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Pour chaque QCM, plusieurs réponses sont 𝐈𝐈-7- 𝑓𝑓 est une fonction continue sur l’intervalle [𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏]. Quelles sont les propositions vraies ?
proposées et il peut y avoir une ou plusieurs bonnes réponses. Vous entourerez la (ou les) réponse(s) A) Si 𝑓𝑓(𝑎𝑎) × 𝑓𝑓(𝑏𝑏) > 0, alors 𝑓𝑓 s’annule sur l’intervalle [𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏].
choisie(s) sur la feuille de réponses. Aucune justification n’est demandée.
B) Si 𝑐𝑐 ∈ ]𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏[, alors 𝑓𝑓(𝑐𝑐) est compris entre 𝑓𝑓(𝑎𝑎) et 𝑓𝑓(𝑏𝑏).
Une réponse fausse peut pénaliser une réponse correcte qu’elle accompagne.
Aucun point n’est enlevé en l’absence de réponse. C) Si 𝑘𝑘 est un nombre réel compris entre 𝑓𝑓(𝑎𝑎) et 𝑓𝑓(𝑏𝑏), alors l’équation 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑘𝑘 admet au moins
une solution sur l’intervalle [𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏].
Mathématiques - EXERCICE I – QCM (29 points)
𝐈𝐈-8- 𝑓𝑓 est une fonction deux fois dérivable sur l’intervalle [𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏]. On note 𝐶𝐶𝑓𝑓 la courbe représentative de
𝑓𝑓 dans le repère R, 𝐴𝐴 le point de 𝐶𝐶𝑓𝑓 d’abscisse 𝑎𝑎 et 𝐵𝐵 le point de 𝐶𝐶𝑓𝑓 d’abscisse 𝑏𝑏. On suppose que
Les questions de cet exercice sont toutes indépendantes. 𝑓𝑓 ′′ (𝑥𝑥) > 0 sur l’intervalle [𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏]. On peut en déduire que :
A) 𝑓𝑓 est croissante sur [𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏]. C) 𝑓𝑓 est convexe sur [𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏].
Première partie – Fonctions B) 𝑓𝑓′ est croissante sur [𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏]. D) 𝐶𝐶𝑓𝑓 est en-dessous du segment [𝐴𝐴𝐴𝐴].
Dans cette partie, 𝑎𝑎 et 𝑏𝑏 sont des nombres réels. Le plan est muni d’un repère orthonormé R = (𝑂𝑂 , 𝚤𝚤⃗ , �𝚥𝚥⃗).
Deuxième partie – Suites numériques
𝐈𝐈-1- Les réels 𝑎𝑎 et 𝑏𝑏 sont strictement positifs. 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑎𝑎 + 𝑏𝑏) =
A) 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑎𝑎) × 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑏𝑏) . B) 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑎𝑎) + 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑏𝑏) .
𝑏𝑏
C) 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑎𝑎) + 𝑙𝑙𝑙𝑙(1 + ) . 𝐈𝐈-9- On considère une suite arithmétique (𝑢𝑢𝑛𝑛 ) telle que 𝑢𝑢1 = 0 et 𝑢𝑢10 = 10. On peut en déduire que :
𝑎𝑎
A) La raison de cette suite est égale à 1. C) Cette suite est convergente.
𝐈𝐈-2- On peut calculer 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥 2 − 1) sur : B) 𝑢𝑢19 = 20. D) 𝑢𝑢1 + 𝑢𝑢2 + ⋯ + 𝑢𝑢10 = 50.
A) ]0 ; +∞[ . C) ]−∞ ; −1[ ∪ ]1 ; +∞[ . 5 𝑛𝑛
B) ]−1 ; 1[ . D) ]𝑒𝑒 −1 ; +∞[ . 𝐈𝐈-10- On considère la suite (𝑢𝑢𝑛𝑛 ) définie pour tout entier naturel 𝑛𝑛, par : 𝑢𝑢𝑛𝑛 = 5 − � � . On a :
4
5
A) La suite (𝑢𝑢𝑛𝑛 ) est géométrique de raison . C) La suite (𝑢𝑢𝑛𝑛 ) est décroissante.
4
𝐈𝐈-3- Si 𝑓𝑓 et 𝑔𝑔 sont deux fonctions définies sur ]-∞ ; a[ ∪ ]a ; +∞[ et telles que : 5 D) lim 𝑢𝑢𝑛𝑛 = 5 .
B) La suite (𝑢𝑢𝑛𝑛 ) est arithmétique de raison . 𝑛𝑛→+∞
lim 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = +∞ et lim 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 0+ , alors : 4
𝑥𝑥 →𝑎𝑎 𝑥𝑥 →𝑎𝑎
A) lim
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
= 0+ . C) lim 𝑓𝑓(𝑥𝑥) × 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 0+ .
𝑥𝑥 →𝑎𝑎 𝑔𝑔(𝑥𝑥) 𝑥𝑥 →𝑎𝑎
Troisième partie – Probabilités
B) lim
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
= +∞ . D) lim 𝑓𝑓(𝑥𝑥) × 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = +∞.
𝑥𝑥 →𝑎𝑎
𝑥𝑥 →𝑎𝑎 𝑔𝑔(𝑥𝑥) Dans cette partie, Ω désigne l’univers d’une expérience aléatoire 𝐸𝐸 et 𝑃𝑃 désigne une probabilité sur Ω.
𝐈𝐈-4- Si 𝑓𝑓 est une fonction définie sur l’intervalle ]𝑎𝑎 ; +∞[ et telle que lim
>
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = +∞, alors : 𝐈𝐈-11- On considère deux événements quelconques 𝐴𝐴 et 𝐵𝐵. La probabilité 𝑃𝑃(𝐴𝐴 ∩ 𝐵𝐵) est égale à :
𝑥𝑥 →𝑎𝑎
A) 𝑃𝑃(𝐴𝐴) × 𝑃𝑃(𝐵𝐵). C) 𝑃𝑃(𝐴𝐴 ∪ 𝐵𝐵) − 𝑃𝑃(𝐴𝐴 ∩ 𝐵𝐵�) − 𝑃𝑃(𝐴𝐴̅ ∩ 𝐵𝐵).
A) La courbe représentative de 𝑓𝑓 dans le repère R admet une asymptote horizontale.
B) 𝑃𝑃(𝐴𝐴) + 𝑃𝑃(𝐵𝐵). D) 𝑃𝑃(𝐴𝐴) + 𝑃𝑃(𝐵𝐵) − 𝑃𝑃(𝐴𝐴 ∪ 𝐵𝐵).
B) La courbe représentative de 𝑓𝑓 dans le repère R admet une asymptote verticale.
C) La fonction 𝑓𝑓 est décroissante sur ]𝑎𝑎 ; +∞[. 𝐈𝐈-12- On considère une variable aléatoire 𝑋𝑋 qui prend ses valeurs dans l’ensemble {0, 1, 10}. On donne les
1 1
probabilités : 𝑃𝑃(𝑋𝑋 = 0) = et 𝑃𝑃(𝑋𝑋 = 10) = . On peut en déduire que :
𝐈𝐈-5- 𝑓𝑓 est une fonction définie et dérivable sur ℝ telle que 𝑓𝑓(1) = 3 qui vérifie, pour tout nombre réel 𝑥𝑥, 2
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𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) + 2 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 4. A) 𝑃𝑃(𝑋𝑋 = 1) = . B) 𝑃𝑃(𝑋𝑋 = 1) = . C) 𝐸𝐸(𝑋𝑋) = 2. D) 𝐸𝐸(𝑋𝑋) = .
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