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Il était une fois rien.

(version papier collector)


'Il était une fois rien' est un
livre crée par le talentueux
et mondialement connu
auteur à succès Guillaume
alias RaAaK (les Aventures
de l'Homme Invisible dans
la Dimension Invisible) qui
ne raconte en fait rien sur
pas moins de 100 pages.

Il était une
fois rien.
Le talentueux Guillaume alias RaAaK nous revient
cette année après des mois d'absences avec son
nouveau livre 'Il était une fois rien'. Œuvre
philosophique majeure qui ne manquera pas de
marquer l'Histoire et la littérature, primée aux concours
littéraires mondiaux des Rakos Productions, 'Il était une
fois rien' est, plus qu'un livre, une introspection
personelle pour un voyage auto-philosophique qui
permettra à coup sûr à tout ses lecteurs de trouver Un livre de 100 pages qui
enfin à la réponse à cette question existentielle posée
depuis les tout débuts de l'humanité, peut-on vraiment ne raconte rien.
réussir à ne rien dire sur 100 pages, car comme le
disait si bien le très célèbre Albert Einstein " La vie,
c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas
perdre l'équilibre " !
guillaume roche

5 800128 709893
Il était une fois rien.

1
Ci-dessus une photo ne représentant rien.

2
- Chapitres -

Chapitre 0 - Rien

Chapitre 1 - La Fabuleuse vie de Roger

Chapitre 2 - Johnny

Chapitre 3 - Un évènement des plus incongrus !

Chapitre 4 - La Philosophie du Néant

Chapitre 5 - Oui-Oui

Chapitre 6 - Je prends un soda

Chapitre7 - L'incroyable vie pas intéressante du village

Chapitre 8 - Le complot Illuminati

Chapitre 9 - La Jolie maison de Oui-Oui et Potiron

Chapitre 10 - Les Manchots empereurs

Chapitre 11 - Le Narrateur clos le passage sur les


manchots et reprend la non-histoire d‟une énergie
vigoureuse et optimiste.

Chapitre 12 - L'Amour, la Vie

Chapitre 13 - Le Marché
3
Chapitre 14 - Vladimir

Chapitre 15 - Insérer un Titre

Chapitre 16 - Le narrateur réfléchit un instant

Chapitre 17 - La Compassion et l'Amour du prochain

Chapitre 18 - Le règlement des problèmes de façon


diplomatique

Je dédicace ce livre à l'humanité.

El Rako.

4
Il était une fois une histoire dans laquelle il ne se passait
rien.. mais vraiment rien, rien, le néant, le vide infini, la
désolation, c'était en effet bel et bien les mots qui
caractérisait cette histoire qui n'avait rien à raconter et dans
laquelle il ne se passait rien. Une histoire ennuyante et
sans saveur qui ne possédait d‟ailleurs pas le moindre
retournement de situation de bout en bout ni même le
moindre intérêt scénaristique.

Et bien c'est pourtant cette non-histoire qu'aujourd'hui le


narrateur qui va soudainement passer à la première
personne va vous raconter ! Une histoire si vide et inutile
qu'il va d'ailleurs très souvent utiliser des points
d'exclamations pour maintenir l'attention du lecteur devant
les non-événements ! (attention préparez-vous à lire un
grand moment d‟art littéraire..)

- Bonjour donc, je suis le narrateur !

Disait le narrateur.

- Et aujourd'hui je vais vous raconter la plus non-fabuleuse


des non-histoires ! Une histoire qui bien que faisant 100
pages (un défi imposé à moi même dans la vrai vie.. oui j‟ai
que ça à foutre) ne racontera rien ! (ça va pas être dur à
écrire ça tiens..)

- Sur ce accrochez vos ceintures mesdames et


mesdemoiselles.. c‟est parti !

(je regrette déjà)

5
Chapitre 0 - Rien.

Tout commençait donc un lundi matin des plus


ordinaires dans le village le plus inintéressant et paisible
que vous puissiez imaginer, un village qui n'avait jamais
connu d'histoires et qui n'était pas prêt d‟en connaître, il
serait d‟ailleurs même vain de vous en donner une
description car celui-ci était en réalité aussi vide d'intérêt
que l‟histoire dans laquelle il se déroulait (formidable).

Tout commençait donc comme à son habitude ordinaire


dans une journée aussi normale que habituelle dans ce dit
village ... mais c'est alors que.. soudain, (!), au moment le
plus habituel de la journée et auquel on s‟y attendait.. vers
8h30 du matin, (!!!!!).. que des gens se mirent à sortir pour
entreprendre leurs activités habituelles.. chose qu'ils firent
comme à leur habitude habituelle !

"Femme s'évanouissant devant l'action trop soutenue des évènements"

6
Le lundi se succédant ainsi au mardi qui lui même se
succédait au mercredi et ainsi de suite tous les jours de la
semaine jusqu'à arriver au dimanche, jour de repos bien
mérité pour ces villageois qui n'avaient rien accomplis de
plus qu'à leurs habitudes ! Les jours se succédant aux
semaines qui elles mêmes ce succédaient au mois qui eux
mêmes devenaient des années ! Mais notre histoire étant
déjà bien assez longue nous ne dépasseront pas les trente-
deux jours.

Trente-deux jours où d'ailleurs la météo comme à son


habitude ne variera que très peu, oscillant entre pluie soleil
et nuages dans un rythme aussi habituel que monotone !
Trente-deux jours qui ne verront aussi aucun changement
dans le paysage de notre petit village (des plus banals au
passage) constitué de simples petits cailloux.. notamment
entre autres de ce sympathique petit rocher sur la droite
que nous surnommerons „Roger‟.

Chapitre 1 - La Fabuleuse vie de Roger

Roger en avait vu dans la vie, c'était un cailloux comme


on en fait plus, il était là paisible depuis des millénaires à ne
pas bouger.. et il allait d'ailleurs le rester ! .. Occasion pour
moi de vous parler aussi du petit étang qui ornait le bord du
village (toujours sur la droite), le petit Johnny !

7
Chapitre 2 - Johnny.

Aww le petit Johnny lui aussi en avait vu passé de toutes


les couleurs (surtout du bleu) et allait continuer de la sorte.
Calme, paisible et… liquide.

Chapitre 3 - Un événement des plus incongrus !

Mais c'est alors qu‟au même moment mamie Monique, la


doyenne du village sortait chercher un seau d'eau, ce
exceptionnellement à 8 h 40 au lieu de 8 h 30 du matin ! Un
événement des plus importants et remuant de ce scénario
et de cette histoire et qui venait à présent de se terminer le
seau d‟eau étant déjà plein.

Devant tant d'émotions et le fait d'avoir ainsi pu réussir à


remplir 3 lignes de scénario dans une histoire qui ne
comportait pourtant absolument rien à dire le narrateur en
profitait alors pour s‟auto-féliciter chaleureusement, ce dans
une modestie aussi grande que sa remarquable humilité.

...WAouAuuUuH t’es incroyable ! C’est juste formidable ce


que tu viens de faire !!

C’est Fantastique !! Magnifique !!!!! Fabuleux !!!!!


Fantasmagorifique !!!! (enfin je crois..)

Non mais sérieux TU DÉFONCE TOUT BOGOSS, TU


GÈRE SA RACE ! VAS-Y CONTINUE COMME CA TU
PEUX LE FAIRE !!! PLUS QU'À PEINE 92 PAGES À

8
TENIR ET T’ARRIVE À LA FIN !!! Whouuuuuuu !!!!!!
WAAaaAAAAaAaAAaaAaaAAaLLLLEeEeEeeEZZZZZZ TU
DÉCHIIiIiIiIiIIIIRRReEeEeEE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

(#crisdefemmeshystériques)

"Femmes hystériques encourageants l'auteur"

Erm.

9
Le narrateur ayant été donc revigoré la non-histoire
reprenait alors de plus belle !

Une non-histoire qui tachait à présent de se pencher sur


son propre aspect auto-philosophique.

Chapitre 4 - La Philosophie du néant.


En effet cette histoire quoi qu'en dise est en fait en
réalité bel et bien reliée à la philosophie de par son aspect
auto-néantique et sa thématique centrale, hey oui car dans
le fond la philosophie ne consiste t'elle pas à parler pour ne
rien dire, or puisque c'est bel et bien ici le cœur même de la
thématique de notre histoire que de ne rien dire, cela fait
ainsi de celle-ci une œuvre philosophique en elle-même.

Car le rien, qui à la fois l'essence même du chaos inversé


et du néant est bel et bien la chose qui fait que l'on trouve
quelque chose ennuyant ou non, or si l'on part de la
supposition que le lecteur prend un certain plaisir à lire
cette histoire (lecteur que nous remercions le narrateur et
moi même, c'est à dire moi, au passage pour son achat pas
très réfléchi) cela voudrait donc dire que le néant s'annule
par lui-même et que par conséquence à partir de rien on a
réussi à créer une œuvre intéressante et conséquente,
autrement dit, si l'on voulait appliquer la chose à l'univers
d'ordre physique on aurait réussi à créer du concret à partir
du néant et du vide puisque nous réussissons en ce
moment même à nous divertir à partir de rien ! Une
question très profonde à laquelle ne se livrait sûrement pas
Roger qui ne devait d'ailleurs même pas avoir conscience
de lui-même.

(compliqué ce livre dis-donc)

10
"Platon levant son index de manière déterminée et rationnelle"

Quoiqu'il en soit après cette petite réflexion philosophique


et afin de nous reposer l'esprit, sachant que l'auteur aime
les dessins-animés pour enfants, il était tout à fait à présent
tout à fait indiqué de parler de Oui-Oui.

Chapitre 5 - Oui-Oui

Oui-Oui était uns des villageois de notre fameux et


fabuleux gentil petit village, célibataire, il vivait seul et
gaiement à côté de son voisin, monsieur Potiron. Ce dit
Oui-Oui, amoureux des plantes et de la nature étant ce que
l‟on pourrait qualifier d‟un homme très simple qui vivait une
vie des plus normales, homme qui n'avait jamais rien
accomplis de concret durant sa vie et qui, bien déterminé,
continuait de la sorte pour la plus grande indifférence du
village, de notre histoire, ainsi que du monde entier et du
lecteur de cet ouvrage... et pourtant Dieu en était témoin
qu'il y en avait des histoires ailleurs dans le monde qui
méritaient d'êtres racontées !

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Comme la fabuleuse et légendaire histoire de la couronne
de Charlemagne, une histoire pleine de prophéties avec
des ninjas et des dentistes ! (actuellement en projet par les
Rako Productions à ce que l‟on raconte)

Quoiqu'il en soit, résolument résolu, le narrateur (moi)


poursuivait alors son non-récit !

Un récit qui commençait sérieusement à déjà le gaver


après seulement quelques pages d'écriture..

Hey oui car qui l'aurait cru mais ne rien raconter tout en
racontant quelque chose est, outre la sympathique petite
réflexion philosophique à laquelle nous nous sommes
livrés, un paradoxe des plus complexes et difficiles à
aborder pour son narrateur (moi). En effet ne rien dire est
une chose, mais ne rien dire en le disant est un métier !
seuls quelques grands politiciens y arrivants après moultes
années de practices ! Une chose à laquelle une fois de plus
ne pensez certainement pas Roger et encore moins Oui-
Oui qui était trop occupé à s'occuper de son potager
comme il le faisait à son habitude habituelle.

- Mais voyons Oui-Oui !

Disait alors Monsieur Potiron d'un air incongru et surpris.

12
- Vous plantez aussi des carottes cette année ?

- Ha Non-Non !

Rétorquais alors Oui-Oui.

- Ce sont des betteraves mon brave ami Potiron.

Une chose que Oui-Oui devait bien répéter une fois par
jour, Monsieur Potiron souffrant parfois de troubles de la
mémoire immédiate, celui-ci ne dormant en effet que très
peu de par son petit travail bénévole artistique nocturne
auquel il se livrait régulièrement.

S‟exclamait alors Roger. Des propos repris par l‟Homme


Invisible et son assistant le docteur Édouard l‟aveugle qui
s'étaient visiblement trompés de dimension.

(si vous n‟avez rien compris à cette référence, c‟est normal,


vous n‟avez aucune culture)

13
Quoiqu'il en soit ce paradoxe sur le fait de n'avoir rien à
raconter tout en le racontant avait bien épuisé les facultés
mentale(s) de notre narrateur qui allait alors prendre un
soda.

Chapitre 6 - Je prends un soda.

Re.

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Chapitre 7 - L’incroyable vie pas
intéressante du village.

Ce soda pris avait alors grâce à son sucre (que


déconseillerais au passage très fortement la maman du
narrateur qui passe son temps à manger des graines..
(dédicace si tu lis)) remis en activité les neurones de notre
narrateur (toujours moi à la 3eme personne) qui décidait
alors de suite de continuer à ne rien dire tout en le
racontant !

elp.

C'est donc à ce moment là que Roger notre rocher qui ne


faisait rien de plus qu'à son habitude continuait alors tout à
coup de la sorte ! Et à vrai dire en plus de Johnny l'étang ils
étaient en fait en réalités beaucoup dans son état, Jérôme,
Jean-Jacques, Jean-Christophe, Jean-Claude, Jean-Louis,
Jiminy, on aurait pu ainsi nommer tous les cailloux du
village, cailloux sans histoires et sans intérêt scénaristique
quelconque, à tel point que les dit villageois leur marchaient
même dessus quotidiennement !

Pour tout vous dire Monsieur Potiron en avait d'ailleurs une


belle collection dans son jardin. Un jardin qui était aussi
orné de magnifiques pissenlits et de chardons auxquels
notre bon Oui-Oui (qui au passage n'a rien à voir avec un
personnage déjà existant, son nom étant similaire à un
personnage plus connu par pur coïncidence tout comme les
noms de 'Johnny‟ et 'Roger‟ (non mais on sait jamais, déjà
que pitch fait des procès à ceux qui emploie le mot 'pitch‟
mieux vaut être prudent.. enfin bon je vais quand même
pas vous en faire tout un pitch..(tuez-moi))) venait parfois
prêter main forte ! (revenez au début de la phrase pour
comprendre)

15
" Photo du petit Roger "

Ce brave Monsieur Potiron ayant en effet perdu sa jambe


droite à la guerre (vous voyez que ça n'a rien à voir avec le
vrai Oui-Oui qui vit dans une utopie fantaisiste) et était donc
depuis lors fort embêté avec sa jambe de bois. Quelle idée
de s'être penché aussi prêt du bord du mirador lui répétait
souvent Oui-Oui.

Quoiqu'il en soit il ne se passait toujours rien de plus, et


mamie Monique ne faisait rien pour arranger les choses,
elle qui passait son temps à tricoter et à faire des mots
croisés, tenez ce n'était même pas l'hiver qu'elle avait
résolue 5 grilles et fait 3 chaussettes, deux pour Oui-Oui et
une pour Potiron ! (pas des paires hein, juste „une‟
chaussette littérale pour le coup.. oui c'est que l‟utilité de
réchauffer une jambe de bois mise à part pour la
symétrie..).

Pauvre Roger se disait alors au même moment le


narrateur, tout en se demandant sincèrement ce que les
pierres pourraient dire si elles pouvaient parler, après tout
Roger aurait peut-être bien aimé porter des chaussettes ou
ne serait-ce qu'un bonnet voir une couverture, et ça nous
ne le saurons jamais ! Et le non-savoir quand on y pense
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c'est aussi le néant et donc en soit ce que nous pouvons
qualifier de rien, et puisque le rien c'est l'histoire de ce
livre.. ce livre c'est le non-savoir ! Hors la réflexion
philosophique à laquelle nous nous sommes livrés plus tôt
nous a montrée que ce livre pouvait nous apprendre à nous
amuser à partir de rien, donc je vous le demande, qu'est-ce
que cela peut bien vouloir nous dire ?! Et bien c'est une fois
de plus une bien forte intéressante question à laquelle
n'avait sûrement cette fois-ci pas pensé Rufus. Rufus qui
était le berger Allemand de monsieur Potiron et dont la
réflexion frôlait sensiblement celle de Roger.

Une fois Rufus avait d‟ailleurs même mordu le facteur,


'l'enfoiré‟ s'était alors dit celui-ci intérieurement dans sa
réflexion canine, celui-ci s‟étant imaginé que le facteur
venait en fait voler le courrier de son maître...et Dieu sait là
aussi ce qui pouvait bien se passer dans la tête de se
chien.. sûrement autant de choses que l‟homme Invisible
pourrait en dire dans la dimension Invisible ou tout les
habitants sont muets. (au passage n'hésitez pas à acheter
mon autre roman non-autobiographique 'Les Aventures de
l‟Homme Invisible dans la Dimension Invisible‟ c'est un livre
qui fait beaucoup marcher l'imagination, c'est très bon pour
la gymnastique de l'esprit.). Quoiqu'il en soit à ce moment
précis donc, Rufus ne faisait alors rien ! ce qui là aussi,
mise à part les rares épisodes avec le facteur, ne changeait
pas beaucoup des autres personnages et protagonistes
abordés jusqu'ici, à tel point que l'on se demandait même si
ce village était bien normal … et bien pourtant croyez-moi…
il l'était.

- Wouf !

S'exclamait alors Rufus.

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- Ta gueule !

Ce à quoi rétorquer Potiron. (car oui les chiens ont une


gueule)

Puisqu‟en effet au même moment le très quotidiennement


non-attendu facteur faisait son apparition ! Pas de morsures
ni aucunes lettres ou nouvelles de la famille en revanche
pour monsieur Potiron qui tout comme Oui-Oui vivait seul.
Seul un grand et immense rien du tout dans sa boite.. tout
comme le contenu de cette histoire.

En revanche il n'en était pas de même pour Oui-Oui qui


recevait alors sa jolie facture d‟eau comme tout les 10 du
mois ! Hey oui puisque Oui-Oui était le seul du village ayant
dit oui à l'eau potable et non à l'eau du puit à laquelle les
autres disaient pourtant tout les jours oui car sans eau pas
de vie. Une bien belle facture donc à laquelle Oui-Oui allait
de suite se tacher de faire un joli chèque !

Bref 1, puis 2 et enfin 3 jours passaient ainsi après ces


évènements palpitants, 3 jours durant lesquels il ne s'était
rien passé (enfin si Oui-Oui avait envoyé sa lettre timbrée
avec le chèque), ce qui continuait de bel avec les 3
suivants durant lesquels Roger admirait toujours et
impassiblement le même bloc d'herbe devant lui. La non-
action faisant place à l'ennui qui lui même faisait place au
vide qui lui même faisait place au néant pour en revenir à la
non-action engendrée de par la non-histoire.

- Oui-Oui. ! Oui-Oui !

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S'exclamait alors Potiron !

- Mais quoi donc ?!

S‟exclamait en retour alors ce brave Oui-Oui de sa voix


virile d'une adolescente de 14 ans.

(mon dieu de l‟action se disait alors le narrateur)

- Ta pas vu ma clé de 13 ?

Rétorquais alors Potiron.

- Ha non non.

Disait alors Oui-Oui, suivi d'un très original,

- Wouf, wouf.

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de par Rufus le chien.

- Mais purée il ne se passe vraiment jamais rien dans


cette foutue histoire !

Rétorquais alors le narrateur.

.. à moins que l'histoire soit en fait cachée depuis le début


dans ces bribes de dialogues mêlées à ces infos partielles
sur ces personnages visiblement bien trop lisses dans un
village bien trop tranquille ?! Ha le narrateur en était sûr à
présent, il y avait quelque chose de pourri dans ce village,
ça sentait trop l'arnaque à plein nez.. Il fallait découvrir quoi
!

Chapitre 8 - Le complot Illuminati

Tout d'abord Rufus, son obsession avec le facteur et tout


ses 'woufs‟ si répétés, peut être que celui-ci n'était pas si
bête qu‟il le paraissait en réalité, scientifiquement on a bien
appris à des singes à communiquer par le langage des
signes, pourquoi les chiens ne le pourraient-ils donc pas via
le langage codé en morse, un wouf pour un point, deux
woufs pour un trait. Hum ça sentait l'enquête à plein nez,
dommage que l'homme Invisible avait déjà fait son caméo..

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Puis ensuite la fameuse allégorie non-homo-érotique entre
Oui-Oui et Potiron, tout ceci ne serait-il pas en réalité un
récit sur un village communiste du parti durant les années
50 avec des réfugiés essayant de cacher leur sombres
passés et qui se prénommeraient en réalité Edmund et
Heinrich ?!

Et bien non en réalité rien de tout cela car cette histoire ne


racontait rien (plus que 79 pages courage). Le Narrateur
qui avait néanmoins à présent fortement envie de raconter
quelque chose, après avoir essayé sa théorie du complot
villageois, tâché de se pencher à présent les lieux de vie de
Oui-Oui et de Potiron, car bien que la théorie que leurs
noms étaient Edmund et Heinrich ait été écartée (du moins
si l‟on en croit la non-histoire officielle) cela allait permettre
à celui-ci de pouvoir tenir quelques pages de plus.

Chapitre 9 - La jolie maison de


Oui-Oui et de Potiron

Il faut avant tout savoir que comme dit précédemment


Oui-Oui était un ami de la nature qui passait beaucoup de
temps dans son jardin, cultivant quelques betteraves ainsi
que des jolies carottes, celui-ci ayant d‟ailleurs le parfait
étalage du petit jardinier, des pelles, des sacs, des
tronçonneuses et même une petite pioche qui était
soigneusement rangée dans son cabanon de 3 mètres
carré au fond du petit jardin, petit jardin possédant une jolie
surface de 32 mètres carré, une taille idéale pour y planter
et enterrer un tas de choses et de déchets comme
s‟amusait à le dire parfois Monsieur Potiron qui possédait
lui même un jardin de la même taille qui était collé au sien.

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Un très joli jardin qui faisait évidemment de pair de par son
aspect propre et soigné avec la maison même de Oui-Oui,
une maison des plus normales dans ce village où tout se
ressemblait, quelques têtes et trophées ornés aux murs
changeait néanmoins quelque peu de la décoration des
maisons alentours, le salon étant rempli de petits trophées
de cerfs et d'éléphants ainsi que d‟un sympathique réchaud
pour se chauffer l‟hiver mais que Oui-Oui faisait aussi
parfois fonctionner durant les sombres nuits d‟étés.

- Wouf !

S'exclamait alors une fois de plus le chien de Potiron qui


visiblement venait de trouver un os dans le jardin.

- Lâche donc ça sale bête !

Rétorquait Potiron en lui reprenant vigoureusement l‟os et


le remettant à sa place dans son jardin.

- Il faut vraiment que j‟achète une déchiqueteuse j‟ai plus


de place nul part pour mes légumes !

Marmonnait-il alors tout en se grattant la barbe et en


regardant Rufus qui remuait la queue.

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Monsieur Potion aussi avait une jolie maison tout comme
Oui-Oui, moins de trophées étaient ornés au murs
cependant pour laisser place à quelques maladroites mais
néanmoins jolies reproduction de Picasso (les rouges de
ceux-ci étaient d‟ailleurs particulièrement réalistes dirons
les plus positifs d‟entres nous) ainsi qu‟à quelques
réchauds ici et là qui quant à eux fonctionnaient bien plus
régulièrement que chez Oui-Oui.

- Un pour le bois et les autres pour les déchets.

Comme Potiron se plaisait à le dire à ses voisins parfois


trop curieux. (l‟auteur de ce récit vous assure que ce n‟est
pas ce que vous pensez)

Le narrateur en ayant à présent terminé avec la


présentation des maisons de Potiron et Oui-Oui il retournait
de suite voir où ça en était pour Roger (vite vite !), et bien
figurez-vous qu‟il n‟avait pas bougé depuis le début ! Ce
brave Roger étant l‟allégorie même de cette histoire qui
n'avançait pas et ne racontait rien depuis maintenant un
sacré bon gros paquet de nombres de lignes.

Pour parer face à cela et après avoir visiblement exploré le


moindre recoin du village, si ce n‟est peut-être le cave de
Potiron qui était constamment fermée avec un cadenas, le
narrateur décidait à présent de vous parler des très
intéressants manchots empereurs !

23
Chapitre 10 - Les Manchots empereurs

Hey oui saviez-vous que le manchot empereur


(Aptenodytes forsteri) a en fait UN SEUL ET UNIQUE cri
reconnaissable propre à chaque individus pour appeler à lui
sa famille ! non mais c‟est tout de même extraordinaire
quand on y pense parce qu'en vrai ils sont des milliers à
gueuler en même temps quand ils sont tous sur la plage ! et
bien quoi qu'on en dise c‟est pourtant ce même et unique
cri qui fera que sa meu.. euh sa femelle ou son mioche
viendra à lui ! (avouez que vous êtes quand même assis
sur place devant cette information.. bon de toute façon
presque personne ne lis de livres debout donc dans tous
les cas..)

Mais ce qui m‟a toujours fasciné dans cet exemple c‟est


que le manchot empereur dit en fait peut-être un mot
complètement random et tout naz dans sa langue genre
„chaussette‟ ou „truelle‟ et pourtant l‟autre de sa famille qui
est parmi les autres centaines et milliers d‟autres manchots
empereurs sur la plage va l‟entendre et le reconnaître à la
perfection parmi les milliers de cris qui veulent dire tout et
n‟importe quoi de toutes parts en même temps !

- (brouhaha de noms et mots en tout genre)

- ChausseEEeeeEeEEEeettttte ????!!!

- Ha ? Mais c‟est ce bon vieux Gérard ! J‟arriiiiiive


GéraaaaAaaaAaaAAAAaAaAAARD !!!!!

24
(* retrouvailles sur une musique émotive et manchots qui se
prennent dans les bras.. (enfin les ailes) *)

" Manchots s'apprêtant à tourner la scène émotive des retrouvailles "

Je vous avez dit qu‟on apprendrait des choses avec ce


livre.. disait alors le narrateur plein de fierté devant son
exemple aussi utile que cette histoire. Mais le manchot
empereur me direz-vous, ce n‟est pas un pingouin ? Et bien
non ! puisque comme son nom l‟indique c‟est un manchot.
Les manchots vivant dans l'hémisphère Sud tandis que les
pingouins eux occupe le Nord (un peu comme les
Américains durant la guerre de Sécession), pingouins qui
ont en plus de cela la capacité de voler de leurs ailes,
chose impossible aux pauvres manchots qui restent cloués
au sol ! Mais en revanche la chose se complique si l‟on
parle des Anglais qui eux appellent les manchots les
„penguins‟ ou „pingouins‟ en français pour désigner les
oiseaux qui ne sont en réalités pas des pingouins mais des
manchots vivant au sud bien qu‟appelés pingouins chez
eux, Anglais qui d‟ailleurs étaient eux-mêmes en guerre
avec les Américains avant la guerre de Sécession (c'est
simple !).

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Ce petit extrait sur les pingouins et les manchots étant
achevé le narrateur revenait tout d‟un coup à son village
dans lequel il ne se passait toujours rien ! Et devinez-quoi
?! Eh bien c‟était toujours pareil ! Un fait des plus
incroyables lui rappelant que ce village n‟aurait tout de
même pas pu accueillir de manchots à ses périodes les
plus chaudes, néanmoins quoiqu‟en dise les pingouins et
les manchots supportent mieux la chaleur que l‟on ne le
pense, hey oui car saviez-vous que l‟on retrouve en fait des
manchots jusqu‟en Australie et en Afrique du Sud ! des
manchots en Afrique quoi.. il y a de quoi réfléchir quand on
mange son chocolat au nom éponyme. (“Il était une fois
rien” n‟est pas rattaché à la marque “Kinder Pinguin”)

Une chose à laquelle l‟on peut se le permettre de le


penser, Oui-Oui avait déjà réfléchit, au contraire de Roger
ou de Rufus, Rufus qui était aussi au passage parfois
affectueusement surnommé “Dolphy” de par Potiron dans
ses bons jours, ce en référence évidemment aux gentils
dauphins ornant les océans du globe. Mêmes océans où se
trouvaient donc nos manchots et nos pingouins, le tout
étant harmonieusement relié entre lui.

Mais me direz-vous, cher narrateur, et les dodos dans tout


cela ? Hey oui très bonne question (cher lecteur) les dodos
dans tout cela ?! Et bien on en avait pas vu depuis des
siècles ! Ces mêmes siècles qu‟avaient parcourus Gérard
qui quoiqu‟on en se le dise ne deviendrait un jour que du
sable. Un fait d‟ailleurs observable à la forêt de
Fontainebleau qui offre aujourd‟hui de jolies plages au fond
de ses bois (sans piscines malheureusement) ainsi que de
magnifique sentiers d‟escalades et de randonnées ce qui
n‟a, comme nous le savons tous, aucun rapport.

26
Chapitre 11 - Le Narrateur clos le passage
sur les manchots et reprend la non-histoire
d’une énergie vigoureuse et optimiste.

Désolé.

Chapitre 12 - L’Amour, la vie.

Toujours est-il qu‟après maintenant un nombre encore


plus incalculable de lignes le narrateur commençait à
prendre le pied à ne rien raconter avec beaucoup de mots
malgré le manque de non-histoire (peut-être qu‟une carrière
en politique sera envisageable après tout).

- Wouf !

S'exclamait alors une fois de plus Rufus alias Dolphy dans


une transition à présent déjà beaucoup trop de fois utilisée
par le narrateur.

En effet Monsieur Potiron sortait en fait alors au même


moment de sa cave avec ses outils à la main, ce brave
Potiron étant quelqu‟un de toujours disponible pour aider
ses voisins et leur rendre services, si tenté bien sûr que
ceux-ci furent été intéressés par la chose.
27
- Rewouf !

Se re-exclamait alors Médor euh enfin Rufus (dit Dolphy)


en sentant l‟odeur de la viande fraîchement découpée…
… de la voisine Gertrude qui venait de nous
concocter un magnifique rôti ! dont l‟odeur
(malheureusement non retranscriptible par écrit (wouah je
l‟ai écrit du premier coup et sans fautes))) ornait alors la
maison de Potiron et faisait même une poussée jusqu‟à
celle de Oui-Oui qui pour sa part était en revanche un
ferme et résolu végétarien. (tout comme hitler)

- Tu manques quelque chose !

Lui disait parfois Potiron.

- Bien cuite et avec le bon assaisonnement elle a bon goût.

En parlant de ses propres plats de viandes „exotiques‟


artisanal dont seul lui avait le secret.

- D‟ailleurs tu as planté des carottes hier c‟est ça ? ça irait


parfaitement avec !

28
- Non c‟était des betteraves et c‟était il y a une semaine..

- Ha oui des betteraves c‟est ça ! Ha ha, bon je vais allé me


détendre un peu en allant faire de la peinture et en
mangeant un petit quelque chose ça me rafraichira la
mémoire !

Quoiqu‟il en soit c‟était donc sur ce wouf ferme mais


résolu que s‟achevait ainsi cette journée durant laquelle il
ne c‟était rien passé, une journée qui ressemblait d‟ailleurs
à toutes les autres ce pour le grand malheur du narrateur
qui avait au passage quelques doutes sur les intentions et
motivations réelles de Potiron.. ce envers madame
Monique dit „mamie Monique‟ à laquelle il semblait prêter
de nobles sentiments romantiques.

" Photo du très sympathique Jean-Jacques "

Celui-ci lui ayant en effet plus d‟une fois invitée celle-ci à


venir visiter son outillage dans sa cave histoire de faire plus
connaissance, voir même de venir faire un peu de peinture
avec lui si le cœur lui en disait, un rendez-vous dès plus
galant qu‟elle avait toujours refusée respectueusement. En
29
effet mamie Monique bien que d'apparente humble
condition avait en réalité reçue une éducation des plus
exemplaires, la vie dans ce gentil et paisible village sans
histoires étant un choix de vie pour elle malgré l‟héritage
financier et éducationnel des plus correcte et honorable
qu‟elle avait reçue. Mais après tout qu‟est-ce que l‟argent
disait-elle parfois, si tous nous devons finir comme Roger à
la fin.

Roger étant son défunt mari mort par accident en tombant


dans un bloc de béton après s‟être malencontreusement
tiré une balle dans le dos par un geste maladroit (quoique
l‟exemple marche aussi pour notre bon ami Roger le rocher
qui au final deviendra comme nous l‟avons dit du sable ce
qui se rapproche de la poussière à laquelle Roger
(l‟homme) était actuellement réduit).. une chose qui nous
rapproche tout de même indirectement des dodos, hey oui
car que reste t-il aujourd‟hui de nos bons dodos si ce n‟est
quelques exemplaires empaillés et de la poussière. Aww le
cycle de la vie comme le disait si bien Mufasa dans Le Roi
Lion.

Quoiqu'il en soit toute cette réflexion philosophique nous


faisait oublier la chose la plus importante qu‟il ne fallait tout
de même pas oublier d‟omettre, c‟est que Gertrude, la
voisine de Potiron avait en fait pour sa part des vues sur
Potiron lui même ! Chose que celui-ci ne pouvait se
résoudre dans son cœur, la pauvre Gertrude n‟ayant pas
ses faveurs contrairement à la riche Monique.

Aww les voies du cœur sont impénétrable se disait parfois


Rufus entres deux gamelles de croquettes (quand il n‟y
avait pas de restes de viandes). Et il avait raison ce brave
Berger allemand ! Car l‟amour au fond n‟est-ce pas
l‟essence même de toute histoire, hors bien que cette
30
histoire ne raconte toujours rien depuis le début le narrateur
a quand réussi à vous caser une intrigue amoureuse, inerte
certes, mais une intrigue tout de même ! Il ne manquait plus
que Potiron épousailles Monique et l‟affaire était dans le
sac, nous avions notre histoire ! Sauf que non, rien de la
sorte puisqu‟une fois de plus il ne passait rien.. pas de
déclaration de flamme officielle acceptée par Monique et
point de mariage..

- Ha c‟est pas de chances !

Lui disait parfois Oui-Oui pour le consoler de son chagrin


tout en lui donnant quelques betteraves.

- Merci, mais je n'aime pas trop les carottes.

Rétorquais Potiron tandis que ses mains tremblées,


sûrement dû à la peine et au chagrin causé par un énième
refus.

Mais bon Oui-Oui ne s'en faisait pas trop, Potiron était un


gaillard solide, il avait quand même survécu tout un hiver
sans vivres avec son vieux régiment durant la guerre, il
était d'ailleurs le seul a avoir survécu avec un camarade, ça
prouvais bien sa robustesse !

Quoiqu'il en soit la journée se terminée ainsi et passait à la


journée suivante, journée dans laquelle et il ne passait
toujours et très originalement rien.

Rien, RIEN, RIEEEN, RIEEEEEEEEEN, le narrateur allait


en devenir fou, mais comment il allait bien pouvoir remplir
les 70 pages restantes ! Il avait bien pensé à spammer
quelques pages avec la même lettre ou avec le même mot
31
mais cela n'aurait pas été correct envers sa propre
conscience, on lui avait confié une mission après tout, ne
rien raconter pendant 100 pages !

- Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf !


Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf !
Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf !
Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf !
Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf !
Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf !
Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf !
Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf !
Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf !

Aboyait alors Rufus dit Dolhpy dans une soudaine


démence dans une transition que le narrateur devait à
présent vraiment arrêter d'utiliser, ce en voyant Ernest assis
sur son banc.

Ernest était le vieux monsieur du village, il passait ses


journées à regarder les passants sur le banc eeeeet voilà,
c‟était un peu près tout, même Roger (le rocher) ayant plus
d‟intérêt pour le narrateur. En revanche ce n‟était pas le cas
de Dimitri Goron Vasoulachy qui lui passait ses journées à
regarder par sa fenêtre. Oui-Oui avait d‟ailleurs déjà fait la
remarque plusieurs fois à Potiron que ce gentil Dimitri était
un petit curieux avec son joli télescope. Rien de mal placé
cependant comme le répétait parfois Dimitri qui disait juste
s'assurer de la sécurité de ses voisins, en particulier de la
jeune Angelica dont il s‟assurait de la sécurité tous les soirs
et matins tout en jetant dans le même temps un petit coup
de télescope de temps à autres vers les maisons de Oui-
Oui et Potiron afin de s‟assurer qu‟ils n‟avaient rien.

32
- Haha vil gredin filou, un jour on t‟attrapera !

Lui répondait d‟ailleurs parfois Oui-Oui quant ils se


croisaient en public. Ha il n‟y a pas à dire tout respirait la
bonne ambiance et la bonne camaraderie dans ce village..
si seulement quelqu‟un pouvait faire quelque chose sortant
de l'ordinaire ou de son quotidien suppliait le narrateur, ça
nous changerait un peu !

- Miaou !

Disait alors le chat de madame Gertrude dans une


nouvelle transition des plus originales du narrateur tandis
que celui-ci apercevait Potiron partir comme tous les jeudis
matin au marché du village.

Ha en voilà un événement digne d‟intérêt ! S‟écriait alors le


narrateur, qui bien que n‟ayant pas d‟histoire pourrait au
moins raconter et décrire ce que chacun faisait sur le
marché !

33
Chapitre 13 - Le Marché

Aww.. ce bon marché donc était l‟occasion pour les


villageois de partager rumeurs et ragots tout en vendant
leur biens et récoltes dans une belle matinée bien remplie,
mais surtout et avant tout une occasion pour eux de
partager de bons moments de camaraderies ensembles !

Potiron était un grand habitué du marché, il y venait tous


les jeudis à partir de 8 heures 30 pour venir y vendre sa
fameuse „viande exotique‟, certains en raffolaient et ça
venait mettre du beurre dans les épinards comme on disait
alors.

Oui-Oui comme à son habitude rejoignait d‟ailleurs Potiron


dans son petit business, ils partageaient un stand
ensemble, celui-ci venant y vendre ses betteraves et ses
légumes tandis que Potiron y vendait sa viande ! (ça se
marie bien ensemble dirons les plus culinaires d'entres
nous)

Après cela vers 12 heures 30 comme à leurs habitudes ils


se séparaient ainsi chacun de leur côté après une matinée
bien remplie et riche en affaires, Oui-Oui fermant boutique
tandis que Potiron de son côté allait voir les ventes
d‟outillages pour y acheter quelques nouvelles scies là
aussi comme à son habitude, ha c‟était un très grand
consommateur, au moins 3 scies par semaines étaient
achetés par notre bon et sympathique Potiron ! Potiron qui
rencontrait alors monsieur le Maire qui passait justement
par là !

34
- Bonjour monsieur le Maire !

Disait alors Potiron.

- Bonjour monsieur Potiron ! Alors vous écoulé beaucoup


de viandes ce matin ?

Répondait monsieur le Maire avec un air chaleureux.

- Ho oui monsieur, plus qu‟à l‟habitude, tenez, voici


d‟ailleurs votre part !

Oui il faut savoir que monsieur le maire et monsieur


Potiron avaient en fait conclu un arrangement, Potiron
pouvait continuer à vendre sa viande chaque semaine ce
en échange d‟un pourboire pour le maire, l‟importation de
viande exotique étant comme nous le savons tous très
réglementée ! Bref un arrangement des plus innocents qui
arrangeait tout le monde et qui permettait à Potiron de
continuer ses petites affaires et au maire de se financer sa
nouvelle piscine.

Monsieur le maire, affectueusement surnommé de par son


prénom „Ulrich‟ par ses habitants, était en revanche
quoiqu‟en dise quelqu‟un de très actif, celui-ci promouvant
souvent sa jolie ville, incitant et invitant les gens à s‟y établir
ou à venir s‟y reposer pour des vacances prolongées, Oui-

35
Oui et Potiron proposaient d‟ailleurs eux-mêmes
régulièrement leur habitations aux étrangers et vacanciers
ce à des prix très avantageux ! (surtout qu'en plus Oui-Oui
avait l'eau courante, un argument de vente des plus
convaincants que le monsieur le maire ne manquez pas de
dire aux gens de passage)

Et des vacanciers ça il y avait eu depuis l‟arrivée de


monsieur le maire, qui d‟ailleurs fut assez proche de celle
de Oui-Oui et de Potiron, la ville ayant connu un boom
économique depuis. Monsieur le maire connaissais
d‟ailleurs bien Potiron, ils avaient fait la guerre ensembles.
Pas la guerre des émeus, non une autre, plus importante.
Mais bon après vous la dire laquelle et dans quel camp
même eux ne le préféraient pas.

- Le passé c‟est le passé.

Disait Potiron quand des certains trop curieux venaient lui


poser la question.

Pourtant c‟est bête, ça nous aura fait une sous-histoire à


raconter à défaut d‟une vraie, enfin bon, nous l‟allons tout
de même pas nous mettre à philosopher sur la guerre,
parler de rien est déjà assez dur comme ça. Car en soit la
guerre qu‟est-elle si ce n‟est l‟instinct exacerbé de l‟homme
face à un ennemi donné, tout comme le narrateur face à sa
tâche, écrire sur rien n‟est-ce pas une guerre en soit après
tout. Hors comme nous le savons tous, la thématique de la
guerre est censurée sur Youtube, ce qui n‟a pas de rapport
avec le reste. Mais les dodos quant à eux, si ils ont perdus
la guerre, ce n‟est en réalité que la faute de leur propre

36
ADN, ne pondant qu‟un œuf à la fois, et n‟étant ainsi pas
capable d‟alimenter leur troupes au contraire des émeus
qui ont glorieusement gagnés la leur face à l‟homme le plus
vil et terrible des prédateurs, au même titre que le phoque,
le putois, et le chacal. Non il n‟y a pas à dire, le narrateur
n‟était pas prêt à philosopher de nouveau et à perdre le
lecteur dans l‟inception de son réflexion surexaposée qui lui
faisait dire pleins de mots compliqués à la suite sans que
ceux-ci n‟est de véritable sens entres eux.

- Meuuuuuuuh !

Disait alors n‟ont pas marguerite la vache du village mais


bel et bien Arnold le fou de service. Arnold
Scharwestsostkiline (fait incroyable ce mot n‟est pas
considéré comme une faute d‟orthographe par google doc)
qui était lui aussi un ancien vieux soldat, mais la guerre ne
lui avait pas réussi comme Ulrich ou Potiron (enfin sauf
pour la jambe), tantôt cheval, tandis arrosoir, tantôt
physicien nucléaire, celui-ci oscillait depuis lors entres
plusieurs personnalités. Ça avait d'ailleurs déjà créé des
situations cocasses, comme la fois où il avait déterré des
os dans le jardin à Potiron quand il se prenait pour le cousin
canin de Dolphy, mais bon puisque Arnold était le petit
cousin par alliance de la femme du maire on le laissait
tranquille. Femme du maire qui d‟ailleurs n‟était jamais
revenue de ses vacances au bord du lac l‟été dernier.

- Elle profite de l‟eau.

Disait alors monsieur le maire... Monsieur le maire qui allait


d‟ailleurs comme à son habitude rendre visite à Angelica

37
pour lui proposer de prendre le thé, ce que celle-ci refusait
courtoisement comme le faisait mamie Monique avec
Potiron, chose que regardait Dimitri accroché à son
télescope avec la plus vive attention, là aussi comme à son
habitude !

Et c‟est à ce moment là que le narrateur sautant de joie


découvrait qu‟il avait tenu 37 pages ! Youpi, s‟exclamait t-il
alors en secouant son clavier. Arriverait-il à tenir jusqu‟à 38
voir même jusqu‟à 39 ? Pour finalement arriver aux 100 ?
Ha le suspens était à son comble, surtout qu‟il ne voulait
une fois de plus toujours pas utiliser de vieilles techniques
faciles comme le spam du même mot pour gagner
facilement de la place..

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAÏE !

S‟exclamait alors Potiron qui venait de se couper


accidentellement avec une de ses scies.

- Elle s‟est débattue la sale (ce passage quelque peu


vulgaire pour nos plus jeune lecteurs est censuré et
remplacé par un mot lisible par tous) vilaine fille !

38
En parlant à coup sûr de sa scie alors qu‟il était en train de
faire du bricolage dans sa cave à une heure pourtant assez
tôt par rapport à ses habitudes, chose qui lui aurait pourtant
permis grâce au soleil levé et à la lumière présente de voir
ce qu‟il faisait et d‟éviter ce tragique accident.

- Ha Mince c‟est pas de chance !

Répondait alors Oui-Oui sortit venu voir ce qui allait.

- Tu veux de l‟aide ?

- Wouf ! Wouf !

Disait le chien en remuant la queue ce à quoi Potiron


répondait par la positive en emmenant Oui-Oui dans sa
cave.

Eh oui c‟était comme ça dans notre petit village, chacun


aidait son prochain face aux difficultés. L‟amour de l‟autre
primant sur tout le reste, et ça c‟était beau à voir,
notamment pour les touristes et étrangers qui étaient
toujours bien accueillis comme nous l‟avons dit plus tôt,
grâce à la générosité de certains de ses membres dont
Oui-Oui et Potiron ainsi que monsieur le maire qui
n'hésitaient pas à insister auprès d‟eux pour qu‟ils restent
prolonger leur séjours et passer une bonne nuit de repos

39
bien mérité comme dit plus tôt. Mais ils n'étaient pas seuls
dans leur tâche humanitaire car c‟était aussi le cas du jeune
et sympathique Vladimir.

Chapitre 14 - Vladimir

Vladimir, qui selon ses propres dires venait de Moscou


était un jeune et brave beau jeune homme de 48 ans, il
portait toujours un petit chapeau de cosaque, mais était
parfois un peu sauvage et vivait à l‟écart du village. Avec
Dimitri il discutaient assez souvent des choses de la vie, de
la Russie et du village, notamment de Oui-Oui Potiron ou
encore d‟Ulrich le Maire qu‟ils appelaient très
affectueusement „Gryaznny khlam nemetskogo‟.

Vladimir, naturellement bienveillant, était donc lui aussi


bien accueillant avec les étrangers et les invités pour ainsi
dire tous à venir passer la nuit chez lui plutôt que dans le
village.

- C‟est plus sûr.

Leur disait-ils, en parlant sûrement des loups rôdant la nuit


et des disparitions dont on parlaient parfois (dis donc j‟ai
bien l'impression qu‟un semblant d‟histoire se dessine dans
tout ça en creusant bien..). Mais ceux-ci refusaient
respectueusement la généreuse offre la plupart de temps,
le confort de la cabane de Vladimir et sa barbe non rasée
de 3 ans laissant relativement quelque peu à désirer.

40
Néanmoins en plus de cette passion du partage et du sens
de l‟hospitalité avec ses camarades, il faut savoir que
Vladimir partageait plus particulièrement une autre et
commune passion avec notre bon vieux Potiron, la chasse.

Plusieurs fois ils avaient ainsi parler d‟y aller ensembles,


l‟un lançant l‟invitation à l‟autre de temps à l‟autre qui
refusait respectueusement avant d‟à son tour lui lancer une
invitation pour venir prendre le thé ou venir faire de la
peinture, mais la chose n‟avait ne s'était jamais faite, car
évidemment nous ne rappellerons jamais assez, dans ce
village il ne se passait jamais rien.

- Je vous montrerai ce qu‟est un bon tireur.

Disait Vladimir.

- Et moi je vous montrerais mes pièges à Ours et ma


collection de trophées privés et de jolies peintures
artistiques dans ma cave.

Lui rétorquais Potiron avec un sourire qui cachait à peine


son impatience de vivre enfin cette aventure tant attendue
avec son nouvel ami ! (à bah tiens ça fait 41 pages)

41
Chapitre 15 - Insérer un titre

- * Bonk *

- Bonk ? Disait alors surpris le narrateur.

- * Rebonk *

Ha ce n‟était rien, c‟était juste Potiron qui bricolait toujours


avec Oui-Oui dans sa cave. Sûrement une belle machine
qu‟ils nous préparaient là pour le prochain marché du
village ! Ou alors une nouvelle recette avec une viande bien
aplati au marteau ? Qui pouvait le dire. Bref c‟était donc ça
la vie du village, une vie tranquille paisible et routinière
somme toute, tel une horloge qui faisait son „tic‟ et son „tac‟
à une seconde régulière d‟intervalle. Roger le rocher restait
toujours immobile et Johnny le petit étang était toujours
plein d‟eau. En parlant d'eau Potiron et monsieur le Maire
aimait bien aller passer du temps à l‟étang de temps en
temps, bavarder du passé et du bon vieux temps, de la
guerre, tout ça. Monsieur le maire avait d‟ailleurs une
passion particulière pour l‟eau, depuis qu‟il avait emmené
sa femme au lac l‟été dernier il allait souvent à l‟étang avec
de jeunes touristes et voyageuses après leurs avoir fait
faire le tour du village, c‟était le point culminant et final de la
visite, il revenait cependant souvent seul de sa balade
cependant, celles-ci étant souvent „indisposées‟ comme il le
disait lui même. Aww seul le petit Johnny pouvaient bien
savoir où elles étaient parties (les voix de l'amour sont
impénétrables), si seulement celui-ci était doué de la
parole.

Car après tout celui-ci n‟était fait que d‟eau, et qu'est-ce


que l‟eau sinon un cycle comme le temps, infini et perpétuel
se répétant sans cesse et à l‟infini, et comme nous l‟avons
dit en introduction, qu‟est-ce que l‟infini sinon le néant et le
néant sinon rien, donc l‟eau après tout n‟est rien tout
comme cette histoire ne raconte rien, l‟eau serait donc en

42
conséquence l‟histoire que nous racontons. Sauf que l‟eau
c‟est aussi l‟élément vital de toute chose, la source de la
vie, et cette histoire bien qu‟inutile ne raconte t'elle pas la
vie, celle de ce petit village, un vie certes monotone, inutile
et ne racontant rien d‟extraordinaire, mais la vie tout de
même. C‟est ainsi que j‟en conclue que ce livre c‟est la vie
et que vous avez certainement sauvée la vôtre en
l‟achetant ! D‟ailleurs n‟hésitez pas à aussi sauver la vie de
vos amis en leur offrant ce même livre ! (bon ne le leur
prêtez pas en revanche, outre le manque à gagner pour
moi, prêter sa vie à quelqu‟un d‟autre ça peut quand même
être dangereux)

Mais ! Disait alors le narrateur revenu à lui après cette


nouvelle réflexion philosophique digne de Rantanplan (le
chien), et les manchots dans tout ça ?! quel sens a la vie
des manchots.. dans le fond ?!! Non parce que c‟est bien
beau de parler du village tout ça, mais d‟une part on a
toujours rien à raconter et d‟autres part la question n‟est-
elle pas des plus importantes au point où nous en sommes
dans notre raisonnement psycho-sociologique ?!!!!! Et bien
les manchots n‟ont en réalité qu‟un seul but dans la vie, la
survie ! Un but qui était alors en réalité bel et bien le même
que Dimitri planqué derrière sa fenêtre sur sa chaise avec
son télescope en guettant les habitants autour de lui ! Du
moins c‟est ce qu‟il avait laissé entendre à Vladimir plus
d‟une fois au cours de leur longues conversations sur la vie
et le village en évoquant certains de ces habitants qu'il
craignait un petit peu sans néanmoins n'avoir aucune
raison logique ou censée apparente.

"Un dodo"
43
- Mais je vous en prie donc madame.

Disait alors Potiron dans unes de ses nouvelles et


nombreuses tentatives de se faire inviter pour le thé par
mamie Monique qui venait poliment de lui répondre par la
négative. Alors que celui-ci, résolument résolu, avait même
acheté un bouquet de fleures pour l‟occasion ! Enfin non,
en fait à bien y voir elles venaient sûrement de la mairie
puisqu‟on voyait encore les racines, mais vu qu‟il était
associé avec le maire c‟était tout de même un peu de son
propre argent qu‟il venait lui apporter via ce bouquet !

.. Car les fleurs elles.. ont aussi le même but que Dimitri et
les manchots, la survie !!! La différence étant que ces
dernières n‟y étant surement pas conscientes par rapport à
ces derniers. D‟ailleurs on dit parfois que la musique fait
grandir les plantes, donc la musique fait grandir les fleurs,
donc par conséquent, la musique c‟est aussi la vie en
quelque sorte puisqu‟elle participe à faire grandir celle-ci,
donc ce livre en soit.. c‟est une œuvre musicale à part
entière !!! ET je réclame haut et fort mes droits d‟auteurs à
quiconque l‟utilisera contre mon escient !!!!! (sauf pour motif
de fair-use, via l‟article 107 de l'utilisation d‟une œuvre dans
un but éducatif, culturel ou critique évidemment) Je me tâte
en revanche cependant encore assez sur le genre, j‟aime
bien le nu-metal et le metalcore mais ça me semble assez
mal approprié au vu du contenu, non je crois que ce qui le
caractérisait le mieux c‟est cette œuvre que j‟avais entendu
d‟un moine tibétain qui vivait en Argentine et qui pratiquait
du yoga avec des vaches, en fait sa musique consistait
simplement en des bruits d‟air et des frottements de micro,
je crois que c‟est ce qui se rapproche le plus de ce livre
niveau contenu. Quoique encore, si le choix complet aurait
été mien j‟aurais inventé un nouveau genre de musique, le
“silencium”. Un CD complet de 24 titres avec aucun sons ni
aucune forme d‟audio quelconque dedans (*note l‟idée*),
oui car après tout et une fois de plus qu'est-ce que je suis
en train de faire avec vous depuis le début si ce n‟est de
44
perdre notre temps communs et de ne rien raconter. Hors,
et c‟est là qu‟est l‟ironie de la chose, la lecture et l‟écriture
de cet ouvrage à pris du temps, donc en soit est-ce que l‟on
peut dire que ne rien raconter revient à perdre du temps car
au final moi, j‟aurais fait un gain financier et vous un gain
intellectuel et imaginaire certain.

Devant cette réflexion d‟une inception insoupçonnée et


plus que très profondeur le narrateur décidait alors de
prendre du recul et de réfléchir un instant.

Chapitre 16 - Le narrateur réfléchit


un instant

(Un instant plus tard)

Bon après y avoir bien réfléchis c‟est complètement idiot,


je vais retourner à décrire les non-évènements du village en
fait.

45
Chapitre 17 - La compassion et
l’amour du prochain

Nous retrouvons donc alors Oui-Oui qui sortait enfin de ces


travaux manuels de la cave de Potiron !

- Ha j‟en ai encore partout !

Disait alors Oui-Oui sur un ton jouissif mais quelque peu


agacé de s‟être sali durant tout ce travail.

- Moi aussi !

S'écriait alors Potion en regardant ses mains et son tablier


avec cependant un air beaucoup plus satisfait que Oui-Oui
sachant que le travail bien que légèrement maladroit avait
été bien fait.

- Hola les amis vous n‟avez pas vu Angelica ?

Demandait alors ce brave Maire Ulrich qui passait


justement par là.
46
- Euh.. .. pourquoi ?

Demandait alors Oui-Oui.

- Je lui avait proposé un restaurant ce soir.

Répondait alors MONSIEUR LE MAIRE.

(je sais pas j‟avais envie d'écrire en majuscule, c‟est rigolo,


comme ça vous avez l‟impression que je l‟ai crié alors que
pas du tout)

- Elle est partie chez Vladimir il y a quelques heures !

Répondait alors vigoureusement et plein d‟assurance


Potiron en pointant du doigt la direction de la cabane qui
n‟était pourtant pas visible de là où ils se trouvaient.

- Ha très bien, j‟y vais de ce pas !

47
Répondait monsieur le maire son fusil à l‟épaule en
partant voir si son rendez-vous galant était toujours
disponible.

- Hey tu m‟avait pas dit que c‟était Angelica je l‟avais pas


reconnue avec tout ces coups de marteau !

Disait alors Oui-Oui à Potiron une fois le maire partit en


parlant du fait que tous ses efforts à bricoler qui lui avaient
fait oublier sa mémoire.

- Surtout tu dit rien ! On va attendre et voir ce qui se


passe, si l‟uns des deux peut régler ses comptes avec
l‟autre on en sortira gagnant.

Répondait alors Potiron en parlant probablement des


comptes monétaires qu‟avaient monsieur le maire Ulrich et
Vladimir ensembles. Vladimir ayant à de multiples reprises
tout de même indirectement volé des clients à monsieur le
maire de par son accueil des touristes et voyageurs qui
n‟avaient pas peur de sa barbe.

- Tu avais donc tout prévu..

Disait alors Oui-Oui en se grattant la tête et le menton.

48
- C‟est bien, au moins ça fera un problème en moins, on
pourra s‟occuper de l‟autre séparément.

Continuait alors celui-ci, se félicitant que Potiron participait


ainsi à résoudre les problèmes du village pour une
meilleure vie commune et l‟harmonie de celui-ci.

- Toc, Toc, Toc.

Disait alors la main de monsieur le maire à la porte de


Vladimir. Ceux-ci étant sur le point de résoudre leurs
comptes et de régler leurs affaires ensembles. Hey oui car
c‟était comme ça dans ce village, comme nous l‟avons dit
plus haut, la camaraderie avant tout, chacun aidait son
prochain et résolvait les problèmes des autres. Chose qui
faisait que le narrateur n‟avait toujours et encore rien à
raconter !

J‟ai mal aux doigts.

Mais ! C‟est alors que soudain !!!!! La nuit tombait. Un


événement aussi habituel que ennuyant que le narrateur se
sentait néanmoins obligé de raconter.

- Bang, BONK, REBANG, BANG !! BANG !! BANG !!

49
- ...

BRATTATATATATATATATATATATAATATATATATATTAT
TAATATATATATATATATATAAATATATATATATATATATA
TATATATATATATATATATATATATATATATATAATATATA
TATATTATTAATATATATATATATATATAAATATATATATA
TATATATATATATA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

- GNnNiIiIiIAHAHAHAHAHAHAHAHAHHAHAHAAAAA !!!!

Disaient alors Vladimir et monsieur le maire tandis qu‟ils


réglaient leurs petites affaires avec leurs outils.

- SLIACHHHHK SLIACCCHHKKK, crouik crouik..

- Arrrrrwwwwgg, tu t‟en tireras pas comme ça sale bosch !

Disait alors Vladimir, quelque peu énervé de n‟avoir pas


encore réussi à trouver un terrain d‟entente équitable et
proposant alors un nouveau terrain d‟entente plus
approprié.

- BANG !

- Arggg.. Sieg.. Hhei..

- BANG !! BANG !! BANG !! BANG !! et BANG !!

50
Après avoir donc réglé leurs conflits entres eux Vladimir
allait de suite rendre une visite amicale à Dimitri, ce
néanmoins à une heure peu habituelle et un peu tardive,
vers 22 heures 30 environ, laissant monsieur le maire se
remettre de ses émotions sur place. (mais dis-donc on dirait
un semblant d‟action ! se disait intérieurement le narrateur).

- Dring dring !

Disait alors la gentille sonnette de Dimitri.

- Da ?

- C‟est Vladimir, ouvre il faut que je te parle !

Dimitri prenait alors ses petites clés ornés de deux


magnifiques porte-clés représentant un marteau et une
faucille, celui-ci étant fan d‟outillage, et ouvrait alors sa
porte.

- Mais que ce passe t-il donc Vladimir ?

Disait alors Dimitri d‟un air quelque peu rempli de


questions et d'étonnement. (il doit y avoir un meilleur mot
pour décrire ça mais là sur le coup j‟ai pas trouvé)

51
- Tu as vu Angelica ce soir ?

Demandait Vladimir.

- Euh… ermm. euuuh..enfin euh.. c‟est à dire..

Répondait alors Dimitri quelque peu embarrassé de vouloir


révélé la vie secrète d‟Angelica qui n‟appartenait qu‟à elle
même.

- Je crois qu‟ils l‟ont fait ces fous, elle a disparue, le maire


est venu en croyant que c‟était moi.. on a réglé nos
comptes mais ce n‟est pas moi, tu m‟entends Dimitri, ce
n‟est pas moi !!!

Disait alors Vladimir en secouant Dimitri tout en lui


expliquant que le maire était venu prendre des nouvelles
d‟Angelica et qu‟ils avaient finalement trouvés une solution
pacifique à leurs problèmes d‟hier et qu‟ils regardaient à
présent tout les deux fièrement et avec confiance dans
l‟avenir.

- .. Ha…

52
Répondait alors Dimitri à l‟explication de Vladimir qui en le
secouant venait de lui expliquer que le maire était venu
prendre des nouvelles d‟Angelica et qu‟ils avaient
finalement trouvés une solution pacifique à leurs problèmes
d‟hier et qu‟ils regardaient à présent tout les deux fièrement
et avec confiance dans l‟avenir.

- Je suis sûr que c‟est ces deux malades, ils en avaient pas
assez fait avec les touristes et les voyageurs, il a fallu qu‟ils
le fassent avec les villageois !

Répondait à son tout Vladimir en racontant tout les biens et


services qu‟avaient rendus Oui-Oui et Potiron au village par
le passé.

- J‟en vais en finir, et je vais en finir ce soir !!

Enchérissait-il de nouveau, annonçant probablement qu‟il


allait résoudre aussi ses problèmes avec Oui-Oui et Potiron
de façon pacifique comme il l‟avait fait avec monsieur le
maire.

- Non c‟est trop dangereux !

Surenchérissait à son tour cette foi-ci Dimitri, celui-ci ayant


peur que son ami n‟aggrave la situation à une heure aussi
tardive, en effet bien que remplis de bons sentiments il faut

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parfois faire preuve de patience et attendre jusqu‟à demain
l‟esprit calme, clair et reposé. Sonner à une heure pareil
pouvant réveiller Oui-Oui et Potiron en plein sommeil ce qui
serait très fâcheux !

- C‟est ça ou ils ne s‟arrêteront jamais !

Concluait finalement Vladimir en prenant son PPSh-41 à la


main. Celui-ci étant bel et bien déterminé à ramener la
camaraderie au plus vite au sein du village et ne pas laisser
tout le monde dormir sur une mauvaise impression.

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Chapitre 18 - La règlement des problèmes
de façon diplomatique

- Wouf ! Wouf ! Wouf ! Wouf !

S'écriait alors Rufus (ou Dolphy si vous l‟appréciez donc)


en apercevant au loin ce gentil Vladimir s'approcher, suivi
d‟encore plus loin par Dimitri, qui cependant n‟osait pas
intervenir dans leurs propos, non pas par lâcheté ou par
peur mais simplement par désir de n‟intervenir qu‟en temps
qu‟arbitre si jamais la situation venait à s'envenimer à coup
de mots que chacun des protagonistes auraient pu
regretter.

Le banc d‟Ernest en revanche était bel et bien vide à cette


heure là, celui-ci étant partit dormir tout comme les
manchots et les pingouins dans les pôles nord et sud (enfin
sauf si on prend en compte le décalage horaire
évidemment).

- Mais qu‟est ce que c‟est que tout ce raffut Rufus ?!

S'exclamait alors Potiron sortant du lit avec son bonnet de


nuit.

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- Bouge pas sale ordure !

S‟exclamait quant à lui Vladimir en pointant son fusil sur


Potiron des fois qu‟une bête sauvage ne vienne l‟attaquer
(hey c‟est moi ou il se passe un truc là ?).

" Photo de Jean-Louis, affectueusement aussi


surnommé ferrero de par ses origines espagnoles "

- Appel ton bol‟shoy gey de copain d‟à côté et dit lui de


sortir aussi !

Disait-il alors en parlant de Oui-Oui avec qui il avait des


comptes à rendre aussi.

- Tout va bien monsieur Potiron ?

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S‟exclamait alors Oui-Oui en sortant de chez lui avec un
couteau à viande à la main, celui-ci étant probablement en
train d‟éplucher ses légumes.

- On descend à la cave !

Disait alors Vladimir en faisant signe à Dimitri de


s‟approcher plus prêt au cas ou les mots viendraient à
dépasser les idées. Bien celui-ci restait cependant caché à
l‟écart, ne voulant froisser les sentiments ou l‟honneur de
Oui-Oui et Potiron en intervenant prématurément.

- Mais certainement.

Répondait alors Potiron quelque peu curieux et jouissif de


pouvoir enfin résoudre ses problèmes dans un lieu privé
tandis qu‟il prenait ses clés ornait d'un joli porte-clés
constitué d'un double S qui formait probablement les
initiales de son ancien club de vacance d'enfance.

- Je veux voir ce qu‟il y a en bas !

Disait de nouveau à son tour Dimitry, impatient de


découvrir ou Potiron et Oui-Oui faisaient du bricolage avant
de pouvoir résoudre leurs problèmes entres eux.
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- Chlik chclick, crrrrrrrrrrrrrrouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiick (c‟est le
bruit de la porte de la cave qui se déverrouille puis s‟ouvre,
c‟est pas facile à rendre en son.. pour un livre qui se veut
être une œuvre musicale vous avouerez quand même
l‟ironie de la chose.. )

- Allez-y, après vous mon brave Dimitri, c‟est juste en bas


des escaliers..

Disait alors Potiron avec un petit sourire aux lèvres, celui-ci


ayant au final visiblement l‟air d‟être ravi d‟avoir de la visite
à une heure aussi tardive. Aww ce brave Potiron, il était
toujours aussi hospitalier quoiqu‟il arrive.

Nos trois protagonistes descendaient donc tranquillement


dans la cave de Potiron.

- HO MON DIEUUUU NOOOON, MAIS QUELLE


HORREUR !!!!!

S'exclamait alors Vladimir en voyant tout le bazar dans la


cave. Il faut dire que Potiron et Oui-Oui avaient beaucoup
travaillés dans la journée et il y en avait un peu partout.

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- MAAAAAAAIS VOUS ÊTES COMPLÈTEMENTS
MAAAALAAAADE ?!!!!!!!!!!!!

S‟exclamait de plus bel celui-ci en voyant que les


pinceaux n‟avaient pas été rangés et qu‟il y avait encore de
la peinture rouge un peu partout y compris sur le plafond.
Aww de vrais artistes à leurs heures perdues qu‟étaient
Oui-Oui et Potiron.

- Ne bougez pas !

S‟exclamait alors Potiron, en pointant gentiment son


Sturmgewehr 45 sur Vladimir par peur que lui aussi soit
attaqué par une bête sauvage ou un vilain rat ! Tandis que
Oui-Oui reprenait l‟arme de Vladimir pour pas qu‟elle ne lui
fasse trop mal aux bras à force de la porter.

- Je vous avez dit que je vous montrerais ma collection..


tenez c‟est juste derrière la deuxième porte.. vas-y Oui-
Oui..

Oui-Oui donc tout content de montrer la collection privée de


monsieur Potiron ouvrait ainsi la porte à Dimitri qui
découvrait donc de ses propres yeux celle-ci.

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AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRR
RRRRRRRRRRRRRRRRGWWWWWWWWWWW !!!!!!!!!!

S'écriait alors celui-ci en voyant l‟étonnante et pour le moins


singulière collection de monsieur Potiron que celui-ci avait
amassé au fil des années. L‟odeur en revanche pouvait un
peu prendre au nez.

- GNIAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAA !

S‟écriait à son tour Potiron, heureux d‟avoir pu enfin


montrer sa collection à Vladimir depuis le temps qu‟il en
parlait.

- DIMITRI AU SECOU…

BRATATATATATATAATATTATATATATAAATATATATAAT
ATATATATATATATAATATATATATATATATATATATATAT
ATATATATATATATATATATATAATATATATATATAATATA
TATA

BRAAAATATATATATATATATATATAATATATATATATATA
TATATAATAATATATATATAATATATATATATATATAATAT
ATATAATATATAATATATATATATATAATATATATATATAT
ATATA

60
(oui il y a deux armes souvenez-vous)

- Arwwwwrgg.. ha.. aw.. ha.. votre copain le maire a déjà


essayé.. je suis resit..

REEBRATATATATATATAATATTATATATATAAATATATAT
AATATATATATATATATAATATATATATATATATATATATA
TATATATATATATATATATATATATAATATATATATATAAT
ATATATA

REBRAAAATATATATATATATATATATAATATATATATAT
ATATATATAATAATATATATATAATATATATATATATATAA
TATATATAATATATAATATATATATATATAATATATATATA
TATATATA

- ….

Pendant ce temps à l‟extérieur devant ces bruits quelques


peu étranges qui faisaient aboyer Rufus Dimitri se
demandait si il était peut-être temps d‟intervenir ou non.

- Euh. . . v.. vladimir ?

Mais pendant ce temps Potiron et Oui-Oui continuait de


plus belle à régler leurs comptes avec Vladimir qui au vu de
l‟heure tardive et tous les efforts que les négociations
demandaient avait un peu de mal à reprendre son souffle.

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- HHhhhh.. HHHhhh aaaawww….

- Wouaouwh c‟est impressionnant, j‟aurais jamais pensé


qu‟un seul corps aurait pu contenir autant de plomb !

- Ha voyons arrête de t‟amuser Oui-Oui, on a du pain sur


la planche, passe moi la scie à métaux s‟il te plait.

- Hhhh.. bande… de … hhh.. sale..

- Non pas celle-là, la scie électrique.

- Voilà je l‟aie !

- .. allez .. hhh.. vous..hh.. fa..

SCHKRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII SHBLAWFFF
SHLAWFFF SHBLAWFFF

- OUI-OUI NON ARRÊTE TU VA ENCORE EN FOUTRE


PARTOUT !!

- Mais c‟est pas ma faute ils bougent tout le temps !

- Hhh.. hhhhh…. achevez moi s‟il vous plaît.

Disaient donc alors Oui-Oui, Potiron et Vladimir dans une


discussion animée autour d‟une bataille navale et d‟une
préparation de gâteau à la fraise.

- VLADIMIR JE SUIS LÀ JE VAIS TE SAUVER !!!!

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Disait alors Dimitri en défonçant la porte et lançant
héroïquement une poignée de grenades dans la cave.
Tandis que mamie Monique arrivait soudainement par
derrière avec son calibre 32 à la main.

- Le magot est à moi bande de sales pervers !

- HOURRRAAAAAAAAWWWWW !!!!!!! (chlick)

- HO LE … !!!

- Bang bang

- aye.

- Wouf wouf !

- boum.

Et c‟est ainsi qu‟un problème de plus fut résolu dans ce


charmant et paisible petit village dans lequel il ne se passait
rien et d'ailleurs ne s'était jamais rien passé.

Fin.

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euh..

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erm.

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Eeeeeeeeet ... !!

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..fin !

(fiou c'était facile)

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Je tiens à remercier avant tout mon cerveau sans qui rien
n'aurait été possible mais aussi ma mère, le président, et
plus encore mon chat noir, Carbonne, qui m'aura
grandement inspiré durant ses longues siestes de 18
heures. Je tiens aussi à remercier tout les gens ayant
acheté ce livre (vous) et qui me permettent ainsi de réaliser
mon rêve.. un voyage à Disneyland en Californie dans un
hôtel 6 étoiles. Bien évidemment ces remerciements ne
seraient pas complets en remerciant évidemment utip qui
m'a permis de vous avoir vendu ce sublime ouvrage qui
aurait été sûrement refusé partout ailleurs pour raison de
droits d'auteurs et 'd'incohérences scénaristiques' (ils ne
savent pas ce qu'est l'art tsss). Enfin pour finir je tiens aussi
à remercier l'Homme invisible qui a toujours été une
présence bien précieuse pour moi, celui-ci m'ayant permis
d'y voir plus clair durant l'écriture de ce formidable non-
scénario. Que celui-ci bénisse la France, le maréchal, et la
patrie.

En vous souhaitant tous un joyeux mois d'avril,

- RaAaK, alias Guillaume R.

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PAGE BONUS !!!!

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