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Épreuve blanche 1 web 0ption tout public DELF B2

ÉPREUVE COLLECTIVE 1
Compréhension de l’oral 30 minutes 25 points

Vous allez écouter plusieurs documents.


Avant chaque écoute, vous entendez le son suivant.
Pour répondre aux questions, cochez ( ) la bonne réponse.

Exercice 1 9 points
Vous allez écouter 2 fois un document.
Vous écoutez une émission à la radio.
Lisez les questions, écoutez le document puis répondez.

1. Comment Florian Roux explique-t-il la baisse du nombre de spectateurs ? 1 point


A. Par la sélection des films proposés.
B. Par la concurrence des plateformes de vidéos.
C. Par le monopole des grandes salles de cinéma.

2. Quel est le prérequis nécessaire pour participer ? 1,5 point


A. Trouver une plage horaire disponible.
B. Avoir un compte actif sur l’espace membre.
C. Disposer d’un nombre suffisant de participants.

3. Que recherchent avant tout les spectateurs, selon Florian Roux ? 1,5 point
A. Regarder des films de qualité.
B. Partager un moment convivial.
C. Bénéficier de tarifs préférentiels.

4. Quel est l’avantage d’une projection en salle pour Alexandra ? 1 point


A. La qualité sonore.
B. La taille de l’écran.
C. Le confort des sièges.

5. Que permettent les séances organisées par les écoles pour les jeunes ? 1,5 point
A. Les familiariser avec le cinéma.
B. Les encourager à venir en famille.
C. Les inciter à regarder moins de séries.

6. Pour Florian Roux, ce format permet aussi de… 1,5 point


A. s’informer sur les réalisateurs.
B. découvrir d’autres genres de films.
C. faire connaissance avec de nouvelles personnes.

7. Quelle est la perspective de Florian Roux ? 1 point


A. Poursuivre ce projet dans son cinéma.
B. Exporter ce projet dans d’autres villes.
C. Transmettre ce projet à des personnes motivées.

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ÉPREUVE COLLECTIVE 1
Exercice 2 9 points
Vous allez écouter 2 fois un document.
Vous écoutez une émission à la radio.
Lisez les questions, écoutez le document puis répondez.

1. Selon les jeunes interrogés, qu’est-ce qui manque à leur formation ? 1 point
A. Des aspects théoriques.
B. Des stages en entreprise.
C. Des formations pratiques.

2. Pour Aline Noye, le défi est actuellement… 1 point


A. d’aider les jeunes non-diplômés à trouver un emploi.
B. de préparer les étudiants à la recherche d’un emploi.
C. d’orienter les jeunes en fonction des emplois disponibles.

3. Qu’est-ce qui surprend le journaliste dans l’enquête menée auprès des jeunes ? 1,5 point
A. Ils choisissent leur orientation par hasard.
B. Ils possèdent peu d’informations sur les filières proposées.
C. Ils accordent plus d’importance à la matière étudiée qu’au choix d’un métier.

4. Pour Aline Noye, quel obstacle rencontrent les jeunes qui entrent sur le marché
du travail ? 1,5 point
A. L’exigence d’une expérience préalable.
B. L’absence d’offre correspondant à leur domaine.
C. Le décalage entre leurs attentes et la réalité du métier.

5. Quelle est l’attente principale des jeunes concernant leur premier emploi ? 1,5 point
A. Avoir un salaire important.
B. Avoir une perspective professionnelle.
C. Avoir de bonnes relations avec leurs collègues.

6. D’après le journaliste, quelle est la qualité requise par les employeurs ? 1 point
A. La flexibilité.
B. La créativité.
C. L’organisation.

7. Quelle solution proposent les jeunes pour améliorer leur formation ? 1,5 point
A. Le suivi individualisé d’un conseiller d’orientation.
B. La possibilité de s’entretenir avec des professionnels.
C. L’organisation de journées portes ouvertes dans les entreprises.

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ÉPREUVE COLLECTIVE 1
Exercice 3 7 points
Vous allez écouter 1 fois 3 documents.

DOCUMENT 1
Lisez les questions. Écoutez le document puis répondez.

1. Quelle vision de l’argent a le milliardaire ? 1 point


A. Il doit être partagé.
B. Il est nécessaire au bonheur.
C. Il correspond au résultat de son travail.

2. Comment ont parfois réagi les associations ? 1 point


A. Avec joie.
B. Avec surprise.
C. Avec admiration.

DOCUMENT 2
Lisez les questions. Écoutez le document puis répondez.

3. D’après le document, les changements d’orientation professionnelle… 1 point


A. se font de manière assez douce.
B. concernent la majorité de la population.
C. diminuent grâce au suivi des jeunes durant leur formation.

4. Pour la journaliste, qu’est-ce qui peut pousser à la reconversion ? 1,5 point


A. L’opposition à certaines valeurs de son entreprise.
B. Le manque de reconnaissance au sein de son équipe.
C. L’absence de possibilité d’accéder à un poste plus élevé.

DOCUMENT 3
Lisez les questions. Écoutez le document puis répondez.

5. Quelle est la perspective de Camille Seyete pour développer son projet ? 1 point
A. Diversifier l’offre des repas.
B. Agrandir son établissement.
C. Faire venir davantage d’étudiants.

6. Qu’est-ce qui plaît à Kimberley dans cette expérience ? 1,5 point


A. Se sentir entourée en permanence.
B. Pouvoir manger sur place sans frais.
C. Être au contact des personnes âgées.

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ÉPREUVE COLLECTIVE 1

Compréhension des écrits 1 heure 25 points

Exercice 1 9 points Comprendre un texte informatif ou argumentatif


Vous lisez cet article.

Faut-il encore suivre la règle des trois repas ?


Petit déjeuner, déjeuner, dîner… Ce rythme quotidien ne repose pas sur des
besoins métaboliques. Mais les habitudes alimentaires ont la vie dure.
Trois quarts des Français restent attachés au modèle des trois repas quotidiens,
fondé sur la convivialité. Mais cette organisation diffère selon les pays. Les Espagnols
s’autorisent ainsi deux collations supplémentaires en milieu de matinée et d’après-
midi tandis que les Suédois, après un petit déjeuner et un sandwich le midi, partagent le
repas de la journée vers 16-18 heures, auquel peut être ajouté un en-cas vers 21 heures.
En France, ce n’est vraiment qu’au e siècle avec la révolution industrielle qu’apparaît
la règle des trois repas. Le petit déjeuner permet de prendre des forces avant d’aller
travailler tandis que le dîner devient populaire avec l’utilisation généralisée de la
lumière artificielle, facilitant la prise des repas après la tombée de la nuit.
«  Prendre trois repas par jour est devenu une norme sociétale mais ce principe ne
repose pas réellement sur des besoins métaboliques. Pour certaines personnes, deux
repas équilibrés peuvent suffire », remarque Damien Galtier, diététicien-nutritionniste
au centre hospitalier Frédéric-Henri-Manhès, à Fleury-Mérogis (Essonne). S’y
astreindre n’est donc pas nécessaire pour être en bonne santé, sachant qu’il est recom-
mandé de répartir les apports caloriques dans la journée (1 800 à 2 000 kcal pour une
femme et de 2 100 à 2 700 kcal pour un homme). Mieux vaut respecter sa faim et sa
satiété et éviter certaines erreurs de timing. [...]
Le petit déjeuner n’aurait pas d’incidence sur le poids, selon des travaux américains.
Répartis au hasard en trois groupes, 300 participants en surpoids ont dû le prendre,
le supprimer ou poursuivre leurs habitudes alimentaires. Après seize semaines,
personne n’avait enregistré de gain ou de perte de poids significatifs (moins de 1 kg
perdu par personne). De plus, sauter le petit déjeuner n’avait pas incité à manger plus
aux autres repas. En revanche, faire l’impasse sur ce premier repas aurait un effet
néfaste sur les horloges biologiques périphériques : la régulation du métabolisme du
glucose, qui contrôle la glycémie et les taux d’insuline dans le sang, serait perturbée,
selon des chercheurs israéliens.
[...] L’heure des horloges n’a pas nécessairement de lien avec nos besoins alimentaires.
Pour nombre de nutritionnistes, il faut suivre naturellement sa faim, sans se forcer.
Des recommandations approuvées par une étude française montrant une association
entre l’alimentation dite intuitive et un meilleur contrôle du poids. Les participants
qui «  écoutent  » leur corps et mangent seulement quand ils ressentent la faim en
s’arrêtant quand les signaux de satiété apparaissent ont une corpulence normale avec
un moindre risque de surpoids par rapport à ceux qui n’y prêtent pas attention. [...]
Sylvie Boistard, Sciences et Avenir n° 889, mars 2021

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ÉPREUVE COLLECTIVE 1
Pour répondre aux questions, cochez ( ) la bonne réponse.

1. D’après l’article, 75 % des Français… 1 point


A. ne remettent pas en question le rythme quotidien de trois repas.
B. s’opposent au principe des trois repas par jour.
C. apprécient tout particulièrement l’ambiance des repas pris en commun.

2. Parmi les pays cités, dans lequel fait-on le plus de pauses quotidiennes
pour manger ? 1 point
A. En France.
B. En Suède.
C. En Espagne.

3. Selon Damien Galtier, … 1,5 point


A. il est possible de répartir ses besoins nutritionnels sur deux repas quotidiens.
B. les trois repas par jour sont tout à fait adaptés à nos besoins caloriques.
C. manger deux fois par jour ne paraît pas raisonnable.

4. Damien Galtier recommande donc... 1,5 point


A. de consommer tous les jours le même nombre de calories.
B. d’étaler les calories sur le nombre de repas quotidiens.
C. d’alterner les repas très caloriques et peu caloriques.

5. À quelle conclusion aboutit l’expérience réalisée auprès de 300 volontaires


en surpoids ? 1,5 point
A. Le petit déjeuner est le repas qui influe le plus sur notre poids.
B. Supprimer le petit déjeuner incite à manger plus lors des autres repas.
C. Notre poids ne dépend pas de la prise du petit déjeuner.

6. Quel impact peut avoir la suppression du petit déjeuner ? 1,5 point


A. Un dérèglement du taux de sucre dans le sang.
B. Un renforcement des défenses immunitaires.
C. Aucune incidence sur le rythme biologique.

7. Selon les experts en nutrition, quel comportement alimentaire permet


de maintenir un poids normal ? 1 point
A. Manger ce qui nous fait plaisir.
B. Se nourrir quand on a faim.
C. S’alimenter à heures régulières.

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Exercice 2 9 points Comprendre un texte informatif ou argumentatif
Vous lisez cet article.

Des reconversions de plus en plus précoces


Déçus par la vie active, nombre de jeunes adultes diplômés renouent avec
les études
C’est un modèle qui a longtemps été une caractéristique française et qui, peu à peu, se
fissure. Celui du diplôme unique obtenu dans la continuité des études secondaires,
juste avant d’entrer dans la vie active, et dont on se prévaut tout au long de sa vie. Mais
ce modèle change.
Les jeunes adultes sont de plus en plus nombreux à reprendre des études pour obtenir
un nouveau diplôme, quelques années après avoir commencé leur vie active, observe
le Centre d’études et de recherches sur les qualifications (Céreq), dans une étude
parue fin 2020. Depuis vingt ans, « ce phénomène continue d’augmenter au fil des
enquêtes  », constate Alexie Robert, chargée d’études au Céreq. La part de jeunes
qui reprennent des études dans les sept ans qui suivent leur entrée dans le monde
professionnel est ainsi passée de 14 % pour les jeunes diplômés en 1998 à 23 % pour
ceux sortis en 2010, tous niveaux de diplômes confondus. Et c’est sans compter toutes
celles et ceux qui se reconvertissent au moyen des formations courtes non diplômantes. 
Comment l’expliquer  ? Par les difficultés d’insertion professionnelle tout d’abord.
L’âge moyen d’accès à un premier emploi stable est passé de 20 ans en 1975 à 27 ans
aujourd’hui, selon une étude du Conseil économique, social et environnemental. « La
transition entre études et marché du travail s’est fluidifiée pour les plus favorisés,
mais elle est devenue plus floue et labyrinthique pour les autres. L’enjeu de ces
reprises d’études est souvent de s’assurer un poste stable et un niveau de rémunération
correct », estime le sociologue François Sarfati, chercheur au Conservatoire national
des arts et métiers (CNAM).
La propension à reprendre ses études en début de vie active touche tous les niveaux de
diplôme, note le Céreq. Mais ceux qui ont un niveau baccalauréat sont les plus enclins
à revenir sur les bancs de l’enseignement supérieur. [...]
La majorité de ces jeunes cherchent à obtenir un diplôme de niveau supérieur à celui
obtenu dans le cadre de leur formation initiale, comme Betty Febvay. Après son BTS
commercial, elle a travaillé cinq ans dans la vente, d’abord en magasin puis comme
téléconseillère. Elle a ensuite repris un bachelor en marketing digital en alternance
[...]. «  J’avais le sentiment d’être peu reconnue dans mon travail, que les métiers
de la vente n’étaient pas valorisés et qu’il me fallait obtenir un diplôme bac + 3 pour
progresser », estime l’apprentie [...].
Ces reconversions précoces posent aussi la question de l’orientation post-bac. La
déception face à la réalité d’un métier, et le mal-être qu’elle peut engendrer, revient
dans de nombreux témoignages. [...]
Sylvie Lecherbonnier, Le Monde Campus, 8 avril 2021

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ÉPREUVE COLLECTIVE 1
Pour répondre aux questions, cochez ( ) la bonne réponse.

1. Quel est le thème principal abordé dans cet article ? 1 point


A. L’entrée des jeunes diplômés sur le marché du travail.
B. La reprise d’études chez les jeunes actifs.
C. Les conditions d’accès à la formation professionnelle.

2. En termes de diplôme, à quel changement assiste-t-on en France depuis 20 ans ? 1,5 point
A. De plus en plus de Français accumulent les diplômes avant d’entrer dans la vie active.
B. Le diplôme de la formation initiale reste suffisant pour évoluer dans une carrière.
C. Les jeunes actifs sont de plus en plus nombreux à compléter leur formation initiale
avec un autre diplôme.

3. Quelle proportion des jeunes diplômés de 2010 reprend une formation,


diplômante ou non, dans les sept années suivantes ? 1,5 point
A. 14%.
B. 23%.
C. Plus de 23%.

4. D’après F. Sarfati, quelle est la préoccupation majeure des jeunes actifs ? 1,5 point
A. Trouver un emploi sécurisé et convenablement rémunéré.
B. Combler un manque de compétence dans leur poste actuel.
C. Anticiper le risque de la perte de leur emploi.

5. Les actifs ayant obtenu leur baccalauréat sont davantage… 1 point


A. encouragés à
B. contraints à … reprendre des études.
C. susceptibles de

6. Pourquoi Betty Febvay s’est-elle écartée des métiers de la vente ? 1 point


A. Elle s’est désintéressée des tâches commerciales.
B. Elle a ressenti un manque de reconnaissance professionnelle dans ce domaine.
C. Ce secteur est trop compétitif et les salaires y sont trop bas.

7. Quel autre problème soulève la reconversion rapide des jeunes actifs ? 1,5 point
A. L’importance du choix des études supérieures après le baccalauréat.
B. La valorisation des rémunérations en début de carrière.
C. La difficulté pour les jeunes diplômés à s’adapter à la vie active.

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Exercice 3 7 points Comprendre le point de vue d’un locuteur
francophone
Vous lisez ces avis d’experts sur un forum dédié à la technologie de communication.
Ils répondent à la question suivante : pour ou contre la 5G ?
(La 5G est la 5e génération des standards pour la téléphonie mobile.)

Yannis
Je trouve que le déploiement de la technologie 5G en France est une bonne nouvelle,
car cela va dans le sens du progrès et nos entreprises doivent rester compétitives
à l’international. Je suis persuadé que de nombreux acteurs économiques vont
améliorer leur productivité en passant à la 5G. Par exemple, les sociétés de logistique
pourront localiser plus précisément des marchandises en transit et ainsi réduire les
délais de livraison et les frais de stockage. Dans les usines, cela aidera à optimiser
des flux industriels et à limiter les besoins ou les pertes d’énergie. On ne le souligne
pas suffisamment, mais c’est grâce à la 5G que l’on consommera moins d’eau dans
l’agriculture et qu’on aura moins d’embouteillages sur les routes.

Éloïse
Certes, je suis d’accord qu’il faut vivre avec son temps et exploiter les opportunités
des avancées technologiques mais il faut quand même garder à l’esprit qu’en quelques
années seulement, les transferts de données ont explosé en volume et en quantité
dans le monde. Et pour suivre ce mouvement, il faut régulièrement renouveler
nos téléphones mobiles afin qu’ils restent compatibles avec le dernier cri de la
technologie. Pourtant, on sait bien que ces appareils génèrent de plus en plus de
pollution. Nous sommes lancés dans une course technologique effrénée mais nous ne
prenons pas en compte l’impact environnemental à long terme sur notre santé et sur
la faune qui nous entoure, notamment les répercussions des ondes auxquelles nous
sommes tous plus exposés.

Chloé
De mon côté, je suis mitigée sur le déploiement de la 5G. C’est vrai que nos usages
individuels vont évoluer grâce à un débit globalement plus performant. Nous pourrons
utiliser efficacement des installations connectées à la maison, comme la gestion de
la température, de la luminosité, de la consommation d’électricité. De plus, toute la
famille pourra communiquer ou travailler sur son téléphone mobile sans craindre
d’être régulièrement déconnectée. Sans oublier que la 5G va révolutionner le monde
des jeux vidéo avec les jeux 3D multijoueurs. Mais il faut reconnaître que ces nouveaux
usages vont intensifier la consommation des données et donc solliciter des serveurs
de plus en plus énergivores pour les stocker et les traiter.

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Épreuve blanche 1 web 0ption tout public DELF B2

ÉPREUVE COLLECTIVE 1
À quelle personne associez-vous chaque point de vue ?
Pour répondre aux questions, cochez ( ) la bonne réponse.

1. Le progrès technologique a rapidement amplifié les échanges de données


à travers le globe. 1 point
A. Yannis.
B. Éloïse.
C. Chloé.

2. La 5G facilitera l’utilisation des objets connectés à usage domestique,


tels que les appareils de chauffage. 1 point
A. Yannis.
B. Éloïse.
C. Chloé.

3. Le déploiement de la 5G permettra au secteur productif français


de rester concurrentiel. 1,5 point
A. Yannis.
B. Éloïse.
C. Chloé.

4. Les installations de stockage de données conçues pour pallier


la forte demande sont très consommatrices d’énergie. 1,5 point
A. Yannis.
B. Éloïse.
C. Chloé.

5. Suivre le progrès implique de s’équiper avec du matériel conforme


aux nouvelles technologies. 1 point
A. Yannis.
B. Éloïse.
C. Chloé.

6. Cette nouvelle technologie permet de rationaliser les flux routiers. 1 point


A. Yannis.
B. Éloïse.
C. Chloé.

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ÉPREUVE COLLECTIVE 1

Production écrite 1 heure 25 points

Vous travaillez en France. La cantine de votre entreprise propose de la nourriture


industrielle de mauvaise qualité. Comme beaucoup de vos collègues, vous ne
souhaitez plus y manger si les repas ne sont pas améliorés.
Vous écrivez un courriel à la directrice de votre entreprise pour lui expliquer la
situation et exprimer votre mécontentement. Vous lui rappelez l’importance d’une
nourriture saine, même si celle-ci est plus coûteuse, et vous lui proposez des
solutions pour résoudre ce problème. (250 mots minimum)

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Épreuve blanche 1 web 0ption tout public DELF B2

ÉPREUVE COLLECTIVE 1
Production et
interaction orales 20 minutes 25 points
ÉPREUVE INDIVIDUELLE

Vous tirez au sort deux documents parmi ceux proposés par l’examinateur et vous
en choisissez un. Vous disposez alors de 30 minutes de préparation.
Pendant le monologue suivi, vous dégagerez le problème soulevé par le document
que vous avez choisi, puis vous présenterez votre opinion sur le sujet de manière
claire et argumentée. Si nécessaire, vous défendrez votre point de vue au cours du
débat avec l’examinateur. Lors de la passation, les deux parties s’enchaînent.

Sujet 1
Les activités humaines repoussent les animaux
toujours plus loin
La chasse ou les loisirs ont poussé les animaux à se déplacer 70 % plus loin que
dans les années 1980, selon une étude des universités de Sydney et Deakin.
Des blaireaux au Royaume-Uni, des élans en Suède, les tortues au Texas ou encore
l’écureuil volant en Australie : tous font partie des espèces dont les déplacements ont été
fortement impactés par l’activité humaine ces 39 dernières années. […]
«  Le mouvement est essentiel à la survie des animaux, mais il peut être perturbé par
les activités humaines. Les conséquences d’un changement de mouvement des animaux
peuvent être profondes et conduire à une condition physique réduite des animaux, des
chances de survie plus faibles, des taux de reproduction réduits, un isolement génétique
et même une extinction locale », alarme le docteur Tim Doherty, auteur principal de
l’étude. Les mouvements des animaux peuvent aussi se retrouver réduits à cause des
humains avec, par exemple, l’apparition de nouvelles barrières physiques. […]
LePoint.fr, 1er février 2021

Sujet 2
Tourisme de masse : des villes font payer l’entrée
pour limiter le flux de visiteurs
[…] Dans les ruelles de Saint-Paul-de-Vence (Alpes-Maritimes), il faut souvent jouer
des coudes. Chaque année, le village de 3 500 habitants est envahi par deux millions de
visiteurs. Un candidat aux municipales propose donc de faire payer un droit d’entrée à
5 euros. « C’est déjà assez cher comme ça au niveau des restaurants et des boutiques, donc
faire payer l’entrée, non je ne suis pas du tout pour », témoigne une touriste. « 5 euros
pour le bien du village, c’est pas beaucoup. C’est un patrimoine, c’est un beau village, il y
a des artistes », affirme une autre femme.
[…] Saint-Paul-de-Vence, réputée pour ses galeries d’art, est un village mondialement
connu. Mais pour certains habitants, le tourisme de masse dénature le village. « Il y a
des gens qui vivent ici à l’année, et on n’est pas à Disneyland », clame un habitant de la
commune. En Europe, l’explosion du tourisme pousse les villes à réagir. Dubrovnik, en
Croatie, a déjà mis en place une taxe et Venise, en Italie, l’instaure dès septembre.
francetvinfo.fr, 23 août 2019

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