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Maison Berchtan

Giedi Prime, Principauté de Gefangnis


Maison Mineure, inféodé aux Harkonnen
Mesurée et ambitieuse
Jusqu'à ce qu'il remplisse
l'orbe tout entière

Primaire : Industrie Conception (Mangement et gestion d'ouvriers spécialisés)


Secondaire : Politique Expert (Médiateurs)

Prince Ultrecht Berchtan, visionnaire et intransigeant Freid Berchtan, accueillant et précautionneux


Pietro Iowea, Calme et Méthodique
Dominik Berchtan, Tête brûlé extravagant Ana Mileva, savante impolie
Zoe Gortat, éloquente et secrète
Carmen Solare, Mentat vieillissante Ahuarii Soha, maligne et violente
Siobhan Relly, Bene Gesserit inquisitrice
Interdit par les Harkonnen
Jean Planchet, Fine lame solitaire
Avishai Haya, honorable et dévoué

HISTOIRE
Maison Wittelsbach Inféodé aux Harkonnen On doit à la maison Berchtan, les grandes avancés
Rivalité Moralité récentes en matières de gestions des ouvriers dans les
Les méthodes de gestions des ouvriers et les usines de Giedi Prime.
Cela n'a pas tardé à attiré l'oeil des Harkonnen, mais
médiateurs n'ont rien à faire sur Giedi Prime.
aussi des autres maisons vassales qui n'ont que peut
Seul le plus fort doit survivre, et qu'une maison noble goutté la montée de nouveaux rivaux influents.
se rabaisse à ce niveau montre son écoeurante La reconnaissance des Harkonnen a atteint son
faiblesse. paroxisme, avec l'octroie de la gestion d'un gisement
d'épice sur Arrakis.
Talia
Berchtan Raclure et fine lame mystique

Lame affuté de la maison Berchtan

Je mérite de vivre sans maitres, aucun

4 Action décisive
Lame Lente
5 A pas de loup
Je fais confiance à ma musique,
8 et non à mon esprit
6 La justice est une lame affuté

7 J'énonce ma vérité

Lame héritée des arènes


de Giedi Prime
4 Sémuta (drogue)
Goûte-poison
6 Lame courte

5 Profil bas, rapidité

6 Commérages
TA L E N T S
Action Décisive : dans un conflit lorque vous réussissez un test de
Combat afin d'éliminer un atout d'un adversaire et que vous avez
acheter au moins 1 dés en concédant de la menace, vous pouvez
dépenser 2 point d'impulsion pour éliminer un deuxième atout.
Lame Lente : lorque vous effectuez une attaque avec une arme de
corps à corps, et que achetez au moins un dés en dépensant des points
d'impulsion, vous pouvez ignorer l'un des atouts de votre adversaire.
A pas de loup : Lorsque vous faites un test de mobilité pour vous
faufiler discrètement, ou bien que vous tentez un déplacement subtil au
cours d'un conflit, le premier d20 supplémentaire que vous achetez
pour effectuer ce test ne vous coute rien.

HIS T O IRE
La poussière piquant les yeux, l’odeur rance de la crasse, les hurlements de mon
cœur quand la lame s’approche. Putain de quotidien dans les arènes de Giedi
Prime. J’peux pas dire que j’me souviens de comment j’ai atterri là, j’sais
seulement ce qu’on m’a raconté. Vendu dans un marché d’esclave encore bébé,
la traversée de l’univers dans un long courrier de la Guilde, et l’arrivée dans
l’enfer des arènes avant même de savoir marcher.
Mais bon j’ai pas trop eu le temps de me plaindre, ou de déposer une
réclamation, il faut survivre ici bas. Quand y a plus que le sable sous vos pieds,
et les cris de ses pourritures d’Harkonnen et leurs semblables, faut pas
réfléchir, juste se laisser bercer par la petite musique qu’émet son cœur. C’est
ma musique qui m’a toujours permis de m’en sortir, combat après combat, une
enfance dans une rivière de sang. Tout se passait pour le mieux, j’devenais
même populaire, bercer par ma musique je triomphais jour après jour, esclave
mais invincible.
Jusqu’à ce que je doive l’affronter, c’était un enfant de 8 ans mon cadet, mais
je n’avais aucune chance contre Feyd-Rautha, le pupille du baron Vladimir
Harkonnen. J’allais mourir le lendemain dans l’arène… J’sais toujours pas
comment j’ai fait m’échapper cette nuit-là, j’me souviens seulement de ma
lame qui fuse, et de ma musique résonnant dans tout mon être.
La suite a été qu’une existence misérable dans les tréfonds de Giedi Prime,
toujours caché, craintif, mais enfin libre.
Quand je l’ai vu arrivé j’ai cru que c’était terminé, qu’on m’avait retrouvé, mais
elle m’a dit qu’elle avait besoin d’une lame pour la servir. Je ne pouvais
continuer à vivre comme ça, j’allais finir par vendre ma lame pour manger.
C’est comme ça que j’ai du mettre ma musique au service de la maison
Berchtan, mais cette fois la décision m’appartient.

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