Conditions préalables : mathématiques Bruxelles formation : aucune ne me plait, positif : court, donne accès à peu de responsabilité. Horaires incompatibles avec des troubles du sommeil : ambulancier. Durée aussi longue qu’un graduat pour la majorité. Fini la formation à 41 ans sans être sûr de ne pas me retrouver à faire d’autres formations (compta, néerlandais, informatique, etc.) dans toutes les offres d’annonces qui sont publiées et qui diffèrent de secteur en secteur puisque je regarde de manière large. Des non formés dans la majorité (surtout dans la famille) trouvent plus facilement et étant payé plus cher que ce que je ne l’étais. Des postes RH sans diplômes (mon frère) alors que sa femme l’a et ne trouvera surement pas du travail aussi facilement. Des gens qui ont étudié sciences des religions sont recruteurs : il est possible Risque d’incompatibilité avec la durée où le chômage devrait me payer pendant trois ans, comme le refus d’une licence en linguistique car je suis assez formé. Statut universitaire : capacité d’adaptation à un vaste domaine. Refus du CV : mon parcours antérieur ne sera pas changé. Même avec une nouvelle formation je n’aurai pas le minimum d’année d’expériences requises. Risque d’être de bas niveau (assistant pharmacie : niveau secondaire, minimum salarial. Ne pas pouvoir retenir : 84h en agence de voyage pour la géographie et sites touristiques. Une mémoire affaiblie par la médicamentation ainsi qu’une dépression, déjà prouvé avec l’agrégation. Pression des proches pour ne pas m’avoir au tournant si je ne suis plus au chômage. Incapacité de retenir ce que l’on n’aime pas. Des gens m’ont convoqué pour un travail : novembre dans l’associatif. Journées parfois trop longues : 14h00-21h30. Même pas envie de le faire dans un domaine que j’aime comme la linguistique. Les débouchés ne sont pas assurés par un travail à la clef. Un cousin a reçu une évaluation de 4/5 sans étudier le NDRLS. À mon âge besoin de résultats, pas de régresser aux études. Un bac + 8 serait un comble. Beaucoup travaillent (voire la prostitution) pour se payer des études, autant de sacrifices ne peuvent pas signifier de minimiser la valeur ses études et en faire de nouveau après. Dans toutes les annonces que j’ai vue, des centaines, des centaines de personnes ont trouvé un emploi n’ayant pas forcément le bagage nécessaire (lorsque j’ai été invité à une séance d’information je n’étais pas le seul à avoir un manque de compétences mais leur intérêt s’est tourné vers moi pour des raisons plus personnelles : professeur (diriger une équipe). Ce sera un acquis comme les autres dans mon CV. Le destin de Dalida se joue au 421.