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A Pacé le 07 Janvier 2022

M. Angarita Jaime

Mme. Canales Gissella

30 Av Pinaut Bat C appt 201

M. Villa Alban

Chef du service

Cada Coallia

35740 Pacé

Objet : Communication de réalité familiale actuelle

Bonjour M. Villa,

Nous prenons contact avec vous suite a notre rencontré d’hier, merci beaucoup.

Nous avons eu le discernement avec mon épouse à propos de la proposition que vous
et Mme Proust nous ont proposé concernant d’aller dans l’hébergement collectif
destine aux personnes en situation irrégulière, qui ne sont pas acceptés pour séjourner
légalement en France et où le propos c’est de retourner dans son pays d’origine.

Malheureusement nous ne pouvons pas accepter cette proposition. Comme vous êtes
bien au courant, notre parcours de demande d’asile a démarré au Prahda le Rheu
hébergement collectif dans lequel on avait demandé un changement de chambre à
cause de tapages répétitifs dans les murs, en suite on a trouvé le changement à un
appartement dans la structure que vous présidez en tant que chef de service.

Accepter l’hébergement du DPAR signifie pour nous de reculer et nous on veut avancer
dans notre situation de vie actuelle. La situation portée à notre égard ne peut
s’adapter aux hébergements d’urgence, même si on envisage peut être de rentrer dans
notre pays quelque chose qu’on ne veut pas envisager en ce moment. En contra partie
A Pacé le 07 Janvier 2022

et bien actuellement, l’attestation du 24 novembre 2021 est dans la mesure du


maintien des nos droits de séjour et sociaux, délivré par la Préfecture.

Ce document pour tant nous met dans la certitude de nous retrouver dans la
constance pour l’adaptation à cette situation de démarche en France, suite au
document précédent de séjour (attestation de demande d’asile) qui renforce appuie et
fait face à cette responsabilité. L’attestation de demande d’asile en tant que document
évoqué par la préfecture dans l’attestation provisoire de séjour nous maintien les
droits : au logement, allocation Ada, aide alimentaire et vestimentaire et permet le cas
échéant à travailler. Cela veut dire que pour le 5 janvier il nous a manqué et on a
besoin de compter avec la carte Ada ; nous ne comptons pas aujourd’hui avec une aide
d’allocation complémentaire.

Nous on a notifié à l’Ofii et la Préfecture de la réalité de notre situation il y a bien


longtemps et dans plusieurs reprises soit avec lettre recommandé accusé de réception
ou simplement par le biais des courriels. Nous on peut continuer à se communiquer
avec eux, malheureusement même avec AR nous n’obtenons pas de résultats
favorables pour le moment.

On vous prie de bien vouloir faire le nécessaire pour que cette situation angoissante
cesse, c’est ne pas normal de chercher de logement dans le milieu associatif pour les
migrants sans papiers en situation irrégulière.

Veuillez agréer M. Villa l’expression de nos sentiments cordiaux et respectueux

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