE = ∫
t =0
R
exp − d .
RC
ε2 ∞
( − RC ) ∫ exp −
t dt
∫ dE = R 0 RC
−
RC
.
∞
t
2 2 2
= −ε C exp − = − ε C [ 0 − 1] = ε C
RC 0
dE ε2 2t
La puissance de la résistance est = P = i 2 R = R 2 exp −
dt R RC
∞
ε2 2t
∫ dE = ∫ 0
R
exp − dt
RC
Ziegler 28-46
∞
ε 2 RC ∞ 2t 2dt ε 2C 2t ε 2C ε 2C
∫ dE =
R 2 ∫0
− exp − −
RC RC
= −
2
exp −
RC 0
= −
2
0
[ ]− 1 =
2
1 2 1
L'énergie finale emmagasinée dans le condensateur est U = C ( ∆V ) = Cε 2 .
2 2
1 1
L'énergie dans le circuit est donc conservée, car ε 2C = ε 2C + ε 2C ; la résis-
2 2
P = I ∆V =
( ∆V )
R
2 2
R=
( ∆V ) =
(120 V ) = 26,9 Ω
P 535 W
Rtot = R + 2r
∆V 120 V
I= = = 4,18 A
Rtot 28, 7 Ω
et la puissance de l'aspirateur:
Ziegler 28-47
Sans les valeurs numériques:
Rtot = R + 2r , I =
∆V
et Paspirateur = I 2 R =
( ∆V ) R
2
R + 2r ( R + 2r )
2
B. En utilisant Paspirateur = I 2
R=
( ∆V ) R , on obtient
2
( R + 2r )
1/ 2
( ∆V )2 R
R + 2r =
Paspirateur
1/ 2 1/ 2
∆V R R 120 V 26,9 Ω 26, 9 Ω ρ ρ
→r= − = − = 0,128 Ω = =
2 Paspirateur 2 2 525 W 2 A π d2 4
1/ 2
4ρ
1/ 2 4 (1, 70 × 10−8 Ω ⋅ m ) (15 m )
→d = = = 1, 60 mm ou plus
πr π ( 0,128 Ω )
C.
1/ 2 1/ 2
∆V R R 120 V 26,9 Ω 26, 9 Ω
r= − = − = 0, 0379 Ω
2 Paspirateur 2 2 525 W 2
1/2
4ρ
1/ 2 4 (1, 70 × 10 −8 Ω ⋅ m ) (15 m )
d = = = 2,93 mm ou plus
πr π ( 0, 0379 Ω )
P=
( ∆V )
R
2 2
R=
( ∆V ) =
(120 V ) = 240 Ω
P 60, 0 W
1
Réq = R1 + = 240 Ω + 120 Ω = 360 Ω
(1/ R2 ) + (1 / R3 )
Ziegler 28-48
La puissance totale dans cette résistance équivalente de 360 Ω est
2 2
P=
( ∆V ) =
(120 V ) = 40, 0 W
Réq 360 Ω
∆V 120 V
B. Le courant sortant de la pile est donné par I = = = 0, 333A
Réq 360 Ω
1
∆V23 = IR23 = ( 0, 333A ) = 40, 0 V
(1/ 240 Ω ) + (1 / 240 Ω )
portent comme des circuits ouverts et les deux résistances peuvent être considé-
P2 2, 40 V ⋅ A
P2 = I 2 R2 I = = = 18, 5 mA
R2 7 000 V/A
La charge de C1 est
Ziegler 28-49
La différence de potentiel entre les bornes de R2 et de C2 est
La charge de C2 est
IRéq = I(R1 + R2) = 1,85 × 10–2 A(4 000 + 7 000) V/A = 204 V
B. Une fois que l'interrupteur est ouvert et que le régime permanent est retrouvé,
plus aucun courant ne circule dans le circuit. La différence de potentiel aux bornes
des résistances est donc nulle, tandis que les condensateurs reçoivent tous les deux
C. Les piles étant en série, la f.é.m. totale est égale à 2(9,30 V) = 18,6 V.
D. Les piles étant en série, la résistance interne totale est 2r = 5,03 Ω. Le courant
maximal est
Ziegler 28-50
E. La résistance totale du circuit devient Réq = 2r + 12,0 Ω = 17,0 Ω, ce qui
donne:
G. Les deux résistances de 12,0 Ω en parallèle sont équivalentes à une seule résis-
tance de 6,00 Ω, qui elle est en série avec les résistances internes des piles: Réq =
6,00 Ω + 2r = 11,0 Ω. Par conséquent, le courant total fourni par les piles:
8,54 W.
H. Les situations ne sont pas identiques car les résistances internes des deux piles
12,0 Ω.
dans la branche verticale au milieu du circuit peut être retirée du circuit étant don-
né que toutes les résistances du circuit sont de même valeur. En effet, les points
où elle est reliée au circuit sont au même potentiel, ce qui signifie que la diffé-
rence de potentiel sur cette résistance est nulle, et donc qu'elle n'est traversée par
aucun courant. Une fois cette résistance retirée, il est facile de déterminer la résis-
Ziegler 28-51
−1
1 1 1
Réq = + + = 5, 00 Ω
20 20 10
∆V 120 V
= = 2, 40 A
Réq 5, 00 Ω
(RL devient RC, Req devient Réq et "is just" devient "est équivalent à")
1
RT + = Réq
1 / RC + 1 / Réq
RC Réq
RT + = Réq
RC + Réq
Ainsi, RT RC + RT Réq + RC Réq = RC Réq + Réq2
Réq2 − RT Réq − RT RC = 0
RT ± RT2 − 4(1) ( − RT RC )
Réq =
2(1)
Ziegler 28-52
1
Réq =
2
( 4 RT RC + RT2 + RT )
Par exemple, si RT = 1 Ω et RC = 20 Ω alors Réq = 5 Ω.
ε 9, 00 V
I ( R1 + R2 ) = = = 333 µ A (régime permanent)
R1 + R2 (12, 0 kΩ + 15, 0 kΩ )
B. En régime permanent, la différence de potentiel aux bornes du condensateur est
égale à celle aux bornes de la résistance R2 car il n'y a pas de courant dans la résis-
= 50, 0 µ C
R3, avec une constante de temps (R2 + R3)C = (15,0 kΩ + 3,00 kΩ)(10,0 µF) =
densateur:
Ziegler 28-53
("switch opened" devient "ouverture de l'interrupteur")
I0 =
( ∆V )C
=
IR2
=
( 333 µ A )(15, 0 kΩ ) = 278 µ A
( R2 + R3 ) ( R2 + R3 ) (15, 0 kΩ + 3, 00 kΩ )
Ainsi, on moment d'ouvrir l'interrupteur le courant à travers la résistance R2
change instantanément de 333 µA à 278 µA, tel qu'illustré sur le graphique. Par la
q = Q0 e − t /( R2 + R3 )C
Q0 − t /0,180 s )
= Q0 e(
5
D. 5 = et /0,180 s
t
ln 5 =
180 ms
t = ( 0,180s )( ln 5 ) = 290 ms
72 ∆V = εe–t/RC
ε 1
donc ln = t
∆V RC
Ziegler 28-54
ε
Un graphique de ln en fonction de t devrait donner une droite dont la pente
∆V
1
est égale à .
RC
0 6,19 0
ordonnée à l'origine =
( ∑ x ) ( ∑ y ) − ( ∑ x )( ∑ x y ) = 0, 0882
2
i i i i i
2 2
N (∑ x ) − (∑ x ) i i
ε
L'équation de la meilleure droite: ln = ( 0, 0118 ) t + 0, 0882
∆V
Ziegler 28-55
1 1
τ = RC = = = 84, 7 s
pente 0, 0118
τ 84, 7 s
et la capacité est C = = = 84, 7 µ F
R 10, 0 ×106 Ω
Rab = R1 = Ry + Ry = 2Ry
1
donc Ry = R1 [1]
2
1
Donc, Rac = R2 = Ry + Rx [2]
2
11 1
R2 = R1 + Rx , or Rx = R2 − R1
22 4
de 2,00 Ω.
Ziegler 28-56
q ( t ) = Qe − t / RC = C ∆V ( t ) = C ∆V0 e −t / RC
∆V ∆V0
= e − t / RC → = e+ t / RC
∆V0 ∆V
t ∆V
→ = ln 0
RC ∆V
pF.
∆V 3 000
t = RC ln 0 = ( 5, 00 × 109 Ω )( 230 × 10−12 F ) ln = 3, 91 s
∆V 100
∆V 3 000
t = RC ln 0 = (1, 00 × 106 Ω )( 230 × 10−12 F ) ln −4
= 7,82 × 10 s= 782 µ s
∆V 100
75 Une certaine quantité d'énergie ∆Eint = P∆t est demander pour porter l'eau de la
2
( ∆V )
P = I ∆V = , où ∆V est constante. Si on compare l'utilisation des deux
R
2 2
( ∆V ) ∆t ( ∆V ) 2∆t
éléments, on obtient que ∆Eint = = . Par conséquent, R2 =
R1 R2
2R1.
1 1 1 1 1 3 2
= + = + = → Rp = R1.
R p R1 R2 R1 2 R1 2 R1 3
Ziegler 28-57
2 2
( ∆V ) ∆t ( ∆V ) ∆t p 2
Donc ∆Eint = = → ∆t p = ∆t
R1 2 3
R1
3
+2R1 = 3R1 et
2 2
∆Eint =
( ∆V ) ∆t
=
( ∆V ) ∆t s
→ ∆ts = 3∆t
R1 3R1
*76 Lorsqu'en série, la résistance équivalente est Réq = R1 + R2 + +Rn = nR. Le cou-
2 2
Ps = I ∆V =
( ∆V ) =
( ∆V )
s
Réq nR
2
n ( ∆V )
est Pp = nP1 =
R
2
P ( ∆V ) R 1 1
Donc, s = ⋅ 2
= 2 or Ps = 2 Pp
Pp nR n ( ∆V ) n n
*77 On pose les courants indiqués sur la figure ci-dessous et on applique les lois de
Ziegler 28-58
75,0 – 35,0 I + 30,0 I1 = 0
–(70,0 + R) I1 + (30,0) I = 0
7, 00 R
donc I = + I1 [2]
3, 00 30, 0
20, 0 W
donc R = [4]
I12
140
310 I1 + = 450
I1
En appliquant la quadratique:
2
− ( −450 ) ± ( −450 ) − 4 ( 310 )(140 ) 450 ± 170
I1 = = ,
2 ( 310 ) 620
20, 0 W
ce qui donne I1 = 1,00 A ou I1 = 0,452 A. Ensuite, avec R = , on obtient
I12
Ziegler 28-59