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HABITAT SEMI

COLLECTIF
recherche
1-Introduction :
≪ Produire un espace, c’est d’abord aménager des relations
sociétales, organiser les proximités et les distances, tracer les
limites entre un dedans et un dehors,……, l’espace habité est
donc, un espace orienté selon la culture de référence ≫ Chambart
De Lawe)

≪ étudier l’habitat, c’est observer l’image de la société inscrite sur le sol ;


étudier le plan du logement, c’est analyser les rapports entre la vie d’une
famille et le cadre qu’elle a pu se donner ou que la société lui a composé ;
étudier les transformations de l’habitat et du logement c’est étudier les
transformations de la famille ≫ ( Chambart De Lawe)
habitat
■ L’habitat est la première pensée de l’homme depuis longtemps à cause des conditions naturelles
et climatiques qu’il les rencontres, sa fonction primaire est celle de protection et d’abri contre les
forces de la nature mais également de sauvegarde des provisions, et comme l’habitation est une partie
intégrante de l’environnement, elle devait offrir un confort et un bien être au résident, nous avons
plusieurs type d’habitat on parle sur l’habitat semi collectif, ce type d’habitat offre une meilleur
solution qui permet de réduire les problèmes de densification, les grandes hauteurs les espaces
communs,……..et considère comme une réponse aux enjeux de 21e siècle en matière de
développement durable.
La notion d’habitat prend des expressions diversifiées (habitation, maison, domicile, villa, demeure,
abri, appartement…..) ces formes différentes, résultat de l’environnement sociale, donc l’habitation
représente simplement la maison ou le logement du point de vue de disposer harmonieusement des
pièces pour former un ensemble et de la distribution de l’espace (hall, couloir).

D’après le petit Larousse habitat est un non masculin signifie qui désigne :
1-Territoire ou aire dans la quelle vie une population, une espace animale ou végétale particulière.
2-géographiquement mode de peuplement par l’homme des lieux où il vit : habitat urbain ou rural.
3-ensemble des conditions des faits relatifs à habitation et au logement. (Le petit la rousse)
Donc nous avons logement + modes de vie = habitat.
■ 2.5 Habitat :
■ C´est l´espace résidentiel et le lieu d´activités privées de repos, de récréation, et de vie familiale
avec
■ leur prolongement d´activités publiques, le terme habitat signifie quelque chose de plus que
d´avoir
■ un toit et quelques mètres carrés à sa disposition.
■ Enfin, il signifie être soit même c´est à dire intégré avec son environnement.
■ 2.6 Habiter
■ Habiter est une action culturelle différente de se loger constitue une dimension essentielle dans
■ l´évolution personnelle et la dynamique des groupes sociaux,le mode habiter est déterminé par les
■ besoins fondamentaux de l´homme, ses croyances, ses
■ coutumes, ses aspirations et son mode de vie.
■ 2.7 Le logement :
■ Le logement est une unité fonctionnelle où l’organisation de l’espace répond aux normes
culturelles
■ de la société et de l’époque, le logement se caractérise par son type (maison individuelle,
■ appartement), par ses dimensions (surfaces, nombre de pièces), par son âge (date de construction
ou
■ date de réaménagement).
Différence : habitat et logement

■ Entre habitat et logement, notre réflexion a porté ici prioritairement sur l'habitation, dont nous
■ avons essayé de mettre en avant les diverses facettes. Nous préférons ce concept à celui
d'habitat,
■ sans doute trop large lorsqu'il s'agit, comme c'est notre cas, de se focaliser uniquement sur les
■ problématiques immobilières.
■ Logement + modes de vie = habitat.
■ Le logement et son organisation sont intimement liés aux modes de vie qui s’y déploient.
■ La notion d’habitat invite ainsi à dépasser celle du logement, trop imprégnée d’une conception
■ purement économique d’un produit immobilier. Davantage que quatre murs et un toit, l’habitat est
■ beaucoup plus complexe et son étude conduit à la croisée des chemins disciplinaires différents.
3 Type d’habitat :
■ L’habitat peut avoir divers types par rapport à certains paramètres soit de production soit
■ d’administration et autres.
■ selon le mode de construction ou de production des logements : On distingue :
■ 3.1 L'habitat planifié : Autrement dit cités planifiées, cités de grands chantiers ou ensemble
■ d'habitats où le processus de la conception, le financement et la réalisation des logements est
confié,
■ soit à un seul intervenant soit à un nombre restreint d'intervenants sans qu’une intervention
directe
■ des futurs habitants soit possible.
■ 3.2 L'habitat des populations à faible revenu (Social) : Ce type d'habitat n’est pas soumis
■ à la volonté de l'administration d’où il se développe généralement en toute illégalité. En fait ce type
■ résulte d'un besoin d’un grand nombre d’individus qui ne Disposent pas des mens financiers
■ nécessaires pour se permettre un logement convenable. (ZHGHICHI, H.2014.)
■ Selon le mode d'agglomération : Dans ce cas, il existe deux types :
■ 3.3 L'habitat urbain : Ce type est une sorte d’agglomérations plus ou moins grandes installées
■ dans les zones urbaines. (ZHGHICHI, H.2014.)
■ 3.4 L'habitat rural : C’est le type dans lequel les maisons paysannes se répartissent dans une
zone
■ rurale où la communauté paysanne s’y est installée pour la défricher et la cultiver.
■ (ZHGHICHI, H.2014.)
■ selon la typologie de l’habitat :
■ 3.5 Habitat vernaculaire : L’architecture vernaculaire ont toujours cherché à s'intégrer auclimat
■ environnant et à en tirer parti (tours à vents, etc.). Si l’architecture vernaculaire témoigne d’une
■ réflexion profonde sur l’habitat local, le climat n’est pas le seul moteur du mode de construction
■ vernaculaire. Sous l’architecture vernaculaire on trouve deux exemples en Algérie : La maison
■ zibanaise traditionnelle est marquée par son introversion et sa centralité (figure 3 et 4).
■ L'entrée se fait par une ouverture en général unique sur la façade. La chicane (skiffa) interpose
ses
■ crans à la pénétration du regard au coeur de la maison.
■ 3.6 Habitat individuel : L’habitat individuel désigne une maison, une villa, un pavillon
ou bien
■ toute autre forme vernaculaire.
■ 3.7 Habitat semi collectif (habitat intermédiaire) : Cet habitat tente de donner à un
■ groupement d’habitations avec les qualités de l’habitat individuel. (ZHGHICHI, H.2014.)

Fig 1.13 : Habitat Semi collectif.


Fig 1.10 : habitas modern.
Source : (www.caueobservatoire.fr11-
Source : (www.modern-habitat.fr)
logements-semi-collectifs).
Le logement intermédiaire : conjuguer
l’habitat collectif et individuelle
■ « composition de groupements organique offrant les avantages du voisinage
tout en sauvegardant le souci d’independance et d’isolement. une
mitoyenneté horizontale ou verticale chaque logement doit pouvoir disposer
d’un jardin et réduire le plus possible les voies de circulation automobile _
différencier clairement les zones privées; les zones publique, piéton, les
zones automobile, et parkings »
6.3 Les avantages et les inconvenants
de l’habitat semi collectif
■ - Les avantages :
■ - Accès individualisé
■ - Un nombre d’appartements limités
■ - Un vis-à-vis contrôlé
■ - Une densité modulée
■ - Une typologie spécifique
■ - une architecture originale offrant des Qualités d’usage proches de l’habitat individuel

■ Les inconvénients :
■ - La taille des logements parfois trop réduite
■ - La proximité du voisinage qui peut induire des nuisances sonores
- Comment concevoir un habitat semi collectif qui répond
aux besoins des usagers, qui s’intègre dans son
environnement en assurant la transition spatiale ?
■ -Les objectifs :
■ - L’articulation (la connexion) du projet avec son
environnement immédiat (les équipements et les services)
■ - Assurer la transition spatiale (la hiérarchie des espaces du
public, semi public, privé)
■ - Concevoir un logement qui répond aux besoins de l’usager
■ - Créer un micro climat agréable (eau + végétations).
■ Méthodologie :
■ Pour élaborer cette recherche on a opté la démarche suivante :
■ Construire une base théorique sur les différents concepts : (définitions, types ….), la
transition
■ (définition, type de transition dans l’habitat ….)
■ Pour la partie analytique : l’analyse des exemples livresque et existants.
■ Analyse de terrain
■ La partie pratique concernant les éléments de passage et l’idée conceptuelle
■ Présentation du projet
■ Première partie : « concepts et théorie »
■ C’est l’étape établit par une recherche les concepts : habitat, habitat semi collectif,
climat.
■ Deuxième partie : « processus méthodologique »
■ En première lieu : elle se propose d’étudier et d’analyser des exemples d’habitats semi
collectif
■ existants et livresques à l’échelle urbaine et architecturale afin de récapituler une
synthèse sur les
■ différentes techniques et stratégies de la conception.
Présentation du projet

Situaton:
-Le terrain est un ilot de forme irrégulier du rond
point d’El Morchid et de l’axe d’autoroute qui
mène au rond point de la pépinière.
Voies mécanique:
-Un site stratégique avec une accessibilité forte le
terrain est délimité par plusieurs voies
mécanique
orientation

Apres avoir étudier l’analyse de site j’ai


implanté 4 logements qui ont orienté au
coté ouest parceque L'ouest est
indéniablement la meilleure exposition
d'appartement lorsque celui-ci possède
une terrasse ou un balcon.
et 2 logement qui ont orienté aux coté
sud parce que il bénéficiera d'un
ensoleillement important, un bon point
pour réaliser des économies d'énergies
en hiver. Une pièce orientée sud jouira
d'une luminosité naturelle tout au long
de la journée.
Les Principes d’organisations dans mon
projet:
■ Les caractéristiques de base contrastant de l’organisation de l’espace sont :
■ Le domaine absolument « privé » de l’intérieur du logement qui est accessible aux membres du ménage et
leurs hôtes seulement
■ Le domaine absolument « public » de l’espace urbain des rues, des places et des espaces libres, qui sont
accessibles à tous Entre ces domaines, il y a toute une série de zones de transition différentes entre individus
et sociétés
■ Les espaces « semi privés » de la terrasse, de la loggia, de la cour ou du jardin, qui servent comme extension
du domaine privé intérieur
■ Les espaces « semi-publics » de la zone d’accès de la cour ou l’entrée de l’immeuble, c’est à dire
■ les lieux de contact et de communication informels entre les voisins, les endroits des jeux des
■ enfants... etc., Les espaces « communautaires » accessibles à un groupe restreint de personnes ou
■ voisins seulement (garage commun, la cage d’escalier, une cour ou un jardin commun, un parking ,
■ des terrains de jeux...) auxquels les étrangers sont tenus à distance, si les zones sont bien
■ «hiérarchisées », selon leur caractère, leurs rôle, leur dimension et le degré de caractère public qu’elles
■ présentent, les chances augmentent pour que ces surfaces, soient (bien vécues ).
Espace
privée

Espace semi
privée

Espace
communaut
aire

Espace
public
Disposition
■ Disposition des blocs : Le site est composer de ( 06 )six unités implanté en deux
barre perpendiculaire
■ Volumétrie : Les blocs ont une forme géométrique simple de 100 metre carre un
volume rectangulaire sur un volume de forme L avec un patio aux réez de chaussez
■ Aménagement extérieur : des aménagements des espaces extérieurs (espace vert,
air de jeux pour les enfants les bancs publique, éclairage extérieur)
HABITAT ET JARDIN
jardin Outre les parcs publics, l’aménagement et la conception
des jardins domestiques constituent tout autant un art.
C’est alors la relation de la maison individuelle au
végétal qui peut faire l’objet d’un questionnement. Les
artistes
conçoivent et inventent des relations singulières entre
l’architecture, considérée le plus souvent comme
relevant de la pierre et du minéral, et la végétation
relative à une matière organique et vivante. De façon
générale, les œuvres et démarches des artistes et des
architectes qui vont suivre attestent d’une volonté de
s’affranchir d’une organisation
classique du jardin. L’enjeu consiste tout
particulièrement
à penser et privilégier une interaction entre
l’architecture
et le végétal
Qu'est-ce qu'un jardin communautaire et
comment en créer un ?
■ Les jardins communautaires sont des petites parcelles de terrain partagées
par des voisins.

Quels sont les avantages d'un jardin communautaire ?

S'installer dans un nouveau pays peut être fatigant et isolant. Les


jardins communautaires offrent aux personnes un moyen de se
connecter avec leurs voisins, d'explorer un nouveau passe-temps et
d'apprendre et d'enseigner des compétences.
parcour
■ Pour qu'une architecture offre à la vie la dimension du bonheur, celui qui conçoit doit porter toute
son attention à la relation entre l'homme et le lieu : Cette relation est subtile. Le ressenti du plaisir
dans l'espace varie suivant les cultures et les époques. Il ne se borne pas aux seules données
rationnelles.
■ Le concept du parcours d'Architecture
■ C'est par la recherche de la qualité de la déambulation que le plan va prendre sa dimension vitale.
Tout plan par la position des portes et des passages, crée des successions d'espaces. Au lieu d'être
laissé aux seules exigences fonctionnelles, ce déroulement de situations successives va être
soumis à des exigences nouvelles : celles des émotions ressenties.
■ Ces recherches, comme le découpage cinématographique, conçoivent des séquences. Chacune est
porteuse d'un impact, ressentie dans l'immédiateté de l'instant. Elles doivent aussi participer d'un
ensemble. Les relations de séquence à séquence conduisent à d'autres sensations. Elles sont à
prévoir dans une suite en cohérence ou en contraste.
■ Le principe de maîtrise des parcours a comme but de mettre en relation, aux degrés le plus haut,
l'homme et le monde. C'est par l'éveil sensoriel, d'une part et d'autre part par la qualité des
représentations de ce monde que ce niveau peut-être atteint. Nous appellerons « rugosités, et
prises » ces atteintes, ces misent en éveil de nos sens qui nous permettent de se saisir
consciemment du monde. Par elles, notre présence, ici et maintenant, va se révéler avec une force
insoupçonnée.
parcoure
Références Bibliographiques

■ these fin d'etude master Mlle Belkacemi chifa 2016


■ (www.modern-habitat.fr)
■ « Le jardin et les arts » , numéro hors-série, Beaux Arts magazine, avril 2001.

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