Benmoussa Mohammed

Niveau: 2 P.C. + 2 S.V.T MATH session normale (fuite) - corrigé - page

 
Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé direct O, i, j,k on considère les points :

A  2,1,0  et B  4,1,0 

1. Soit le plan  P  passant par le point A et u  i  j  k est vecteur normal à  P  . .………….…… ( 0,5 )
Montrer que : x  y  z  3  0 est une équation cartésienne du plan  P  .

1ère méthode :
On a le vecteur u  i  j  k ( encore le vecteur u  1,1, 1 ) est un vecteur normal au plan

 P  et le plan passe par A  2,1,0  .

D’où : M  x, y, z    P   AM.u  0

 x  2  1 
   
  y 1. 1   0
 z  0   1 
   
 1   x  2   1   y  1    1   z  0
 x  2  y 1  z  0
xyz3 0
Conclusion : x  y  z  3  0 est une équation cartésienne du plan  P  .
2ième méthode :
le vecteur u  1,1, 1 est un vecteur normal au plan  P  .

donc : une équation cartésienne du plan  P  est de la forme x  y  z  d  0 .

Sachant que le point A  2,1,0    P  d’où 1  2  1  1  1  0  d  0 par suite d  3 .

Conclusion : x  y  z  3  0 est une équation cartésienne du plan  P 

2. Soit  S  l’ensemble des points M de l’espace qui vérifie la relation : MA.MB  0 . ……….…..… ( 0,75 )
montrer que :  S  est une sphère de centre le point   1,1,0  et pour rayon 3 .
On a : MA.MB  0  AM.BM  0
 x  2  x  4
   
  y 1. y 1  0
 z  0  z  0
   
  x  2  x  4    y  1  y  1   z 2  0
 x 2  2x  8   y  1   z 2  0
2

 x2  2x  1  9   y  1  z 2  0
2

 x  1 2

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  x  1   y  1   z  0   9  3 2
2 2 2

La dernière écriture représente une équation cartésienne de la sphère de centre   1,1,0  et de rayon 3 .
Conclusion : la sphère  S  a pour centre le point   1,0,1 et pour rayon R  3 .

3. ..
a. Calculer la distance du point  au plan  P  et en déduire que le plan  P  coupe la sphère  S 
suivant un cercle  C  . .………………………………………………………………………….… ( 0,5 )
 
Calculer d ,  P  . 
1   1   1  1    1   0  3

On a : d ,  P    
3
 3 .
1  1   1 
2
2 2 3


Conclusion : d ,  P   3 . 
 Montrer que le plan  P  coupe la sphère  S  selon un cercle.

Puisque le rayon du sphère est R  3 et on a ; d ,  P     3  3 d’où le plan  P  coupe la

sphère  S  selon un cercle  C  .
Conclusion : le plan  P  coupe la sphère  S  suivant un cercle  C  .

b. Montrer que : le centre du cercle  C  est le point H  0, 2, 1 . .…………………………...… ( 0,5 )

Son centre est la projection orthogonale de  centre de  S  sur le plan  P  ou bien l’intersection
du plan  P  et la droite    passant par le centre  et orthogonale au plan  P  Donc :
 La droite    est orthogonale ( perpendiculaire ) au plan  P  .

 u  1,1, 1 est un vecteur normal au plan  P  .

 Donc : u  1,1, 1 est un vecteur directeur de la droite    et on a    passe par 

(   1,1,0      )

Par conséquence : une représentation paramétrique de la droite    est :

 x  1  1  t  1  t

 : y  1  1 t  1  t ; t  
 z  0  1  t   t
  
On détermine les coordonnées de H point d’intersection de la droite    et du plan  P  .
M   P 
M  x, y, z    P      
M    

x  y  z  3  0

  x  1  t
 
y  1  t
  z   t


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  1  t    1  t     t   3  0

 x  1  t
 
y  1  t
z  t

 3t  3  0

  x  1  t
 
y  1  t
  z   t

 x  1  1  0

D’où : t  1 et  y  1  1  2
 z  1   1

Donc : l’intersection de la droite    et le plan  P  est le point H  0, 2, 1 .

Conclusion : le centre du cercle  C  est le point H  0, 2, 1 .

4. Montrer que : OH  OB  i  4j  8k , en déduire la surface du triangle OHB . ………….…..… ( 0,75 )

 Montrer que : OH  OB  i  4j  8k .
Rappel :
 0  4 
   
On a : OH  2  et OB  1  .
  
u  v  xi  y j  zk  x'i  y ' j  z 'k 
 1   0  x   x' 
       
  y    y '
 0   4 
     z   z'
D’où : OH  OB   2    1  .    
 1   0   x i  y j  z k
   
2 1 0 4 0 4 y y' x x' x x'
 i j k  i  j  k
1 0 1 0 2 1 z z' z z' y y'
 i  4j  8k
Conclusion : OH  OB  i  4j  8k .
 En déduire SOHB la surface du triangle OHB .
La surface est donnée par la formule suivante :
1 1 1 1 9
SOHB   OH  OB  i  4j  8k   12  42  82   81  u.a  unité d'aire 
2 2 2 2 2
9
Conclusion : l’aire du triangle OHB est SOHB  u.a ( unité d’aire ) .
2

i. On considère le nombre complexe a tel que : a  2  2  i 2 .

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1. Montrer que : le module de a est 2 2  2 . ……………………………………………………..….... ( 0,5 )

On a : a  2  2  i 2

2 2  2
2 2


  4  4 2  2  2
 84 2


 4 2 2 
 2 2 2

Conclusion : le module de a est 2 2  2 .

  
2. Vérifier que : a  2  1  cos   2i sin . ………………………………………………….……...... ( 0,25 )
 4 4
    2 2
On a : 2  1  cos   2i sin  2  1    2 i
 4 4  2  2

 2 2  i 2  a
  
Conclusion : a  2  1  cos   2i sin .
 4 4
3. ..
a. Par la linéarisation de cos2  tel que  est un nombre réel , montrer que 1  cos 2  2cos2  ( 0,25 )
1ère méthode : on utilise l’écriture trigonométrique des nombres complexes ( avec z  1 ) .
z z
On pose : z  cos   i sin  et z  cos   i sin  d’où cos   .
2
Rappel du cours :

  
n n n
ein  e in  z n  z  2cosn et ein  e in  z n  z  2i sinn et ein  e in  z n  z 1.

z z 
2

Donc : cos 2    
 2 
  z 2  2zz  z 2 
1
4
  z 2  z 2  2zz 
1
4
  2cos  2   2  1 ;
1
4
 car z n
 z n  2cos  n  et z n z n  1 
  cos  2   1
1
2
Donc : cos    cos  2   1
2 1
2

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Conclusion : 1  cos 2  2cos2  .

2ième méthode : on utilise l’écriture exponentielle des nombres complexes ( avec z  1 ) .

i  i z z ei  e i
On pose : z  e et z  e et z  z  2cos  d’où cos    cos   ( d’après
2 2
formule d’Euler ) .
2
 ei  e i 
Donc : cos    2

 2 

1
4
2
 
ei  2eie  i  e  i  
2

1

 e 2i  2eie  i  e 2i
4

1
  
 e 2i  2ei i  e2i ; car ein  e  in  2cos n et ein  e in  1
4

1 
  e 2i  e 2i  2e 0 
4 

  2cos  2   2 
1
4
  cos  2   1
1
2
  
b. Montrer que : a  4cos 2  4i cos sin ( on rappelle que sin 2  2cos  sin  ) . ……….... ( 0,5 )
8 8 8
On a :
    
a  2  1  cos   2i sin ;   2 
 4 4 4 8
       
 2  1  cos  2     2i sin  2   ;  1  cos 2  2cos 2  et sin 2  2cos  sin  on pose   
  8   8  8
        
 2  2cos 2     2i  2sin   cos   
  8   8  8 
  
 4 cos 2    4i sin   cos  
8 8 8
  
Conclusion : a  4cos 2  4i cos sin .
8 8 8
  
c. Montrer que : 4cos  cos  i sin  est la forme trigonométrique du nombre a puis montrer que
8 8 8

 i
4
a  2 2 2
4
. ………………………………………………………………………………..... ( 0,5 )

  
 Montrer que : 4cos  cos  i sin  est la forme trigonométrique du nombre a .
8 8 8

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  

On a : a  4 cos 2    4i sin   cos  
8 8 8
         π 
 4cos   cos    i sin    ;  on factorise par 4cos   
 8   8   8    8 
   
D’autre part : 0   donc cos  0 d’où : 4cos    0 d’où : a est de la forme
8 2 8 8

r  cos   i sin   à condition que r  0 et on a : r  4cos  0 .
8
  
Conclusion : 4cos  cos  i sin  est la forme trigonométrique du nombre a .
8 8 8

 i
4
 Montrer que a  2 2  2
4
.

     
On a : a  4cos  cos  i sin   4cos ,  .
8 8 8  8 8

D’après les question précédentes on a : a  2 2  2 et a  4cos  
8

Donc : 2 2  2  4cos  0
8
4
    
a   4cos  cos  i sin  
4

 8 8 8 
    
4
 
  4cos    cos 4   i sin 4   
 8   8 8 
 
4
  
  4cos   cos  i sin 
 8  2 2

     
4
 4
  4cos  i  2 2  2 ;  car a  2 2  2 et a  4cos   
 8   8 

 i
4
Conclusion : a4  2 2  2 .

ii.  
Dans le plan complexe  P  rapporté à un repère orthonormé direct 0,u, v , On considère les points

 et A d’affixes respectives  et a tel que   2 et a  2  2  i 2 , et la rotation R de centre le


point  et d’angle .
2
1. Montrer que l’affixe b du point B est l’image du point A par la rotation R est égale à 2i . ….…..... ( 0,5 )
L’écriture complexe de la rotation R est de la forme : z'    z    e
i


( avec   2 est l’affixe du point  centre de la rotation et   est l’angle de la rotation R ) .
2

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
D’où : z '    z    e
i
2

    

Donc : z ' 2  z  2   cos   

 2
 i sin   
 2 
    
 
z'  z  2  i  2 ;  car

 cos    0 et sin    1  
  2  2 
z'  iz  i 2  2
D’où : L’écriture complexe de la rotation R est z'  iz  i 2  2
Conclusion : z'  iz  i 2  2 .
On pose que : le point B d’affixe b ' est l’image du point A par la rotation R on prouve b'  b  2i .
R  A   B  b'  ia  i 2  2


 b'  i 2  2  i 2  i 2  2 

 b'  2i  i 2  
2 i 2 2

 b'  2i
D’où : b'  2i  b
Conclusion : l’affixe b du point B est l’image du point A par la rotation R est égale à 2i .
2. Déterminer l’ensemble des points M d’affixe z qui vérifie z  2i  2 . …………………………..... ( 0,5 )
On a : z  2i  2  ZBM  2 ; Z BM
affixe du vecteur BM 
 BM  2
 BM  2
D’où : l’ensemble des points M d’affixe z qui vérifie z  2i  2 est l’ensemble des points du plan

complexe situés à une distance fixe qui est égale à 2 du point M .

Conclusion : l’ensemble des points M est le cercle de centre le point B et pour rayon 2 .

On dispose de deux urnes U1 et U 2 .

 L’urne U1 contient sept boules tel que quatre boules rouges et trois boules vertes .
 L’urne U 2 contient cinq boules tel que trois boules rouges et deux boules vertes .

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1. On considère l’expérience suivante : On tire au hasard et simultanément trois boules de l’urne U1

Soient les événements suivants :
 A « on obtient une seule boule rouge et deux boules vertes »
 B « on obtient trois boules de même couleur »
12 1
Montrer que : p  A   et p  B   . ……………………………………………………………. ( 2 )
35 7
12
 Montrons que : p  A   .
35
 On calcule card : (ou encore le nombre des tirages possibles ).
Tirer simultanément 3 boules parmi les 7 boules de l’urne U1 présente une combinaison de 3 parmi 7
d’où le nombre des tirages possibles est le nombre des combinaisons de 3 parmi 7 ce nombre est :
7 6 5
card  C73   35 .
1 2  3
donc : card  C73  35 .
 On calcule cardA : ( le nombre des tirages qui réalisent l’événement A ) .
l’événement A « on obtient une seule boule rouge et deux boules vertes »
 Tirées une boules rouges parmi 4 boules rouges de l’urne U1 il se fait par C14  4 façons différentes
3 2
 Tirées deux boules vertes parmi 3 boules vertes de l’urne U1 il se fait par C23  façons différentes
1 2
Donc le nombre des tirages qui réalise l’événement A est C14  C32  4  3  12
donc : cardA  C14C23  12 .
cardA C14C23 4  3 12
Conclusion : p  A      .
card C73 35 35
1
 Montrons que : p  B   .
7
 On calcule cardB : ( le nombre des tirages qui réalisent l’événement B ) .
l’événement B « on obtient trois boules de même couleur »
ou encore l’événement B est « les 3 boules tirées sont vertes ou les 3 boules tirées sont rouges » .
les 3 boules tirées simultanément sont vertes parmi 3 boules vertes de l’urne U1 on a : C33  1
les 3 boules tirées simultanément sont rouges parmi 4 boules rouges de l’urne U1 on a : C43  C14  4 .
D’où : cardB  C33  C43  1  4  5
cardB C33  C43 1  4 5 1
donc : p  B       .
card C73
35 5 7 7
12 1
Conclusion : p  A   et p  B  
35 7
2. On considère l’expérience suivante : On tire au hasard et simultanément deux boules de l’urne U1 puis
on tire une boule de l’urne U 2 .

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6
 Soit l’évènement C « on obtient trois boules rouges »Montrer que : p  C   . …………. ( 1 )
35
 On calcule card ' ( car on a une autre expérience )
76
 On tire simultanément deux boules parmi 7 boules de l’urne U1 il se fait par C72   21 façons
1 2
différentes .
 On tire une boule de l’urne U 2 parmi 5 boules de l’urne U 2 il se fait par C15  5 façons différentes .
 Donc : card '  C72  C15  21  5  105
 On calcule cardC : ( le nombre des tirages qui réalisent l’événement C ) .
Soit l’évènement C « on obtient trois boules rouges »
ou encore C « On tire simultanément deux boules rouges de l’urne U1 et une boule rouge de l’urne U 2 »

On tire simultanément deux boules rouges parmi 4 boules rouges de l’urne U1 il se fait par
4 3
C42   6 façons différentes .
1 2
On tire une boule rouge de l’urne U 2 parmi 3 boules rouges de l’urne U 2 il se fait par C13  3 façons
différentes .
Donc : cardC  C42  C13  6  3  18
cardC C42  C13 6  3 6 3 6
donc : p  C    2    .
card ' C7  C5 105
1
3  7  5 35
6
Conclusion : p  C   .
35

1
On considère la fonction numérique f définie par : f  x   .
x  1  ln x 

 
et soit  Cf  la courbe représentative de la fonction f dans un repère orthonormé O, i, j ( unité de 2 cm ) .

I.
1. Montrer que : Df  0,e e,  ( Df ensemble de définition de la fonction f ) . …….………. ( 0,5 )
On a : x  Df   x  0 et x 1  ln x   0 
 x  0 et x  0 et 1  ln x  0
 x  0 et ln x  lne
 x  0 et x  e
 x  0,e e, 
Conclusion : l’ensemble de définition de la fonction f est : Df  0,e e,  .
2. ..
a. Calculer : limf  x  et limf  x  puis interpréter géométriquement ces deux résultats . …….. ( 0,75 )
x e x e
xe xe

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 Calculer : limf  x  et limf  x  :

x e x e
xe xe

 On détermine le signe de 1  ln x :
on a : 1  ln x  0  1  ln x
x 0 e 
 ln e  ln x 1  ln x  0 
ex
1
 lim f  x   lim   car lim1  ln x  0 et lim x  e .
x e
xe
x e
xe
x  1  ln x  x e
x e
x e
xe

1
 lim f  x   lim   car lim1  ln x  0 et lim x  e .
x e
xe
x e
xe
x  1  ln x  x e
x e
x e
xe

Conclusion :  limf  x  =   et limf  x   

x e x e
xe xe

 Interpréter géométriquement ces deux résultats .

Conclusion : la droite  D  d’équation x  e est une asymptote verticale à  Cf  .

b. Calculer : lim f  x  , puis en déduire que : la courbe Cf

x 
  admet une asymptote au voisinage de
 dont on déterminera sa direction . …….…………………………………..…….…….…..…. ( 0,5 )
 Calculer : lim f  x  :
x 

1
 lim f  x   lim  0 car lim1  ln x   .
x  x  x  1  ln x  x e
xe

Conclusion : lim f  x   0 .
x 

 En déduire que : la courbe Cf   admet une asymptote au voisinage de  :

Conclusion : La courbe  Cf  admet une asymptote horizontale est la droite d’équation y  0

au voisinage de  ( ou encore l’axe des abscisses est une asymptote

horizontale à  Cf  au voisinage de  .

c. Montrer que lim f  x    puis interpréter géométriquement ce résultat ( pour calculer

x0
x 0

lim f  x    on remarque x 1  ln x   x  x ln x ) . …….……………………........…………. ( 0,5 )

x0
x 0

 Montrer que lim f  x    :

x0
x 0

1 1
 limf  x   lim  lim   car lim x ln x  0 et lim x ln x  0 et lim x  0 .
x0 x  0 x  1  ln x  x  0 x  x ln x x0 x0 x0
x 0 x 0 x 0 x 0 x 0 x 0

 Interpréter géométriquement ce résultat :

Conclusion : La courbe  Cf  admet une asymptote verticale la droite d’équation x  0 .
3. ..

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ln x
a. Montrer que : f '  x   pour tout x de Df . …….………………….……….…..…. ( 0,75 )
x  1  ln x 
2 2

On a la fonction f est dérivable sur Df car elle est la produit et quotient de plusieurs fonctions dérivables sur Df
'
 1 
On a : f '  x    
 x  1  ln x  
  x  1  ln x   '

 x 1  ln x  
2

 1
1  ln x  x    
  x
 x 1  ln x  
2

 ln x ln x
 
x 2  1  ln x  x 2  1  ln x 
2 2

ln x
Conclusion : f '  x   pour tout x de Df .
x2  1  ln x 
2

b. Montrer que la fonction f est décroissante sur 0,1 et la fonction f est croissante sur 1,e et e, 
. …………………………………...………………………………….…………………………..………. ( 1 )
 Le signe de f ' est le signe de ln x sur Df .
Sachant que : ln x  0 sur l’intervalle 0,1 donc f  x   0 ( avec f  1  0 ) d’où f est
' '

strictement croissante sur 0,1 .
Sachant que : ln x  0 sur l’intervalle 1,  donc f  x   0 sur chacun des intervalles
'


1,e et e,  d’où f est strictement croissante sur chacun des intervalles 1,e et e,  .

Conclusion : f est décroissante sur 0,1 et la fonction f est croissante sur 1,e et e,  .

c. dresser le tableau de variations de la fonction f sur Df . ……………………..……….……...…. ( 0,25 )

x 0 1 e 
f'  0  
  0
f
1 
II. ..
Soit la fonction f définie sur 0,  par : g  x   1  x 1  ln x  .
2

Et soit Cg   est la courbe représentative de f dans un repère

orthonormé (voir la figure ) .
1. ..

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a. Déterminer graphiquement le nombre des solutions de l’équation

suivante  E  x  0,  , g  x   0 . ……. ( 0,5 )

Donc on cherche l’intersection de la courbe  C  de g avec l’axe des abscisses graphiquement le

g

nombre des points d’intersection est 2 .

Conclusion : l’équation  E  a deux solutions :

b. On donne le tableau suivant :
2,1 2, 2 2, 3 2, 4
montrer que l’équation  E  admet une solution 
x
g  x 0,14 0, 02 0,12 0, 28
tel que 2, 2    2, 3 . …….……..……….……. ( 0,5 )
 Graphiquement la fonction g est continue sur  2, 2;2, 3 .
 D’après le tableau : g  2, 2   g  2, 3   0,02  0,12  0 .
 En appliquant le théorème des valeurs intermédiaires d’où il existe un réel  de 2, 2;2, 3 tel que g     0

Conclusion : l’équation  E  admet une solution  tel que 2, 2    2, 3 .

2. ..
g  x
a. Vérifier que : f  x   x  pour tout x de Df . …….……………………...….………. ( 0,25 )
x  1  ln x 
1
On a : f  x   x  x
x  1  ln x 
1  x 2  1  ln x 

x  1  ln x 
g  x

x  1  ln x 

g  x
Conclusion : f  x   x  pour tout x de Df .
x  1  ln x 
b. Montrer que la droite    d’équation    : y  x coupe la courbe  Cf  en deux points d’abscisses
respectives 1 et  . …….…………………...……………………………….…..……. ( 0,5 )
On étudie l’intersection de la courbe  Cf  et la droite d’équation y  x pour cela on résout
g  x
l’équation : x  Df : f  x   x ou encore x  Df : f  x   x  0 c’est-à-dire x  Df : 0
x  1  ln x 
ou encore x  Df , g  x   0 .
Graphiquement on a deux solutions et d’après ce qui précède g     0 et g  1  0 .

Conclusion : la droite    d’équation    : y  x coupe la courbe  Cf  en deux points respectives

1 et  .

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c. A partir de la courbe Cg   , déterminer le signe de g sur 1,  et montrer que f  x   x  0 pour

tout x de 1,   . …….…………………...………………………………………...…………….……. ( 0,5 )
 Déterminer le signe de g sur 1,   :
Sur l’intervalle 1,  : on a g  x   0 ( avec g  1  0 et g     0 ) ou encore sur 1,   on a g  x   0 .

Conclusion : g  x   0 sur 1,   ( avec g  1  0 et g     0 ) .

 Montrer que f  x   x  0 pour tout x de 1,   .

Sur l’intervalle 1,   on a g  x   0 et f  x  

1
 1  0 ( le tableau de variations de la
x  1  ln x 
fonction f sur 1,e et on a : 1,   1,e .
f  x0
g x   0
g  x 1
d’où f  x   x    g  x   0 pour tout x de 1,   .
x  1  ln x  x  1  ln x 
Conclusion : f  x   x  0 pour tout x de 1,   .

 
3. Construire dans le même repère O, i, j la courbe  Cf  de f et la droite    . …….….………. ( 1,25 )

4. ..

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1
1 1

e
a. Montrer que : dx  ln 2 ( on remarquera  x pour tout x de Df ) .
1 x  1  ln x  x  1  ln x  1  ln x
…….…………………...…………………………………………………………………...…………. ( 0,75 )
On a :
1
1
 dx  
e e
x dx
1 x  1  ln x  1
1  ln x 

  1  ln x  '

e
dx
1
 1  ln x 
e
   ln 1  ln x  1

   ln 1  ln e    ln 1  ln1   ;  ln 1  ln 1 
e  ln 1  ln e et ln e  1 et ln1  0 
2 
 1   1 
   ln    ln1  ;  ln     ln 2 
  2    2 
 ln 2
1
Conclusion : 
e
dx  ln 2 .

1 x 1  ln x

b. Calculer en cm 2 l’aire du domaine plan limité par la courbe  Cf  et la droite    et les droites
d’équations x  1 et x  e . ………………………………………………………..……………. ( 0,75 )
La surface demandée à calculer en cm 2 est : ( avec unité : 2 cm donc i  j  2 cm )

 e f x  x dx   i  j   e x  f x dx   i  j cm 2
 1     1     ( car  Cf  est au-dessous
   
    x  f  x  dx   2  2 cm 2 de    sur 1, e  )
e

 1 
e 1 
 4     x dx cm 2
 x  1  ln x  
1

 e 1 
 4   dx   xdx  cm 2
e

 
1 x 1  ln x
 1

1
 4   4  xdx cm 2
e e


1 x 1  ln x
 1
e
1 
 4 ln 2  4  x 2  cm 2 ;  d’près question précédente 
 2 1
 4 ln 2  2  2
e  12  cm 2

 4 ln 2  2e  2 cm 2

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Conclusion : la surface demandée est  4ln 2  2e  2  cm .

2

I. ..
On considère la suite  un  définie par u0  2 et un1  f  un  pour tout n de .

1. Montrer par récurrence que : 1  un   pour tout n de . …………….….…….…..……..…… ( 0,5 )

On note la relation : 1  un   par  1
 On vérifie que la relation  1 est vraie pour n  0 .
on a : 1  u0  2    avec : 2, 2    2, 3 d’où la relation  1 est vraie pour n  0 .
 On suppose que la relation  1 est vraie pour n ou encore 1  un   est vraie ( hypothèse de récurrence ) .
 On montre que : la relation  1 est vraie pour n  1 . ( ou encore à démontrer que 1  un1  
d’après hypothèse de récurrence on a : 1  un   ou encore un  1, 
Donc : 1  un    f 1  f  un   f    ( car la fonction est croissante sur 1,   et un  1,  ) .

 1  un  1   ( f  1  1 et f      puisque  Cf  coupe    d’équation

y  x aux points d’abscisses x0  1 et x0   (question 2- b-)
et un1  f  un 
D’où : la relation  1 est vraie pour n  1 .

Conclusion : 1  un   pour tout n de .

2. Montrer que la suite  un  est décroissante ( on pourra utiliser le résultat de la question II 2 ) c - ) ( 0,5 )
Pour cela on montre que : un1  un pour tout n de ( ou encore un1  un  0 )
Soit n de , on pose x  un et on a un  1,  car 1  un   ( question précédente )
D’après le résultat de la question II ) 2 ) c - ) on a : que f  x   x  0 pour tout x de 1,  
Donc : f  x   x pour tout x de 1,   .
D’où : x  1,   f  x   x
 f  un   un ;  un  x et 1  un   
 un  1  un ; u n 1  f  un  
Donc : un1  un

Conclusion : la suite  un  est décroissante .

Remarque : on peut utiliser une démonstration par récurrence ( on montre que pour tout n de
un  1  un ) .
3. En déduire que  un  est convergente .et déterminer la limite de la suite  un  . ………..…… ( 0,75 )
 En déduire que la suite  un  est convergente.
On a :
  
la suite un est décroissante .
 la suite  un  est minorée ( puisque 1  un   ) .

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 d’après une propriété la suite un   est convergente .( tel que sa limite sera notée l avec l  )

Conclusion : la suite  un  est convergente .

 On déterminer sa limite l :
  
la suite un est de la forme un1  f  un  .
 la fonction f est continue sur I  1,   et f  I   I . ( f  I   f 1 ,f 1   1,   I  1,  ( car
f est continue et croissante sur I  1,   et on a : f  1  1 et f      ) ).
 On a : u0  2  1,  .  avec : 2, 2    2, 3 
  
la suite un est convergente vers l avec l  .
donc l est solution de l’équation : x  I  1,  ; f  x   x ( d’après une propriété )
pour résoudre l’équation f  x   x sur l’intervalle 1,   on étudier l’intersection de la courbe

 Cf  et la droite    d’équation y  x sur 1,   .

d’après le résultat d’une question on a (  Cf  coupe    aux points d’abscisses x  1 et x   ) .

on cherche la solution qui convient parmi x  1 et x   ( car les deux appartiennent à 1,   .

   est décroissante donc : u

la suite un 0  u1  u2 ....  un d’où : u0  un par suite u0  2  un

on obtient : un  2   donc tous les termes u n de la suite un   sont inferieurs à 2

par conséquence : la limite de la suite est inférieure à 2 , d’où x   ne convient pas d’où la
solution qui convient c’est x  1 .
Alors la solution de l’équation précédente est : x  1  1,  donc l  1

Conclusion : lim un  1.
n 

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