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LYCEE DE TSINTSUET TERMINALE C

DEPARTEMENT DE MATHEMATIQUES FICHE DE TRAVAUX DIRIGES


Année scolaire 2018/2019

SUITES NUMERIQUES, COMPLEXE ET BARYCENTRE ET APPLICATIONS

EXERCICE 01

̂ = 0,5
𝐴𝐵𝐶𝐷 est un rectangle de centre 𝑂 tel que 𝐵𝐶 = 2√3 𝑒𝑡 cos 𝐴𝐶𝐷

1- Faire la figure et calculer 𝐴𝐶 𝑒𝑡 𝐴𝐵


2- Construire les points 𝐺 = 𝑏𝑎𝑟{(𝐴, 1) ; (𝐵, 3)} 𝑒𝑡 𝐺 ′ = 𝑏𝑎𝑟{(𝐶, 1) ; (𝐷, 3)}
3- Montrer que 𝑂 est milieu du segment [𝐺𝐺′], puis calculer la distance 𝑂𝐺
4- Déterminer et construire :
a) L’ensemble (𝐸) des points 𝑀 du plan tels que ‖𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 3𝑀𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 3𝑀𝐷
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = ‖𝑀𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 3𝑀𝐵
b) L’ensemble (𝐹) des points 𝑀 du plan tels que (𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ). (𝑀𝐶⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 3𝑀𝐷
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) = 108

c) L’ensemble (𝛤) des points 𝑀 du plan tels que 𝑚𝑒𝑠 (𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗̂ 𝜋
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) = + 𝑘𝜋
, 𝑀𝐵
4
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝑀𝐵
d) L’ensemble (𝐸) des points 𝑀 du plan tels que 𝑀𝐴 + 3𝑀𝐴 2⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 0

EXERCICE 02

Soit 𝑎 un nombre réel. On construit une suite de point (𝐴𝑛 ) de la droite (𝑂𝐴) de la manière suivante :

𝐴0 = 𝑏𝑎𝑟{(𝑂, 𝑎 + 1) ; (𝐴, −𝑎)} ; 𝐴1 = 𝑏𝑎𝑟{(𝐴0 , 𝑎 + 1); (𝑂, −𝑎)} ; … … ; 𝐴𝑛+1 = 𝑏𝑎𝑟{(𝐴𝑛 , 𝑎 + 1); (𝐴𝑛−1 , −𝑎)}

⃗⃗⃗⃗⃗ )
On désigne par 𝑥𝑛 l’abscisse du point 𝐴𝑛 dans le repère (𝑂, 𝑂𝐴

1- Déterminer en fonction de 𝑎 les abscisses 𝑥0 𝑒𝑡 𝑥1 des points 𝐴0 𝑒𝑡 𝐴1


2- Démontrer que pour tout entier naturel 𝑛 ≥ 1, 𝑥𝑛+1 = 𝑥𝑛 + 𝑎(𝑥𝑛 − 𝑥𝑛−1 )
3- En déduire que pour tout entier naturel 𝑛 ≥ 1, 𝑥𝑛+1 = 𝑎𝑥𝑛 − 𝑎
4- On pose 𝑈𝑛 = 𝑥𝑛 + 𝑡 𝑒𝑡 𝑎 ≠ 1 et on suppose que la suite (𝑈𝑛 ) est géométrique
a) Exprimer 𝑡 en fonction de 𝑎
b) Exprimer alors 𝑥𝑛 en fonction de 𝑎 𝑒𝑡 𝑛
c) Déterminer la limite de 𝑥𝑛 suivant les valeurs de 𝑎

EXERCICE 03

I) Soit g une fonction numérique définie et dérivable sur un intervalle 𝐼.

Montrer par récurrence que pour tout entier naturel 𝑛 > 1, [𝑔𝑛 (𝑥)]′ = 𝑛𝑔′ (𝑥)𝑔𝑛−1 (𝑥)
3 1
II) Soit la suite (𝑈𝑛 ) définie par 𝑈𝑜 = 2 𝑒𝑡 ∀𝑛 ∈ ℕ, 𝑈𝑛+1 = 4 𝑈𝑛 − 2

3 𝑛
Montrer par récurrence que ∀𝑛 ∈ ℕ, 𝑈𝑛 = 4 (4) − 2

III) On donne les réels : 𝑋 = 1 + √5 𝑒𝑡 𝑌 = 1 − √5

Calculer 𝑋 2 , 𝑋 3 , 𝑌 2 𝑒𝑡 𝑌 3

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Montrer par récurrence que ∀𝑛 ∈ ℕ∗ , il existe deux entiers naturels 𝑈𝑛 𝑒𝑡 𝑉𝑛 tel que 𝑋 𝑛 = 𝑈𝑛 + 𝑉𝑛 √5 et 𝑌 𝑛 = 𝑈𝑛 −
𝑉𝑛 √5 . Exprimer 𝑈𝑛+1 𝑒𝑡 𝑉𝑛+1 en fonction de 𝑈𝑛 𝑒𝑡 𝑉𝑛 .

𝑽𝒏 𝟐
IV) Soit la suite (𝑉𝑛 ) définie par 𝑽𝒐 > 0 𝑒𝑡 ∀𝑛 ∈ ℕ, 𝑽𝒏+𝟏 =
𝟏+𝑽𝒏

Montrer que la suite (𝑉𝑛 ) est convergente et déterminer sa limite

V) Soit 𝑢 un réel. Montrer par récurrence que ∀𝑛 > 1, |sin(𝑛𝑢)| ≤ 𝑛|sin(𝑢)|

EXERCICE 04
𝜋
Soient 𝜃 un réel tel que 0 ≤ 𝜃 ≤ 4
𝑒𝑡 (𝑈𝑛 ) la suite réelle définie par :

1
𝑈1 = 1 + ∀𝑛 ∈ ℕ∗ , 𝑈𝑛+1 = 𝐶𝑜𝑠(2𝜃). 𝑈𝑛 + 1
2𝑆𝑖𝑛2 𝜃

1) Montrer par récurrence que ∀𝑛 ∈ ℕ∗ , 𝑈𝑛 > 1.


1
2) On pose ∀𝑛 ∈ ℕ∗ , 𝑉𝑛 = 𝑈𝑛 − 2𝑆𝑖𝑛2 𝜃
a) Montrer que la suite (𝑈𝑛 ) est une suite géométrique convergente dont on caractérisera
b) Exprimer 𝑉𝑛 puis 𝑈𝑛 en fonction de 𝑛
3) On pose 𝑆𝑛 = 𝑈1 + 𝑈2 + ⋯ … … … . +𝑈𝑛 exprimer 𝑆𝑛 en fonction de 𝑛 et calculer la limite de 𝑆𝑛

EXERCICE 05

Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé direct (𝑂, 𝑢


⃗ , 𝑣 ). On considère 𝐴 le point d’affixe 1 − 𝑖, par
1 𝜋
ℎ l’homothétie de centre 𝐴 et de rapport 2 , par 𝑟 la rotation de centre 𝐴 et d’angle 2 , par 𝑆 la composée 𝑆 = ℎ𝑜𝑟 .

1- Déterminer les écritures complexe de ℎ 𝑒𝑡 𝑟, et en déduire que l’écriture complexe de 𝑆 est donner par :
1 1−3𝑖
𝑍 ′ = 2 𝑖𝑍 + 2
: Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de 𝑆
2- 𝑀0 désigne le point d’affixe 1 + 4√3 + 3𝑖. On pose 𝑀𝑛+1 = 𝑆(𝑀𝑛 ).
a) Calculer 𝐴𝑀𝑛 en fonction de 𝑛 et trouver le plus petit entier naturel 𝑛 tel que : 𝐴𝑀𝑛 < 0.05. interpréter
géométriquement ce résultat.
16
b) Soit 𝐺𝑛 l’isobarycentre des points 𝑀0 , 𝑀1 … … 𝑀𝑛 . Montrer que 𝐴𝐺𝑛 ≤ 𝑛+1 et en déduire la position
limite de 𝐺𝑛 lorsque 𝑛 𝑡𝑒𝑛𝑑 𝑣𝑒𝑟𝑠 + ∞
1
3- On pose 𝑑𝑛 = 𝑀𝑛 𝑀𝑛+1 . Montrer que (𝑑𝑛 ) est une suite géométrique de raison 2 et calculer 𝑋𝑛 = 𝑑0 +
𝑑1 … … +𝑑𝑛 en fonction de 𝑛. calculer 𝑑0 = 𝑀0 𝑀1 et en déduire la limite de 𝑋𝑛 quand 𝑛 tend vers +∞.

EXERCICE 06

I-soit p le polynôme défini par 𝑝(𝑧) = 𝑧 3 − 2(1 + 2𝑖)𝑧² + 7𝑖𝑧 + 3(1 − 3𝑖)

1) Démontrer que l’équation 𝑝(𝑧) = 0 admet une solution imaginaire pure notée 𝑖𝛽
2) Déterminer a, b et c trois complexes tels que 𝑝(𝑧) = (𝑧 − 𝑖𝛽)(𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑧 + 𝑐)
3) Résoudre alors dans C l’équation 𝑝(𝑧) = 0
2𝜋
𝑖
II-on défini le nombre complexe 𝑧 = 𝑒 7 et on pose 𝛼 = 𝑧 + 𝑧² + 𝑧 4 et 𝛽 = 𝑧 3 + 𝑧 5 + 𝑧 6
1) Démontrer que 𝛼 𝑒𝑡 𝛽 sont deux nombre complexes conjugués et que la partie imaginaire de 𝛼 est positive
2) Démontrer 𝛼 + 𝛽 = −1 puis calculer 𝛼𝛽.en déduire les valeurs exactes de 𝛼 𝑒𝑡 𝛽

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III-soit A et B les points d’affixes respectifs 1 et 2i. A tout nombre complexe distinct de 2i on associe le nombre
𝑧−1
complexe z’ tel que :𝑧 ′ =
𝑧−2𝑖
𝜋
1) Déterminer l’ensemble (C) des points M d’affixe z tels que arg(𝑧 ′ ) ≡ 2 [2𝜋]
2) Déterminer l’ensemble (T) des points M d’affixe z tel que |𝑧′|=2
3) Démontrer que (C) et (T) ont un unique point commun Ω dont on précisera l’affixe

IV-on donne 𝐴 = ∑𝑛−1 𝑛−1


𝑘=0 cos 𝑘𝑥 𝑒𝑡 𝐵 = ∑𝑘=0 sin 𝑘𝑥 ∀ 𝑛 ∈ 𝑁

1) Calculer puis écrire sous la forme exponentielle A+iB


2) En déduire les expressions plus simples de A et B

EXERCICE 07

A- Déterminer la partie réelle et la partie imaginaire de (1 + i)n n ∈ IN* et calculer les sommes
sn = 1 − 𝐶𝑛2 + 𝐶𝑛4 − 𝐶𝑛6 + 𝐶𝑛8 − 𝐶𝑛10 + … et tn = 𝐶𝑛1 − 𝐶𝑛3 + 𝐶𝑛5 − 𝐶𝑛7 + 𝐶𝑛9 − 𝐶𝑛11 + …
2𝜋
B- Posons z0 = 𝑒 𝑖 5 , 𝛼 = z0 + 𝑧04 et 𝛽 = 𝑧02 + 𝑧03
1- Montrer que 1 + z0 + 𝑧02 + 𝑧03 + 𝑧04 = 0, déduire 𝛼 et 𝛽
2- En déduire que 𝛼 et 𝛽 sont racines du polynôme X2 – X + 1
2𝜋
3- Déterminer 𝛼 en fonction de
5
2𝜋
4- Déduire de 2) et 3) la valeur exacte de cos( )
5
EXERCICE 08
𝜋 𝜋
Soit α un nombre réel appartenant à l’intervalle]− ; [. On considère l’équation d’inconnue
2 2
complexe z :(E) (1 + iz) (1-i tan α) = (1 - iz) (1 +i tan α).
3 3

1. Soit z une solution de (E)


a) Montrer que |1 + iz| = |1 − iz|.
b) En déduire que z est réel.
1 + 𝑖 𝑡𝑎𝑛α
2. a) Exprimer en fonction de 𝑒 𝑖α .
1 – 𝑖 𝑡𝑎𝑛α
𝜋 𝜋
b) Soit z un nombre réel ; on pose z = 𝑡𝑎𝑛𝜑 où 𝜑 є ]− ; [.
2 2
Ecrire l’équation portant sur 𝜑 traduisant (E) et la résoudre.
a) Déterminer les solutions z1 ; z2 et z3 de (E).
EXERCICE 09

Dans l’espace rapporté à un repère orthonormal direct (𝑂, 𝑖, 𝑗, 𝑘⃗ ), on donne les ponts
1 1
𝐴 (− , 0, 0) ; 𝐵 ( , 0, 0) 𝑒𝑡 𝐹(0, 1, 0)
2 2

1- Soit 𝑀(𝑥, 𝑦, 𝑧) un point de l’espace


a) Déterminer les coordonnées du vecteur 𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ 𝑀𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
b) Déterminer le point 𝑀0 tel que 𝑀 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
0 𝐴 ∧ 𝑀0 𝐵 = 𝑀0 𝐹
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
2- Déterminer l’ensemble des points 𝑀 du plan (0, 𝑗, 𝑘⃗ ) tels que ‖𝑀𝐴
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ 𝑀𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = ‖𝑀𝐹
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖

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⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
3- En interprétant ‖𝑀𝐴 𝑀𝐵‖ comme une aire, montrer que ces points 𝑀 sont à égale distance du point 𝐹 et
de la droite (𝐴𝐵)

EXERCICE 10

A- On donne dans l’espace muni d’un repère orthonormé direct d’origine 𝑂. Un point 𝐴 et une
droite (𝐷) définie par un point 𝐵 et un vecteur directeur 𝑢
⃗ . On désigne par 𝐻 le projecté orthogonal
de 𝐴 sur (𝐷).
⃗⃗⃗⃗⃗ .𝑢
𝐵𝐴 ⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝑂𝐵
1- Montrer que 𝑂𝐻 ⃗⃗⃗⃗⃗ + ( 2) 𝑢
⃗.
‖𝑢
⃗‖
2- Déterminer les coordonnées du point 𝐻 dans le cas où on a : 𝐴(1, 2, 3) ; 𝐵(−2, 7, 1) 𝑒𝑡 𝑢 ⃗ (−1, 1, 2)
⃗⃗⃗⃗ , 𝑂𝐽
B- L’espace est muni du repère orthonormé direct (𝑂, 𝑂𝐼 ⃗⃗⃗⃗ , 𝑂𝐾
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ). On considère le cube 𝑂𝐼𝑅𝐽𝑁𝐾𝐿𝑀.
2
On note 𝐴 le milieu de [𝐼𝐿] 𝑒𝑡 𝐵 le point tel que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐾𝐵 = 3 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐾𝑁.
1- Déterminer les coordonnées du vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ .
𝑂𝐴 ∧ 𝑂𝐵
2- Montrer que les points 𝑂, 𝐴, 𝐵 𝑒𝑡 𝐾 ne sont pas coplanaires.
3- Calculer l’Aire du triangle 𝑂𝐴𝐵 et le volume du tétraèdre 𝑂𝐴𝐵𝐾
4- En déduire la distance du point 𝐾 au plan (𝑂𝐴𝐵).

EXERCICE 11
Soit ABC un triangle isocèle tel que : AB=AC=7 et BC=4 .on désigne I le milieu de [𝐵𝐶] et par G le centre de gravite de
ABC.

1) Déterminer et construire l’ensemble des points M du plan tels que


−2𝐴𝑀² + 𝐵𝑀² + 𝐶𝑀² = 38
2) Calculer AG et BG
3) Déterminer et construire l’ensemble des points M du plan tels que :
𝐴𝑀2 + 𝐵𝑀2 + 𝐶𝑀2 = 65
4) Déterminer et construire l’ensemble des points M du plan tels que :
a) 𝑚𝑒𝑠(𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) = − 𝜋
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , 𝑀𝐵
4
𝜋
b) 𝑚𝑒𝑠(𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐵) ≡ [𝜋]
3

EXERCICE 12

c) On se propose d’étudier l’existence et les propriétés de la suite (u n ) définie par la donnée


1−𝑢𝑛
d’un réel (u0 ) et la relation pour tout n 𝜖 IN un+1 = √
2

d)1.a- Montrer que la suite (un ) existe si et seulement si u0 𝜖 [−1,1]


e) b- Déterminer u0 de telle sorte que la suite un soit constante
𝜋 𝜋
f) 2. Dans la suite de l’énoncé, on posera u0 = sin 𝛼0 avec 𝛼0 𝜖 [− , ]
2 2
𝜋
g) a- Justifier ce choix. Que devient (un ) si 𝛼0 = ?
6
𝜋 𝜋 1−𝑠𝑖𝑛𝛼 𝜋 𝛼
h) b- Etablir l’égalité suivante pour tout 𝛼 𝜖 [− , ] √ = sin( − )
2 2 2 4 2
𝜋 𝜋
i) c- Etablir que pour tout n 𝜖 IN, il existe un unique 𝛼n 𝜖 [− , ] tel que un = sin 𝛼n .
2 2
Quelle relation y-a-t’il entre 𝛼n et 𝛼n+1 ?

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𝜋
j) d- On considère la suite (𝛽 n ) de terme général 𝛽 n = 𝛼n − . Montrons que cette suite est
6
géométrique.
k) En déduire 𝛼n et 𝑢n en fonction de n et 𝛼0 .
l) 𝑢n a-t-elle une limite ? Si oui, déterminer la.

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