Vous êtes sur la page 1sur 6

Leçon 28

Que pensez-vous de la « collaboration » entre George Duroy et Mme Forestier ?

Parfois, même les écrivains les plus qualifié ont du mal à mettre leurs pensées sur
papier. Georges Duroy a rencontré ce problème quand il a écrit son premier article.
Il s'est mis au travail mais ne pouvait même pas trouver un début. Alors Georges a
décidé de demander l’aide de son ami, qui l’a écouté et l’a envoyé chez sa femme.
C’est comment la collaboration entre George Duroy et Mme Forestier a
commencé. Madame Forestier l’a chaleureusement accueilli, elle a écouté son
problème et a accepté de l'aider. D'abord, elle lui a dit de faire semblant de raconter
ses aventures à son ami. Il me semble que cette façon d'écrire le texte est très
efficace parce qu’il est beaucoup plus facile de raconter une histoire que de l’écrire.
Mme Forestier a dirigé les pensées de Duroy dans la bonne direction, l'aidant à
formuler correctement phrase après phrase. Cette femme était une personne très
créative, elle était une journaliste qualifiée et elle-même a écrit plusieurs fois pour
la « Vie Française ». Je pense que c'est pourquoi cette collaboration était une si
bonne idée. Madame Forestier était d'une grande aide pour Duroy. Son ami savait
exactement ce qu'il faisait en envoyant Georges chez sa femme. Elle l'a aidé non
seulement à écrire un article, mais aussi à comprendre qu’il est possible de décrire
de manière colorée les lieux qu'il a visités et les événements qu'il a vécus. De plus,
à mon avis, grâce à elle, Duroy s'est rendu compte que le travail de journaliste peut
être très intéressant, si on l'aime.
Leçon 29

Imaginez le récit que M. Laurier pourrait faire de ce diner à son ami.

Écoute, j'ai récemment dîné avec un garçon qui s'appelle Jacques. Et laisse-moi te
dire que c'était une soirée très étrange. Dès qu'il est monté chez moi, je lui ai
demandé s'il avait faim et il a dit oui. Mais quand j'ai demandé s'il voulait manger,
le garçon a refusé. J'ai alors pensé qu'il était juste timide et nous nous sommes assis
à table. Quand nous avons mangé la soupe, il ne l'a pas finie, il en a laissé un peu
dans le bol et j'en ai été surpris, parce qu’il a dit qu'il avait faim. Mais je ne lui ai
rien dit et je lui ai offert de la carpe. Quand il a refusé, j'ai demandé s'il aimait la
carpe et il a dit oui. Eh bien, s'il aime, pensai-je, alors je lui donnerai de la carpe,
mais il le mangeait comme si c'était le pire repas du monde. De plus, le garçon était
assis si loin de la table qu'il a failli tomber plusieurs fois. Et donc je mangeais et je
lisais mon journal, quand je l’ai entendu faire du bruit de fourchette. Je l’ai regardé
et j’ai vu que son assiette n'était pas encore vide, donc je n’ai pas compris pourquoi
il l'a fait. Et puis je l'ai vu se gratter, tu peux imaginer ? Mais il m’a dit que ça ne le
démangeait pas. Ces réponses étranges ont déjà commencé à m'énerver et je lui ai
proposé du ris de veau. Je lui ai dit de manger à sa faim et il s’est jette sur le ris de
veau comme s'il n'avait pas mangé depuis deux jours. Quand il a fini de manger, je
l'ai envoyé au lit et j'ai vu des taches sur son pantalon. Peux-tu imaginer ? Il ne s'est
pas gratté, Il s'est essuyé les mains sur son pantalon alors qu'il y avait une serviette
sur la table. Je ne sais pas s'il était inquiet ou s'il n'a tout simplement pas de
manières, mais le dîner s'est passe très étrange.
Leçon 29

Maman, tu seras fière de moi, parce qu'aujourd'hui au dîner de M. Laurier je lui ai


montré les meilleures manières, parce que j'ai suivi tes conseils. D'abord M.
Laurier m'a demandé si j'avais faim, j'ai répondu oui, et quand il m'a offert de la
nourriture, j'ai refusé, parce que tu as dit que ça ne faisait pas dans le monde
d’accepter tout de suite. À ce moment, j'ai remarqué un grand étonnement sur le
visage de M. Laurier. Mais plus tard, il m'a encore apporté l’assiette de soupe.

La soupe était très savoureuse, mais je me suis souvenu que tu as dit qu'il fallait
toujours laisser un peu de nourriture dans l’assiette. C'est exactement ce que j'ai
fait.

M. Laurier m'a demandé de finir mon plat, mais j'ai été catégorique. Puis il m'a
donné une carpe. Je l'ai mangé avec difficulté, parce qu’il ne m'a pas offert de pain.
Sur tes recommandations, bien sûr, j'étais assis loin de la table, et je me suis
souvenu aussi que les enfants ne devaient pas demander de nourriture. Alors j'ai
fait de petits bruits de fourchette, pour attirer l'attention de M. Laurier. Je ne
pouvais pas manger de poisson sans pain, mais je n’osais pas en demander.

Quand mes mains étaient sales, je les essuyais sur mon pantalon pour ne pas
utiliser la serviette si souvent.

Le dernier plat apporté par M. Laurier était du ris de veau et de la sauce aux
champignons, et comme il n'y avait pas de pain, j'ai dû me contenter de ce que
j'avais.

Et même si je n'ai pas apprécié pendant ce dîner, J'espère que tu es heureuse que
j'ai suivi tous tes recommandations et j’ai conservé les belles manières.
Leçon 27

Le capitaine Nemo ressemble à un homme brillant, mais en même temps sombre et


mystérieux et peut être dangereux.

Mais Nemo n'était pas toujours comme ça. Il a souffert des pertes les plus
horribles.

Nemo était le prince Dakkar, fils d'un rajah Indien. Voulant l'indépendance et la
construction d'un gouvernement éclairé, il a pris part à tous révolte des Cipayes, il
a dirigé et incité à commettre, mais il a perdu son royaume et il a été blessé à
plusieurs reprises. Sa famille a été assassinée, les cipayes ont été vaincus par les
Britanniques et l'Inde n’a pas gagné son indépendance. Il me semble qu’il n'a
qu'une volonté de vengeance contre une nation impérialiste qui a détruit sa maison
et sa famille. Après ces événements le capitaine Nemo aime être des autres
personnes et hais l'humanité. C'est pourquoi il a construit son sous-marin « Le
nautilus », cherchant l'indépendance et désirant ne plus avoir aucune
communication avec tout ce qui était lié à la terre. Il a disparu sur le sous-marin
dans les grandes profondeurs de la mer avec un équipage fidèle des marins lutte
contre l'injustice, financé par l'or coulé dans la baie de Vigo.

Connaissant l'histoire de Nemo, j’éprouve de la sympathie pour lui et je comprends


pourquoi il montre aversion pour l'humanité, mais en même temps il aide les trois
protagonistes, les insurgés grecque Crète contre turc, ce qui prouve qu'il y a encore
de la compassion et de la gentillesse en lui.

Donc ce que je peux constater est que le capitaine Nemo est un homme tout à fait
hors du commun. Ce personnage à multiples facettes est à la fois ingénieur de
génie, polyglotte, savant, héros de l'Inde et comme un souverain indien qui se bat
principalement le patriotisme et non seulement pour la vengeance.
Le Grand Meaulnes

Je peux appeler Le roman "Le Grand Meaulnes" l’un des travaux les plus
passionnants et intéressants que j’ai lu récemment. C’est l’amitié de François et
d’Augustin qui m’a le plus impressionné. Tout au long du roman, nous voyons ces
deux garçons grandir, changer, garder les secrets de l’autre, et surtout, ils sont
toujours prêts à s’entraider où qu’ils soient. À mon avis, ces deux caractères
complètement différents sont très complémentaires. François est plus calme, son
sort semble déjà clair pour le lecteur au début du roman. C’est l’homme qui sera
toujours là pour les héros, quoi qu’il arrive. Augustin au début du roman me
semble un enfant perdu et solitaire. C’est peut-être pourquoi il m’a semblé un peu
aventureux. Il est mystérieux et peu bavard, parfois il est difficile de comprendre
ce qu’il pense. Nous voyons que Meaulnes est un homme de parole. S’il a prêté
serment de retrouver la fiancée de Franz, il tiendra parole, même au détriment de
lui-même et de son bonheur personnel. C’était très intéressant d’observer l’histoire
romantique d’Augustin, parce qu’il avait des histoires avec deux filles de la nature
complètement différentes. Et j’étais très heureux que les sentiments du héros l’aient
conduit à Yvonne. Parce que je pense qu’elle savait exactement quel genre de
personne Augustin était. Elle a toujours su qu’il ne pouvait pas refuser ses vœux et
qu’il ferait tout ce qu’il pouvait. J’ai été frappé qu’en sachant cela, Yvonne l’a
laissé partir et ne lui en voulait pas, mais l’a soutenu. Bien que son ami, François,
ait eu du mal à comprendre comment Augustin a pu quitter la femme qu’il aimait.
Tout au long de ma lecture, le roman m’a beaucoup intrigué, et la fin m’a
clairement pris par surprise. J’éprouvais certainement de la peine pour Augustin,
mais surtout de l’amour et de la sympathie pour François. Après avoir lu ce livre, je
me suis senti désolé pour ce héros, parce qu’il avait déjà perdu dans sa vie la fille
bien-aimée qui était son ami et pour plus qu’il n’a même pas réclamé, et son
meilleur ami, avec qui ils ont vécu beaucoup d’événements joyeux et tristes.
"Grand Meaulnes" est certainement un roman très intrigant et même mystérieux,
dont on ne peut se détacher.

Vous aimerez peut-être aussi