NF en 12810-2

CD-Reef V3 - Édition 143 - Mars 2006
Document : NF EN 12810-2 (septembre 2004) : Échafaudages de façade à composants préfabriqués - Partie 2 : méthodes particulières de calcul des
structures (Indice de classement : P93-500-2)
norme française
NF EN 12810-2
septembre 2004
P 93-500-2
échafaudages de façade à composants préfabriqués

partie 2 : méthodes particulières de calcul des structures
E : façade scaffolds made of prefabricated components -- part 2 : particular methods of

structural design
D : Fassdengerüste aus vorgefertigten Bauteilen -- Teil 2 : Besondere
Bemessungsverfahren und Nachweise
Statut
Norme française homologuée par décision du Directeur Général d'AFNOR le 5 août 2004
pour prendre effet le 5 septembre 2004.
Avec les normes homologuées NF EN 12810-1, NF EN 12811-1, NF EN 12811-2 et NF
EN 12811-3, remplace la norme homologuée NF HD 1000 (P 93-500), de décembre 1988.
Correspondances
La norme européenne EN 12810-2 :2003 a le statut d'une norme française.
Analyse
Le présent document s'applique aux systèmes d'échafaudages de façade conformes à
l'EN 12810-1. Elle définit les règles relatives à l'analyse et la conception des structures
desdits systèmes par calcul et essais, outre celles données dans l'EN 12811-1, l'EN
12811-2, l'EN 12811-3 et l'EN 12810-1.
Descripteurs
Thésaurus International Technique : matériel de chantier, échafaudage, élément
préfabriqué, conception, calcul, essai, résultats d'essai.
Modifications
Par rapport au document remplacé les exigences relatives aux essais et aux calculs ont
été modifiées.
17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 1

Membres de la commission de normalisation

Président : M BARBE
Secrétariat : M ROSSIGNOL - SFE
M AHR HUSSOR SA
AMELINE EMA
ARVAULT CEBTP
BARBE LAYHER
MME BELAMY CENTAURE SA
M BELLIER CAPEB
BEZIAT Ingénieur conseil
BOURGES CNAM
CAROFF BNTEC
CHARDOT OUTINORD SAINT AMAND
CHAVET EIFFAGE TP
CYROT SNI
DAVID FRENEHARD et MICHAUD
DE FA? CSFE
DECARVILLE ABA
DEMANGE BNBA
DESIR RETOTUB SA
DISS MILLS
FURIN JFP PROTECTION
GAGNE OPPBTP
GALBAN LNE
GANGNERAU CEBTP
GOMES PLETTAC
GOUDRON ULTRALU
MME GUEGAN AFNOR
M GUITTON ABC MINET ECHAFAUDAGES
GUNDOGAR France TRAVAIL SECURITE
GUYON ALTRAD EQUIPEMENT
JOURDAN SFJF
LE BRUN Ets LE DREZEN
LEBESQUE COFFRAMAT SNC
LELONG GTM
LESIEUR DUARIB
LEVIS COFFRALU SARL
MANIER TUBESCA
MAROTEL FOUGEROLLE
MAURICE Sté RHETAISE DE FILETS
MERIGOT MACC
MME MICHEL OPPBTP
M MONTMARTIN SGB SA
NOIROT Sté VUILLEMOT - THEDIS
PERONNIER COMABI SNC
PORTIER INRS
PROVOST PRO.G.COORDINATION
RENEVIER AFNOR

ROSSIGNOL SFE
RUFFENACH FORTAL SA
SANDBERG SFE
SARRAZY ENTREPOSE ECHAFAUDAGES SAS
TOS CAROL ULMA

Sommaire
Avant-propos
Avant-propos national
1 Domaine d'application
2 Références normatives
3 Termes et définitions
4 Calcul des structures
4.1 Généralités
4.2 Modèles d'analyse des structures
4.3 Essais à effectuer sur les configurations et les connexions
4.3.1 Essais de rigidité et de résistance
4.3.2 Essai de vibration
4.4 Essais à effectuer sur une section représentative d'une configuration de système
4.4.1 Généralités
4.4.2 Essai de type 1, vérification du comportement significatif charge-déplacement
4.4.3 Essai de type 2, vérification du coefficient de charge de flambement élastique [alpha]cr
Bibliographie
Annexe A (normative) essais types pour connexions et configurations
A.1 généralités
A.2 essai pour plans horizontaux
A.3 essais pour noeuds de systèmes modulaires
A.4 essais pour diagonales et leurs connexions
Annexe B (normative) essais de résistance au choc pour les planchers et leurs supports
B.1 objet
B.2 montage d'essai et mode opératoire
B.2.1
B.2.2
B.2.3
B.2.4
B.2.5
B.2.6
B.2.7
B.2.8
B.3 trappes des ouvertures d'accès
B.4 évaluation des résultats des essais
Annexe C (normative) essais de charge répétés pour marches soudées en aluminium
C.1 nombre d'essais
C.2 évaluation

Avant-propos
Le présent document EN 12810-2 :2003 a été élaboré par le Comité Technique CEN/TC 53 " Equipements temporaires de
chantier ", dont le secrétariat est tenu par DIN.
Cette Norme européenne devra recevoir le statut de norme nationale, soit par publication d'un texte identique, soit par
entérinement, au plus tard en juin 2004, et toutes les normes nationales en contradiction devront être retirées au plus tard en
juin 2004.
Selon le Règlement Intérieur du CEN/CENELEC, les instituts de normalisation nationaux des pays suivants sont tenus de
mettre cette Norme européenne en application : Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, Finlande, France, Grèce,
Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pays-Bas, Portugal, République Tchèque, Royaume-Uni,
Slovaquie, Suède et Suisse.
Les annexes A, B et C sont normatives.
La présente Norme européenne annule et remplace le Document d'Harmonisation européenne HD 1000 :1988 " Echafaudages
de service en composants préfabriqués - Matériaux, dimensions, charges de calcul et exigences de sécurité ".
La présente Norme européenne fait partie d'une série de normes, dont la liste est donnée ci-après.
EN 12810-1
Echafaudages de façade à composants préfabriqués - Partie 1 : Spécifications des produits.
EN 12810-2
Echafaudages de façade à composants préfabriqués - Partie 2 : Méthodes particulières de calcul des structures.
EN 12811-1
Equipements temporaires de chantiers - Partie 1 : Echafaudages - Exigences de performance et étude, en général.
prEN 12811-2
Equipements temporaires de chantiers - Partie 2 : Informations concernant les matériaux.
EN 12811-3
Equipements temporaires de chantiers - Partie 3 : Essais de charge.

Avant-propos national
Références aux normes françaises
La correspondance entre les normes mentionnées à l'article " Références normatives " et les normes françaises identiques est
la suivante :
EN 12810-1
NF EN 12810-1 (indice de classement : P 93-500-1)
EN 12811-1
NF EN 12811-1 (indice de classement : P 93-501)
prEN 12811-2
NF EN 12811-2 (indice de classement : A 49-580-1)
EN 12811-3
NF EN 12811-3 (indice de classement : P 93-501-3)

1 Domaine d'application
La présente Norme européenne s'applique aux systèmes d'échafaudages de façade conformes au prEN 12810-1. Elle définit
les règles relatives à l'analyse et la conception des structures desdits systèmes par calcul et essais, outre celles données dans
le EN 12811-1, le EN 12811-2, l'EN 12811-3 et le EN 12810-1.
Les exigences fondamentales sont données dans l'ENV 1993 et l'ENV 1999.

2 Références normatives
Cette Norme européenne comporte par référence datée ou non datée des dispositions d'autres publications. Ces références
normatives sont citées aux endroits appropriés dans le texte et les publications sont énumérées ci-après. Pour les références
datées, les amendements ou révisions ultérieurs de l'une quelconque de ces publications ne s'appliquent à cette norme
européenne que s'ils y ont été incorporés par amendements ou révision. Pour les références non datées, la dernière édition de
la publication à laquelle il est fait référence s'applique (y compris les amendements).
EN 12810-1 :2003
Echafaudages de façade à composants préfabriqués - Partie 1 : Spécifications des produits.
EN 12811-1
Equipements temporaires de chantiers - Echafaudage - Partie 1 : Exigence de performance et étude, en général.
prEN 12811-2
Equipements temporaires de chantiers - Echafaudage - Partie 2 : Informations concernant les matériaux.
EN 12811-3 :2002
Equipements temporaires de chantiers - Echafaudage - Partie 3 : Essais de charge.

3 Termes et définitions
Pour les besoins de la présente norme européenne, les termes et définitions du EN 12810-1 et du EN 12811-1 s'appliquent.

4 Calcul des structures

4.1 Généralités
Le calcul des structures des configurations du système dans le cadre de l'ensemble type de chaque système d'échafaudages à
composants préfabriqués doit être réalisé conformément aux exigences du EN 12811-1, du prEN 12811-2, de l'EN 12811-3 et
du EN 12810-1, ainsi qu'à celles de la présente norme européenne.
Le calcul des structures doit suivre l'une des procédures présentées dans le Tableau 1 ; voir également la Figure 1.
Tableau 1 Phases de calcul des structures

Il est préférable de suivre la Procédure 1. La Procédure 2 ne peut être utilisée que pour les systèmes à cadres et seulement
lorsque le coefficient cr n'est pas inférieur à 2.
Les phases 2 et 3 doivent être exécutées pour chaque configuration du système de l'ensemble type, conformément aux
exigences énoncées dans l'article 8 du EN 12810-1 :2003.
La phase 3b doit prévoir l'analyse de tous les composants et de toutes les connexions en prenant en considération leur
condition de charge la plus défavorable. Lorsque les défauts affectant les composants n'ont pas été inclus dans le modèle
d'analyse, la stabilité des composants doit être vérifiée de manière distincte.
Pour la détermination des forces et des moments internes, des méthodes de calcul élastique doivent être utilisées. Les
caractéristiques non linéaires des structures des noeuds modulaires et des plans horizontaux, déterminées conformément aux
exigences de l'EN 12811-3, doivent être utilisées dans l'analyse.
La capacité portante d'une configuration de système est atteinte :
lorsque pour une section transversale, la résistance selon le EN 12811-1 est atteinte ; ou
que la résistance d'un composant, d'une connexion ou d'un ressort, est atteinte.
NOTE
Il est à noter que ces résistances sont évaluées d'après les résultats des essais.
Dans la Procédure 1, l'équilibre du système déplacé doit être directement pris en compte en utilisant une analyse de second
ordre. Dans la Procédure 2, l'équilibre du système déplacé doit être pris en compte indirectement en utilisant une analyse de
premier ordre avec des coefficients d'amplification.
Un essai, dans la phase 4, doit être effectué sur une section représentative d'une configuration de système.
4.2 Modèles d'analyse des structures

L'aménagement des composants horizontaux et verticaux, la disposition et la fréquence des composants de contreventement et
la position et la fréquence des amarrages doivent être conformes au manuel relatif aux produits.
LaFigure 2 illustre une configuration type de système. Ce système doit être envisagé soit en effectuant une analyse
tridimensionnelle soit en le divisant en systèmes plans à vérifier séparément, à condition de tenir compte de manière adéquate

de l'interaction entre ces derniers.

La Figure 2 présente également des exemples de systèmes de substitution dans le plan vertical, perpendiculaires à la façade.
Les Figures 3, 4 et 5 montrent un exemple de système de substitution dans le plan vertical, parallèle à la façade.
Lors du traitement de tout système de substitution, les conditions aux limites doivent être choisies de manière à ce que la
réponse du système de substitution soit représentative du comportement de l'ensemble de la structure.
Les effets contraignants, déstabilisants et de charge des composants qui ne se situent pas dans le plan soumis à l'étude,
doivent être pris en considération. Tout particulièrement, bien que le système soit situé dans un seul plan, le flambement en
dehors du plan considéré doit être toujours étudié.
Le comportement significatif charge-déformation des configurations et des connexions, par exemple entre traverses, lisses,
diagonales et montants, doit être intégré dans le modèle d'analyse.
La linéarisation par des cordes selon 10.10 de l'EN 12811-3 :2002 et les hypothèses allant dans le sens de la sécurité sont
autorisées.
Figure 1 Diagramme des phases du calcul des structures

Figure 2 Exemptes de systèmes de substitution dans le pian vertical, perpendiculaires à la façade pour le mode d'ancrage
présenté

Figure 3 Développement d'un système de substitution parallèle à la façade (voir Figure 5)
Figure 4 Détail de la Figure 3

Figure 5 Exemple d'un système de substitution vertical, parallèle à la façade pour la configuration illustrée à la Figure 2
4.3 Essais à effectuer sur les configurations et les connexions
4.3.1 Essais de rigidité et de résistance

Les essais requis doivent être effectués et les résultats doivent être évalués conformément à l'EN 12811-3. Cinq essais au
moins doivent être réalisés pour chaque paramètre.
L'annexe A donne des exemples d'essais types portant sur les configurations et les connexions.
Lorsqu'une connexion ou une configuration est susceptible d'être exposée à des actions orientées dans plus d'une direction,
toute interaction significative entre ces actions doit alors être prise en considération.
NOTE 1
Généralement, il peut exister une interaction entre force normale et moment de flexion dans une connexion, mais il est
possible que l'interaction se réalise dans plus de deux directions.
Une exigence minimale veut que la résistance de calcul Rd, pour chacune des actions qui s'y rapporte, soit déterminée
distinctement, conformément aux exigences del'EN 12811-3 et qu'une équation d'interaction linéaire soit utilisée pour vérifier la
connexion ou les configurations. Pour deux actions, la formule d'interaction linéaire est donnée dans l'équation suivante (1) :

où :
FSd1 et FSd2 sont les valeurs de calcul résultant des actions, et
R d1 et Rd2 sont les valeurs de calcul des résistances.
Il s'agit généralement d'une approche allant dans le sens de la sécurité. La droite en traits discontinus tracée dans
la! Figure 6représente cette équation.
Lorsque des essais sont réalisés sous des actions combinées, il peut alors être possible de constater que les valeurs de ruine
résultantes (résultats des essais) se situent au-dessus de la droite. Dans ce cas, une approximation appropriée peut être
utilisée pour représenter la courbe d'interaction. A titre d'exemple, dans laFigure 6, la courbe représentée par un trait gras est
donnée par la relation suivante (2) :
Les valeurs caractéristiques déduites à titre expérimental doivent se situer sur ou en dehors de la courbe d'interaction.
NOTE 2
Pour certaines connexions modulaires, et en fonction des détails de construction, la force axiale à laquelle est soumis le
montant, ainsi que l'effort tranchant ou la force axiale qui s'exerce sur la traverse, peuvent influencer la résistance de calcul
de la connexion en flexion.
4.3.2 Essai de vibration

En cas de connexions dont l'intégrité dépend de l'utilisation d'une clavette ou d'un autre élément libre susceptible de se défaire
et de quitter son logement, des essais de charges vibratoires doivent être effectués conformément aux dispositions de
7.4 de l'EN 12811-3 :2002. Les exigences de 8.6 du EN 12810-1 :2003 doivent être satisfaites.
Figure 6 Relation d'interaction
4.4 Essais à effectuer sur une section représentative d'une configuration de système
4.4.1 Généralités
Les deux procédures d'analyse des structures d'un système d'échafaudage développées en 4.1 et dans le Tableau 1
conduisent à envisager deux méthodes différentes dans les essais portant sur une section représentative d'une configuration de
système.
En effectuant une analyse de second ordre (procédure 1), l'essai relatif à une section représentative d'une configuration de
système (type 1) a pour objectif de vérifier le comportement significatif charge-déplacement. En effectuant une analyse de
premier ordre avec coefficients d'amplification (procédure 2), le but de l'essai portant sur une section représentative d'une
configuration de système (type 2) est de vérifier le coefficient de charge de flambement élastique cr déterminé par calcul.
4.4.2 Essai de type 1, vérification du comportement significatif charge-déplacement

4.4.2.1 Montage d'essai

La configuration d'essai doit comprendre une section représentative d'une configuration de système située dans la partie
inférieure d'un échafaudage de façade. Lorsque le système d'échafaudage dispose de socles réglables en hauteur, ceux-ci
doivent être entièrement déployés.
En général, la configuration d'essai doit comprendre toutes les connexions et toutes les configurations pour lesquelles des
essais de détail ont été effectués afin de déterminer les paramètres de calcul statique. Les actions extérieures appliquées
induisent une force interne dans lesdites connexions.
A titre d'exemple, la Figure 7présente une configuration d'essai adaptée à un essai de type 1 du système d'échafaudage dans
lequel une diagonale intéresse trois travées et où la disposition des ancrages correspond à celle illustrée à la Figure 2.
Les conditions aux limites pour les socles réglables et l'application des charges verticales doivent être identiques dans les
modèles expérimental et théorique.
Figure 7 Exempte d'une configuration pour un essai de type 1
4.4.2.2 Procédure d'essai

La configuration d'essai doit être soumise aux charges suivantes :
a. une charge verticale sur chaque montant. La valeur de la charge qui s'exerce sur les montants intérieurs doit être égale à F v
et pour chaque montant d'extrémité égale à au moins FV/2 ;
b. au moins, une charge horizontale Fn perpendiculaire à la façade à un noeud sans ancrage ;
c. deux charges horizontales FpH parallèles à la façade à deux noeuds adjacents dans un plan horizontal sans ancrage.
La valeur de chaque charge horizontale, FH, est donnée par l'équation :
FH = Fd  np
où :
Fd est la charge de calcul due au vent appliquée au noeud, voir 8.3 dans EN 12811-1 :2003 ;
n p est le nombre de noeuds situés dans la direction du vent sur la même ligne au niveau du plan horizontal considéré.
La charge horizontale doit être approximativement égale à la valeur de calcul de la charge maximale due au vent
(voir8.3 du EN 12810-1 :2003) appliquée au noeud, multipliée par n, où n est le nombre de noeuds situés dans la direction du
vent sur la même ligne au niveau du plan horizontal considéré.
Les charges horizontales doivent être appliquées en premier. Ensuite, les charges verticales doivent être appliquées et
augmentées jusqu'à la ruine. Lors de cette opération, la structure doit être déchargée au moins une fois afin de remettre en
place les composants.
Les déplacements des noeuds doivent être mesurés là où sont appliquées les charges horizontales. Les charges verticales et
les déplacements doivent être enregistrés sur un nombre suffisant d'étapes lors des opérations de chargement et
déchargement afin de définir les diagrammes charges-déformations.
4.4.2.3 Validation du modèle de structure choisi

Une analyse statique doit être effectuée pour la configuration d'essai pour l'ensemble des charges appliquées, et les

déplacements doivent être déterminés.

Les diagrammes de déplacements des charges déterminés lors des essais doivent être comparés à ceux déterminés par calcul.
Les courbes tracées par calcul doivent aller dans le sens de la sécurité pour l'ensemble des valeurs mesurées.
4.4.3 Essai de type 2, vérification du coefficient de charge de flambement élastique cr
4.4.3.1 Montage d'essai

La configuration d'essai doit comprendre une section représentative d'une configuration de système située dans la partie
inférieure d'un échafaudage de façade. Lorsque le système d'échafaudage dispose de socles réglables en hauteur, ceux-ci
doivent être entièrement déployés. La longueur et la hauteur du montage d'essai doivent refléter la disposition normale des
ancrages du système.
En général, le montage d'essai doit comprendre toutes les connexions et toutes les configurations pour lesquelles des essais de
détail ont été effectués afin de déterminer les paramètres de calcul statique, tels que la rigidité et la résistance.
Le nombre de travées doit être égal à un multiple du nombre de travées intéressées par une diagonale dans le plan vertical.
A titre d'exemples, les Figures 8 et 9 présentent des configurations de montages d'essai adaptées à un essai de type 2 des
systèmes d'échafaudage disposant d'un contreventement intéressant trois ou quatre travées.
Les conditions aux limites pour les socles réglables et l'application des charges verticales doivent être identiques dans les
modèles expérimental et théorique.
Figure 8
Figure 9

4.4.3.2 Procédure d'essai

Dans chaque plan parallèle à la façade, la charge appliquée aux montants intérieurs doit être égale à deux fois celle appliquées
aux montants extérieurs.
La charge et la procédure de chargement suivantes à appliquer au montage d'essai doivent satisfaire aux conditions ci-après :
a. charges verticales appliquées aux noeuds les plus élevés ;
b. les charges verticales doivent être augmentées progressivement jusqu'à la ruine de l'élément le plus faible de la structure ;
c. les charges verticales et au moins un déplacement significatif perpendiculaire et un déplacement significatif parallèle à la
façade doivent être enregistrés sur un nombre suffisant d'étapes lors de l'opération de chargement.
4.4.3.3 Validation de cr

Le coefficient de charge de flambement élastique cr,t déterminé à partir de l'essai doit être comparé au coefficient de charge de
flambement élastique cr,c déterminé par une analyse statique. La condition cr,c   cr,t doit être satisfaite.
a.
b.

Bibliographie
ENV 1993-1-1
Eurocode 3 : Calcul des structures en acier - Partie 1-1 : Règles générales et règles pour les bâtiments.
ENV 1999-1-1
Eurocode 9 : Conception et dimensionnement des structures en aluminium - Partie 1-1 : Règles générales - Règles
générales et règles pour les bâtiments.
a.
b.

Annexe A (normative) essais types pour connexions et configurations

A.1 généralités
Les exigences générales relatives aux essais portant sur les connexions et les configurations sont spécifiées dans
l'EN 12811-3. La présente Annexe donne des exemples d'essais souvent nécessaires.
A.2 essai pour plans horizontaux

Lorsque l'analyse de l'échafaudage est effectuée avec un calcul de systèmes plans de substitution, selon 4.2, les
caractéristiques des ressorts utilisées dans l'analyse doivent être déterminées à partir d'essais réalisés sur une configuration
des composants concernés. Le but des essais pour les plans horizontaux est de déterminer les caractéristiques suivantes en
tant que paramètres de base pour le calcul :
a. la rigidité, y compris les jeux ;
b. la résistance des connexions entre plancher et traverse ou montants.
La Figure A.1 et la Figure A.2présentent des montages types d'essai permettant de déterminer la rigidité et la résistance
perpendiculairement à la façade en appliquant une force horizontale FnH. Dans laFigure A.2, l'interaction est vérifiée avec des
charges verticales appliquées aux planchers.
La Figure A.3 et la Figure A.4 présentent des montages types d'essai permettant de déterminer la rigidité et la résistance
parallèlement à la façade en appliquant une force horizontale F pH. Dans la Figure A.4, l'interaction est vérifiée avec des charges
verticales appliquées aux planchers.
Figure A.1 Montage d'essai type pour un essai avec FnH perpendiculaire à la façade

Figure A.2 Montage d'essai type pour essais avec FnH perpendiculaire à la façade avec l'interaction Fn,h/F v
Figure A.3 Montage d'essai type pour essais avec FpH parallèle à la façade
Points additionnels devant être pris en considération :
a. les essais destinés à déterminer la rigidité minimale doivent être réalisés sans application d'aucune charge verticale au
plancher ;
b. les essais de ruine doivent tenir compte de l'interaction entre charges horizontales et verticales ;
c. le but des essais étant de déterminer la rigidité pure des plans horizontaux, il faut veiller à s'assurer que les composants de
contreventement ou de renfort de la configuration d'essai n'influencent pas de manière significative le résultat de l'essai,
même en cas de déplacements importants ;
d. un mode de ruine se traduit par le décrochage de la connexion (par exemple, crochet et traverse en U) ; pour étudier ce
comportement, le dispositif destiné à empêcher un décrochage intempestif doit être identique aussi bien pour l'échafaudage
d'essai que pour l'échafaudage réel (par exemple, une traverse inférieure d'un cadre vertical superposé).

Figure A.4 Montage d'essai type pour essais avec FpH parallèle à la façade avec l'interaction FpH/F v
A.3 essais pour noeuds de systèmes modulaires

Pour certains systèmes modulaires, les traverses, lisses, diagonales verticales et/ou horizontales sont reliées aux montants par
des connexions amovibles. Dans de tels systèmes, une partie des connexions est liée en permanence au montant tandis que
l'autre fait partie du composant à fixer. Par exemple, la connexion peut être constituée d'un manchon engagé à l'aide d'une
clavette.
Les forces internes suivantes peuvent intervenir :
a. pour les traverses et les lisses, une série ou toutes parmi celles citées (voir Figure A.5) : ± Mx, ± M y, ± M z, ± Fx, ± Fy, ± Fz ;
b. en général, pour les diagonales, ± FN (force normale).
Les essais destinés à déterminer la résistance et, le cas échéant, la rigidité et les jeux, se divisent en trois groupes :
1. essais pour une connexion et pour une force interne,
2. essais pour une connexion et pour plus d'une force interne,
3. essais pour plus d'une connexion au niveau d'un noeud.
Ces trois groupes sont représentatifs d'un grand nombre de configurations d'essais possibles ; toutefois, en fonction de la
construction particulière et du champ d'application, seuls certains des essais possibles méritent d'être effectués.
NOTE
Il convient que l'ingénieur chargé des calculs et des essais spécifie le programme d'essai nécessaire et obtienne l'accord de
l'organisme de certification.
Les essais selon 2 ne sont pas nécessaires, lorsqu'une interaction linéaire est supposée.

Figure A.5 Forces internes possibles au niveau de la connexion entre traverse ou lisse et montant
Figure A.6 Montage d'essai type pour essais de diagonales

Pour la plupart des connexions de lisses et traverses, les moments (flexion et torsion) ainsi que les déformations
correspondantes, autour de chacun des trois axes signalés dans la Figure A.5, sont importants. Ces connexions disposent
généralement d'une résistance axiale et au cisaillement appropriée, avec des déformations négligeables.
Mais dans les diagonales, la flexibilité axiale des connexions aux extrémités peut réduire sensiblement la rigidité axiale globale
du composant, avec pour conséquence une augmentation significative de la flexibilité de l'échafaudage ainsi que du
fléchissement latéral sous charge.
LaFigure A.6 montre un montage type pour la détermination de la flexibilité axiale et de la résistance des connexions dans les
diagonales. Quel que soit le système, un certain nombre de séries d'essais peut se révéler nécessaire afin de couvrir l'étendue
des angles d'inclinaison possibles.
Les montages d'essai illustrés à la Figure A.1 et à la Figure A.3 peuvent être utilisés pour les systèmes modulaires afin de
déterminer une valeur moyenne de rigidité des connexions entre les traverses, les lisses et les montants autour de l'axe vertical
(axe z, Mz) dans laFigure A.5.

Dans un montage d'essai de ce type, le déplacement mesuré est dû à la déformation de la connexion ainsi que de celle des
traverses et lisses auxquelles elle est accouplée.
Les résultats des essais peuvent varier lorsque des composants additionnels sont fixés au même noeud.
A.4 essais pour diagonales et leurs connexions

Les essais concernant les connexions de diagonales peuvent être réalisés selon la Figure A.6. Au lieu de soumettre à l'essai
une connexion simple, des essais peuvent être effectués pour les configurations entièrement triangulées au moyen de
diagonales dans l'un ou les deux plans longitudinaux. La Figure A.7 présente des exemples types.
Les essais relatifs aux configurations données dans la Figure A.7 peuvent servir à déterminer la capacité de flambement d'une
diagonale et tiennent compte de tout effet de retenue des connexions.
Lorsque des essais de ce type sont utilisés pour déterminer la résistance des connexions, il convient d'empêcher le flambement
des diagonales par des moyens appropriés.
Il est généralement préférable que la configuration à soumettre à l'essai ne contienne qu'une diagonale, tel que présenté dans
la Figure A.6 et la Figure A.7a ; en effet, dans les configurations prévoyant plus d'une diagonale, les informations obtenues
relatives à la ruine ne concerneront qu'une seule diagonale ou une seule connexion.
Figure A.7 Montages d'essai possibles pour configurations complètes avec diagonales

Annexe B (normative) essais de résistance au choc pour les planchers et leurs

supports
B.1 objet
Le but des essais de résistance au choc est de s'assurer que le plancher et ses supports offrent un minimum de robustesse.
B.2 montage d'essai et mode opératoire
B.2.1
Les plateaux, leurs supports et les montants adjacents doivent être installés conformément au manuel d'instructions. Les
composants assurant la protection latérale doivent être montés sur les quatre côtés afin d'empêcher la boule de métal de rouler
en dehors du périmètre du plancher.
B.2.2
Afin de stabiliser la configuration, des composants additionnels peuvent être fournis en dessous du plancher, par exemple, en
tubes et raccords. Ces composants ne doivent pas être positionnés de façon à influencer sensiblement et de quelle que
manière que ce soit le résultat de l'essai.
B.2.3
La boule en acier doit être de 0,5 m de diamètre et de 100 kg de masse.
B.2.4
La hauteur de chute doit être de 2,5 m mesurés entre la surface du plateau et le dessous de la boule.
B.2.5
Un coussin amortisseur doit être posé sur le plateau au point d'impact. La surface projetée de ce coussin doit être de 0,5 m 
0,5 m et son épaisseur ne doit pas dépasser 0,25 m. Lorsque le coussin amortisseur est chargé statiquement par la boule, sa
caractéristique de rigidité doit se situer entre les deux courbes à trait gras données dans la Figure B.1.
B.2.6
L'essai doit être réalisé en laissant tomber instantanément la boule à partir de la hauteur de chute mentionnée, à la verticale au-
dessus du point d'impact défini dans laFigure B.2.
B.2.7
Pour chaque groupe d'essais, les points d'impact doivent être choisis selon le Tableau B.1 et la Figure B.2. Pour un plancher
d'une largeur supérieure à 0,7 m, deux points d'impact doivent être prévus dans l'essai pour les deux paramètres, à moins de
pouvoir démontrer qu'un essai effectué à l'un des points d'impact est représentatif du cas le plus défavorable.
B.2.8
Chaque groupe d'essais doit être effectué trois fois. Pour chaque point d'impact, de nouveaux composants peuvent être utilisés.
Pour un groupe d'essais, les mêmes composants peuvent être également utilisés. Il ne doit cependant pas être effectué plus
d'un groupe d'essais sur un montage d'essai simple.
Tableau B.1 Positions de l'impact objet de l'essai

Figure B.1 Etendue des caractéristiques de rigidité du coussin amortisseur
Figure B.2 Position des points d'impact
B.3 trappes des ouvertures d'accès

Les trappes des plateaux pour les ouvertures d'accès n'ont pas besoin d'être soumises aux essais de résistance au choc.
B.4 évaluation des résultats des essais

Pour satisfaire à l'essai, la seule exigence est que le montage en essai soit toujours capable de supporter la charge statique de
la boule en acier. Des déformations permanentes ou des détériorations locales sont acceptables.

Annexe C (normative) essais de charge répétés pour marches soudées en

aluminium
C.1 nombre d'essais
Pour chaque type d'essai, au moins trois essais doivent être effectués, lorsque les types d'essais se réfèrent à l'emplacement
de la charge.
C.2 évaluation
Un essai simple d'une marche doit permettre de considérer celle-ci comme ayant satisfait à l'exigence, lorsqu'elle conserve son
intégrité structurale et ne présente aucun signe de détérioration, à en juger par sa tenue en fatigue à la fin de l'essai. Les
marches soumises à l'essai doivent être minutieusement contrôlées à l'issue de chaque essai. Une attention particulière doit
être accordée aux surfaces soudées.
Les trois échantillons d'essai doivent répondre aux critères de passage retenus pour l'essai. En cas de défaillance simple, trois
autres essais peuvent être réalisés, et l'escalier n'est réputé avoir satisfait à l'essai qu'à condition que les résultats de tous ces
essais soient conformes aux critères. En cas d'échec à l'essai de plus d'un échantillon parmi ceux du premier groupe ou de plus
d'un échantillon parmi ceux du deuxième groupe, l'escalier est non conforme à l'exigence.
Liste des documents référencés
#1 - NF P93-500-1,NF EN 12810-1 (septembre 2004) : Échafaudages de façade à composants préfabriqués - Partie 1 :
spécifications de produits
#2 - NF P93-501-1,NF EN 12811-1 (août 2004) : Équipements temporaires de chantiers - Partie 1 : échafaudages - Exigences
de performance et étude, en général
#3 - P22-311,PR NF ENV 1993-1-1 : Eurocode 3 : calcul des structures en acier - Partie 1-1 : règles générales
Liste des figures
Figure 1 Diagramme des phases du calcul des structures
Figure 2 Exemptes de systèmes de substitution dans le pian vertical, perpendiculaires à la façade pour le mode d'ancrage
présenté
Figure 3 Développement d'un système de substitution parallèle à la façade (voir Figure 5)
Figure 4 Détail de la Figure 3
Figure 5 Exemple d'un système de substitution vertical, parallèle à la façade pour la configuration illustrée à la Figure 2
Figure 6 Relation d'interaction
Figure 7 Exempte d'une configuration pour un essai de type 1
Figure 8
Figure 9
Figure A.1 Montage d'essai type pour un essai avec FnH perpendiculaire à la façade
Figure A.2 Montage d'essai type pour essais avec FnH perpendiculaire à la façade avec l'interaction Fn,h/F v
Figure A.3 Montage d'essai type pour essais avec FpH parallèle à la façade
Figure A.4 Montage d'essai type pour essais avec FpH parallèle à la façade avec l'interaction FpH/F v
Figure A.5 Forces internes possibles au niveau de la connexion entre traverse ou lisse et montant
Figure A.6 Montage d'essai type pour essais de diagonales
Figure A.7 Montages d'essai possibles pour configurations complètes avec diagonales
Figure B.1 Etendue des caractéristiques de rigidité du coussin amortisseur
Figure B.2 Position des points d'impact
Liste des tableaux
Tableau 1 Phases de calcul des structures
Tableau B.1 Positions de l'impact objet de l'essai

NF en 12810-2

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CD-Reef V3 - Édition 143 - Mars 2006

échafaudages de façade à composants préfabriqués

E : façade scaffolds made of prefabricated components -- part 2 : particular methods of

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Membres de la commission de normalisation

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4 Calcul des structures

Tableau 1 Phases de calcul des structures

4.2 Modèles d'analyse des structures

17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 10

de l'interaction entre ces derniers.

Figure 1 Diagramme des phases du calcul des structures

17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 11

17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 12

Figure 3 Développement d'un système de substitution parallèle à la façade (voir Figure 5)

Figure 4 Détail de la Figure 3

17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 13

4.3 Essais à effectuer sur les configurations et les connexions

4.3.1 Essais de rigidité et de résistance

17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 14

4.3.2 Essai de vibration

Figure 6 Relation d'interaction

4.4.2 Essai de type 1, vérification du comportement significatif charge-déplacement

17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 15

4.4.2.1 Montage d'essai

Figure 7 Exempte d'une configuration pour un essai de type 1

4.4.2.2 Procédure d'essai

4.4.2.3 Validation du modèle de structure choisi

17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 16

déplacements doivent être déterminés.

4.4.3 Essai de type 2, vérification du coefficient de charge de flambement élastique cr

4.4.3.1 Montage d'essai

17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 17

4.4.3.2 Procédure d'essai

4.4.3.3 Validation de cr

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17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 19

Annexe A (normative) essais types pour connexions et configurations

A.2 essai pour plans horizontaux

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17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 21

A.3 essais pour noeuds de systèmes modulaires

17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 22

Figure A.6 Montage d'essai type pour essais de diagonales

17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 23

A.4 essais pour diagonales et leurs connexions

17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 24

Annexe B (normative) essais de résistance au choc pour les planchers et leurs

B.2 montage d'essai et mode opératoire

Tableau B.1 Positions de l'impact objet de l'essai

17/11/2014 © 2006 CSTB - Imprimé par : SOPROVISE page 25

Figure B.1 Etendue des caractéristiques de rigidité du coussin amortisseur

Figure B.2 Position des points d'impact

B.3 trappes des ouvertures d'accès

B.4 évaluation des résultats des essais

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