Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Département de français
MEMOIRE DE MASTER
Membres du jury :
moments difficiles.
Nous remercions également nos mères et nos pères de leurs sacrifices pour
Merci aussi à tout membre de nos familles qui nous a soutenues pour faire ce
travail.
année du CEM Cheikh Sidi Abdelkader Ben Oumer, sans oublier aussi de
remercier tous les élèves et les enseignants qui nous ont répondu à nos
questionnaires.
A la fin nous remercions toute personne qui nous a donné un coup de main de
près ou de loin.
Merci à tous.
Dédicaces
A ma mère qui a tous fait pour moi,
A mes amies,
Naima BIGUA
A ma grand-mère,
A mes amies,
Je dédie ce travail.
1.2 Le terrain....................................................................................................................28
1.3 Le public ....................................................................................................................29
2.2 Présentation et analyse des résultats de deuxième corpus (les questionnaires) .........31
Conclusion générale............................................................................................................... 57
Bibliographie .......................................................................................................................... 59
Annexes …….………………………………………………………………………........61
Introduction générale
En Algérie, l’enseignement du FLE a rencontré une modification sur plusieurs niveaux
depuis la réforme qu'a connue le système éducatif en 2003, où l’apprenant de troisième année
primaire devient concerné par cet enseignement. En fait, cette reformulation n’est pas faite
aléatoirement, la tendance de la didactique des langues a imposé aux didacticiens et aux
pédagogues à réfléchir à l’application des nouvelles méthodes et de voir leurs impacts sur
l’apprentissage de la langue française de ce pays.
Etant chercheurs en didactique de FLE, nous avons choisi le thème de la prise de parole
vu le constat qui fait que les élèves de la 4ème AM n'arrivent pas à prendre la parole aisément et
spontanément en utilisant cette langue, en dépit des années passées pour l’améliorer.
Pour élaborer cette recherche, notre problématique sera : quelles sont les difficultés
rencontrées par les élèves lors d’une prise de parole ? Et quels sont les vrais facteurs derrières
ces difficultés ?
6
L’objectif de cette recherche est de détecter les difficultés confrontées par les élèves
lorsqu’ils veulent exprimer leurs idées oralement, et de savoir les vrais facteurs de cet
empêchement.
Pour réaliser ce travail, nous avons opté pour trois chapitres : deux sont théoriques et l’un
est pratique. Pour les deux premiers, ce sont un ensemble de définitions, des théories et des
concepts qui ont une relation avec notre thème. Ils permettent d’avoir des idées et des
informations préliminaires, qui soutiennent la compréhension de ce thème.
Quant au dernier chapitre pratique, il est dédié pour confirmer ou infirmer les hypothèses,
nous avons travaillé sur trois corpus : un enregistrement sonore fait avec les apprenants de 4ème
année de CEM Cheikh Sidi Abdelkader Ben Omer, un questionnaire destiné au même public et
un autre pour les enseignants où ils vont intervenir par leurs expériences. Cette variété va
appuyer la réalisation de notre expérimentation, qui va donner une crédibilité pour les résultats
obtenus.
7
Chapitre I
L’oral et
l’enseignement/apprentissage
de FLE
Dans ce chapitre théorique, nous allons aborder des concepts généraux qui s’inscrivent
dans le cadre de la compétence de l’oral, ces éléments théoriques vont éclaircir les principes
élémentaires, pour un enseignement/apprentissage de français langue étrangère. Ce dernier a subi
des évolutions via des méthodologies où il y a une variation sur l’échelle de : méthodes
d’enseignement, supports, activités….Aussi, nous allons citer des conditions de réussite/échec
d’une séance de l’oral.
1 La compétence de l’oral
Selon le Robert, l’oral est « opposé à l’écrit, il se fait et se transmet par la parole qui est
verbale » (Alian, 1991 cité par Haddad, 9 : 2017)
L’oral est considéré comme un outil d’apprentissage, dans la mesure où il fait évoluer la
pensée de l’apprenant, et un objet d’apprentissage, où il est pour améliorer la communication
orale chez l’apprenant.
9
1.1 Aperçu historique de la place de l’oral
Cependant et vers les années 1900 apparaît la méthode directe qui s’intéresse aux langues
vivantes. Elle considère la langue comme un instrument de communication, nommée directe
parce qu’elle ne fait pas recours à la langue maternelle et à la traduction, mais elle vise
l’amélioration de l’oral par le biais de la langue étrangère, et elle pose l’écrit au second plan, où
les activités se réalisent à partir d’une transcription de ce que l’apprenant a dit. (Des média au
quotidien)
10
langue comme le rythme, l’intonation…L’apprentissage de l’écrit et de la lecture est mis en
retard par rapport à l’oral. (« Les méthodes audio », n.d.)
En 1990, la méthode SGAV est remplacée par l’approche communicative, et comme son
nom l’indique, l’enseignement s’effectue par la communication ; en d’autres termes l’apprenant
va utiliser la langue étrangère dans sa fonction réelle qu’est l’action de communiquer, oralement
et par écrit. Dans la période entre les années 1998 et 2000 les résultats de cette nouvelle méthode
étaient négatifs, c’est pourquoi un changement est fait au niveau des activités du dossier. Ce
dernier est substitué par « unité didactique »,qui désigne des étapes à suivre par l’enseignant
pour réaliser une séance impliquant un objectif partiel pour atteindre la finalité globale d’un
enseignement d’une langue étrangère, qu’est la compétence communicative, à ce sens Louis
Porcher postule :« D’une manière globale l’unique compétence visée par l’enseignement d’une
langue étrangère est la capacité à communiquer » (Porcher,31 :2014). En somme, l’enseignant
est appelé à faire des activités qui se versent dans le contexte de la communication.
L’enseignement de l’oral n’avait pas une place qu’avec l’arrivé de la méthode directe, et il
a continué à progresser jusqu’à nos jours.
11
modèle behavioriste de Skinner, fondé sur le principe stimulus/réponse, qui désigne que la
situation (stimulus) où se trouve l’apprenant peut influencer son langage oral (réponse).
Par contre à la méthode précédente, la méthode SGAV s’intéresse au sens des structures à
l’aide des sons et des images qui font partie aussi de la vie quotidienne. L’enseignant emploie
des supports audio tels que les enregistrements et des supports visuels comme les filmes, en
donnant une priorité à l’oral plus que l’écrit. Son objectif est de faire apprendre à l’élève les
quatre habilités (comprendre, parler, lire, et écrire).
Par critique des méthodes audio-orale et SGAV, vient l’approche communicative qui vise
un apprentissage à travers une communication, en passant en premier lieu par l’acquisition des
règles de la langue, après la mise en pratique de ces dernières dans différentes situations à la
classe ou ailleurs. Elle a pour finalités de faire acquérir à l’apprenant une compétence de
communication orale ou par écrit.
L’oral étant partie de la langue, il a des formes qui se diffèrent d’une situation à une
autre. En sens générale, il prend trois types de formes (oral spontané, oral scriptural, et écrit
oralisé). En revanche, dans une classe de FLE, l’orale se trouve sous deux formes :
- l'oral parlé : qui se réalise dans les questions, les réponses, ou les exposés, où l’apprenant parle
d’une manière naturelle avec son enseignant ou son collègue.
- l’écrit oralisé : il existe lors d'une réalisation d'une activité ou d'un exercice écrit, par exemple
la lecture d'une réponse, d'une phrase écrite…
12
1.4.1 L’oral comme moyen d’expression
L’enseignant utilise l’oral pour transmettre le savoir puisqu’il ne peut pas dépendre
seulement de l’écrit.
Comme l’oral est une compétence qui figure dans l’apprentissage de la langue étrangère,
il doit être un objectif principal à atteindre pour l’apprenant afin de parler.
Tout échange dépend de l’oral pour effectuer une communication. Cette compétence est
spontanée chez l’être humain dès sa naissance.
« la compréhension orale est une des étapes les plus fondamentales de la communication et
ne peut être laissée au hasard. Dans l’acquisition de la langue seconde, comme dans celle de la langue
première, la compréhension précède l’expression. Avant de pouvoir formuler et transmettre un
message oral, l’élève doit avoir entendu la langue seconde. Il doit avoir été baigné dans un milieu
linguistique riche et varié. Plus l’élève sera récepteur de messages significatifs, plus il sera en mesure
de s’approprier la langue seconde. L’enseignant a donc un rôle important à jouer par rapport à
l’écoute. » (www.edu.gov.mb.ca)
13
Dans une classe de FLE, elle est définie comme une capacité de comprendre un énoncé ou
un document sonore en écoutant différents contextes. Au stade d’écoute, il existe quatre types :
l’écoute d’éveil, globale, sélective, et détaillée. En les exerçant, l’apprenant est appelé à se
concentrer et à faire attention envers le contenu de document.
La compréhension orale a pour objectif de faire apprendre à l’élève d'être sûr de lui-
même et à devenir autonome mais d'une manière progressive.
Dès sa naissance, l’homme est déjà capable d’acquérir et d’utiliser le langage, qui se
développe par le contact avec des autres.
Dans une séance de FLE, l’élève réagit avec son enseignant ou avec son collègue selon
les objectifs visés dans le manuel scolaire, concernant le sujet traité de la leçon. Son objectif est
d’installer chez les apprenants l’utilisation des différents actes de parole selon les conditions
propres de chaque situation de communication. Donc l’apprenant sera capable de distinguer le
rôle de chaque acte par rapport à un autre.
Elle vise à aider l’apprenant à dépasser les problèmes qui ont une relation avec la
prononciation, le rythme, et l’intonation…, mais également les problèmes liés à la
compréhension lors d’une situation interactive.
Cette séance avantageuse a ses caractéristiques qui la distinguent des autres séances, sans
eux, elle n’a pas lieu d’être dans l’enseignement de l’oral. Elle se résume dans :
- Des idées : qui sont un ensemble des informations avec un objectif clair de ce que l’on veut
dire ; en les adaptant selon les destinataires du message.
14
- La structuration : l'enchaînement des idées de façon logique doit être présent à l'aide des
exemples concrets.
La première est linguistique. La réalisation vocalique produite par les cordes vocales.
Elles s’influencent par le passage de l’air, qui lui met en vibration. Ces actions se fournissent
dans l’appareil phonatoire des sons. Ces derniers s’influencent par d’autres éléments comme :
- le volume : ou la force de son qui doit être ajusté selon l’endroit de l’auditeur.
- le débit : la vitesse de la parole.
- l’articulation : le fait de prononcer les syllabes dans un ordre déterminé.
- l’intonation : le changement de l’intensité de la prononciation des mots conformément aux
sentiments de locuteur.
- les pauses : les silences pour démarquer la fin de la phrase, la numération, ou autres, et qui
prennent la place de ponctuation à l’écrit.
Donc, tous ces éléments doivent être en adéquation pour un bon rythme de prononciation.
Le second englobe tous ce qu’est non linguistique ou extralinguistique mais qui sert à
clarifier en plus le sens d’un énoncé. Le regard et les gestes sont les plus utilisés dans
l’expression orale.
Avec le regard, l’enseignant peut garder l’attention de ses élèves lorsqu’il parle, et même
l’apprenant peut réaliser ce fait devant ses collègues. Son intérêt peut toucher la cofinance de
l’apprenant, puisqu’il va être à l’aise quand l’enseignant l’écoute.
15
2 L’enseignement/apprentissage de l’oral dans une classe de FLE
Dans une classe de FLE, l’enseignant vise à installer chez ses élèves certaines
compétences qui leur permettent de communiquer clairement dans des situations variantes.
Donc, l’élève va acquérir une : « compétence globale : à la fin de 4eAM, l’élève est capable de
comprendre/produire, oralement et par écrit, des textes à dominante argumentative en tenant
compte des contraintes de la situation de la communication. » (Office National des Publications
Scolaires [Onps], 2015)
En général, le cours de l’oral se fait sous forme de deux parties : l’enseignant doit
consacrer une heure pour la compréhension et une autre pour l’expression. Chaque activité a une
démarche à suivre.
Il s’agit d’une écoute d’un document audio, audio/visuel, ou un texte oralisé choisi par
l’enseignant pour faire son cours. Ce dernier se trouve sous l’expression « j’écoute et je
comprends » (Onps, 2015). Dans ce cas-là l’action d’écouter veut dire comprendre. Par ailleurs,
il faut que l’enseignant pose les questions avant qu’il fasse n’importe quelle écoute pour que les
apprenants puissent relever les réponses.
Tout d’abord, l’enseignant va anticiper les élèves sur le sujet de la séance (étape de pré
écoute). Dans cette étape l’enseignant fait des activités sous forme des questions générales ou
une vidéo sans son, où l’apprenant va émettre des hypothèses, qui vont être confirmées ou
infirmées dans la première écoute.
Ensuite, et après faire la première écoute (écoute globale), l’enseignant pose des
questions qui entourent sur les éléments constitutifs de la situation de communication (qui
parle?, à qui?, de quoi ? comment?, quand?, et où ?), et à partir de celles-ci, l’apprenant va
dégager l’idée générale de document.
Après, l’enseignant propose des activités qui se basent sur la sélection de quelques
informations pendant la deuxième écoute (écoute sélective) « l’écoute sélective qui consiste à
chercher uniquement certaines informations dans le texte. En faisant une écoute sélective,
16
l’auditeur sait exactement ce qu’il cherche (exemple : l’âge des personnages ou leur métier.)»
(Razafitsiarovana et al.)
Donc, l’apprenant doit savoir choisir les idées en question.
Durant la troisième écoute (détaillée) « l’écoute détaillée qui consiste à comprendre le
document (ou une partie du document) dans tous ses détails. » (Razafitsiarovana et al.)
L’apprenant va approfondir dans le contenu de document.
Enfin, une dernière écoute sera mise en œuvre, dans laquelle l’enseignant va demander
aux élèves de faire un résumé de cours, en faisant des exercices comme : un texte à trous, des
phrases à ordonner…
Cette démarche permet aux apprenants de respecter l’utilisation de ces différentes écoutes
pour une compréhension de l’oral.
La séance de l’expression orale se fait juste après celle de la compréhension de l’oral car
elles sont interdépendantes, dont il s’agit d’aider les élèves à réutiliser les connaissances déjà
acquises dans la séance précédente. Le rôle de l’enseignant est presque absent puisqu’ il ne
réagisse que dans les problèmes linguistiques et communicatifs des apprenants.
A partir d’un support (image, vidéo,…) et des exercices choisis par l’enseignant, l’élève
va s’exprimer ou donner son point de vue à partir d’un thème défini. Donc, il va essayer de
convaincre, raconter, débattre, interagir…
Dans une séance de l’oral. L’enseignant est appelé à utiliser des supports distincts selon
le type de la séance compréhension ou expression. Dans la compréhension orale, les supports
peuvent être :
- des supports audio : des cassettes, des CD enregistrés ou des documents sonores authentiques.
- des manuels : officielles ou en vente sur le marché.
17
- des enregistrements : des entretiens à la radio, des flashs d’information, des chansons, des
annonces publicitaires…
Tous les supports cités dans le manuel ont pour but d’argumenter. Par exemple, dans la
première séance, le support employé est une chanson à visée argumentative comme on peut
trouver d’autres type de : vidéos, films documentaires, fables chantées, dialogues, extraits de
dépliants touristiques, une lettre argumentée… Ces dernières sont des documents sonores, dans
lesquelles les locuteurs sont natifs ou francophones avec des accents différents. Un bon
document sonore ne doit pas négliger :
- La qualité du son.
- La durée de l’enregistrement (ni trop court ni trop long selon le niveau des apprenants).
- Le débit du locuteur.
Concernant l’expression orale, les supports sont de type visuel comme : des photos, des
affiches, BD publicitaires, bulles… A partir de ces supports, l’apprenant va prendre la parole
dans le but de convaincre ou de donner les arguments.
Les activités sont considérées comme un moment d’interaction entre l’enseignant et les
apprenants, elles sont choisies selon plusieurs critères : le niveau des apprenants, l’âge, la
compétence visée, et les objectifs préétablis.
En général, l’enseignant est obligé de faire des exercices variés, pour vérifier les
connaissances de ses apprenants avant, pendant, et après la présentation du cours. Les activités
de la compréhension orale sont sous forme de :
Dans le manuel, les activités sont généralement un ensemble de questions posées après
chaque écoute, il se trouve aussi quelques activités de remplissage de vides, ou de sélection de
bonne réponse. A la fin de chaque séance, il y a une activité de récapitulation où l’apprenant va
18
rapporter ce qui a retenu, et selon le sujet traité, à partir d’un texte à trous, un résumé…Le but de
ces activités est d’aider les apprenants à :
- Découvrir du lexique en situation.
- Découvrir différents registres de langue.
- Découvrir de faits de civilisation.
- Découvrir des accents différents.
- Reconnaître des sons des locuteurs.
- Repérer des mots clés.
- Comprendre globalement et en détails.
- Reconnaître des structures grammaticales en contexte.
- Prendre des notes.
Toutefois, dans l’expression orale, l’apprenant va s’appuyer à une boîte à outils pour
produire ses énoncés qui ont une relation avec le sujet de la compréhension orale. En cela, les
activités se représentent sous :
- Des jeux de rôle : l’enseignant propose une situation où l’apprenant prend la parole
spontanément, sans préparation et avec une absence d’un texte écrit. C’est une activité qui rend
la pédagogie active.
- Les débats : les apprenants discutent sur un sujet donné par l’enseignant, en exprimant leurs
points de vue.
- Les jeux pour travailler l’oral : comme les mots croisés, les devinettes…
Alors, ces activités, et selon le manuel sont dans le but de susciter l’apprenant de
s’exprimer oralement et librement, en répondant aux questions posées, et en donnant des
arguments.
Pour qu’une séance de l’oral soit réussite, il se trouve certaines conditions propres à
chaque situation problème, comme les stratégies de l’enseignement qui se varient d’un
enseignant à un autre, la méthode choisie, le niveau des élèves en langue étrangère, le temps et le
lieu adéquat pour pratiquer cette compétence.
19
En se basant sur le triangle didactique, chaque pôle (le savoir, l’enseignant, et
l’apprenant) a ses conditions particulières.
D’abord, le savoir doit être transposé par l’enseignant d’un savoir savant à un savoir à
enseigner, et après il va le simplifier pour le transmettre aux apprenants. Chaque savoir a ses
outils pour le transmettre, qui est dans notre cas l’oral. Ce dernier nécessite les enregistrements,
les baffles, le data-show…
Enfin, l’apprenant doit avoir des pré-requis pour acquérir un savoir qui doit être motivant
pour lui ; ce qui lui permit de s’exprimer. Il doit être courageux et confiant en lui-même pour
qu’il puisse prendre risque de parler.
La complémentarité entre ces pôles représente elle-même une condition pour le succès de
la séance de l’oral où chacun influence l’autre. L’enseignant doit accorder une importance aux
propos de l’élève, lui donner un temps de réflexion, accepter les erreurs des apprenants, soutenir
la prise de parole des apprenants lorsqu’ils se bloquent, tous simplement, il doit se mettre à la
place des apprenants pour détecter leurs lacunes.
L’absence de l’une des conditions citées auparavant peut être une entrave de la séance de
l’oral. Cet empêchement peut être sur plusieurs niveaux. Le problème major rencontré est
l’incompréhension des apprenants ; certains n’arrivent pas à comprendre ce que l’enseignant dit,
l’activité demande, ou ce que les mots signifient. Il y en a qui n’arrivent pas à se concentrer
jusqu’à la fin du cours par manque de motivation et de l’intérêt du sujet. Du même, le manque de
vocabulaires chez les apprenants est un défaut remarquable dans la production orale. Aussi, le
manque de matériels pédagogiques joue un rôle dans la transmission des informations, qui
doivent être vérifiés avant l’utilisation. Ainsi, si l’enseignant ne fait pas son rôle d’orientation de
20
sa classe vers un objectif précis, il y aurait une non stabilisation au niveau du processus
d’apprentissage.
21
Chapitre II
La prise de parole en FLE
En didactique du FLE, la prise de parole est une activité qui aide l’apprenant à construire
son savoir. L’enseignant va le mettre dans des situations à travers des activités inspirées de la vie
courante, et l’apprenant dans son part va partager son point de vue, faire sortir ses idées, faire
une conversation avec les autres, ou tout simplement prendre la parole en public. Donc l’objectif
de pratiquer cet art de parler est de manifester la pensée de l’orateur et de faciliter la
compréhension du savoir qu’il va apprendre mais à condition qu’il y ait des circonstances à
prendre en compte.
1 Définition de la parole
Selon le dictionnaire Larousse, elle est définie comme : « la faculté de parler, propre à
l’être humain. L’être humain est un être doté de parole » (Larousse, 56 :2001)
Alors, la parole est une faculté naturelle propre à l’être humain, et distingué d’une
personne à une autre, ce qui lui y est rendre individuelle. C’est un acte, une action, ou un fait de
dire quelque chose.
Donc la parole et en opposition à la langue, est dans le sens pragmatique, pendant que la
langue est dans le sens subtil.
Alors, c’est un moyen pour transmettre un message ou un fait de s’exprimer sur un sujet
précis, qui touche ou s’intéresse celui qui prend la parole (destinateur et destinataire). Il a une
relation avec certains éléments comme la motivation, le lieu, le temps, et même l’état psychique
du locuteur. La prise de parole exige une pratique avec des techniques pour la maîtriser.
23
Dans une classe du FLE, elle est définie dans une part quand l’enseignant explique la
leçon, pose des questions…..et dans une autre part, quand l’élève répond ou demande une
explication concernant un point incompréhensible.
Pour qu’un élève prenne la parole dans la classe, il faut qu’il y ait un nombre des
conditions qui lui permet de s’exprimer dans des différentes situations. Selon Yves Roux.P ces
éléments sont les suites :
1 - Un sujet intéressant : l’enseignant doit proposer des thèmes qui sont à l’intérêt de l’apprenant
et en même temps il faut qu’ils soient convenables avec les objectifs attendus de cours.
2 - Savoir exprimer ses idées : l’apprenant doit être capable de traiter ou aborder le sujet proposé,
en utilisant des différents niveaux de communication :
- la communication non verbale : comme les gestes.
- la communication non linguistique : comme les onomatopées.
- la communication non construite : comme les phrases incomplètes.
- la communication non normée : comme l’application d’une règle inexistante dans une langue.
- la transmission verbale, construite et normée.
4 - La motivation : l’enseignant donne à l’élève un temps suffisant pour faire passer ses idées ;
dans ce cas, l’enseignant doit écouter attentivement ses élèves.
5 - Le choix du temps convenable : l’enseignant doit prendre en compte le moment des activités
proposées. (Yves Roux, 2003 cité par Lounas, 2017)
24
4 Les types d’activités de la prise de parole
L’enseignant a besoin des activités pour vérifier les compétences acquises par ses
apprenants. Il est en face de plusieurs choix, selon la compétence visé, les lacunes observées, les
supports disponibles… par exemple le type d’exercices qui marche avec la prise de parole doit
permettre d’imiter ou créer une situation de communication.
Le travail en groupe consiste à réaliser des tâches en commun, en échangeant des idées
entre les membres de groupe, ce qui leur permet de travailler sérieusement. Il peut être usé par
l’enseignant pour susciter l’apprenant à parler. Le fonctionnement de groupe se fait à partir des
propositions d’idées de chaque membre afin de construire une tâche commune.
Le travail collectif motive l’apprenant et permet une certaine évolution au niveau d’échange
et au niveau langagier.
Avant tout, le théâtre est un art qui touche un nombre assez important des domaines de la
vie courante (l’économie, la politique, le sport, la technologie, la société …), il s’agit une
présentation en scène d’un fait, d’un problème social, ou d’autre devant un public.
Cet art de savoir-faire est considéré comme une activité scolaire dans l’enseignement
d’une langue étrangère, et principalement pour l’oral. L’apprenant étant membre d’une société, il
va savoir à travers cette pratique comment agir avec les autres ; il va se mettre dans des
situations presque réelles, qui lui permettent de découvrir des connaissances au secteur
linguistique, culturel, socioculturel... Ainsi, les gestes, les mimiques, ou d’autre permettent à
l’apprenant d’être actif et motivant et en particulier celui qui est timide.
25
Elle se fait par une imagination ou une imitation d’une situation, c'est-à-dire l’enseignant
propose une pièce théâtrale aux apprenants, ou il les laisse l’imaginer. Ce jeu de rôle développe
la prise de parole à partir de :
- l’enrichissement de lexiques.
- développement du verbal et du non verbal.
- l’amélioration da la prononciation.
Pour une bonne communication, la prise de parole dépend des éléments et des conditions
aidants à l’amélioration de l’expression orale. Ces derniers doivent être pris en considération
dans l’enseignement/apprentissage du FLE.
26
Chapitre III
Réalisation de
l’expérimentation
Dans ce travail de recherche et particulièrement dans cette partie pratique, nous allons
vérifier nos hypothèses à travers un enregistrement d’une séance de l’expression orale ; réalisé
dans le CEM Cheikh Sidi Abdelkader Ben Oumer, aussi on a élaboré deux questionnaires ; le
premier est destiné aux élèves de la 4ème année moyenne, et le second est destiné à leurs
enseignants. Ces deux corpus différents nous servent à :
- connaitre l’état actuel et réel d’enseignement de la séance de l’expression orale.
- détecter les difficultés confrontées par les élèves.
Notre enquête se base en premier lieu sur l’observation, dont le regard et l’écoute jouent un
rôle primordial dans notre jugement, et en dernier lieu sur les statistiques qui nous permettront
d’analyser et commenter les données.
C’est un enregistrement qui dure vingt sept minutes, enregistré par un téléphone portable où
il y a un échange verbal entre l’enseignante et ses élèves ; le support employé est une bande
dessinée intitulée la cigale, le tabac et la fourmi. Cette bande dessinée traite le sujet du tabac et
son influence sur la santé où les élèves vont faire la production orale en utilisant l’argumentation
et tout cela est envisagé dans le manuel scolaire.
En plus, le questionnaire destiné aux enseignants comporte 10 questions et celui des élèves
comporte 11 questions, et il se trouve des sous questions pour certains détailles. Ces questions
sont posées pour avoir des informations qu’nous ne pouvons pas les trouver dans
l’enregistrement, il y a celles qui sont ouvertes et d’autres fermées. Donc ces questions en
fondement sont faites pour toucher tous ce que peut influencer la pratique de l’attitude de
l’expression orale.
1.2 Le terrain
C’est le CEM Cheikh Sidi Abdelkader Ben Oumer qui se trouve à Fenoughile dans la wilaya
d’Adrar.
28
1.3 Le public
Notre recherche s’intéresse aux élèves de la 4ème année moyenne. Le nombre total des élèves
de cette classe est de trente, quinze filles et quinze garçons.
Nous avons assisté à une séance de l’expression orale, qui était programmée le dimanche
13/01/2019 à 11 :00, pour observer la démarche d’enseignement/apprentissage de cette activité ;
l’enseignante pose des questions et les élèves répondent. Nous voulons savoir comment
l’enseignante présente et explique les informations, comment les élèves interagissent envers cette
méthode, et de voir à quel point les élèves arrivent à pratiquer la langue française dans les
différentes situations rencontrées.
Nous avons distribué un questionnaire à ces élèves pour y répondre, et un autre distribué
sur 8 enseignants de différents établissements parce que nous remarquons que la réponse d’un
seul enseignant ne suffit pas à répondre sur nos interrogations.
A la fin, nous avons collecté les réponses des deux questionnaires pour les analyser, à fin
de confirmer ou infirmer les hypothèses citées auparavant.
29
2 Analyse et interprétations
Dans le tableau suivant, nous allons citer les difficultés rencontrées par les élèves à partir
de leurs erreurs commises pendant cette séance.
30
2.1.1 Interprétation du premier corpus
D’après le corpus que nous avons enregistré pendant cette séance de l’expression orale,
nous avons remarqué que ces élèves ont des difficultés sur plusieurs niveaux. En premier lieu,
quand ils prennent la parole ; ils prononcent mal les mots en français, ils confondent certains
sons comme le / f / et le / v / puisqu’ils n’écoutent pas comme il faut l’articulation des mots par
leur enseignante. Deuxièmement, ils ne prennent pas en considération le sens des mots qu’ils
disent ; soit ils l’ignorent absolument ou ils ne le mettent pas dans son contexte, par exemple, et
certains entre eux emploie les verbes en infinitif où ils doivent normalement les conjuguer ; ce
qui provoque une confusion entre les natures des mots et une production des phrases avec un
structure erroné. Egalement, le manque de vocabulaire leur pousse à utiliser la langue arabe ou
dialectale dans leurs propos, autrement dit, ils font une traduction littérale. Du même, on trouve
des mots en arabes qui n’ont pas un seul équivalant dans la langue étrangère, en fait ce mot là
peut être traduit en plusieurs mots en français, dont ces jeunes qui veulent apprendre cette
langue, font une confusion entre les sens des prépositions tel que : à, dans, en…, des verbes, des
adjectifs et des adverbes ou autre. En plus, le genre des mots se diffère d’une langue à une autre
ce qui pose problème aux élèves de savoir utiliser l’accord de masculin et de féminin. Au niveau
de la classe, les élève ne respectent pas leurs tours de parole, nous voyons que certains nombre
des élèves parlent ou répondent à la place de leurs camarades ; et celui ci provoque des
problèmes de transmission des idées et d’incompréhension entre les différents locuteurs de la
classe (enseignant/élève, élève/élève). A la fin toutes ces difficultés nous montrent que les
conditions de la prise de parole ne sont pas prises en considération au sein de la classe.
31
1) Quelle matière préfères-tu ? Et pourquoi ?
32
%10
la langue arabe
%13 la physique
%47 les mathématique
%10 l'anglais
le français
sciences naturelles
%13
%7
D’après cette question, nous voulons savoir les préoccupations de ces élèves envers le
genre des matières qu’ils préfèrent.
Cette question nous a montré que la majorité des élèves préfère la matière de la langue
arabe, parce que selon eux, c’est la langue maternelle. Par contre à la langue française, il n’y a
que 13% qui s’intéresse à cette matière, ce n’est pas pour la raison de la maitriser mais pour des
raisons limitées tels que l’obtention d’un travail, ou selon d’autres le comportement de
l’enseignant leur permet d’aimer cette matière.
33
2) Est-ce que le français est difficile ? Si oui, sur quel point réside la difficulté ?
%20
oui
non
%80
34
Les réponses Le nombre d'élèves Le pourcentage
la conjugaison 15 30%
la grammaire 19 63%
la prononciation 14 47%
l'orthographe 16 53%
20 19 (63%)
18 16 (53%)
16 15 (50%)
14 (47%)
14
12
10
8
6
4 le nombre d'élèves
2
0
D’après cette question, nous cherchons de savoir si les élèves voient que la matière de
français est difficile, et nous voulons aussi connaître sur quel point réside cette difficulté.
La plupart des élèves voient que le français est une matière difficile à étudier, dont la
grammaire qui se classe dans la première position, représente une des points de cette difficulté,
cela va influencer les autres points comme la conjugaison, la prononciation, et l’orthographe.
Ces derniers jouent un grand rôle dans la production des énoncés des élèves, car s’ils les
maîtriser, ils vont réussir leurs productions orales et écrites, mais à la réalité et d’après le figure
cela représente le majeur problème des élèves.
35
3) Si tu es devant un choix des langues pour les apprendre, quelle langue choisiras-tu ?
Pourquoi ?
%17
%23
%3 le français
l'anglais
%10 l'espagnole
la langue turque
pas de réponse
%47
36
D’après cette question nous voulons savoir l’amour des élèves en ce qui concerne
l’apprentissage de français et les autres langues en général pour faire une comparaison, qui va
nous permettre de savoir les raisons de choix des élèves de chaque langue, notamment le
français.
D’après les réponses obtenues, on voit qu’il y a 4 langues qui sont choisies par les élèves,
ces langues sont les plus parlées dans le monde, dont on voit que l’anglais obtient une place assis
importante que les autres langues dans les préoccupations de ces élèves. Comme il est mentionné
dans le tableau 47% ont choisi cette langue pour différentes raisons ; parmi eux son utilisation
mondiale. Pour le français, nous voyons qu’elle se classe dans la deuxième échelle ;
l’argumentation de ce choix est que certains veulent l’apprendre parce qu’elle est difficile et ils
veulent dépasser ce problème, et pour certains d’autres, ils l’ont choisi pour des fins sociales et
culturelles.
37
4) Espères-tu maîtriser la langue française ?Pourquoi ?
Les réponses Le nombre d'élèves Le pourcentage Les raisons
- pour réussir.
- pour être social.
- pour parler avec.
- pour l'utiliser ailleurs.
- pour appeler les gens à
Oui 23 77% l'islam.
- elle est bonne et facile.
- c'est mon point faible.
- elle est essentielle dans
notre société.
- ils ont des capacités.
- il ne la comprend pas.
Non 7 23% - il ne l'aime pas.
- elle est difficile.
%23
oui
non
%77
Cette question traite le vouloir des élèves concernant la maitrise de la langue française et
les objectifs visant à travers cette dernière.
Les élèves qui ont un désir pour maîtriser la langue française confirme que c’est une
langue très importante dans notre société algérienne puisqu’il y en a qui utilisent quelques mots
en français, qui leur permet d’acquérir un bagage linguistique, alors qu’une minorité ne veut pas
maitriser cette langue, car ils ont une difficulté de la comprendre, ce qui leur rend ne l’aiment
pas.
38
5) Participes-tu dans la séance de français ?
Les réponses Le nombre d'élèves Le pourcentage
Souvent 17 57%
Parfois 9 30%
Jamais 4 13%
%13
souvent
Parfois
%30 %57 Jamais
D’après cette question, nous visons le taux de participation des élèves dans cette matière,
ce qui va nous permettre de savoir leurs soucis envers cette langue ; c'est-à-dire s’ils prennent en
considération l’apprentissage de cette langue.
D’après le tableau et la figure, nous voyons que la majorité participe dans cette séance, ce
qui montre que ces élèves font un effort pour apprendre cette langue mais malgré ce nombre
élevé, il y a 44% des élèves qui ne participent pas beaucoup, ce qui confirme ce qui vient dans la
troisième question.
39
6) Quel genre des séances préfères-tu ?
la conjugaison
la grammaire
%16 %15
la lecture
%6 %8 l'orthographe
%9 la compréhension
orale
%9 %26 l'expression orale
%11 la compréhension de
l'écrit
l'expression écrite
A travers cette question, nous voulons savoir les séances favorables et défavorables
concernant cette matière pour ces élèves.
Nous remarquons que les séances de l’oral se classent dans les dernières positions par
rapport aux autres séances, ce qui indique qu’elles sont des séances abominables pour les élèves,
et cela est à cause de non compréhension de la langue comme il est cité auparavant.
40
7) Que penses-tu de la séance de l’expression orale ?
%37
bonne et bénifique
difficile et ennuyante
%63
A partir cette question nous voulons savoir le point de vue des élèves en ce qui concerne
la séance de la production orale.
Les réponses qui portent une vision positive envers la séance de l’expression orale sont peu, dont
certains d’entre eux disent qu’elle est bonne et bénéfique. D’autres disent le contraire, ce qui
nous montre que les élèves sont démotivés envers cette séance.
41
8) participes-tu dans cette séance :
%20
Souvent
%47
Parfois
Jamais
%33
A travers cette question, nous voulons savoir le taux de la participation des élèves dans
cette séance.
D’après le tableau nous voyons que 33% qui participent parfois, 20% ne participent
jamais. Et cela à cause de l’insuffisance de bagages linguistiques des élèves dans cette langue. Il
pourrait être aussi à cause de la peur de parler devant un public.
42
9) parles-tu français en dors de la classe ? Si oui, avec qui ?
Non 12 40% /
Tableau 9 : l’utilisation du français en dehors de la classe
%40
Oui
Non
%60
Cette question traite la pratique de cette langue par les élèves en dehors de la classe, et les
personnes qu’ils parlent avec eux.
Nous considérons cette question comme une justification de la quatrième, car le désir de
quelque chose se traduit par une pratique habituel, dans le tableau, il y a 60% qui ont dit qu’ils
essayent de parler par cette langue hors la classe. Ils disent aussi qu’ils utilisent le français avec
quelques membres de la famille ou avec des personnes dans les réseaux sociaux.
43
10) Essayes-tu d’améliorer la communication orale en français ?Si non, pourquoi ?Si oui, que
fais-tu pour l’améliorer ?
les réponses le nombre d'élèves le pourcentage La justification
- Faire la lecture.
- Enrichir le
Oui 23 77% vocabulaire.
- Construire des
phrases simples.
- Elle est difficile.
- Ils ne désirent pas
Non 7 23% l’apprendre.
- Ils ne s’intéressent
pas à cette langue.
Tableau 10 : l’amélioration de la communication orale
%23
Oui
Non
%77
Le but de cette question est de savoir si les élèves font un effort personnel pour
l’amélioration de leur oral. Pour la réponse affirmative, nous voulons savoir quel type d’effort ils
font, et pour la réponse négative, nous voulons savoir les raisons qui les empêchent de ne pas le
faire.
A travers le tableau, nous remarquons que 23 d’élèves essayent de développer leur
expression orale. Les sept qui restent ne l’améliorent pas, parce qu’ils la voient difficile, ils n’ont
même pas le désir d’apprendre cette langue. En ce qui concerne la façon d’amélioration utilisée
par les élèves, nous remarquons qu’elle se distincte de l’un à l’autre, dont on trouve ceux qui
essayent d’enrichir leurs vocabulaires, et d’autres qui se focalise sur la lecture, ou construire des
phrases simples.
44
11) Aimes-tu la méthode d’enseignement de cette compétence ? Si non, comment voulez-vous
qu’elle soit :
%47 Oui
%53 Non
45
Si non, comment voulez-vous qu’elle soit :
%7
par le dialogue
%33
dans le centre des
%33 langues
par internet
pas de réponse
%27
Cette question nous permet de savoir l’avis des élèves sur la méthode utilisée
actuellement dans l’expression orale, de même celle qui leur convient.
La majorité de ces élèves aiment cette méthode, mais un bon nombre de ces élèves n’est
pas satisfaits de cette dernière, et ils veulent qu’elle soit sous forme de dialogue, ce qui était
inclus dans l’ancien programme.
46
2.2.2 Questionnaire destiné aux enseignants
Nous avons interrogé des enseignants qui ont entre 2 et 18 ans d’expérience dans le but
de faire une comparaison entre les méthodes utilisées par ces enseignants pendant la séance de
l’expression orale, et celles de l’ancien programme.
%38
Ils ne s’intéressent pas
Ils participent
%62
Cette question cible le savoir des enseignants de la relation de leurs élèves avec la langue
française.
D'après les réponses obtenues par les enseignants, nous remarquons que la majorité des
élèves ne s'intéressent pas à cette langue.
47
2) Quelle est pour vous la raison de cette réaction ?
6
5 (63%)
5
4 (50%) 4 (50%)
4
3 (38%)
3
0
Ils voient qu’elle Ils détestent la Ils ne la Ils ont un
est difficile et langue comprennent pas manque de
surtout en vocabulaires
grammaire
Le nombre d'enseignants
Nous cherchons de savoir pourquoi les élèves ne s'intéressent pas afin de désigner quel
type de difficultés ils ont.
La raison la plus circulée par les enseignants est celui de manque de vocabulaires. Et
d’autres ont dit que les élèves ne s’intéressent pas à cette langue à cause de sa difficulté et
précisément dans la grammaire, et en plus les élèves ne comprennent pas cette langue, ce qui
montre que les raisons sont différentes, et les difficultés se varient d'un élève à un autre.
48
3) Comment voyez-vous le niveau de vos élèves ?
%37
Moyen
Faible
%63
D'après les réponses obtenues, nous trouvons que le niveau des élèves est entre moyen et
faible. Personne de ces enseignant n'a cité qu'ils ont un très bon niveau.
49
4) faîtes-vous les séances de l’expression orale ? Si oui, quelle méthode utilisez-vous ? Quels
types d’activités utilisez-vous ? Quels sont les supports utilisés ? Pourquoi vous les utilisez ?
%13
Oui
Non
%87
50
Quels sont les supports utilisés ?
-Les supports audio-visuels, images, internet, livre...
Les utilisez-vous ?
%13
Souvent
%25 Des fois
%62
Pas de réponse
A travers cette question, nous cherchons de savoir si les enseignants font les séances de
l'expression orale pour confirmer s'ils suivent ce qui vient dans le manuel scolaire ou pas ainsi
que pour avoir des détails de tout ce qui se passe lors de la séance de l'expression orale, la
méthode d'enseignement, les activités, les supports utilisés.
L’ensemble des enseignants interrogés ont répondu qu’ils font cette séance, où la méthode
diffère d’un enseignant à un autre. Quelques uns amènent les élèves à produire des énoncés
oraux sur un thème défini.
51
5) Créez-vous vos propres activités/supports ? Si oui, citez-les.
Le nombre de La justification
Les réponses Le pourcentage
réponses
-La synthèse avec un
support qui s'adapte
avec le niveau de
l'apprenant.
-Prendre des photos
Oui 4 50% et filmer des vidéos.
-Utilisation d’un
support sur internet.
- Des livres sous la
méthode française.
Non 2 25% /
Pas de réponse 2 25% /
%25
Oui
%50 Non
Pas de réponse
%25
D'après cette question, nous essayons de savoir si ces enseignants dépendent seulement
du manuel ou ils créent ou cherchent leurs propres activités/supports.
D'après les résultats, nous remarquons que les enseignants ne dépendent pas du manuel
totalement, ils font des efforts en apportant des documents pris ou filmés par eux-mêmes.
52
6) Avez-vous enseigné avec l’ancien programme ?Si oui, par comparaison avec le programme
actuel, quel est le plus convenable pour l’amélioration de l’expression orale ? Pourquoi ?
Les réponses Le nombre de réponses Le pourcentage
Oui 5 62%
Non 2 25%
Pas de réponse 1 13%
%13
Oui
%25 Non
%62 Pas de réponse
Si oui, par comparaison avec le programme actuel, quel est pour vous le plus convenable pour
l’amélioration de l’expression orale ? Pourquoi ?
1-L’ancien programme est mieux car :
- il était simple, riche et à la porté de tout le monde.
- il se basait sur le dialogue.
-l'enseignant utilisait des moyens simples et il était bien formé.
2- Le nouveau programme est mieux car :
- il y a certaines améliorations au niveau de la compréhension
Nous interrogeons les enseignants s'ils ont enseigné avec l'ancien ou le nouveau
programme, pour avoir une idée sur ces deux derniers et savoir celui qui est le plus convenable
pour l'amélioration de l'expression orale.
La plupart des enseignants confirment que l'ancien programme est mieux, puisqu'il était à la
portée de tout le monde et il se basait sur le dialogue.
53
7) Combien de séances sont consacrées pour cette compétence ? Est-ce qu’elles sont
suffisantes ? Si non, pourquoi ?
%25
54
Sont-elles suffisantes ?
Le nombre de La justification
Les réponses Le pourcentage
réponses
Oui 4 50% /
- car l'élève a de
mal à s'exprimer
couramment dans
la langue.
- parfois,
l'enseignant
Non 4 50%
n'arrive pas à
atteindre les
objectifs tracés.
- il faut ajouter
plusieurs activités.
Oui
%50 %50
Non
Nous voulons savoir le nombre dédié aux séances de l'expression orale et si elles sont
suffisantes pour développer cette compétence chez les élèves.
Il se voit que le nombre de ces séances n’est pas bien défini. Les enseignants ne sont pas
mis d’accord sur le nombre de ces séances, mais le manuel affirme que, dans chaque séquence, il
y a une séance de l’expression orale.
55
8) Trouvez- vous des difficultés avec vos élèves pendant cette séance ? Si oui, citez-les.
Non 01 13% /
%13
Oui
Non
%87
A travers cette question, nous voulons que les enseignants nous énumèrent les difficultés
qui paralysent le bon déroulement de cette séance.
D'après les réponses, les élèves ont énormément de problèmes qui se trouvent au niveau de la
prononciation, de la compréhension, de la concentration, et au niveau de la formulation des
phrases, ce qui empêchent les enseignant à faire cette séance bien comme il faut.
56
9) Comment réagissez-vous dans cette situation ?
- utiliser la mimique pour expliquer / leur donner des contes à lire pour améliorer leur niveau.
- guider leur pensée / les corriger.
- Enrichir leur vocabulaire.
- changer le support.
- Encourager les élèves à s’exprimer.
- Simplifier ou réexpliquer la leçon.
De ce fait, il serait judicieux de savoir comment les enseignants réagissent-ils face à ces
situations-problèmes.
Dans cette question, nous demandons aux enseignants de nous dire comment réalisent-ils une
évaluation de cette compétence.
Les méthodes des enseignants pour évaluer cette compétence sont variées, certains utilisent
des grilles d'évaluation (autoévaluation), d'autres demandent à leurs élèves de résumer ce qu'ils
ont compris.
57
11) Arrivez-vous à atteindre les objectifs de l’expression orale ? Si non, pourquoi ?
Le nombre de La justification
Les réponses Le pourcentage
réponses
Oui 3 37% /
- vu les difficultés.
-le temps consacré à
Non 4 50% la réalisation de cette
séance est
insuffisant.
Pas de réponse 1 13% /
%13
%37
Oui
Non
Pas de réponse
%50
Par faute de temps et de moyens, insuffisamment justifiés, les enseignants déclarent leur
incapacité à atteindre tous les objectifs au préalable tracés.
Pour conclure, nous constatons que les élèves de la 4ème AM ont du mal à prendre la
parole, ce qui est confirmé par 5 sur 8 enseignants, qui disent que leurs élèves ont un niveau
faible, et c’est à cause du manque de motivation de parler en français dans la classe et ailleurs.
58
Conclusion générale
En conclusion, il nous a été donné de constater que la compétence de l’oral en FLE est
d’une importance capitale dans la formation des apprenants en CEM (4ème année moyen).
Ce travail passe par trois chapitres, le premier et le deuxième traitent les informations
théoriques en relation avec notre sujet de recherche, et le troisième concerne notre
expérimentation, qui se compose d’un enregistrement d’une séance de l’expression orale, et de
deux questionnaires, l’un pour les enseignants et l’autre pour les élèves. Cette expérience nous a
permis d'observer et de savoir la réalité de tous ce qui se passe dans les classes, en relation avec
l'enseignement/apprentissage de FLE en Algérie.
En fin de compte, nous avons pu trouver la réponse de cette problématique en disant que
ces élèves ont énormément de difficultés de la prise de parole sur plusieurs niveaux, dont la mal
prononciation et le manque de vocabulaires sont les grands empêchements de la production orale
chez eux. En plus, nous avons pu atteindre notre objectif de recherche et confirmer toutes nos
hypothèses qui disent que les facteurs se manifestent dans l’insuffisance des cours programmés
pour cette compétence, et dans l’absence de motivation de parler en français non seulement
ailleurs mais aussi dans la classe.
Finalement et après savoir les difficultés et ses origines, nous voyons que ces dernières
existent toujours, malgré les efforts continués qui se font pour l’amélioration de la prise de
parole. Donc, une autre problématique pourrait être posée : quel est la solution efficace pour ce
problème ?
60
Bibliographie
Ouvrages
PUREN, C, (1988), Histoire des méthodologies d’enseignement des langues vivantes, Paris :
Nathan-CLE international.
Documents officiels
Mon livre de Français 4e Année Moyenne, 2015, Office National des Publications Scolaires.
Thèses
CHERIET, K, (2014), pour un enseignement / apprentissage efficient de l'oral chez les élèves de
1 ère année moyenne en FLE cas du C.E.M Chergui Mecki. Zeribet-Eloued wilaya de Biskra,
thèse de magistère en didactique, université de Biskra.
HADDAD, M, (2017), Pour un apprentissage de la prise de parole en séance de FLE Cas des
étudiants de 1LMD-Université de Biskra, thèse de master académique en didactique des langues-
cultures, université de Biskra.
62
HAMEL, H, (2015), L’INTERACTION VERBALE EN CLASSE DE FLE Cas des étudiants de
la première année français LMD de l’université de Mohamed Khider de Biskra, thèse de master
en didactique des langues-cultures, université de Biskra.
GAFSI, A, (2016), Les difficultés de l’oral au secondaire Cas des apprenants de 3 AS du lycée
Mekki Menni –Biskra, thèse de master en FLE et didactique des langues-cultures, université de
Biskra.
LOUNAS, Y, (2017), la difficulté de la prise de parole chez les étudiants. Cas des étudiants de
1ère année universitaire du FLE, à l'université de M'sila, thèse de master académique en
didactique du FLE et interculturalité, université de M'sila.
NAKHLA, S, (2015), Les erreurs récurrentes dans les productions écrites en FLE. Chez les
élèves de secondaire. Cas des élèves de 2ème année secondaire lycée de SAYEB BOULERBAH ;
SIDI OKBA ; BISKRA, thèse de master en didactique des langues-cultures, université de Biskra.
Articles
63
CHAREB-YSSAAD, Ismahane, « méthodologie de la présentation », p.15.
GRODET, Anne-Cécile(2010), « Etudes sur les pratiques enseignantes des classes de collèges et
de lycées », In L’évaluation de l’oral dans l’apprentissage des langues étrangères, p. 256.
Dictionnaires
Sitographie
www.ifadem.org/sites/default/files/ressources/madagascar-livret-4-mieux-comprendre-oral-
ecrit.pdf, consulté le 11/11/2018 à 10 :13 :17
64
www.theses.univ-lyon2.fr/documents/getpart.php?id=lyon2.2008.aslim_v&part=137223,
consulté le 05/02/2019 à 20 :04 :09
http://khouasweb.123.fr/index.php/ressources/didactique/pedagogie/546-comment-enseigner-
lexpression-orale
http://pourtaclasse.e-monsite.com/pages/la-demarche-pedagogique-dans-un-cours-d-expression-
orale.html
http://rire.ctreq.qc.ca/2015/09/communication-orale/
https://www.asjp.cerist.dz/en/article/56013
https://www.persee.fr/doc/lfr_0023-8368_1976_num_32_1_4803
https://edisciplinas.usp.br/pluginfile.php/4583497/mod_resource/content/1/methode_directe_Fab
rice_Barthelemy.pdf, consulté le 12/12/2018 à 17 :12
https://www.edu.gov.mb.ca/m12/frpub/ped/fl2/dmo_5e/docs/comprehensionorale.pdf, consulté
le 20/12/2018 à 19 :25
65
Annexes
CONVENTIONS DE TRANSCRIPTION
VALIBEL
Pause brève: /
Pause longue: //
Hésitation: euh
Multi-transcriptions: {…, …}
(silence)
(rire)
(bruit)
(toux)
(chuchoté)
Transcription de l’enregistrement
EN : enseignante EL : élève
(bruit)
El : madame
En : attend attend // (bruit) très bien n’oubliez pas de mentionner le projet deux / on a terminé
cette on a terminé avec le projet un on a négocié euh on a négocié on a {clarifié , varié} qu’est ce
que on va faire dans ce projet numéro
En : deux / non non non vous écrivez juste projet et séquence une où est la brosse // (bruit)
projet deux séquence une c’est argumenter / dans le / ré / dans le récit / hein nous avons dit on va
argumenter dans le
El : récit
En : bien / séance production de l’oral / terminez / production de l’oral le support page quatre-
vingt׀- dix <El> dix - ׀bien // alors nous avons dit ce que ce qu’on va voir dans ce projet c’est les
fléaux / les fléaux / so / ciaux
El : sociaux
El2 : sociaux
En : sociaux vous savez que les fléaux sociaux sont dangereux pour la société oui oui ou non
El1 : ׀-- oui
El2 :oui
En : bien est-ce que vous pouvez me donner quelques types de / fléaux sociaux (bruit) / comme
quoi (bruit)
El : la drogue
El1 : la xx gar
El2 : la euh
El3 : cigarette
En : le tabac et en général / ׀- <El> (xx) - ׀le tabagisme en général / oui quoi encore
El1 : euh
En : les agressions très bien Marya les autres / ׀- < El1> la drogue - ׀oui / la drogue toujours on
se répète la même chose oui
En : alors aujourd’hui on va voir aujourd’hui on va voir / autre chose qu’est ce que vous voyez
(bruit) / sur ces images là qu’est ce que vous voyez ׀- <El> aigle aigle - ׀on va essayer de savoir
qu’est ce qu’il y a / dans cette bande dessiné vous avez la première écarte c’est quoi c’est autre
(bruit) (xxx) cette bande dessiné alors BD c'est-à-dire une bande dessiné c'est-à-dire ? // ça c’est
quoi c’est quoi la bande dessiné donc c’est une histoire qui est / dessiné de / ׀- (xx) <El> (xxx) -׀
de caricature non sous genre de caricature ça c’est une histoire faite pour / vous / pour ׀- vous
<El> A+fi mahellihaاA- - ׀et bien sûr avec des ׀- <El> (xxx) - ׀des égouts qu’est ce que vous
voyez il y a quoi // il y a quoi
El1 : un bout
(chouchouté)
(silence)
En : oui
(chouchouté)
(silence)
(chouchouté)
El : aigle
En : aigle / vous voyez c’est quoi le aigle ׀- < El > (xxx) (xx) - ׀hein c’est un oiseau / vous voyez
quoi
En : il y a // en français ׀- <El> (xxx) (xxx) - ׀il y a un dialogue d’accord dans cette bande
dessiné il y a un dialogue ׀- < El > dialogue - ׀// alors ce dialogue là il est entre qui et qui ?
El1 : fourmi
El1 : cigarette
En : cigale / la cigale et la / ׀- fourmi < EL > fourmi - ׀alors la cigale et la fourmi dans le
dialogue ce sont quoi ce sont des per
El : personnes
En : personnages / ce sont des perso ׀- < Els > nnages - ׀ce sont des personnages / qui jouent un
rôle qui jouent bien sûr un rôle alors la cigale et la fourmi ils sont entrain de faire quoi
El2 : (xxx)
El3 : (xx)
En : hein
El4 : dialogue
En : faire un dia ׀- < El > dialogue - ׀faire un dialogue {contre , entre} quoi ou bien sur quoi
pardon
El1 : cigarette
En : sur la cigarette sur la cigarette / ça y est donc il y a un dialogue qui se parle / (bruit) euh de
lutter contre la cigarette quelle est la source de cette bande dessiné / quelle est la source ׀- <El>
euh - ׀de cette bande dessiné / Hamida quelle est ׀- la source
El1 : la cigale
El2 : madame
El :euh
En : oui publicité
El : publicité anti
En : anti / tabac anti tabac lorsqu’on dit anti tabac c’est quoi / anti tabac anti
El2 : tabac
En : c’est quoi
El :euh
En : anti-tabac anti anti-tabac très bien donc elle lutte qu’est ce qu’il fait elle lutte le verbe lutter
ha lutter contre quelque chose c’est comment c’est comme abattre contre quelque chose
A+harabaA- ça y est donc lutter ׀- <EL> abattre – ׀lutter contre quoi lutter contre le cancer
pourquoi ils ont dit pas lutter contre la cigarette
En : pourquoi ils ont dit pas lutter contre la cigarette ils ont dit ça c’est une ׀- <El> (xxx) - ׀euh
ça c’est une association qui fait euh / pardon donc ça c’est une association nationale qui fait
lutter contre le cancer / pourquoi ils ont dit pas la cigarette ils ont dit lutter ׀-- contre le cancer
El1 : (xxx)
El1 : euh
En : il n’est pas bon / qui n’est pas bon le cancer ou bien la cigarette hein la cigarette elle n’est
pas bonne
El2 : dangé
El3 : (xxx)
En : pourquoi pourquoi
El2 : la cigarette
En : (xx) la cigarette
El4 : (xxx)
En : elle provoque des maladies -- ׀comme le cancer très bien donc ils ont dit lutter contre le
cancer parce que le premier euh et parmi les euh les facteurs parmi les facteurs de cancer c’est le
tabac / parmi les facteurs c'est-à-dire les causes de cancer parmi ces causes là nous avons le tabac
qui est le premier responsable de quelques euh maladies du ׀- cancer <El> cancer - ׀ça y est on ׀-
<El> (xx) - ׀va voir après ces maladies (bruit) d’accord alors suivez maintenant s’il vous plaît //
bien sûr ça c’est une ce cette bande dessiné elle est inspirée d’une fable elle est inspirée d’une ׀-
fable <El> fable - ׀hein d’une fable ׀- c’est <El> A+ kissa bilhayawanate A- - ׀quoi la fable
d’après vous
El : A+ kissa bilhayawanate A-
En : très bien c’est quoi la fable d’après vous en français c’est quoi la fable d’après ׀- vous <El>
A+ kisas hayawania A- - ׀hein histoire / à la langue des
El : a animaux
En : animaux très bien c’est une histoire à la langue des animaux et à la fin on trouve une morale
une morale une valeur / hein A+ nelkaw hikma felakhirA- ça y est c’est claire on trouve une
valeur une׀- morale <El> une morale - ׀après la fable parce que généralement les animaux se
discutent pas et ils se parlent pas oui ou non ׀- <El> oui - ׀hein c’est nous les les hommes que
qu’on parle les animaux non mais qu’est ce qu’il a fait et sur tôt la fable elle est inspirée de la
fable de Jean de Lafontaine qui est un écrivain français qui a créé ce mode de histoire donc la
fable c’est un petit récit c’est un petit récit à la langue des animaux bien sûr à la fin on trouve une
morale une valeur ça y est c’est claire (bruit) ׀- <El> oui madame - ׀bien / alors ׀- euh <El>
(toux) - ׀avant de / avant de commencer // on va faire une remarque qui est très essentielle dans
cette bande dessinée remarquez vous allez remarquez la première / la première vignette c'est-à-
dire la première (xx) la première vignette / qu’est ce que vous voyez sur la première vignette
El2 : la cigale
En : comment elle ׀- est <El> (xxx) - ׀la cigale comment elle est
El : fumé fumé
El2 : (xxx)
En : fumer hein mais quelle comment elle est l’état de l’état de la cigale quel est l’état de la
cigale / quel est l’état A+ elhala A- l’état
El : hein ? (bruit)
El : bou
El1 : bonne
El2 : bonne
El : (xxx)
El : (xxx)
En : alors Massoudi Brkaoui Brahimi // (bruit) Massoudi où est-ce qu’il est absent toujours
El : oui
(bruit)
En : alors Yacine toujours euh (chouchouté) il faut prière pour votre camarade Yacine ׀- <El>
oui oui (xxx) - ׀d’accord n’oubliez pas euh pour lui prier euh que dieu A+ nchallah rbbi yrejo
lina salem A- d’accord alors euh on contune donc comment elle est la cigale / comment elle est
la cigale elle est / comment elle s’est assai elle s’est assai confortablement oui ou non elle est
entrain de / s’assoir de fumer ha à vous cet endroit elle est où
En : cet endroit elle est heureux très bien l’endroit où se trouve la cigale / hein oui / comment
dire A+ echchatie A- comment la pla
El2 : la plage
En : elle est sur la plage entrain elle est s’est assis confortablement / hein elle ׀- porte
<El> qui (xxx) - ׀des lunette hein / entrain de fumer euh ça se voir qu’elle est heureuse comme a
dit Anes quoi encore
(rire)
En : quoi encore / il y a il y a aussi une chaise il y a un café il y a beaucoup de chose ici hein /
mais regardez la dernière vignette / vas y observez la dernière vignette la dernière celle là la ׀-
dernière
En : hein ? la dernière vignette celle là / hein comment elle est la cigale ׀- <El> fourmi et cigale -
׀est-ce qu’elle est en bon santé
El : malade -׀
En : elle est malade très bien elle est entrain de faire quoi
En : elle est entrain ׀- de <El> la grippe - ׀tousser c’est pas de la grippe / non c’est pas de la
grippe ça c’est une ׀- maladie
El1 : maladie
En : elle est entrain - ׀de tousser à cause de quoi elle elle est entrain de tousser
El2 : drogue
El3 : (xxx)
En: à cause de la ׀- cigarette <El> cigarette - ׀donc ça se voit quoi ׀- euh <El> n’est pas bon -׀
En : qu’est ce qu’on ׀- constate <El> (xxx) (xx) - ׀que-ce qu’on remarque la cigarette qu’est ce
qu’elle fait qu’est ce qu’elle fait
El2 : (xxx)
En : elle est dangereuse la cigarette elle est dangereuse quoi encore elle est no
El : cive
En : nocive elle est comment aussi / elle ׀- est <El> nocif - ׀euh toxique ׀- <El> toxique - ׀c'est-
à-dire elle est trop dangereuse la cigarette / euh à avoir au dubit on peut savoir des maladies
comme la est très bien des maladies comment des maladies cardiaux euh beaucoup de maladies
d’accord et beaucoup de complications l les maladies de diabètes les maladies de la tension
(toux) de cancer / (toux) l’essentiel ׀- <El> beaucoup - ׀le seul mot qu’on peut dire c’est elle est
toxique c'est-à-dire elle est vraiment très dangereuse au debit ou lorsque on commence on est en
bonne santé on est heureux de fumer on est heureux de faire euh contre les autres des gestes
comme ça je suis en train de fumer hein comme vous dites A+ li ma yekmich machi rajel A-
c’est ça hein ׀- <El> non - ׀A+ hakka tgolo berra اA- c’est ça ׀- <El> non non - ׀non donc il faut
faire quoi il faut faire attention et surtout vous les adolescents et surtout ׀- quatorze <El>
quatorze - ׀il y en a de quatorze ans donc c’est pas juste les garçons c’est aussi les fille / euh
parce que nous sommes dans seci dans une société qui est vraiment cette société comme elle est
comment elle est notre société elle est sensible oui ou non ׀- <El> oui - ׀elle est sensible notre
société A+ hessasa A- elle est sensible (bruit) on peut attirer n’importe qui on peut attirer les
garçons bien qu’on peut attirer aussi les filles alors il faut faire attention des (xxx) hein la
cigarette non // ça y est ?
En : alors / A+ yellah A- suivez / la cigale ayant fumé tout l’été ayant fumé tout l’été donc elle
était en train de fumer tout l’été / se trouva fort dépreuve quand le manque fut venu ha c’est bon
le manque fut venu ha n’a plus de cigarettes elle n’a plus de cigarette
El2: cigarette
En : pas un seul petit morceau de clôt ou de mégot / ha il n’a rien trouvé pas un seul petit
morceau de clop ou bien de mégot / elle alla prier nicotine chez la fourmi sa voisine (bruit) elle
va prêter quelques tiges hein elle va la prêter chez / sa voisine la fourmi / la priant de lui prêter
quelques tiges pour la su pour la su substituer (bruit) jusqu’à la saison nouvelle hein elle va
prêter quelque chose et la saison nouvelle elle va le rendre ׀- <El> (xxx) - ׀je veux prier je vais
paierai (xx) lui dit-elle avant l’août foi d’animal intérêt et principal c'est-à-dire elle va rendre les
tiges et avec de principales ça y est / c'est-à-dire avec de la moitié de la matière la fourmi n’est
pas fumeuse alors la la fourmi elle n’est pas fumeuse c'est-à-dire elle ne fume pas / ça n’est point
là un défaut que faisiez-vous au temps chaud dit elle à cette emprunteuse nuit et jour à tout
venant je fumais ne vous déplaise hein et entre elle est fière elle est fière d’avoir fumer ça y est /
vous fumiez j’en suis fort aise comment elle est la fourmi maintenant elle est bon et aise et
comment elle est la cigale / eh bein toussez maintenant / quel est le résultat de fumer c’est de
tousser à la fin c'est-à-dire avoir des ma
El : maladies
En : avoir des quoi des maladies ׀- <El> maladies - ׀comme quoi donnez-moi quelques maladies
׀- <El> cancer - ׀hein le cancer quoi encore
El : l’hasme
En : très bien l’hasme quoi encore ׀- euh l’ (xxx) (xxx) - ׀les maladies / car cardiaux / le cuère
c'est-à-dire le cœur pardon
En : la tension très bien oui ׀- <El> euh euh (toux) - ׀qu’on peut avoir aussi ׀- <El> menervé
(toux) -׀oui / qu’on peut avoir aussi
El2 : euh
El3 : (xxx)--׀
En : c’est le stresses hein on peut avoir de stresse ׀- <El> les nèrres - ׀les nèrres le stresse oui
quoi encore
El : hein
En : hein
En : quoi
En : des pressions très bien quoi encore des / on peut avoir des autres complications dans la
société par exemple le colère parce que lorsque on est pas de l’argent pour acheter / ce jour là
mon camarade va mener de l’argent après il ma il va me donner quelques tiges et l’autres jours
lorsque je ne trouve pas que-ce que je vais faire je vais bien sûr fait de vole oui ou non hien
premièrement je commence par ma petite famille après je vais commencer par la grande ׀- <El>
ma mère - ׀je je veux faire en plus la la grande famille après les voisins les camarades / je vais
perdre toute ma ma quoi ma dignité c’est quoi la dignité A+ elkarama ntai gae tefkedA-
pourquoi parce que chaque personne que me voie va ho c’est (xxx) là il est / hein // donc on peut
avoir des problèmes dans notre société ou aussi on va / on va voir des problèmes de san de santé
(chouchouté) ׀- <El> santé - ׀alors / sans santé est-ce qu’on peut suivre / sans la santé est-ce que
on peut suivre / lorsque on est on est pas de bonne santé est-ce que on peut suivre
El : oui
El : non
En : on peut suivre lorsque tu est malade tu peut suivre / A+ ki tkon mrid tekder twasel hyatek
A-
El : non
En : on peut pas
El : A+ elilaj A-
En : A+ elilaj A- / ׀- alors <El> A+ elwikayato kheiron min elilaj A- - ׀hein tu vas encourager les
les gens à fumer et après vous allez dire euh vous arrêter et faire de traitement c’est ça / c’est ça
Abde lwahabe
El : non
El : malade
En : vous allez quoi vous allez bien sûr à l’hôpital
El : oui madame
En : sûrement / si n’est pas l’hôpital c’est la (xxx) parce que je commence par la cigarette et je
termine par quoi / par la cocaïne oui ou non
El : oui
El : à la santé
En : à la santé d’accord
El : euh
En : alors quel est l’objectif de cette bande dessinée donc votre camarade a dit que euh la
cigarette elle est / (xxx) ׀- <El> nocive - ׀elle est nocive pour la santé quoi encore d’autre
réponse
El : la cigarette
En : est danger
En : euh la cigarette est danger dans la vie de l’homme / donc ici on compris bien la cigarette il
est danger pour notre vie en générale et sur tôt sur tôt pour notre santé on va baser sur la santé on
va baser sue la santé ׀- <El> santé - ׀pourquoi parce que la cigarette que-ce qu’elle est fait elle
diminue et elle dégrade la santé c’est comme la pollution / que-ce qu’il fait la pollution à
l’environnement
El : dégrader
En : elle lui dégrade la même chose pour la cigarette que-ce qu’elle fait ׀- <El> dégrade - ׀elle
dégrade la santé et l’environnement et la société ׀- <El> et l’homme menacé la société - ׀et lors
premièrement lorsque on dégrade la santé bien sûr la santé de qui la santé de l’homme ׀- <El>
madame (xxx) (xx) - ׀c'est à cause de l’homme après c’est l’entourage et aussi son
environnement lorsqu’on on on jette les les tiges sur sur le sol lorsque on jette les tiges ׀- <El>
pollution l’aire - ׀je euh je suis en train de faire quoi / je suis en train de polluer l’environnement
oui ou non
El : oui
El : oui
En : euh lorsque on fait ׀- <El> madame (xxx) - ׀les les compagnes de nettoyage que-est ce que
on trouve sur le sol on trouve les tiges les boites de la cigarette oui ou non
El : oui
El : euh
En : oui
El : la
En : on besoin d’un verbe qui conclue le tout
El : euh madame
En : hein
En : la cigarette menace la société très bien menace la santé après la société on va compter sur la
santé d’accord parce qu’elle est toxique et elle est nocif pour la santé ׀- <El> madame - ׀après la
société après l’environnement oui
El : euh
El : la cigarette
En : la cigarette
En : est danger
El : est danger
En : pour la santé
El : pour la santé
En : donc l’objectif de cette bande dessinée et l’objectif de l’auteur c’est quoi c’est de
sensibiliser / sensibiliser qui (bruit) oui tu a dit quelque chose ׀- <El> (xxx) - ׀oui sensibiliser les
gens quels gens / quels gens ׀- <El> euh (xxx) -׀surtout surtout c’est vous les adolescents c’est
vous les lecteurs ça y est et ׀- <El> (xxx) (xxx) - ׀c’est pour vous et surtout c’est pour vous donc
sensibiler les gens à / éviter / à éviter à éviter la cigarette / elle est en train d susbili de
sensibiliser les gens à arrêter la cigarette
El : cigarette
El : madame
En : pourquoi parce que la cigarette que-est ce qu’elle provoque elle provoque quoi ׀- <El> euh -
׀des
El : des maladies
En : des maladies comment ce sont ces maladies est-ce que sont comme la grippe
El : non
El3 : l’asthme
El5 : la tension
En : euh // quoi encore l’asthme / quoi encore ׀- <El> la tension - ׀la tension / quoi encore / oui /
oui des problème de l’allergies des problèmes de poumons euh des poumons des problèmes de
crise de reins aussi parce que notre sang sera pollué sera euh pollué ׀- <El> les angines - ׀sera
infecté notre sang c’est quoi le sang / le sang
El : (xxx)
En : très bien A+ eddem A- donc le sang sera sera comment sera pollué comme l(xxx) sera
infecté par euh par la nicotine et par des autres produits chimiques qui se trouvent dans la ciga
El : cigarette
En : la cigarette / ça y est donc en conclusion nous avons dit que la cigarette elle est dangereuse
elle est nocive pour la santé elle est elle est aussi toxique ׀- <El> euh euh (toux)- ׀donc il vaut
mieux éviter ׀- <El> (toux) - ׀de faire quoi ׀- <El> cigarette cigarette (toux) - ׀éviter de fumer et
éviter et la cigarette parce qu’elle est vraiment vraiment et vraiment elle est dangereuse et
toxique et nocive pour la santé elle dégrade l’homme elle dégrade la santé de l’homme et elle
aussi elle dégrade la société et elle dégrade l’envi
El : l’environnement
En : l’environnement bien
(silence)
El : madame
En : oui
El : madame madame ׀- <En> oui il faut éviter il faut éviter -׀
En : alors ici vous demandez relever les mots et les expressions qui rapportent au tabac / qui
rapportent c'est-à-dire le champ lexicale de tabac c’est quoi dans ce dialogue quel est le champ
lexical de tabac (bruit)
El : euh la cigarette
El : la la drogue
El : euh
El : euh
En : dans ce dialogue
El : la cigale et la fourmi
El : la cigarette
En : c’est la cigarette non le champ lexical de tabac ׀- <El> nicotine nicotine - ׀la nicotine très
bien / la nicotine la cigarette quoi encore les petits / les petits quoi / les petits morceaux de oui
oui ׀- <El> cigarette mégot - ׀les mégots oui très bien quoi encore
El : le mégot
El : (xxx)
En : à la fin la dernière vignette
El : frome
En : le verbe fumer c’est pas fromer c’est fumer ׀- <El> fu - ׀fumer
El : fu
En : fumer
El : fumer
En : et vous avez toussé très bien le résultat de fumer c’est quoi quel est le résultat de fumer
El : tousser
En : c’est tousser à la fin c’est le tousseur / c'est-à-dire le résultat de fumer ׀- tousser - ׀// alors on
peut jouer on peut jouer cette / cette bande dessinée on peut la jouer d’accord on peut la jouer
comme une pièce théâtrale passe Norhane Anes tu passe / prenez votre livre / passe au tableau on
peut la jouer comme une pièce théâtrale A+ yellah A- Anes vite (applaudir) // alors Anes tu es la
cigale et Norhane tu es la fourmi / vous avez les paroles de la fourmi et les paroles de la cigale
A+ yellah A- vas-y (bruit) (silence) A+ yellah A- vas-y tu doit commencer // normalement ici
nous avons euh nous avons le // non non attends on besoin ici d’un auteur // alors je suis l’auteur
A+ yellah A- la cigale ayant fumé tout l’été se trouva fort déprouvue dépourvue pardon quand le
manque fut venu / vas-y pas un seul petit morceau de clou et de mégot à la la prié nicotine chez
la fourmi sa voisine / la priant de lui préter quelques tiges pour la saison jusqu’à pour la substiter
jusqu’à la saison nouvelle / vas-y Anes
El : (xxx) (xxx)
En : paierait
En : intérêt
El : intérêt et principal
En : la fourmi n’est pas fumeuse ce n’est pas là un défaut / vas y Norhane
El : qui qui euh faisait vous euh au temps euh au temps euh au temps
En : au temps chaud
El : dit elle
En : non non c’est pas non // nuit et jour a tout venant // nuit et jour à tout venant Norhane
En : ne vous déplaise
El : ne vous déplaise
En : très bien
Questionnaire pour les élèves de 4éme AM
Le sexe:
Féminin masculin
……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………
Oui Non
Conjugaison.
Grammaire.
Prononciation.
Orthographe.
Autres :
………………………………………………………………………………
3) Si tu es devant un choix des langues pour les apprendre, quelle langue choisiras-tu?
Pourquoi ?
……………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………
Oui Non
-Pourquoi ?
……………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………
Souvent.
parfois.
Jamais.
…………………………………………………………………………………………………….
Souvent.
Parfois.
Jamais.
9) Parles-tu français en dors de la classe ?
Oui Non
…………………………………………………………………………………………………..
Oui Non
- Si non, pourquoi ?
……………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………
Oui Non
Par dialogue.
Sur internet.
Autres :
…………………………………………………………………………………………………..
Questionnaire pour les enseignants
………………………………………………………………………………………
Ils participent.
Autres :
…………………………………………………..……………………………………
Autres :
……..............................................................................................………………………
Très bon.
Moyen.
Faible.
Oui Non
Si oui :
……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………................................................................
……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………................................................................
……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………................................................................
- Les utilisez-vous :
Souvent.
Des fois.
Jamais.
……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………................................................................
Oui Non
Si oui citez-les.
……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………................................................................
Oui Non
Si oui :
- Par comparaison avec le programme actuel, quel est le plus convenable pour l’amélioration de
l’expression orale ?
.......................................................................................................................................................
Pourquoi ?
……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………................................................................
…………………………………………………………...............................……………………
- Sont-elles suffisantes ?
Oui Non
Si non, pourquoi ?
……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………................................................................
Oui Non
Si oui, citez-les.
……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………................................................................
……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………................................................................
……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………................................................................
11) Arrivez-vous à atteindre les objectifs de l’expression orale?
Oui Non
Pourquoi ?
……………………………………………………………………………………………………
................................................................…………………………………………………………
Table des matières
Chapitre I ................................................................................................................................. 7
Chapitre II .............................................................................................................................. 21
Réalisation de l’expérimentation.......................................................................................... 28
1.2 Le terrain....................................................................................................................28
Conclusion générale............................................................................................................... 57
Bibliographie .......................................................................................................................... 59
Annexes ................................................................................................................................... 61
Résumé
Mots clés : didactique des langues étrangères, FLE, l’expression orale, la prise de parole,
difficultés, origines.
Abstract
Keywords: didactic of foreign languages, FFL, oral expression, speaking, difficulties, origins.
ملخص
الخكلم جزء. مه الضسوزٌ اكخساب الكفاءة الشفهُت، والسُما اللغت الفسوسُت كلغت أجىبُت،فٍ حعلُمُت اللغاث األجىبُت
الخالمُر َعاوىن مه، ولكه زغم هرا.ٍمه هري الكفاءة الخٍ َهدف األسخاذ إلً حطىَسها لدي الخالمُر فٍ حصت الخعبُس الشفه
، مه خالل ه را البحث الرٌ َهدف إلً ححدَد معُقاث الخكلم ومصادزها لدي حالمُر السىت السابعت مخىسط.صعىباث فٍ الخكلم
ً أَه بُىج وخائج حجسبخىا أن أغلبُت الخالمُر ال َسخطُعىن الخعبُس بسهىلت باللغت الفسوسُت وهرا زاجع إل،اسخطعىا إثباث فسضُاحىا
.وقص ممازست الخكلم بهري اللغت
. مصادز، صعىباث، الخكلم،ٍ الخعبُس الشفه، الفسوسُت كلغت أجىبُت، حعلُمُت اللغاث األجىبُت:الكلمات المفتاحية