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Mme, Mr.

Date :

Monsieur le Directeur de

Obj. : NOTE A L’ATTENTION DE TOUT CHEF D’ETABLISSEMENT PUBLIC OU PRIVE, DE


TOUT CHEF D’ENTREPRISE, DE TOUT RESPONSABLE DE COLLECTIVITE :

En préambule, il s’avère indispensable que ces décisionnaires se posent la question


fondamentale de savoir si toutes les mesures liées depuis plus de 18 mois au Covid-
19 relèvent d’une politique de santé publique ou d’une politique délibérément
incohérente pour imposer un régime autoritaire sous prétexte de prétendue
pandémie à propos de laquelle toutes les preuves factuelles tendent à démontrer
qu’il s’agit d’une manipulation par la peur et d’une volonté de nuire à la médecine
d’HIPPOCRATE, voire d’un plan préprogrammé (Vidéo INA – archives françaises 1979
– ATTALI, conseiller d’Etat de tous les présidents français jusqu’à Macron – « L’ordre
cannibale »).

Ensuite, il appartient à ces décisionnaires de vérifier si les ordonnances, décrets, lois,


etc., ou tout texte pris par les dirigeants politiques, députés et sénateurs, dans le
but d’instaurer un contrôle de masse par l’imposition du « PASS SANITAIRE QR-
code » généralisé, de la suppression du secret médical, d’obliger la population de se
soumettre à l’inoculation d’un produit de l’ingénierie pharmaceutique
expérimentale ou à tout test RT-PCR, ne s’inscrivent pas en contradiction et en
infraction des textes internationaux qui garantissent les libertés et droits
fondamentaux imprescriptibles et inaliénables ratifiés par la France et dont
l’essentiel est transposé dans la législation française (1).

CONSEQUENCES :

Tout acte de licenciement ou de privation de salaire abusif imposé par ces


décisionnaires agissant par suivisme aveugle de toute loi et texte félons, dans la
mesure où ces lois et textes sont liberticides et délétères ne reposent sur aucun
fondement scientifique sérieux outre la manipulation des statistiques organisée afin
d’entretenir la peur, aura pour effet de les exposer nominativement à des
poursuites pénales. Ils seront dans ce cas également poursuivis pour complicité de
crime contre l’humanité devant la Cour pénale internationale dans la continuité de
l’action en cours.
D’autre part, ces décisionnaires sont informés qu’ils ne peuvent contraindre toute
personne à se soumettre au « PASS SANITAIRE QR-code » sur la base de tests
frauduleux tels qu’ils sont imposés ou à une « vaccination » de nature inconnue en
phase d’essais directs sur les populations par extorsion au consentement par
chantage dont la propagande est assurée par un conseil scientifique dont tous les
membres sont en conflit d’intérêts et relayée par des médias bénéficiant de
largesses des gouvernants sur les deniers du contribuable (4).

En conséquence, sous peine de poursuite, aucun décisionnaire ne peut s’arroger le


droit de licencier et de priver de salaire toute personne qui ne sera pas en mesure
de justifier d’un « PASS SANITAIRE QR-code » dès lors qu’elle se sera vue refuser
toute information écrite respectueuse d’un consentement libre et éclairé signée par
un professionnel de santé dans les conditions rappelées ci-après, sur fondement des
textes applicables en vigueur, autant en ce qui concerne les tests RT-PCR que la
« vaccination ».

RESPECT DU CONSENTEMENT LIBRE ET ECLAIRE

VACCINATION PAR UN PROFESSIONNEL DE SANTE


ou tout personnel bénéficiant d’une délégation pour agir
DECLARATION D’ENGAGEMENT DE RESPONSABILITE envers autrui
Etant rappelé que toute personne qui n’obtient pas cet engagement avant vaccination est en droit
de refuser ladite vaccination conformément aux textes en vigueur (1) ; que toute répression ou
tentative d’extorsion du consentement par chantage pour le maintien du droit au travail et au
salaire est passible de poursuite pénale sur le fondement de ces mêmes textes.

Je, soussigné :

Exerçant la profession de :
Médecin libéral : Médecin des hôpitaux ou cliniques :

Infirmier libéral : Infirmier des hôpitaux ou cliniques :

Autre (préciser) :

Après avoir pris connaissance de l’ensemble des textes internationaux et nationaux (1) concernant
le devoir d’information du personnel médical envers tout patient,

Atteste administrer, à titre de thérapie, un produit génique, improprement dénommé « vaccin »,


émis par le laboratoire suivant, dégagé de toute responsabilité sur les effets induits par effet
d’accord donné pour sa commercialisation par les autorités françaises et européennes :

* Pfizer/BioNtech : * Moderna :

* autre (préciser) :

Avoir au préalable vérifié que toutes les phases de contrôle scientifique et normalisé de ce
principe de thérapie, dite "vaccinale", ont été validées, permettant de garantir qu'il ne constitue
pas une expérimentation à l'insu de tout patient, (2)
J’affirme, par la présente déclaration, en toute conscience professionnelle, que l’administration
de ce «vaccin» est la solution la plus adaptée dans le contexte du Covid-19, pour :

Monsieur :

Madame :

J’atteste avoir informé mon patient en toute connaissance du contenu de cette thérapie, de son
fonctionnement et de l’ensemble de ses effets indésirables potentiels.

Je déclare assumer ma responsabilité civile et pénale personnelle si ledit patient devait subir un
quelconque effet indésirable pouvant aller jusqu’à un handicap dommageable, voire jusqu'au
décès de la personne. (3)

Date : Nom et signature :

(1) PRINCIPES CONCERNANT LE CONSENTEMENT LIBRE ET ECLAIRE DES MALADES ET PERSONNES :


A. Le droit international supérieur au droit national selon la hiérarchie des normes du droit :
Le code de Nuremberg, droit coutumier opposable aux Etats ;
Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques droits égaux et inaliénables ;
La Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme ;
La Convention sur les droits de l’homme et la biomédecine, signée à Oviedo le 4 avril 1997, en son article 5 ;
La Convention Internationale des Droits de l’Enfant de l’UNICEF ;
La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme ;
Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques ;
dont la France est signataire.

B. Le droit national :
L’article 16-3 du Code civil ;
L’article L1111-2 du code de la santé publique concernant les obligations incombant à tout professionnel de
santé dans sa relation avec toute personne qu’il soigne.
L’article L1111-4 du code de la santé publique ;
Les articles R4127-34, R4127-36, R42127-39 du code de la santé publique ;
Les articles 35, 36 du code de déontologie des médecins ;

(2) EN DROIT : Tout professionnel censé être compétent dans son domaine ne peut prétendre se soustraire
de ses responsabilités sous prétexte qu’il agit sur conseil ou sur ordre d’une autorité supérieure.

(3) Toute personne qui inocule à autrui une substance de nature inconnue et qui présente des incertitudes
au point de mettre en péril la santé d’autrui est passible de poursuite devant la juridiction pénale
internationale pour crime contre l’humanité.

(4) Voir plainte CSAPE devant la CPI (OTP-CR-271/21)

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