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Acsimut - 1140 rll Amptrc - 13795 Aix -cn -Pro\ ence Cedex 03
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leu; on e d d ~ o u v r e le cO/7- s dé j'a aire. Jl{ais aussi son propre corps. 7.]aùers, ejJ1ellr
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péllélra iolls, élreù}/es lem res ou orridés je J ( âma C5 tHra es //1 manuel mOllreŒI. inchSpensab./è 1
v
:; i .
souvent encore, le seul nom du Le Kâma Sûtra n'est. en fait. ni l'un ni l'autre.
W Kâma Sûtra reste lié dans l'imaginaire Ce Livre de l'Amour. car c'est ainsi que le traduit
du p us grand nombre, à une suite d'estampes où l'historien Jean Papin. constitue l'une des pierres
postures étranges. des corps enchevêtrés et philosophie. témoin du passé. ouvrage sociolo
ahanant de concert. des unions contre-nature .. gique patiné d'humour et de sarcasmes. Mais aussi
Pour les plus avertis en matière de sexualité, manuel éducatif. guide de savoir-vivre pour les
le Kâma Sûtra n'évoque. en revanche. rien de ces notables raffinés et les courtisanes.
courtisanes. codes religieux,
orgies. À l'ère de l'image audiovisuelle et de juridique et moral. Et. bien évidemment. ouvrage
(
l'Internet. ce vieux livre n'est b ~ o l u m e n t pas syno 6:otique
amoureuses vues et revues. des enluminures naïves Tou tefois. s ur les sept chapi res
fleurant l Orient et d'un exotisme suranné. qui composent le Kâma Sûtra.
des statues poussiéreuses surprises en pleine copu notre civilisation occidentale n'en a retenu qu'un:
un ~ r i a p i l m e salutaire. amoureuses
f
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à b t t o e ~ ~
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e ra lie co .
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De CXtes aYallt . g Un des
pIUS gue J • tral â }
. relatiolls h ecritllre existe L erOtisme.
c, : ôr l~e le; i .
Kâm: S ù t r ~ Oi , i o ~ r . l In d, 64 paragraphes. tout ce qu
qu il est bon de savoir. pour c arllelles il ins . : e thème des
aUteu
rs. rOmall . pIre de m l '
at~e1Dt lapogee , cle sO\ll age cl or sous un jeune individu. à propos de l amour et de ses âges et 10 CIers et p o è t e s U tsple s
lJ.1 alltour d . a travers 1
U globe. es
le règne des rois Gupta. Politique. arts. culture ct mystères. Avant que ne soit entreprise
entreprise cette tâche Ainsi.oll . .
.1 P peUt CIter. d
florissants. À cette époque faste.
é - c o ~ b m i ~
l ~ 9 *
colossale. il existait cependant de nombreux textes il il
ver8es
rév e r t
lA: : a1l8
APOlllllair e (L illJ eatalre
1I11 v • •
J, e 'Ylar lJ J 000
exempte de .. tout excès de puritanisme. rien ne sur ce sujet. Le premier était l œuvre de Shiva et 011 les mali , . g lS de Sade .' , il
L Cs c1l all CUrs de 1a vertu)
vertu) p
IIStlll e
semble p ~ u v o i r bouleverser c e t t e b ~ n n e marche du comportait 1 000 chapitres réunis sous le nom de S SOllS dc B l ,
{ OlllJets lu.
lu. , 1 litS). LI1 ' .
. lerrc L
OU);s
;.
( Em Xurteux) BI ' retJlI
monde. Sur le plan érotique. lescho,
lescho,;f s de l amour. ct K âma Shâstra
Shâstra.. Le second traité avait été écrit par ( F: melle-moï au 10 aIse C endrars
melle-
mmanlJeJl A
l
Ut du mOlld )
tout ce qui encadre l acte a m o u r e u ~ : s o n t codifiées. Shvétakctu Auddalaki. A I' R e rsall (E. e•
lDa e) es L b mmillluelle)
d é d r a m a t i s é e ~ , e x p l i q u é e ~ aux 1 e u ~ e s gens de façon Cet ouvrage. le premier à affirmer qu il ne {aut pas . Bde nOn Jbr.elJx poe' OUc11 er) ,malS. alJ ..
. . allde1aire F Cmcs de VCrl a' . SSl
• rancis C . lIe.
simple et p é d a ? o g ~ q u e . L érotisme ri est alors. tout coucher avec la femme d autrui. et à définir ainsi . . atco, ctc.
comme la peinture ou l architectüif. qu une forme plus formellement la notion de couple amoureux.
d art p.arrrii tant d alltTes. Elle participe de la création comportait encore 500 chapitres. Mû sans doute par
, d un être instruit et raffiné. souvent membre des un désir légitime de syntJlétisation. un nommé
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d. . . 'el' devant li n o b i de c iosi/rJ. '1" 1 / J O l i.' fI"
n7J vec c S J àOl0 dû/pa.. IIOUS s O l u n e s
dû/pa Olle 1 . Ise el u/
lle IW I J ./
lf1J1 J en que les différentes versions du Kâma Sûtra. Deux ans plus tard, en France: cette fois, cc texte traduit
UiJ et notamment celle de Vâtsyâyana, aient par Théodore Lisieux déchaînera la même réaction de
Il faudra en effet attendre: 1883 pour que le linguiste et descriptions scabreuses et ont - volontairement ?-
anthropologue Richard Burton publie sa traduction des ignoré toutes les richesses intrinsèques de cette œuvre.
Kâma Sûtra dans l'Angleterre victorienne. Figée dans En fait. c'est grâce à la révolution de la fin des années 196
un puritanisme alors à son summum, la Great Albion que le Kâma Sûtr a sera enfin reconnu par les intel1ectuds
reçut cet ouvrage comme un camouflet à la vertu et aux comme un ouvrage d'une importance primordiale •
cc recueil de sût ras (aphorismes versifiés destinés à être appris par cœur par
; é1ève et commentés par le maître
maître)) , Vâtsyâyana s'adresse
s'adresse en priorité
pri orité aux nobles
nobles
Sur sa lancée. il porte aussi au pinacle l'art des courtisanes (ct non pas des pros
tituées) qui. pour lui. constituent fun des maillons essentiels et les plus nobles
de J'Inde ancienne, soucieux de mener une vie équilibrée et en harmonie avec les de la société indienne.
indienne.
trois idéaux d'alors : le Dharma ( acquisition de la vertu ct du mérite religieux)
religieux). Enfin. Vâtsyâyana insiste aussi très clairement sur la nécessité pour les femmes. du
l'Artha (acquisition de la richesse). ct e Kâma (acquisition de l'amour ct du plaisir). moins de ha ut rang. d'étudier son traité: J I sl n otoire 'lue les filles dès A ' in c es
À titre d'exe
d'exemple,
mple, l va ~ é m e jusqu'à définir une liste des 6 arts que la femme si elfe es/ m a n ëe , soi/ une cOfJfi'rlenle Ir l?s s Ûr
Ûree, soi Sa /cude nwlerfJe Ue
Ue,, sorl
civilisée se doit de connaître ct de pratiquer de façon régulière (cf. Encadré). une p eI'sorm
eI'sormee â9ée ou Ime l I e n ( l i ( m l habrïuée à la fimufle, sorï I ~ I l s a p r o p re
qui, loin de n'être qu'un corps sans âme. doit se rapprocher au maximum de Pour ceux qui douteraient encore de cet aspect libérateur du Kâma Sûtra. il leur
l'humaniste. suffit de voir avec quelle minutie fauteur décrit. point par point. les techniques
encort
encort très éloigné d'un mariifeste
mariifeste féministe. l faut pourtant reconnaître à ce Auparavant. il était légitime d ' e s t i m e ~ qu'un h o m ~ e excité suffisait par sa seule
traité de nombreuses idées novatrices. En ~ f f e t . Vâtsyâyana. le premier. va oser présence à exciter sa p a r t e n ~ i r e . L'homme était un brasier ct le .seul rôle dévolu à
écrire que le désir et le besoin de jouissance existent c11ez les deux sexes. P lu s l'amante.. était de s ~ > u f f e r sur celui-ci. Avec les écrits de Vâtsyâyana. le plaisir
l'amante
cncore. il a f f j r ~ e que la femme ~ s t supérieure à l'homme, tant sur le plan de sexud que doit ~ p f o u v e r la femme est nécèSSaire, fondamental pour réussir Il,ne
l'excii tation ct du plaisir que sur celui de l'imaginaire.,
l'exc union h a r m o n i e u . c ; ~ •
,, 7. r· . .1' Jo . ( ) c on/ r û/ ls p a l e 111( 1;laf , f i-mêlll<' ( Ji -i1 é p al' f( / COfl SC·,"eJ1Cf
/l/Ül1a eS I l l s I -r fi · 0 11 . • • • • • • Il
Selon Vatsyàyana,l'amante
parfaite doit étudier.
parallèlement u Kâma
Stltra. 6 variétés d'
d'arts dont
ccrtaines. aujourd'hui. portent
Du
volontiers à sourire . chaut
à l stratégie militaire. ou du
macramé à l connaissance de l
médecine âyufvédique. l femme
idéale n'est p s un don du ciel.
mais le fruit d'un travail harassant l
'.\
\.
\
-. .......
.
.
4s . . rD \
J
-
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)0 ' ,
- . . . . .. .
tout hors de i
apparente exclue donc
apparente scénario pouvant se dérouler
la chambre conjugale.
10lls les deu., fours, se sauOfmer lous les /rois j o u rs. 7 0 as les rualre
e Kâma Sûtra insiste aussi sur l'importance de l'haleine d'une façon particulièrement
•
ferme.. Cela est sans
ferme sans doute dû à l'hygiène buccodentaire de l'époque qui n'était pas. pour
le plus grand nombre. une priorité Quoi qu'il en soit. et a fortiori de nos jours. une haleine lourde
et désag
désagréable
réable constitue un frein immédiat à tout acte d'amour.
Avant de passer à la phase du baiser. il est donc impératif d'aborder sa partenaire avec une
haleine fraîche et pure. Aujourd'hui. dentifrices. brosses à dents. sprays. chewing-
chewing-gums
ou bonbons mentholés sont légion. À l'époque de Vàtsyâyana. l fallait use
userr d'autres
procédés plus artisanaux mais qui. selon Alain Danidou. auteur d'un Kâma Sûtra
commenté. étaient parfaitement efficaces: ..Ge crlachil pOllI' s e laver les denls ~ ù a i /
Avoir une haleine fraîche grâce à des ingrédients tels que l'urine de vache.
il fallait y songer .. _
. est loin d'être une pratique courante. Sans doute est-ce parce que .
aussi parce que les Brésiliens ont compris depuis longtemps qu'un corps
nu est bien moins excitant que lorsqu'il est mis en valeur. méme par la
présenc
présencee d'un string sy mboliq ue
Même si le Kâma Sûtra ne fait que peu de cas dans ses pages. des vêtements en tant
que piment des jeux amoureux, l'utilisation de tenues légères peut être considérée
tuelles chez une femme, ce type de dessous, portés de façon trop ostentatoire. risque
de provoquer une gêne chez son partenaire. si ce n'est une crise de fou rire
l'homme. ne doivent porter que des vêtements dans lesquels ils se sentent bien.
Et. quelquefois. le seul ajout à un corps nu de talons raisonnablement hauts. pour aller par
complice. préférez donc à toute autre une lumière tamisée. L'obscurité totale
( ..
provoquer une sensation de gêne chez fun ou l'autre. voire les deux.
1
%o des rlOmmes
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- et 2.-,
des femmes ont eu des
rapports sexuels vec deux
partenaires à la f
7 des h OIS.
, ommes et autant
'" de femmes Ont - .
'. . e/a ut lJsé
j un oblel pour ob '
, enlr une
e ~ J t a t j o n sexuelle.
Pour son odeur. mais aussi pour J'atmosphère qu'elle contribue à crée
créer.
r. l'utilisa
tion d'une bougie parfumée ajoute une note très sensuelle et agréable à l
ni. pourraient indisposer votre partenaire. et évitez aussi de disposer ces bougies
_..:--- - = : -
_..:- i i eu facilement inflam
infla mmable ( rideaux. couvre-lit. etc.)
etc. ) .
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En fond S0nore. une mu: ique 'douce. ni lénifiante ni trop enjouée. complètera le
tableau. Enfi n. une chose que Vâtsyâyana ne pouvait pas prévoir: prenez soin
Il n'y a en effet rien de pire qu'une. stridulation de sonnerie pour détruire ' une
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rès de votre lit. disposez un plateau comprenant Pourtant. le Kâma Sûtra préconise leur utilisation de façon
une carafe d'eau, deux jolis verres et une corbeille claire et précise. Ainsi, pour les godemichés. V âtsyâyana
de fruits frais. la place de l'eau, vous pouvez aussi indique que si le gar
garççon est de très petit calibre. des god e-
À
choisir une bouteille de champagne ou un alcool fort. michés ( Apadravya
Apadravya)) peuvent être utilisés'
utilisés' afin que le pénis
c
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pornographiques qui s'adressent uni
uni Enfin. accessoire incontournable pour t ; us les a ~ â n t ~ occa
occa
-quement aux obsédés sexuels sionnel s: le préservatif. Puisqu'il risque de se déchirer lors de
un tube de lubrifiant .
ie b e a u x c h e v e u x,
u n c o r ps m / n c e,
m a ssi f k s d e n l s s o u v e n l l o n y u e s, s a p e a u
a i r p r é d o m i n e d
e s / ri c o u l e u r
a n s s a c o n s t i / u l i o n
.
VANTIL O PE : "
e l f e a ie
r 0 u .t j e â f r e . E 'é M m e n
/ / a n / S I c h a u
e s / f i v i d c o m m e u n r
a y o n d e
e s l r o b u s / e e l h a r m o n i e ux . e D é e s
U lle p e a u d o r é e. ÔOIJ c o q J S Be c o r p s
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, u n e v o i x b a s s e,
l è s c h e v e ux e e l l a n / $ p ' o i d
e , p a r l e b ea u co up
i s f o r / e s
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e s j m p E a l i f u e. e l l e m r m
lje r è g l e s o n l u n e o d e
a b o I IC /a n l s , s o n e m p é r r m l e n / a i n 0 a n i é / O u )
vran-e e l ' a m ou r ? l l
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u e U e s s o n lp ( X t i m a Ô tJ/ra l e 7Jré
o r ï , s e s s é c r é / i o ns s e:\
p e u, s o n v i s a g e e s l é l r
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é . f)r f ;e J a m a I s.
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q u e d i s e n t en s u b
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g e n ou x u r l e s r u e f s i e p a r t o u t . ...
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four s c h a u d e k a d e s b r a s l e n m i l l e . t q u e l' o n t
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.• . ' • or anes génitaux des hommes et
Sdo,
mesl, Di"io . .
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re o q. Iœ é t O M , ~ ' ",.,h. . . ' .; , d Sci.,,,,...
e de Pierre Guiraud. ill:xisf e des cental'.Iles de ris
termes servant
callihr à deSign
deSigner
isti. corr idor er
d'ales
mour.gbut mlg
d'amour. . non de ficherie, humanlte,
.
. .. .
Pour ces derilleres, on peut not
portefeuille à mousta ';, · ~ ' : ~ : ~ ~ ~ , 1
,,, oc,
1 d 1 mot te ou encore le fres chretIen,
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m.le , ,11,
do 1 :1.
db,,,,d 1l .me
'''''':''''m:',,,
g . herbe qui cr oit dan
danss les mams
mams..
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2S
J
Pour les hommes. cc a onnl:. a 1 f plume charnelle. senngue a perruq •
uet de mariage. pierre à casser es o;u s.
~ : 1 1 : toujours très chrétien bilton pastoraL.
possèdent u, e ,significatio
significatio..nlarticulière.
nlarticulière.
de son partenaire). et le Baiser frotté ( y ~ u x fermés. eile lèche la lèvre ) . le ' Baiser -enveloppé (saisir
aussitôt). deux lèvres de son partenaire avec
de son partenaire tout en tetlant ses mains dans l ~ s siennes). À ceux-ci. les deux siennes) après .du baiser Assaut de la langue
siennes ) . suivi immédiat ement après.
on pellt ajQuter encore le Baiser ordinaire (de face). l Baiser oblique (l'un des deux titille avec sa langue les ·dents. le p a l a ~ s ou la langue de
....
(:7Otma c5ûlra
c5ûlra c5eclion 2 Gh"apilre;J
Gh"apilre ;J)) ,
n F
rance. les di{f,-
aux b . erents nOms d .
Jlsers Sont fI onnes
classiques b' o ~ e s et. Qutre les
i
lses. baIser i
On parIe aussi v I s Ou bécots,
Enfin. Vâtsyâyina termine sa liste avec le Baiser qui excite la passion ( les deux en p 0 on iers d · b .
1geon. à la flore '
b o u d l e. faire de 1 Mme. langue en
c alSer 1
f
amants ne se quittent pas des yeux p ~ u r faire savoir à l autre son désir).
désir ). le Baiser de
à l image
image de l aimée
aimée ré fléchie dan
danss un miroir
miroir)) . le Baiser de transfert ( que l on pose
fine e ; ~ b I J e de caste, el rt; 'I f u i baise SOIf un doiyl de la main, sail un orleIfsi eUe
esl assi.se, ou encare s i une enune en m as sa n l Je corps de san aman ole le visaye s ur
sa c u ~ s s e p o u r s' excIÏe;' el, fe1 Jnanl de s ieodormir, y dépase un ba is e r, on namme
, .
j /l a t U eS
. . r
1 le /e u aes amaTJ .
. /.s gis doivenl se rendre coup
.' l ? l l I a ( 7 u ~ el a n l r f ~ a son .
. ( ,
ba1serpaur ba/seI'.
poU. ' caup el
(JC n a r l1lra _ ea ion - CJ{apilra1) .
ligiieu x -l ou t o m ~ e par la m ~ r a l
D écriés par les ordres.rèlig d u ran t
des la e l l Ù n i l i ~ g : o ~ en cor
oree aujo
aujourd'h
urd'hu i
d 'u ne ma uvaise ré
rép
p utf .ti0
.ti0rl qu i. n est ab
absolu
solumm en
entt p as j us
usttifiée.
en effet
effet,, n i dan
dangg er
ereuse
euse,, n i impure.
ouvrage. ces préjugés sont encore tenaces. Bes serui eurs ie cerfa;'flsjeunes h'ammes e : ~ é c u l e n l s u r
-- Concernant la fel1ation. il entame son discours en assu· eu > la jeffalion. ']) IClulres "messieurs l f u i se cormaissenl
rant que les principaux amateurs de ce plaisir sont les bien, se ~ n l cela l1lulueilemeIJl, en/pe amis el en l'absen-
eunuques.
eunuques. qui prodiguent ces d é 1 i ~ c s aux hommes grâce à la ce dès femmes . Il ( :J Cama 0 ûlr-a - 0eclion 2 - Cha pil.t·e fi
9 des llommes (c .
oUVriers) ont _ mployes et règle des huit plaisirs ( cl. '. Encadré p.32).
p.32 ). En dehors de
leur vic le cu pratwu
T '1 e' au Cours de
des çadres nn 1Dgus. contre 70 O ceux·ci. il ajoute. non sans malice. qu'elle peut également
et 5 %de . 0
s ag f culfeurs. .
être pratiquée par des femmes indépendantes aux mœurs
Je faisù's ru 'effes
. _ . ~ . - 'bées à ce Iype e p
1
. leffemenf alfac. . ouI' rle.s gens
ries COllrltsanes , . el c h a rma n /s P "
011 a VU . ( anis r l i s f i J 1 . 9 1 1 e . ~ ( cornacs.
. / (les am . i ft. es oU (Je
ab(lncfOll/l
ab(lncfOll/laIell
aIell 'ell aien l a es C av .. Chapilre 9)
-
r basse COllrlilion el s epl (J{âm 8û1ra _ 8ecljoTl2 -
a
e
Au sujet du cunnilingus. Vâtsyâyana se montre De même. il précise avec poésie :1I::A près a ;o i r y a y n é la
cOllfcmce de h /ellne l i é e avoû' oaJilcl/ sa u d e l u ~
moins disert. tout en reconnaissant que cette pra-
e/lè yTalle el c ar esse f'ûllérieur des cu iss
sses
es après a voir
tique existe. qu'elle n'est pas recommandée. mais
ddnoué les p h s du lJêlemelJ ru/passe enlre ses cunbes.
qu'elle n'est pas
pas non plus condamnée - et ce. que Je cun
( . . . :/ b u r J'embrasser sur sa a r ~ c ; ; e elle [a s a i u ï
nilingus s'effectue d homme à femme ou entre
p a r le menloll (pubij ) , .lj h s w n l le doiyl d a m [a
femmes: IIClerlaines fèmmes amoureuses N'aliruenl {enle ." (:J(fima c5ûtra - c5ec:/ion2 - Ohapitre. )
G o n y lu corbeau. l
(:JC?ma &t Ir
Iraa -iSec/j'ln 2 - C i.api/N )) .
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le Cu l l n 'l J l l g u s (28 6 j la fellatioll
e n m a in . o n l l e g
l and .
sexe bi e n tant s u r la s o d Ie ( 1 ).
I S E R : le en i n s i s ( 21 ) . Ol
L E B A u t e s a s u rfac e. f o r t .
s u r to s
h e l a v e rg e t o n la s e r r e t r è
l è c e c
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UAGE i t i é de l
L 'A S T I Q o n a s p i r e la m o
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u s q u 'à l 'o
L A S U r e m e n t ·
e t pr
m m e n t
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e e s t a v a lé e n t i è e c a r e s s e s , n o t a .
le sex s ir s d
: p a g n e r c e s p l a i n s .
L A P R O M E S S E si a c c o m e t d e s té to
n s . o n p e u t a u s s . d u v e n t
re
fe l l a t i o f e s s e
c e s . d e s
s c u is se s
T out en
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f i n é r i e u r d e
r s e s . d
d e s b o u
Ensuite. par goût ,ou par feu voire par curiosité, l amante peut
peut devenir domi-
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p eu à p eu à une p eau de
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grin, et n e dé
déssign e
le p lus souvent qu
qu un e seu le chose: le
le coït.
\ 1 \: .
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I ? J l J . stre amoureux à une simple pé
pénétration
_ _
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e t l
â y a n a c h a n t e le s
K â m a S û t r a . V âts y
.. ._
• g lo ir e . à ju s t e t i t r e . d e s p r é l i m i n a i r e s . B ie n
p r un
x -Cil o f f r e n t
p r l p r a t i q u e . c e u
l e . r é g u l i è r e m e n t r e v i s it é s . a m é l i o r é s
coup
Je p l a i s i r
î t r e l e d é s i r . e t d o n c
s s i b i l i t é s q u a s i m e n t i l l i m i t é e s d a c c r o
d e s p o
de l j o u i ss a n c e .
a ir e q u e l h o m m e
u r e u x . i l e s t n é c e ss
c es a p é r i t i f s a m o
A v a n t d a b o r d e r in v e rs e m e n t. S a v o i r
c o n n a î t r e l e c o r p s de l f e m m e . E t
ré a p p re n n e à
q u à q u e l d eg r é.
d u n e a n a t o m i e s o n t s e n s i b l e s . e t ju s
q u e U es p a rt i e s
t d o m in e r.
c e l l e s q u e l o n c r o i
e s le s p l u s c o n n u e s .
R e d é c o u v r i r le s z o n
a n q u e d e
g e m ê m e pas. p r m
a i s a u s s i c e l l e s a u x q u e l l e s o n ne s o n
m
e u r m a l p la c é e . . •
p r a t i q u e o u p a r p u d
Selon
. plerre
G
Ulraud et Son D " .
fIque le pied d ' . IChonnalre éro-
eSlgneralf la part d b
voleurs se p a r t a n e n t e utlD que des
o apres un larcin D l
amoureux,
amoureu x, la lem b' . ans es feux
me a len le d . d
son dü ... tOut comme . rolt e recevoir
place de jouissance p _ /oslt'1tuée qui. en lieu et
trébuchants r · re _ s écus sonnants et
ue ce soit avec 1es mains et les doigts. ou encore avec les lèvres et la langue ( dans ce cas
précis. Apollinaire parlait de technique du Petit Salt. dans son ouvrage des 11 000
v r s . les pieds féminins ou masculins doivent être absolument réhabilités comme partie éro
Restif de la Bretonne. être raffiné s'il en fut. vouait un culte fétichiste au pied et l simple vue
signification phallique et la chaussure. qui est pénétrée par le pied, serait un symbole féminin r
· -
l
Certai
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nes f t mmes av
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ouent ne p s êt
êtrre sensibles au
au;; l l? t H ( ,(
ejftctu
ejftctu ées sur le
leur p oit
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rin
ne Si cela peu t arri
rrive
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il f o utiJ
utiJien
ien ·recon na
nafftre en règle gén érale, cet éta
tatt l ·
def i t s exp lique bien so uven
ventt p r le man qu e \
\
de savoir.-Ja ire du p ar
artt enair
nairee \
\
par les lèvres et les dents. le sein et son mamelon constituent une
zone h ~ u t e m e n t réceptrice. Les hommes. pour leur part, sont aussi très
sensibles à ces stimulations même si, là encore pour des raisons de tabou.
ils n'
n'osent p s l'avouer ou l'ignorent. tout bêtement
i f
~ s ç i e n t
j
collectif. le sein droit symbolise le soleil et le sein gauche. la lune .. _
K :;- . o J/
C h e z l hom m e com
me chez la fem m e, les ja
m bes, e t les cuisses en p a
r ti c u li e r
ne d o iv e n t su rtou t pas ê
tre n égligées lors d s p r
élim inaires,
m ais aussi dur a n t l acte
d a m our, si la po sitio n
le p er m e t.
é r i m è t r e id é a l • r m t "
e u e u r d es c u is s e s p e
u t ê t r e d o
u ce m e n t g n'
o n t a n t de l 'i n t é r i e u r du f fé
t o u t e l e u r m a g i e q g e n o u 'u 'uss , '
dl .
l 1 qu a l laa m e . c e s c a res se s o
- n a m a in du p è r e n t
p a r t e n a i' r e s .a r r ê t e à l 'e x t r ê m e l i
v re s o u d e s t e s t i c u l e m ' t d
s . ,. p o u r r e d e s c e n d r e
l e n t e e n
t e t r e m o n t e r a u s1s iet e s
ô t,
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J ' .
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D a n s l ' A n t i q u i t é g re
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près u n e p é rio d e d e m u u n e lo n y so s c
u n e s e c d f ' •o 1o n n e .
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e g e s t a t i' o n d an s l
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u s e a.
u n i q u e m e n t liées s p o i tr i n e ses fi
lié fissse s ou so
sonn sexe :
1 : ) s lo n g ue m e n t vec
ve c d e s h u i l e s e ss e n ti e ll e s .
W,r
,r,, g r i f fe r . m o r d i H e r ou lé c h e r e d o s du p a r te n a i r e
( h o m m e o u fe
femm m e ) t é m o ig n e insi
si de l am o u r qu o
onn fu
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· ·
..
d oreille
lless, ch ez certain es e r s o ~ n e so n t des zo
zonn es érogè nes qui,
4e dtsir
dtsir subites et dél
déliicieuses.
Olt
... . '. ••
-:
f:
1. b ai11eurs. l est amusa
a ~ b ~ ~ a s
amusant
nt de v oir que J oreille. s-ymboliquem
du Mali
s-ymboliquement.
4
. le vagw .. •
4 .
• O
. à j énorme
[/. fesses rougieS
. en la ses f}e es . aailant
alol S el r ~ S (e12 crieU/ en J
. 10url)(I { fempal
IIn/[e. 'Ù1e se i e fI faIl(/is r u e . f l
.J { (l Ose e. . ail .
.
eHr(l /C1I la
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vil el1 pE n , ' J I { ' a i s ' . c { 1 f c ( ~ J l e es s P . '. _ ./ l oflinaire)
olls . .
[ 1 [es le l guillaume P
[12 C f f 12 (/B es l 000 vel' les ,
1
.
+- -
v ocatrices, stimu
timulante
lantes, les fo sses ex cite. nt l hom me autant qûé
. ,
; .. rJ Jous la chute des i o ~ d l ~ s o ~ t synoorn: int~,dits à buv« ct. selon les positions
E
él reinles
anrJOflCc?F1 e .
CO fl l hl C?F Ce
r '
I a rr/e
rr/ e l Pour Vâtsyây ana
ana,, chaq ue fois que deux amants
C?I fiml bcmr.ku' lé /inra dt ? l'kN SÙ' n
si cela ét
étaait t oujours une première
première fois.
fois.
.. -
comme
A insi
insi,, il déf
éfiinit da ns le Kâma Sû
Sût ra
quatre premiers types d 'ét reintes préliminai
préliminairres.
' ,
œ ..
c ; ; e . l C ; ; ~
,.
.
première est constituée par le
BorsfuC ,
de face. ou
-
de
.
côIé" le
, "
,i
sous un prelexle fue k onfue ,
:
frôlement:
'
omme
.
ri/é,
a troisième est définie comme le frottement :
el p p ~ · O c . l l e son co;'ps du sien, onpczl'Ie r(e.fiiJlemen " à i-oller leurs corps 1 un conlre 1 aulre, 11 '
aIl parle cie foollemen
"ô; une f emme , foiJ'I1UlzI de l'ama el ' flle /fue chose à tel'/'rz, 0/; en oU/l'e, /'(//; ries par/ena.i.l'CIS prY sse de loul so/} poicf.s le
' r ~ r ë S . W S ë . s ~ : ; ; ~ eo
eo;;J;
;;J;·e
·e un h o mme' deboul ou s ~ Ù , dans'unIie(1 COIï;s de J'a.utre cOlllr
cOlllree ~ / f l p///e r ou U / ~ mur, 'on rhï a f o n f({ 'If
"
46
, .
aIilsi1e e l ' c e m e r ~ l . (:JÛima db/ ra - rSeclion 2 - C./i'apilre 2 )
r
Après ce premier contact. l est temps d'unir les deux corps et de les laisser r
•
, :
échanger leurs énergies. Voilà maintenant. sur les deux cents pages que come e •
4
le Kâma Sûtra. les quarante a. fait le suecès-tle
quarante qui évoquent directement ce qui a.
nombre de quatre. là encore. et ont pour fonction de pousser le désir des deux
t ~ v ~ v
r-6lJ homme représente le tronc d roit sur kquclla ~ m m e s a g r i ~ p e et. la tête
représente
ce désir de grimper comme une liane. elle élève sa cuisse et en presse l'intérieur
1.
ff
diffère peu de la précédente.
ette posture
d
, la femme a posé son pie
si ce n es1 que
. Sa main ayant
• 1 • d de son partenaire. •
d'appùI sur le pte •
se ose sur les épauleS de l'homme
quitté son cou. P
l o n é s
sur le lit, l'homme partiellement couché sur s partenaire, les deux
amants sont étroitement liés l'un à l'autre, imbriqués. bras et cuisses entrelacés.
i
ses cuisses. En signe de désir et de passion. elle
étreint les
les reins de l homme avec ses deux jambes qui se croisent
contre l autre
autre tout en effectuant de petits
· .
.
certa
taiines d e nt re elles mérite
méritennt d êt re redéco uvertes.
- ont, selon les canons de beauté de l époque, alambiqué ces postures à l envi.
Pour celles et ceux qui désireraient des positions plus étranges. plus sophistiquées. on ne peut
. j
que leur c o n s e i l l ~ r d aller consulter les ouvrages portant pour noms l Anangaranga (rédigé
. Après avoir découvert les premières postures des préliminaires, ce chapitre s attarde maintenant
S§ , -
sur les positions amoureuses qui ont fait le succès la renommée du K âma Sûtra •
_
et
_- ._
. ... .... .
emmes
l esl i m e d e s
d é s ir e l
ou r , k
s
s lIsC iye
e r s u r .m i am u n i o n s e l o n k
ir l l 1 e s d
r é fa l / s c e s f o f '
e s l a s s u l e I o u l e l a i s i e ."
l i n
n (i
L \ p é r i m e / l
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r o pr e ; ; m
s f{ u ef e
s o c o u r s à
av ec e O } l a i s
s e h ' b r e h a p i/re
6 / - - .
.,
o u / r e , o n G
u x sr; e n <- lee/ i 2
o t / r a
d yro na ( : Jr & n a
E n te
t enaille impatie nte, les ambes de l amant
mantee
ret ienn
nnent
ent en
en ell
llee to e la puissan ce
de son part
parteena
naiire p assionn é
ment. des courbes de son amante. mais aussi de caresser ses seins pour
(J;
ç
k / ~ - e t p ~
6,5%desh
sex uc1 avec omm es 111 con J 1
compare U/Je prostituée Il CUt premier
1920-1925 ~ l i [ [ t e aux 2 %e qui est peu 10::PP ort
des f c m m ~ s o:~tptc Pdatt 18 ~~ lIhx de la Béné~;~::
ICUr m ani/Be.
. el u 1eUr viI ' .omm es 4
Blnlte au t
0
• m o m ~ t ~
.
r
.,
J1f
n6 es /eunes dpollses
dpollses,, les jèmme.f ,J au frai ou les courfùalWs fienrlro foujours I
ell h a u f e es fime un h o m m e e.>.perf
>.perf (Ians les a n f e r u l r e fechlllfCles.
(J[lima r:5ûlra _ r:5ecfioJ2 2 GhapJÏre 10)
,
1
car l 'amour au
autt or Ise t p rme
mett tout
tout
rSûres de fa Je/lOCllfJemell/
Vers ce buisson ardelzl des lemmes
7offemen/, /alla/ùluemenl 11
( P auiVel'faine)
L es deu
deuxx co rp
rpss so u dés devie
devienn ne n t u n e se ule va gu e m ou v a n te
profondeur de la péné
pénétré
tré tion. L'hom me lui. comme dans
genoux.
~ ' - 3
"7Iuanl d'opé.1 eEj lOU/homme doE leniL
COElzp/e auecprécùiof] du momelJl,
des asayes a u s s i Cien r ue dé s a p r o p r e
Elalure e Choiui alors f pra/r'rue acMrual . l
e
~ our réussir ' cette posture délicate. il co
coLL ient d'être
~ / ~
P ~ b
OUr faire l ~ P
de rCnc . alllour, il '
20 0 ontrer J . eXIStc III JI.
des c alll c sccur: 1 C f n III
.llllis c ouplcs s e °Ycns
omlll SOnt [
et t e p ~ s i t i o n est â i ~ s i nommée en l'honneur d'Indra. le roi des prof S. ' Uns. Orrnés .
SIOlJ l 0 po grac .
\ étud. ne ~ e s 12 lIr dc s e a des
Cs. 9 • o i /J Clrcon
dieux hindous. mais aussi roi de la pluie et du tonnerre. Indrani aUssi p 0 par la fan. '1' n bal. 10 %0 d Stances
~ ~ ~
Sirs. en S associat' Ou oi ' nt les
était en effet son épouse. ct les descriptions que l'on trouve d'eUe pOrt Cn COre 9 ans u 1 ~ s sPOrti es Slnage. 9
, cO n ICll b 011 de 1 .
dans leS anciens écrits védiques la qualifient d'une beauté et d'une nUit ct 1 0L rnlll /Jn. 1 pu lic Ou 01 -
/0 durant 1. 0 SCulclllcnt lin trans .
élégance remarquables • es vJCJntes. en bOite de
un e déclarat
claratiion d am ou r pa ssi onn ée
1 tendre. cette posture permet une réelle intimité de la totalité des deux
L es deux visages se faisant face à l même hauteur permettent de varier les baisers.
(
clitoridienne de qualité.
désire. a l possibilité de multiplier les baisers dans le cou. sur le visage et les oreilles )
de son amante. r
Dans le Kâma Sûtra. les cris ou les soupirs ont une importance non négligeable. Ainsi.
Vâtsyâyana recense sept types de cris (hi nasal. roulement de tonnerre. bruissement.
à des cris d anima ux: pigeon. coucou. tourtere lle. perroq uet. abeille, rossignol. oie.
canard, perdri
perdr i x .
\
1
C e f u / r u ; a p p / /r u e / è s s i
o w n e - r ( / a l re 47 d e s b o m m es t 23 d e s fe m 'm e s ids en t
m o y e n s ( p a s /u r e s ) p r o p o a v o i r édjà
jà vu un f i lm po r n o g r a p h i q u e ,
pClL
s és
47 e t 19 o n t lu au m o i n s
2 1 â b li r auy o a l l e i n / s o n b un m ag a z i ne é r o t iq u e .
u l e l o b / i e n l lo u s -1 d es h o m m e s t 3 d e s f e m m e s
le s a u p r è s d
de
es f o m m e s ri r u a l / l é . l o n t d é j à eu al uc r io s i té
d 'u t il is e r
un n u m é r o d e
t é l é p lJ o n e ér o ti q u e
o u u n e
m e s s a g e ri e or s e ,
rythme lent et doux avec une faible p é n é t r ~ t i o n Les mains des deux
instant qui suit les préliminaires. ou pour celui qui clôt l amour. dès
partenaire. puisque les mains des deux amants sont libres de leurs
mouvements .
S i l o
onn en c r o it c h i ff r e s, 6
des h o m m e s c
6 d e s f e m m e s e t
s t i m e n t q ue r
O ll p eu t
a m o u r aVec U f a i re
ll p a r t e n a i r e
s a n s p o u r- a u t
m o u r e u x d e c e a n t ê t r e
l u i - c i. D e m ê m
e . 27 des h o m
t 7 des m es
j u g e n t q u e le s
agè :res p e u v e n t i n f i d é l i t é s pas-
r e n f o r c e r l a m 1
o u r e n t r e d e u x
u to}a1. les ê t re s .
h o m m e s o nt
é t é a m o u re u x
o y e n n e 4.5 f o en
i s da n s l e u r
voe. c o n t r e 3 f o
eü1èiîrent p0u r le s is
fem JIles.
~ p ü l C ~ a l 6 f / e , n , n e 8 / Ù / éoitet:;
c I a n ~ g ( J , J U I / J Û b ~ . w n P .
i?J;}J éloignée de la position serrante. cette posture
les lépreuses,
lépreuses, les folles . les femmes rejetées de leu r caste.
caste. celles incapab
incapables
les
n'est pas non plus sans rappeler le classique de garder un seCTet. les impudiques. celles trop ~ é ~ S à la peau trop b l a ~ ~ h e
Missionnaire. Toutefois. la différence fondamentale tient à la eau trop noire, celles qlli sentent mauvais
mauvais alDs1.que les parentes, es .
p . a rapports d'
d' amitié celles qui ont faIt des vœllx monastiques,
avec qUI 011 • . 11 d s
dans le fait que la femme peut resserrer son vagin sur le pénis
de son partenaire en faisant varier la pression de ses cuisses.
i ~ s i que les femmes de sa famille, les épouses
Brahmane. > ct des personOl:s
épouses ses amIS t cc es e
personOl:s appartenant à l famIlle royale. \
Pour cette posture. comme pour la majorité de celles où la
ainsi,
ainsi, s'offrir toujours plus aux délices de rétreinte. .
où l fait l'amour .
$ •
Entrela
Entrelacés soudés liés imbr
mbriqué
iquéss tressés unis
jusqu â la délivra
délivran
nce i nale ..
;.".
.. L es deux partenaires dans cette
intimement liés. et la jambe de la femme. selon les
'
pressions qu'elle exerce sur les fesses de son amant. indique de façon
de la pénétration
.
ti
e n t a d m i s
n t s c o m m u n é m
v i a g r a e t d es m é d i c a m e
L oin d u · t e r p o u r
o u s p o u v e z o p
m é d e c i n e t r a d i t i o n n e l l e . v
d a n s la
la p e u t c i t e r
i e l l e s . o n
d e c i n e s p l u s d o u c e s . P a r m
d es m é au x
e s s e a v a n t t o U t
p a t h i e . e t te t e c h n i q u e s 'a d r
J'o st é o ié s
s e x u e l s s o n t l
l e s p r o b l è m e s
i n d i v i d u s d o n t e m e n t m é c a n iq u e s .
e ll
y s f o n c t i o n n e m e n t s e s s e n t i
à d e s d f e r q u i
le s c a r e n c e s e n
i c r o n u t r i t i o n . e l l e , c o m b a t
L a m ido .
b a iss e d e la l i b
l'o r ig i n e âu ne
p e u v e n t ê t r e à s a d e p te s . t o u t
u s s i s e
p o s s è d e e l l e a
La p h y t o t h é r a p i e ass e r o u t r e la p e u r de
p n o s e q u i p e r m e t de p
com m e J ' h y é m a t u r é e s .
é j a c u l a t i o n s p r
c d a n s l e c a s n o t a m m e n t . d '
l 'é c h e p e l à des
i l l e z à f a i r e a p
-Q u e l q u e s o i t v o t r e c h o i x . v e i r e s â u n d iplôm e
c t t i t u l a
ie u x . r e c o n n u s
th é r a p e u te s s é r
m éd e cin e
ne m zon
zonee pe
peut
ut chevauche r s ns fttigue son f r ing n t destri
rieer
jusqu à p arvenir u som
ommm et du p l isi
sir.
fl:;J ette posture, que l onon aurait pu aussi désigner sous r ~ c u y è r e offre
unee mult iplici té d avanta
un avantages
ges ct doit
doi t être effectuée. au avec précaution.
L homme, couché ou assis, est loin de dominer le combat amoureux. C est donc la
L homme, lui, peut en profit er pour embrasser sa partenaire. De même, il peut alter-
nativement s appuyer sur son bras droit, son bras gauche, ou bien les deux à la fois.
a réussite de cette posture réside dans le fait que l amante doit posséder des muscles
vaginaux les plus puissants possibles. c fourreau de chair doit tenir emprison
emprisonné
né
fermement le pénis ce qui. au final. augmente encore l excitation des deux partenaires
jusqu à la jouissance .
e n / s ,
l ie s e
s . r e n l i m
s e s p e n C ha n ts l lj o u r s
e a u s u / e
l ie
e l l e d é v o il e I O
n e j
è m m h o m m e
r è l e r u e
lI
, t o l Ï u c b e li n o f o n d s,
l
c 5i s e c e c b e v a l é s i r s p r
1 uao d ll i o l i m e
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L es moll amante J e chan
hang
gent souda in en un te ndr
soudain ndree
De même. la femme. se trouvant les deux cuisses jointes. serre au maximum son vagin et
provoque une friction plus prononcée et très excitante pour les deux partenaires. S es mains
restées libres peuvent caresser les cuisses de son amant des genoux jusqu'à l'aine. et donner.
.
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1
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m O le n e p e u u e n
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O n n e p e u l
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en p o u r r m f- o n d
G om m
c / em 2 - 1 )
( :J [û m a r501 m - r5e
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deux jambes sur sa poitrine et qu'elle pose ensuite ses
pieds sur les pectoraux de son amant. Les pieds. _ _ . ' .__ l
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1
1
A réali
éalisser sans se
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pressser le m oins du monde
monde
p our en
en reti
retirrer toute
toute la quintessen e
• : . r - ~ - ' - ~
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.,.{ ., • ,
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suffit alors à celle-ci de plier le genou et de laisser son pied se reposer sur le lit
ou sur ses fesses.
Contrairement aux apparences, l homme ne dirige pas tout durant cette posture.
En effet. le pied qui se plaque sur sa poitrine maîtrise la profondeur de ·la
. 1
pénétration et le mouvement des hanches féminines en fait varier l intensité Î
L es r isso ns se multipl
multiplient
ient au u r et à mesur
uree
des car
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s e x u e lle . r v a t i b u c o
H é la s . urs d e
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an ts : s o nt in q u i é
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nom parf umé d 'ex otisme. qui ti en. t
m parfumé
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membres du couple.'
couple.' g mOment, p r e ~ s é aVec r
L C cou cf {Oree
. P c tO bncrrc 0 l
re/ll roduire lc u Ou r a8an , Tet'
Le COun d pnallus avec rip 'd' • lrer puis
U sao8 f 1 Ifc Ct f
L'homme, s'illle veut pas écraser sa partenai
partenaire,
re, doit éviter de d ull seul ' . 1Cr : effectuer d . Crmetê,
Lc cou COte d . vagin. , es ya-et-viellt
se reposer complètement sur elle. Celle-ci, avec ses deux l P d u ta ur eau 'd
tau '
cs deux CÔtés d • em. Illais Cll ait
La volé cf • u VagIn. Crllallt
mains restées libres. pourra explorer de ses caresses toute la c 1ll01
1ll01nca u
a1tcrllcr t , " Ou lc diVcrt •
. , res.. rapIdcI
res . ISS lll Cnt d . •
partie supérieure du corps de son amant . seml--péll ' .
seml
ctratio ll.
nellt pellét ' .
ratlOll Ct
O Sc
Scau
.
au
'
Q uan
uandd l'orig
l'originalit
inalitéé se transforme en une alliée
pr .ciel se de lërotisme . .
7
u j o u r s plus originale. cette posture figure le marteau ( jambe de la femme)) et le clou
femme
la femme viennent se poser alternativement SUT le front de l'homme. est synonyme de nom-
br.eux plaisirs grâce à l variation de l position du vagin autour du pénis. À J'aide de ses mains
P 9sées sur les hanches de J'homme. la
la partenaire peut rég uler tout à la fois le rythme. mais aussi
J'importance de la pénétration.
1
Dans cette p o s t ~ r e . l h o m ~ e ~ j ~ ~ t e r a un piment non négligeable à la montée du désir e n e ~ b r a s s a n t
léchant et mordillant
mordillant·· le mollet. la cheville. le pied et les orteils de sa partenaii re .
partena
c o m m e d ' é te rn e ll e s r o m a n ti q u e s .
L es fe m m e s a p p a r a is se n t
a m o u r eu se s l o r s
d e leur pr em ie r
e lle s s e ra ie n t 91 % à a v o ir é té
A i n s i.
s e u le m e n t 6 7 d e s h o m m e s .
r a p p o rt c o ntre
s e x u e l,
e m m e s s
u r 1 sc so n t
te rm e s . ct d ' a u t r e s c h if f r e s 9 . f
E n d ' a u t r e s
s e u l e m e n t 6 h o m m e s
s u r
1
d on né es par a m o u r, c o n tre
-f
Particulièremen
articulièrementt agréable pour les deux amants,
L::J omme un crabe rétractant ses pinces, f femme replie sur son ventre ses
découlera est i n f i n i ~ L'homme, de son côté, peut caresser le torse de s partenaire ou,
u contraire, s'accmcher à se
sess genoux pour régler l'éèartemen t des
des ambe
ambes.
s.
1;\ ~ Ju C r d ~ : 1
ette posture n'est p s des plus courantes ct l faut une réeHe communion entre les
., deux amants pour parvenir à l réaliser. T o ~ t è f o i s eHee permet de découvrir le corps de
eH
forte, d'
d 'intenscs vibrations. ct un vrai bonheur pour l femme comme pour J'homme
j» ft ten tiea a
L e s hom m e
:> P
s , sa n s d o u t
e p a r un d é s
e u r v ir ilité , i r d a f f i r m e
t e n d ra i e n t r
à s u r e s tim e r
e u r vie notablem en
p a s s é e . A i n s t
e xu e ll e me n i . ils a u r a i e
nt connu
t e n m oy e
n n e 2 .7 p a
u r a n t le s c i r te na i re s
n q an n ées p
ss é e s c o n
. 4 p a r t e n a t r e se u le m e
i r e s p o u r le n t
s f e m m e s ..
e rt es l y
a u n p e u p lu
s d e fe m m e
h o m m e s da n s q ue
s l p o p u l a t
io n .
M a i s là
..
. s e e l c e r
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u e a n l OUJ e l a i rl s
I l ]3 i e n r u e u .
f a ; ou :; b f } c O l i / r a i r
e n p a r f oi s e ,
, e n ls s e m Ou
u e r e r
C OJ p o r
l1 e n
r J e u x s e X r e o r e n o ,
a n a u r e sp C 1 ; U e
;
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e ; J r . \
r' .
, r fo nG Ue s
a J( , s es J r o .
J
. ? _ Chapitre 7J
r )ecltOfl -
( JC â m a i W '
-
d e.
l l e m o n
nf s à l o u
n oi en ne
r n e c o
es d a m o u r u a n d .
prahru
i es s n ùnp o d e
l
n p l u
p a s n o
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e s e fo n t n 2 - C .
C ap ilr
e lles lr a - 0eclio .'
; : ;: : :
Xâ m a c { j
~
f un
d une
une souplesse à toute épre
épreuve
uve
. if.
~
L a f mm dev ie n t un e eur s crée
quan
qua nd l homme
homm e sait être
être attention né et doux
doux .
r)
/
Sans ucun dou t e l plus difficile des positions à réaliser
( 11\
1\,, .......
\
J 6l) s passionnés de gymnastiqu e et de souplesse vont être ravis Cette posture.
f ~ ' -
_ , _ qui se déroule en quatre phases. n é e s s i t ~ effet un grand entraînement et
de sa part
part..enaire. sans sortir son pénis du vagin.
de son amant.
Qh' c/ ~ ;e u t : Z J eIl1bof// .
r . e cOniU1Ue
Oes lass é · so COUL Se en;.é
/ 0 o es lL ous l he > //f 'T. ee, sons s o u e · J
, Ges d lo n y s. r Oe,r p o leo u ,\;
j
hab
habitu de, mais sy nonyme d un plaisirr certain.
plaisi
/ .
J p a s d o i u e n l 8 r e
l r a n e m e I l / i o r w e r
\
e n ls r e l e s c 5 b â s
" 1 ) r i J e rs e fl l a i ; { e m u n .e
j u , i l s e I ; C ;Î I /( W I
a n t
f l t r n i o r / s e ; w e l l e s r ; . b i e n e n l e n c
p r a l / r é s p e n d k l j o u i s s a / 1 c e . 1
a u y i n e r l t a l ù m e
A
\
rS{} ra rSec io
ioPP 2 G / l a p i lr e 2 )
1
\
fi:; eUe variante du congrès suspendu offre l avantage. non n églige able
avec Jll ains Celle-ci garde en effet un pied au sol. tandis que ; on autre
ses cuisses; pour l femme. à se hisser sur la pointe des pieds le plus possible.
Afjn de pimenter ce jeu amOureux ct combler i;éc;ar t entre les tailles. l amante
. .
pourra aussi chausser des e ~ c a r p i n s plus ou hauts selon la nécessité.
...
Dans ces conditions. lë congrès appuyé connaîtra une véritable réussite
:
.
,
Comp
mplici
licitt é et soupl
uple
esse rime talo
lors
rs
ette fois--ci. c'est la femme qui est dessus. qui domine l'homme.
fois
1
Celui-ci. couché sur le dos.
dos. ne ~ u t aider sa partenair = qu'en la maintenant
- -\
~ ~ \
P has e 2 : Puis. e epasse ses deux jambes sur \ f ~
le côté
côté gauche de son amant. tout en com
com
\ -, .
V .
\
-
_ :
mençant à lé caresser de ses deux mains libre. \
.. . filé masClIfù1e.
. , ' . v i fa vila _
. lé caracfen.'le ' .- , Hé sonl
1 ·
m Jesse e Imp
r
éluosl .[[; l ' Ilé. oouceu r el amen
JW ajjec JU
ls· ue fendJ'esse, fi n.
<Jano r elllln . ~ .~ ~ . 7 1
f Jances propl __ - ,sec/ion 2 ap .
leS en :Jeâma .su/r
.su/ra
a, _
fi
I l o ut b solum
ument
ent essaye
yerr cett e p ostu re
pour
po ur en go
goût er t ou t es l s save urss . .
saveur
/
:
alors la cadenc
cadencee qu elle souh,
souh,aite. L homme. pour sa part. peut
d a ; lS j1 a ;- f d
'a m o u r,
e s f e x p e r f
I I G e / u i r l a n f e u r,
e a in s r" 'T u é
propr
sa
Îl
ru com w m aJ/r esse,
' u r d e s a e u n e
l a w J u l i
le IJ r /re ss e e
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de ee m o u o e m e i l fs
s
e Ioi/ le nir co m p l e
p r u d e /l i
l ê l r e
\
l o r r e n l u e u_ e
O fi ap i /r e
7
c5tÎ / r a c5ec icJr1 2
( JC na
--1l
Quan d la m me domi
dominne l hom mephysiq
physiquemen t,
maiso # a~Uf
.
si du regard, le p laisi
l
laisirr augme n te instanta
instantanéme n t
:
~
.::::L J trouve sur le ventre tandis que l homme la pénètre
pénétration maxima
maximale.
le. Les plaisirs qui découlent de cette
le pénis-
pénis-de son partenaire prisonnier
• Si
en
c est l homme qui impose
la profondeur
\
1
qui offr
offree un aisir pa rtagé.
/
U;; rt n;
L/l OIl Il>
f ac
e _e
a l L.S
c o u pl e m e r
e n l a reo st Ïa
m u ll
li
ninzat p . e r k
l
e
s a u osa co;c c a s i o n s c
e s e l c l l
a m e se/f. O U Issa n c
e e n
.
I r u e s' s n s j J u.
l d é s o i sI e a
a u x I n l
(: J { â m a
. s û 'r
C Je < l;o
n 2 - C V
ia p i / r e 6
."
. , '
tI . ' .
e s a u lr e s
a m ? fr e , i m i le r
dé l a m € m e m
" O n p e u l O n n e u
r l c9.ne
n / e r u n e f e m m e
Il l o
a nù nau x m m e u n l i
gre
n c h a l a l / a r ue r c o
J 'o lie r ' c o
m m e l i s o l o n u n e
g r a / e r l
_ p r ë l i n e r c o m m e u n c h e v a
l
c om m e m
n , l a c h e v a u c h er
m c o ch o "
l f e a r r o n s
dé
a i n s i m i
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l'excitation de celle-ci.
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masturber D . rançaises décI décIa a
d . err rellf .
Considérée. dans l'inconscient collectif. comme une OUte pas avec e ~ e Ce chiffre. u Ilefamais
ais;;se
\.
/
\\
phie en fin d'
d'ouvrage).
\
Pratiques occultes (Aup;u)Îshadika). V â t ~ y a y ~ ~ a ~ o n ~ e Ü l e b ~ e u v a g e s
. , ...
-
- f~~ t e f o i s . pour donner une idée au lecteur du contenu de cette section. on
peut citer deux conseils de sage.
Pour accroître sa virilité. il faut compo o er un bF fJua.1 ( laIÏ s ucré o ù Douloureux. mais les Dravidiens utilisaient. paraît-
paraît-il volontiers. cet
f a" a fil/1 bowfl r U I } tes licule de bélier o cSe . l'< / Iu s sa
teslicule d cé R1bres po u r aU'lmenler fa
sad onguent dont les effets bénéfiques durent toute une vie
iy u lr se.\ lu? k,1I . p .
(lOimaor )filr
)filr a - cS . ~ i o n 7 - Cl iapilz'e 1)
.. .. ' Enfin. et puisque nous sommes dans une société où la pratique du
' ~ . o .
sexe est, hélas. devenue synonyme de danger MST. SIDA, etc.),
etc.), il
0\ l .. ;. - . d' un penls :t, il faut
. O u encore. pour accroître la longueur d'
0> 0;'
lise fi 'iclionne
iclionnerr le av ec le p OI/urlicanl r:Ie certains tflsec/
tflsec/ees lu an/ da n s
est impératif de rappeler que tout acte sexuel ne doit s'effectuer
les a.rCras e l eT/s a lÏe calmer le Jé ({vec Je flÎw e r Ie s és ame aP:. ,r'fJ1J( e Ildanl
.rCras qu''avec l'utilisation de préservatif
qu préservatifss .
, \ dà l1ui/s. ( .. .
l1ui/s. g l se produil 1 11lemee ni yradu 'f.{.<f t1 fdQIIT"({ oblrjel' 112
1 011lem
\ palien
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par le dessous
à aménayer "n l suspenJ;,
pencfj'ee p gç. je .
sous.. _Cl se couclÎer:; ;/ J.piifI ventre, laiss er a pencfj'
a l i r l l l e . r a un e O /(J(?l'llIra
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CérJfd Mermet - Larousse - 1994
D I T S
CHÉDITS PHOTOCRAPHIQUES
T ( J 1 ks i l h
I s l ( J n s de ccl OIJ\Tage: sont la propriété d :\DCAr-\ Edition,
j r ::x ce plion des g r a \ ' u t ' l ~ s Crédits agence SIPA PRESS (pages 4 8.10.16),
ancii en Ile s :
anc
PHOTOCRAPI IE
P a t r i ~ e BERCI -IERY > De::pzolle Studi o
- ssistede Philippe VOTRIN
l O D I ~ L E S
C Jm ~ I O R G : \ : \ E
} 1i\KE UP
A n n ~ b d DI:\RT
ASSISTANTE DE PL:\
PL:\TEAU
TEAU
Ca ll1iJIe TllÜlY
CONCEPTIOi\ ET RL \ L1SAIIO:\
v V o l " k { l b o Studio > Denis H f ~ R I S S O N t ric LACAl\:
Assistés de Virginie FAVRE
CALLIGRAPHIES
InlhasackINTHAVONG
III
82951 6572 2