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Communiqué de presse

Atlas Phaidon de l’architecture


mondiale du XXIe siècle

310 x 450 mm
800 pages
Illustrations : 4 600 couleur,
2 100 dessins au trait

Relié sous coffret


978 0 7148 5617 9

150 €

Tous les bâtiments les plus


remarquables du XXIe siècle

Fait suite au fantastique


succès du premier Atlas Phaidon
de l’architecture

« Il n’y a rien de comparable.


L’Atlas Phaidon a changé la manière
de se tenir informé de ce qui
se fait de nouveau en
architecture. »
Deyan Sudjic, directeur du Design
Museum, Londres, Royaume-Uni

« Aussi détaillé que vaste,


l’Atlas est une référence
indispensable en matière
d’architecture contemporaine. »
Richard Meier, architecte

« Il est à la fois incroyable


et rassurant de savoir que, grâce
à Phaidon, aucune œuvre
architecturale intéressante ne peut
rester inconnue, où qu’elle
se trouve dans le monde. »
John Pawson, architecte

Contact presse : Parution :


Julien Despinasse, chargé de communication
Téléphone : + 00 33 (0)1 55 28 38 35
E-mail : jdespinasse@phaidon.fr
22 octobre 2009
Atlas Phaidon de l’architecture mondiale du XXIe siècle

L’Atlas Phaidon de l’architecture mondiale du XXIe siècle propose une sélection de plus de 1 000 réalisations architecturales
remarquables, bâties depuis 2 000 sur les cinq continents. Il fournit ainsi une source d’inspiration inépuisable pour
tous ceux qui s’intéressent à l’environnement bâti de notre époque et à son devenir.

Un chantier de trois ans

Cet ouvrage est le résultat de trois années de travail et de la collaboration entre de nombreux spécialistes
de l’architecture originaires du monde entier. Au cours des premières étapes du processus de recherche, des
universitaires, historiens, conservateurs, journalistes et architectes internationaux ont désigné les différents
édifices dont ils avaient le sentiment qu’ils proposaient une vision forte de la culture architecturale contemporaine.
Parallèlement, une étude minutieuse des revues internationales d’architecture a permis de dresser une première
liste de près de 4 000 bâtiments.

Pour établir le processus de sélection, il a été décidé de ne pas appliquer de critères absolus et stricts. Chaque projet
a été réexaminé sur la base de sa contribution à la discipline architecturale, sans restriction de surface, maîtrise
d’ouvrage, budget, matériaux ou encore localisation. Après avoir réalisé une analyse approfondie et débattu des choix,
une liste définitive de 1037 projets a pu être établie. C’est cette sélection qui constitue les fondations de l’Atlas
Phaidon de l’architecture mondiale du XXIe siècle.

Une nouvelle géographie du monde

Les premières pages de l’ouvrage présentent quatre cartes du monde à grande échelle reproduites sur doubles-pages.
Réalisées à partir de données et de recherches de la London School of Economics, ces cartes montrent les grandes
tendances d’évolution de l’architecture mondiale. L’une montre les connexions internationales entre le lieu d’origine
des architectes et leurs projets, l’autre indique la localisation des projets présentés en relation avec la densité
de population par région géographique. Une troisième met en perspective l’empreinte carbone par pays et des données
sur le changement climatique. La dernière met en relation croissance de la construction et richesse nationale.

Chaque continent est introduit par une double-page comprenant une carte pour localiser les différents pays, accompagnée
de données démographiques clés : population actuelle et prévisionnelle (2030), croissance démographique dans les vil-
les les plus peuplées, corrélation entre le nombre des architectes en activité et celui des étudiants en architecture.

Parmi les données clés pour chaque projet présenté, l’Atlas indique les coordonnées qui permettent de localiser
le bâtiment via le site Google Earth. Le bâtiment le plus septentrional, par exemple, est le Centre scientifique
de Svalbard en Norvège (78.219769 -15.629674) ; le plus méridional est l’hôtel l’Indigo Patagonia, situé à Puerto
Natalas, au Chili (coordonnées : -51.7325 -72.505).

Une fenêtre sur le monde architectural du début du XXIe siècle

L’Atlas Phaidon de l’architecture mondiale du XXIe siècle dévoile le meilleur de l’architecture aujourd’hui à travers une
somptueuse iconographie. Pour chaque projet, l’Atlas donne les données clés – maître d’ouvrage, superficie, coût –
et analyse dans un texte clair et précis les singularités du projet. Des photographies extérieures et intérieures, des
plans, coupes et élévations permettent de comprendre chaque projet.

Les styles architecturaux présentés sont bien sûr très variés mais pour chaque réalisation, la réponse apportée par
le ou les architectes, que ce soit pour une création ex nihilo ou une extension, est toujours convaincante et pertinente,
en adéquation avec un cahier des charges, des contraintes topographiques et budgétaires ou encore une culture
architecturale locale à respecter. L’Atlas donne ainsi une idée de l’actualité architecturale dans des pays aussi différents
sur le plan géographique, climatique, économique et culturel que l’Australie, l’Indonésie, la Chine, le Mozambique,
l’Iran, la Lituanie, le Pérou, le Brésil ou le Canada. Dans ce même volume, des constructions gigantesques telles que
l’aéroport de Pékin par Foster + Partners, d’une superficie de 1 300 000 m2 côtoient des constructions de taille
plus modeste, parmi lesquelles la maison de thé à Minamitsuru au Japon, la plus petite réalisation présentée dans
l’Atlas, avec ses 6 m2.
Face à une démographie urbaine en pleine croissance et à un prix au mètre carré de plus en plus cher, une tendance
à l’architecture « extra-small » se dégage dans l’Atlas, notamment dans les pages consacrées au Japon. Les architectes
japonais rivalisent d’ingéniosité pour concevoir des logements confortables sur de très petites surfaces : Shuhei Endo
Architect Institute pour la maison Rooftecture S, Mount Fuju Architects Studio pour l’atelier XXXX ou l’Atelier
Bow-Wow pour la Maison tour.

Plus un architecte n’ignore aujourd’hui qu’il faut construire autrement pour consommer moins d’énergie, mieux vivre
collectivement et que la qualité de l’architecture sera le gage de sa durabilité. Un grand nombre de projets inclus
dans l’Atlas, depuis les immeubles de bureaux aux maisons individuelles, illustrent cette prise de conscience. Au Cap,
le siège de BP, réalisé par Martin Kruger Associates en est un bon exemple : l’enveloppe du bâtiment, un montage
de pièces détachées assemblées de manière à articuler chaque façade en fonction de son exposition au soleil, contribue
largement à la performance environnementale du bâtiment. Un tiers des eaux usées est recyclé avec l’eau de pluie
récupérée de la toiture et des aménagements paysagers en dur. Cette eau filtrée au sable est utilisée pour les chasses
d’eau et l’irrigation des plantations paysagères. À Alvik, en Norvège, un cabanon de bois a été construit en veillant
à préserver les arbres d’origine présents sur le terrain. Afin de ne pas nuire à la végétation, la plate-forme a été posée
sur de petits supports invisibles. Autre attention portée à l’environnement, les toilettes fonctionnent au compost
et l’isolation est à base de journaux recyclés.

Certains architectes ou agences d’architecture les plus talentueux du monde ont plus de 5 réalisations sélectionnées
dans l’ouvrage. C’est le cas pour Foster + Partners, Herzog & de Meuron, OMA, SANAA, Renzo Piano,
John Pawson, Alvaro Siza, Jean Nouvel, Kengo Kuma, Daniel Libeskind, David Chipperfield, Tadao Ando ou encore
Foreign Office.
Mais à côté de ces très célèbres architectes, l’Atlas révèle aussi le travail d’agences ou d’architectes méconnus : Mansilla
+ Tuñon Arquitectos, en Espagne, qui ont conçu le Musée MUSAC aux façades multicolores ou Isay Weinfeld,
architecte de plusieurs splendides maisons aux lignes épurées au Brésil.

Une orientation simplifiée par des codes graphiques clairs

Pour repérer et hiérarchiser les informations foisonnantes de l’ouvrage, une conception graphique claire a été établie.
Un code couleur permet une navigation fluide à travers les pages. Six régions géographiques (Océanie, Asie, Europe,
Afrique, Amérique de Nord, Amérique de Sud) on été définies et une seule et unique couleur pour chaque région est
reprise sur l’ensemble du contenu de l’ouvrage : sommaire, index et tranches des pages. Les catégories de bâtiments
sont symbolisées par des abréviations générales rassemblant les projets sous une fonction : « LOG » pour l’habitat rassem-
ble les complexes résidentiels, les logements sociaux et les maisons individuelles. « CULT » pour « Culturel » identifie
les bâtiments tels que musées, galeries, centres d’art, ateliers d’artistes ou bibliothèques. L’abréviation « TRAN » est
utilisée pour les infrastructures de transports telles qu’aéroports, équipements fluviaux, gares ferroviaires et routières.
Lorsque plusieurs projets d’un même architecte ont été sélectionnés, un système de renvois permet d’aller découvrir
les autres bâtiments de ce concepteur.

L’Atlas Phaidon de l’architecture mondiale du XXIe siècle s’adresse aux architectes, aux ingénieurs et à tous les corps de métiers
reliés de près ou de loin à l’architecture, mais aussi à tous les curieux : l’ouvrage donne en effet à l’architecture un visage
concret, accessible et palpable, rappelant qu’elle façonne l’espace et le mode de vie des hommes.
Sélection de visuels disponibles pour la presse (d’autres visuels sont disponibles sur demande) :

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